bezweckt hat: keine botanische Lehr-zeichnung, sondern ein Hohes Liedzu Ehren des Tabaks. Seine geistvolleInterpretation von erstaunlicherAktualitat lautete : "Der Tabak ist derGott der Menschheit". Wenn sich derTraum der Utopisten jemals erfiillensollte, und wenn die Nationen Euro-pas endlich nur noch eine grolleFamilie sind, dann wird im Wappender neuen Gesellschaft sicherlich eineTabakpflanze erscheinen, deren Wur-zeln sich uber eine Weltkarte brei ten,auf der sich Pfeifen verteilen, und wovor einem Hintergrund aus Tabaks-beuteln verschiedene Zigarren undeine gliihende Wasserpfeife zu sehensind.

Eric Martin

Nachweis:

"Die lebenden Blumen" von J.J. Grandville."Neue Ausgabe von Stichen, deren Gravurund Farben von M. Maubert, einem Malernaturkundlicher Motive, der im Dienste desJardin des Plantes stand, sorgfaltig iiberarbei-tet wurden". Paris; Gamier Freres ; 1867.Zwei Bande (321 und 339 Seiten) im Achtel-seiten-Format (Bibliothek Eric Martin).

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QUELQUESREMARQUES SUR LESPIPES DU CAMEROUN

Commencons par une classification.Les pipes du Cameroun se repartis-sent comme suit:Les pipes en terre cuite pipes en terre cuite (foyer et tuyau)avec tuyau en roseau, bois ou metal. pipes en terre cuite (foyer et partiedu tuyau), avec partie de tige en os ettuyau-embout en metal.Les pipes en bois.Les pipes en os d'animal.Les pipes en metal.

Pour gagner de la place, je ne repete-rai pas ici tout ce qu' on peut trouverdans les livres de Jean Lecluse etd'Alfred Dunhill ; l'etude de B. Lau-fer,W Hambly et R. Linton "Tobaccoand its use in Africa", Chicago, 1930,et d'autres specialistes.

Les pipes en terre cuite

Je pense consacrer un article separe acette categoric de pipes. Je ne ferai

done ici qu'une remarque generale :la terre est vraiment de la terre et pasde l'argile (clay en anglais). Ellessont done tres fragiles et tres friables.Le moindre choc, le moindre contactavec un objet quelconque a des resul-tats nefastes.

Les pipes en os d'animal

D'habitude, les auteurs se referant aces pipes, preferent I'expression"pipes en ivoire". Terme complete-ment faux, bien que plus imposant.Pendant mes annees en Afrique, j' aitres rarement vu des pipes a tabac(nous ne parlons pas de porte-cigaresou parte-cigarettes) faites en ivoire .D' abord elles seraient tres difficiles afumer ou peu pratiques a fumer et,dans la plupart des pays africains,elles seraient illegales a produire et afumer. J'emploierai done l'expres-sion "pipes en os" qui est le termecorrect.

D'autre part,je vais m'etendre unpeuplus sur ces pipes du Cameroun parceque je n'ai vu que tres rarement desreferences dans les livres sur les pipesafricaines. Par exemple, Jean Leclusene dit rien dans les soixante-dix pagesqu'il dedie aux pipes du Cameroun.

Les pipes en os du Cameroun, aumoins celles que j' ai vues, ont deuxformes:Tres rarement, et je soupconne l'in-fluence de I'homme blanc, elles ont la

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forme classique de la pipe europeen-ne, cest-a-dire :

rl__o _Le foyer A est cimente avec la tige Ble long de lignes obliques a la base dufoyer. Le tuyau C, en roseau, estcimente a la tige avec une sorte deboue.Le plus souvent, elle a la forme sui-vante:

A

L ()Cl. ~:,-,"O: _"0= s:,',-- -;-_"0-;= = r :---' ,-, -- -:.=-:.-:.1 c,

Pour mieux comprendre, reportez-vous aux photos qui accompagnentcet article.

Pour des raisons de comprehension,- j'appelle la partie A le foyer, la partieB la tige et la partie C le tuyau (fai-sant role depistome ou embout). Jesignale, pour celui qui voudrait pous-ser ses recherches sur ces pipes, queles trois parties sont cimentees entreelles avec une sorte de boue, deciment de tres mauvaise qualite. De larneme maniere, quelquefois avecl'addition d'un morceau d'os, lesdeux extremites de base (os du foyeret os de la tige) sont bouchees.

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Ces pipes conservent la couleur natu-relle (blanc-gris) de I'os ou sont colo-rees en gradation du cafe: du cafetres pale, presque blond, jusqu'aucafe bronze.

Je souligne que les sept pipes que jepresente dans cet article sont toutesfabriquees avec des os d'hippopota-me. Comme la chasse a l'hippopota-me n' est permise que tres rarement, ilest bien probable que ces pipes soientle produit-secondaire il est vrai, le butetant de s'approvisionner en viandede braconnage. En principe, je nedevrais pas les acheter : mais allezresister a une belle piece ! Surtoutquand vous savez que l'animal n'apas ete tue pour ses os.

A premiere vue, on reste avec I'im-pression que ces pipes en os sontidentiques entre elles ou tres sem-blables. Pourtant, au second examen,on voit des differences et des varia-tions du meme theme. Je m'explique:

En ce qui conceme les dimensions desparties qui composent les pipes : hauteur, hors tout, de la pipe : entre27,1 et 37 centimetres hauteur de la tige : entre 19,9 et 26,6centimetres hauteur du foyer : entre 8 et 11,1centimetres diametre total de la base (tige etfoyer ensemble) : entre 4,8 et 5,1 cen-timetres

diametre de la base de la tige : entre2,2 et 2,8 centimetres diametre de la base du foyer : entre2,2 et 2,4 centimetres diametre du tuyau : entre 0,8 et 1,2centimetres longueur du tuyau : entre 7,2 et 10,1centimetres.

Le foyer est toujours sculpte et repre-sente souvent un etre humain entier,stylise, d'habitude assis ; plus rare-ment, on voit seul un visage humain.Ces visages ou etres humains portentune sorte de chapeau ou tiare, decorede deux ou trois lignes paralleles ouen zigzag. Les mains de ces person-nages sont soit croisees devant la poi-trine (ou l'abdomen) soit elles sup-portent la tete.

La tige est souvent simple, avec deuxou trois bagues d'incisions parallelesou elle porte en reproduction la figu-re du foyer. Dans ce dernier cas, bienque les figures soient les memes,elles ne sont pas identiques : l'artistedonne toujours un petit detail diffe-rent: ou le chapeau est different ou laposition des mains est autre que celledu foyer ou le front de la personne estdifferent, etc. etc. La tige est soit enun morceau unique soit en deux mor-ceaux, qui s'entrelient en baionnette.

Le tuyau est toujours un morceau deroseau, assez robuste, qui donne l'im-pression d'etre du bois ; il est conce-

vable d'ailleurs, que quelques tuyauxsoient faits en bois. Pourtant lestuyaux-embouts de toutes les pipes enos que j'ai eu la chance d'examineretaient en roseau. A titre de compa-raison, le tuyau (embout) des pipesdont le foyer est en terre cuite et latige en os, est toujours en metal.

La profondeur du foyer est entre sixet onze centimetres et le diametre dufoyer est en haut entre un et demi etdeux centimetres. Le fond du foyerest un peu moins large. Je dois signa-ler que, la matiere etant naturelle etles artistes n' intervenant pas pour latransformer, l'interieur et I' exterieursont irreguliers ; done, les dimensionsdonnees ici sont approximatives, dansle sens qu'il n'y a pas un diametrevrai, c'est-a-dire un cercle interieurou exterieur regulier et parfait.

En conclusion, nous devons direqu'un europeen pourrait plus facile-ment fumer ces pipes, vu leur plusfaible contenu en tabac ; faible conte-nu, toujours en comparaison auxautres pipes camerounaises. Je doisdire, enfin, que mes impressions per-sonnelles apres avoir fume ces pipes(des deux types d'ailleurs) ne sontpas favorables. Je n'ai pas l'intentionde renouveler l'experience. Mais,peut-etre, s'agit-il de ma propreimpression, sans aucune valeurobjective?

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Les pipes en metal

A mon avis, ces pipes sont le sommetdes pipes camerounaises. J'accepteraisun avis contraire d'un autre collection-neur de pipes africaines, en bon demo-crate que je suis, mais je ne changeraispas d'opinion.

Voyons, avant tout, quelques ques-tions generales concemant les pipescamerounaises en metal (d' ailleurs,ce que nous dirons sur ces pipes pour-rait s'appliquer mutatis mutandi atoutes les pipes camerounaises) :

La question de l'anciennete

Vos fournisseurs ou agents a larecherche, dans tout le pays, de belles etvieilles pieces, ont l'habitude de vousdecrire la pipe qu'ils ont trouvee en cestermes : "c'est une piece antique" ou"c'est une tres vieille piece". Des des-criptions, je me presse de le declarer,tres franches et tres correctes de leurpart. lis ne cherchent pas a vous rouler.Ca pourrait se passer avec des touristes,qui d'ailleurs avec leur attitude ne cher-chent qu'a etre trompes !

Ce1a pourrait se passer aussi avec unclient occasionnel, qu'ils ne vontjamais plus revoir. Mais jamais avecleurs clients habitue Is, avec leurs arnis.Sirnplement, il y a entre eux et vous,tres souvent, une irnportante differencede conception : pour eux "ancien" ou"tres vieux" est tout ce qui est plus

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vieux de dix ou vingt ans. En tout cas,tout ce - etre humain ou objet - qui estplus vieux qu'une generation. N'ou-blions pas qu'ils appellent la generationde leurs peres et grands-peres "lesanciens".

Toutes les pieces presentees dans cetarticle, de ce point de vue, sont despieces anciennes. Si elles sontvieilles de vingt ans seulement ou decent vingt ans, c' est une question alaquelle je ne voudrais pas, pour lemoment et avant d' effectuer desrecherches cornplementaires, dormerune reponse.

La question de la provenance

D'apres les informations de mes four-nisseurs, toutes les pieces sont origi-naires "du nord" , entendu nord deYaounde. Ce qui signifie aussi nord-ouest et nord-est de Yaounde. Ils sontfrancs, ils ne connaissent pas mieux.

En prenant en consideration les objetsrepertories et catalogues dans lesmusees europeens, on est oblige dedire que les dessins ou au moins lesidees generales qui regissent les des-sins, voyagent bien dans le pays ettrouvent des imitateurs ; des imitateurslibres, pas des copieurs besogneux,mais qui ne font que brouiller toutetentative pour obtenir avec plusd'exactitude l'endroit exact de prove-nance. Nous vivons a l'epoque ou les

idees et modes circulent a une vitesseelectronique, pourquoi pas les modessur les pipes ? (voir les reflexionsd'Elzy Leuzinger en "Afrique, l'artdes peuples noirs", comme elles sontrapportees par Jean Lecluse "Pipesd'Afrique noire", page 661).

En tout cas, quand vos foumisseursvous disent "c'est du nord" ou "c'estde tel endroit", cela veut dire seule-ment l'endroit ou ils ont deniche lavieille belle piece qu'ils vous presen-tent. Si elle a ete manufacturee vrai-ment la ou ailleurs a peu d'importan-ce a leurs yeux. Ils pensent qu'unobjet est beau ou laid, il vous plait ouvous deplait. L'endroit de sa fabrica-tion ne joue aucun role et ne doit pasinfluencer votre plaisir. Je vousconseillerais de ne pas trop presserles foumisseurs sur la vraie origined'une vieille piece, parce qu'ils nesavent pas, en insistant trop, vous ris-quez de recevoir un nom que1conquepuisqu'ils ne veulent pas vous voirsouffrir de ne pas connaitre l' origineexacte d'une pipe.

L'original des dessinsl'independance des dessins

Les pipes camerounaises en metal ontleur propre dessin et n'imitent pas, ade tres rares exceptions pres, les des-sins des pipes en d'autres matieres,Nous parlons toujours de pipesanciennes. Aujourd'hui, vous pour-

riez commander a un bon artiste devous copier n'importe quelle pipedans n'importe quelle matiere. Maiscette sorte de copie, au moins celleque j'ai vue, meme faite par d'excel-lents artistes, n'a pas d'arne, n'est pasa la hauteur de vraies piecesanciennes. Bien que j'ai chercheardemment, je n'ai pu trouver quedeux seules pieces anciennes, une enmetal et une en terre cuite, qui sontapparemment, meme a }'reil nonexerce, la copie l'une de l'autre.

Malgre la rarete des "copies" entrepipes en metal et pipes en terre cuite,les quelques rares exceptions quiexistent nous posent le fameux pro-bleme de la poule et de l'ceuf Qui aete la premiere ? La pipe en metal oula pipe en argile ?

L'histoire des civilisations nousens eigne que la phase de l'argile, dela terre cuite, precede la phase del'emploi des metaux. Mes recher-ches aussi m'indiquent qu'au Came-roun, en regle generale, les pipes enterre cuite ont precede les pipes enmetal. Done, quand il y a copie(vieilles et anciennes pipes), la pro-babilite est que la pipe en metal estla copie de la pipe en terre cuite.

La technique

Les artisans camerounais en produi-sant les pipes en metal ont employe le

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Animal (anthropomorphe ?). Piece unique

Animal (anthropoid?). Single piece

(Anthropomorphes?) Tier. Einzelstiick

plus souvent la technique de la cireperdue. Mais elle n'a pas ete la seuleformule. Ils ont forge, ils ont aggluti-ne des morceaux secondaires surl'objet principal, ils ont coupe desmorceaux, ils ont incise, etc. Le plussouvent, chaque pipe se compose deplusieurs parties, chacune etant pro-duite selon une methode propre. Lapartie principale, la partie imposante,a ete produite par la methode de lacire perdue mais plusieurs autresdecorations ou parties secondaires dela meme pipe sont produites pard'autres methodes.

Les paires : une mode nouvelle ?

le savais bien que: Les artisans (devrais-j e dire lesartistes ?) camerounais conservaientles ames ou les copies des ames enterre cuite des dessins qu'ils (et leursclients aussi) consideraient commereussis.

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Les artisans les plus renomme,etaient a la tete d' ateliers avecnombre d'eleves doues. Ces elevesreproduisaient ou tentaient de repro.duire les dessins des maitres. Quelques maitres voyageaient dansle pays, au moins de temps en temps,de cour en cour, de potentat local enpotentat local. La, ils n'avaient aucu-ne hesitation a reproduire un dessindeja reussi. Les objets de culte ou de ceremonieen general, devaient remplir en princi-pe une fonction, done, leur elementprincipal n' etait pas la beaute, la diffe-rence, la variete, mais le fonctionnel,le rituel. le pensais, done, que ce faitpourrait me donner des objets sem-blables.le savais, enfin, que les artistes ne serefusaient pas a faire une copie, ni lesclients a demander une copie d 'undessin reus si.

1'ai done cherche si je pouvais consti-tuer des "paires" de ces pipesanciennes en metal. Cela a ete unetache difficile, mais mes fournisseurs,pendant deux ans, ont pu me fournirsept paires. Le prix a ete en correlationavec les difficultes !

En examinant plus attentivement cespaires Ue repete que les paires depipes existent parce que je les aijumelees et pas l' artiste; l' artiste oules artistes les produisaient et les

vendaient une a une), on voit que lesartistes camerounais ont evite lacopie pure et simple. Chaque fois, ilsont recree les pipes. Semblable a laprecedente, chaque pipe ne lui estpas identique a cent pour cent.Quand on regarde une de ces paires,on a un sentiment d' ensemble,d'identite, dhomogeneite, mais enmeme temps, on n'est pas fatiguepar la monotonie qu'une reproduc-tion fidele a cent pour cent nousaurait causee. Notre ceil inconsciem-ment nous signale qu'il y a quelquechose, une petite difference, anoma-lie merne si vous voulez. Que deuxparties inegales et variees, pourtanttres semblables, composent unensemble harmonieux. Si la meta-phore m' est permise, ces paires depipes en metal camerounaises sontcomme les deux moities du visagehumain : tres semblables maisjamais identiques.

J' ai parle de mes efforts et de mesresultats a des amis qui collectionnentdes pipes africaines. Ils ont exprimeI'intention de former, eux aussi, des"paires". Si no us avons mis enmarche une nouvelle mode, le tempsle montrera.

Voyons maintenant plus en detail les"paires" que j' ai constituees :Le premier groupe de ces pipes n'estpas une paire mais un trio. Comme ilest tres tres rare de voir un poisson

constituer la partie principale d'unepipe camerounaise, j' ai achete lestrois pieces, trouvees chez trois four-nisseurs differents.

On a l'impression, a premiere vue(mais a premiere vue seulement), queles trois pieces sont identiques. Enexaminant plus attentivement, on voitque: Les queues des poissons ne sont pasles memes, ni en dimension, ni en cequi concerne l'endroit ou elles tou-chent le corps du poisson.

Les trois tiges sont completementdifferentes : 1'une est lisse mais porteune sorte d'oiseau tourne vers lefoyer, la deuxieme a une serie d'inci-sions ou anneaux et la troisieme estcrenelee.

L'angle auquella tige s'unit au foyervarie trop de pipe en pipe: du per-pendiculaire aux 45 degres.

Enfin, il y a une serie de plus petitsdetails qu'il serait trop pedant de citerICl.

Les deux pipes de la deuxieme pairesemblent etre plus proches. Pourtant,il y a de grosses differences en ce quiconcerne les tiges, la decoration desdeux cotes de la tiare bombee et lebout des deux prolongations desjoues (selon d'autres chercheurs desbarbes). Surtout, l'un des deuxvisages est beaucoup plus fin et plusjovial que l'autre.

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La troisieme paire presente les diffe-rences suivantes : Les deux tuyaux ont une decorationcompletement differente : la decorationde la partie de devant des deux tiares estdifferente.

La distance entre les deux barbes(ou prolongations de joues) de l'undes personnages est plus importanteque celle de l'autre. Resultat : unvisage donne I'impression d'etre pluscarre, plus robuste tandis que l'autredonne l'impression d'etre plusoblong, plus mince.La quatrierne paire est la plus trou-blante. A premiere vue, merne moiqui etais prepare, j 'ai eu l'impressiond 'une identite complete. Pourtant,c' est la paire sur laquelle aucun detailn'est le merne : La decoration des tuyaux est tout afait differente.

La decoration des tiares est diffe-rente.

Le front, les yeux, le nez, la bouche,la levre superieure, les oreilles, les

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deux visages, tout en un mot, est dif-ferent.

Pourtant, c' est la paire qui, a premie-re vue, vous donne le sentimentd'unite, de ressemblance. Ou bienl' artiste (ou les artistes) est extraordi-naire ou je souffre d'une inexplicablefaiblesse pour cette paire !

le ne continue pas les comparaisons.le suis sur que vous avez deja com-pris comment il faut chercher les dif-ferences et les ressemblances. le pre-fere mettre a la place de mes faiblesparoles la realite des pipes elles-memes (photos).

George Vandalis

Si on regarde attentivement, on peut distinguer les differences entre les deux etres humains ou les deuxvisages en haut et en bas.If you look closely, you can see differences between the two human figures or twofaces at the top and bot-tom.Wennman diese Pfeifen aufmerksam betrachtet, erkennt man die Unterschiede zwischen den beiden men-schlichen Figuren oder zwei Gesichtem van oben nach unten.

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