FullCircle - Lagout system /linux...LE MAGAZINE INDÉPENDANT DE LA COMMUNAUTÉ UBUNTU LINUX Linux transportable p.15 LibreOffice P. 13 p.12 Python - Partie 31 p.07 Ajustement disque

full circle magazine n° 59 1 sommaire ^

Full CircleLE MAGAZINE INDÉPENDANT DE LA COMMUNAUTÉ UBUNTU LINUX

NUMÉRO 59 - Mars 2012

ful l circle magazine n'est affi l ié en aucune manière à Canonical Ltd.

FFOORREEMMOOSSTT PPOOUURR RRÉÉCCUUPPÉÉRREERR DDEESS DDOONNNNÉÉEESS

CRITIQUE :BODHI LINUX

AVEC LE BUREAU DE E17

COMMENT RÉCUPÉRER DES FICHIERS SUPPRIMÉS


Les articles contenus dans ce magazine sont publiés sous la licence Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0 Unported license. Cela signifieque vous pouvez adapter, copier, distribuer et transmettre les articles mais uniquement sous les conditions suivantes : vous devez citer le nom del'auteur d'une certaine manière (au moins un nom, une adresse e-mail ou une URL) et le nom du magazine (« Full Circle Magazine ») ainsi que l'URL

www.fullcirclemagazine.org (sans pour autant suggérer qu'ils approuvent votre utilisation de l'œuvre). Si vous modifiez, transformez ou adaptez cette création, vousdevez distribuer la création qui en résulte sous la même licence ou une similaire.Full Circle Magazine est entièrement indépendant de Canonical, le sponsor des projets Ubuntu. Vous ne devez en aucun cas présumer que les avis et lesopinions exprimés ici aient reçus l'approbation de Canonical.

Full CircleLE MAGAZINE INDÉPENDANT DE LA COMMUNAUTÉ UBUNTU LINUX

Linux transportable p.15

LibreOffice P. 13 p.12

Python - Partie 31 p.07

Ajustement disque virtuel p.17

Tutoriels Opinions

Q&R p.45

Jeux Ubuntu p.48

Femmes d'Ubuntu

Command & Conquer p.05

Créer des cartes de vœux p.18

Rubriques

Labo Linux p.22 Critique p.35

Je pense... p.33

Mon opinion p.31

Mon histoire p.28

Courriers p.40

Mon bureau p.52Actus Linux p.04

Fermeture des fenêtres p.24

DE RETOURLE MOIS PROCHAIN

http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/


ÉÉDDIITTOORRIIAALL

Bienvenue dans un autre numéro du magazine Full Circle !

Nous sommes en mars 2012 et cela ne peut vouloir dire qu'une chose : le mois prochain,c'est notre anniversaire ! C'était au cours du mois pluvieux d'avril que le premiernuméro du Full Circle est sorti. Vous pouvez vous attendre à ce que le numéro du moisprochain contienne des chapeaux de fête gratuits et un ou deux articles de réflexion.

Mais revenons à ce mois-ci. Il y a les articles habituels sur Python et LibreOffice, un article sur lacréation d'une clé USB, un qui parle de l'ajustement de la taille du disque virtuel dans votremachine VirtualBox et un article sur comment créer vos cartes de vœux avec LibreOffice. Si jamaisvous avez supprimé quelque chose d'important par accident, alors il faudra lire l'article Labo Linuxde Charles concernant Foremost, qui peut retrouver des fichiers supprimés. Jeux Ubuntu prend unautre chemin, en quelque sorte, car Riku parle d'émulation SNES [Ndt : l'émulation de SuperNintendo], tandis que Jennifer a eu un entretien avec les créateurs de « Tomes of Mephistopheles ».Ceux d'entre vous qui sont fâchés avec Unity, devront sans doute lire la rubrique Mon histoire, quiprésente une application nommée MyUnity qui vous permet de configurer Unity facilement.

Si vous n'êtes pas allé voir notre site Web récemment, vous trouverez deux nouvelles Éditionsspéciales. La plus récente (au moment où j'écris ces lignes) vient de la série sur la virtualisation d'il ya quelque temps, avec d'autres éditions spéciales en préparation grâce à Robin. Le FCM n° 58 estmaintenant disponible en format EPUB, pendant que Jens fait du rattrapage avec les numérosprécédents. J'aimerais aussi remercier tout le monde qui s'est abonné aux numéros du FCM surGoogle Currents. Nous avons besoin de plus de 200 abonnés par numéro pour figurer dans lesrésultats de recherche sur Google Currents et le FCM n° 58 en a plus de 400. Vous êtes géniaux !

Amitiés et restons en contact [email protected]

Ce magazine a été créé avec :

Le podcast Full CircleTous les mois, chaque épisode couvretoutes les dernières informationsconcernant Ubuntu, les opinions,les critiques, les interviews et lesretours d'utilisateurs. Le Side-Podest une nouveauté, c'est un courtpodcast supplémentaire (irrégulier)en marge du podcast principal. Ony parle de technologie en généralet de choses qui ne concernent pasuniquement Ubuntu et qui n'ontpas leur place dans le podcastprincipal.

Vos animateurs :

Robin CatlingEd HewittDave Wilkins

http://fullcirclemagazine.org

mailto:[email protected]

http://www.scribus.net

http://www.gimp.org

http://www.libreoffice.org

http://creativecommons.org/

http://fullcirclemagazine.org


AACCTTUUSS LLIINNUUXX

MàJ du FC Notifier

Le Full Circle Notifier en est toujoursà la version 1.0.2, mais le PPA a étémis à jour pour Oneiric. FCN est unepetite application qui se trouve dansla barre d'état de votre système etvous informe de la sortie des numé-ros et des podcasts, et peut mêmeêtre configurée pour les téléchargerautomatiquement ! Pour davantaged'informations, voir le FCN GoogleGroup: http://goo.gl/4Ob4

EPUB

Enfin, nous avons des éditions pourmobiles du Full Circle, sur la pagedes téléchargements. À l'heure ac-tuelle, nous avons seulement quelquesnuméros en ligne, mais nous espé-rons avoir les anciens numéros enligne sous peu. Si vous avez desproblèmes avec le fichier/forma-tage epub, vous pouvez envoyer uncourriel à Jens à : [email protected].

Un grand merci à Jens, Oppih et lesbêta-testeurs pour les concrétiser.

Le développeur de jeux finlan-dais Frozenbyte est heureuxd'annoncer que Trine 2 seradisponible pour la plate-

forme Linux le 2 avril 2012. Trine 2sera disponible via le widget HumbleStore sur le site officiel :

http://www.trine2.com/.

Le « Humble Store » est un nouveautype de widget où les clients peuventacheter le jeu directement chez le déve-loppeur. Actuellement, le magasin vendla version Linux ainsi que les clés pourSteam. D'autres versions non-DRM serontajoutées l'année prochaine pour tousles acheteurs.

« Nous voyons Linux comme uneplate-forme à très fort potentiel etsommes heureux de voir plus de déve-loppeurs l'adopter. De nouvelles cam-pagnes de sortie comme les HumbleBundles ont vraiment tracé la routepour la communauté des joueurs Linuxet nous la considérons comme un mar-ché en croissance auquel nous voulonsvraiment participer. Et vu ce qu'estune communauté, ces gars-là sontmême prêts à payer un supplémentpour leur jeu et aussi à vous aider à leréparer » a déclaré Mikael Haveri, le

directeurdumarketing de Frozenbyte.

Jukka Kokkonen, le chef codeur Linux,a dit ceci sur le processus :

« Le portage Linux de Trine 2 s'estavéré être la plupart du temps plusfacile que prévu, car le jeu avait déjàune version Mac OS X qui marchait etqui utilisait également un moteur derendu OpenGL. Le portage du renduOpenGL initial a pris moins de deuxjours, après quoi le moteur de rendua été le plus souvent fonctionnel, avecseulement quelques bugs à régler.»

Le Trine original a été publié en 2009et s'est vendu depuis à 1,1 milliond'exemplaires. Les principaux contribu-

teurs ont été Steam et le HumbleBundle, avec le PlayStation Networket le Mac App Store qui ont éga-lement généré des ventes impor-tantes. En outre, les plates-formes desupport en forte croissance telles queOnLive et Linux ont notablement par-ticipéàgarderuneversionviabledeTrineetàenfaireuntitrebienvenduàcejour.

Trine 2 pour Linux sera disponiblepar le lien http://www.trine2.com/buy/.L'édition régulière est au prix de12.99€. L'édition collector est disponiblepour 19.99€. L'édition collector com-prend un livre d'art numérique et labande son originale du célèbre compo-siteur Ari Pulkkinen.

http://goo.gl/4Ob4


http://www.trine2.com/

http://www.trine2.com/buy/


Il y a deux mois, j'ai écrit sur l'uti-lisation de SSH et Rsync. Ce mois-ci, je voudrais vous présenter untruc que j'ai récemment com-

mencé à utiliser pour la synchroni-sation sans fil de ma tablette Androidet décrire quelques autres astuces utilesque j'utilise, que d'autres pourraienttrouver utiles. Plus précisément, com-ment afficher une date personnaliséedans une langue étrangère (dans Con-ky), comment embellir votre interfaceVim (et votre prompt PS1) et unscript pour choisir au hasard uneimage pour votre fond d'écran toutesles 15 minutes. Je me rends compteque GNOME peut probablement gérervos fonds d'écran pour vous, maisd'aucuns peuvent toujours trouver unemploi pour ce script. Pour tous ceuxqui veulent avoir une idée de la dateet des ajustements PS1, consultez lacapture d'écran de ce mois sur mapage deviantart (http://lswest.deviant-art.com/#/d4se2tv)

Android

Les choses dont vous aurez besoinsont les suivantes :

Sur le périphérique Android :

QuickSSHd (si je me souviens bien,c'est gratuit). Une fois qu'il est installé,il suffit de vérifier l'adresse IP de l'ap-pareil et de lui donner un mot depasse et un port. Pour démarrer leserveur, cliquez sur le bouton « off »(afin qu'il passe à « on »).

Sur votre PC :

sshfs et un point de montage (depréférence dans votre dossier per-sonnel) pour le périphérique.

Une brève explication du processus :

J'ai simplement monté le dossiersdcard en utilisant sshfs, puis copiéles fichiers comme on le ferait en USB(qui n'a jamais vraiment fonctionnépour moi et mon Asus eeePad Trans-former TF101 pour les fichiers mul-timédias). En ce qui concerne la façonde procéder, voir ci-dessous.

Le montage peut être fait avec :

sshfs [email protected]:/sdcard/

~/tf101 p 2222

Tout comme avec rsync, vous de-vez spécifier le chemin d'accès aprèsles deux points et, pour éviter leserreurs d'entrée/sortie sur le dossier

monté, vous devez mettre un slash defermeture à la fin du chemin. Ledeuxième chemin est le point demontage et le -p 2222 est toutsimplement le port sur lequel écouteQuickSSHd.

Ensuite, copiez les fichiers dans ledossier avec la méthode que vouspréférez.

Comme étape finale facultative, j'aitrouvé que mon application Musiquene s'actualisait pas après l'ajout deces fichiers. La seule façon que j'aitrouvée pour résoudre ce problèmeest d'aller dans le gestionnaire de fi-chiers et renommer le fichier/dossiercopié, forçant la tablette à rechargerl'information.

Date personnalisée

J'apprends le japonais depuis uncertain temps maintenant et j'ai décidéd'afficher la date en japonais (à la foispour l'entrainement et pour écono-miser de l'espace). Cependant, cen'était pas si facile à faire, car j'utiliseConky comme barre d'état dans XMo-nad. Ma solution pour cela est d'écrirele code suivant, que j'appelle toutes

les quelques secondes dans monconkyrc. Vous devrez peut-être exé-cuter la commande suivante pour ob-tenir la bonne mise en forme (ce quis'applique à toute localisation quevous pouvez décider d'utiliser) :

localegen ja_JP.UTF8

Code :

#!/bin/sh

LC_ALL="" LC_TIME=ja_JP.UTF8

date +'%A, %d %B%Y %H:%M'

Vous aurez, bien sûr, besoin dechanger le format de date dans lachaîne selon ce que vous voulez (biendocumenté dans la page de man).

Vim PS1 (Powerline)Page d'accueil Powerline :https://github.com/Lokaltog/vim-powerline

Le moyen le plus facile d'installerPowerline est d'utiliser Vundle. Lesinstructions pour l'installation deVundle sont sur la page github, ici :http://github.com/gmarik/vundle.Une fois que vous l'aurez installé,vous devrez ajouter les trois lignes

CCOOMMMMAANNDD && CCOONNQQUUEERRÉcrit par Lucas Westermann

TTrriivviiaalliibbrree

https://github.com/Lokaltog/vim-powerline

http://lswest.deviantart.com/#/d4se2tv

http://github.com/gmarik/vundle


Lucas a appris tout ce qu'il sait enendommageant régulièrement sonsystème et en n'ayant alors plusd'autre choix que de trouver unmoyen de le réparer. Vous pouvez luiécrire à : [email protected].

COMMAND & CONQUERsuivantes dans votre fichier .vimrc :

set

rtp+=~/.vim/bundle/vundle/

call vundle#rc()

Bundle 'Lokaltog/vim

powerline'

Après cela vous devrez ouvrir vimet taper : InstallBundle (nécessite l'ins-tallation de git).

Une fois que vous l'aurez installé,vous devrez patcher la police quevous utilisez avec le script trouvé dansle dossier fontpatcher (le chemind'accès complet sera quelque chosecomme ~/.vim/bundle/vim-powerli-ne/fontpatcher). Là, le fichier readmevous guidera pour patcher.

Une fois que votre police est cor-rigée (et votre cache de police rechar-gé avec la commande fc-cache), vouspouvez ajouter la dernière ligne àvotre fichier .vimrc pour obtenir lesflèches.

let

g:Powerline_symbols='fancy'

Si vous trouvez que cela est aussice que vous voulez pour votre prompt,il vous suffit de vous assurer que vousutilisez la police corrigée et copier la

flèche de la ligne de vim dans votreligne de prompt dans .bashrc, que jene peux malheureusement pas four-nir, car il faudrait une police patchée.Assurez-vous de définir l'arrière-planderrière le symbole de flèche à lacouleur suivante et le premier plan àla précédente, pour obtenir l'appa-rence d'une flèche.

Fond d'écran

Ce script, de la manière dont je l'aiécrit, nécessite d'installer fluxbox (pourle programme fbsetbg). Toutefois, sivous connaissez un gestionnaire defond d'écran en ligne de commandequi offre une option aléatoire, n'hé-sitez pas à le remplacer.

Le script :

#!/bin/bash

while true

do

fbsetbg R

~/Pictures/Hyperion/Wallpaper

s/Guitars

sleep 15m

done

Le script s'exécute dans une boucleinfinie, appelant la commande aléa-toire sur mon dossier de fond d'écran

de guitares toutes les 15 minutes. Siquelqu'un a des ajustements (ou desaméliorations sur le script), n'hésitezpas à m'envoyer un mail à ce sujet !

Espérons que certains d'entre vousy trouveront des conseils utiles (etj'espère avoir convaincu un ou deuxlecteurs à utiliser un peu plus Vim). Siquelqu'un a des questions, des com-mentaires ou des suggestions, on peutme joindre à [email protected] e-mails doivent inclure « C&C » ou« FCM » dans la ligne Objet, de sorteque je ne l'ignore pas. Bonne person-nalisation !

Le Podcast Ubuntu couvre toutesles dernières nouvelles et les pro-blèmes auxquels sont confrontésles utilisateurs de Linux Ubuntuet les fans du logiciel libre engénéral. La séance s'adresse aussibien au nouvel utilisateur qu'au plusancien codeur. Nos discussionsportent sur le développementd'Ubuntu, mais ne sont pas troptechniques. Nous avons la chanced'avoir quelques supers invités, quiviennent nous parler directementdes derniers développements pas-sionnants sur lesquels ils travaillent,de telle façon que nous pouvonstous comprendre ! Nous parlonsaussi de la communauté Ubuntuet de son actualité.

Le podcast est présenté par desmembres de la communauté UbuntuLinux du Royaume-Uni. Il est couvertpar le Code de Conduite Ubuntuet est donc adapté à tous.

L'émission est diffusée en directun mardi soir sur deux (heureanglaise) et est disponible autéléchargement le jour suivant.

podcast.ubuntu-uk.org



http://podcast.ubuntu-uk.org/


TTUUTTOORRIIEELLÉcrit par Greg D. Walters DDéébbuutteerr PPyytthhoonn -- PPaarrttiiee 3311

Après notre dernière rencon-tre, vous devriez avoir uneassez bonne idée de la façond'utiliser Page. Sinon, allez vite

lire l'article du mois dernier. Nous allonscontinuer cette fois-ci en créant uneapplication de liste de fichiers avec uneinterface graphique. Le but ici est decréer une application graphique qui varécursivement parcourir un répertoire, encherchant des fichiers avec un ensembledéfini d'extensions, et afficher le résultatdans une vue arborescente. Pour cetexemple, nous allons chercher les fichiersmultimédias avec les extensions .avi,.mkv, .mv4, .mp3 et .ogg.

Cette fois, le texte peut sembler unpeu laconique dans la partie conception.Tout ce que je vais faire, c'est vous don-ner des indications pour le placementdes widgets, ainsi que les attributs et lesvaleurs requises, de cette façon :

widget

attribut: valeur

Je ne citerai les chaînes de texte quelorsque cela sera nécessaire. Par exem-ple, pour l'un des boutons, le texte doitêtre réglé sur « … ».

Voici à quoi va ressembler l'interface

graphique de notre application :

Comme vous pouvez le voir, nous avonsnotre formulaire principal, un boutonpour quitter, une boîte de saisie de texteavec un bouton qui va appeler une boîtede dialogue pour demander le répertoire,cinq cases à cocher pour sélectionner lestypes d'extension, un bouton « ALLER ! »pour effectivement commencer le traite-ment et une arborescence pour affichernotre production.

Nous pouvons commencer. LancezPage et créez un nouveau widgetprincipal. En utilisant l'éditeur d'attributs,définissez les attributs suivants :

alias: rechercher

titre: rechercher

Assurez-vous de sauvegarder sou-

vent. Lorsque vous enregistrez le fichier,donnez-lui le nom « Rechercher ». Rap-pelez-vous, Page ajoute l'extension .tcl àvotre place et quand vous générerez lecode python il sera sauvegardé dans lemême dossier.

Ensuite, ajoutez un cadre. Il devrait seplacer tout en haut du cadre principal.Définissez les attributs comme suit :

Largeur : 595

Hauteur : 55

Position x : 0

Position y : 0

Dans ce cadre, ajoutez un bouton. Cesera notre bouton Quitter.

Alias : btnQuitter

Texte : Quitter

Déplacez-le au centre de la fenêtre,ou alors sur le côté droit. J'ai mis le mienà X = 530 et Y = 10.

Créez un autre cadre :

Largeur : 325

Hauteur : 185

Position y : 60

Voici à quoi ce cadre va ressembler,pour vous guider à travers cette section(colonne suivante).

Dans ce cadre, ajoutez une étiquette.Définissez l'attribut texte à « Chemin : ».Déplacez-le en haut à gauche de lafenêtre.

Dans le même cadre, ajoutez un wid-get de saisie :

Alias : txt Chemin

Texte : CheminFichier

Largeur : 266

Hauteur : 21

Ajoutez un bouton à droite de la zonede saisie :

Alias : btnCheminRecherche

Texte : « … » (sans guillemets).

Ajoutez cinq (5) cases à cocher. Met-tez-les dans l'ordre suivant :

x

x x

x x

Les trois cases à cocher de gauche


TUTORIEL - DÉBUTER PYTHON PARTIE 31sont pour les fichiers vidéo et les deux dedroite sont pour les fichiers audio. Nousallons d'abord traiter les trois de gauche,puis les deux de droite.

Alias: chkAVI

Texte : “.avi” (sans guillemets)

Variable : VchkAVI

Alias : chkMKV

Texte : “.mkv” (sans guillemets)

Variable : VchkMKV

Alias: chkMV4

Texte : “.mv4”(sans guillemets)

Variable: VchkMV4

Alias : chkMP3

Texte : “.mp3” (sans guillemets)

Variable : VchkMP3

Alias : chkOGG

Texte : “.ogg” (sans guillemets)

Variable : VchkOGG

Enfin ajoutez dans ce cadre un boutonquelque part en dessous des cinq cases àcocher et un peu centré à l'intérieur ducadre :

Alias : btnAller

Texte : ALLER

Maintenant, ajoutez un autre cadre endessous du précédent :

Largeur : 565

Hauteur : 265

J'ai placé le mien à environ X = 0 et Y =250. Vous pourriez avoir à redimension-

ner votre formulaire principal pour voirl'affichage en entier. Dans ce cadre, ajoutezun widget Scrolledtreeview (vue arbores-cente avec ascenseur) :

Largeur : 550

Hauteur : 254

Position X : 10

Position Y : 10

Voilà. Nous avons conçu notre inter-face graphique. Maintenant tout ce qu'ilreste à faire est de créer notre liste defonctions et de lier ces fonctions à nosboutons.

Dans la fenêtre de liste des fonctions,cliquez sur le bouton Nouveau (le boutonle plus à gauche). Ceci nous amène àl'éditeur de nouvelle fonction. Modifiezle texte dans la zone de saisie Fonctionen remplaçant « py:xxx » par « py:btnClicQuitter() ». Dans la zone de textede l'argument saisissez « p1 ». Dans la zonede saisie multilignes du bas, changez letexte en :

def btnClicQuitter(p1):

sys.exit()

Notez que ce n'est pas indenté. Pagele fera pour nous quand il créera le fichierpython.

Ensuite, créez une autre fonction ap-pelée btnClicAller. N'oubliez pas d'ajouterun paramètre nommé « p1 ». Laissezl'instruction « pass » ; nous changeronscela plus tard.

Enfin, ajoutez une autre fonction ap-pelée « btnCheminRecherche ». Encoreune fois, laissez l'instruction « pass ».

En tout dernier lieu, nous devons relierles boutons et les fonctions que nousvenons de créer.

Faites un clic droit sur le bouton Quit-ter que nous avons créé, sélectionnezLier. Une grande boîte apparaîtra. Cliquezsur le bouton Nouvelle liaison, cliquez surbouton-1 et remplacez le mot « A FAIRE »dans la boîte de saisie de texte de droitepar « btnClicQuitter ». NE METTEZ PASles parenthèses () ici.

Liez le bouton ALLER à la fonctionbtnClicAller et le bouton « … » à btnClicChe-minRecherche.

Sauvegardez votre interface graphiqueet générez le code python.

Maintenant tout ce qu'il reste à faireest de créer le code qui « agglutine » l'in-terface graphique.

Ouvrez le code que nous venons degénérer dans votre éditeur de texte fa-vori. Commençons par examiner ce quePage a créé pour nous.

Au début du fichier se trouve l'en-têtestandard python et une déclaration d'im-portation unique pour importer la biblio-thèque système (sys). Ensuite vient ducode plutôt confus (à première vue). C'est

simplement pour examiner la version depython avec laquelle vous essayez d'exé-cuter l'application, puis pour importer lesversions correctes des bibliothèques Tkinter.À moins que vous n'utilisiez Python 3.x,vous pouvez tout simplement ignorer lesdeux derniers.

Nous allons modifier la portion de code2.x dans quelques instants pour importerd'autres modules Tkinter.

Arrive ensuite la routine « vp_start_gui() ».C'est la routine principale du programme.Ceci met en place notre interface, définitles variables dont nous avons besoin etappelle ensuite la boucle principale Tkinter.Vous remarquerez peut-être la ligne « w= None » juste en dessous. Elle n'est pasindentée et n'a pas besoin de l'être.

Ensuiteviennentdeuxroutines(create_Re-chercher et destroy_Rechercher) qui sontutilisées pour remplacer la routine prin-cipale si nous utilisons cette applicationcomme une bibliothèque. Nous n'avonspas besoin de nous inquiéter à ce sujet.

Arrive ensuite la routine « initialise_var_Tk ».Nous définissons les variables Tkinter uti-lisées qui doivent être mises en placeavant de créer les widgets. Vous pouvezsans doute reconnaître la variable textepour le widget de saisie CheminFichier etles variables de nos cases à cocher. Lestrois routines suivantes sont les fonctionsque nous avons créées en utilisant l'édi-teur de fonctions et une fonction « init() ».


Exécutez le programme maintenant.Notez que les cases à cocher contiennentdes coches grisées. Nous ne voulons pascela dans notre application finale, nousallons donc créer un peu de code pour lesfaire disparaître avant que le formulairene soit affiché à l'utilisateur. La seulechose qui fonctionne à part les cases àcocher est le bouton Quitter.

Utilisez-le pour terminer le programme.

Maintenant, nous allons jeter un coupd'oeil à la classe qui contient effecti-vement la définition de l'interface gra-phique. Il s'agit de la classe « Chercheur ».C'est là que tous les widgets sont définiset placés dans notre formulaire. Vousdevez être familier avec cela maintenant.

Deux classes de plus sont créées, ellescontiennent le code pour gérer l'arbo-rescence qui défile. Nous n'avons pas àchanger tout cela. Tout a été créé pournous par Page.

Revenons maintenant au début ducode et commençons à le modifier.

Nous avons besoin d'importer quel-ques modules de bibliothèque de plus ;pour cela ajoutez en dessous de ladéclaration « import sys » :

import os

from os.path import join,

getsize, exists

Maintenant, trouvez la section quicontient la ligne « py2 = True ». Commenous l'avons dit, c'est la section qui traitedes importations tkinter pour Pythonversion 2.x. En dessous de « import ttk »,nous avons besoin d'ajouter ce qui suitpour utiliser la bibliothèque FileDialog.Nous avons également besoin d'importerle module tkFont :

import tkFileDialog

import tkFont

Ensuite nous devons ajouter quelquesvariables à la routine « initialise_var_Tk() ».En bas de la routine, ajoutez les lignessuivantes :

global exts, FileList

exts = []

ListeFichiers=[]

Ici, nous créons deux variables glo-bales (exts et ListeFichiers) qui serontutilisées plus tard dans notre code. Lesdeux sont des listes. « exts » est une listedes extensions que l'utilisateur sélectionnedans l'interface. « ListeFichiers » contientune liste des fichiers correspondants à larecherche effectuée par l'utilisateur. Nousallons l'utiliser pour remplir le widget devue arborescente.

Puisque notre « btnClicQuitter » estdéjà créé pour nous par Page, nous allons

nous occuper de la routine « btnClicAller ».Commentez la déclaration pass et ajou-tez le code de sorte qu'il ressemble à ceci :

def btnClicAller(p1) :

#pass

ConstruireExts()

chemin = CheminFichier.get()

e1 = tuple(exts)

Parcourir(chemin,e1)

ChargerDonnees()

C'est la routine qui est appelée lors-que l'utilisateur clique sur le bouton« ALLER ». Nous appelons une routinenommée « ConstruireExts » qui crée laliste des extensions que l'utilisateur asélectionnée. Puis nous récupérons lechemin que l'utilisateur a choisi dans laboîte de dialogue de demande de réper-toire et l'assignons à la variable chemin.Nous créons ensuite un tuple à partir dela liste des extensions, ce qui est né-cessaire quand nous vérifions les fichiers.Nous appelons ensuite une routine ap-pelée « Parcourir » en lui passant le réper-toire cible et le tuple des extensions.

Enfin, nous appelons une routine nom-mée « ChargerDonnees ».

Ensuite, nous devons étoffer la routine« btnClicCheminRecherche ». Commentezla déclaration pass et modifiez le code

pour qu'il ressemble à ceci :

def

btnClicCheminRecherche(p1) :

#pass

chemin =

tkFileDialog.askdirectory()

#**self.file_opt)

CheminFichier.set(chemin)

Puis vient la routine init. À nouveau, lecode doit ressembler à ceci :

def init():

#pass

# se lance apres la creation

des fenetres et des widgets...

global VueArborescente

InitialiserCases()

VueArborescente =

w.Scrolledtreeview1

InitialiserVueArborescente()

Ici, nous créons une variable globaleappelée VueArborescente. Nous appelonsensuite une routine qui efface les con-trôles gris dans les cases à cocher, affec-tons la variable VueArborescente pourpointer vers l'arborescence avec ascen-seurs de notre formulaire et appelons

TUTORIEL - DÉBUTER PYTHON PARTIE 31


InitialiserVueArborescente pour définirles en-têtes pour les colonnes. Voici lecode de la routine InitialiserCases quidoit être la suivante :

def InitialiserCases():

VchkAVI.set('0')

VchkMKV.set('0')

VchkMP3.set('0')

VchkMV4.set('0')

VchkOGG.set('0')

Ici, tout ce que nous faisons, c'est dedéfinir les variables (ce qui définit automa-tiquement l'état d'activation dans noscases à cocher) à 0. Si vous vous souve-nez, à chaque fois qu'on clique sur lacase, cette variable est automatique-ment mise à jour. Si la variable est mo-difiée par notre code, la case à cocherrépond également. Maintenant (en hautà droite) nous allons nous occuper de laroutine qui établit la liste des extensionsà partir de ce que l'utilisateur a cliqué.

Essayez de vous rappeler mon neu-vième article dans le FCM no 35. Nousavons écrit du code pour créer un cata-logue de fichiers MP3. Nous allons uti-liser une version abrégée de cette rou-tine (au milieu à droite). Reportez-vousau FCM no 35 si vous avez des questionsau sujet de cette routine.

Ensuite (en bas à droite) nous appelonsla routine InitialiserVueArborescente. C'estassez simple. Nous définissons une va-riable « TitresColonnes » avec les rubriquesque nous voulons dans chaque colonnede l'arborescence. Nous utilisons une listepour cela. Nous réglons ensuite l'attributtitre de chaque colonne. Nous réglonségalement la largeur de colonne à lataille de cet en-tête.

Enfin, nous devons créer la routine « Char-gerDonnees » (page suivante, en haut àdroite) qui est l'endroit où nous char-geons nos données dans l'arborescence.Chaque ligne de l'arborescence est uneentrée dans la variable de type liste ListeFi-chiers. Nous devons égalementajuster la largeur de chaque co-lonne (à nouveau) pour corres-pondre à la taille des données dela colonne.

C'est tout pour la premièrevue de l'application. Exécutez-laet regardez ce que ça fait. Notezque si vous avez un grandnombre de fichiers à parcourir,vous aurez l'impression que leprogramme ne répond pas. C'estquelque chose qui doit êtrecorrigé. Nous allons créer desroutines pour modifier notrecurseur de la valeur par défaut àun curseur en forme de montreet vice-versa pour que l'utili-sateur soit au courant quandnous faisons quelque chose qui

prend beaucoup de temps.

Dans la routine « initialise_var_Tk »,ajoutez le code suivant à la fin :

global

CurseurOccupe,PreCurseurOccupe,

WidgetsOccupes

CurseurOccupe = 'watch'

PreCurseurOccupe = None

WidgetsOccupes = (racine, )

Ici, nous mettons en place des va-riables globales, nous les initialisons, puisnous réglons le(s) widget(s) (dans Wid-getsOccupes) pour lesquels nous sou-

haitons gérer le changement de curseur.Dans ce cas, nous avons mis racine qui estnotre fenêtre entière. Remarquez quec'est un tuple.

Ensuite, nous créons deux routines pour

TUTORIEL - DÉBUTER PYTHON PARTIE 31

def ConstruireExts():

if VchkAVI.get() == '1':

exts.append(".avi")

if VchkMKV.get() == '1':

exts.append(".mkv")

if VchkMP3.get() == '1':

exts.append(".mp3")

if VchkMV4.get() == '1':

exts.append(".mv4")

if VchkOGG.get() == '1':

exts.append(".ogg")

def Parcourir(chemin,extensions):

rcntr = 0

liste = []

for racine, reps, fics in os.walk(chemin):

rcntr += 1 # nombre de repertoires parcourus

for fic in [f for f in fics if f.endswith(extensions)]:

liste.append(fic)

liste.append(racine)

ListeFichiers.append(liste)

liste=[]

def InitialiserVueArborescente():

global TitresColonnes

TitresColonnes = ['Nom fichier','Chemin']

VueArborescente.configure(columns=TitresColonnes,

show="headings")

for col in TitresColonnes:

VueArborescente.heading(col, text = col.title(),

command = lambda c = col: sortby(VueArborescente, c, 0))

## ajuste la largeur de colonne au titre

VueArborescente.column(col, width =

tkFont.Font().measure(col.title()))


TUTORIEL - DÉBUTER PYTHON PARTIE 31modifier et remettre le curseur. D'abord laroutine qui modifie, que nous appelons« DebutOccupation ». Insérez le code quevous voyez au milieu à droite après laroutine « ChargerDonnees ».

Nous vérifions d'abord si une valeur aété passée à « nouveaucurseur ». Sinon,nous mettons par défaut CurseurOc-cupe. Puis nous parcourons le tuple Wid-getsOccupes et réglons le curseur sur ceque nous voulons.

Maintenant, mettez le code que vousvoyez tout à fait en bas.

Dans cette routine, nous réinitialisonssimplement le curseur pour les widgetsdans notre tuple WidgetsOccupes à notrecurseur par défaut.

Enregistrez et exécutez votre pro-gramme. Vous devrez voir que le curseurchange chaque fois que vous avez unelongue liste de fichiers à parcourir.

Cette application ne fait vraiment pasgrand chose, mais elle vous a montrécomment utiliser Page pour développertrès rapidement. Avec l'article d'aujour-d'hui, vous pouvez voir qu'une bonneconception de votre interface graphiqueà l'avance peut rendre le processus dedéveloppement facile et relativement indo-lore.

Le fichier tcl est enregistré sur paste-bin :

http://pastebin.com/AA1kE4Dy (en anglais) et lecode Python est enregis-tré ici :http://pastebin.com/WYK2SKQj.

À la prochaine fois !

def ChargerDonnees():

global TitresColonnes

for c in ListeFichiers:

VueArborescente.insert('','end',values=c)

# ajuste la largeur de colonne si necessaire pour chaque valeur

for ix, val in enumerate(c):

larg_col = tkFont.Font().measure(val)

if VueArborescente.column(TitresColonnes[ix],width=None)<larg_col:

VueArborescente.column(TitresColonnes[ix], width=larg_col)

def debutOccupation(nouveaucurseur=None):

global PreCurseurOccupe

if not nouveaucurseur:

nouveaucurseur = CurseurOccupe

nouveauPreCurseursOccupes = {}

for composant in WidgetsOccupes:

nouveauPreCurseursOccupes[composant] = composant['cursor']

composant.configure(cursor=nouveaucurseur)

composant.update_idletasks()

PreCurseurOccupe = (nouveauPreCurseursOccupes, PreCurseurOccupe)

def finOccupation():

global PreCurseurOccupe

if not PreCurseurOccupe:

return

ancienPreCurseursOccupes = PreCurseurOccupe[0]

PreCurseurOccupe = PreCurseurOccupe[1]

for composant in WidgetsOccupes:

try:

composant.configure(cursor=ancienPreCurseursOccupes[composant])

except KeyError:

pass

composant.update_idletasks()

http://pastebin.com/AA1kE4Dy

http://pastebin.com/WYK2SKQj


TTUUTTOORRIIEELLÉcrit par Elmer Perry

LLiibbrreeOOffffiiccee -- PPaarrttiiee 1133

Jusqu'à présent, nous avons cou-vert de nombreux sujets sur l'uti-lisation de Calc de LibreOffice,mais Calc possède de nombreuses

petites opérations qui sont bonnes àconnaître. Dans cet article, je vais vousdonner mes 10 meilleurs conseils faci-litant l'utilisation de Calc. La plupartd'entre eux se rapportent à la manipula-tion de la feuille en cours. Vous pouvezutiliser ces conseils dans la plupart desfeuilles avec lesquelles vous travaillez.

1. Nommer les feuilles

Le nom par défaut pour les feuilles estFeuilleX, où X est un nombre. Vous avez3 façons de nommer une feuille. Lapremière est lorsque vous créez unenouvelle feuille, en utilisant Insertion >Feuille… Dans la boîte de dialogue, vouspouvez déterminer le nom de la feuille.Vous pouvez également choisir d'insérer

plusieurs feuilles. Lors de l'insertion deplusieurs feuilles, vous n'avez aucun con-trôle sur le nom des feuilles. Vous obtien-drez la convention de nommage par dé-faut FeuilleX.

De toute façon, vous devrez peut-êtrerenommer une feuille après qu'elle a étécréée. C'est là que les deuxième et troisièmeméthodes s'appliquent. La deuxième façonde nommer une feuille est en cliquantdroit sur l'onglet de la feuille et ensélectionnant « Renommer la feuille » àpartir du menu. La boîte de dialogue « Re-nommer la feuille » apparaîtra, et vouspourrez changer le nom de la feuille. Latroisième méthode est tout simplementde double-cliquer sur l'onglet des feuilles.Ceci nous amène à la boîte de dialogue« Renommer la feuille », où vous pouvezchanger le nom de la feuille.

NOTE : Le nom de la feuille doit com-mencer par une lettre ou un chiffre, maisle reste peut inclure des espaces, deslettres, des chiffres, des soulignements,et certains caractères spéciaux, comme -,&. Lors de l'enregistrement au formatMicrosoft Excel, les noms de feuilles nepeuvent pas contenir les caractères : , \, /,?, *, [, et ]. Si vous avez un caractère nonvalide dans le nom, Calc vous affichera unmessage d'erreur.

2. Supprimer des feuilles

Parfois, vous souhaitez supprimer uneou plusieurs feuilles d'un classeur. Poursupprimer une feuille, faites un clic droitsur l'onglet de la feuille et sélectionnez« Supprimer la feuille… » dans le menu,ou sélectionnez « Édition > Feuille >Supprimer… » de la barre de menu. Calcvérifiera que vous voulez réellementsupprimer la feuille. Pour supprimerplusieurs feuilles, maintenez enfoncée latouche Ctrl tout en cliquant sur lesonglets des feuilles que vous souhaitezsupprimer. Utilisez soit la méthode parclic droit, soit par le menu poursupprimer les feuilles. Une fois de plus,Calc va vérifier que vous souhaitezsupprimer les feuilles.

3. Déplacer/Copier desfeuilles

Parfois, vous avez besoin de réorga-niser ou copier des feuilles. Par exemple,lorsque vous souhaitez ranger un classeurà plusieurs feuilles dans l'ordre d'utili-sation prédominante, ou par date. Copierune feuille est très pratique lorsque vousavez besoin de créer une copie exacte dela feuille, créant ainsi une feuille histo-rique. Lorsque vous copiez une feuille,vous obtenez une copie exacte de lafeuille que vous avez copiée, mais quandvous apportez des modifications à lanouvelle feuille, ces changements ne sontpas reportés dans l'ancienne feuille. Parexemple, vous pouvez créer une copied'une feuille de calcul de budget pourchaque période de paie de l'année et lesconserver dans un classeur.

Déplacer une feuille peut se faire dedeux manières. La première méthodeconsiste à faire glisser l'onglet de lafeuille vers la position que vous voulez.Les doubles flèches indiquent l'emplace-ment que la feuille doit occuper une foisque vous la relâchez. L'autre méthodeconsiste à utiliser la boîte de dialogue« Déplacer/Copier la feuille… ». Vous pou-vez accéder à ce dialogue en faisant unclic droit sur l'onglet que vous souhaitezcopier ou déplacer, puis en sélectionnant« Déplacer/Copier la feuille… », ou parl'intermédiaire de la barre de menu,Édition > Feuille > Déplacer/Copier…


TUTORIEL - LIBREOFFICE PARTIE 13Sous la section Action, vous pouvezchoisir de copier ou de déplacer la feuilleen cours.

REMARQUE : Si vous n'avez qu'uneseule feuille dans votre classeur, les fonc-tions déplacer et copier seront grisées, etla copie sera sélectionnée. Dans lasection Vers le document, vous pouvezchoisir de déplacer/copier la feuille dansle document actuel, dans un autre docu-ment ouvert ou dans un nouveau docu-ment. La section Insérer avant contrôle leplacement de la feuille déplacée/copiée.La feuille se déplace/copie juste uneposition avant la feuille sélectionnée. Unchoix spécial ici est «- placer en dernièreposition -» (déplacer vers la positionfinale). La sélection de ce dernier choix vadé-placer/copier la feuille à la fin de laliste des feuilles. La section Name vousper-met de donner à la feuille un nou-veau nom. Renommer votre feuille estune bonne idée lors de la copie. Si vousne lui donnez pas de nouveau nom, elleconservera le nom actuel et ajoutera untrait de soulignement et un nombre, parexemple MySheet_2.

4. Onglets de couleur

Les aides visuelles peuvent souventpermettre de faire avancer les chosesrapidement, tout en travaillant avec unclasseur de grande taille contenant plu-sieurs feuilles. La couleur est une aidevisuelle facile à mettre en place. Donnerà chaque onglet de la feuille une couleurdifférente peut vous aider à le trouver etvous y rendre rapidement. L'onglet de lafeuille courante est toujours blanc, maisvous pouvez toujours lui donner unecouleur s'il n'est pas sélectionné. Pourdéfinir la couleur de l'onglet d'une feuille,faites un clic droit sur l'onglet et sélec-tionnez « Couleur d'onglet » dans lemenu. Une boîte de dialogue de couleurapparaîtra. Sélectionnez simplement lacouleur que vous voulez pour l'onglet etcliquez sur OK.

5.Figerleslignes/colonnes

Les feuilles longues et larges ont sou-vent besoin de défilement pour afficherune partie du contenu dans la feuille.Mais, dans de nombreux cas, les premièreslignes et colonnes contiennent les infor-mations dont vous avez besoin pour

donner un sens à l'information. Heureu-sement, Calc vous fournit un moyen defiger les lignes et les colonnes.

Pour figer une ou plusieurs lignes,sélectionnez la ligne en dessous de celleque vous voulez geler en cliquant sur lenuméro de la ligne, puis Fenêtre > Fixer.Pour débloquer les lignes, sélectionnez ànouveau Fenêtre > Fixer. La même choseest à faire avec les colonnes en sélection-nant la lettre de colonne à droite descolonnes que vous voulez fixer, puis Fe-nêtre > Fixer.

Pour fixer les deux - lignes et colon-nes -, sélectionnez la cellule en dessousdes lignes que vous voulez geler et àdroite des colonnes que vous voulezgeler, puis sélectionnez Fenêtre > Fixer.

6. Partage d'écran

Une autre manière de travailler avecde grandes feuilles est d'utiliser l'écranpartagé. Pour diviser l'écran horizontale-ment, saisissez la barre épaisse juste au-

dessus de la barre d’ascenseur vertical.Le curseur de la souris se transforme enflèche double. Faites glisser la barre épaissejusqu'à la position que vous souhaitez. Pourdiviser l'écran verticalement, faites la mêmechose avec la barre épaisse à la droite de labarre de défilement horizontal. Pourobtenir une scission rapide horizontale etverticale, il suffit de sélectionner Fenêtre> Scinder. Les partages sont représentéspar des lignes épaisses lourdes. Chaquezone de l'écran partagé est manipulable

par de nouvelles barres d’ascenseur diffé-rentes qui apparaissent.

Pour annuler la division d'un écran,prenez la ligne épaisse et faites-la glisservers le sommet pour une division horizo-ntale ou vers la droite pour une division


Elmer Perry a commencé à travailleret programmer sur Apple IIE, puis il ya ajouté de l'Amiga, pas mal de DOSet de Windows, une pincée d'Unix, etun grand bol de Linux et Ubuntu.

verticale. Pour annuler toutes les divisions,utilisez Fenêtre > Scinder.

7. Imprimer les lignes et lescolonnes sur chaque page

L'impression d'une feuille qui se ferasur plusieurs pages peut exiger desinformations essentielles dans certainesrangées ou colonnes afin d'aider à donnerdu sens aux données. Pour contrôler lafaçon dont les pages sont imprimées,vous pouvez définir si certaines lignes oucolonnes doivent se répéter sur chaquepage.

Ouvrez Format > Zones d'impression >Éditer. Dans la section « Lignes à répé-ter », vous pouvez définir les lignes quiont besoin d'être répétées sur chaquepage. Par exemple, pour répéter les deuxpremières rangées, il faut entrer $1:$2.Sous « Colonnes à répéter », vous pouvezfaire la même chose pour les colonnes,donc pour répéter la première colonne, ilfaudra rentrer $A.

8. Remplissage descellules sélectionnées

Dans son utilisation la plus basique,l'outil de remplissage est une façon derépéter les informations dans une autrecellule. Pour répéter l'information danscette cellule, sélectionnez les cellulesque vous souhaitez répéter, puis Edition> Remplir >(la direction que vous voulezremplir : gauche, droite, haut ou bas).

Mais la véritable puissance de l'outilde remplissage vient de l'utilisationde la série de remplissage. Edition >Remplir > Série. L'outil de remplissageen série vous permet de créer de nom-breux types d'informations en série,allant des nombres aux dates. Il y aaussi le remplissage automatique, quiutilise une série de textes prédéfiniedans le programme. Des exemples dela saisie automatique sont les jours dela semaine et les mois. Vous pouvezdéfinir vos propres listes de saisieautomatique dans Outils > Options >LibreOffice Calc > Listes de tri.

9. Liste desélection

La liste de sélectionest une fonction texte. Laliste de sélection ne fonc-tionne que pour le texteet ne contiendra que dutexte de la colonne ac-

tuelle où se trouve votre cellule sélec-tionnée. Pour activer la liste, sélectionnezune cellule vide et appuyez sur Alt +Flèche vers le bas sur votre clavier.

10. Suppression dedonnées des cellules

Vous avez peut-être parfois besoin desupprimer complètement les donnéesd'une cellule, plutôt que de les modifier.La suppression des données peut se faireOutils > Options > LibreOffice Calc >

Listes de tri.en un seul coup, et vouspouvez sélec-tionner le typed'information qui sera effacé. Parexemple, vous pouvez sélec-tionner ungroupe de cellules et choisir de nesupprimer que la mise en forme, ouseulement le texte. Il y a aussi un « Sup-primer Tout » pour supprimer toutes lesinformations de la cellule. Vous activez laboîte de dialogue « Supprimer du con-tenu » en sélectionnant une ou plusieurscellules et en appuyant sur la touche« Retour arrière » de votre clavier. Vouspouvez aussi le faire à travers les menus :Édition > Supprimer du contenu.

Et voilà ! vous les avez, mes dix meil-leures astuces pour LibreOffice Calc.

Dans mon prochain article, nous allonscontinuer notre voyage dans Calc enapprenant à créer des diagrammes et desgraphiques.

TUTORIEL - LIBREOFFICE PARTIE 13


TTUUTTOORRIIEELLÉcrit par Petescan321

LLiinnuuxx ttrraannssppoorrttaabbllee

C'est sûr, vous utilisez Linuxsur votre PC, ou alors, pour-quoi lire un magazine Linuxcomme celui-ci ? Nous aimons

nos propres machines et les avonsfignolées selon nos désirs, mais, detemps en temps, inévitablement, noussommes obligés d'utiliser un autreordinateur. Que ce soit au bureau ouchez un ami, nous devons utiliser cequ'ils possèdent… quelque chose quin'est pas Linux. Attendez un peu : etsi vous pouviez avoir votre propredistrib. Linux toujours avec vous ?! Jene parle pas d'un live CD ; je suggèreune clé USB ! Cet article vous diracomment résoudre ce problème.

Il y a deux façons de créer une distrib.Linux sur une clé USB. Avant de com-mencer, assurez-vous d'avoir une cléUSB d'au moins 4 Go. Commençonsavec la façon la plus facile de le faire,uniquement pour des distrib. baséessur Debian/Ubuntu :

Téléchargez et installez Gparted.Exécutez Gparted et sélectionnez votreclé.

Faites un clic droit dessus et choi-sissez « format to » (formater en), puis

cliquez sur Fat32 et Appliquer (Apply),enfin attendez jusqu'à la fin. (Vousdevrez peut-être la démonter au pré-alable ; pour ce faire faites un clicdroit dessus et sélectionnez démonter[« unmount »].)

Exécutez Créateur de disque dedémarrage (Startup Disk Creator), habi-tuellement pré-installé sous Linux.

Sélectionnez votre ISO et réglezl'espace réservé (Reserved space) surmaximum. (Espace réservé veut direque vous pourrez enregistrer des fi-

chiers sur votre clé USB. Sur une cléde 4 Go, vous aurez 2 Go d'espaceréservé. Sur une clé de 8 Go, vousaurez 4 Go d'espace réservé.)

Cliquez sur « Créer un disque dedémarrage » (Make Startup Disk) etallez chercher du café, cela peutprendre jusqu'à une demi-heure.

Si vous voulez une procédure plustechnique, suivez les étapes ci-des-sous. C'est plus difficile, mais la plu-part des distrib. fonctionneront, y

compris celles basées sur RedHat/Fe-dora.

Téléchargez et installez Gparted.

Exécutez Gparted et sélectionnezvotre clé USB. (Assurez-vous qu'elleest formatée en Fat32).

Cliquez sur la partition [Ndt : SousLucid, notamment, il faut un clic droit]

et choisissez « Redimensionner/Dépla-cer ». (Il se peut que vous deviez ladémonter ; pour ce faire, faites un clicdroit sur la partition et sélectionnez« Démonter »).


TUTORIEL - LINUX TRANSPORTABLE

Choisissez la quantité d'espace quevous voulez allouer à l'enregistre-ment des fichiers (image page précé-dente en bas à droite). Assurez-vousque la clé USB a au moins 4 Go pourvotre système d'exploitation Linux.

Cliquez sur la partition Non alloué,puis sur Nouveau. [Ndt : sous Lucid, ilfaut utiliser un clic droit sur la par-tition et choisir Nouveau dans le me-nu déroulant.]

Réglez le forma-tage sur NTFS, puiscliquez sur Ajouter.(Si vous voulez, vouspouvez renommerla partition).

Cliquez sur Appliquer et attendezque tout se termine. Débranchez en-suite votre clé USB, puis rebranchez-la.

Exécutez UNetbootin et choisissezvotre ISO ou sélectionnez-en une àpartir de la liste des distrib. Linux.

Cliquez sur OK pour continuer.

Si vous n'avez pas UNetbootin,vouspouvezletéléchargersurhttp://unet-bootin.sourceforge.net/#install.

Et maintenant ? Eh bien, vouspouvez maintenant montrer votre cléUSB au bureau, à l'école ou chez unami. Vous pouvez alors égalementpersonnaliser la distrib. Linux de votrechoix à partir de votre clé USB… enen faisant votre ordinateur.

Voici une liste des distrib. Linuxque je préfère pour les clés USB :

Kiwi10.08PuppyLinuxVectorLinuxBodhiLinuxDSL

Petescan321 est un technicien en logi-ciels free-lance, qui aime bien dépan-ner des ordinateurs sous Windows ousous Linux (basé sur Debian). Il est éga-lement partisan de Linux et de l'OpenSource.

http://unetbootin.sourceforge.net/#install


TTUUTTOORRIIEELLÉcrit par Robin Catling

AAjjuusstteerr llaa ttaaiillllee dd''uunn ddiissqquuee vviirrttuueell aavveecc VVBBooxxMMaannaaggee

C'est un problème courant :vous lancez VirtualBox, créezune machine virtuelle, sansdoute avec un disque dyna-

mique, à une taille disque suffisanteselon votre meilleure estimation, vousl'exécutez pendant un certain temps, puisvousvousretrouvezàcourtd'espace.

Vous pouvez facilement agrandirla taille du disque dur dans VirtualBoxen utilisant la commande :

VBoxManage modifyhd resize

L'option - -resize vous permet de mo-difier la capacité d'une image existante,ce qui ajuste la taille logique d'un disquevirtuel sans affecter la taille physique.Cela ne fonctionne que pour augmenterla capacité des disques virtuels auxformats VDI et VHD (et seulementceux alloués dynamiquement), maispas les disques de taille fixe. Et c'estune façon d'ajouter plus d'espace à undisque virtuel sans avoir à créer unenouvelle image, attacher et copier toutesles données dans la machine virtuelle.

C'est une application en ligne decommande, donc vous devez ouvrirune session Terminal pour lancer la

commande et changer de répertoirevers l'endroit où votre disque virtuelest stocké.

Deux remarques importantes :• Arrêtez le fonctionnement de la

machine virtuelle avant de faire joujouavec le disque !

• Sauvegardez l'image disque exis-tante, ou au moins toutes les donnéesvolatiles, avant de la modifier !

La commande dont vous avez be-soin suit ce modèle :

VBoxManage modifyhd

XP_newdisk.vdi resize 10240

• VBoxManage est la suite utilitairequi est livrée avec VirtualBox ;• modifyhd est la commande pourredimensionner le disque virtuel ;• XP_newdisk.vdi est le nom de mondisque ; vous devrez donc le changer pourcorrespondre à votre nom de disque etn'oubliez pas le suffixe .vdi. Linux estaussi sensible à la casse ;• - -resize 10240 est la nouvelle taillesouhaitée pour le disque virtuel. Il y adeux tirets avant le mot « resize »suivi par un certain nombre de méga-octets ; 10240 étant équivalent à 10Gio ; souvenez-vous également quevous aurez besoin d'augmenter la taille

de votre partition invitée sur le disque,ou de créer une partition supplémentairedans le nouvel espace. À cet égard,vous devrez faire le travail avec les uti-litaires de disque appropriés à votresystème d'exploitation invité, commes'il s'agissait d'un vrai PC avec un vraidisque ferromagnétique.

Remarque : les disques .vmdk ne peu-vent pas être élargis par des commandesmodifyhd. Essayez cette ligne de com-mande et vous obtiendrez le messaged'erreur : VBoxManage: error: Resizehard disk operation for this format isnot implemented yet! [ Ndt : le redimen-sionnement du disque dur pour ceformatn'estpasencoreimplémenté!]

Vous pouvez trouver le manuel deVirtualBox d'Oracle, indexé par sujet,sur le site web. VBoxManage est dansle chapitre 8 : http://www.virtual-box.org/manual/ch08.html#vboxmanage-modifyvdi où la syntaxe complètede la commande ressemble à ceci :VBoxManage modifyhd

<uuid>|<filename>

[type

normal|writethrough|immutable

|shareable|

readonly|multiattach]

[autoreset on|off]

[compact]

[resize <megabytes>|

resizebyte <bytes>]

L'option - -compact peut être utiliséepour réduire des images de disque, cequi signifie retirer des blocs de l'espacevide (contenant des zéros). Ça va dimi-nuer une image allouée dynamiquementen réduisant la taille physique de l'imagesans affecter la taille logique du disquevirtuel.

Cependant, l'espace libre dans lesystème invité doit d'abord être mis àzéro. Pour les clients Windows, vouspouvez utiliser sdelete, l'outil fournipar Microsoft ; lancer sdelete -c dans lesystème invité mettra à zéro l'espacedisque libre. Sous Linux, l'utilitairezerofree prend en charge ext2/ext3pour faire de même. Vous pouvezensuite compacter (compress) l'imagedu disque virtuel.

Remarque : les instructions et les liensse rapportent à la version VirtualBoxd'Oracle et pas au paquet VirtualBoxOSE contenu dans les dépôts Ubuntuofficiels.

http://www.virtualbox.org/manual/ch08.html#vboxmanage-modifyvdi


TTUUTTOORRIIEELLÉcrit par Peter Glaser CCrrééeerr ddeess ccaarrtteess ddee vvœœuuxx aavveecc LLiibbrreeOOffffiiccee DDrraaww

Les fichiers modèles pour ce tutorielpeuvent être téléchargés à partir de :http://goo.gl/6mhQ7http://goo.gl/uehRw

I l y a quelques années, j'ai créédeux modèles permettant l'éditionde cartes et les ai postés sur lesite d'OpenOffice. Bien qu'ils ne

soient pas parfaits, ils pouvaient êtreutilisés pour faire une carte d'anni-versaire relativement agréable à regar-der, ou une carte à usage général. Lapartie principale de la carte était réa-lisée sous Microsoft Paint, puis dépla-cée dans OpenOffice Writer. Récem-ment, j'ai décidé de revenir sur lescartes de vœux et j'ai tenté de refaireune carte dans LibreOffice Draw, enpartant de zéro. Il en résulte une cartequi est meilleure et plus facile à utiliser.

Utilisation de la carte

Chargez la carte en double-cli-quant dessus. Elle s'ouvrira dans Li-breOffice Draw. Allez à la section pre-mière page (côté inférieur droit) etplacez le curseur soit en haut, soit enbas du texte. Ensuite, sélectionnez-enl'ensemble. (Si vous préférez, vous pou-vez triple-cliquer sur n'importe quelmot dans cette section pour mettre

en évidence tout le texte.) Tapez votremessage, puis formatez les mots. Il ya un certain nombre de manières defaire cette action.Commencez parsurligner le texte.Je suggère quevous utilisiez soitle menu Format,puis sélectionniezCaractère…, Po-lice, soit tout sim-plement un clicdroit sur la zonede texte en sur-brillance, puis sélec-tionnez Caractè-re…, Police. Choi-sissez une police,un style et unetaille. Cliquer surl'onglet Effets decaractères, puis Automatique, vouspermettra de changer la couleur dutexte. Les cases à cocher en dessousvous permettent d'ajouter des con-tours et des ombres. Assurez-vous decliquer sur OK pour appliquer lesmodifications.

Modifier la couleur d'une partie dela carte est relativement simple. As-surez-vous que vous avez votre boîte

à outils de dessin ouverte. Pour cela,sous Affichage > Barre d'outils, as-surez-vous que « Dessin » soit coché.

Cela devrait être lavaleur par défautlorsque vous char-gez le modèle.Ensuite, vous devezchercher l'ongletmarqué Layer 4. Ily a plusieurs on-glets situés le longde la partie infé-rieure du modèle.Layer 4 est caché,mais il est à côtéde Mise en page,Contrôles, Lignesde cote, Layer 5.Utilisez la flèchesituée à gauche

du mot « Mise enpage » pour déplacer les onglets surla droite. Ensuite, cliquez sur Layer 4.Après avoir cliqué sur Layer 4, sélec-tionnez le rectangle bleu dans lesoutils de dessin. Déplacez-vous vers lapartie avant de la carte et com-mencez par l'angle en bas à droite.Faites glisser la souris sur toute lasection Front. Faites un clic droit etsélectionnez le mot, Area. Dans cettesection, choisissez la couleur que

vous souhaitez pour le premier plande la carte. Cliquez sur OK pourappliquer la couleur. (Sélectionnez leblanc pour couleur de votre zone sivous avez une imprimante laser ennoir et blanc.) Les lignes sont faitesd'une manière similaire. Faites un clicdroit sur la boîte Front. Choisissez Line.Ensuite, choisissez la couleur, le styleet la largeur (width) des lignes. Gar-dez la largeur de trait à 0,06 ou moinspour obtenir de meilleurs résultats.Cliquez sur OK lorsque vous avez faitvos choix. Après avoir ajouté de lacouleur à la zone de texte et deslignes pour la section Front, vous remar-querez que votre texte a disparu. Ilest en fait dans la couche du dessous.La solution facile est de faire un clicdroit sur la section Front en surbrillance,puis sélectionnez Arrange. Send Back-ward déplacera votre texte au dessusde la couleur et des lignes. Cliquez surOK pour valider cette section.

La finalisation de l'intérieur de lacarte se fait d'une manière similaire. Ily a cependant quelques trucs à garderen tête. Triple-cliquer ne surlignerapas la zone de texte. Cliquez sur lazone autour des mots dans la boîtede texte qui est à l'intérieur. Vousdevrez commencer par la partie la

http://goo.gl/6mhQ7

http://goo.gl/uehRw


TUTORIEL-CRÉERDESCARTESDEVŒUXAVECLIBREOFFICEDRAWplus basse ou la plus haute du texte,puis faites glisser pour sélectionner letexte. Tapez votre message sur letexte surligné. Formatez le texte enutilisant Format, Caractère comme vousavez fait précédemment. De plus, aprèsavoir formaté le texte, vous devrez lefaire pivoter dans les deux sectionsde l'intérieur de la carte. Pour ce faire,mettez en surbrillance la zone detexte en cliquant une fois dessus.Assurez-vous que vous êtes à l'extérieurde la zone de texte et non sur le textelui-même. Il s'agit de la zone justeautour du texte. Une petite boîte vaentourer votre texte. Faites un clicdroit, puis sélectionnez Position andSize. Descendez vers Angle et tapez lenuméro 90 pour le nombre de degrés.Cela va faire tourner la zone de texteà la verticale. Lorsqu'elles seront impri-mées, les zones de texte de l'intérieurapparaîtront dans la position correcte.Cliquez toujours sur OK pour appli-quer les modifications.

Pour compléter la carte, sélection-nez simplement la section created-bydans le coin inférieur gauche de celle-ci. Cliquez à droite des mots « Crea-ted by ». Ensuite, entrez votre nom. Ilserait temps d'enregistrer votre travail.La carte est très simple à ce stade,elle ne contient que des zones de texte,des fonds de couleur et des lignes. Apartir de la section Drawing Tools,

vous pouvez ajouter des symboles,comme des étoiles et d'autres formessi vous le désirez. Si vous utilisez uneimprimante noir et blanc, vous voudrezpeut-être imprimer votre carte. Aprèsl'avoir imprimée, pliez-la en deux hori-zontalement, puis verticalement pourla terminer.

ClipArt

Si vous souhai-tez ajouter encoreplus de piment àvotre carte, vouspouvez ajouter desimages clipart àpartir d'Internet.J'ai trouvé que lameilleure façond'ajouter des cli-parts aux cartesestdecréerd'abordune page séparéedansLibreOfficeWri-ter et d'y collervotre clipart. Celavous donne un en-droit pour stockerdes cliparts pourune utilisation ultérieure.

Tout d'abord, ouvrez LibreOfficeWriter. Gardez-le ouvert. Ensuite, ou-vrez votre navigateur web et faites

une recherche d'éléments graphiquesweb gratuit. J'ai trouvé un site appeléAll Free Clipart à l'adresse : http://www.all-free-clipart.com/. Il y a un certain nom-bre de sites web qui permettent detélécharger des illustrations libres dedroits et de les utiliser gratuitement.Sélectionnez une illustration, puis faitesun clic droit et copiez l'image dansLibreOffice Writer. J'aime bien donnerà la page Writer un nom tout de suite,

de sorte qu'elle soitfacile à identifieraprès l'avoir enre-gistrée. Notez quel'onglet en bas deWriter sera re-nommé. Rouvrezvotre navigateurweb, puis faitesun autre choix etcollez-le sur votrepage illustrationWriter. Continuezjusqu'à ce quevous ayez construitune petite collec-tion de dessins.Je choisis des cli-

parts qui peuventêtre utilisés pour des anniversaires,des fêtes et d'autres occasionsspéciales. N'oubliez pas d'enregistrervotre collection.

L'utilisation des cliparts est simple.

Fermez le navigateur et lancez Libre-Office Draw. Gardez ouverte la pageWriter avec les cliparts. Une foisqu'une carte de voeux est créée, ilsuffit de cliquer sur la page desdessins, de cliquer sur un des clipartset de le copier. Ensuite, cliquez surl'onglet Draw de la barre des tâcheset collez l'image sur votre carte devoeux. Assurez-vous que vous tra-vaillez sur la couche Layer 4 avant defaire cela. Placez le clipart à l'endroitvoulu et redimensionnez-le. Si vousutilisez le clipart à l'intérieur de la carte,assurez-vous d'inverser le dessin. Celasignifie qu'il doit avoir été sélec-tionné. En cliquant une fois dessus,cela vous permettra de le sélec-tionner. Puis faites un clic droit etsélectionnez Flip, Vertically. Cliquez àl'extérieur du clipart pour le posi-tionner définitivement. Cela terminerale processus de retournement.

Après avoir inséré des illustrationsdiverses, votre carte est prête à êtreimprimée.

Sites Clipart:

http://www.openclipart.orghttp://www.clker.com

http://www.openclipart.org

http://www.clker.com

http://www.allfree-clipart.com/


TTUUTTOORRIIEELLÉcrit par Ronnie Tucker ÉÉccrriirree ppoouurr llee FFuullll CCiirrccllee MMaaggaazziinnee

Consignes

La seule règle pour un article estqu'il doit avoir un lien quel-conque avec Ubuntu ou l'un deses nombreux dérivés (Kubun-

tu, Xubuntu, Lubuntu, etc.).

Écrivez votre article avec le logiciel devotre choix. Je vous recommanderaisLibreOffice, mais s'il vous plaît, VÉRIFIEZL'ORTHOGRAPHE ET LA GRAMMAIRE !

L'écriture

Dans votre article, veuillez indiquer oùvous voudriez qu'une image particulièreapparaisse. N'utilisez aucun formatagedans votre document.

Les images

Elles doivent être au format JPGavec peu de compression.

Pour une liste plus détaillée desrègles de style et des problèmes courants,reportez-vous à : https://wiki.ubun-tu.com/UbuntuMagazine/Style - En bref :orthographe US, pas de langagel33t [Ndt : langage de l'élite (geekleet speak), cf. Wikipedia] et pas desmileys [Ndt : des émoticônes].

Si vous écrivez une critique, veuillezsuivre les consignes données ici.

Quand votre article est prêt,envoyez-le par courriel à :articles@ful lcirclemagazine.org

Si vous ne pouvez pas écrire d'ar-ticles, mais traînez sur les ForumsUbuntu, envoyez-nous un fil inté-ressant que nous pourrions publier.

Auteurs francophones

Si votre langue maternelle n'estpas l'anglais, mais le français, nevous inquiétez pas. Bien que lesarticles soient encore trop longs etdifficiles pour nous, l'équipe de tra-duction du FCM-fr vous propose detraduirevos«Questions»ou«Courriers»de la langue de Molière à celle deShakespeare et de vous les renvoyer.Libre à vous de la/les faire parvenirà l'adresse mail ad hoc du Full Circleen « v.o. ». Si l'idée de participer àcette nouvelle expérience vous tente,envoyez votre question ou votrecourriel à :

[email protected] !

CRITIQUES

Jeux/ApplicationsSi vous en écrivez une critique, veuillez noter clairement :

• le titre du jeu ;• qui l'a créé ;• s'il est en téléchargement gratuit ou payant ;• où le trouver (donner l'URL du téléchargement ou du site) ;• s'il est natif sous Linux ou s'il utilise Wine ;• une note sur cinq ;• un résumé avec les points négatifs et positifs.

MatérielSi vous en écrivez une critique, veuillez noter clairement :

• constructeur et modèle ;• dans quelle catégorie vous le mettriez ;• les quelques problèmes techniques éventuels que vous auriezrencontrés à l'utilisation ;• s'il est facile de le faire fonctionner sous Linux ;• si des pilotes Windows ont été nécessaires ;• une note sur cinq ;• un résumé avec les points négatifs et positifs.

Pas besoin d'être un expert pour écrire unarticle ; écrivez au sujet des jeux, desapplications et du matériel que vous utiliseztous les jours.

https://wiki.ubuntu.com/UbuntuMagazine/Style




https://spideroak.com



https://spideroak.com/mobile



LLAABBOO LLIINNUUXXÉcrit par Charles McColm

FFoorreemmoosstt ppoouurr rrééccuuppéérreerr ddeess ddoonnnnééeess

Vous connaissez sûrement cesentiment de déprime quise produit quand vous réa-lisez que vous venez de

supprimer un tas de fichiers importantsdont vous avez réellement besoin.C'est un sentiment horrible, souvent suivipar de l'inquiétude, de la panique etde « pourquoi ai-je fait cela ? » àmaintes reprises. En volant une cita-tion à Douglas Adams, « ne paniquezpas. » Il y a de l'espoir pour les fichierssupprimés même si le média a étéformaté. Foremost peut égalementrécupérer des fichiers corrompus, maisil ne corrige pas la corruption.

Foremost est un outil de récupé-ration de données écrit à l'origine parKris Kendall et Jesse Kornblum, desagents spéciaux pour l'Office des en-quêtes spéciales de l'United States AirForce. Il a été récupéré et modifié parNick Mikus dans le cadre de la thèse deson master et est maintenant disponibledans les dépôts Universe d'Ubuntu.Avec les dépôts Universe activés, ins-taller Foremost est une simple com-mande :

sudo aptget install foremost

Un mot d'avertissement avant d'aller

plus loin : ne pas monter ou démarrerle lecteur que vous voulez récupérer.Plus le nombre d'accès au support estélevé, plus les chances de perte dedonnées augmentent. Avant de plongerdans la récupération des données, nousfaisons une sauvegarde du supportd'origine. Un des grands principes derécupération de données est de tra-vailler avec une copie du supportoriginal plutôt que le média lui-même.

Il est également important de faireles sauvegardes sur un autre supportque celui d'origine (il est évident quevous ne souhaitez pas endommagerle disque en essayant de récupérer lesdonnées qu'il contient !). Le lecteur surlequel vous faites vos sauvegardesdoit avoir suffisamment d'espace librepour contenir une image de la totalitédu disque (avec les fichiers perdus).Dans cet exemple, nous allons récu-pérer des données à partir d'un lecteurflash de 1 Go sur un système avec undisque dur de 80 Go. Nous commen-çons par construire cette image detravail de la carte flash :

sudo dd if=/dev/sdb1

of=mypendrive.img

Ensuite, nous devons donner la pro-

priété utilisateur au fichier image quenous venons de créer. Dans ce cas, lenom d'utilisateur et le groupe sontappelés charm :

sudo chown charm.charm

mypendrive.img

Foremost récupère un grand nombrede types de données différents allantdes fichiers .art d'AOL aux fichiersaudio .wav. Un autre outil, photorec(qui fait partie du paquet testdisk) enreconnaît certes plus, mais Foremostpeut fonctionner avec des disques nonmontés et avec des fichiers images.Foremost a également besoin d'unchemin pour sauver les données. Cechemin ne devrait pas être sur lesupport d'origine (ou alors vous écra-serez les données originales).

mkdir ~/recovery

Maintenant, nous allons récupérerquelques fichiers pdf et png :

foremost vqQ o recovery/ t

pdf,png i mypendrive.img

L'option -v active le mode verbeuxde Foremost. Sans l'option -v, Fore-most affiche des astérisques pendantle traitement. L'option -v nous donneune belle sortie formatée affichantdes informations sur ce qui est récu-péré. Foremost peut prendre un certaintemps pour récupérer les données,en particulier si vous essayez de lesrécupérer à partir d'un disque dur degrande capacité bien rempli. Le modeverbeux (illustré ci-dessous) est agréablecarildonneuneidéedecequiestrécupéré.

L'option -q dit à Foremost de s'exé-cuter beaucoup plus rapidement enrecherchant uniquement le début dechaque secteur. L'option -Q majusculesupprime la plupart des messagesd'erreur. L'option -o spécifie le réper-toire dans lequel seront stockées lesdonnées récupérées. Dans ce répertoire,Foremost va créer un autre dossierpour chaque type de fichier en coursde récupération. Dans notre exemple,les dossiers pdf/ et png/ sont créésavec un fichier audit.txt montrant lamême sortie verbeuse que nous avonsvue plus tôt.

441: 00702752.png 233 KB 359809024 (800 x 480)

442: 00703392.png 177 KB 360136704 (1024 x 640)

443: 00703776.png 239 KB 360333312 (640 x 360)


L'option -t spécifie les types defichiers à récupérer. Pour spécifierplusieurs types de fichiers, il faut sépa-rer chaque type de fichier par unevirgule. Enfin, l'option -i indique l'imageou le dispositif à partir duquel on récu-père nos données (encore une fois, ilest préférable d'utiliser un fichier imageplutôt que de travailler avec le dispo-sitif d'origine).

Foremost peut aussi récupérer desfichiers effacés, les fichiers de disquesformatés, voire même des fichiers quiont été perdus au cours de multiplesformatages. Il nous est même déjàarrivé de récupérer plusieurs douzainesde fichiers venant d'un disque dur for-maté en ext3 qui étaient clairementdes fichiers graphiques d'une instal-lation précédente de Windows.

Foremost peut également récupérerdes morceaux de fichiers en utilisantl'option -a qui écrit tous les en-têtes,sans tenir compte de la détection d'er-reurs et de la corruption des fichiers.Les fichiers corrompus (ceux des imagesen particulier) sont des fichiers où unepartie des données a déjà été écra-sée. Dans le cas des images, la cor-ruption se manifeste de manière évi-dente : souvent, une seule partie del'image est récupérée, suivie par desbandes.

Une autre option utile de Fore-

most est -T. Elle crée un nom de réper-toire horodaté. Si vous prévoyez d'exé-cuter plusieurs fois Foremost, l'option-T va créer un nom de répertoire avecl'horodatage. Par exemple :

foremost vqQT o recovery/

t pdf,png i mypendrive.img

Dans l'exemple ci-dessus, Foremostcrée un répertoire avec un nom com-mençant par recovery et se terminantavec l'horaire (15h29 ici) :

recovery_Sun_Mar_11_15_29_42_

2012

Foremost est un excellent outil pourretrouver des images, des documents,des films et d'autres types de fichiers.Pouvant fonctionner avec des systèmesde fichiers non montés, il est trèspratique lorsque d'autres outils néces-sitent une partition montée. Bien sûr,la leçon « sauvegarde de vos données »faite régulièrement s'applique à toutediscussion en rapport avec la récupé-ration de données, en particulierdepuis qu'il y a eu un certain nombrede bons articles sur la sauvegarde

dans les numéros précédents du maga-zine Full Circle .

Vous avez donc maintenant une so-lution supplémentaire à ce sentiment

de déprime qui vous envahit lorsquevous venez de supprimer quelque chosequevousvouliezvraimentgarder.

LABO LINUX - FOREMOST POUR RÉCUPÉRER DES DONNÉES

Charles est beau-père, mari, et fande Linux ; il gère un projet sans butlucratif de remise à neuf d'ordina-teurs. Quand il ne casse pas du ma-tériel ou des serveurs, il gère un blog :http://www.charlesmccolm.com/.

MMOOTTSS CCOODDÉÉSS

Les solutions sont sur l'avant-dernière page.

Chaque numéro dans la grille des mots de code est « code » pour une Lettre de l'alphabet.À la fin, vous devriez avoir une lettre différente dans chaque case numérotée et un mot enanglais dans chacune des cases horizontales et verticales sur la grille de mot de code.

Jeux

aim

able

men

tfo

urni

spa

rThe

Puz

zle

Clu

b,

quie

npo

ssèd

ele

sdr

oits

d'au

teur

-ww

w.t

hepu

zzle

club

.com

http://www.charlesmccolm.com/

http://www.thepuzzleclub.com


FFEERRMMEETTUURREE DDEESS FFEENNÊÊTTRREESS GGeessttiioonnnnaaiirree ddee ttââcchheess

Écrit par :Ronnie Tucker (KDE)Jan Mussche (Gnome)Elizabeth Krumbach (XFCE)Mark Boyajian (LXDE)David Tigue (Unity)

Le gestionnaire de tâches deWindows peut être à la fois unebénédiction et une malédiction.D'un côté, il peut rapidement et

facilement vous permettre de fermer lesapplications problématiques, mais, de l'autre,il peut mettre votre système tout entier àgenoux. La même chose est vraie avec lesgestionnaires de tâches Linux, mais heu-

reusement, Linux dispose d'un moyen plusfiable pour fermer des applications problé-matiques, donc, si vous êtes prudent, vouspouvez facilement fermer une applicationsans geler votre système tout entier. Legestionnaire de tâches peut égalementvous donner des informations très pratiquessur les performances, sous forme de gra-phiques notamment.

Le gestionnaire de tâches de Win-dows peut être rapidement accessiblepar un clic droit sur la barre des tâches eten choisissant « Démarrer le Gestionnairedes tâches » et un processus peut alorsêtre fermé en cliquant sur le nom dans laliste des processus et en cliquant sur lebouton « Arrêter le processus » en bas dela fenêtre.

AVERTISSEMENT : soyez très prudent surce dont vous forcez la fermeture dansvotre gestionnaire de tâches, car çapourrait éventuellement arrêter votresystème et vous faire perdre desinformations non enregistrées. Je douteque vous puissiez causer des dégâtsmatériels permanents à votre système,mais méfiez-vous !

Kubuntu

L'équivalent Kubuntu du gestionnaire detâches est le moniteur système de KDE etpeut être trouvé dans K > Applications >System>SystemMonitor.

Sous l'onglet Process Table, il réper-torie tous les processus s'exécutant survotre système. Vous pouvez trier la listeen cliquant sur Name, CPU %, Memory,etc. Vous pouvez arrêter une application

en cliquant sur son nom puis en cliquantsur le bouton « End Process » en haut dela fenêtre. Encore une fois, faites atten-tion à ce que vous tuez. Vous remarque-rez que certains processus auront le nomd'utilisateur « root » ou votre nom d'utili-sateur. C'est celui qui a lancé ce pro-cessus. En bref, si root l'a lancé, laissez-letranquille !

L'onglet System Load vous montrera ungraphique en temps réel de la façon dont


votre système se débrouille avec tous lesprocessus actuellement chargés.

Il est possible d'ajouter plus d'infor-mations au KDE System Monitor, mais jetiens à ce que le moniteur soit commemoi, simple.

Gnome-Shell

Dans Gnome-Shell, le System Monitorpeut être trouvé dans le menu System >Administration > System Monitor. Il s'agitd'un programme avec 4 onglets. Chaqueonglet affiche des informations différentesconcernant votre ordinateur.

Le premier onglet affiche des infor-mations générales au sujet de votre sys-tème, logiciels et matériel : quel systèmed'exploitation vous utilisez (Ubuntu, évi-demment, dans mon cas la 11.04), quelmatériel (quantité de mémoire et type deprocesseurs) et l'état du système.

Le second montre les processus encours d'exécution. Quels processus sontmontrés (les vôtres, actifs ou tous) dé-pend d'un paramètre dans le menu View(Affichage). Les processus peuvent êtretriés de différentes manières. Il suffit decliquer sur la tête de colonne pour choisirsur quelle colonne les processus doiventêtre triés. J'utilise souvent CPU : après avoircliqué sur cette colonne deux fois, les pro-cessus qui utilisent le plus le processeurseront en haut de la liste. Pour chaque

colonne, vous pouvez choisir si vous voulezque l'ordre de tri soit croissant ou dé-croissant en cliquant à nouveau sur lamême tête de colonne, tout simplement.

Sous cet onglet vous pouvez mettre finà des processus qui ne font pas ce qu'ilssont censés faire. Il suffit de cliquer sur lenom du processus et cliquez sur le bouton« End Process ». Si cela ne fonctionne pas,vous pouvez également cliquer droit surle processus et choisir « Kill Process ». C'estcependant une méthode qui devrait êtreévitée autant que possible, car des chosesétranges pourrait arriver, selon le processusque vous essayez de tuer.

Dans le moniteur système, vous voyezl'utilisation réelle du CPU, la quantité demémoire utilisée et l'historique du réseaudans un graphique. Cela peut être trèsutile lorsque votre système vous paraîtlent. Jetez simplement un coup d’œil surl'utilisation du processeur, celle de la mé-

moire physique et aussi celle du swap, cequi pourrait être une indication que vousessayez d'en faire trop avec votre sys-tème. Si oui, alors revenez à la liste desprocessus pour savoir quel processusmange toute la puissance du CPU.

Le dernier onglet vous montre la taillede vos disques et partitions, la quantitéque vous utilisez et ce qui est encoredisponible et il vous dit quel système defichiers vous utilisez (dans mon cas ext4).

Lubuntu (LXDE)

Lubuntu reste fidèle à sa philosophie« less is more » (moins c'est plus) en offrantun gestionnaire des tâches simple, maisefficace, appelé LXTask. Comme avec laplupart des choses dans Lubuntu, vousouvrez le gestionnaire des tâches dans lemenu principal ; sélectionnez System Tools >Task Manager (Outils système > Gestionnairedestâches ).

Par défaut, vous obtiendrez une vue« détaillée » affichant uniquement les tâches(services) de l' « utilisateur ». La vue peutêtre modifiée en cliquant sur Affichagedans le menu principal ; ainsi, vous pouvezchoisir d'afficher : les tâches « utilisateur »,« système » et les « autres », dans n'importequelle combinaison. À noter également lebouton « Plus de détails » dans le coininférieur gauche de la fenêtre Gestion-

FERMETURE DES FENÊTRES


naire des tâches. Ce bouton est sur « on »par défaut, affichant 9 colonnes de données(comme montré ici). Décocher ce boutonlimitera le nombre de colonnes à 4 :Processus, %CPU, RSS (Resident Set Size- Mémoire Résidente) et PID (ProcessusIDentifier).

Les seuls « graphiques » affichés dans leGestionnaire des tâches Lubuntu sont lesdeux graphiques à barres placés en hautde la fenêtre : l'utilisation du processeur(à gauche) et l'utilisation mémoire (àdroite). Cette dernière est indiquée sansmontrer le cache, mais cela peut êtremodifié dans le menu Affichage, si vousle souhaitez. Pour prendre le contrôled'un processus affiché dans le Ges-tionnaire des tâches, cliquez droit sur la

tâche désirée pour obtenir un menud'actions. En utilisant ce menu, vous pouvezSuspendre, Continuer, Terminer ou Tuer latâche (vous pouvez aussi changer sapriorité). Ces options apparaissent parordre de gravité : si vous suspendez unprocessus, alors vous pouvez le redé-marrer en sélectionnant Continuer. Si vousvoulez complètement « mettre fin » auprocessus, alors sélectionnez Terminer. Sile choix de Terminer ne parvient pas à« mettrefin»auprocessus,vouspouvezalorssélectionner Tuer, mais, comme men-tionné ci-dessus, c'est la « méthode dedernier recours », car elle pourrait avoirdes effets secondaires indésirables sur d'au-tres processus en cours. Lorsque vousavez terminé la surveillance et/ou lamanipulation de vos tâches, cliquer sur le

bouton « Quitter » dans la partie inférieuredroite de la fenêtre Gestionnaire destâches fermera le Gestionnaire des tâches.

REMARQUE : si vous avez les res-sources système et que vous souhaitezavoir la fonctionnalité supplémentaire four-nie par le Gnome System Monitor (commedécrit pour Gnome Shell), alors vous pou-vez toujours l'installer dans Lubuntu enutilisant le gestionnaire de paquets. Et,bien sûr, vous avez toujours un accèsimmédiat au terminal qui met toute lapuissance de la ligne de commande Linuxà portée de main. « Top » est le ges-tionnaire de tâches en ligne de com-mande qui utilise peu de ressources.

Xubuntu (Xfce)

Vous pouvez trouver le Gestionnairede tâches Xfce (xfce4-taskmanager) en allantà Applications > Système > Gestionnaire detâches .

Par défaut, vous aurez une vue de basedes services en cours d'exécution, mais vouspouvez lister tous les processus en cli-quant sur Préférences et en choisissant« Afficher tous les processus ». Grâce à cemenu Préférences, vous pouvez aussichanger la précision avec laquelle il suitl'utilisation du CPU (plutôt que despourcentages entiers, il peut aller jusqu'àla 2e décimale), afficher la ligne decommande entière et ajuster le taux derafraîchissement par incréments de 500 msà 10 s (la valeur par défaut est 750 ms).

Vous pouvez trier les processus selonn'importe quelle colonne et suivant unordre croissant ou décroissant en cliquantsur le titre de la colonne. Les préférencesvous permettent également de choisir lescolonnes que vous souhaitez voir, vouspermettant d'ajouter le PPID (Parent Pro-cess ID), l'état, la mémoire virtuelle, l'UID(User IDentifier) et la priorité, qui sonttous triables.

En haut de la fenêtre du Gestionnairede tâches, à côté du bouton Preferences,vous avez également un moniteur em-




barqué de CPU et de RAM, qui vousdonnera le pourcentage sous forme denombre quand vous les survolez. Pourmanipuler une tâche, vous faites un clicdroit pour obtenir un menu qui offre lesoptions pour : stopper, tuer, terminer ou« Priority » qui affichera un sous-menu despriorités du processus que vous pouvezmodifier de « Very low » (très basse) à« Very high » (très haute).

Lorsque vous aurez terminé avec leGestionnaire de tâches, il vous faudracliquer sur le bouton « Quitter », car, sivous fermez en appuyant sur le « x » enhaut de la fenêtre, il sera seulementminimisé dans votre tableau de bord.

Unity

Dans Unity, tout comme dans Gnome-Shell, vous utilisez l'application « SystemMonitor » (Moniteur système). La meilleurefaçon d'ouvrir l'application est de cliquersur le tableau de bord « Dash » et de saisir« System monitor » ; une icône apparaîtraavec un label « System Monitor » en dessous.Cliquez sur l'icône et l'application s'ou-vrira. Maintenant, vous pouvez cliquersur l'onglet processus pour voir tous lesprocessus s'exécutant sur votre système.Soyez très prudent lorsque vous utilisezcela pour fermer les applications. Uneautre façon de fermer les applicationsque je voudrais mentionner est « xkill ». Sivous avez une application qui est figée oune répond pas alors utilisez xkill pour

vous débarrasser d'elle. Tout ce que vousavez à faire est d'appuyer sur la com-binaison de touches Alt+F2 et une fenêtrede type tableau de bord apparaîtra oùvous pourrez taper les applications quevous souhaitez lancer. Quand c'est ouvert,il suffit de taper « xkill » et une icôneressemblant à une roue dentée avec lelabel « xkill » en dessous s'affichera. Cli-quez sur l'icône et le pointeur de votresouris se transforme en un « X ». Main-tenant que le pointeur de la souris est un« X » tout ce que vous devez faire est decliquer sur l'application qui est gelée.L'application sera tuée immédiatementet vous pourrez continuer à travailler.

Une autre application que certainsaiment utiliser (moi-même compris) estappelée htop. Il s'agit d'un outil en lignede commande basé sur ncurses. N'ayezpas peur, il est facile à utiliser. D'abord,vous devez l'installer. Ouvrez la ligne decommande en appuyant sur Ctrl + Alt + t,puis tapez « sudo apt-get install htop ».Une fois l'installation terminée, vouspouvez exécuter l'application en tapant« htop » après l'invite de commande.L'application s'ouvre, vous montrant tousles processus s'exécutant sur le système.Vous pouvez utiliser les touches fléchéespour naviguer vers certains processus. Ceque je voudrais faire d'abord est appuyersur la touche « U », puis utiliser les flèchespour choisir mon utilisateur. Avec monnom d'utilisateur mis en évidence j'appuie

sur Entrée et htop ne montrera que lesprocessus lancés par mon utilisateur. En-suite, vous pouvez appuyer sur la touche« k » qui veut dire tuer et puis utiliser lesflèches pour mettre en évidence le pro-cessus que vous voulez tuer. Une fois quele processus est mis en surbrillance appuyezsimplement sur la touche « Entrée » etl'application sera tuée. S'il vous plaît, soyezprudent, même si cela ne montre que lesprocessus de votre utilisateur, vous pouveztoujours risquer de perdre les donnéesnon enregistrées en tuant certaines applica-tions. Si vous n'êtes pas sûr à proposd'une application, une règle générale deprudence est NE LA TUEZ PAS.

Le mois prochain, nous verrons com-ment choisir/changer de serveur de son,le volume du son ou sa désactivation etles entrées d'enregistrement.


MMOONN HHIISSTTOOIIRREEÉcrit par l'équipe de MyUnity

Récemment, l'adoption par Ca-nonical d'Unity (un nouveausystème de gestion d'environ-nement de bureau) a pro-

voqué de nombreuses plaintes d'utili-sateurs concernant l'impossibilité dele personnaliser. En fait, vous pouvezmanipuler Unity avec : CCSM, UbuntuTweak, gconf-editor et editor-dconf.

Il y a quelques mois, un autre pro-gramme s'est manifesté : MyUnity.Les utilisateurs en sont venus à l'ap-précier beaucoup grâce à deux facteurs :sa simplicité et son esthétique.

Nous avons discuté avec deux desprincipaux développeurs de l'outil afinde comprendre l'idée derrière MyUni-ty et ce qu'ils prévoient pour l'avenir.

Jeudi 27 octobre 2011

UIELinux, un GUL (groupe d'utilisa-teurs Linux) en Italie, se réunit habi-tuellement le jeudi soir autour d'unebière et beaucoup de popcorn au pubMapaleo Savignano :

Davide :…terminé l'installation d'Ubuntu,la première chose que je fais, c'est deréduire la police. Dans la 11, je ne

l'aime pas - c'est trop grand. J'essaie,mais je n'arrive pas à trouver le ges-tionnaire des polices. Je me dis : Est-cequ'ils l'ont déplacé quelque part ?Maisiln'estpaslà. SeulNattyyest!Fabio : Tu peux le faire. À partir degconftu peux tout faire : les polices, lelanceur, lesthèmes, lesicônes, tout.Davide : Oui, bien sûr, je peux le faire,mais là n'est pas la question. Je m'at-tendsà trouverun outilsystèmequimepermette de le faire facilement. Gconfn'estpasexactement l'outil le plus con-vivial, n'est-cepas?Fabio :Ben… Jenesaispas, àmon avisc'est pas nécessaire, mais tôt ou tard,Canonicalferatout.Davide :Cependant, en attendant, iln'ya rien. Mets-toi à la place de quelqu'unquin'a jamaisvuUbuntu.Fabio :Ok, jevaisréfléchir.

La naissance de MyUnity

Les samedi et dimanche suivants,Fabio écrit le code qui sera la version1, Davide travaille sur la partie esthé-tique de l'interface graphique et Sergiocrée le logo et l'icône.

Après son téléversement sur le Net,des centaines de visites chaque heure,

le bouche-à-oreille fonctionnant parmiles utilisateurs, et tout le monde veutconfigurer Unity.

Au départ, nous avons demandédes conseils et des suggestions auprèsd'utilisateurs, et divers articles sontparus dans des journaux et sur desblogs ; nous en sommes ainsi venus àaméliorer les caractéristiques de cesimple éditeur de configuration.

Sur recommandation de Paolo Sam-micheli (Ubuntu) et en intégrant An-drea Colangelo (MOTU Ubuntu) dansnotre équipe, le projet LaunchPad dé-marre et commence à prendre formede façon beaucoup plus structurée ethomogène.

La structure de la source est mo-difiée pour pouvoir satisfaire aux cri-tères stricts des paquets.


MON HISTOIREEntre temps, Davide et Sergio conti-

nuent à changer l'interface graphiqueet la mettent dans la version 2.0 quisort le 10 décembre. Dans la blogo-sphère, nous voyons de très nom-breux commentaires positifs.

Avec l'arrivée de Precise (la 12.04)et la nouvelle version d'Unity, le codeest changé de façon significative etenrichi avec des possibilités de confi-guration supplémentaires. Avec l'aidede Stefano « Teo » Teodorani et sonscript précieux, nous pouvons aussifaire la gestion de thèmes et d'icônes.

Davide ne veut sous aucun pré-texte utiliser l'interface graphique dela 2.0 et la 3.0, donc on crée unebranche de MyUnity alors qu'Andreademande à Canonical la possibilité d'in-corporer l'outil dans la documen-tation officielle.

Lors de la sortie de la version 3,Davide a aussi créé le site web officieldu projet qui incorpore des illustra-tions et des commentaires, tandisque Marco « Markuz » Sgarzi s'occupede la traduction en anglais.

Pourquoi est-ce une réussite ?

Davide avait raison : les utilisateursvoulaient être libres et avoir lapossibilité de manipuler Unity. Nousaimons croire que sa simplicité, son

immédiateté et son impact visuel onten partie contribué à son succès.

Pourquoi avez-vous écrit en Gambas ?

La raison est fondamentale et iné-vitable : Davide et moi, nous connais-sons tous deux très bien ce langage.

Toutefois, la rapidité avec laquellevous arrivez à créer des applicationsest considérable et ce choix n'a pasinfluencé votre réussite.

S'il fallait comparer MyUnity à UbuntuTweak, quel serait votre avis ?

MyUnity est un outil conçu pourconfigurer l'environnement Unity etrien d'autre, avec la plus grandesimplicité. Toute modification a lieudans l'espace utilisateur, ce qui évite laperturbation du système. La restaura-tion des paramètres par défaut pourpouvoir faire un test est facile et sûre.

Ubuntu Tweak est un outil très puis-sant. Il propose beaucoup de para-mètres et de manipulations au niveaubas, mais tous les utilisateurs ne lecomprennent pas ou ne savent pasquoi faire. Quand vous êtes en trainde conduire un véhicule, l'accélé-rateur peut être très puissant et vousdevez l'utiliser de façon correcte, sinonvous pouvez avoir de sérieux ennuis.

MyUnity et Ubuntu Tweak sont

deux applications tout à fait diffé-rentes.

Actuellement, de plus en plus d'outilsde configuration sortent. Craignez-vous qu'ils deviennent plus populairesque MyUnity ?

MyUnity est un échange d'opinionsqui est né dans un bar devant unebonne bière. Le faire all'nizio [Ndt : enitalien, « all'nizio » veut dire initiale-ment, au début] était un plus granddéfi, parce qu'une telle chose n'existaitpas. Si Canonical choisit de comblercette lacune en créant un outil adhoc

pour Ubuntu, tant mieux. Je ne voispas de problème et c'est cela labeauté du Logiciel libre : tout un cha-cun peut faire quelque chose de mieux(ou pire) pour la communauté.

Que devons-nous attendre des ver-sions à venir ?

Dans la 3.1, qui sortira bientôt, nousavons corrigé pas mal de bogues, ycompris la reconnaissance d'Unity2D.Nous croyons qu'il reste encore beau-coup de place pour manœuvrer lesdivers paramètres que l'on pourra ajou-ter. Mais c'est essentiel de maintenir


MON HISTOIRE

l'équilibre entre possibilité de faire desmodifications et facilité d'utilisation.L'utilisateur ne doit pas se sentir perduou en difficulté, mais comprendre toutde suite ce qu'il faut faire pour obtenirle résultat voulu. Plus l'interface gra-phique est simple, moins le besoind'un mode d'emploi se fait sentir.

Version actuelle : 3.1http://www.uielinux.org/myunityhttps://launchpad.net/~myunity

Équipe :FABIO Colinelli (Italy) développeur ducœ[email protected] Pedrelli (Italy) développeurde l'interface graphique

[email protected] Gridelli (Italy) développeur [email protected] Colangelo (Italy) mainteneurdes [email protected] Teodorani (Italy) consultantpour le script [email protected] Sgarzi (Italy) traducteur dusite [email protected]

SSUUDDOOKKUU 1166xx1166

Les solutions sont sur l'avant-dernière page.

Les numéros de 1 à 9 et les lettres A à F sont à pourvoir dansle réseau 16x16 de sorte que chaque rangée, chaque colonneet chaque boîte 4x4 contienne de 1 à 9 et de A à F.

Jeux aimablement fournis par The Puzzle Club, qui en possède lesdroits d'auteur - www.thepuzzleclub.com

http://www.uielinux.org/myunity

https://launchpad.net/~myunity







http://www.ubuntu-it.org

http://www.uielinux.org


http://www.andreacolangelo.com



http://www.thepuzzleclub.com


MMOONN OOPPIINNIIOONNÉcrit par Chandra

En 2008, j'utilisais encore unordinateur DOS de 20 ans (!!).Quand il est devenu évidentque je ne pouvais pas conti-

nuer sans me connecter au Web, j'aiacheté l'un des premiers netbooksparce que c'était amusant et pas cher.En partie, le prix bas était dû à Linuxet je ne savais rien à propos de cettechose étrange. Mais j'ai découvert qu'ilétait possible d'acheter un ordinateursans avoir à payer ce que j'appelle la« taxe Microsoft », pour ainsi dire. J'aiajouté un lecteur de CD/DVD externe.

La distrib. originale était Xandros,pas très bonne, en fait. Les possibi-lités étaient très limitées et j'ai rapide-ment cherché autre chose. Le pro-blème était de trouver une distrib. fonc-tionnant directement sur un EeePC ;ce n'était pas facile à cette époque.J'ai commencé avec ubuntu-eee (unebranche d'Ubuntu 8.04 qui est deve-nue easypeasy). Le principal problèmeétait le noyau : ubuntu-eee utilisait unnoyau spécifique et il n'était pas pos-sible de le mettre à jour facilementquand une nouvelle version d'Ubuntuétait disponible. J'ai essayé des sessions« live » de eeedora, eeedebian etLinux Mint, et je suis finalement passé

à Ubuntu 8.10 sur mon netbook et surmon nouvel ordinateur de bureauaussi (j'ai acheté un Nyos 50 « nu »pour éviter de payer la « taxe »).

Pendant ce temps, je découvraisprogressivement Linux, grâce à desforums, des magazines et de la docu-mentation en ligne. Tout ne fonction-nait pas encore directement : par

exemple, la LED wifi ou le contrôle duvolume sur le netbook, mais j'ai réussià résoudre ces petits problèmes. Enmoins d'un an et demi, j'ai vraimentabandonné tout ce qui venait deMicrosoft et ma configuration faisaitce que je voulais faire.

Puis, Unity est arrivé ! Je vais diredeux choses à ce sujet. Pour moi,

Unity est un véritable cauchemar. Ilest aussi la solution d'un problèmequi n'existait pas. Je suis donc passé àXubuntu. Il est très simple, très intui-tif, plus rapide et très facile à confi-gurer. Comme il utilise les biblio-thèques gtk, les applications gnomesont les bienvenues. Xubuntu est main-tenant la seule distrib. que j'utilise.

Oh, en fait, qu'est-ce que j'utilise ?Des choses très simples mais puis-santes : Firefox et Thunderbird, Abi-word, et Gnumeric. À un second ni-veau, eog comme visionneuse d'images,epdf comme lecteur de pdf, Xsanepour la numérisation, GIMP, MPlayer,devede, brasero (si vous voulez ensavoir plus sur ces paquets, merci devous référer à la documentation enligne Ubuntu). J'utilise aussi des chosescomme gparted, baobab, mousepad,gnome-disk-utility, hardinfo, ntp, wipe,clonezilla…

Et maintenant, qu'est ce qui estimportant pour moi ? Tout d'abord, jen'ai pas à m'adapter à la distrib. Ladistrib. doit être capable de s'adaptertoute seule à moi. Je dois être enmesure de contrôler précisément cedont j'ai besoin, et de supprimer tout


MON OPINIONce qui n'est pas nécessaire pour moi.C'est pourquoi je n'utilise pas la Logi-thèque Ubuntu, qui est juste un cata-logue agréable à regarder. Ce n'est pasassez précis. Il ne me permet pas desupprimer complètement les paquetsinutilisés, c'est-à-dire de supprimer éga-lement les fichiers de configuration.J'ai ajouté dans synaptic deborphan,qui permet la suppression des pa-quets orphelins. J'ai aussi enlevé en-viron quarante ou cinquante chosesinutiles. Par exemple, des paquets fac-tices ou des choses comme splx,puisque mon imprimante n'est pasune imprimante Samsung. Ceci estimportant parce que mon netbook nedispose que d'un SSD de 4 Go.

Je dois être en mesure de person-naliser complètement le bureau pourque tout se trouve là où il doit être etse comporte de la façon dont je veux.Heureusement, Linux permet à toututilisateur de modifier de petites chosesdans les fichiers de configuration. Parexemple, j'ai changé les 3 600 secondes,le temps de sommeil aléatoire, à 10secondes dans le fichier /etc/cron.dai-ly/apt. Sinon, lorsque je démarre monordinateur, il peut prendre plus d'unedemi-heure avant de m'avertir desmises à jour disponibles.

Mettre à niveau vers les nouvellesversions est un véritable problème

qui m'ennuie.

● Tout d'abord, la mise à niveaudevrait être aussi simple que la mise àjour. Et ce n'est pas le cas. Au cours duprocessus très long de mise à niveau,je suis généralement invité à choisirsoit la nouvelle version d'un fichier deconfiguration inconnu, soit de garderl'ancien. Je ne sais pas tout sur Ubun-tu, donc je ne sais rien sur lesconséquences du choix et je ne saispas quoi faire. En général, je choisis auhasard. Après le processus, je dé-couvre que des applications ont étéajoutées. Par exemple, j'ai choisi mou-sepad et eog. Pourquoi installer leaf-pad, pidgin (que je n'utilise pas), etristretto que j'avais déjà enlevé ?

● Deuxièmement, tout ce qui fonc-tionnait avant devrait fonctionneraprès. Et tous mes choix personnelsdans les différentes préférences etles fichiers de configuration devraientrester inchangés. Après la mise à ni-veau, des choses ont disparu, commecertaines icônes. D'autres choses nefonctionnent tout simplement plus.Par exemple la connexion ADSL (deJaunty à Karmic). J'ai dû ajouter sun-java-plugin après la mise à jour versLucid parce que icedtea-plugin n'étaitplus en mesure d'afficher des sitesWeb qu'il affichait auparavant.

● Troisièmement, selon la façondont je le fais, je n'obtiens pas exac-tement la même chose. J'utilise uneseule partition ext4 et pas de swap, etj'ai essayé quatre façons différentesde passer à une nouvelle version :

– J'utilise le processus de mise à jourtrès long. Cela prend généralementau moins quatre heures pour faire lamise à niveau, corriger ce qui ne fonc-tionne plus et supprimer les chosesinutiles qui ont été ajoutées. Il y aaussi un autre problème dans ce pro-cessus. Certaines nouvelles fonctionnalitésne sont pas disponibles. Par exemple,j'ai dû passer manuellement de grub-legacy à grub-pc pour Karmic.

– Je fais une nouvelle installation,qui est la meilleure façon d'obtenir lavraie version nouvelle. Mais je doistout re-personnaliser et cela prend untemps très, très long.

– Je fais une nouvelle installationSANS formater l'ancienne partition ext4,qui héberge mon répertoire /home.

Mais le résultat n'est pas exactementle même que celui que j'obtenais avecl'option précédente. Des parties del'ancienne version ne sont pas com-plètement éliminées.

– J'utilise deux partitions : / et unepartition séparée /home, et je faisensuite une installation fraîche com-plète qui garde mon répertoire per-sonnel. Mais je dois encore enlever cequi n'est pas utile pour moi. C'est ceque je vais faire avec Xubuntu 12.04LTS.

Ainsi, le processus de mise à niveauidéal n'existe pas. Quoi qu'il en soit, labonne nouvelle est que faire face àdes problèmes est une occasion d'ap-prendre quelque chose et de pro-gresser. Et bien sûr, je continue avecXubuntu - la meilleure distrib. pourmoi.


JJEE PPEENNSSEE...... Qu'est-ce qui vous attire ou vous repousse dans une distrib ?Le mois dernier la question était :

Qu'est-ce qui vous repousse dans unedistribution ?Qu'est-ce qui vous attire vers unedistribution ?

Un environnement de bureau mocheet qui ne correspond pas à ma façonde travailler.Vitessededémarrage,personnalisation.

Des dépôts de logiciels où je ne trouvepas ce que je veux, ou pas de dépôtsde logiciels pour une distribution (ex :Open SUSE).Tout fonctionne tout de suite.

Des pilotes insuffisants ou inexistantspour mon matériel ; changement dansle contenu des applications par défaut ;une interface graphique de bureautrop ambitieuse.Vitesse de démarrage ; non-aligne-ment à un problème particulier (parexemple, à la production musicale) ;améliorations constantes, particulière-ment au niveau du noyau.

Manque de mise à jour des applicationset correctifs de sécurité en retard.Équipe directrice solide et un supportenthousiaste de la communauté.

De nombreuses applications installéespar défaut pour une même tache et

avec des paramétrages étranges.Possibilités de personnalisations et peude redémarrages nécessaires.

Changements non nécessaires et idiotscomme Unity.Bonne gestion des langues, possibilitéde travailler rapidement et efficace-ment, facilité d'utilisation.

Facile à installer et sans perte de tempsavec les pilotes - son, vidéo, impri-mante, tablette graphique. Tout doitfonctionner parfaitement ensemble.J'ai déjà dû essayer trois distributionsavant d'en trouver une qui fonctionneavec un nouveau matériel.Fonctionne parfaitement après l'installa-tion. Pas besoin de chercher sur desforums comment faire fonctionner leson ; pas de problème avec l'affichage,ni avec l'interface graphique. IL FONC-TIONNE TOUT SIMPLEMENT. Est-ce lecas ? Non, mais plus que dans d'autresdistributions.

Quand une mise à jour change ousupprime les choses que j'aime deleur place d'origine.Quand il y a toutes les applicationsque je veux - sans m'imposer ce que jene veux pas.

Pilotes matériels : j'ai essayé d'installerDebian sur mon ordinateur portable,mais il m'a été impossible de l'utiliserfaute de pilote WiFi, Kubuntu a bienfonctionné.Convivial, personnalisable, bonne com-munauté, fonctionne tout simplement.

Gnome 2 était bien et je crois queGnome 3 devrait l’être. Tout sur monécran est trop gros. Je n'aime pas lesboutonspourlancer/changerd'applicationcommesurWindows7 ou Unity. Jen'aimepas avoir à taper le nom d'une applicationdans un champ de recherche. Je n'aimepas devoir configurer compiz-fusion, cequi est totalement incompréhensible.Je n'aime pas les grosses icônes partoutsur mon bureau. Ça manque de ma-turité et de fonctionnalité.J'aime les barres d'outils fines avec depetits boutons. J'aime les boutons quim'indiquent quelles applications sont

ouvertes.J'aimepouvoirchoisirfacilementce qui figure dans ma barre d'outils.J'aime que les menus des applicationssoient classés par catégorie. J'aimeavoir la possibilité de faire un glisser-déposer entre différents messagesdans Thunderbird, ce qui est impossibledans Unity. J'aime que mon iPod soitreconnu par GTKpod quand je le con-necte. J'aime que la météo en hautdu panneau de configuration soit enfrançais, bien qu'habitant au Québec.J'aime avoir la possibilité de supprimerl'historique des applications récemmentouvertes. Je suis un utilisateur plutôtavancé et je n'ai pas peur de mettreparfois les mains dans le cambouis,mais il y a un minimum qu'une distri-bution devrait permettre de fairefacilement. J'utilise Mint LMDE enattendant Gnome 3 et Gnome shell.

Ce mois-ci j'aimerais poser la question suivante :

Ubuntu 12.04 sera disponible le 26avril. Ferez-vous la mise à niveau ?

Pour contribuer rendez-vous ici : http://goo.gl/Ms7jI

La date limite pour cette question est le dimanche 8 avril 2012.

http://goo.gl/Ms7jI


http://www.ubuntu-user.com/subscribe-now/

http://www.ubuntu-user.com/subscribe-now/


CCRRIITTIIQQUUEEÉcrit par Art Schreckengost

Ceux qui regardent la pagelistant les hits sur Distrowatchauront probablement remarquéune entrée au nom bizarre,

trustant le top 25 depuis une bonnepartie de 2011. Nommée Bodhi (la versionactuelle est la 1.3.0), elle a non seu-lement atteint ce niveau en un peu plusd'un an depuis sa sortie, mais réussit à lefaire en utilisant Enlightenment 17 (e17)comme environnement de bureau.

Qu'est-ce que e17 ?

Enlightenment est un gestionnaire debureau, similaire à Gnome et KDE, qui esten développement depuis près de 15 ans.Je n'ai travaillé qu'avec deux versions, la16 et maintenant la 17, cette dernièreétant passée par différentes versionsalpha/bêta au cours des 5 dernières années(si vous voulez être technique, e17 est enréalité à la version 16.999 mais qu'est-ceque 0.001 entre amis ?).

Les ordinateurs de faibles caractéris-tiques (ordinosaures) furent ciblés à l'ori-gine, mais les tests actuels sont menéssur des processeurs multi-cœurs avec degrandes capacités de RAM, bien que e17se sente à l'aise avec l'un comme avecl'autre. Le code de base pèse environ 25

Mo (Gnome et KDE sont 10 fois plus gros),cette version de Bodhi étant sans douteplus grosse vu les effets graphiques etles personnalisations.

En tant qu'option, Enlightenment n'ajamais réellement « pris » et a été éclipsépar d'autres dans la catégorie « léger »,tels que Xfce ou LXDE. Qui se souvient del'entreprise malheureuse gOS de 2007-2008ouOpenGEUen2009, lesquelles disparurentrapidement après une courte période ?Même MoonOS est parti rejoindre Gnome

après sa version 3, en abandonnant e17.

C'est regrettable, d'autant que e17promet d'être un environnement debureau hautement configurable. Mais laversion e16, trop jeune et instable, alaissé un arrière goût à de nombreuxutilisateurs et ce sentiment persisteencore. Il est intéressant de noter queSynaptic propose toujours e16 dans seslistes, malgré le fait que son utilisationsoit déconseillée.

Bien qu'il puisse en exister d'autres, à

part Bodhi, je ne connais qu'une autredistribution basée sur Ubuntu et e17, àsavoir ExLight, venue de Suède (necherchez pas, il n'y aucune informationsur Distrowatch).

Les bases

Bodhi n'est pas aussi étrangère que sonnom semble l'indiquer. Prononcée commeil faut Bo-Di (et non Beud-Haï ou Beud-Hei comme je le pensais), elle est originairedes États-Unis et son développeur en chefest Jeff Hoogland. Le nom correspond aumot « illumination » en sanskrit, ce qui estapproprié compte tenu de l'environnementde bureau.

A l'inverse des autres distributions quichangent leur code de base comme le faitCanonical, Bodhi a toujours utilisé la version32-bit de Lucid Lynx (10.04 LTS) et di-pose d'une image téléchargeable d'environ375 Mo.

Pas d'autre manière de le dire sinonque Bodhi est minimaliste et les pro-grammes inclus se limitent au navigateurMidori (avec une navigation privée), LXTerminal(console), PCManFm (gestionnaire de fichiers),Leafpad (comparable à MS Notepad) et legestionnaire de paquets Synaptic. La version

BBooddhhii LLiinnuuxx


CRITIQUE : BODHI LINUXoriginale de Bodhi, la 0.1.6, venait avecFirefox 4 bêta, qui n'a pas été reconduit,sans doute pour économiser de la place,mais il y aurait eu encore pas mal d'espacelibre sur un CD, même avec les 40 Mosupplémentaires.

Site web

Après des années à faire des critiques surles sites web des systèmes d'exploitation,j'en suis arrivé au schéma habituel suivant :une page d'accueil, une autre pour mettreen avant les développeurs et vendre leproduit et, enfin, une dernière proposantle téléchargement. Occasionnellement unepage de forum ou type FAQ est présente,mais l'essentiel de l'information est souventpérimé et ça saute aux yeux que les dé-veloppeurs ne s'y investissent plus vraiment(l'émotion est partie, bébé).

Mais www.bodhilinux.com est l’exceptionà la règle , avec des informations complèteset pertinentes, des offres de programmesadditionnels rivalisant avec bon nombrede dépôts, des tutoriels en abondance etdes forums bien maintenus, avec souventdes réponses dans les minutes qui suiventles questions. De plus, ce site est gra-phiquement bien conçu et visuellementattirant.

Que ce soit voulu ou non, les déve-loppeurs de Bodhi ont de meilleurs tuto-riels sur Enlightenment que le site d'Enligh-

tenment lui-même (visitez-le sur www.en-lightenment.org).

Installation

Normalement, je ne donne pas de détailssur le mode live - c'est habituellement unsupport CD/DVD poussif, mais Bodhi aquelques suppléments à la routine quiméritent l'attention.

Deux choix doivent être effectuésavant d'avoir un boot complet, à savoir lechoix d'un profil, puis le choix d'unbureau. Cela va de « Bare » (nu) (papier-peint et rien d'autre) à Compositing (qui

est du code modifié de Compiz poure17). Entre les deux, vous verrez desoptions pour portables, ordinateurs debureau, netbooks ou encore tablettes,chacune d'elles ayant des caractéristiquestechniques et graphiques propres. Il n'y apas de mauvais choix dans ce groupe,bien que « Bare » se passe de tout saufd'un arrière-plan, ce qui peut paraître tropléger pour la plupart.

Ensuite, vous sélectionnez un thèmeparmi d'autres, tous plus plaisants artis-tiquement les uns que les autres ; doncfaites votre choix, ce choix pouvant êtrefacilement modifié ultérieurement.

La dernière pierre d'achoppement con-cerne les paramètres de rétroéclairagepar défaut, réglés sur noir faute d'unemeilleure description. Cela requiert unpetit voyage dans le menu des paramètres,qui peut paraître ardu lorsque l'écranressemble à New York City durant unblackout (ayez une torche à côté devous). Puisque mes précédents tests dee17 ne montraient pas cette caracté-ristique, je peux penser qu'il s'agit d'unemodification propre à Bodhi.

Malgré tout cela, le mode live démarreen 2 minutes en moyenne ; cependant,l'utilisation continue de ce mode estdifficile car tout changement disparaîtraavec l'extinction. Celles et ceux désirantla portabilité sont amenés à visiter le sitewww.pendrivelinux.com pour obtenir desinformations sur la création d'une cléUSB persistante (c'est-à-dire une clé quiretient tous les changements).

Ainsi, j'ai opté pour une installationcomplète, et il y a une agréable surprisederrière. Cela vous tente de deviner letempsd'installation?30,45ou60minutes?

Que pensez-vous de 8 ? Vous lisez bien,8 minutes. Bien régler les paramètresd'éclairage et faire une mise à jour de 50 Moprennent quelques minutes de plus, cequi fait moins de 15 minutes pour le tout.Maxi. Vraiment impressionnant, étant donnéque mes précédents tests sur des distri-

http://www.bodhilinux.com

http://www.enlightenment.org

http://www.pendrivelinux.com


CRITIQUE : BODHI LINUXbutions basées sur e17 n'avaient jamaisproduit de tels temps remarquables.

La seule autre ombre au tableau est legel final de l'écran. Au bout du compte, leCD s'éjecte mais l'écran final (gentimentdessiné avec des petites feuilles vertesen cascade de gauche vers la droite) refusede se fermer. Laissez danser les feuillesquelques minutes et ensuite appuyez surEntrée. Il ne gèlera plus.

Si vous vous posez la question, Bodhiprend approximativement 2 Go sur votredisque dur après installation.

Environnementgraphique

Même en entrant le login et le mot depasse de l'utilisateur, le temps de démar-rage à froid est respectable, de l'ordred'une trentaine de secondes. Celles et ceuxfamiliers de la Fedora 12 auront reconnula barre bleue glissant de gauche à droitesur l'écran pour indiquer la progression dudémarrage (pas de démarrage musical,cependant).

Pour autant que j'aimerais décrire lepremier bureau, cela est rendu compliquétant il y a de choix offerts ; toutefois, cer-tains attributs restent les mêmes, peuimporteleschoixet jevaisparlerdeceux-là.

Ce n'est pas la peine de chercherd'icônes sur le bureau. Il n'y en a aucuneet e17 n'en permet pas. Pas d'icône depoubelle, ni celle du dossier personnel, nimême pour les périphériques externesou les cartes. Vous aurez à accéder àceux-ci via le dossier personnel situé dansle menu principal.

À la place, e17 utilise des « étagères »(« shelves » autrement dit, des docks), desmodules et des gadgets. Les « étagères »peuvent être placées tout au long desbords de l'écran et vous pouvez en ins-taller plusieurs. Les modules et les gadgetspeuvent alors y être insérés (par exempleiBar, un module permettant de glisser-déposer des icônes de programme).

Un des aspects regrettable de e17, etl'une des éventuelles raisons pour laquellee17 n'est jamais devenu aussi populaireque Gnome ou KDE, est que la procédurepour ajouter, supprimer ou modifier n'im-porte lequel de ces zones, peut réelle-ment décourager les non-initiés. Les para-mètres du menu principal sont regroupésen 14 catégories, représentant pas loinde 80 sous-catégories. Ce n'est guèreintuitif et vous devrez passer pas mal detemps rien que pour mémoriser les menus.Une fois déchiffré, cela devient naturel.

Par exemple, changer les paramètresd'éclairage requiert 7 à 8 clics ou mou-vements de souris et n'est guère intuitif.

Beaucoup de débutants se sentironttotalement perdus la première fois.

Quant à l'accès au menu principal, deuxchoix sont possibles, le premier étant decliquer sur le bouton Enlightenment ouBodhi présent dans le coin gauche de laplupart des étagères (excepté pourl'environnement « Bare » (nu), puisqu'iln'a pas d'étagère). Cela ouvre un menu àla sauce « Gnome ».

La seconde méthode est de cliquergauche sur une partie vide du bureau,tout en restant éloigné du côté droit del'écran. Les menus de e17 sont délimitésen cascades vers la droite, ce qui, enétant trop proche du bord de l'écran, lesferaient disparaître dans le cyberespace.Pensez donc à cliquer plutôt vers lapartie gauche de l'écran pour contournerce problème.

Une autre particularité des menus dee17 est que le menu principal n'est passtatique dans le cas de la méthode « clic-gauche » ; le menu principal tout commeles menus secondaires se présentent encascade vers le haut, vers le bas lorsqueles listes de programmes défilent, à telpoint qu'il est parfois possible de fairedisparaître le menu principal de l'écran.

Concernant le bouton droit de la souris,celui-ci est actif uniquement sur les éta-gères, les modules ou gadgets, et seule-

ment pour les réinitialiser ou choisir desoptions. Cependant, si des applicationssont ajoutées aux favoris, un clic droit surune zone vide du bureau affichera un menupour ces dernières.

En substance, prévoyez de prendre unpeu de temps pour apprendre toutes cesprocédures.

Efficacitéopérationnelle

E17 est rapide. Extraordinairement, in-croyablement rapide. Sans aucun doutel'environnement graphique le plus rapideque j'ai jamais utilisé. Les programmes sechargent en quelques secondes. LibreOfficeWriter s'ouvre en 5 secondes et Gimp estprêt à utiliser en 10. Les mêmes pro-grammes mettront 3 à 5 fois plus detemps à s'ouvrir sur mon système sousGnome ou KDE.

Plus surprenant encore est l'usage desressources qui ne dépassent que trèsrarement les 20 % et peuvent descendreà 2 % au repos.

La compatibilité matérielle est exem-plaire, sans aucun téléchargement néces-saire, une chose rare, étant donné queGnome ou KDE en nécessitent 1 ou 2d'habitude. Le wifi, la carte graphique, lacarte audio sont opérationnels au premier


CRITIQUE : BODHI LINUXdémarrage, et j'ai été agréablement sur-pris de ne pas voir le message d'alerte« Matériel AMD non supporté ». La seulechose manquante est un ensemble depilotes d'imprimante, qui peut, toutefois,être ajouté ultérieurement (voir ci-après).

J'espérais mettre en exergue la con-sommation des batteries et la chaleurgénérée, mais Bodhi ne fait pas mieuxque ses homologues Gnome ou KDEdans ces catégories, malgré un usage desressources bien plus bas.

Ajout de programmes

Bodhi est léger à dessein, afin que lesutilisateurs puissent ajouter les programmesqu'ils veulent et, croyez-moi, vous le fe-rez très probablement. Midori est unnavigateur médiocre et Leafpad est toutaussi mauvais comme éditeur de texte.E17 étant neutre, il acceptera les pro-grammes aussi bien de Gnome que deKDE, mais il faut respecter un protocolequi est souligné sur le site web de Bodhi.

Il y a quatre façons d'ajouter desprogrammes - apt-get, apt-get modifié,le site web ou Synaptic. Parmi elles, jerecommande le site web en priorité.

Midori s'ouvre par défaut sur le siteweb de Bodhi. Allez sur le AppCenterdans le menu Ressources et vous verrez

une cargaison de programmes sélec-tionnés, incluant notamment les paquetsNikhila et Pratibha.

Nikhila (du sanskrit signifiant « ensem-ble, entier, tout, complet ») inclut dans530 Mo, Mirage, Adobe PDF Reader, Cheese,Firefox, gEdit, Handbrake, k3b, Libre-Office, Okular, Openshot, Qalculate, Pidgin,Printing, Rhythmbox, Shotwell, Simple Scan,Thunderbird, Transmission, VLC, Xchat etFilelight. Pratibha (du sanskrit « lumière,splendeur, intelligence ») apporte dans157 Mo, Claws, DeadBeef, ePDFView,ePhoto, Geany, Light Office (Abiwordplus un ou deux autres), Pinta, Qalculate,

VLC, Xchat et Xfburn. Des paquets spé-cifiques pour l'audio, la photo ou lesimages, la publication scientifique, l'éducation,le développement web, les médias en ligne,des jeux d'icônes et des thèmes GTK sontégalement proposés ainsi que des packsde services, trucs spécifiques à Internet,graphismes, mises à jour de noyau, mul-timedia, modules Enlightenment et d'autresextras.

Bien que certaines applications soientclassées dans plusieurs catégories, le totalde ces applications représente au basmot 2.5 Go de plus que l'installation deBodhi n'en utilise sur le disque dur.

Non seulement vous avez des pro-grammes en abondance, mais vous avezégalement des options pour les installerou les télécharger. « Installer » téléchargeet installe les programmes sélectionnésavec un minimum d'intervention de l'uti-lisateur, mais cette méthode est conçuepour être utilisée avec Midori ou Firefox(les fichiers ont des extensions .bod).

« Télécharger » n'est pas une méthodespécifique au navigateur puisqu'elle copiesimplement les fichiers dans le dossierpersonnel pour une utilisation ultérieure.

Alors que tout cela semble assezsimple, utiliser Synaptic et/ou apt-get peutprésenter des difficultés. E17 n'a aucunsouci avec les programmes de Gnome ouKDE, mais il trouve que les fichiersdépendants et « recommandés » sontdifficiles à digérer et ces deux dernièrestechniques les installent tous.

C'est ici que la méthode du apt-getmodifié entre en jeu. La commandehabituelle serait « sudo apt-get install »suivie du nom du programme, mais lesdéveloppeurs vous recommandent uneautre approche avec « sudo apt-get install–no-install-recommends » suivie du nomdu programme. Cela met effectivementde côté les dépendances supplémentairesnon nécessaires (cette technique estégalement mentionnée sur le site web


CRITIQUE : BODHI LINUXd'Ubuntu).

Est-ce que cela fonctionne ? Synapticet apt-get tentent d'installer 660 Mo defichiers lorsque je télécharge Kile (envi-ronnement complet pour faire du LaTex),mais l'utilisation de la commande apt-getmodifiée permet de réduire cela à 80 Moseulement et le programme fonctionneparfaitement. Donc oui, ça marche !

Alors que vous pouvez ajouter Ailurus,la Logithèque Ubuntu ou Ubuntu Tweakcomme gestionnaire de paquets, ils nepeuvent être utilisés que sous root (cequi signifie que les entrées dans le menuprincipal ne serviront à rien), nécessitantdonc la commande sudo dans un terminal(ailurus, software-center ou ubuntu-tweakprécédé de sudo), mais le risque d'incluredes fichiers non nécessaires est alors bienprésent.

J'ai appris à utiliser ces gestionnairesde paquets comme une ressource qui iden-tifie des programmes sur un thème etensuite je les installe via la commandemodifiée dans un terminal.

Que se passe-t-il si vous ne suivez pasce protocole ? Comme je l'ai découvert,vous remarquerez que les programmescommenceront à ralentir, e17 pourra seplanter de temps en temps, et lesoptions de login changeront peut-êtrepour inclure des bureaux Gnome et KDE

(ce sont des versions très sobres sousOpenbox avec le papier-peint et riend'autre).

Bien que la lenteur des programmessoit un problème, le plantage d'e17 estune espèce de bénédiction perverse etest aux antipodes de l'écran bleu de Win-dows. Les étagères, les modules et lesgadgets disparaissent totalement toutcomme la possibilité d'arrêter la machine(à part en appuyant sur le bouton power),mais tous les programmes continuent àfonctionner et les documents ouvertspeuvent être sauvegardés sans perte. Parexemple, je suis resté une fois plus d'uneheure avec mon bureau en panne et jen'ai rien perdu (la seule remarque est quele menu du clic-gauche continue de fonc-tionner pour ouvrir des programmes, maisil ne peut plus servir pour la déconnexionou l'arrêt - cette partie du menu dis-paraît). De temps en temps, il y a l'éternelgrain de sable qui fait disparaître desétagères et un ou deux gadgets quiplantent sans raison, mais c'est la vie. J'aieu les mêmes soucis sous Gnome, KDE ouWindows. Rien n'est parfait et même leplus vanté des systèmes d'exploitation,OS X, a ses soucis.

Par comparaison, j'ai installé Xfce enoption dès la connexion ; j'ai été quelquepeu surpris de voir qu'il utilisait le doublede ressources et que les programmesétaient notablement plus lents à répondre.

Bien que je n'aie pas eu à guetter desproblèmes de dépendances de Gnomeou KDE, un usage continu devint assezvite laborieux comparé à e17.

Analyse finale

E17 est un choix étrange pour unenvironnement de bureau, mais pasmauvais dans le long terme. Il est rapideet, la plupart du temps, fiable. Respectezles règles, ajoutez des programmes commeil faut et vous n'aurez aucun souci.

Sincèrement, j'ai commencé cette cri-tique avec des préjugés concernantEnlightenment et ses soucis passés, per-suadé qu'ils me gêneraient ; cependant,je dois admettre que Bodhi est vraimenttrès impressionnante. Elle est rapide,agréable esthétiquement, et le site webn'a pas son pareil.

Tout bien considéré, Bodhi est unexcellent choix pour celles et ceux quicherchent à commencer avec un systèmeminimal, en le construisant petit à petitavec ce qu'ils aiment. Il n'y a pas decontre-indication à un usage quotidien.

Je donne une note de 4 étoiles sur 5 àBodhi, soit une étoile en moins seulementparce que sa courbe d'apprentissagepourra déboussoler certains et que lesquelques bizarreries de l'environnement

de bureau nécessitent une attention touteparticulière lors de certaines actions,comme l'ajout de programmes.


CCOOUURRRRIIEERRSSTous les mois, nous aimons publier quelques courriels que nous recevons. Si vousvoulez nous envoyer une lettre, une plainte ou des compliments, veuillez les envoyer,en anglais, à : [email protected]. NOTE : certaines lettres peuvent êtremodifiées par manque de place.

Full Circle

Je dois admettre que lorsqu'Uni-ty et Gnome 3 sont sortis,aucun des deux ne m'a vrai-ment plu. Je me suis « fait les

dents » sur Ubuntu (circa 2005), et jel'ai utilisé pendant environ 1 an etdemi, avant de changer pour Mint.J'aime sa manière de présenter leschoses et sa facilité d'utilisation.

Lorsqu'Unity est sorti, il m'étaitimpossible de l'aimer. J'ai essayé lenouveau Mint, qui n'était pas trop mal,mais ne me donnait pas de contrôleou de confirmation visuelle. Par exem-ple, lorsque je jetais un œil à ma barrede menu du bas, je savais quellesapplications étaient en cours d’exé-cution, même si mes quatre bureauxétaient lancés.

En décembre, avec tout ces chan-gements, j'ai « bouclé la boucle »(désolé pour le jeu de mot) (Ndt :« FullCircle»)enrevenantversKubuntu.

C'est efficace, je peux le person-naliser comme j'en ai l'habitude, etc'est fiable. J'ai vraiment hâte que laversion LTS sorte. Et c'est ainsi que j'airenoué avec la famille *buntu.

Je lis le FCM depuis sa création, etj'aime la manière dont tout est pré-senté. J'ai les DVD de presque toutesles éditions du FCM, il n'y a que lesdernières que je n'ai pas pu graver.Ne vous découragez pas. Nous som-mes encore là, certains peuvent s'éloi-gner de temps en temps, mais finirontbien par revenir sur l'une des nom-breuses distributions *buntu.

Tom L

Windows 7

J'utilise Ubuntu comme systèmed'exploitation principal depuisquelques années maintenant,mais il m'est toujours néces-

saire de faire tourner Windows 7 dansune machine virtuelle, ce que je dé-teste faire. Certes, j'utilise Windowspour beaucoup moins de choses aufur et à mesure que le temps passe,mais je ne peux tout simplement pasme débarrasser de certaines applica-tions ! Toutes les grandes tâches sontdésormais traitées de façon plus quesatisfaisante par Linux ; c'est mainte-nant les petites choses liées aux péri-phériques qui sont à l'origine du pro-

blème. Par exemple, j'ai un GPS Garminque j'utilise souvent pour voyager.J'ai une carte d'abonnement à vie demise à niveau, mais je ne peux mettreà jour l'appareil Garmin que par l'inter-médiairedeWindows(ouMac).

J'utilise beaucoup Evernote - je l'aisur mon téléphone et sur ma tablette(tous deux sous Android), mais je doisutiliser Nixnote sur mon PC principal.L'équipe de Nixnote fait un travailformidable, mais le programme n'estpas aussi léger ou beau que la versionWindows. Je l'ai utilisé avec wine, et ilfonctionne, mais il est si lent qu'il endevient inutilisable. Evernote a répon-du à mes questions en disant que leursociété n'était pas assez grande pourcréer une version pour chaque OS.

J'ai une excellente tablette sousAndroid : l'Asus Transformer. Mais jen'arrive pas à la faire communiqueravec mon PC. Pourquoi ? Parce qu'Asusutilise des logiciels de connexion uni-quement pour Windows PC ou Mac.Je peux, bien sûr, passer au-delà deça, mais c'est toujours ennuyeux.

J'ai un téléviseur DLNA avec lecteurBlu-Ray. Je ne sais pas vraiment com-ment ils assureront le lien avec Win-

dows, mais je sais qu'il n'est pas facilede leur faire faire ce lien de manièreconstante et avec plus de fonction-nalités avec Ubuntu. Les serveurs DLNAque j'ai essayés avec Ubuntu étaient ca-pricieux et difficiles à utiliser dans lemeilleur des cas, et ne fonctionnaientpas du tout dans le pire. Peut-êtrequ'un bon article sur la manière debien réussir cette configuration seraitune bonne idée ? Je reste fermementengagé à utiliser Linux — je le préfèrepour beaucoup de choses, et chaqueversion est meilleure que la précé-dente. J'ai un Home Server égalementavec de la musique et des photosdessus, qui exécute également Ubuntu,ayant initialement été sous Windows

Rejoignez-noussur :

facebook.com/fullcirclemagazine

twitter.com/#!/fullcirclemag

linkedin.com/company/full-circle-magazine

ubuntuforums.org/forumdisplay.php?f=270

goo.gl/FRTMl


http://facebook.com/fullcirclemagazine

https://twitter.com/#!/fullcirclemag

http://linkedin.com/company/full-circle-magazine

http://ubuntuforums.org/forumdisplay.php?f=270

http://goo.gl/FRTMl


COURRIERSHome Server, sur lequel je ne revien-drai jamais.

Mike Anderson

Un vétéran

Je suis un vétéran des systèmesd'exploitation, ça fait plus de50 ans que je suis dans ledomaine. Mais oublions le

passé ! Voila une nouvelle année quinous apporte de très bonnes nou-veautés : le noyau Linux, Ubuntu, LinuxMint, et tant d'autres distributions deLinux.

De toutes celles que j'ai essayéesou avec lesquelles j'ai travaillé, Ubuntuet Linux Mint sortent du lot. J'ai vouluconvaincre de nombreux autres utili-sateurs de laisser tomber Microsoftpourprofiterd'unbienmeilleursystème.

J'ai 7 différentes distributions deLinux (en dual-boot ou sur Virtual-box). Mais maintenant, un incident deparcours est survenu. Ubuntu 10.04et Linux Mint se sont lancés dans denouveaux concepts qui, je pense, de-vraient être facultatifs.

Les connexions et traitements dansle Cloud sont de bonnes idées, maisqu'en est-il de ces nombreux utilisa-

teurs qui ont besoin uniquement deleur PC pour les mails, quelques texteset feuilles de calcul, certains jeux oupour les photos et les vidéos ? Qu'enest-il de cette porte ouverte auxréseaux sociaux (Facebook, Twitter,etc.) dont la plupart ne veulent pas.S'ils les veulent, ils peuvent installerce dont ils ont besoin. La sécurité doitêtre examinée sérieusement. Il estincroyable de voir ce que l'on peutapprendre sur une personne en faisantquelques recherches sur internet. L'an-cienne question de sécurité pour lesbanques demandant le nom de jeunefille de votre mère est maintenantune blague, il n'y a même pas besoind'Ancestry.com pour ça…

Jim Mechtel

Google Currents

Je voulais juste dire un grandmerci pour tout le travail faitdans la création du GoogleCurrents, ainsi que pour la

version Kindle du Full Circle Magazine.

Je pense que cela représente vrai-ment le futur, vu le nombre de per-sonnes possédant des smartphonesou tablettes en tout genre et qui,sans doute comme moi, se retrouvent

à utiliser leur ordinateur de moins enmoins.

Google Currents, d'après ce que jesais, n'est pas encore disponible dansle Royaume-Uni, même si une petiterecherche Google avec « Google Cur-rent APK » nous indique où et commentle télécharger de là-bas. Soyez sûrd'avoir coché « Sources inconnues -Autoriser l'installation d'applicationsne provenant pas d'Android Market ».Currents se téléchargera et s'installeratout seul joyeusement.

Même si la version Google Cur-rents du FCM est déjà très bien, etjoliment agencée, pourrais-je avoir l'au-

dace de suggérer l'insertion d'imagesici ou là, ce ne serait pas une mauvaisechose [c'est fait ! Ed]. Je comprendsparfaitement pourquoi elles ont étémises de côté, toutefois la majoritédes lecteurs ont une bonne connexionet seraient en mesure de téléchargerla dernière version via le Wi-fi à lamaison, puis emporter le FCM par-tout où ils vont.

Bryan


COURRIERS

Directory Opus

J'utilise actuellement DirectoryOpus sous Windows 7 pour gérermes actions quotidiennes, tellesque lire mes pdf, odt, power-

point, voir mes documents HTML, affi-cher mes photos, JPG, PNG, TIF, GIF.Les gestionnaires de fichiers Dolphinet Nautilus me laissent sur ma faim,car leurs possibilités sont tellementlimitées qu'ils ne peuvent pas répondreà mes besoins quotidiens dans ce do-maine. Directory Opus autorise le zip/un-zip, fait des diaporamas des photos,joue la musique, joue les vidéos et lesFlv Flash, permet de définir le nombrede fenêtres pour faire un affichagedouble des données, modifie la tailledes aperçus de vos photos selon vosgoûts et convertit en format photos.Est-ce que quelqu'un connaît un ges-tionnaire de fichiers plus puissant queceux proposés par Ubuntu, et qui sontcompatibles avec Ubuntu/Kubuntu ?J'ai essayé Directory Opus et PowerDesk avec Wine il y a quelque temps,mais il y a quelques incompatibilitésdans le rendu de l'interface, et je nevoudrais donc pas les adopter, je pré-férerais utiliser un utilitaire natif. Ubuntua besoin d'un gestionnaire de fichierscomme celui-ci pour faciliter la vie detous les jours, sans qu'il soit néces-saire d'ouvrir des programmes plu-

sieurs fois juste pour jouer ou afficherquelque chose. On a parfois besoin dejuste regarder plutôt que de modifieret un utilitaire comme celui-ci estvraiment utile.

Brian Hartnell

La réponse de Ronnie : Je ne peuxpasvraimentvousaiderpourlegestionnairede fichiers, mais la dernière fois que j'aiutilisé Directory Opus c''était sur monAmigaA500. Ah !quedesouvenirs!

Gord ajoute : Dans une large mesure,toute laphilosophiedeLinuxestd'avoirdepetitsprogrammesquifontcertaines

choses correctement et peuvent êtrereliés à d'autre programmes qui fontd'autres choses aussi bien. Donc, parexemple, appuyer sur Entrée vous em-mènera dans l'Oeil de Gnome, qui peutfaire des diaporamas d'images en pleinécran.

Mon grain de sel sur Unity

J'ai 45 ans de carrière en tantque développeur de logiciels,en année sabbatique depuisquelque temps, et ça fait en-

viron 3 ans que j'utilise Ubuntu. Je suiscomplètement converti à Linux et aux

logiciels libres,et leurferventdéfenseur.Mon expérience de Linux est

marquée par les libertés et toutes lespossibilités que cela représente. Noussommes libres d'utiliser à peu prèstous les dispositifs que l'on souhaite,de la manière dont on le veut, quelleque soit la distribution et/ou lepaquet utilisé, puis contribuer en retourquelles que soient nos capacités. Aprèsavoir travaillé quelques années dans desîlots techniques, cette liberté brille demanière éclatante.

De nombreux arguments à proposd'Unity ne semblent pas prendre encompte un facteur important : chaquepersonne a sa manière de travailleravec Ubuntu. J'utilise actuellement lebureau classique de la 11.04 qui aévolué, en grande partie grace à lacontribution du FCM, vers un systèmequi correspond parfaitement à la manièredont j'utilise mon PC/portable. Duranttoutes ces années, aucune autre ins-tallation ne lui est arrivée à la chevilleen terme de facilité d'utilisation. J'aiessayé Unity et ça ne me convenaitpas. Ce n'est pas cela qui fait qu'Unityest bon ou mauvais. C'est juste que çane me va pas.

C'est là que toute la beauté de laliberté de Linux entre en jeu. Unityn'est qu'une autre idée dans le mondede Linux et s'il ne vous convient pas,vous êtes libres de faire les chosesautrement. Ainsi, si les choses se gâtent,


COURRIERSou si je prends une autre direction etque j'ai du temps, je chercherai unedistribution qui aura au moins lesmêmes performances que maconfiguration actuelle.

Alors que l'exploration de nouveauxlogiciels et de distributions peut êtreun aspect agréable de Linux, lorsquevous trouvez une configuration quifonctionne pour vous - et, tout aussiimportant, que votre matériel suive -vous devenez réticent à faire de grandschangements. Après tout, c'est ce quenous faisons avec la technologie quicompte,etnonlamanièredontonlefait.

Gerard Nash

Synchronisation de laLogithèque

La dernière version de la logi-thèque Ubuntu, introduitedans Ubuntu 11.10, possèdeune fonctionnalité intéressante

qui est la synchronisation entre ordi-nateurs. Celle-ci peut être utilisée denombreuses manières, mais surtoutpour comparer deux installations d'Ubun-tu et noter quel logiciel est installé oumanquant d'une installation à l'autre,et d'avoir la possibilité d'installer lespaquets manquants dans l'installationactuelle.

Mais voici le problème.

Même si vous êtes en train desynchroniser, ou en train de choisir etinstaller des logiciels manuellementvia la logithèque d'Ubuntu, il n'y a pasde file d'attente des paquets que l'onsouhaite installer. Ça commence parinstaller le premier paquet directementet si l'on souhaite installer d'autrespaquets, ils attendent leur tour pourêtre installés. Avec chaque paquet sélec-tionné pour installation, l'ensemble dusystème devient de plus en plus lent.De plus, si vous effectuez cela enutilisant la fonctionnalité de synchroni-sation, après chaque sélection de pa-quet, il redessine la totalité de l'écranaffichant la liste des paquets man-quants, mais au tout début de la liste,pas là où vous l'avez laissé. Cela forcel'utilisateur à redescendre vers l'ancienneposition avant de continuer à exa-miner les autres paquets.

Voici ce qui devrait être fait :

1) Permettre à l'utilisateur d'arrê-ter la file d'attente et sélectionnerun/tous les paquets qu'il désire ins-taller. Cette sélection serait ajoutée àla file d'attente et, lorsque l'utilisa-teur a terminé de sélectionner tousles paquets qu'il souhaite installer, ilpeut relancer la file d'attente, et aller

prendre un café tandis que la logi-thèque effectue toutes les instal-lations, sans délai ou intervention del'utilisateur.

2) Lors de la sélection du logiciel àinstaller, la liste des logiciels devraitrevenir à la dernière position connue,une fois le paquet sélectionné.

3) L'utilisateur devrait être capabled'imprimer une liste qui afficherait lesdifférences entre les logiciels installésd'une installation d'Ubuntu à une autre.

4) Il devrait y avoir des préférencesutilisateurs qui autoriseraient la logi-thèque Ubuntu à être l'installateurpar défaut, ou alors permettre à gdebid'être utilisé par défaut.

Al Heynneman

Bien équilibré

Bien que je ne sois pas unsuper utilisateur dans lemonde de Linux, je suisbien équilibré, et un être

entier. J'utilise des PC, puis des Macsdepuis que ceux-ci ont une poignéesur le dessus. Ces deux plateformesrendent le partage de dossiers sacré-

ment facile, et ma maison possède denombreux ordinateurs. Pourquoi est-ce toujours aléatoire, avec Ubuntu, deréussir à se connecter et/ou à partageravec les autres machines de la maison ?Je peux voir tous les partages desautres plate-formes, mais je ne peuxpas m'y connecter. Je fais planterSamba à chaque fois. Partager undossier avec MAC, c'est super simple.Les PC, ou les autres MAC, n'ont aucunproblème d'accès aux dossiers parta-gés. Ma machine Linux, pour mesfilms (branchée à ma TV), ainsi qu'unvieux netbook (Linux), pas moyen. Jesuis vraiment frustré, et c'est peudire. Est-ce que quelqu'un pourraitme donner un moyen simple departage ? La chose la plus simple seraitde rendre disponible mon lecteur defilms sur ma machine Linux vers mesPC Windows, mes MAC et mon autrenetbook. Mes deux machines Linuxfont tourner la dernière versiond'Ubuntu et sont à jour.

Mike Todd


CCAASSSSEE--TTÊÊTTEESi vous souhaitez soumettre un casse-tête pour la publication, envoyez un courriel à :[email protected]. Les solutions sont sur l'avant-dernière page de cenuméro. Pas de triche !

Les solutions de tous les casse-tête sont sur l'avant-dernière page de ce numéro. Pas de triche !

Across:2. Very massive warehouses start off with this emulator (6)4. Speak rapidly with word starter on a microblogging client (7)5. Dreamy, like 11.10 (7)8. Media center OS - is it real, or like an unicorn(9)13. Spanish insanity for linux users in a neighbourhood, maybe?14. A definite anteater?(7,8)15. None confirms hides, synchronizing mechanism for Ubuntu One (7)16. An implementation of the S.C.U.M.M. interpreter for Linux (7)

Down:1. Sail by turbidity for an OS for Muslims (6)3. Painter unknown gives an OS for graphics (7)6. Say Ubuntu, speak this language (5)7. Jaded up, unraveled for a backup tool (4,3)9. The Debian almquist shell or short sprint (3,4)10. To run Linux commands on a windows system, turn back New York cityand put a wig in! (6)11. Jumpy? OS for users in Quebec (9)12. Test total for hash sum (8)13. They may be convex, concave, or in the Unity interface (6)

Mots croisés par Ilavenil Thirumavalavan



QQ&&RRCompilé par Gord Campbell

Si vous avez des questions sur Ubuntu, envoyez-les en anglais à :[email protected], et Gord y répondra dans un prochainnuméro. Donnez le maximum de détails sur votre problème.

QLors de mon passage de laversion 32-bit à la version64-bit d’Ubuntu, la quantitéde mémoire vive (RAM) dispo-

nible a diminué de 100 Mo (passée de3,9 Go en 32 bits à 3,8 Go en 64 bits).Pourquoi ?

RLa carte graphique utilise

une partie de la RAM etcette quantité est passéede 128 Mo à 256 Mo.

Q Mon ordinateur possède undisque dur de 250 Go. Lors-que je lance mon analyseurd’utilisation des disques, celui-

ci me dit que la capacité totale est de244 Go, mais si je regarde du côté dumoniteur système, celui-ci m’indiqueque le total est de 227,3 Gio (Gibioctet).

R244Go=227Gio.Vouspouvezessayer vous-même : 227.3 x1024 x 1024 x 1024 = 244 Go.Les commerciaux indiquent

le nombre le plus grand.

Q Jesuisentraind’utiliserripperx,mais les seules options pro-posées sont pour le mp3 etle wav. Comment puis-je l’uti-

liser pour encoder en FLAC ?

RIl faut installer le paquet

« flac » avec Synaptic, puisouvrir ripperx et cliquer sur«Configuration».Sousl’onglet

mp3, changer le greffon d’encodageen Flac.

Q Lorsque je lance un script, ils’arrête à la ligne suivante :

mdb $(echo 'hostname') return

site > _temp.out

RMdb est le Mono Debug-

ger, qui attend une saisiedu clavier. Vous avez redi-rigé la sortie vers un fichier,

vous ne pouvez donc pas voir ce qu’ilveut.

QComment faire démarrermon Dell Dimension 2350via USB ?

RPlop Boot Manager tien-

dra sur disquette et peutfaire le lien avec un péri-phérique USB.

http://www.plop.at/en/bootmanagers.html

QPuis-je lancer Ubuntu sansdisque dur ?

ROui, vous pouvez utiliser leLiveCD ou un LiveUSB. Vouspouvez même installer Ubun-tu sur une clé USB et le

lancer à partir de celle-ci.

QTVTime fonctionne enfin surma machine AMD64. Cepen-dant, le gestionnaire de miseà jour continue à me sug-

gérer d’installer la dernière version quine marche pas bien pour moi.Comment puis-je forcer le système àrester avec la version actuellementinstallée ?

RInstallez puis lancez Sy-

naptic Package Manager (ges-tionnaire de paquets Synaptic).Cherchez TVTime. Cliquez

sur le paquet et sélectionnez Bloquerla version (Lock Version).

QQu’en est-il de Java 6 deSun ?

RJetez un coup d’œil à ce

site : http://www.ubuntu-geek.com/install-sun-java-6-in-ubuntu-11-10-using-ppa.html

Cependant, il vaut probablementmieux installer OpenJDK Java 7, qui com-prend le icedtea-plugin et openjdk-7-jre. Voir ici http://www.futuredesk-top.org

QComment puis-je obtenirune liste des ordinateursprésents sur mon réseau ?

RSi Samba est installé, vous

pouvez utiliser la commande :smbtree.


http://www.plop.at/en/bootmanagers.html

http://www.ubuntugeek.com/install-sun-java-6-in-ubuntu-11-10-using-ppa.html

http://www.futuredesktop.org


Q & R

QQuand j’essaye de diminuerla luminosité sur mon ordi-nateur portable via les para-mètres système il ne se

passe rien.

ROuvrez la console et sai-

sissez cette commande :

xgamma gamma .5

Vous pouvez essayer d’autres valeursque .5, pour voir ce qui vous plaît leplus.

Q Sous Kubuntu 11.10, lors-que j’essaye de lancer la miseà jour de logiciels, je reçoisun message indiquant qu’un

autre gestionnaire de paquet est déjàen cours d’exécution.

RL’incantation magique :

sudo dpkg configure a

sudo aptget install f

Redémarrez et lancez la mise à jourde logiciels.

QJ’ai parfois besoin, pour diffé-rentes raisons, de construirequelque chose à partir de lasource (je suis sûr que tout

le monde le fait). J’aimerais que cesprogrammes apparaissent dans lesrecherches du dash de Unity, commeles applications installées à partir dela Logithèque.

R(Merci à stinkeye des forumsUbuntu.) Si vous l’ajoutez àalacarte (menu principal), ledash va le trouver. Vous

devrez peut-être installer alacarte.

Q J’ai un Toshiba SatelliteL645D. Quand j'appuie surle bouton d’alimentation, ildémarre automatiquement

Ubuntu, comment puis-je démarrer àpartir d’un CD ?

R(Du rédacteur d’origine.)

Apparemment il faudraitcommencer à appuyer surF2 AVANT le bouton d’ali-

mentation.

Gord ajoute : sur d’autres ordinateursle bouton magique peut être ESC,DEL, F1, F2 ou F12.

Deux astuces ettechniques

Progressez rapidement !

Je vois de nombreuses personnesqui ont de gros problèmes lorsqu’ellesutilisentuneancienneversiond’Ubuntu.

De nombreux nouveaux matérielssont apparus depuis la dernière versionLTS (Long Term Support), Ubuntu 10.04.Il n’est pas réaliste de s’attendre à ceque ces matériels soient reconnus parun systeme d’exploitation qui leur estantérieur.

Même avec du matériel plus ancien,il peut y avoir des problèmes. Par exem-ple, Ubuntu 10.04 (et les versions pré-cédentes) souvent ne fait pas la tran-sition entre les haut-parleurs et lesécouteurs correctement. Pour de nom-breuses cartes son, ce problème estrésolu dans les versions les plusrécentes.

La nouvelle version LTS, Ubuntu12.04, sort prochainement. Je m’en-gage sur un chemin délicat, mais jesuggère à tout le monde d’installer ladernière version, certainement d’ici lami-été. Certains n'aiment pas l’inter-face Unity, ils auront donc plusieurschoix : Kubuntu 12.04, Lubuntu 12.04,Xubuntu 12.04 ou Linux Mint 13.

Si vous ne savez pas quoi faire,dépensez 6 $ (ou l’équivalent) pourune clé USB de 4 Go, téléchargez cer-taines de ces versions et voyez la-quelle vous correspond le mieux. Laseule option inacceptable est derester avec un systeme obsolète.

Tout ce que vous savezsur les pilotes est faux

« Mon ordinateur n’a pas d’accèsinternet. Puis-je télécharger des pilotessur ma clé USB depuis une machineconnectée à Internet et ensuite lesinstaller sur mon système Linux ? »

« Où dois-je aller chercher despilotes après l’installation de base ? »

La plupart des choses que voussavez a propos des drivers nes’applique plus. Cependant c’est undomaine qui est plus facile si vousdisposez d’une connexion Internet.

La plupart des pilotes sont fournisavec le noyau. Parlons de quatretypes de pilotes : Carte graphique,carte reseau WiFi, imprimante etwebcam.

Pour les deux premiers, on lancehabituellement un programme appelé


« Pilotes supplémentaires » qui in-dique s’il y a des pilotes graphique ouWiFi disponibles à l’installation.

Le WiFi est un cas particulier : denombreuses cartes sont gérées nati-vement, pas besoin d’installer de pilote.D’autres ont un pilote installable endeux clics par les « Pilotes supplé-mentaires » (à condition d’avoir uneconnexion Internet par ethernet), cer-taines nécessitent le pilote Windowsassocié à quelque chose appeléNDISWrapper, d’autres enfin ne fonc-tionneront jamais. Si les deux pre-mières options ne marchent pas pourvous, cherchez sur Google.

Imprimantes : Lorsque j’installe unenouvelle version de Linux, j’allumemon imprimante réseau, lance un pro-gramme appelé « imprimantes » etclique sur « ajouter ». Quelques clicsplus tard, elle fonce sur Internet,installe le pilote approprié et l’impri-mante fonctionne. À part cette ap-proche, vous pouvez aller sur le siteweb du fabricant et récupérer lepilote Linux, ainsi qu’un autre logicielrequis. PITA [Ndt : Pain In The Ass ouemmerdant].

Selon mon expérience, les webcamsfonctionnent bien ou pas du tout. Jesuis spécialisé dans les webcams paschères venant de Chine et elles ont

toutes fonctionné pour moi nativement,sauf avec Ubuntu 10.10 qui a né-cessité des lignes de commande inha-bituelles.

Curieusement, quelques-uns des piresproblèmes de pilotes se rencontrentavec du matériel très récent. Mêmequelque chose d’aussi simple qu’unecarte Ethernet pourrait ne pas êtrepris en charge jusqu’à quelques moisapres sa sortie, et tout ce qu’il y a àfaire est d’attendre (ou brancher uneancienne carte Ethernet pour le courtterme - elles ne sont pas chères).

Q & R

Après une longue carrière dans l'indus-trie informatique, y compris une périodecomme rédacteur en chef de ComputingCanada et Computer Dealer News, Gordest maintenant plus ou moins à la retraite.

Zéro temps d'arrêt

Below Zero est un spécialiste d'hébergement de serveurs en implantationde proximité au Royaume-Uni.

Contrairement à d'autres, nous ne fournis-sons que l'espace rack et la bande passante.Cela rend notre service plus fiable, plusflexible, plus concentré et plus compétitifquant au prix. Nous nous spécialisons uni-quement dans l'hébergement de serveurs etde leurs systèmes près de chez nous, au sein des Centres de données écossais.

Au cœur de l'infrastructure de nos réseauxest le routage BGP4, à la pointe de latechnologie, qui fournit une livraison opti-male des données et aussi un procédéautomatique en cas de panne faisant appelà nos multiples pourvoyeurs remarquables.Les clients peuvent être certains que labande passante proposée est de qualité maximale ; notre politique estde payer plus pour les meilleurs pourvoyeurs et, parce que nousachetons en gros, nos prix extrêmement compétitifs ne sont pas impactés.

Chez Below Zero, nous vous aidons à atteindre Zéro temps d'arrêt.

w w w . z e r o d o w n t i m e . c o . u k

http://www.zerodowntime.co.uk

http://belowzero.biz


JJEEUUXX UUBBUUNNTTUUÉcrit par Riku Järvinen ÉÉmmuullaattiioonn SSNNEESS

Salut à tous! Ce mois-ci com-mence une série d'articlessur bsnes, un émulateurmulti-plateforme Super Nin-

tendo qui veut avoir une précisionmaximale sans piratage et sans tricherie,en se concentrant sur un code propre.Selon le site internet du projet(http://byuu.org/bsnes), cela impliqueune contrainte de calcul supplémen-taire. Ils disent que Bsnes nécessiteau moins un processeur Core 2 Duoou un processeur AMD Phenom pourfonctionner avec fluidité.

Dans ce numéro, l'installation deBsnes (v 0.84), le téléchargement ainsique le nettoyage de ROM et enfin lescaractéristiques de base de Bsnes ontété testés sur Ubuntu 11.10 Oneiric32 bits. Une certaine familiarité avecl'émulation est supposée, mais vouspourrez en apprendre tout le long dece parcours. Le but de ces articles estde bien faire fonctionner les jeux avecun minimum de surplus technique.

L'installation de Bsnes :

unesolutiondecontournementavecdesfichiers.deb

Alors que je cherchais sur le Web

des didacticiels d'installation de bsnes,un seul m'a réellement convenu. Plu-tôt que de compiler le code source etde fouiller dans des documentationstechnophiles, je vous présente uneautre solution avec des fichiers .debqui est à la fois facile à mettre enœuvre et qui fonctionne comme uncharme. Nous utiliserons la version 0.84de bsnes, car c'est celle-ci qui seraincluse dans Ubuntu 12.04 LTS Precise.

Pour commencer, vous devriez avoirquelques outils de développement ins-tallés. Si ce n'est pas le cas, collez cequi suit dans une fenêtre de terminal.Donnez votre mot de passe lorsquevous y êtes invité.

sudo aptget update

sudo aptget install build

essential gcc4.6 g++4.6

libgtk2.0dev libqt4dev

sudo aptget install

libsdl1.2dev libpulsedev

libopenaldev libaodev

libxvdev

Ensuite, ouvrez Firefox et allezdans Mises à jour Ubuntu pour Bsnes(http://www.ubuntuupdates.org/package/core/precise/universe/base/bsnes).

Sélectionnez et téléchargez le paquet.deb 32-bit (en supposant que vousavez un système 32-bit) et allez à votredossier Téléchargements. Installez Bsnesavec :

sudo dpkg i bsnes_0.084

1_i386.deb

Si tout va bien, vous devriez main-tenant être en mesure d'exécuterbsnes via le Dash de Unity en tapant« bsnes » et en sélectionnant l'appli-cation. Une fois bsnes lancé, vouspouvez choisir entre Cartridge (car-touche), Settings (paramètres) et Tools(outils) dans la barre supérieure.Maintenant que tout est prêt, nousallons nous intéresser au moyen de seprocurer des ROM, et comment les« purifier ».

Télécharger des ROMet les nettoyer

Même s'il existe un grand nombrede sites permettant d'obtenir des ROM,

gardez en tête que vous devez sup-primer le fichier 24 heures après l'avoirtéléchargé, si vous ne possédez pas lescartouches originales. Si vous souhaitezcontinuer à jouer, il est toujours pos-sible d'acheter les originaux sur eBayou autres sites d'enchères.

Après le téléchargement, les ROMdoivent être « nettoyées » des donnéesd'en-tête de copie (pour une explica-tion plus claire, se référer au guided'utilisation de bsnes :(http://byuu.org/bsnes/user-guide).Contrairement à certains émulateursbien connus, bsnes ne supporte pasles fichiers compressés (.zip) ou SuperMagicom (.sms). Avant de jouer, nousavons besoin d'utiliser snespurify, unoutil inclus dans l'installation debsnes. Ouvrez le Dash de Unity, tapez« snespurify » et lancez l'application.Choisissez le dossier contenant lesROM à purifier (la plupart du tempsdans « Téléchargements » si vous avezpris les ROM sur le web) et cliquez sur

http://byuu.org/bsnes

http://www.ubuntuupdates.org/package/core/precise/universe/base/bsnes

http://byuu.org/bsnes/user-guide


Riku Järvinen (rierjarv) est un étudianten informatique finlandais qui, de tempsen temps, se penche sur Linux et lemonde des jeux Open Source.

JEUX UBUNTU - ÉMULATION SNES« Correct ». Cela ne devrait prendreque quelques secondes pour reconfi-gurer les fichiers. Une fois que le pro-cessus est terminé, vous pouvez choisirle jeu auquel vous voulez jouer depuisle menu Cartridge de bsnes.

Quelques configurationsde base

C'est assez rare que bsnes fonc-tionne parfaitement après son installation.Il y a beaucoup de paramètres à per-sonnaliser et nous allons regardercela de plus près à la prochaine étape.En attendant, voici quelques conseilspour faire fonctionner les options debase. Gardez en tête que certains pa-ramètres sont spécifiques à une machineou à un jeu, donc ajustez le pro-gramme selon vos besoins. Tous lesparamètres non décrits ici devraientêtre laissés à leurs valeurs par défaut.

Settings > Configuration >

Audio: Frequency 44.1kHz,

Latency: 40 ms, Resamp.

Hermite


Advanced: Video OpenGL, Audio

PulseAudioSimple


Input > Snes: Cont. port

(define your controls)

Un des grands avantages de ce logi-ciel est de pouvoir modifier les para-mètres graphiques sans avoir besoinde redémarrer la ROM. Cela vous faitaller considérablement plus vite, carvous voyez instantanément les effetsproduits. Essayez d'expérimenter lesdifférents filtres vidéos et les outilspour ombrer si vous souhaitez testervotre machine. Les filtres, en parti-culier, requièrent de nombreuses res-sources. Ajouter un Joystick USB sefait facilement depuis les paramètresd'entrée : cela fonctionne directement.

Il m'est arrivé une fois que mes con-figurations disparaissent, et j'ai dû re-configurer l'emplacement des touches,jen'aipaseud'autresproblèmes depuis.

Premières impressions

J'ai testé bsnes avec : Chrono Trig-ger, Donkey Kong Country, Lufia 2,Super Mario All-Stars, Final Fantasy 6et Mega Man X. En tant que joueurayant une expérience de plus de 200heures de zsnes (http://www.zsnes.com)je dois avouer que bsnes fait un bienmeilleur travail quand on parle deprécision et de qualité de l'émulation.Cependant, cela se fait à un prix trèslourd en terme de calcul. Sur monordinateur de bureau (E6750 Core 2Duo, 4 Go DDR2, GeForce 8800 GTS,320 Mo et disque dur 1 TB) il y aencore un ralentissement notable. Jepourrais envisager une mise à niveaude la carte graphique, bien que je nesois pas complètement sûr qu'ils'agisse de l'origine du problème.

Plus d'informations

Si vous souhaitez en savoir plus, pre-nez le prochain numéro du FCM quand il

sortira dans un mois. En attendant, jevous encourage à visiter la paged'accueil Bsnes (http://byuu.org/bsnes).Byuu, un développeur, a écrit unegrande partie de l'information détailléesur l'émulation avec snes ainsi qued'autres sujets liés à des logiciels.

Dans le prochain numéro, je meconcentrerai sur d'autres paramètresavancés de bsnes et vous expliqueraicomment modifier les fichiers de con-figuration manuellement en utilisantun éditeur de texte.

http://byuu.org/bsnes

http://www.zsnes.com


Avec le nombre excessif desorties récentes de RPG(Ndt : jeux de rôle) sur lesprincipales consoles, je ne

peux m'empêcher d'être un peujaloux et inquiet vis-à-vis de la sortied'un jeu de rôle approfondi pour Linux.Heureusement pour nous, les joueursUbuntu, les développeurs de Kot-In-Action travaillent sur un RPG à lapremière personne excitant appeléTomes of Mephistopheles (ToM). Lejeu est actuellement en version alpha,et vous pouvez aider à financer ledéveloppement en achetant la versioncomplète, un jeu sans DRM sur le siteofficiel de Kot (http://tom.kot-in-action.com) ou par l'intermédiaire deDesura. J'ai récemment eu le plaisirde bavarder avec Alexander Zubov,co-créateur de ToM ainsi que de lasérie à succès, Steel Storm 2010. Alexan-der a eu la gentillesse de partagerquelques détails sur son nouveau pro-jet et quelques réflexions sur les pro-jets de Kot-in-Action dans un avenirproche.

Quand et comment avez vouscommencé avec Kot-in-Action Crea-tive Artel ?

Kot-in-Action Creative Artel a été

fondé en 2008, juste avant l'événementen ligne QuakeExpo 2008. J’ai entenduparler du moteur de jeu DarkPlacesdes années auparavant, et je voulaisl’utiliser pour un jeu autonome. Le rôlede directeur artistique et de graphisteen général était tout naturel pour moipuisque je viens du milieu du design etdu graphisme. J’ai commencé à tra-vailler sur mon premier jeu appelé« Prophecy: Return of the Blademaster »et rapidement j’ai réalisé que j’avaisbesoin d’un programmeur pour m’aiderdans ce projet. Personne n’a voulum’aider car ce projet était au stade dela pré-production. J'ai donc décidé deretrousser mes manches et de pro-grammer le jeu moi-même. Le projetavançait très bien et je voulais leprésenter à la Quake Expo. Cepen-dant je voulais vraiment qu’il éclate,pour ainsi dire, et j’ai donc de nou-veau demandé de l’aide. Cette foisl’un des programmeurs les plus émi-nents de la communauté de moddingde Quake, Clay « daemon » Cameron,m’a offert de l’aide sur Prophecy.C'est ainsi que s’est formée l’équipede Kot-in-Action, et le prototype dujeu a été mis sur pied en seulement 3semaines avant la Quake Expo.Prophecy a été accueilli chaudement

par la communauté de modding deQuake, et nous avons décidé de lecommercialiser. Bien qu’ayant un peud’expérience en modding, faire un jeucomplet commercial a été une histoirecomplètement différente. Prophecy de-mandait beaucoup de création artistique.Comme nous ne connaissions pasvraiment notre potentiel, nous avonsdécidé de proposer un jeu à pluspetite échelle. Steel Storm est né etle reste appartient à l'histoire.

Parlez nous de Tomes of Mephis-topheles.

Tomes of Mephistopheles est unRPG à la première personne d’explorationde mondes et de donjons générésaléatoirement. Il y a des combats ra-pides et fluides (inspirés de vieux jeuxd’école comme Hexen/Heretic), de nom-breuses armes magiques et médié-vales, ainsi qu’un système de sortspersonnalisé et approfondi (pas quelquechose qu’on voit dans de nombreuxjeux de type RPG). Les joueurs aurontà explorer de vastes donjons à larecherche d’anciens grimoires (Ndt :ancient Tomes). Sur son chemin le joueurdevra combattre différents monstres,

JJEEUUXX UUBBUUNNTTUUÉcrit par Jennifer Roger TToommeess ooff MMeepphhiissttoopphheelleess

http://tom.kot-in-action.com


JEUX UBUNTU- INTERVIEW ToMchercher des objets/équipements/armes,découvrir des secrets, achever desquêtes, améliorer ses compétences,développer de nouveaux sorts, et maî-triser de nouvelles armes. Les joueurspourront créer des équipements, desarmes, des sorts et utiliser des grot-tes comme abri. Les donjons et autresstructures peuvent être détruits parune multitude de moyens, et se con-nectent avec la surface et le mondeextérieur lui-même relié à plusieursautres donjons. Les donjons peuventêtre reliés entre eux et si une con-nexion n’existe pas le joueur peut lui-même la creuser. Le plateau de jeu etles donjons accueillent des villes et/oudes campements avec des structures,des PNJ (personnage non joueur) etdes créatures diverses avec qui il est

possible d'interagir. De plus les joueursne seront pas limités à un seul monde.Les joueurs peuvent générer de nou-veaux donjons et continuer à faireévoluer leur personnage, ou utiliserce personnage via internet et com-battre un autre joueur dans son propremonde, ou collaborer dans une quête,ou même aider à construire certainesstructures si le propriétaire du serveurle permet.

Quelles sont les nouvelles fonctionsque l'on peut attendre dans les versionspost alpha ?

Nous avons prévu d’ajouter plus dedétails architecturaux, de manière àce que le donjon n’ait pas l’air si vide.Les sauvegardes de la progression dujoueur et du donjon sont en cours. Le

mode multi-joueurs. Plus d’ennemis,d’équipements et d’armes. Des donjonsde plusieurs étages. Tout ceci arriveratrès bientôt.

Qu’avez vous appris en développantSteel Storm que vous avez incorporéà ToM ?

Sortir des versions régulièrement.Pas de supports de différentes langues(tout le monde comprend l’anglais àun certain niveau, et coordonner lestraductions sur un texte en constanteévolution est vraiment trop compliqué).Pas de support des Mac avant lasortie (nous n’avons pas de Mac, etbien que le moteur tourne sur Mac,tester sans avoir un Mac s’est avéréêtre un vrai désastre). Utiliser lesréseaux sociaux le plus possible.Réutiliser les ressources disponibles.

Y aura-t-il de futurs épisodes(comme pour Steel Storm) ou des DLC(Ndt : Downloadables Contents : Conte-nussupplémentairestéléchargeables)?

Apres la sortie du jeu, nous four-nirons plus probablement des DLC,

personnages supplémentaires, gadgetset équipements exclusifs. Il est troptôt pour parler de prochains épisodes,mais le potentiel est là.

Pouvez-vous nous en dire plus survos futurs projets après la sortie deToM ? Un autre jeu ou allez vousvous concentrer plutôt sur des DLC ?

Nous avons déjà Steel Storm 2 endéveloppement, parallèlement à ToM,donc je pense que nous sommes pasmal occupés sur le moyen terme.Merci encore à Alexander Zubov poursa participation. Pour plus d’infos surTomes of Mephistopheles, ainsi quepour des captures d’écran, vidéos etmises à jour, visitez http://tom.kot-in-action.com.

http://tom.kot-in-action.com


MMOONN BBUURREEAAUU

Je suis Italien et voici mon bureau avec une image de mesvacances … aujourd'hui. J'ai un portable, un Fujitsu-Siemens AmiloLi3710 avec 4 Go de mémoire RAM, un CPU Dual Core IntelPentium T3400 2 cadencé à 1,6 GHz, un disque dur de 300 Go, etUbuntu 11.04 (natty).

J'ai également utilisé Avant Window Navigator 0.41 et les icônesGartoon depuis le dépôt Ubuntu.

Parfait !

Paolo Gagini

Voici l'occasion de montrer au monde votre bureau ou votre PC. Envoyez parcourriel vos captures d'écran ou photos à : [email protected] etajoutez-y un bref paragraphe de description en anglais.

J'utilise Kubuntu 11.10 avec l'environnement de bureau KDE 4.7.2.J'ai utilisé quelques widgets sur ce bureau. Vous pouvez voir enhaut mon dossier personnel et mon dossier « bureau » aisémentaccessibles pour faire ce qui doit être fait. Il y a les photos de mesdernières vacances aux USA, une horloge, un widget RSS avec desnouvelles provenant d'un site d'actualités hollandais, des infor-mations sur mes disques et mon réseau, ainsi que - chose trèsimportante ici en Hollande - la météo. Le bouton éteindre /redémarrer / se déconnecter complète le tout.

Dans le panneau, j'ai mes 4 bureaux, le gestionnaire de tâchespour voir quels programmes sont ouverts, quelques lanceurs, etl'information habituelle dont vous avez parfois besoin. C'est trèsbasique, mais c'est tout moi.

Jan Mussche



MON BUREAU

Cet ordinateur est un modèle monté par moi-même en 2003. Leprocesseur est un AMD Athlon 1800 XP+ et il dispose de 2 Go demémoire RAM DDR-266. La carte graphique est une EVGA GeForce6200 AGP 8x. Il tourne sous Ubuntu 11.10 avec Unity 3D. Le papier-peint est le « Verne » du live CD de Fedora 16. Le thème est« Fumée et Glace » de softpedia.com, ses paramètres étant ceuxque l'on voit dans l'application des « Paramètres avancés ». Dans laconsole, j'utilise des fichiers .bashrc et .envrc de http://bodhi-zazen.net (dans le menu Tweaks) et le message provient de display-dhammapada (disponible via apt-get).

Au départ, je voulais trouver un thème qui s'accordait bien avec lepapier-peint Verne, mais celui-ci semblait intéressant dans leurscaptures d'écran. Pour une raison que je ne connais pas, il s'affichecomme Raleigh dans les Paramètres avancés.

Patrick Dickey

Voici la capture d'écran de mon bureau. J'utilise Ubuntu 10.10Maverick Meerkat, décoré avec le thème Ambiance et les icônesFaenza, AWN, Indicator Applet Application Menu 0.4.6 etd'autres thèmes personnalisés sympas. Mon ordinateur estoptimisé pour les travaux graphiques et internet. Noyau linux2.6.35-31, environnement de bureau Gnome 2.3.2.0, et CompizFusion 0.82 sont le cœur du fantastique système sur ce PC.

Caractéristiques du PC : Acer ASPIRE M1800 avec un CPU Intel(R)Pentium(R) Dual Core E5200 @2.5 GHz, 2 Go de DDR2-RAM,nVIDIA GeForce 7100 GPU @256 Mo, 2 x 320 Go SATA HDD &DVD.

Badrus Shava

http://bodhizazen.net


SOLUTIONS DES CASSE-TÊTE

SU

DO

KU

16

X1

6M

OT

SC

RO

ISÉ

S

MO

TS

CO

DÉ

S


CCOOMMMMEENNTT CCOONNTTRRIIBBUUEERR

Pensez bien à rédiger tous vos messages en anglais…

Nous sommes toujours à la recherche d'articles pour le Full Circle. Pour soumettre vosidées ou proposer de traduire nos numéros, veuillez consulter notre wiki :http://wiki.ubuntu.com/UbuntuMagazine

Envoyez vos articles à cette adresse : [email protected]

Équipe Full Circle

Rédacteur en chef - Ronnie [email protected] - Rob [email protected]. - Robert [email protected] - Robin [email protected]

Nous remercions Canonical, l'équipeMarketing d'Ubuntu et les nombreuseséquipes de traduction à travers lemonde. Sincères remerciements à ThorstenWilms pour le nouveau logo Full Circle.

Pour la traduction française :http://fullcirclemag.fr.

Vous voulez proposer des actualités, envoyez-les nous à : [email protected]

Envoyez vos remarques ou vos expériences sous Linux à : [email protected]

Les tests de matériels/logiciels doivent être envoyés à : [email protected]

Envoyez vos questions pour la rubrique Q&R à : [email protected]

et les captures d'écran pour « Mon bureau » à : [email protected]

Si vous avez des questions, visitez notre forum : www.fullcirclemagazine.orgDate limite pour le FCM n° 60 :Dimanche 08 avril 2012.

Date de parution du FCM n° 60 :Vendredi 27 avril 2012.

FULL CIRCLE A BESOIN DE VOUS !

Un magazine n'en est pas un sans articles et Full Circle n'échappe pas à cette règle.Nous avons besoin de vos opinions, de vos bureaux et de vos histoires. Nous avonsaussi besoin de tests (jeux, applications et matériels), de tutoriels (sur K/X/Ubuntu), devos questions et des suggestions que vous pourriez avoir.

Contactez nous via : [email protected]

http://wiki.ubuntu.com/UbuntuMagazine

http://ubuntuforums.org/forumdisplay.php?f=270












http://fullcirclemag.fr

Documents

FullCircle - Lagout system /linux...LE MAGAZINE INDÉPENDANT DE LA COMMUNAUTÉ UBUNTU LINUX Linux transportable p.15 LibreOffice P. 13 p.12 Python - Partie 31 p.07 Ajustement disque