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Newsletter IngCH Engineers Shape our Future NR. 51, AUGUST / AOÛT 2015 Hansjörg Buchser, Managing Director Accenture AG A brave digital world Die industrielle Revolution geht in die nächste Runde. Unter den Stichworten «Industrie 4.0» und «Industrial Internet of Things» (IIoT) werden disruptive Elemente für unsere geschäftlichen und technischen Ökosys- teme zusammengefasst. Unternehmen brauchen eine klare «digitale» Vision, wie sie neu verfügbare Technologien wie z. B. Big Data effizient einsetzen und unternehmensinterne, aber auch übergreifende Daten zu entscheidungsrelevanten Massnahmen transformieren wollen. So können positive Effekte wie die Stärkung der Kundenbindung durch intel- ligente Produkte oder die Optimierung von Liefer- ketten zur Effizienzsteigerung gelingen. Wie sieht das aus? Vom intelligenten vernetzten Produkt ausge- hend, können Betriebsdaten gesammelt und analysiert werden, um verschiedenste individualisierte Dienste anzubieten. Sie sind massgeschneidert auf die Bedürfnisse einzelner Anwender abgestimmt. Ein Serviceunternehmen beispielsweise schliesst bereits installierte Fahrstühle eines etablierten Aufzugher- stellers ans Internet an und überwacht diese in Echtzeit. Als Gegenleistung kann das Serviceunternehmen die Wartung der Aufzüge günstiger anbieten, da die Art der Reparatur bereits bekannt ist und Ersatzteile vom Techniker gleich mitgebracht werden können. Auch die Wertschöpfungskette des Herstellers, die bisher en- dete, wenn ein Produkt die Fabrik verliess, wird verlängert. Ein Röntgenbild kann besser ausgewertet werden, wenn die Diagnose eines Radiologen auf der Basis von Millionen ge- sammelter Referenzbilder mitentscheidend unterstützt wird. Ein Medizingerätehersteller könnte einen solchen Service als Zusatzleistung anbieten. Wer den Anschluss nicht verlieren will, muss baldmöglichst handeln. Ingenieurinnen und Ingenieure spielen dabei eine entscheidende Rolle! Es gilt, neue Geschäftsmodelle wie die Umwandlung von Produkten in Dienstleistungen zu etablieren und auch bestehende Geschäftsmodelle weiterzuentwickeln. Ansonsten wird früher oder später ein Konkurrent auf Kosten etablierter Firmen ohne «digitale» Vision seinen Marktanteil erfolgreich vergrössern. La révolution industrielle passe à l’étape suivante. Les mots clés «Industrie 4.0» et «Industrial Internet of Things» (IIoT) regroupent les éléments disruptifs pour nos écosystèmes sociaux et techniques. Les entreprises ont besoin d’une vision «numérique» claire quant à la manière dont elles veulent intégrer efficacement les nouvelles technologies disponibles – Big Data p. ex. – et dont elles souhaitent transformer les données internes et externes à l’entreprise en mesures décisives. Elle permet en retour de créer des effets positifs comme le renforcement de la fidélisation de la clientèle avec des produits intelligents ou l’optimisation des chaînes d’approvisionnement pour accroître l’efficacité. Comment cela fonctionne-t-il? Un produit connecté intelligent permet de collecter et d’analyser les données d’exploitation afin de proposer une grande variété de services personnalisés, lesquels sont taillés sur mesure pour répondre aux besoins des différents utilisateurs. Une entreprise de services raccorde par exemple à Internet les ascenseurs déjà installés d’un fabricant connu et les surveille en temps réel. En contrepartie, l’entreprise de services peut proposer la maintenance des ascenseurs à un tarif avantageux, car le type de réparation est déjà connu et le technicien peut amener directement les pièces de rechange nécessaires. La chaîne de création de valeur du fabricant, qui jusque-là s’arrêtait lorsque le produit quittait l’usine, est prolongée. Une radiographie peut être mieux exploitée si le diagnostic du radiologue se fait avec l’aide décisive de millions d’images de référence collectées auparavant. Un fabricant de dispositifs médicaux pourrait proposer un tel service comme prestation supplémentaire. Pour ne pas perdre le contact, il faut agir rapidement. A cet égard, les ingénieurs jouent un rôle primordial. Il faut établir de nouveaux modèles d’affaires et transformer les produits en prestations, sans oublier de poursuivre le développement des modèles d’affaires existants. Sans quoi, tôt ou tard, un concurrent élargira avec succès sa part de marché aux frais d’une entreprise établie sans vision «numérique». EDITORIAL / ÉDITORIAL

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Newsletter von IngCH Engineers Shape our Future

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Newsletter IngCH Engineers Shape our Future NR. 51, AUGUST / AOÛT 2015

Hansjörg Buchser, Managing Director Accenture AG

A brave digital world

Die industrielle Revolution geht in die nächste Runde. Unter den Stichworten «Industrie 4.0» und «Industrial Internet of Things» (IIoT) werden disruptive Elemente für unsere geschäftlichen und technischen Ökosys-teme zusammengefasst. Unternehmen brauchen eine klare «digitale» Vision, wie sie neu verfügbare Technologien wie z. B. Big Data effizient einsetzen und unternehmensinterne, aber auch übergreifende Daten zu entscheidungsrelevanten Massnahmen transformieren wollen. So können positive Effekte wie die Stärkung der Kundenbindung durch intel-ligente Produkte oder die Optimierung von Liefer-ketten zur Effizienzsteigerung gelingen.

Wie sieht das aus? Vom intelligenten vernetzten Produkt ausge-hend, können Betriebsdaten gesammelt und analysiert werden, um verschiedenste individualisierte Dienste anzubieten. Sie sind massgeschneidert auf die Bedürfnisse einzelner Anwender abgestimmt. Ein Serviceunternehmen beispielsweise schliesst bereits installierte Fahrstühle eines etablierten Aufzugher-stellers ans Internet an und überwacht diese in Echtzeit. Als Gegenleistung kann das Serviceunternehmen die Wartung der Aufzüge günstiger anbieten, da die Art der Reparatur bereits bekannt ist und Ersatzteile vom Techniker gleich mitgebracht werden können.

Auch die Wertschöpfungskette des Herstellers, die bisher en-dete, wenn ein Produkt die Fabrik verliess, wird verlängert. Ein Röntgenbild kann besser ausgewertet werden, wenn die Diagnose eines Radiologen auf der Basis von Millionen ge-sammelter Referenzbilder mitentscheidend unterstützt wird. Ein Medizingerätehersteller könnte einen solchen Service als Zusatzleistung anbieten.

Wer den Anschluss nicht verlieren will, muss baldmöglichst handeln. Ingenieurinnen und Ingenieure spielen dabei eine entscheidende Rolle! Es gilt, neue Geschäftsmodelle wie die Umwandlung von Produkten in Dienstleistungen zu etablieren und auch bestehende Geschäftsmodelle weiterzuentwickeln. Ansonsten wird früher oder später ein Konkurrent auf Kosten etablierter Firmen ohne «digitale» Vision seinen Marktanteil erfolgreich vergrössern.

La révolution industrielle passe à l’étape suivante. Les mots clés «Industrie 4.0» et «Industrial Internet of Things» (IIoT) regroupent les éléments disruptifs pour nos écosystèmes sociaux et techniques. Les entreprises ont besoin d’une vision «numérique» claire quant à la manière dont elles veulent intégrer efficacement les nouvelles technologies disponibles – Big Data p. ex. – et dont elles souhaitent transformer les données internes et externes à l’entreprise en mesures décisives. Elle permet en retour de créer des effets positifs comme le renforcement de la fidélisation de la clientèle avec des produits intelligents ou l’optimisation des chaînes d’approvisionnement pour accroître l’efficacité.

Comment cela fonctionne-t-il? Un produit connecté intelligent permet de collecter et d’analyser les données d’exploitation afin de proposer une grande variété de services personnalisés, lesquels sont taillés sur mesure pour répondre aux besoins des différents utilisateurs. Une entreprise de services raccorde par exemple à Internet les ascenseurs déjà installés d’un fabricant connu et les surveille en temps réel. En contrepartie, l’entreprise de services peut proposer la maintenance des ascenseurs à un tarif avantageux, car le type de réparation est déjà connu et le technicien peut amener directement les pièces de rechange nécessaires.

La chaîne de création de valeur du fabricant, qui jusque-là s’arrêtait lorsque le produit quittait l’usine, est prolongée. Une radiographie peut être mieux exploitée si le diagnostic du radiologue se fait avec l’aide décisive de millions d’images de référence collectées auparavant. Un fabricant de dispositifs médicaux pourrait proposer un tel service comme prestation supplémentaire.

Pour ne pas perdre le contact, il faut agir rapidement. A cet égard, les ingénieurs jouent un rôle primordial. Il faut établir de nouveaux modèles d’affaires et transformer les produits en prestations, sans oublier de poursuivre le développement des modèles d’affaires existants. Sans quoi, tôt ou tard, un concurrent élargira avec succès sa part de marché aux frais d’une entreprise établie sans vision «numérique».

EDITORIAL / ÉDITORIAL

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Drones@Swisscom

(mw) Navneet Nayan, Senior Manager Group Strategy & Board Service bei Swisscom AG, schreibt in seinem Blog, dass der Plan von Grossbritanniens grösstem Mobilanbieter EE Everything Everywhere, Drohnen einzusetzen, kürzlich in den europäischen Telekom-Märkten die Runde machte. Es sei dies wahrscheinlich einer der ersten Schritte eines Telekommunikationsunterneh-mens in diese Sphären, die normalerweise von Unternehmen wie Facebook, Google, Apple, Tesla etc. dominiert würden, und verdiene somit einen Applaus. Nayan sieht darin eine starke Ermutigung für andere Telekommunikationsunternehmen, über die traditionellen Kabelverbindungen im Boden und Wireless hinauszudenken in Richtung luftübertragene Netzwerke. IngFlash unterhielt sich mit Navneet Nayan über dieses Thema.

(IngFlash) In Ihrem Blog Drones@Swisscom schreiben Sie über den zukünftigen Einsatz von Drohnen in der Telekombranche. Was muss man sich darunter vorstellen?(Navneet Nayan) Telekommunikationsnetzwerke, die die Be-dürfnisse der Kunden bezüglich Abdeckung und Kapazität erfüllen können, benötigen heute kontinuierliche Investitio-nen. Aber trotz grosser Investitionen gibt es in abgelegenen Regionen wie Berggebieten oder Inseln Lücken im Netzwerk. Die Mobilfunk-Abdeckung der Sprachkommunikation ist eu-ropaweit sehr gut. Aber bei der Abdeckung mit 3G und 4G für die Übertragung von Internetdaten gibt es noch Potenzial. Das Überbrücken von Abdeckungslücken in entlegenen Gebieten ist eine ziemlich teure und anspruchsvolle Aufgabe für Netzwerk-betreiber. Deshalb wird versucht, mit innovativen Methoden die Bedürfnisse der Bevölkerung auch in diesen Regionen zu befriedigen, ohne dass diese Lösungen zu teuer werden. Mit Drohnen hat man die Möglichkeit, die Versorgung mit Internet effizient und kostengünstig zu erweitern. Man kann sie nämlich genau dort einsetzen, wo man sie benötigt. Grossbritannien mit seinen vielen Inseln ist ein ideales Einsatzgebiet, um diese Technologien zu testen.

Sie erwähnen in Ihrem Blog ein weiteres Projekt, nämlich «Google Loon»*, das ebenfalls Gebiete, die vom Internet abgeschnitten sind, erschliessen will. Dabei sollen Ballone zum Einsatz kommen. Wo liegen da die Vorteile gegenüber Satellitennetzwerken?Satelliten, wie wir sie heute kennen, befinden sich meist in einer geosynchronen Umlaufbahn in ca. 35’000 km Höhe. Von der Erde aus betrachtet scheint ein geostationärer Satellit am Himmel stillzustehen, da sich der Beobachter auf der Erde mit derselben Winkelgeschwindigkeit bewegt wie der Satellit. Die Antennen auf dem Boden sind fest auf einen bestimmten Punkt ausgerichtet, und jeder Satellit deckt stets das gleiche Gebiet der Erde ab. Diese geografische Fokussierung, Kapazitätsgrenzen und auch distanzbedingte Verzögerungen sind Probleme, für

INTERVIEW INHALT / CONTENU

Editorial / Éditorial 1

InterviewDrones@SwisscomNavneet Nayan, Swisscom

2–3

ArtikelIBM auf den Spuren der Entwicklung des digitalisierten Unternehmens

4–5

InterviewAttacken werden immer professioneller René Rehmann und Marcel Vinzens, AdNovum

6–7

Article Un colis, mille possibilités d’innovations Annick Chevillot, Journal La Poste

8–9

Kolumne / Chronique Mit Bits & Bytes die Welt verändern

10

IngCH-Aktivitäten / Activités d’IngCH 11–12

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die man noch keine idealen Lösungen gefunden hat. Ausser-dem kosten solche Satelliten deutlich mehr als 100 Mio. CHF, je nach Nutzlast.

Airborne, das sind luftübertragene Netzwerke, sind deshalb viel interessanter. Sie konkurrieren die herkömmlichen Netz-werkbetreiber nicht an Land, sondern aus der Luft, wo sie die Breitbandabdeckung kosteneffektiv ausdehnen können.

Wird sich Swisscom auch überlegen, Drohnen einzusetzen?Mit meinem Blog wollte ich natürlich provozieren. EE ist diesen Weg gegangen und hat von sich aus beschlossen, in Zukunft Drohnen einzusetzen. Ich sehe viele Chancen in dieser und

Drohne

anderen «Airborne»-Technologien, denn man kann mit ihnen kostengünstig «in die Breite gehen».

Meiner Meinung nach sind viele Länder, insbesondere auch die Schweiz, dazu prädestiniert, solche Technologien einzuführen. Die vielen Berggebiete könnten auf diese Weise mit einem günstigen Internetzugang erschlossen werden. Zudem gibt es in der Schweiz genügend Spin-offs, die im Bereich Drohnen tätig sind und selber Drohnen für solche Zwecke herstellen könnten.

Digitalisierung

Wussten Sie, dass es der Menschheit im Jahr 2002 das erste Mal möglich war, mehr Informationen digital als im Analogformat zu speichern? 2002 kann deshalb als der Beginn des «digitalen Zeitalters» gesehen werden. Die fast vollständige Digitalisierung der weltweit gespeicherten Informationsmenge vollzog sich in weniger als 10 Jahren, innerhalb des Jahrzehnts um die Millenniumswende. Es wird geschätzt, dass im Jahr 1993 lediglich 3 % der weltweiten Informationsspeicherkapazität digital waren, während es 2007 bereits 94 % waren.

Quelle: Wikipedia; digitale Revolution

*Google Loon: Das Projekt ist ein Ballonnetzwerk, das in 20 km Entfer-

nung von der Erde in der Stratosphäre schwebt. Mittels Algorithmen

werden die Winde so ausgenutzt, dass sie das Netzwerk dorthin bringen,

wo es gebraucht wird. So kann ein breites Kommunikationsnetzwerk

aufgebaut werden. Das Projekt Loon wurde mit einem Pilot im Jah-

re 2013 lanciert und startete damals mit 30 Ballonen vom südlichen

Neuseeland aus. Einer kleinen Gruppe von Testpersonen wurde so der

Internetzugang ermöglicht. Seither expandiert das Projekt. Das Ziel ist,

einen Ring mit ununterbrochener Konnektivität in der südlichen Hemi-

sphär e zu etablieren und einen ununterbrochenen ballonbetriebenen

Internetzugang sicherzustellen.

Quelle: www.google.com/loon

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Die Daten in der WolkeWer gerne Filme aus der Mitte des letzten Jahrhunderts schaut, schmunzelt über die Lochkarten und Arbeitsstationen in den damaligen Büros. Heute braucht es keine raumfüllende Tech-nik mehr, denn man kann Daten speichern und abrufen, wo auch immer man sich gerade befindet. «Cloud» heisst das Zauberwort, das seit einigen Jahren die Computerwelt voll-kommen verändert. Cloud Computing bietet einerseits die Möglichkeit, Daten in einem entfernten Rechenzentrum zu speichern, anderseits können Programme ausgeführt werden, die nicht auf dem lokalen Arbeitsplatzcomputer oder Server sind, sondern entfernt in der Wolke (Cloud) installiert sind.

IBM auf den Spuren der Entwicklung des digitalisierten Unternehmens

Bild: © hywards | Fotolia.com

ARTIKEL / ARTICLE

(mew) Beinahe jeder kennt das Unternehmen IBM – oder min-destens das blau-weiss gestreifte Logo des 1911 gegründeten Technologiekonzerns. IBM ist ein globales Unternehmen, das seit über einem Jahrhundert «International Business Machines» entwickelt und die Welt rund um den Computer wesentlich mitgestaltet hat. Bereits 1927 eröffnete IBM einen Standort in der Schweiz, seit Mitte der 1950er wird hier an den In-

formations- und Kommunikationstechnologien von morgen geforscht – seit 1962 auf dem eigenen Campus in Rüschlikon, dem IBM Research Zurich Lab. Forscher aus der ganzen Welt arbeiten hier und beschäftigen sich mit den Themen Cloud- und Computer-Infrastrukturen, kognitive Computerwissen-schaften, Industrie- und Cloud-Lösungen sowie Wissenschaft und Technologie.

Rechenkapazität, Datenspeicher, Netzwerkkapazitäten oder auch fertige Software wurden damit erstmals dynamisch an die Bedürfnisse des Nutzers angepasst und über ein Netzwerk zugänglich gemacht. Technische Schnittstellen und Protokolle sowie lokale Browserfunktionen ermöglichen die eigentliche Nutzung der Wolke.

Seit 2013 setzt auch IBM voll auf die Karte «Cloud» und über-nahm Softlayer, den zu diesem Zeitpunkt weltweit grössten in Privatbesitz befindlichen Cloud-Infrastruktur-Anbieter. Mit der IBM Cloud Service Division stehen IBM-Kunden heute leis-tungsfähige Plattformen für ihre Infrastruktur zur Verfügung.

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Was die Cloud für den Menschen tun kannDer Ausbau des Cloud Computings schreitet unaufhaltsam voran und hat mittlerweile alle Branchen erreicht. IBM Research geht die nächsten Schritte und verknüpft die Technik kontinuierlich mit neuen Anwendungen, die für Mensch, Gesellschaft und Umwelt von Nutzen sind. Im Gesundheitswesen können bei-spielsweise die hohen gleichgeschalteten Rechenleistungen den Diagnoseprozess beschleunigen. In Kooperation mit der ETH Zürich werden z. B. Mikrostrukturen von Knochen berechnet und nachgebildet, was grosse Fortschritte in der Behandlung von Osteoporose bringen kann.

Auch in der Land- und Ernährungswirtschaft ist IBM mit seinen Cloud-Lösungen ein wichtiger Partner mit vielen innovativen und wegweisenden Ansätzen. Präzisions-Landwirtschaft, com-puterbasierte Pharmazie und Chemie und Nahrungssicherheit sind nur einige der Anwendungsgebiete. Solche Beiträge an die Land- und Ernährungswirtschaft führen zu neuen Impulsen und Lösungen, die ohne Computer gar nicht möglich wären. Das Potenzial und der gesellschaftliche Nutzen sind also hoch – das Gesundheitswesen und die Land- und Ernährungswirtschaft sind nur zwei Beispiele von vielen.

Big Data, Internet des objets, digitalisation, clouds, drones, comment vont-ils changer notre monde?

Elsa Schwarb

«Les nouvelles technologies seront de plus en plus importantes au sein de la société et je pense que nous serons d’autant plus dépendants d’elles. Les chercheurs fournissent beaucoup d’efforts pour améliorer les technologies et ces recherches peuvent toujours être approfondies,

ce qui n’est en aucun cas négatif pour l’évolution de la technologie dans le monde. Bien que de nouveaux pro-jets soient trouvés, il est difficile de faire confiance à une nouvelle technologie (des problèmes techniques peuvent toujours être présents) et donc il faut rester sur ses gardes. La technologie a beaucoup de ccôtés positifs, mais il faut espérer qu’elle ne vienne pas empiéter sur le plan social! (rituel familial, communication entre deux adolescents, etc.). Néanmoins, toutes les améliorations techniques promettent de belles choses et nous ne pouvons qu’être impatients de les découvrir.»

Participants de la Semaine technique et informatique au gymnase Denis-de-Rougemont, Neuchâtel

Über IBM Research – Zürich

IBM Research – Zürich ist der europäische Zweig der IBM-Forschung, die mit weltweit rund 3000 Mitarbeitenden an 12 Standorten eine der bedeutendsten industriellen IT-Forschungsorganisationen darstellt. Das Labor hat sich durch technische und wissenschaftliche Leistungen, darunter zwei Nobelpreise, den Ruf einer weltweit füh-renden Forschungsinstitution erworben. Heute forschen Wissenschaftler aus mehr als 45 Nationen an Themen wie Nanotechnologie, Entwicklung künftiger Computer-systeme und Speichertechnologien, Cloud Computing, Schutz von Daten und Privatheit, Supercomputing und Simulation, Big-Data-Analytik und Cognitive Computing.

www.zurich.ibm.com

Jonathan Dubach

«Avec la découverte de nouvelles technologies, toujours plus rapides, plus puissantes, plus coûteuses, notre société se dirige vers un monde de plus en plus virtuel. Il y aura toujours plus d’information contenue dans les Big Data, nous verrons davantage de drones dans notre ciel. Avec ces

avancées technologiques, il pourrait survenir de nouveaux problèmes, des armes de plus en plus puissantes pourraient être créées, notre planète pourrait être dévastée. Ceci était pour le côté négatif, mais ces découvertes ont du bon. L’information circulera de plus en plus vite, ce qui peut sauver des vies, l’évolution de la médecine par exemple a également du bon. De nombreux nouveaux projets se sou-cient aussi beaucoup de l’environnement. Pour conclure, les nouvelles découvertes ont du bon, mais elles pourraient aussi nous détruire.»

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(ce) AdNovum präsentierte an ihrem diesjährigen Medienanlass «Security Update» im März ihre Sicht auf die aktuellen Trends der Sicherheit in der Informa-tionstechnik (IT). Die Attacken werden raffinierter, komplexer und sind zunehmend schwerer zu erkennen. Deshalb sind einer-seits bessere, d. h. intelligentere Abwehrmassnahmen nötig, an-derseits gewinnt die Analyse und Anlegung eines Verhaltensprofils der Kunden an Bedeutung.

IngFlash sprach mit René Reh-mann und Marcel Vinzens über dieses brisante Thema.

(IngFlash) Weshalb werden die Angriffe auf die IT-Sicherheit raffinierter und komplexer? (AdNovum) In den vergangenen Jahren hat eine gewisse Sensi-bilisierung der Benutzer gegenüber klassischen, unspezifischen Phishing-Attacken stattgefunden. Dies hat dazu geführt, dass die entsprechenden Angriffe laufend weiterentwickelt und verfeinert wurden. Ganz generell ist es ein Wettrüsten zwischen Angreifer und Verteidiger – damit werden die «Systeme» auf beiden Seiten immer raffinierter.

Warum sind die Angriffe zunehmend schwerer zu erkennen?Da die Angriffe in erster Linie auf den Kunden abzielen, «sieht» ein Angreifer aus Sicht des Servers genauso aus, wie der Kunde selber aussehen würde. Deshalb müssen zusätzliche Massnah-men umgesetzt werden, die mehr auf das typische Profil eines Kunden zielen. Diese Profile sind aber beim heutigen mobilen Gebrauch nicht so einfach anzulegen. Ein Kunde hat mittlerweile eine Vielzahl von Systemen, über die er sich zum Beispiel mit der Bank verbinden kann (PC, Tablet, Smartphone, TV etc.), was einen Profilvergleich schwieriger macht.

Was hat sich im Vergleich zu früher verändert?Die Professionalität, die hinter heutigen Attacken steckt, ist massiv gestiegen. Und hier sprechen wir nicht mal von den staatlichen Attacken, die auf höchster Professionalitätsstufe

mit sehr grossen Ressourcen umgesetzt werden. Auch die Hacker-Szene kennt Spezialisierungen und Märkte, auf welchen Bot-Netze, Spam-Mails, neue Viren oder Malware bis hin zu Übersetzungsdiensten etc. gekauft werden können. Die Hacker-Szene kennt unter sich inzwischen auch eine Konkurrenz, und um auf solchen Märkten zu überleben, müssen professionelle Produkte geliefert werden.

Attacken ändern sich also nicht vom Typus her, sondern werden immer professioneller? Genau, Social Engineering findet nicht mehr über Spam-Mails an Millionen von E-Mail-Benutzer statt in der Hoffnung, dass ein paar davon irgendwelche sensitiven Daten wie Kredit-kartennummer etc. preisgeben. Sondern sie sind gezielt auf bestimmte Positionen in bestimmten Firmen ausgerichtet, z. B. auf Mitglieder der Geschäftsleitung («Whaling»). Dies erfordert sehr viel mehr Zeit und Vorbereitung, aber der potenzielle Gewinn ist dabei natürlich höher.

Wie sieht eine solche Social-Engineering-Attacke aus?Zuerst werden Informationen genereller Natur über das Opfer gesammelt – bei Unternehmen beispielsweise die Eigentums-verhältnisse, die Namen und Funktionen im Management, die Firma für die Buchprüfungen, die Strategien, die beispielsweise in einem Jahresbericht stehen. Dann wird unter Umständen

Attacken werden immer professioneller

Marcel VinzensRené Rehmann

INTERVIEW

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versucht, bei einigen Mitarbeitenden weitere nicht öffentliche Informationen zu bekommen über Anrufe, Mails oder Malware. Anschliessend werden die Manager der Firma angeschrieben, um gezielt Informationen zu streuen über neue Projekte, Fir-menübernahmen oder sonstige Aktivitäten, die für die Firma typisch wären. Am Schluss steht dann ein Geldtransfer, welcher idealerweise noch vermeintlich im Namen des CEO über die Buchprüfungsfirma (ebenfalls fiktiv) abgewickelt wird.

Perimeter Security, Cloud Security, Endpoint Security, wie unterscheiden sich die verschiedenen Security-Typen?Perimeter Security ist die klassische Art des Sicherheitsschutzes, sie beschränkt sich auf den Schutz des Firmennetzes vor dem Internet. Endpoint Security ist analog dazu der klassische Schutz auf Endnutzer-Seite. Das geht vom herkömmlichen Virenschutz zu Software-Firewalls bis hin zu Web Protection beim Surfen. Cloud Security ist eher neuer und entstanden, weil mehr und mehr Firmen und Private ihre Daten in einer Cloud speichern. Eine erfolgreiche Attacke auf eine solche Cloud kann sehr er-tragreich sein, sie ist deshalb ein begehrtes Ziel. Insofern sind der physische und logische Schutz einer Cloud und die korrekte und sichere Authentisierung des Kunden sehr wichtig.

Wagen wir einen Blick in die Zukunft: Was wird in nächster Zeit die grösste Herausforderung der IT-Security sein?Da die Perimeter Security mittlerweile sehr ausgereift und die Cloud Security auf gutem Weg ist, wird der Fokus in Zukunft noch mehr auf der Endpoint Security liegen müssen, da diese das schwächste Glied in der Kette ist. So hat sich beispielsweise die Problematik von Attacken über infizierte Firmware von Geräten verschärft.

Im Bereich Big Data haben sich ebenfalls neue Herausforderun-gen ergeben. Zum einen lassen die Dezentralisierung sowie die schiere Datenmenge die traditionellen Sicherheitsansätze an ihre Grenzen stossen. Zum anderen können durch fortgeschrittene analytische Verfahren entweder aus den grossen Datenvolumen direkt oder in Verknüpfung mit anderen Datenpools initial nicht direkt verfügbare und gegebenenfalls kritische Informationen extrahiert werden. Im Weiteren greift das heute häufig ange-wandte Paradigma der Applikations- und Systemsicherheit für Big Data nicht mehr hinreichend, da die Daten heute häufig applikations- und systemübergreifend aggregiert und aus Sicht eines Dateneigners betrachtet werden müssen. Somit erwarten wir im Bereich der Big Data Security weiterhin einen Trend in Richtung weg von statisch konfigurierten hin zu dynamisch ausgewerteten Zugangsregeln.

Weitere Informationen unter www.adnovum.ch

Internet der Dinge

Über das Internet kommunizieren nicht nur Menschen miteinander, sondern auch Menschen mit Geräten oder Maschinen mit anderen Maschinen, zum Beispiel Haus-haltsgeräte, Autos oder Registrierkassen. Immer mehr Gegenstände werden mit Minicomputern ausgestattet, die mit dem Internet «sprechen» können. Sie können von Men-schen über das Netz gesteuert werden oder selbstständig miteinander interagieren.

Im Internet der Dinge erzeugen also nicht mehr nur Men-schen Daten, sondern auch Gegenstände. Es endet nicht am Bildschirm eines Internetnutzers, sondern verknüpft die physische mit der virtuellen Welt. Jeder Gegenstand, jeder Ort kann ein aktiver Teil des Internets werden. So wie heute jedes Unternehmen, jeder Mensch seine eigene Website erstellen kann, besitzt im Internet der Dinge jeder einzelne Gegenstand seine eigene virtuelle Identität und kann sie automatisch pflegen. Diese sogenannten smarten Dinge sammeln über ihre Sensoren Informationen zu ihrem Zustand und zu ihrer Umgebung und geben sie an ihr Profil im Internet weiter.

Die Anwendungsmöglichkeiten sind breit und reichen von der Gebäudetechnik über die Automobilindustrie bis in die Medizin: So kann in Zukunft ein Hemd, das über verschie-dene Sensoren die Symptome eines Herzanfalls erkennt, automatisch den Notarzt rufen.

Bildquelle: Icons by freepik.com

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Comment seront livrés les colis à l’avenir? Par drones, dans un tube souterrain, ou tout simplement à la force des mollets? Le sujet remue les méninges depuis toujours.

En fait, depuis 1849, année de création des PTT, rien n’a changé. Un colis doit être livré d’un point A à un point B. Comment, à quelle vitesse et avec quels moyens sont autant d’éléments qui se sont développés au fil des ans. De la charrette à la moto, du cheval aux centres de tri automatisés, en passant par le vélo, les skis, le camion, le train et même l’avion, les colis ont été bringuebalés dans tous les sens au fil des décennies. L’ampleur de la tâche à mener est colossale et a généré de nombreuses innovations, comme vous avez pu le lire dans les pages précédentes.

Aujourd’hui encore, le sujet suscite de l’intérêt et aussi beaucoup de convoitise. C’est qu’en 2014, 111 millions de paquets ont été livrés par la Poste (un chiffre en hausse de 1,3% par rapport à 2013). Un marché colossal qui a beaucoup progressé ces dernières années grâce aux achats en ligne. Ce secteur s’est même tellement développé et perfectionné que «l’e-commerce, en constante croissance, représente une priorité stratégique pour la Poste», explique Dieter Bambauer, responsable PostLogistics.

En l’air Mais comment livrer toujours plus de paquets, dans un temps toujours plus restreint et pour des clients toujours plus exigeants? Certains chercheurs voient dans le drone l’innovation parfaite permettant de résoudre cette quadrature du cercle. Différents modèles ont déjà été testés par les postes allemande et française. UPS et Amazon ont aussi permis à des paquets de s’envoyer en l’air. Et les Emirats arabes unis ont développé un modèle permettant la livraison de documents officiels. Mais, aussi séduisante et sexy soit-elle, la livraison par drone aura une place restreinte dans un marché qui se chiffre en centaines de millions d’unités et qui est doté d’infrastructures de pointe.

Un colis, mille possibilités d’innovations

ARTICLE / ARTIKEL

2004 2008 2010 2013 2014 2030

Intégration du transport postal à l’unité du groupe PostLogistics, à l’exception du transport des personnes.

A Daillens (VD), un nouveau centre logistique de stockage et de transbordement entre en service comme pôle principal pour la Suisse romande.

PostLogistics est désormais répartie entre Coursiers/Express/Colis, Transport et logistique, et Distribution.

Introductionde l’automateà colis «MyPost24»et du service«pick@home».La Poste devient une société anonyme.

Introduction de YellowCube.

Le projet Cargo sous terrain devrait délester routes et rail dans le pays.

Bild: www.post.ch

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Un colis, mille possibilités d’innovations

C’est du moins l’avis de Simon Johnson, spécialiste du sujet au NCCR Robotics de l’EPFL à Lausanne: «La Suisse est petite, riche et a d’excellentes infrastructures de transport. Les solutions existantes sont suffisantes. Les drones joueront un rôle important dans les cas exceptionnels comme une catastrophe naturelle ou une cyberattaque. Construire un pont aérien de drones pour livrer des gens coupés du monde suite à une avalanche, un glissement de terrain ou une inondation sera d’un grand secours. Ils seront également utiles pour livrer des objets dans des zones inaccessibles. Mais je pense qu’ils seront bien plus utiles en Afrique. Les malades et les accidentés qui ont besoin d’une transfusion sanguine voyagent de nombreuses heures sur des chemins dangereux pour atteindre un centre médical. Avec un drone, une pochette de sang pourra être livrée au dispensaire local en quelques minutes. Cette solution permettra de sauver des vies!»

Sous terreUne autre innovation, moins médiatisée que les drones, pourrait bien voler la vedette aux petits objets volants identifiés ces prochains mois. Il s’agit du Cargo sous terrain. Le projet est gigantesque et consiste en un Swissmétro pour les marchandises. Cette infrastructure doit permettre de transporter des biens dans un tunnel à travers le pays, de Saint-Gall à Genève en passant par Zurich, Härkingen (de là, connexions avec Bâle et Lucerne), Berne, Payerne, Chavornay et Lausanne. «Une étude détaillée de faisabilité sera présentée durant le premier trimestre de cette année», explique Stefan Luginbühl, responsable paquets national/international chez PostLogistics. La Poste, comme une vingtaine d’autres entreprises et institutions du pays, est partenaire du projet. Si l’ensemble est accepté, Cargo sous terrain pourrait efficacement soulager les voies de chemin de fer et les autoroutes du pays d’ici 2030.

Annick Chevillot, rédactrice en chef, Journal La Poste

Computer-Chips in den Händen

In Hollywoods Zukunftsvisionen ist es schon längst ein Thema: die Verschmelzung von Mensch und Computer. In Science-Fiction-Filmen haben Menschen zum Beispiel ihr Handy gleich in die Hand implantiert und können damit nicht nur telefonieren, sondern auch Computer steuern. Das sind zwar noch Visionen, die aber bereits greifbar werden. Es gibt Menschen, die sich freiwillig Computer-Chips implantieren – auch in der Schweiz.

Quelle: Schweiz aktuell

Milena Duc

«J’imagine que dans le futur ces nouvelles technologies prendront toujours plus de place dans notre société. Bien sûr, elles nous facili-teront la vie dans beaucoup de do-maines. Cependant il y a beaucoup de précautions à prendre. Il faut être conscient des problèmes que

le «tout connecté» peut engendrer, notamment pour notre liberté et dans l’éthique. La quantité incroyable de données collectées pourra se retourner contre les individus de notre société. Bien que ces changements semblent inévitables, on peut se demander s’ils sont vraiment souhaitables… personne ne désire pouvoir être contrôlé à tout moment!»

Martin Pijnen Burg

«Il ne faut cependant pas oublier que les nouvelles technologies répondent avant tout à une forte demande de leurs utilisateurs. Citons l’exemple des drones: ils ne servent pas qu’à la surveillance mais sont également utiles dans des domaines tels que l’extinction d’incendies ou autres

interventions sur le terrain dans lesquels leur apport est indispensable. Alors Big Brother est-il partout? Oui, mais avant tout pour nous aider!»

Big Data, Internet des objets, digitalisation, clouds, drones, comment vont-ils changer notre monde?

Participants de la Semaine technique et informatique au gymnase Denis-de-Rougemont, Neuchâtel

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KOLUMNE / CHRONIQUE

Mit Bits & Bytes die Welt verändernDr. Andrea Leu, Geschäftsführerin IngCH

Die Welt ist in den letzten Jahr-zehnten komplexer geworden, unübersichtlicher, vielschichtiger. Und sie ist schneller geworden. Viel schneller. Wir kommunizieren im Sekundentakt, fliegen in wenigen Stunden von einem Ende der Welt zum anderen, wissen zu jedem Zeit-punkt, wie das Wetter in China oder Brasilien ist, und verfügen so schnell über Informationen, dass wir mit dem Denken gar nicht mehr nach-kommen.

Die Zauberwörter hinter all diesen Entwicklungen heissen: Innovation, Technologie, Ingenieurinnen und Ingenieure. Sie bestimmen den Rhythmus der Veränderungen, sie gestalten die Welt von morgen. Egal, welchen Lebensbereich oder welche Branche wir ins Visier nehmen, ohne diese drei Faktoren geht es nicht. Ein Eldorado also für alle jene Menschen, die etwas bewegen wollen.

Nach Phasen des Rückgangs und der Stagnation ziehen die Studierenden-Zahlen im Ingenieurwesen seit einiger Zeit wieder an. Eine höchst erfreuliche Entwicklung. Junge Män-ner und Frauen haben erkannt, dass sie mit einer technischen Ausbildung aktiv handeln und vieles bewirken können. Die Energiezukunft der Schweiz mitzubauen, Lösungen für die Herausforderungen unserer mobilen Gesellschaft zu finden, die Ressourcen schonend einzusetzen, die Medizin noch wirksamer und menschengerechter zu gestalten – das alles sind Argumen-te, die überzeugen und für ein Ingenieurstudium sprechen.

IngCH setzt alles daran, jungen Menschen die technischen Welten in ihrer Breite und Vielfalt zu eröffnen. In unseren Projekten zeigen wir auf, was an Hochschulen geforscht und entwickelt wird, wie Unternehmen wissenschaftliche Resultate in neue, innovative Produkte überführen und wie der Markt diese schliesslich übernimmt und zum Nutzen aller einsetzt. Dabei freut es uns, dass das Bildungssystem offen und bereit ist, in Projekten die Welt der Technik in die Schulhäuser zu lassen. Es wird informiert, diskutiert und gearbeitet. Vorurteile werden abgebaut und neue Bilder vom modernen Ingenieur-wesen nehmen deren Platz ein. Das ist gut so, denn in Zukunft wird es in der Schweiz noch viel mehr Ingenieurinnen und Ingenieure brauchen.

Big Data

Big Data hat sich als neues Schlagwort für eine bestimmte Art von Datenverarbeitung etabliert. Es geht darum, grosse Datenmengen, die sich schnell ändern können und aus ganz verschiedenen Quellen stammen, auszuwerten und die gewonnenen Informationen gewinnbringend zu nutzen.

Laut allgemeiner Einschätzung ergibt sich diese Nutzung aber nicht von selbst, sondern nur in Abhängigkeit von der Fragestellung, welche die Datenauswertung leitet. Drei branchenübergreifende Möglichkeiten gilt es jedoch herauszustreichen: mehr operative Effizienz, mehr Wissen über die Kunden oder tatsächlich neue Geschäftsfelder.

Quelle: www.nzz.ch

Participants de la Semaine technique et informatique au gymnase Denis-de-Rougemont, Neuchâtel

Touka Bessrour

«A l’aide d’internet et d’autres technologies, nous serons en mesure de tout sauvegarder pour ainsi ne rien perdre, ce qui est très pratique. Aussi, nous

avons plein d’informations à disposition. Mais ceci a éga-lement des inconvénients tels que l’assurance de notre vie privée, cette dernière peut être étalée à la vue de tous. Pour les drones, ceci ouvre de nouvelles perspectives, du confort comme dans le cas de la société Amazon qui a pour projet d’envoyer les colis sous 24h à l’aide de drones, ce qui est un gain de temps pour tous. Toutes ces nouvelles technologies ont des perspectives d’avenir mais il faut être vigilant.»

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«Achtung Technik Los!»

Die Wanderausstellung «Achtung Technik Los!», die sich an Sekundarschülerinnen und -schüler in der Berufswahlphase richtet, macht im Herbst 2015 Halt an insgesamt 6 Schulen in den Kantonen Aargau und Zürich. Folgende Daten stehen schon fest:

Sekundarschule Halden, Seuzach (ZH) 25. September

Bezirksschule Lenzburg (AG) 26. Oktober

Bezirksschule Baden (AG) 16. November

Bezirksschule Mutschellen (AG) 23. November

Bei Interesse können sich Sekundarschulen direkt bei der Projektleitung melden:Maggie WinterSenarclens, Leu + Partner AG8032 ZürichT 043 305 05 [email protected]

Weitere Informationen zur Wanderausstellung auf www.achtungtechniklos.ch

IngCH-Meitli-Technik-Tage

Die beliebten Meitli-Technik-Tage für Sekundarschülerin-nen werden diesen Herbst von drei Mitgliederfirmen von IngCH organisiert und finden an folgenden Daten statt:

Sonova (Phonak AG), Stäfa (ZH) 28. Oktober

ABB Schweiz AG, Baden (AG) 2. und 3. November

Siemens Schweiz AG, Zürich (ZH) 25. November, 2. und 9. Dezember

Siemens Building Technologies, Zug (ZG)

25. November, 2. und 9. Dezember

An allen Meitli-Technik-Tagen können je 20 Mädchen teilneh-men. Die Anmeldung erfolgt schriftlich mittels Anmeldetalon. Die Ausschreibung wird ab September auf www.ingch.ch auf-geschaltet und gleichzeitig an die Schulen verschickt.

Weitere Informationen auf http://ingch.ch/de/meitli-technik-tage/

IngCH-AKTIVITÄTEN / ACTIVITÉS D’IngCH

Big Data, Internet des objets, digitalisation, clouds, drones, comment vont-ils changer notre monde?

Florian Lamprecht

«Tout sera interconnecté. Nos données seront de plus en plus digitalisées, mises sur un Cloud et donc accessibles sur tous nos appareils. Les clés USB se feront de plus en plus rares. Les cours seront don-nés via Internet (ou en tout cas pour les hautes études (c’est déjà le cas parfois)). La connexion à Internet se trouvera par-

tout, dans les bus, à la caisse des magasins, chez le fleuriste... Les magasins auront un centre de stockage (ou plusieurs) au niveau continental, et les gens ne commanderont plus sur Internet (donc au centre de stockage) et pourront essayer les habits en ligne en se mettant devant la caméra (technologie à développer). La nature, les forêts seront devenues artificielles, nous vivrons dans un monde virtuel, où les gens se trouveront le plus souvent, et plus dans celui du réel.»

Gabriel Vallat

«Je pense que le besoin d’être sys-tématiquement connecté va mener à une surveillance généralisée, ac-compagnée de tous ses avantages et inconvénients. Par avantages, je sous-entends toutes les applications médicales, ainsi qu’une sécurité bien plus développée qu’en l’état actuel.

Par contre, il ne faut pas oublier que toutes ces données seront entre les mains d’un privé, et non de l’Etat. La liberté d’expression, ainsi que celle d’utiliser un service de notre choix seront alors de l’histoire ancienne, et notre vie privée sera révélée à toute personne prête à l’acheter, comme notre banque, nos employeurs ou encore à des personnes voulant simplement vous humilier.»

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Klosbachstrasse 107CH-8032 ZürichT: +41 (0)43 305 05 90F: +41 (0)43 305 05 99 [email protected]

ABB (Schweiz) | Accenture | ACUTRONIC Switzerland | AdNovum Informatik | Alstom (Schweiz) | AWK Group | Basler & Hofmann | Belimo | Bühler | Conzzeta Holding | Ergon | F. Hoffmann-La Roche | Hasler Stiftung | Hilti | Holcim | IBM | LIST | Meggitt | Nestlé | PHONAK | Rieter Holding | SBB | Siemens Schweiz | Sulzer | Swisscom | Swiss Re | u-blox | UBS

Redaktion / Rédaction: Dr. Andrea Leu (al), Maggie Winter (mw) | Redaktionelle Mitarbeit / Rédactrices: Cirille Engel (ce), Lea Hasler (lh), Martina Wagner (mew) | Korrektorat & Übersetzung / Relecture & Traduction: Supertext AG, Zürich | Gestaltung, Layout / Mise en pages, réalisation: Picnic Terminal Visuelle Kommunikation, Zürich | Druck / Impression: K-Production AG, Zürich | Auflage / Tirage: 3’000 Ex. | Erscheinung / Parution: Zweimal jährlich / Deux fois par an

Anregungen und kurze Beiträge werden gerne entgegengenommen.Des propositions et contributions sont les bienvenues.

IngCH-MITGLIEDERFIRMEN / LES MEMBRES D’IngCH

Technik- und Informatikwochen Semaines techniques et informatiques

Liceo Bellinzona, TI 07. – 11. 09. 2015

Kollegi Schwyz, SZ 21. – 25. 09. 2015

KS Obwalden / Kollegi Stans, OW, NW 21. – 25. 09. 2015

KS Ausserschwyz, Pfäffikon SZ 21. – 25. 09. 2015

KS Wohlen, AG 21. – 25. 09. 2015

Freies Gymnasium Zürich, ZH 28.09. – 02. 10. 2015

KS Enge, ZH 28.09. – 02. 10. 2015

KS Enge 2 (3. Kl.), ZH 28.09. – 02. 10. 2015

KS Baden, AG 12. – 16. 10. 2015

Liceo Lugano 1, TI 12. – 16. 10. 2015

KS Limmattal, ZH 19. – 23. 10. 2015

Gymnasium Oberwil, BL 26. – 30. 10. 2015

KS Interlaken, BE 26. – 30. 10. 2015

Gymnasium St. Antonius Appenzell, AI 02. – 06. 11. 2015

Kantonsschule Willisau, LU 09. – 13. 11. 2015

IMPRESSUM

IngCH-AKTIVITÄTEN / ACTIVITÉS D’IngCH

www.ingch.ch | www.facebook.com/ingch2

Am Gymnasium am Münsterplatz in Basel fand im Juni 2015 das erste von der MINT-Servicestelle entwickelte und unterstützte Projekt statt. Das Gymnasium hat kei-nen mathematischen/naturwissenschaftlichen Fokus und deshalb Mühe, die Jugendlichen für Mathematik zu begeistern. Um hier Gegensteuer zu geben, hat die MINT-Servicestelle gemeinsam mit der Schule den «Find Your Number Day» organisiert. Während eines Tages erlebten rund 120 Jugendliche Referate, die ihnen aufzeigten, dass Mathematik im späteren Studien- und Berufsleben eine Rolle spielt und hilfreich ist. Am Vormittag wurden unterschiedliche Berufe vorgestellt und am Nachmittag verschiedene Studienrichtungen. Die Evaluation ist sehr erfreulich: Über 50 Prozent der Schülerinnen und Schüler bestätigen, dass ihre Motivation für MINT-Fächer durch den Tag gestiegen ist, und gut 80 Prozent fanden den Tag nützlich für die Studien- und Berufswahl.

Weitere Informationen:Lea Hasler, Consultant IngCH T 043 305 05 90, [email protected]

News von der MINT-ServicestelleFind your Number Day

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