No 56 10/2002 - Auzeville-Tolosane · MICHEL, Jacqueline et Denis MONCHY, Louis NOUGADERE, Laurence SALOMÉ, Sylvie et François-Régis VALETTE. ... Le projet d’aménagement lourd

l e t t r e d 'auzev i l l e - t o l o sane

Commission Information Mairie d'Auzeville-Tolosane

No 56 10/2002

LA NOUVELLE Lettre d’Auzeville, en bref

• La composition du comité de rédaction n’est pas arrêtéedéfinitivement : toutes les collaborations à titre temporaire ou nonseront bienvenues. Vous pouvez envoyer des articles en tenantcompte des modalités ci-dessous (en prévoyant un petit délaisupplémentaire pour la saisie du texte).• Avertissement : les titres, sous-titres, intertitres et “chapeaux”sont sous la responsabilité de la Rédaction, sauf indicationsparticulières des auteurs des articles (règle générale utilisée danstoutes les publications des plus grandes aux plus humbles).• Les dates de parution, toujours en coordination avec les sortiesde Foliole sont maintenues : 15/10, 15/02, 15/06. Dépôts desmanuscrits à l’imprimerie : un mois plus tôt. Remise des textes levendredi précédent le bouclage (de préférence saisis sur disquette,sinon les remettre 1 semaine plus tôt).

Découpage du canardLes infos municipales sont les seules pages du journal contrôléeset rédigées par la municipalité, ès qualité. Elles constituent lebulletin «municipal», le reste de LA NOUVELLE Lettred’Auzeville est un bulletin «communal», de l’ensemble de lacommunauté villageoise.La vie associative et le magazine résument leurs caractéristiquesdans leur simple dénomination. Rappelons au passage que cebulletin est à la disposition de toute association qui souhaiteraitfaire mieux connaître ses activités dans la commune. Ceci enharmonie bien sûr avec Foliole qui par ailleurs «emploie»plusieurs rédacteurs en commun avec nous.Le Forum est la rubrique des états d’âme, de la pensée libre,parfois de la libre pensée. C’est une table ronde où jusqu’àprésent tous ceux qui l’ont demandé ont pris la parole sansaucune forme de censure. Les interpellations les plus vigoureusesse sont d’ailleurs principalement exercées à l’encontre de LALETTRE. Quoique maso-négatifs, nous avons toujours pensé queles critiques méritaient d’être dites… même si nous les avionstrouvées parfois injustes.

BULLETIN COMMUNAL N° 56Conçu par la Commission InformationResponsable : Jean-Marie DESTOMBES - Edition Mairie d'AuzevilleComité de rédaction : Elodie BONNES, Bernard BOUDIERES, Belinda et Michel BOUTAUD, Jean-Pierre CHAUMONT,Jean-Marie DESTOMBES, Françoise FILIPPI, Tho KHA VANG, JeanLAUZERAL, Monique LEMORT, Marie-Hélène LUQUET, SolangeMICHEL, Jacqueline et Denis MONCHY, Louis NOUGADERE, LaurenceSALOMÉ, Sylvie et François-Régis VALETTE.Photos : Jacqueline Carpuat, Jean-Marie Destombes, Jeunes et animateursdes Centre de loisirs, Benoît Luquet, Solange Michel, Denis Monchy, Laurence Salomé, Claudy Sichi.Couverture : “Pigeonnier chez Lamboley” Aquarelle de FrançoiseWeber-JugieRéalisation : Imprimerie du SICOVAL - Labège

L’ESPRIT DE LA LETTRES Tout ce qui est simple est faux, et tout ce qui estcompliqué est inutile.

Paul Valéry

• Le mot du Maire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . F.-R. Valette 3

• Les conseils municipaux en bref . . . . . . . . . . . . F.-R. Valette 4

• Concertation ZAC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6

• Les transports en commun . . . . . . . . . . . . . . . . F.-R. Valette 7

• Enquête : Etes-vous bien informés ? . . . . . . . J.-M Destombes 8

• Mais qui est donc Alexandre ? . . . . . . . . . . . Solange Michel 10

• Rentrée scolaire 2002-2003 . . . . . . . . . . . Sylviane Liogier 11

• Du côté des centres de loisirs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . E. Schaack - V. Régis - J.-H. Rigault 12

• Remue-ménage au Foyer Rural . . . . . . . . . . . Denis Monchy 14

• MJC de Castanet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Christel Pinaud 15

• Randonner ailleurs… . . . . . . . . . . . . . . . . Solange Michel 16

• Rentrée à “l’Eau Vive” . . . . . . . . Anne Ragon et les parents 16

• Séjour réussi pour les jeunes gallois . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . Margaret Thomas - Virginie Marconato 18

• Welcome to Wales . . . Géralde Gaspard - Julie Marconato 18

• Chez nos amis roumains . . . . . . . . . Jean-Marie Destombes 19

• Johannesburg ou l’échec annoncé . . . . . . . . . Jean Lauzeral 20

• Chemin de l’église. Deuxième troçon . . . . . . Tho Kha Vang 21

• Gens d’Auzeville : Denise Levade. . . . . . . . . Denis Monchy 22

• Médaille Jeunesse et Sports à Aimé Touja . . . René Lavergne 24

• Echos du Lycée Agricole. . . . . . . . . . . . . . Françoise Filippi 25

• Petite histoire d’une statue . . . . . . . . . . . . . . Denis Monchy 26

• Fellini Roma. . . . . . . . . . . . . . . . . . . Michel-Louis Boutaud 27

• Recette . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Christel Pinaud 28

• Un vice-champion de France à Auzeville . . . J.-M Destombes 28

• Evolution du HCF. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Tho Kha Vang 29

• Etat Civil . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30

• Infos santé, numéros utiles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31

M A G A Z I N E

F O R U M

A S S O C I A T I O N S

I N F O S M U N I C I P A L E S

oo mm mm aa ii rr ee

LE MOT DU MAIRE


La Nouvelle Lettre d’Auzeville n°56 - octobre 2002 3

• Espace d’animation des jeunesLe projet de création d’un Espace d’Animation pour les jeunes aboutit. Destiné aux jeunes de 13 à 18/20

ans, il est placé sous la responsabilité d’un animateur des Foyers Léo Lagrange avec lesquels nous avons

conclu une convention. Un animateur communal est également affecté à l’Espace pour moitié de son

temps. L’Espace utilisera une partie des locaux du rez-de-chaussée de la Mairie Vieille. Ces locaux

avaient été mis à la disposition de la section bridge il y a quelques années. C’est la commune de Vigou-

let-Auzil qui accueille désormais les bridgeurs. Nous tenons à remercier très sincèrement les Respon-

sables de la section bridge pour la compréhension dont ils ont fait preuve en la circonstance.

• Agrobiopole - RN 113L’Agrobiopole presque entièrement situé sur notre com-

mune c’est aujourd’hui 55 organismes, 2700 emplois, et

2600 étudiants .

La Zone d’Aménagement Concerté (ZAC) du Pont deBois est nécessaire au développement de l’Agrobiopole.Cette ZAC de 45 hectares environ est située entre lecomplexe agricole, la RN 113 et le chemin du Canal.Cette ZAC comportera des activités tertiaires dans lesdomaines de l’agriculture, de l’agronomie et des agro-biosciences, des commerces et des services, de l’habitatindividuel et collectif, et des équipements communaux :groupe scolaire, crèche, halte-garderie, complexe sportifet de loisirs. Cette ZAC constitue de fait un nouveauquartier de la commune qui sera progressivement cons-truit d’ici 2010.

Cette ZAC fait l’objet d’une importante concertation du 1er au 21 octobre, sous la forme d’une expositionà la Mairie, d’une réunion publique le 16 octobre et d’une plaquette qui vous sera diffusée. Vos avis etobservations seront recueillis sur un registre mis à votre disposition à la Mairie.

Le projet d’aménagement lourd de la RN 113 entre Ramonville et Castanet avec création de voies detransport en commun en site propre va également faire l’objet d’une concertation, du même type quepour la ZAC, à partir du 25 octobre et pendant 3 semaines : exposition et réunion publique le 7 novem-bre en Mairie, et registre de recueil d’observations.

François-Régis VALETTE

Dossiers en cours

François-Régis Valette vient de subir une intervention chirurgicale (hernie discale) qui l’immobilisera de nombreuses semaines. Nous lui souhaitons un prompt rétablissement.


4 La Nouvelle Lettre d’Auzeville n°56 - octobre 2002

Séance du Conseil Municipaldu jeudi 13 juin 2002❏ Extension du droit de préemp-tion urbain

Le droit de préemption urbain qui avaitété instauré pour une partie des zonesurbanisées de la commune est étendu àl’ensemble des zones urbaniséesactuelles, ainsi que les zones futuresprévues dans le Plan Local d’Urbanisme(c’est la nouvelle dénomination du pland’occupation des sols) incluant la ZACdu Pont de Bois.

❏ Plan des transports du sud-esttoulousain

Le SMTC (Syndicat Mixte des Trans-ports en Commun) a la responsabilité del’organisation des Transports en Com-mun sur 82 communes de l’aggloméra-tion toulousaine. A ce titre, il est encharge de la révision du Plan des Dépla-cements Urbains (PDU). Ce plan fixenotamment le programme de développe-ment des transports en commun : métro,bus… Dans ce cadre, le Sicoval est inté-ressé par la prise en compte d’un planambitieux de transports en commun surson territoire, plan qu’il soumet auxcommunes pour avis. Ce plan est pré-senté (cf. encart ci-contre). Il sera débat-tu au prochain Conseil Municipal.

❏ Tarifs des services municipauxpéri-scolaires

Fixation des tarifs des accueils du matinet du soir, des centres des mercredis etdes centres de loisirs sur site qui serontappliqués à partir de la rentrée de sep-tembre.

❏ Frais et honoraires d’expertisepour l’école élémentaire

Il s’agit de rémunérer l’expert nommépar le Président du Tribunal Administra-tif pour déterminer les causes et les res-ponsabilités des décollements et gonfle-ments observés sur certaines parois de lacuisine de la cantine scolaire et des toi-lettes extérieures attenantes à la salleCLAE. La rémunération de l’experts’élève à 5 381,56 € TTC.

❏ Modification du taux de la taxefoncière sur les propriétés bâties

Le taux voté au Conseil Municipal du29 mars dernier est ramené de 113,04 à112,47 pour respecter le lien imposé parla loi avec l’augmentation du taux de lataxe d’habitation.

❏ Compte-rendu du Conseil deCommunauté du Sicoval du 3 juin2002

Questions diverses :• cotisation 2002 à l’Agence d’Urba-

nisme de l’Agglomération Toulousai-ne (AUAT)

• enquête publique à la demande duSyndicat Intercommunal pour l’Amé-nagement Hydraulique de la Vallée del’Hers pour des travaux de restaura-tion de l’Hers Mort.

Séance du Conseil Municipaldu jeudi 11 juillet 2002❏ Création d’un Espace d’Anima-tion des Jeunes et convention avecles Foyers Léo Lagrange

Il est décidé de créer un Espace d’Ani-mation des Jeunes destiné aux jeunes de13 à 18 ans et un peu au-delà.La Direction de cet Espace sera assuréepar un animateur des Foyers LéoLagrange. A cet effet, la Communeconclut une convention avec ces der-niers. Cette convention a une durée d’unan à compter du 1er septembre 2002. CetEspace d’Animation des Jeunes inclurale CLSH ados et son responsable pourmoitié de son temps.Des locaux au rez-de-chaussée de laMairie Vieille seront mis à la dispositionde l’Espace d’Animation des Jeunes :bureau pour le personnel et salles pourles jeunes.

❏ Plan de transports en commundu Sicoval

Adoption du plan présenté au Conseilprécédent (voir l’encart sur les trans-ports).

❏ Mise en place des dispositifs deContrat Local de Sécurité

Ces dispositifs concernent :

• la sécurité routière et les transports

• la jeunesse et les actions de préven-tion

• le renforcement de la sécurité deproximité

Les réunions du conseil municipal sont publiques. L'ordre du jourde chaque réunion est donné dans le Télex. Les interruptions deséance systématiques, sur chaque question à l'ordre du jour,permettent aux personnes qui assistent à la séance du conseilmunicipal de s'exprimer et de dialoguer avec les conseillers.Le compte-rendu de chaque réunion du conseil est affiché sur lespanneaux d'information de la commune dans la semaine qui suitla réunion. Vous pouvez le consulter à la mairie et en obtenir unecopie si vous le désirez.

DÉBATS

Les conseils mun


• la coordination des actions et leursuivi

• les actions de communication etd’information

• la participation à d’autres dispositifscontractuels existants.

❏ Etat de la révision du PlanLocal d’Urbanisme

La ZAC du Pont de Bois constitue unprojet étudié depuis près de 10 ans.Cette ZAC avait été approuvée par leSicoval le 23 avril 2001. Mais le Préfetn’avait pas entériné cette approbationqui intervenait 3 semaines après la datede mise en application de la nouvelle loiSRU. En conséquence, la procédured’approbation de la ZAC doit être repri-se selon les termes fixés par la loi SRU.Toutefois, cette dernière prévoit une dis-position d’urgence qui peut s’appliquerà la ZAC du Pont de Bois. Le nouveaucalendrier d’approbation correspondantest présenté.

❏ Personnel Communal

Deux agents d’entretien ayant réussi leconcours d’agent technique sont nom-més agents techniques.

Le temps de travail hebdomadaire d’unagent est porté de 27 h à 35 h.

❏ Le Conseil mandate le Sicovalpour engager un recours contrel’absence de concertation duPréfet de l’Aude sur la suréléva-tion du barrage de la Ganguise

❏ Sicoval

Compte-rendu du Conseil de Commu-nauté du Sicoval du 1er juillet 2002.Le Sicoval met en place un grouped’assainissement en vue d’étudier lesconditions d’un éventuel transfert decette compétence au Sicoval.

Bernard Aragon est désigné pour repré-senter la commune au sein de ce groupe.

❏ Remplacement d’une statue

A la suite de l’étude juridique effectuéepar l’Agence Technique Départementalerelative au remplacement de la statue dela vierge située sur l’espace communaldu Clos Eliane, ce remplacement seraeffectué par le curé de la paroisse : lacommune n’interviendra d’aucunemanière. Cette décision annule et rem-place celle prise au Conseil Municipaldu 23 mai 2002.

❏ Une rectification est apportée àla garantie financière donnée parla Commune à la Société Le Nou-veau Logis Méridional pour laconstruction de 10 logements soci-aux à Nègue Saumes.

Séance du Conseil Municipaldu jeudi 12 septembre 2002❏ Progammation de l’urbanisa-tion 2003

Le Conseil Municipal demande auConseil Général d’inscrire en travauxd’urbanisation le Chemin del Prat pourla portion située entre l’allée de laDurante et l’allée du Pré Tolosan. Lapart communale de ces travaux est esti-mée à 110 000 € TTC.

❏ Adoption en euros de la tarifi-cation concernant les cimetièresde la commune

❏ Bail avec France TelecomMobile

A la suite de modifications impliquantune extension des équipements au sol, lemontant du bail consenti par la commu-ne à France Télécom Mobile est porté de3 811 € à 5 200 € par an.

❏ Demandes de subventions auConseil Général

pour différents matériels pour les écolesdont du matériel informatique, des bar-rières fixes posées dans le secteur desécoles, du matériel pour la mairie, des

D’EN BAS

icipaux en brefpanneaux de basket pour les plusjeunes, au gymnase.

❏ Réserves foncières

Le Conseil Général attribue à lacommune un prêt sans intérêt de 8160 € pour l’acquisition d’uneréserve foncière de 2 500 m2 environtouchant le parc communal.

La commune sollicite une aide duConseil Général pour la constitutiond’une réserve foncière à partir de laparcelle AA62 de 1 562 m2 qu’ellevient d’acquérir.

❏ Convention Commune-Foyer Rural - AmicaleBouliste Auzevilloise-Blac

A la suite du départ de la sectionpétanque du Foyer Rural, la munici-palité invitera le Foyer Rural, l’Ami-cale Bouliste Auzevilloise et leBLAC à une réunion pour modifierla convention relative aux installa-tions, qui lie actuellement la com-mune et le Foyer Rural.

❏ Point Accueil Emploi (PAE)

Le Préfet de la Haute-Garonne nousinforme qu’il a décidé de retenir lePoint Accueil Emploi (PAE) de lacommune dans le cadre des mesuresd’accompagnement social en 2002au titre du contrat de ville.L’Etat apporte une subvention de 2 200 € à la commune.

❏ Adhésion de la commune deLauzervile au Sicoval

Le Conseil approuve l’adhésion.Lauzerville deviendra la 36e Com-mune du Sicoval.

❏ Procédure d’urgence pourla ZAC du Pont de Bois

La procédure d’urgence évoquéelors du Conseil Municipal du 11juillet dernier concernant la ZAC duPont de Bois est approuvée.




En application de cette procédured’urgence, la phase de concertation sedéroulera du 1er au 21 octobre 2002. Ellecomportera une exposition à la Mairie,une plaquette d’information qui sera dis-tribuée dans tous les foyers, et uneréunion publique qui aura lieu le 16octobre à 20 h 30 à la Mairie. Parailleurs, les observations du publicseront recueillies sur un registre mis à sadisposition.

❏ Compte-rendu du Conseil deCommunauté du Sicoval du 9septembre 2002

❏ Enquête publique relative à laSociété Gâches Chimie

La Société Gâches Chimie située àEscalquens, spécialisée dans la distribu-tion de produits chimiques, a présentéune demande d’enquête publique afind’obtenir l’autorisation d’exploiter,conformément aux dispositions régle-mentaires, ses installations situées sur lacommune d’Escalquens.L’enquête débutera le 23 septembre,pour se terminer le 23 octobre 2002. Undossier d’enquête est mis à la disposi-tion du public à la Mairie d’Auzeville.

❏ Mise en place d’une conférenceintercommunale du logement surle bassin d’habitat dont fait partiela commune d’Auzeville

Cette dernière sera représentée parSolange Michel.

François-Régis Valette

L'aménagement de la ZAC concerne :

• l'habitat (« lotissement des Demoi-selles », appartements, etc...

• des zones d'activités (recherche, ensei-gnement, sport),

• des commerces et services,

• des espaces verts et des bois.

Pour vous informer : il vous reste encorequelques jours pour visiter l'expositionouverte à la Mairie du 1er au 21 octobre2002 à la Mairie (une plaquette d'infor-mation très documentée vous y seraremise),

ZAC du Pont de Bois (dite de l'AGROBIOPOLE), le projet prend forme

Venez aussi vous exprimer et déposervos remarques dans un registre ouvert àcet effet en Mairie.

Horaires : du lundi au vendredi de 8 h 30 à 17 h 30, le samedi de l0 h à 12 hMerci pour votre participation

Nouveau ! Un Espace JeunesL'Espace Jeunes, créé en partenariatentre la Mairie d'Auzeville et la Fédéra-tion « Léo Lagrange », est un centred'animation pour les jeunes de 12 à 18 ans.

Lieu : rez-de-chaussée de la MairieVieille

Cet espace permettra d'organiserdiverses activités tout au long de l'année

• accueil Espace Jeunes : baby-foot, dis-cussions, ateliers...,

• projets culturels, sportifs, artistiques,

• sorties, soirées

Horaires d'ouverture en temps scolaire pour l'année 2002 :

• mardi 18 h - 20 h• mercredi 14 h - 19 h• vendredi 17 h - 21 h• samedi 14 h - 19 h

Venez nombreux pour partager unmoment de convivialité !



ÇÀ VA ROULER !

Les transports en communLes difficultés des déplacements dans notre secteur, le sud-est Toulousain, sont bien connues.Les transports en commun ont un rôle important à jouer pour améliorer cette situation.

L’accent a souvent été mis sur le reculdu péage comme condition nécessaire àla résolution des problèmes de déplace-ments que nous connaissons dans notresecteur.

Nous pensons qu’un plan ambitieux dedéveloppement des transports en com-mun sur le territoire du Sicoval constitueune composante indispensable et devantêtre totalement élaboré dans le cadre duPlan de Déplacements Urbains (PDU).Ce PDU est actuellement en révision.

Le plan transports en commun du Sico-val pour notre territoire repose sur :

• le prolongement de la ligne B du métrojusqu’à l’Innopole de Labège,

• une desserte cadencée sur la ligneSNCF jusqu’à Escalquens, puis Baziègeet au delà, avec création d’une intermo-dalité métro-SNCF,

• la réalisation de voies de Transport enCommun en Site Propre (TCSP) pourfavoriser le rabattement vers les stationsde métro et/ou les gares SNCF,

• des moyens de transport adaptés pourles communes plus rurales,

• le développement d’un réseau de pistescyclables comme infrastructures detransport.

Ce plan a été soumis au Conseil deCommunauté du Sicoval le 3 juin. Il est

transmis aux 35 communes du Sicovalpour discussion et avis. Ce plan, éven-tuellement amendé, sera ensuite soumisà l’approbation du Conseil de Commu-nauté de septembre ou d’octobre 2002.L’objectif majeur est sa prise en comptedans le cadre du PDU en révision.L’étude de la ligne B du métro a démarré.Les premiers résultats : étude du trafic,tracés de lignes, mode VAL enterré ouaérien, tramway,… nous ont été présen-tés fin mai.Il y a là un enjeu majeur pour débouchersur des transports en commun attractifsdans notre secteur.

Fraançois-Régis Valette

CONCERTATIONT.C.S.P.

Le développement du réseau de trans-ports, approuvé dans le cadre du Plan deDéplacements Urbains (PDU), se pour-suit sur l'agglomération par la mise enoeuvre de projets de Transports en Com-mun en Site Propre (T.C.S.P.) entre Cas-tanet et Ramonville.Pour informer le public de ces projets,une concertation préalable est organiséepar TISSEO-SMTC.

A cet effet, se tiendra à la Mairie uneexposition publique du 28 Octobre au 15novembre, avec panneaux d'information.

Un registre y sera à votre disposition.

Horaires: du lundi au vendredi de 8 h 30à 17 h 30 - le samedi de 10 h à 12 h.


Déroulement de l’enquête.

Lors d’une Commission Information,nous nous interrogions ! Comment lesAuzevillois reçoivent-ils l’information ?Satisfactions ? Griefs ? Améliorationsattendues ? Attentes d’innovations ?

Françoise Filippi, proviseur-adjoint duLycée Agricole nous a alors proposé laparticipation des élèves BTS Economieà une enquête auprès de la population : “Cela rentrerait tout à fait dans le cadrede leur programme et du P.I.C. (Projetindividuel de communication) ! “

Adopté ! Ce sera aussi l’occasion, pourles étudiants, de parcourir la communequi les héberge et qu’ils connaissent sipeu : très peu ont franchi la 113 durantleur scolarité !

Christiane Molesin, proviseur, est sédui-te par le projet et l’entérine.

Les opérations s’enclenchent alors :

• des élus de la Commission Informationrencontrent les étudiants et leurs profes-seurs chargés du Socio-culturel, afin deleur présenter le projet et de mettre enplace la méthodologie,

• les étudiants élaborent un questionnai-re qui, après navettes et retouches, estvalidé par la Commission Info et lesélus.

• Au sein de la Mairie, en toute confi-dentialité, est tiré au sort, à partir dufichier communal, un premier échan-tillon, qui reçoit lettre du Maire etrelances téléphoniques du Secrétariat.

On aboutit à un échantillon définitif de160 volontaires chez lesquels les étu-diants se rendent par binômes début

2002. Ils reçoivent un excellent accueil ;les Auzevillois leur avouent être agréa-blement surpris d’être ainsi consultés… et nous aboutissons, après traitement des132 questionnaires exploitables, auxconclusions ci-après.

Nous les avons visualisées en tableauxet graphiques, qui parlent d’eux-mêmes. Quelques commentaires toutefois !

Vous estimez être bien infor-més

Sur 132 personnes dont les réponsessont valides, 122 se considèrent bieninformées, 7 peu informées. Une seulese déclare mal informée. Reste un indé-cis (ne sait pas)

Les panneaux d’affichagesont plus ou moins connus

Une seule personne dit connaître les 6panneaux de la commune, 24 enconnaissent 3 , 51 en connaissent 1 ou 2,45 n’en connaissent aucun.Pire ! 57 avouent ne jamais les lire et 17seulement les lire toujours (l’une ditmême “en fumant” - tabagisme où vas-tu te nicher ?) Le panneau de la Mairie est connu de 51personnes, suivi de celui de la RN 113(42). Celui du Chemin de Borde Rougeest superbement ignoré (4).

Bizarrement, on note beaucoup deremarques sur ces panneaux : sur leurpositionnement les avis souvent positifs(74), rarement négatifs (17). Quant à laqualité de l’information qu’ils fournis-sent, elle est souvent jugée bonne (43),plus rarement médiocre (11), parfois (7)peu attractive (austérité des affichages etcaractère administratif) …

Les publications écrites, parcontre, sont connues et lues

Le graphique est éloquent. Seules, 5%des personnes ne les lisent pas (dont 2%qui disent ne pas les connaître).


Enquête : êtes-vous bien informés ??


Le contenu de ces publica-tions est jugé satisfaisant,leur forme beaucoup moins !

Les informations apportées sont presqueunanimement jugées comme lisibles (2“non lisibles”), bien dosées (6/132 esti-ment qu’il y a trop d’infos et 3/132 pasassez) et pertinentes (5/132 les trouventennuyeuses).Sur la forme, les avis sont beaucoupplus partagés : la clarté de l’info laisse àdésirer pour 50 personnes, et 57 la trou-ve peu attrayante.Les 3 supports évoqués (Lettre, Télex etFoliole) sont jugés comme adaptés.

La qualité de l’accueil enmairie

et de l’information fournie sont trèsappréciées – un score à rendre jalousesles républiques bananières ! Sur 132réponses toujours : 128 personnes sontsatisfaites, 3 le sont peu. Reste l’indécisde service.

Quant aux autres moyensde communication

Il en a été proposé 7 au choix et à clas-ser par ordre de préférence. Nombreuxindécis qui n’expriment aucun avis (30à 35%, voire plus de 40% pour la borneinter-active et banderole)

Nous n’avons retenu que les choixexprimés et les avons classés par ordredégressif de préférence (ont obtenu lanote 1, puis la note 1 ou 2, puis la note1 ou 2 ou 3).

Internet (37-55-66 %) et les panneauxlumineux (32-49-64 %), suivis d’ungarde champêtre renaissant (nostalgiede “Jour de Fête” ou choix motivé ?).Une salle de consultation de documentsn’est souhaitée en premier que dans 16 % des avis. Quelques personnes évo-

quent une radio locale, voire (hors ques-tionnaire) une Télé…A désespérer les peintres en banderoles,celles-ci ne remportent que 1% des suf-frages en premier choix (mais 17% en 3e).


Représentativité ?

Nous sentons monter les interrogationsdes puristes et statisticiens pur jus ! Ajuste titre, ils peuvent nous interroger : L’échantillon était-il représentatif ?

En attendant qu’ une analyse plus finesoit entreprise, nous vous livrons la dis-tribution globale par âges, sexes et pro-fessions des 132 personnes finalementretenues. Il semble bien que les seniorstirés au sort étaient plus disponiblespour recevoir les étudiants enquêteurs !

Il reste maintenant à prendre en compteles conclusions de cette enquête, maisaussi les très nombreuses remarques etsuggestions (la place manque pour lesreproduire ) qu’ont suscité les questionsouvertes. Nous comptons aussi sur vosréactions à cet article, et dont vous vou-drez bien nous faire part. Les colonnesde la Nouvelle Lettre d’Auzeville voussont également ouvertes.

Tous nos remerciements aux personnesenquêtées, aux étudiants, à leurs profes-seurs, à la Direction du Lycée, auxmembres de la Commission Info pouravoir contribué à cette action, dans lesens d’ une meilleure communicationdans notre commune.

Jean-Marie DestombesResponsable de la

Commission Information


GRAND BIENHEUREUX


S.M. – Bonjour Alexandre, tu as 26ans et travailles dans l’animationdepuis 10 ans déjà. Depuis 4 ans, tu essalarié de l’Association Léo Lagrangequi t’a confié la mise en place duCentre Animation Jeunesse de Flou-rens dont tu es devenu Directeur.Afin de créer sur Auzeville l’EspaceJeunes tant attendu, tu as été choisi, enconcertation étroite avec le directeur deLéo Lagrange, pour tes compétences etton expérience en la matière.Dans quel esprit abordes-tu ce nouveauposte ?Alexandre – Je suis là pour les jeunesd’Auzeville. Mon dessein est de toutfaire pour qu’ils trouvent leur place dansl’Espace Jeunes qui leur est réservé (enl’occurrence, une grande partie du rez-de-chaussée de la Mairie Vieille). Je suislà pour être à l’écoute de leurs désirs, deleurs idées, pour les accompagner afinqu’ils trouvent leur identité culturelle. Jeserai leur référent pour les aider à menerà bien leurs projets. Je suis ouvert àtoutes les propositions qu’ils me sou-mettront.S.M. – Quels sont les domaines qui tepassionnent le plus ?Alexandre – J’aime beaucoup le sport,les cultures africaines, en général tout cequi peut m’enrichir culturellement, et enparticulier la musique, le théâtre quisont de bons supports pour faire la fête.J’aime essentiellement l’échange avecles autres, le partage d’idées. Je m’épa-nouis dans l’écoute, la communication.S.M. –Quelle place comptes-tu occuperà Auzeville ?Alexandre – Je serai un adulte au servi-ce des jeunes mais, attention, pas pourreprésenter la loi mais plutôt pour lesaider à s’intégrer dans la commune, à

avec les personnes qui sont sur place etqui connaissent déjà les lieux. La policemunicipale me guidera et m’aidera audépart pour rencontrer les différentsnoyaux. De plus, je vais travailler enétroite collaboration avec Jaques HervéRigault qui, en qualité de responsable duCLSH Ados, a une expérience et uneconnaissance des jeunes de la communequi me seront précieuses.Je serai l’élément fédérateur pour ren-contrer les jeunes, quel que soit leur âge(de 12 à 18 ans) et leur sexe (garçons etfilles) pour les amener à participer à desprojets communs.S.M. – Merci beaucoup Alexandre,nous te souhaitons une pleine réussite.Je rappelle que tu es installé à la Mai-rie Vieille et j’en profite pour remercierles responsables de la section Bridgedu Foyer Rural qui ont accepté avecbeaucoup de gentillesse et de “fairplay” de laisser leur place afin dedonner une priorité aux jeunes sur lacommune.Les informations plus précises sur cettenouvelle activité à Auzeville seront don-nées régulièrement par l’intermédiairedu Télex et de la Nouvelle Lettre, avecl’espoir que les jeunes auront peut-êtreun jour leur journal spécifique.

Solange MICHEL

réaliser leurs projets. Chaque jeune aurasa place, chaque idée sera entendue etprise en compte. Ma porte sera toujoursouverte ; je suis là pour eux.S.M. – Quelle attitude comptes-tu avoirvis-à-vis des parents ?Alexandre – Il est important que lesparents soient au courant de ce que fontleurs enfants et sachent où ils sont. Maisles jeunes ont besoin de se démarquer dela cellule familiale au niveau de leursloisirs, d’avoir un lieu spécifique à leursenvies, à leurs activités.S.M. – As-tu un rôle d’éducateurauprès d’eux ?Alexandre – Je suis avant tout un ani-mateur de par ma formation mais j’aiune grande capacité d’écoute et s’il y ades problèmes dans le groupe, ou si cer-tains me confient leurs problèmes per-sonnels, je servirai éventuellement derelais avec les divers partenaires compé-tents. S.M. – Quel avantage trouves-tu à êtrerattaché à l’Association LéoLagrange ?Alexandre – Léo Lagrange est unefédération d’éducation populaire qui abeaucoup d’expérience dans ce domaineet est partenaire de la Direction Régio-nale de la Jeunesse et des Sports. Sur larégion, elle comprend une trentaine destructures de jeunesse, réparties en 4secteurs géographiques au sein desquelsles animateurs se réunissent 1 fois parmois. Ceci m’apporte beaucoup auniveau des échanges et de l’ouvertureauprès de populations diverses. Jem’enrichis de leurs différences.S.M. – Plusieurs groupes de jeunescoexistent à Auzeville, commentcomptes-tu les contacter ?Alexandre – Je veux d’abord travailler

Mais qui est donc Alexandre ?Alexandre Jorrey est l’animateur chargé de créer l’EspaceJeunes d’Auzeville. Pour satisfaire notre curiosité, et faireplus ample connaissance, je l’ai rencontré et lui ai poséquelques questions.

NOUVELLES FRIMOUSSES



Rentrée scolaire 2002-2003L a rentrée scolaire 2002-2003 s’est

déroulée le 4 septembre sous lesmeilleurs auspices. L’ambiance

était calme et sereine malgré l’efferves-cence qu’accompagne toujours cet évé-nement. Parents et enfants étaient aurendez vous, certains plus angoissés qued’autres :• CP qui rentrent à la grande école -l’enjeu est important : l’apprentissagedes fondamentaux qui conditionnent laréussite du parcours scolaire. Mais deve-nir « les petits » chez les plus « grands »après avoir été les « grands » chez les« petits » suscite aussi quelques appré-hensions légitimes.• Petits de maternelle qui abordent pourla première fois le monde scolaire avecses contraintes de discipline, de concen-tration, de bruit. Heureusement l’intérêtdes activités, la présence des copains etcopines et la bienveillance des profes-sionnel(le)s feront oublier toutes lescraintes de la première journée.Il est vrai qu’actuellement ce passageest de mieux en mieux vécu chez la plu-part car la socialisation et les rythmesdes journées ont déjà été acquis par unpassage en crèche ou garderie. L’adapta-tion est donc très rapide.Notre école ne présente pas de fluctua-tions d’effectifs, qui sont stables parrapport aux chiffres de l’an dernier : 143enfants en élémentaire et 96 en mater-nelle. Par contre quelques changementssont à noter autour du noyau dur desenseignants.En maternelle, Madame AUDOUARDsuccède à Madame VELASCO en tantque directrice. Nous espérons que cettedernière profite pleinement de sa retraiteet nous souhaitons la bienvenue à Mada-me AUDOUARD dans ses nouvellesfonctions et l’assurons de notre soutienafin qu’elle s’acquitte de sa missiondans les meilleures conditions possibles.Madame AUDOUARD n’est pas uneinconnue pour ceux qui avaient des liensavec l’école maternelle, puisque depuisun an, après un début de carrière dans larégion parisienne et un poste dans la

périphérie de Toulouse, elle assumait lemi-temps laissé par Madame VELAS-CO pour assurer ses responsabilitésadministratives.Au cours de l’été, les services tech-niques de la Mairie se sont activés pourréaliser les divers travaux en attentedepuis plusieurs mois et réclamés àchaque commission scolaire et nous lesen remercions.En élémentaire, les toilettes extérieuresont été refaites, ce qui devrait améliorerles conditions de surveillance pendantles récréations et le CLAE.En maternelle, la toiture a été réparée,oblitérant ainsi les fuites d’eau qui ren-daient plus contraignant l’entretien desclasses et obligeaient les enseignantes,les jours de pluie, à recourir à des sys-tèmes D.

Quant au problème de la boue le long del’allée conduisant à l’école, il sera, onl’espère, réglé par la mise en place d’unpluvial (recueil de l’eau de pluie par unsystème de mini-canalisation).Toutes les conditions semblent réuniespour que l’année scolaire se dérouledans les meilleures conditions. Place autravail, à l’acquisition des connais-sances, aux activités pédagogiques,éducatives et ludiques surtout grâce auxanimateurs du CLAE.Bonne année scolaire à tous dans unesprit de participation, d’écoute et debonne volonté.

La responsable de la commission scolaire

Sylviane LIOGIER

L’équipe des enseignants de maternelle se répartit cette année de la façon suivante :• classe des tout-petits et petits : 23 enfants : Mme Noëlle RELET (nouvelle)• classe des petits et moyens : 24 enfants : Mmes Cathy SALLES (nouvelle) et BrigitteAUDOUARD• classe des moyens et grands : 24 enfants : Mme CRAYSSAC• classe des moyens et grands : 25 enfants : Mr Michel DUBOISEn élémentaire, Madame MONNIER exerce toujours ses fonctions de directrice. Deux nouveaux arrivants complètent l’équipe pédagogique.• classe de CP : 25 enfants : Mmes Françoise MONNIER et Véronique LEBOURG• classe de CE1 : 22 enfants : Mmes Christelle DARRIET(nouvelle) et VéroniqueLEBOURG• classe de CE1-CE2 : 22 enfants : Mr Aurélien DANIEL (nouveau)• classe de CE2 : 24 enfants : Mmes Sophie SOULIER et Véronique RAFFY• classe de CM1 : 27 enfants : Mme Patricia ANDRIEU• classe de CM2 : 23 enfants : Mme Karine HEBRA

de gauche à droite, en haut : Michel Dubois, Gisèle Billot, Béatrice Mora, Noëlle Relet,Brigitte Audouard ; en bas : Cathy Salles, Myriam Trimaglio, Michèle Crayssac


PYRAMIDAL

Du « rêve et de la féerie »

En effet, le séjour à Disneyland-Parisdès la première semaine du centre a per-mis aux enfants d’entrer immédiatementdans ce thème avec plein d’images et desouvenirs magiques en tête. Puis, ils ontdécouvert que la « reine-bonbon » exis-tait vraiment. Pour la petite histoire, ellehabite dans le bois communal et y dépo-se des trésors de bonbons ! Les enfantsont pu ensuite frissonner au passage deleurs coureurs favoris, lors du Tour deFrance. Enfin, un spectacle de cirqueréalisé par les enfants et encadré par un

Le centre a ouvert ses portes tout lemois de juillet dans la salle CLAE àl’école maternelle. Le thème moteur dumois était « découverte de notre régionde Midi-Pyrénées » avec :

• des sorties dans une ferme tradi-tionnelle, • la visite d’un musée avec moulinpastelier,

• une journée à Cordes-sur-ciel, • puis une promenade dans l’Ariège,à Orlu (maison du loup) et à Lordatpour un spectacle de dressage derapaces pyrénéens.

Notre centre a accueilli en moyenne 25enfants par jour, ce qui a permis de ras-sembler 90 parents et enfants un soir degrillades.

Nous avons partagé des moments desorties et de voyage avec les aînés encollaboration avec Sophie Bonnal.

Valérie Régis

Voici les dates d’ouverture pour les pro-chaines vacances de l’année :

• Vacances de Toussaint : du 24/10 au 31/10/2002• Vacances d’hiver : du 24/02 au 7/03/2003

• Vacances de printemps : du 22/04 au 3/05/2003• Vacances d’été : du 30/06 au 31/07/2003.

Du côté des centres de loisirsDu « rêve et de la féerie », les enfants du C.L.S.H. 6-12 ansen ont trouvé durant tout le mois de juillet dernier.

professionnel de l’école du Lido de Tou-louse a bouclé le séjour de façon trèspositive. Par ailleurs, l’échange avec lesaînés de notre commune et les enfantsdu CLSH 3-6 ans a été très réussi, toutcomme le barbecue de fin de séjour,avec l’ensemble du personnel travaillantsur les centres 3-6 ans et 6-12 ans durantcette période.

A très bientôt pour les vacances deToussaint (cf. calendrier des vacancesarticle ci-dessous).

Emmanuelle Schaack


Que s’est-il passé au centre de loisirs « maternelle » cet été ?



C ette année encore la Mairied’Auzeville a accentué ses actionssur la politique de la jeunesse. En

effet le CLSH 12/17 ans se développe deplus en plus tant au niveau matériel (tentes, tables pliantes, tonnelles,malles) qu’au niveau humain (encadre-ment) avec un animateur pour septjeunes maximum.

visite de Barcelone, les sensations dePort Aventura (plus grand parc d’attrac-tions d’Europe) et du parachute ascen-sionnel.

Ces deux semaines se sont très biendéroulées et n’ont pas touché le mêmepublic. La première semaine était composée des « vieux du centre » qui

marin » : visite de la Rochelle, de sesquatre tours, de l’aquarium, du muséede la marine et de l’île de Ré en vélo.Date : du 28 au 31 octobre 2002

• Février : « ski en Pyrénées » : commetous les ans séjours avec le CLSH 6-12ans pour créer des passerelles entre lesdeux centres. Des groupes de niveaux deski sont prévus. La nouveauté cetteannée est que le CLSH 12-17 ans partiradeux jours plus tôt pour profiter deslieux et développer des affinités, etreviendra avec l’autre centre.Date : du 24 février au 2 mars 2003

• Pâques : « le pays de Galles » : à tra-vers des activités physiques et cultu-relles à définir, les participants serontimmergés avec les gallois et pourront àtravers ces échanges acquérir des bribessur la culture et la langue de ce paysanglophone.Date : du 19 au 27 avril

• Juillet : « la Corse » : GR, équitation,visite des plus beaux sites de l’île,découverte de criques sont au program-me de cette destination idyllique.Date : du 30 juin au 8 juillet 2003

En espérant répondre aux attentes duplus grand nombre des jeunes de lacommune, je me tiens à votre disposi-tion pour plus d’informations concer-nant les activités du CLSH 12/17 ans.Un panneau d’affichage à gauche duportail rouge de l’école résume les acti-vités du CLSH. N’hésitez pas à mecontacter à la mairie 05 61 73 56 02 ousur le portable au 06 87 30 65 80.

Jacques-Hervé RIGAULT

CLSH 12/17 ans

Les vacances de Juillet cette année sesont déroulées pour la première semaineà Cauterets où quinze jeunes et quatreanimateurs sont partis goûter aux joiesdu VTT, de la trottinette et des baladesen montagne, et ont pu profiter des bienfaits des thermes, pour se « requin-quer », et des apports énergétiques dumiel de leur fabrication.

La deuxième semaine s’est déroulée enEspagne et à Argelès, sur le thème « desCatalans ». Record d’inscriptions (pourl’instant) avec 28 jeunes (dont 14 filles)et quatre animateurs, qui sont partispour l’aventure et ont pu apprécier la

vont faire leurs derniers séjours avecnous en 2003, alors que la « nouvellegénération » est venue à la deuxièmesemaine, attirée par un programme àsensation mais moins physique.Les projets de la mairie cette année pourle CLSH 12/17 ans sont importants. Eneffet, après la forte mobilisation de cetété, le centre va proposer des séjours deplus de cinq jours pendant toutes lesvacances.

Les thèmes, les destinations et les datesà l’étude seraient les suivants :

• Toussaint : « Découverte du monde

JE SUIS VENU


La PétanqueUne grande majorité de ses adhérentspercevaient fort mal l’augmentation pro-gressive de la carte du Foyer. Rappelonsque cette augmentation, adoptée enAssemblée Générale, avait pour but definancer en partie le salaire de l’Emploi-Jeune (notre coordinatrice de gestion,Marie-Anne). Cette carte à 12 € restemalgré tout modérée puisque de nom-breux Foyers l’ont déjà fixée à 15 €.Quoiqu’il en soit, ces adhérents ne sup-portaient plus d’avoir à payer, en plus deleur licence à la Fédération de Pétanque,la carte du Foyer, d’autant plus qu’ilsvoyaient autour d’eux (à Ramonville,Castanet, dans les coteaux) des clubs dePétanque municipaux sans cotisation nicarte d’entrée.

Le Bureau du Foyer consulté n’a pu queleur redonner la règle générale de tousles Foyers Ruraux : pour en faire partie,tout adhérent doit adhérer (comme sonnom l’indique) en commençant parprendre sa carte. En plus de l’assurance,elle signifie son appartenance au mou-vement des Foyers Ruraux et l’accepta-tion de ses règles.

Une dérogation pour la Pétanque n’étaitpas possible, eu égard aux autres sec-tions sportives.

A la suite de quoi, réunis en assembléegénérale le dimanche 20 juin,l’ensemble des adhérents de cette sec-tion a décidé par vote de quitter leFoyer.

Le BridgeCourant juin, nous avons appris de laMunicipalité son intention de récupérerles locaux du rez-de-chaussée de la mai-rie-vieille. Ceci s’inscrit dans le cadrede son action envers les jeunes, enavant-première de la création d’un Espa-ce-Jeune. Ces locaux, habituellementoccupés 4 jours par semaine par la sec-tion Bridge, devront être occupés 2 à 3jours par semaine par les jeunes du vil-lage, avec l’encadrement d’un animateur(Alexandre) spécialement recruté pours’occuper d’eux. Après concertation, iln’a pas été possible de trouver les cré-neaux horaires permettant la cohabita-tion de ces deux activités. Monsieur leMaire avait proposé que les bridgeursaillent jouer à la Maison du Bridge àLabège. Après s’y être rendu et avoirconsulté les tarifs d’utilisation et surtoutles plages horaires disponibles, RogerDesq, responsable de la section, ne pou-vant accepter cette solution, chercha ettrouva une opportunité à Vigoulet-Auzil.Là, le Maire lui a proposé de créer unclub de Bridge dans sa commune, avecmise à disposition d’une belle salle.

Voilà donc la section Bridge du Foyerqui part pour laisser la place aux jeunes.On aurait peut-être pu trouver d’autressolutions mais l’aspect financier ne per-mettait pas (d’après les dires desconseillers municipaux en charge dudossier) de trouver d’autres lieux pourhéberger les jeunes en attendant le futur

« Espace-Jeunes » qui, d’après la Mai-rie, pourrait sortir de terre d’ici 2 à 4 ans(problèmes à résoudre : terrain, finance-ment, collaboration ou non avec lescommunes voisines, construction, etc.).

Le Jumelage Broughton andBrettonLe jumelage avec ce village du Pays deGalles était à l’origine, en 90, un Comitérattaché à la Mairie. Dans un espritd’ouverture du Foyer et pour que cejumelage soit accessible plus facilementà la population, il avait été décidéd’inclure ce Comité en tant que sectiondu Foyer. Suite à l’informatisation de lacomptabilité et au suivi de celle-ci parun Cabinet Comptable, les dirigeants decette section avaient du mal à se plieraux nouvelles règles.

Du fait de leur subvention municipale,directement attribuée à leur section,parallèlement à celle du Foyer, de leurrelations constantes avec la Mairie, ilsont demandé à se séparer du Foyer et àcréer un Comité de Jumelage indépen-dant leur permettant de gérer les fondsalloués avec plus de souplesse.

Echos du Conseil d’Adminis-trationLe dernier C.A. s’est tenu le vendredi 13septembre.En plus des administrateurs, les respon-sables de sections étaient invités commeà l’accoutumée, de façon à pouvoir faireentendre leur avis et être au courant desdécisions prises par le C.A.

L’essentiel de la réunion a eu pour butde donner la parole aux sectionsPétanque et Jumelage B&B, de discutersur leurs motivations.Puis le C.A. a pris acte de ces départs, aentériné la suppression de ces 3 sec-tions, a voté la restitution complète dessommes restant sur les comptes de cessections, sous forme de dons aux futuresnouvelles Associations qui vont être

Remue-ménage au Foyer Rural1, 2, 3 sections disparaissent du Foyer.Pas de panique !Un méchant concours de circonstances fait que 3 sections quittent en même temps le Foyer. Mais les raisons en sont fort différentes.

ProjetsEn préparation au Foyer :

La Nuit de jeux en réseauDéjà des bonnes volontés se sont manifestées au Foyer pour participer à son organisation.

Si vous êtes intéressés, contactez Maud au 05.61.75.69.41

TE DIRE…


créés pour remplacer ces 3 sections.Malgré ces départs, le Foyer reste dyna-mique puisqu’en particulier deux nou-velles sections démarrent maintenant :Parent Thème (lire dans la NouvelleLettre de juin dernier l’article qui lui estconsacré) et Art’Chéo (l’archéologieprésentée de façon ludique aux enfants).

Esprit ! es-tu (encore) là ? A l’occasion de ces départs, on entenddire ça et là : l’esprit du Foyer a changé.En fait qu’est-ce qui a changé ?Les personnes ? Non ! Il n’est qu’à voirla composition du C.A. : on y retrouvetoujours les mêmes !Les responsables de sections ? Non !Toujours les mêmes (à part la sectionGAE qui a fait peau neuve l’année der-nière).Le Président ? Oui c’est une Présidente,mais c’est une ancienne du Foyer et quisecondée par l’ancien Président et toutl’ancien Bureau, n’a pas changé de lignede conduite.La gestion ? Ah ça oui ! Et c’est ce quifait grincer beaucoup de gens ! Maishélas nous sommes obligés par la loid’en passer par ces nouvelles règles.Nous avons cependant choisi un CabinetComptable qui connaît bien les associa-tions et plus particulièrement les FoyersRuraux puisque son directeur est lui-même président d’un Foyer Rural. Ilconnaît donc bien nos problèmes etessaie dans le cadre de la légalité d’allé-ger les contraintes imposées par lesFinances.Les adhérents ? Oui ! Auzeville estdevenu de plus en plus un village dortoir avec la ville toute proche, tropproche (?). Les gens se tournent vers lesdistractions de la ville. Ils deviennent,sur place, des consommateurs d’activi-tés pour eux et leurs enfants, avec sou-vent l’indifférence de ce qui se passe àcôté d’eux. C’est une tendance généralepour toutes les proches et grandes ban-lieues. Nous habiterions à 40 ou 50 kmde Toulouse, ce serait différent : onaurait beaucoup plus de monde lors desrepas de fête ou pour assister à unepièce de théâtre. A Auzeville nous avonscessé de faire venir des petites troupes

de théâtre amateur : les dernières fois,nous ne comptions que 20 spectateurs(dont une majorité d’inconditionnels duFoyer, toujours le même noyau !).Alors que faire ? Subir cette évolutionde la société qui, à cause de la télé, dutravail, du temps libéré (les 35 heures),demande de plus en plus d’activités,mais devient de plus en plus referméesur le cocon familial et les proches amis

(souvent ceux trouvés au travail)….Ou bien trouver de nouvelles idéesd’animation qui pourraient faire serenouer les liens entre auzevillois jeuneset vieux ?Est-ce possible, suis-je utopique ?Et vous, avez-vous des idées ?... ellesseront les bienvenues !

Denis Monchy

Vous voulez tout savoir sur le Foyer ou communiquer avec ses responsables ? Connectez-vous au site Internet “ www.foyerruralauzeville.org”

Le samedi 7 juin dernier, Jean-MarieCABROL succédait à Gérard Van HIR-SEL qui depuis 16 ans, occupait le postede directeur de la M.J.C. de Castanet.Dans son discours, M. Van HIRSEL aremercié les partenaires locaux que sontles associations de Castanet et celles du secteur (dont le Foyer Rural d’Auze-ville), les comités de jumelage, lesstructures d’enseignement, les servicestechniques de la Mairie et les élus poli-tiques avec lesquels il est aisé de colla-borer quand « les idées et les projetssont partagés ».

Il a également évoqué le travail fournisans relâche par les bénévoles, les per-sonnels et professionnels de l’Anima-tion qui ont apporté toutes ces annéesdurant « fraîcheur, idées et méthode ». Iltravaillera désormais pour l’école demusique de l’Union mais reste casta-néen et adhérent à la M.J.C.Jean-Marie CABROL qui vient d’Empa-lot, fera équipe avec Marie-ClaudeMENGUILLON, présidente de laM.J.C. Il pourra compter sur l’équipecompétente de professionnels et béné-voles qui entourait Gérard Van HIRSEL.Nous ne pouvons que souhaiter la pour-suite des excellentes relations entrete-nues jusqu’ici avec la M.J.C. à travers lasection Gymnastique Artistique Enfants« Les Goélands ».Nous souhaitons la bienvenue à Jean-Marie CABROL et une belle nouvellecarrière à Gérard Van HIRSEL.

Christel PINAUD

MJC de CastanetLe directeur n’était donc pas irremplaçable !

à gauche, Jean-Marie Cabrol

FRANCE D’EN HAUT


C ette année, les randonneursd’Auzeville ont fait une infidélitéaux Pyrénées, ils ont traîné leurs

chaussures sur les sentiers alpins.Au mois de juillet, nous étions 14 à par-tir avec une légère appréhension pouressayer d’admirer de près le point cul-minant de l’Europe : le Mont Blanc.Mais rassurez-vous, modestement etprudemment, nous partions pour en fairele tour et non pour l’affronter.Et comme en plus nous aimons notreconfort, nous avons confié nos sacs àune brave mule qui nous accompagnait,maîtrisée par une charmante guide de laBalaguère : Nicole.Dès le premier jour, une petite grimpetted’un dénivelé de 1200 m par un tempsmagnifique nous a mis à l’aise. Nousavions tout à fait le niveau pour nousmesurer aux randonneurs alpins.D’ailleurs au cours des étapes, de refugeen refuge, nous en avons rencontré detous âges et de toutes nationalités à quinous étions fiers de raconter nos exploitsPyrénéens.Par contre le Mont Blanc a pris un malinplaisir à se cacher justement lors desétapes où nous aurions pu l’admirer de

Après nos adieux aux « grands » del’Eau Vive, fêtés et re-fêtés en juillet etaoût, nous accueillons depuis le 19 août14 nouveaux enfants. Répartis dans lesgroupes d’âge « poissons lunes »,« poissons chats », « poissons clowns »et « dauphins », ils commencent tous àbien prendre leurs marques, et nous-mêmes commençons à bien lesconnaître, ainsi que leurs parents.

Le vendredi 20 septembre, ces nouveauxparents pourraient rencontrer les anciensde la fête annuelle de l’Eau Vive, occa-sion pour eux d’échanger des idées, par-tager des expériences, nouer les pre-

près, car le temps s’est montré plutôtcapricieux. Nous avons eu droit à lapluie, au vent, à l’orage, mais aussi ausoleil. Passant les frontières de Suisse et d’Ita-lie, nous avons admiré les paysagesmagnifiques, apprécié les pique-niquestoujours bien venus et partagé les soi-rées conviviales dans les refuges, goû-tant aux spécialités locales. Pour ma

part, j’en ai profité pour améliorer mesconnaissances de la flore alpine dont ladécouverte de certaines espèces rares aété un des moments passionnants.C’est plein de bons souvenirs que nous

sommes rentrés à Auzeville, décidés àcontinuer notre entraînement sur nossentiers Pyrénéens pour qui sait nousattaquer à des pentes plus difficiles.

Solange Michel

Randonner ailleurs…

La rentrée à « l’Eau Vive »

TRANSITION


miers liens… tout cela dans la joie et labonne humeur … !!!

Le prochain rendez-vous sera l’Assem-blée Générale du 3 octobre avec au pro-gramme l’élection du nouveau conseild’administration (les membres actuelsétant pour la plupart des parents de« grands ») et le vote du nouveau règle-ment intérieur, modifié suite aux nou-velles directives de la Caisse d’Alloca-tions Familiales. Nous espérons que ces

modifications seront établies pour unlong moment, ces derniers mois ayantété riches en assemblées, votes et chan-gements de tous ordres : passage au statut collectif, articles du règlementà préciser, membres du conseil à renou-veler…

Après cela, viendra la rencontre parents-professionnels (occasion pour échangerautour du projet pédagogique), les fêtes de Noël, les finitions des projets

d’aménagements intérieur et extérieur,le carnaval, et déjà si vite, trop vite, lesadieux aux « grands »… enfin ce n’esttout de même que dans 11 mois.

Anne Ragon

VOYAGES !


Séjour réussi pour les jeunes gallois

Le groupe de jeunes Gallois qui a passé10 jours à Auzeville – du 10 au 20 sep-

tembre- repartira ravi, tout comme lesjeunes Auzevillois qu’ils avaientaccueillis en juillet dernier. Oliver résu-me l’avis général : « l’accueil desfamilles est formidable », avec une men-tion spéciale pour « la nourriture excel-lente, et surtout le canard » selon Amie.De nombreuses excursions ont rythmé leséjour, dont une randonnée au lac d’Oô,la visite de la Cité de l’Espace –« quej’ai particulièrement appréciée » ditAlasdair,– et de plusieurs villes dontToulouse, Carcassonne et Albi. Desvisites bien appréciées également par

Nicolas qui précise que « les excursionsétaient très intéressantes », et Emma quiajoute « on a vraiment de la chance, ilfait un temps magnifique ».Emma, qui était déjà venue l’année der-nière à Auzeville adore « le côté décon-tracté des Français ». Une réussite surtous les plans donc qui aura permis auxjeunes de découvrir la France et même« d’améliorer notre Français » affirmeAnnika. Vivement la prochaine !

Margaret ThomasVirginie Marconato

Toute l’équipe au grand complet etnotre guide du jour

Pause pique-nique sur le bateau en traversant la “Mersey”

Cette année nous avons eu le plaisird’accompagner un groupe de 10 jeunesen Grande Bretagne pendant la 1ère quin-zaine de juillet.Le 3, jour du départ tout le monde étaitau rendez-vous : Nahuel, Agathe,Emmanuelle, Aurélien, Roxane, Adeli-ne, Lisa, Luc, Camille et Cécile.Ils ont été mis dans le bain dès leur arri-vée puisque leur première journée futpassée à Saint Richard Gwyn HighSchool, l’établissement de leurs corres-pondants.

Le lendemain : promenade en ferry pourrejoindre la patrie des Beatles, Liver-pool.« Welcome to Britain’s most magicalexperience » peut-on lire sur le billetd’entrée d’Alton Towers. Cette petitephrase s’est révélée exacte, aux dires detous à la fin d’une journée bien remplie,dans le célèbre parc à thèmes.Les jours se suivent mais ne se ressem-blent pas puisque le mardi fut consacré àla visite du fameux « Old Trafford » -pour les non-initiés, le stade de Man-chester United. Matthew, guide et mas-cotte du dit stade, nous a fait découvrirde façon très agréable grâce à son sens

de l’humour très « british » tous lescoins et recoins de ce stade multifonc-tions puisque nous avons appris que l’onpouvait même s’y marier !Puis vint l’incontournable ville de Ches-ter avec sa traditionnelle cérémonie duTown Crier.

Une autre bonne surprise nous attendaitle soir : la représentation du « Wizard ofOz », la comédie musicale connue enfrançais sous le nom de « Magiciend’Oz ». Nous avons pu apprécier letalent et l’énergie des jeunes acteurs,membres de l’école de Flint.Journée culturelle lors de notre visite duchâteau de Chirk : les propriétaires de

cette imposante demeure en ouvrent lesportes et les jardins pour le plaisir detous.Dernière excursion : randonnée à Llan-gollen. Les prévisions météo annon-çaient un jour sec. C’était compter sansl’averse torrentielle qui nous a tenuscompagnie tout au long de la descentevers le village. Malgré cela, la bonnehumeur fut quand même au rendez-vous.N’oublions pas néanmoins l’objectifpremier de ce séjour : vivre au quoti-dien dans une famille britannique afinde découvrir, pour mieux l’apprécier,leur style de vie, tout en améliorantl’anglais.C’est dans ce but que les jeunes pas-saient toutes leurs soirées et les week-ends avec leurs hôtes.

Last but not least (finalement mais toutaussi important), soulignons la gen-tillesse et la disponibilité de nosfamilles d’accueil.

See you all next year !

Géralde Gaspard et Julie Marconato

Welcome to Wales !

VOYAGES !


Mardi 20 – Calugareni - Les membresdu Comité, du Conseil Municipal, et lesreprésentants des parents d’élèves nousattendent de pied ferme. Nos deux dra-peaux flottent sur le porche du Foyercommunal. Nous retrouvons les lieux etles visages connus (Ileana, Tudorel,Mirella, Vasile, Ionna, Nicolaï,…) !Pour Emilie, étudiante et animatriceCLAE, c’est le premier contact. Elleobserve, souriante. Moments de retrou-vailles, autour d’une table simple etabondante – une fois de plus, “ils se sontmis en quatre” ! L’après midi se passe às’échanger des nouvelles, à reprendrenos marques – et “çà revient très vite”!.Les relations sont de plus en plussimples et naturelles avec le temps.

Mercredi 21 – Journée de travail. Ileana (maire) nous fait part des réalisa-tions récentes et des projets de la com-mune. Les plans, devis, dossiers circu-lent. Puis nous abordons longuement lesprojets possibles pour nos communes.Du pain sur la planche au retour, àAuzeville, pour continuer de donner vieà ce jumelage !Nous visitons la commune en évolution(dispensaire, poste, école,…). On noussalue partout comme de vieilles connais-

sances. L’école continue d’évoluer, et des’améliorer (équipements, qualité del’enseignement et taux de réussite).

Mercredi 22 – Sicoval oblige,F.R.Valette s’est envolé de Bucarest aupetit matin. Il regrette (à juste titre) dene pouvoir suivre le programme prévu :à l’initiative de Tudorel et d’Ileana, quinous accompagnent au chef lieu dudépartement (Ploïesti), notre délégationest reçue successivement à l’InspectionAcadémique et au Conseil Général.Notre visite a été mise à profit pour ren-contrer les responsables.Moments forts car Calugareni est vrai-ment pris en considération : les Inspec-teurs d’Académie évoquent son “écolepilote”, le Président du Conseil Généralnous présente, en audience, ainsi qu’auxnombreux médias présents, le program-me détaillé de développement du dépar-tement (Prahova) et les projets immi-nents pour Calugareni (construction,asphaltage et désenclavement ..) et à 3-4ans (adduction d’eau). L’accent est éga-lement mis sur le développement néces-saire de cette zone, et l’octroi de sub-ventions départementales pour ce faire.

Moments importants pour cette petite

commune, qui semble sortir de l’anony-mat et gagner en crédibilité ! Importantsaussi pour Auzeville ! Nous mesurons làle travail accompli, en aidant à bonescient. Une goutte d’eau à nos yeux !Pour les gens simples de Calugareni, àla fois un coup de pouce, une cautionapportée, un signe d’encouragement,pour affronter ce “foutoir roumain”.

Et puis, il y a eu des sarmalets et duvin blanc, des visites de monastères, decave, un mariage roumain, des crevai-sons (aubaines des “vulcaniseurs”), etpuis un moment très convivial, au Lycéeagricole de Mizil, avec une longue listede bonjours et de signes d’amitié àtransmettre des professeurs et élèves auxamis et correspondants, et d’autresréunions de travail, et puis…..…., etpuis il y a eu des pannes d’avion, etquelqu’un qui voulait sortir de l’avionprêt à décoler, et prendre le car Zurich-Toulouse. Un lundi 26 août, vers 18heures ! Quelle drôle d’idée !

L’envie est grande, au retour, de saluerla kyrielle d’Auzevillois dont les che-mins ont croisé ceux des amis de Calu-gareni, à différents moments, dans diffé-rentes circonstances, et de les assurerque leur action n’a pas été vaine : lessignes sont là !La conviction est forte, à la réflexion,qu’il serait dommage de s’arrêter dansles côtes et de ne pas poursuivre notreaventure roumaine !

Jean-Marie Destombes

Chez nos amis roumainsUne délégation comptant François-Régis Valette, Jacqueline etBernard Carpuat, Emilie Cassé et Jean-Marie Destombesatterrit à Octopeni dans la nuit du 19 au 20 août, répondantainsi à l’invitation lancée par le Comité de Calugareni.

Émilie


UN DE PLUS

R io, Johannesburg etautres sommets mobi-li sent des sommes

considérables investies dansdes conférences internatio-nales dont les résultats posi-tifs, lorsqu’ils existent, sontdérisoires au vu des enjeux.La montagne accouche tou-jours d’une souris.

La raison de ces échecs estl’absence évidente de volon-té politique, et ensuite le peud’empressement à tenir lesquelques engagements pris.Cette fois-ci, le rôle desEtats Unis aura été particu-lièrement négatif et ce paysaura tout fait pour multiplierles entraves.

Ce XXIe siècle s’ouvre surune prise de conscience bientardive, on s’aperçoit enfinqu’il n’existe qu’une com-munauté mondiale et uneseule planète mais pourMonsieur Bush et son admi-nistration seuls les intérêtsdes Etats Unis comptent.

Lorsque les astronautes sur-volent la Terre ils sont frap-pés par sa beauté et font étatde la nécessité de la protégercar elle paraît excessivementfragile.

La mondialisation dont onmesure de plus en plus lesconséquences néfastes sur leplan social et l’environne-ment s’impose à nous par lavolonté de certains états etles hommes politiques dansleur ensemble ne font rienpour si opposer. La plupartde ces Etats refusent d’inté-grer la notion de droitshumains dans le développe-ment durable.

A quoi servent donc toutesces conférences si lesNations ne veulent pas sedoter des outils permettantde contrôler l’évolution duMonde et permettre à lacommunauté internationaledans son ensemble de vivreen bonne intelligence.

Deux objectifs prioritairesdevraient être la base detoute discussion politique etde toutes activités écono-miques :

• stopper la dégradation desconditions de vie d’unnombre considérable d’habi-tants de la planète et amélio-rer progressivement leniveau de vie de l’ensemble.Dans ce cadre, favoriser lesservices publics paraît indis-

pensable afin de donneraccès à l’éducation, auxsoins médicaux, au droit dedisposer d’eau, d’une ali-mentation correcte et d’assu-rer la sécurité alimentaire.(La privatisation, présentéesouvent comme la panacée,n’a pas pour but de satisfaireles besoins des gens , sonobjectif est avant tout le pro-fit. Pourtant c’est la voie pri-vilégiée dans l’optique del’ultra-libéralisme).

• stopper les causes de ladestruction de l’environne-ment.L’impact négatif des multi-nationales en matière envi-ronnementale et sociale estévident. Près d’un quart del’activité économique de laplanète est entre les mains de200 compagnies qui n’ont decompte à rendre qu’à leursactionnaires. Ni population,ni nations où elles s’instal-lent ne peuvent agir face àces monstres sans visage qui,de par leur extra-territoriali-té, sont en quelque sortegarantis d’impunité.

Il devient impératif de res-ponsabiliser les entreprises etd’imposer un cadre interna-tional contraignant pour que

les investissements privésrespectent à la fois l’environ-nement et l’homme et cesous contrôle d’organismesindépendants capables d’agiren justice si nécessaire.

Il devient également impéra-tif de fixer des règles à laspéculation financière quijoue de plus en plus sur lavaleur des monnaies sansaucun souci de l’impact surla vie des gens, de supprimerles paradis fiscaux, de taxerles mouvements de capitaux,de traquer l’argent sale. Cesmesures d’assainissementsont devenues de toute pre-mière urgence.

A un certain titre, noussommes tous un peu respon-sables et une prise deconscience générale s’impo-se, mais il est surprenant deconstater que des experts ouresponsables politiques quidevraient être les premiers aréagir sont complices de cesdérives. Pensent-ils sincère-ment disposer d’une autreplanète ?

L’homme est tributaire deson environnement, il est un des éléments de la biosphère, et croire qu’il

“La valeur d’une idée n’a strictement rien à voir avec la sincérité de l’homme qui l’exprime”.Oscar Wilde

Rubrique de la pensée libre, non obligatoirement consensuelle, le FORUM se conjugue au subjectif parfait et même à l’imparfaitdu subjectif. Autant de paires d’yeux que de regards différents sur la vie et les choses qui passent ici à Auzeville. Vous n’êtesdonc pas obligé de tout lire, des articles vous irriteront peut-être, c’est la règle du jeu.Plus surprenant encore : vous pouvez écrire et être publié si vous le souhaitez ! Les lettres anonymes vont au panier (mais lasignature d’un article peut, si nécessaire, ne pas figurer). Pas de polémique gratuite, encore moins d’attaques personnelles.Pour les cas litigieux, faites confiance au pluralisme, à l’expérience et même à l’intelligence du Comité de rédaction.Notre devise : “Hérissons, parfois ; respectons toujours !”

Johannesburg ou l’échec annoncé…


TAXI 3

pourra dominer la nature estutopique. De nombreux évé-nements très récents prou-vent que nous pouvons êtrebalayés comme un brin depaille. Continuer dans la voieactuelle où seul le rendementfinancier à court terme estpris en compte ne peut queprovoquer de nouvellescatastrophes écologiques,désespérer les plus déshéritésqui, naturellement, se tourne-ront vers des mouvements

extrémistes. Ils auront là leterreau idéal pour se déve-lopper et empoisonner lemonde.

Les bruits de guerre actuelsbrandis par certains Etats nesont pas de nature à apporterdes apaisements ; bien aucontraire, ils tendent plutôt àcrisper les individus sur leurspositions, voire à accroîtretensions et rejets.Lorsque l’on compare lesobjectifs à atteindre et que

Pour le chemin des Ecoles,➀

c’est une première à Auze-ville. Des barrières ont étéimplantées aux abords desécoles. Les municipalitésantérieures ont toujours hési-té à le faire. Le premier pasest franchi. Le problème destationnement ne se poseplus et à cet endroit les pié-tons enfants et adultes, sontprotégés. Notons qu’il existedes places dans les rues adja-centes, pas loin. (comme onle fait à Pouvourville).

Quant aux chemins Saint-Séverin et de l’Eglisedeuxième tronçon, c’est unevéritable surprise. Personnen’est prévenu. Ils ont reçu unnouveau revêtement. Ainsices deux voies sont devenuesun contournement idéal de laRN 113 pour le trafic detransit aux dépens des habi-tants du quartier. Les dangerssont partout :

• les vitesses excessives desvéhicules sont constatéestous les jours.• le très mauvais état destrottoirs à certains endroits.• l’absence d’un trottoir encontinu pour accéder auxzones commerciales etd’activités diverses.

• l’obligation pour les pié-tons de marcher sur la chaus-sée.• le passage piéton n’est passûr, il devrait être équipéd’un feu rouge à commandemanuelle. Etc…

Enfin une bonne nouvelle : les modalités du programmede réfectiondes trottoirs➁

ont été décidées. Il y aurgence.

Les habitants du quartierMmes Kha Vang, Marie-

Louis et Régine Pradal,Commenge, Danielle

Melocchi, Florence Aracil,Corine Pont, MM. KhaVang, Pradal, Balarot, Stéphane Scomparin,

Gabriel Pont.Consulter la Nouvelle Lettre d’Auzeville-

Tolosane n°55 – juin 2002➀ page 10➁ page 6

l’on voit les conclusions deJohannesburg on ne peutqu’être déçu et pessimistepour l’avenir.

Il paraît de première urgencede maintenir et même d’aug-menter la pression. Lesdémocraties n’ont pas ledroit de capituler face aumonde de la finance car,dans ce cas, nous envoyonsles générations futures dansun mur et nous en porteronsseuls la responsabilité.

Je suggère donc une idéepour le prochain sommet. Onembarque tous nos grandsresponsables dans une énor-me fusée que l’on satelliseautour de la Terre et on neles fera redescendre que lors-qu’un accord aura été trouvéet qu’ils auront pris l’enga-gement formel de le remplirsous peine d’être réexpédiésen dehors du système solaire.

Jean Lauzeral

Chemin de l’église, le deuxième tronçon (suite…)

Cet été en juillet d’importants travaux routiers ontété effectués aux chemins des Ecoles, Saint-Séverin, et de l’Eglise deuxième tronçon.

GENS D’ICI


Le soldat prisonnierSon père François était l’aînéd’une famille de 11 enfants.Le berceau de la famille sesitue à Montgeard et lamajorité de ses membresreste dans le Lauragais.François (tout le mondel’appelait Marius) épouse en1930 Mélanie (tout le mondel’appelait Antoinette) et tousdeux s’installent à Ville-franche de Lauragais. Ils élè-vent quelques vaches et ven-dent le lait de porte à portedans Villefranche. Ils ontd’abord un garçon, Jean,puis vient Denise, que l’onappelait Ninou (décidémenton aimait changer deprénom !). Un an après laguerre éclate et le père partau front. Il sera fait prison-nier et Denise ne le reverra que 6 ansplus tard. De ce fait elle conserve unsouvenir précis du jour du retour du sol-dat : en gare de Villefranche il faut fairebonne figure à cet étranger que l’on doitappeler papa ! A la maison il dort avecmaman ! C’est dur pour la fillette de 7ans et par jalousie elle se souvient que,mettant le couvert, elle s’arrangeait pourchoisir l’assiette ébréchée pour sonpère !

La maman mercièreMais la vie continue et les parents chan-gent d’orientation. La maman, Antoinet-

te, est un petit bout de femme très cou-rageuse. Pendant la guerre elle n’hésitepas à remplacer les hommes en se pro-posant à tenir la charrue chez son père.Puis elle décide de faire du commerceen tenant sur les marchés un étal demercerie et tissus. D’abord seule elle sedébrouille à faire ses achats à Toulousepour revendre sur les marchés des envi-rons. Elle se déplace en train, en car oumême en vélo, en tirant derrière samachine une petite remorque que l’onappelait turbuly (est-ce issu du mot til-bury dont le Larousse dit : cabriolet hip-pomobile léger et découvert, à deuxplaces).

Très commerçante, donnant de précieuxconseils de couture à ses clientes, elledevient vite la mercière la plus célèbredes marchés de Villefranche, Castelnau-dary, Nailloux, Caraman et Baziège. Sonmari passe alors son permis, achète unefourgonnette et l’accompagne désormaissur tous les marchés.

Les années bicyclettePendant toutes ces années, Denise va àl’école primaire puis au cours complé-

mentaire à Villefranche. De 5à 25 ans elle se déplace tou-jours en bicyclette, pour allerà l’école, pour faire les com-missions, pour retrouver lescopines dans le jardin public.Puis c’est l’école de secréta-riat à Toulouse. Pour cela ilfallait prendre le train. Deni-se se souvient des lundismatin : beaucoup, commeelle arrivaient à la gare encourant à perdre haleine ; letrain était déjà en gare, prêt àrepartir et l’on montait àcontre-voie ! Le conducteur,tolérant, connaissait lamanœuvre et ne manquaitjamais de regarder des deuxcôtés du train avant dedémarrer au coup de sifflet !

Un mari maçonSon premier emploi fut le secrétariat àl’Equipement de Toulouse, pendant 6ans. Puis la rencontre avec Roland vachanger le cours de sa vie. Mariés enjuillet 1962, ils auront successivementdeux enfants, Eric en 63 et Christopheen 67. Sur un terrain en bordure de lanationale, Roland construit sa maisonavec son père maçon. Il crée ensuite sapropre société de construction en 1966et Denise assure le secrétariat et lacomptabilité de la petite entreprise fortede 5 ouvriers.A cette époque le carrefour de la RN 113 était différent : il y avait uncroisement simple de la nationale avec

Gens d’Auzeville : Denise LevadeDenise ! Qui n’a pas croisé cette sympathique femme,toujours souriante ? Qui n’a pas entendu sa voix hautperchée avec ce bon accent du terroir ? Qui ne l’a pasrencontrée un jour ou l’autre au Foyer Rural, à la Mairie,toujours prête à rendre service ?Denise Massicot, épouse Levade, sait tout (née un 7 août !) de son enfance. Elle est intarissable sur l’histoire de sesgrands-parents et parents.


le chemin du Canal et la rue des Ecolesen remontant juste en face. La routeactuelle desservant les Mimosas n’étaitqu’un chemin de terre. Chaque année,avant la fête de l’Ascension, il y avaitles Rogations : c’était une procession deparoissiens qui, devant la petite croix(encore visible au coin de la ferme Ouli-bot et du chemin du Canal), venaientprier pour attirer la bénédiction divinesur les récoltes et les animaux.Entre 65 et 70 la création du lotissementdes Mimosas et l’implantation del’INRA viennent modifier profondémentle paysage.

Une vie de bénévolatLes enfants vont à l’école maternelle etprimaire d’Auzeville, déjà située surleur emplacement actuel. Mais l’accrois-sement du nombre d’élèves oblige à ins-taller des préfabriqués, dont un à côté dela mairie-vieille, alors en activité. C’estd’ailleurs à cette époque que Denise estconseillère municipale, au cours dumandat de M. Bellocq, et que paraissentles premiers bulletins municipaux. Deni-se participe à leur élaboration et à lafrappe des trois premiers numéros (le n°1 date de mai 83). Au changementd’équipe municipale, elle a apprécié queStéphane Lelong, alors responsable dela première Lettre d’Auzeville, donne àcette nouvelle mouture le numéro 15,numéro faisant suite au dernier bulletinn° 14, signe de continuité.Ses activités au service des autres n’ontcessé de se multiplier. Très vite « aspi-rée » au Foyer Rural par le biais du bas-ket pratiqué par son fils, elle crée la sec-tion sérigraphie : aidée par MmeLavergne. Assez souvent seule, elleconfectionne de nombreux tee-shirtspour le basket et la gym Féminine, ainsique des écussons pour les Jamborees debasket organisés par René Lavergne auCREPS. Secrétaire Générale pendant detrès longues années et encore adminis-trateur du Foyer, elle s’investit toujoursdans les organisations de fêtes et delotos. Passionnée comme sa maman partous les travaux d’aiguilles, elle partici-pe activement à la section Fibres d’artaprès en avoir été longtemps la respon-sable. Les anciens d’Auzeville l’occu-pent beaucoup car elle anime avec Jac-

queline Touja le Club des Aînés.Chaque mardi après-midi on se retrouvepour « tchatcher », pour jouer au loto etpasser un bon moment ensemble. Deplus, chaque fin d’année les anciensorganisent un voyage d’une journée enautocar pour découvrir un coin de notrerégion.Côté familial, Denise compte 4 petits-enfants, 2 sont sur Donneville, les 2autres habitent Auzeville et vont àl’école du village. C’est pourquoi onvoit souvent Mamie Denise à la sortiede l’école.Tiens ! en parlant de mamie, je me sou-viens qu’en 1996, lors du précédentcabaret, elle n’avait pas hésité à montersur les planches pour jouer en play-backle rôle des Mamy-Blues avec Josiane,Solange et Monique.

ConfidencesEn fin d’interview, Denise me confie :«Je regrette que, d’une façon générale,autant dans la Municipalité que dans lesaffaires départementales ou nationales,il y ait un tel temps perdu dans lespalabres de toutes sortes, les étudesdiverses, les bagarres de partis poli-tiques, tous ces allers et venues qui fonttraîner en longueur les décisions de réa-lisations. Et bien souvent, quand enfin leprojet prévu est démarré, il est déjàdépassé. J’ai connu cela de près il y adéjà pas mal d’années lors de mon tra-vail à l’Equipement. Et malheureuse-ment cela n’a guère changé !Par contre pour finir sur une note opti-miste, je me rends compte de plus enplus, maintenant que je suis entourée demes petits-enfants, que les activités dutype CLAE et Foyer sont très utiles pourle développement harmonieux desenfants, dès leur plus jeune âge. Ils sontun complément indispensable de l’écoleet de la famille car ils leur apprennent lavie en société et ils les responsa-bilisent. »

Merci Denise de m’avoir consacré unpeu de temps pour en savoir un peu plussur ta vie – un peu de temps est un douxeuphémisme car, arrivé chez elle à 9 heures 30, c’est la sonnerie du télé-phone qui nous a sortis de tous ses sou-venirs : il était alors midi et demi et mon

épouse s’inquiétait sur mon sort, alorsque nous n’avions absolument pas vu letemps passer ! Oui me redit Denise, jesuis une grande bavarde ! Ca ne faitrien, continue, on t’aime bien !

Denis Monchy

Un document pratique pour les balades

Au mois d’octobre le Sicoval distribuera àtous les habitants du territoire un documentdestiné à rassembler les dépliants de bouclesde “ Promenades et Randonnées en Sicoval ”qu’il édite depuis 2 ans à l’initiative du servi-ce Développement Rural. Cette pochette pra-tique, contenant actuellement 8 dépliants, està conserver et à enrichir au fur et à mesure dela parution de nouvelles boucles.

Plus de 160 km d’itinéraires sont en effetentretenus et balisés à ce jour, 300 km serontaménagés à terme. Pour faciliter la promena-de, une signalétique simple et efficace doitêtre mise en place dans les prochains mois. Asuivre !

La pochette “ Promenades et Randonnées enSicoval ” sera également disponible auprès devotre mairie ou en appelant le Service Déve-loppement Rural du Sicoval au : 05 62 24 02 08.

BÉNÉVOLAT


Aimé, un enfant d’Auzeville qui fit par-tie de ces habitants, que l’on appelle lesAnciens ; de Mère native de Rebigue,Père de Noueilles, avec un grand-pèregarde champêtre de la commune, Aimé,né en 1949, a grandi au cœur du villagedont il a vécu toute l’évolution, sesparents habitant près du seul lieu deréunions qu’était le café de la familleGérardo, Chemin vert. Et, là, au milieudes anciens et des quelques nouveauxhabitants que nous étions alors entre1960 et 1970, il fut porté tout naturelle-ment à s’intéresser à la vie locale.Et c’est ainsi Aimé qu’à 12 ans tu fispartie du comité des fêtes (il y en avaitalors !), à 16 ans du bureau de l’Asso-ciation Loisirs et Sports d’Auzeville(l’ASLA) et à 19 ans du Foyer Rural quiremplaça cette dernière (1968).Au Foyer, tu fus de cette équipe dejeunes qui m’épaula dans sa mise enroute et donna confiance à quelquesautres adultes pour faire de cette nouvel-le association le centre d’animation duvillage.Te souviens-tu, Aimé, des parties de

cartes et de ces lotos que nous organi-sions avec des câbles électriques mis enplace par l’expert Maurice Dumetz, enpartant de mon magnétoscope, pourrelier le café préfabriqué, près de laMairie d’alors qui nous servait de local,te souviens-tu, aussi, de l’aménagementdu terrain de Basket et de la réfection dusol de l’ancien presbytère, rue de laMairie (Maison Thépot) lieu de débarraspour le corbillard local ?Je n’ai pas oublié ce que vous avez fait,les jeunes aux débuts du Foyer aux côtésdes E.Guyader, R. Desq, H. David, J.Carbonnel, Denise Levade, etc… etautres J. Laroche… une liste bienincomplète –mais ils sont eux aussi tou-jours bien vivants en ma mémoire- avectes copains du début de la vie du Foyer,les Dumetz, Pradal, Alibert, mes filsBernard et Pierre, Marie-Hélène Barra-qué, Marie-Françoise Milhes… etc.La section pétanque fût, pour toi, uneoccasion de t’exprimer en tant quejoueur et dirigeant, puis, ce fût la sectionBasket, une section sportive qui fîtconnaître notre commune hors de nos

frontières et où tu fus un arbitre régionalrespecté.Puis, tout en continuant à participer auxdiverses activités du Foyer, soucieux dela santé de ton fils pour lequel la nata-tion se révélait la meilleure des théra-pies, tu l’emmenas régulièrement à lapiscine de Ramonville ; mais ce rôled’accompagnateur était trop limité pourtoi et tu en vins à l’intéresser à la vie duclub nautique dont tu es aujourd’hui letrésorier, à la grande satisfaction du Pré-sident Bernard Rapha.Ton sens du dévouement à ton milieu nes’arrêtera pas là et, en bon citoyen sou-cieux de la vie de ta commune, tu accep-tas d’être élu au Conseil Municipal sousles mandatures d’Henri Bellocq et deJacques Laroche ; tu communiquerasd’ailleurs ton « virus » à ta femme, Jac-kie, qui, avec Denise Levade, animeactuellement la section des Aînés duFoyer.Et tout cela, ce passé et ce présent debénévole, tout naturellement conduisît leMinistère de la Jeunesse et des Sports àt’honorer en te décernant sa médaille debronze qui en est la juste récompense.Tous tes amis d’Auzeville et de Ramon-ville s’en réjouissent et t’adressent leursamicales félicitations.Que ton exemple, à l’instar de nombrede tes collègues, serve de référence auxjeunes qui, dans le mouvement associa-tif, doivent trouver la possibilité deprendre des responsabilités et ainsi, nonseulement de s’exprimer et de rendreservice en tant que citoyens mais égale-ment de se préparer à la vie d’adultes enmettant en pratique les règles qui prési-dent à la vie en collectivité et donc àl’accession à une citoyenneté pleine etentière.Conseils d’enfants et de jeunes, stagesde formations, réseau d’information jeu-nesse… etc, les jeunes n’ont jamais euautant de possibilités pour prendre desresponsabilités à l’exemple, à l’échelon

La médaille Jeunesse et Sportsà Aimé Touja

40 ans de bénévolat associatif à Auzeville et à Ramonvilleviennent d’être reconnus par le Ministère des Sports qui adécerné à Aimé Touja sa médaille de bronze.


Midi-Pyrénées, du Conseil Régional de Jeunes créé par le Président Malvy « nouveau lieu d’expression etd’action » qui se mobilise autour de 4 objectifs :• Contribuer à l’apprentissage actif de laresponsabilité et de la citoyenneté.• Favoriser l’accès des jeunes à la vieéconomique, sociale et culturelle de leurrégion.• Mieux appréhender les besoins desjeunes dans les champs de compétencede la Région.• Développer un sentiment d’identitérégionale dans un esprit d’ouverture etde solidarité nationale, européenne etinternationale.

Transposons ces objectifs à Auzeville où la Municipalité, avec son Maire,

Examens et concoursLe cru 2002 est tout à fait satisfaisantavec un taux global de réussite de 89 %pour les 278 élèves ou étudiants présen-tés à la session de Juin, et une mentionspéciale pour le baccalauréat technolo-gique STPA (Science et Technologie duProduit Agro-alimentaires) spécialité :Sciences, Technologies, Economie et lebaccalauréat "S" qui affichent 100 % deréussite ainsi que pour 89 % auxconcours d'entrée aux grandes écoles eten licences.

La rentrée 2002Si on peut parler de quasi stabilité del'effectif avec 680 élèves et étudiantspour le Lycée, cette rentrée est riche denouveautés parmi lesquelles on notera :• la fin du transfert de classes prépara-toires du Lycée Ozenne avec l'arrivée de75 étudiants des classes préparatoires deBCPST de cet établissement. Ils rejoi-gnent ainsi les 50 étudiants des classespréparatoires "Technologie Biologie"qui ont ouvert la voie de ce transfert, cequi porte l'effectif accueilli à 805 élèves,et conforte la notion d'agrobiopole surnotre site.

• De nouveaux locaux opérationnels oupresque !Après l'ouverture de locaux de restaura-tion restructurés et rénovés en 2001, larentrée 2002 est marquée par la mise enservice du bâtiment dit "d'administra-tion" qui acceuille, en outre, des espacesdédiés aux enseignants, ainsi qu'unenouvelle infirmerie et l'agence comp-table du complexe.Mais c'est surtout l'installation des 150premiers étudiants du lycée ou de l'EN-SAT dans la nouvelle résidence implan-tée sur notre site et gérée par le CROUSqui marque cette rentrée. Les 120 stu-dios de la deuxième tranche sontlivrables le 1er novembre 2002.• La rénovation des baccalauréats tech-nologiques : il n'existe plus que deuxspécialités dans la filière Agronomie -Environnement dont les intitulés sont :Sciences et Technologies de l'Aménage-ment, et Sciences et Technologies desSystèmes de Production. La filière agro-alimentaire est ramenée à une seule spé-cialité à savoir Sciences et Technologiesdu Produit Agro-alimentaire.Cela ne va pas sans quelques perturba-tions, petits désagréments et réajuste-

ments qui n'affectent en rien le dynamis-me et la bonne humeur des usagers.

Les projetsQui dit rentrée dit projets et notammentla poursuite de la restructuration généra-le du site, les dossiers concernant l'ex-ploitation agricole, les ateliers technolo-giques pédagogiques et d'entretien et legymnase.Mais celui qui, dans l'immédiat, rallierales suffrages des élèves, et ravira leurspapilles est un projet initié par leConseil Régional auquel le lycée arépondu. Il a, certes, un intitulé austère"sécurité / qualité alimentaires dans leslycées", mais s'il implique des actionspédagogiques variées (documentation,enquêtes, visites, projet de communica-tion) il s'appuie sur des dégustationsrégulières de viandes bovines localeslabellisées. Un coup de chapeau auxpersonnels du service de restauration ducomplexe qui nous ont aidés de façonremarquable dans l'organisation maté-rielle du projet !

Françoise FilippiProviseur-adjoint

pas, qu’ils sont des fils et des filles del’appel à la vie » (Khalil Gibran), unevie d’ailleurs si différente de celle quenous avons connue et qui sert, malheu-reusement trop souvent, de référence àcertains pour juger et condamner.Merci donc à toi Aimé pour m’avoirdonné l’occasion d’exprimer cesquelques idées. Poursuis ta vie de diri-geant bénévole, aide précieuse pour ledéveloppement du sport et « un enrichis-sement » pour toi.

René LavergnePrésident d’Honneur du Foyer Rural

Président du Centre Régional d’Information Jeunesse

François-Régis Valette, a décidé de créerun Espace jeunes et je souhaite quel’exemple d’anciens jeunes commeAimé Touja soit un encouragement poureux, afin qu’aidés par des adultes com-préhensifs ils se sentent, eux aussi, res-ponsables du bien vivre à Auzevilledans le cadre d’une citoyenneté à partentière et participent aux commissionscommunales ainsi qu’aux activités duFoyer Rural.« Ces jeunes, disais-je dans un« papier » de la Nouvelle Lettre de juin2001 – n° 52 - sont notre avenir avecleur enthousiasme et leurs immensespossibilités qui ne demandent qu’às’exprimer ».C’est à nous les adultes qu’il appartientde leur en donner les moyens, sachantque « nos enfants ne nous appartiennent

Les échos du Lycée Agricole de Toulouse-Auzeville

DAME BLANCHE


La première ….Depuis des temps immémoriaux (dixitles anciens d’Auzeville), une statue dela Vierge se trouvait au centre de ce car-refour. Avec l’augmentation de la circu-lation et après quelques petits accidentsil fut décidé de la déplacer en la plaçantsur le bord de la route, sur un terrainappartenant à l’époque à la familleLambœuf. Puis ce terrain fut vendu pourla création des lotissements « le ClosEliane » et « l’Ermitage ». La statue nebougea pas et se trouva de fait dans lesparties communes des lotissements,devenues par la suite terrain communal(zone verte entretenue par la Munici-palité).Dans les années 81 ou 82, un acte demalveillance vint mettre fin à cette pre-mière statue : on la retrouva décapitéeun beau matin !

La suivante ….Lors de la restauration de l’église en1983, on découvrit une statue presquesemblable au fin fond d’un placard de lasacristie. Elle provenait, semble-t-il dela chapelle de l’ancien presbytère situé àl’entrée du village, côté tennis.Cette nouvelle statue fut nettoyée, recol-lée (une main était cassée) par les bonssoins de Madame Boehler, puis replacéesur le socle resté vide pendant plusieursmois. Mais c’était une statue d’intérieur,en plâtre. Elle résista aux intempériespendant presque 20 ans, mais ces der-nières années, elle avait piteuse allure etle plâtre s’effritait !

La dernière néeC’est alors, il y a un peu plus d’un an,qu’une personne désirant garder l’ano-

nymat, fit un don important à la Mairieen demandant le remplacement à l’iden-tique de cette statue.Les paroissiens consultés se mirent enquête d’un artisan ; l’argent fut remispar la Mairie au groupe organisateur decette opération ; un appel à dons futlancé auprès des paroissiens pour com-pléter la somme nécessaire ; finalementune nouvelle statue, résistante auxintempéries, fut installée récemment surl’ancien socle (socle restauré bénévole-ment par Christian Oulibot pendant sestemps de loisirs).

CérémonieNous voici donc arrivés ce dimanche 8septembre : après la messe, les parois-siens, conduits par les Pères Olivier etJean-Christophe, se sont rendus en pro-cession devant la statue de la Vierge. Là,le Père Olivier a rappelé les circons-tances de cette inauguration, puis il aprocédé à la bénédiction officielle. Unchant dédié à Marie fut entonné. Deretour devant l’église, les participants seretrouvaient autour du verre de l’amitié.On notait la présence de Monsieur leMaire et de René Lavergne, notre tou-jours vaillant correspondant de laDépêche du Midi.

Denis Monchy

Petite histoire d’une statueUne nouvelle statue de la Vierge Marie vient d’être installéepuis bénie lors d’une petite cérémonie le dimanche 8septembre dernier.Cette statue se situe au carrefour de la rue du DocteurDelherm du chemin de l’église et du chemin Saint Séverin,derrière l’ancien cimetière. Un bref historique s’impose.

SILENCIO !


N ous sommes dans les annéessoixante-dix en vacances sur laCôte Atlantique. Un violent

orage éclate, ce genre d’orage bienconnu des journées lourdes du moisd’août. Quatre jours de mauvais tempssur une semaine nous sapent le moral.Pour échapper à cette morosité, je lancel’idée d’aller visiter un pays voisin, où lesoleil brille, paraît-il, à longueur de jouret où les gens pratiquent la “Dolce Vita”.II s’agit de Rome ! Rome la fascinantequi, pratiquement au détour de chaquerue, nous raconte son passé prestigieux !Combien d’artistes de renom ont poséleurs mains sur elle ? Une multitude sansdoute, car nos yeux émerveillésne cessent d’admirer sesfresques, ses sculptures et sesfontaines !... Et puis il y a aussiles plus grands studios de ciné-ma d’Europe s’étendant sur cinquante-deux hectares: “Cine-città”. Allez, je vais être honnê-te envers vous, mon arrivée danscette magnifique métropole,avait pour but essentiel de visi-ter ces grands studios. Nousvoici donc partis à la “Cine-città”, se situant au 1055 de laVia Tuscolana à Rome.

Nous arrivons en taxi, juste devant legrand portail de l’immense studio. Avantde descendre de voiture, nous contestonsla note exhorbitante que ce sympathiqueroublard de chauffeur voulait nous infli-ger. Mais, avec les romains tout se discu-te, tout se marchande et finalement touts’arrange.

Puis nous voici discutant avec le servicede sécurité des studios. Et là, c’est ladéception ! Ni ma fonction de Présidentde l’association de l’époque, ni le char-me de ma compagne, ne changent leursattitudes inflexibles : II est interdit auxtouristes d’entrer dans le lieu saint desstars. Voilà c’est tout !

En parlant de stars notre attention est

attirée par un magnifique cabriolet quisort de la Cinecittà.Au volant nous reconnaissons MarcelloMastroiani. II a jeté un rapide regard surnous et a démarré comme un bolide,indifférent à notre désarroi. L’un despoliciers s’exprimant dans un très mau-vais français (il est vrai que je ne parlepas un seul mot d’italien, alors!) me faitcomprendre qu’il a besoin d’un papierofficiel concernant mon activité en Fran-ce, un laissez-passer en quelque sorte. Ilme suggère d’aller à “ l’Ambaciatta diFrancia”. Eh ben voilà ! C’est simple! Allons à“l’Ambaciatta di Francia!” `-`

De retour en centre ville, nous nousasseyons à la terrasse d’un café sur laVia Venetto, le temps de nous remettrede notre déception, le temps de trouverla solution, afin d’avoir ce satanélaissez-passer. Enfin ! La bonne humeurreprenait le dessus, car je venais d’obte-nir un rendez-vous avec l’Attaché cultu-rel de l’Ambassade de France en Italie.(J’ai toujours cette lettre de recomman-dation dans mes archives, la considérantaussi précieusement que la page d’unmanuscrit de la Mer Morte !).

Grâce à cette missive libellée en italien,nous fûmes reçus comme des princes àla “Cinecittà”. Le cordial et distinguéMario Calzini, Directeur technique, nousfit visiter l’immense sanctuaire des dieuxvivants. Nous eûmes le privilège de ren-contrer l’un d’eux : Monsieur Federico

Fellini, Maître incontesté du cinéma ita-lien. II était en plein tournage de son“Casanova”. Une réalisation libre etbaroque qui caractérise toute son œuvre.

Calzini nous demande le silence et ladiscrétion absolus, surtout quand leMaestro arrivera. Pendant ce temps touteson équipe s’affaire sur le plateau, dansun décor surréaliste et fabuleux. C’estimpressionnant ! On répète maintes etmaintes fois une scène, (environ 3/4d’heure pour un plan qui durera à peine10 secondes à l’écran). Tout le mondeparle, fait des gestes, s’énerve, palabre :soit pour un éclairage à mieux “caler”

sur l’acteur, soit pour élargir uncadrage de caméra sur le décor,soit pour remettre un objet poséà la même place qu’auparavant,ou alors pour mettre l’ultimecoup de pinceau de lamaquilleuse sur le visage del’acteur...

Soudain le silence s’installedans l’assemblée. Le Maître deslieux, Monsieur Federico Felli-ni, fait son entrée. Notre émo-tion est à son comble, et le taux

d’adrénaline augmente rapidementlorsque le regard du Maître s’attarde surnous. Il semble poser une question à Cal-zini qui vient de le rejoindre. Il acquies-ce d’un signe de tête tout en continuant ànous observer. Puis il nous adresse unpetit geste amical de la main, avecl’esquisse d’un sourire. Toutefois, leMaestro met ailleurs ses préoccupations.La tension monte sur les lieux de tourna-ge. Il vient d’intimer l’ordre. Par un seulmot. Ce mot compris par tous les gensdu métier : “ACTION !”

Et l’action durera pendant une annéelaborieuse : le temps du tournage de cefilm tant critiqué à sa sortie, commetoutes les oeuvres felliniennes.

Ainsi va le cinéma !

Fellini Romapar Michel Louis Boutaud

MIAM


Pour 6 à 8 personnesPréparation : 20 mnCuisson : 30 mn

• 300 g de riz basmati • 150 g de lentilles vertes • 350 g de petits pois écossés • 300 g de crevettes roses cuites et

décortiquées • 25 cl de lait de coco • 2 c. à soupe d’huile • 3 citrons verts • 1 c. à soupe de curry • 1 c. à soupe de moutarde • 1/2 botte de coriandre fraîche

1- Versez le riz basmati dans une casse-role, recouvert d’eau froide salée, portezà ébullition et faites cuire à feu doux 2mn de moins que le temps de cuisson

indiqué, environ 9mn. Egouttez, rincezrapidement à l’eau froide, égouttez ànouveau.

2- Versez les lentilles dans une cassero-le, recouvertes d’eau froide salée et por-tez à ébullition. Faites cuire 25 mn,égouttez et rincez rapidement sous l’eaufroide, égouttez à nouveau.

3- Faites cuire les petits pois entre 3 et 5mn selon leur grosseur dans l’eaubouillante et salée. Egouttez.

4- Assemblez le riz, les lentilles et lespetits pois dans un grand saladier, ajou-tez les crevettes et la moitié de lacoriandre ciselée, mélangez.

5- Dans un bol, préparez l’assaisonne-ment. Mélangez le lait de coco avec la

moutarde et le curry, du sel et du poivre.Ajoutez l’huile, l’autre moitié decoriandre ciselée, le zeste finement râpéd’un citron et le jus des 3. Versez sur lasalade, mélangez, goûtez l’assaisonne-ment.

A t a b l e !

Le riz et les lentilles ne doivent surtoutpas être trop cuits. Vous pouvez remplacer le lait de cocopar 25 cl de crème liquide. Ajoutez alors50 g de noix de coco râpée.

Christel Pinaud (merci à Janine)

** Menu roboratif que Christel a adop-té pour le petit déjeuner, les jours dedistribution de prose communale –quand il s’agit de pédaler vers les 800boîtes à lettres d’Auzeville.

Recette : Salade de riz, lentilles, petits pois et crevettes au lait de coco **

Un vice-champion de France à Auzeville

Loïc Disdier, fils du docteur Michel Dis-dier et de Dominique Laurent, du hautde ses 10 ans, et sur sa poneyte1 Chloé,s’est classé second au Concours Com-plet d’Equitation Poney Elite (CCEB1PE, comme on dit chez les initiés).

Le Championnat se déroulait du 30 juinau 21 juillet à Lamotte Beuvron, enSologne, et réunissait 7000 candidats –de quoi faire pousser beaucoup dechampignons !! Imaginez la montagned’humus produite en trois semaines.Loïc est en progrès : il était 7e auconcours complet et 4e au saut d’obs-

La Fédération Françaised’Equitation, dans soncourrier du 21 août adresséà la Mairie, nous apprendque la commune compte unvice-champion de France.

tacles en 2001, si j’en crois la Lettre 53d’octobre 2001. Toutes nos félicita-tions, ainsi qu’à son entraîneur2 Marie-Reine PERIE (du Poney Club de laSeillonne), et bien sûr à Chloé.

Jean-Marie Destombes

1 : J’ai pris le risque – mon petit Robert neme dit pas comment on appelle les filles,chez les poneys !

2 : Mon dico me donne cette fois le féminin– mais est-ce bien convenable ?

FACETTES


mobiliser les énergies, associer à nosefforts les organisations non gouverne-mentales, les associations, les collectivi-tés décentralisées, les acteurs écono-miques et sociaux, les jeunes, lesfemmes, toutes les forces vives de lasociété ».

Proposition du Conseil Per-manent de la Francophonie(CPF)②Extrait du Relevé des Décisions de laquarante-troisième session du ConseilPermanent de la Francophonie, Organedu Sommet Paris, 10 janvier 2002.(…) « Le CPF réitère son avis favorableà la mise en place du Conseil commeorgane consultatif auprès du Secrétairegénéral avec les concours affectés par laFrance pour son fonctionnement pourune période initiale de trois ans. Il char-ge le Secrétaire général de procéder à laconcrétisation rapide de ce projet quifera l’objet d’une évolution à l’issue decette phase d’installation » (…)

En résumé, c’est la transformation duHCF en un CES (Comité économique etsocial) bien connu en France et enUnion européenne placé sous la respon-sabilité du Secrétaire général de l’OIFM. Boutros Boutros Ghali.

Tho Kha Vang

➀ Selon les documents reçus du HCFConsulter les « Lettre d’Auzeville »

➁ N° 53 page 31 – octobre 2001La Francophonie d’aujourd’hui

➂ N° 42 page 38 – février 1998 :

Je reviens du Viêtnam d’aujourd’hui

➃ N° 52 page 37 – juin 2001 : Les institutions françaises de laFrancophonie

Evolution du Haut Conseil de la Francophonie➁

Le Haut Conseil de la Francophonie (HCF) dans sa nouvelleversion sera placé sous la responsabilité du Secrétairegénéral de l’Organisation internationale de la Francophonie(OIF)➁ ‚ Monsieur Boutros Boutros Ghali➂ .

Le HCF en bref➃Le Haut Conseil de la Francophonie estune institution française. Il est créé etprésidé par le président de la Répu-blique. Son originalité est d’être une ins-titution française composée d’une qua-rantaine de membres en majorité nonfrançais issus de tous les pays de laFrancophonie et de tous les mondes :politique, art, science, éducation, presse,etc…

Proposition du président dela République françaiseExtrait de l’allocution de MonsieurJacques Chirac, Président de la Répu-blique devant le Haut Conseil de laFrancophonie réuni pour sa dix-septiè-me session, Palais de l’Elysée, le 30 mai2001 :(…) « Le monde d’aujourd’hui est mar-qué par la prépondérance d’une langueet d’un système. Mais le monde dedemain sera multipolaire et donc pluri-lingue, à mesure que s’affirmeront laChine, l’Inde, le Brésil, l’Europe et tantd’autres. Notre ambition, c’est de fairede la Francophonie l’un de ces pôles auservice d’une civilisation mondiale fon-dée sur l’humanisme et la diversité descultures. Telle est la conviction qui meporte. Telle est aussi, je crois, la vôtre etje vous en remercie (…)« Après en avoir parlé à plusieursd’entre vous, au Gouvernement, auSecrétaire général de la Francophonie,j’ai pensé que l’on pourrait envisager,lors du Sommet de Beyrouth et dans lasuite du débat sur le dialogue des cul-tures, de placer auprès des instances de

l’Organisation➁ ‚ un conseil consultatif.Ce Conseil, qui succèderait en quelquesorte au HCF, en recevrait les moyenshumains, financiers et matériels, quiseraient administrés par l’Agence➁ »

Allocution du ministre délé-gué à la Coopération et à laFrancophonieRéception au Palais des Affaires Etran-gères, à l’occasion de la seizième ses-sion de la Conférence Ministérielle de laFrancophonie, Paris, le 10 janvier 2002.Monsieur Charles Josselin, Ministredélégué à la Coopération et à la Franco-phonie :(…) « La France propose une réformedu Haut Conseil de la Francophonie per-mettant une ouverture plus large auxpréoccupations des autres peuples. Nousdevons chaque jour rendre plus lisible etplus visible l’action de la Francopho-nie… Elle est trop souvent perçue parl’opinion comme un jeu purement insti-tutionnel, aux arcanes incompréhen-sibles pour les non initiés. Il nous fautpourtant convaincre l’opinion publique,

EN-TETE PAGE


ÉTAT CIVIL

NAISSANCES

Guillaume CLEYET-MERLE 12 février 2002Amandine KALI 16 juin 2002Téa HARDY 5 août 2002Mélanie CASTELLE 28 août 2002Lola SOUBRE 8 septembre 2002Lucie LASIERRA 18 septembre 2002Manon VERGÉ 18 septembre 2002Basile NOUGADERE 19 septembre 2002

MARIAGES

Bénédicte PIGNOL et Frédéric ROUAS 14 juin 2002Catherine COMBES et Frédéric MORALES 22 juin 2002Christelle NEUMAYER et Nicolas POBEAU 6 juillet 2002Malika AYOUB et Pierre DELOBEL 20 juillet 2002Fabiola NOURRY et Bertrand BUSCH 26 juillet 2002Karine OLIVA et Antoine GELLIN* 27 juillet 2002Hélène FOURNIER et Christian THUILLIER 27 juillet 2002Emmanuelle SAFORCADA et Laurent DEPUY 26 août 2002Hélène PUJOL et Rémy SICHI** 7 septembre 2002

* Fils de Joël et Françoise GELLIN, conseillère municipale dans l’équipe précédente** Fils de Jacques et Claudy SICHI, conseillère municipale, animatrice de la Vie Locale.

Louis BARTHELEMY 14 juin 2002Honoré ALAZET 1er juillet 2002Alexandre MATHIEU 22 juillet 2002Marie GARRIGUES veuve de Emile DURAND 26 juillet 2002Pierre ROUDOULES 10 août 2002Francine BERNARD épouse de Georges RUFFAT 16 août 2002Bernard DEJEAN époux de Marie-Françoise ROS 9 septembre 2002

Nous nous associons à vos joies et à vos peines

DÉCÈS CARNET NOIR

Bernard, ingénieur au CNES, mari de Françoise DEJEAN en charge des RessourcesHumaines à la Mairie jusqu’en décembre der-nier, est décédé à l’âge de 48 ans. L’églised’Auzeville était bien trop petite, ce 12 sep-tembre, pour accueillir la famille et la fouledes amis.A Françoise son épouse, à leur fille Laura,notre plus profonde sympathie.

CARNET ROSE

Depuis le 26 août 2002, M. et Mme StéphaneLELONG sont les heureux grands parents d’ungarçon, Hugo GERMAIN, né à Toulouse, aufoyer de leur fille Réjane.

Quant à Denis et Jacqueline MONCHY, ils ontmaintenant sept petits enfants, depuis la venuede• Maxence chez Etienne (le 7 août à Taverny-95)• Albin chez Vincent (le 20 août à Toulouse)

La Nouvelle Lettre d’Auzeville n°55 - juin 2002 31

INFOS SANTÉ NUMÉROS UTILES

PHARMACIES DE GARDEdes dimanches et jours fériés uniquement

Mlle BABOUCHIAN 5, avenue d'Occitanie RAMONVILLE 05 61 73 22 82

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PHARMACIE TOLOSANE 20, avenue Tolosane RAMONVILLE 05 61 73 20 71

Mme DUROU 31, chemin de l'Eglise AUZEVILLE 05 61 73 46 92

Mme ETESSE 14, bd des Genêts - 2, place René Char CASTANET 05 62 19 11 60

Mme MARTINEAU Rond-point S. Allende RAMONVILLE 05 61 75 92 56

PHARMACIE DU COLLEGE 5, place Clémence Isaure CASTANET 05 61 27 86 53

PHARMACIE DU LAURAGAIS 36, avenue du Lauragais CASTANET 05 61 27 75 85

Mmes POPINEAU / VERGNE 7, avenue de Toulouse CASTANET 05 61 27 77 69

M. SPERTE 63, avenue Tolosane RAMONVILLE 05 61 73 31 57Mmes LEPARGNEUR 7, avenue d’Occitanie PECHABOU 05 61 27 77 69

À Auzeville-TolosaneCHIRURGIEN DENTISTE● Dr ALBERNY37, chemin de l'Eglise 05 61 75 91 25INFIRMIERE● Mme ARACIL51, chemin de l'Eglise 05 61 75 03 34PHARMACIE● Mme DUROU31, chemin de l'Eglise 05 61 73 46 92MASSEURS KINÉSITHÉRAPEUTES● Mme CLUSEAU37, chemin de l'Eglise 05 62 19 02 00● M. JOLY37, chemin de l'Eglise 05 61 75 03 03MÉDECINS GÉNÉRALISTES● Dr CAZIN-LESCOURET37, chemin de l'Eglise 05 62 19 04 74● Dr LELONG9, chemin de l'Eglise 05 61 73 32 25

URGENCES• SAMU - CENTRE ANTI-POISON 15• POMPIERS 18• GENDARMERIE DE CASTANET 05 34 66 69 80• EDF 0810 131 433• GDF 0810 131 333

PRATIQUE• MAIRIE : Tél. : 05 61 73 56 02Du lundi au vendredi de 8 h 30 à 17 h 30 Fax : 05 61 73 55 63samedi de 10 h 00 à 12 h 00 • POSTE : du lundi au vendredi de 14 h 30 à-17 h 30 05 61 73 67 51• ÉCOLE MATERNELLE 05 61 73 25 57• ÉCOLE PRIMAIRE 05 61 73 56 16• CRECHE L’EAU VIVE 05 61 75 10 88• FOYER RURAL 05 61 75 69 41• TAXI DANIEL 06 09 31 98 84Pour tous ceux qui sont demandeurs d’emploi, ont un problème, veulent communiquer une infor-mation, recherchent quelque chose ou quelqu’un, n’hésitez pas, osez le Télex, le supplément auxInfos Municipales. Le Télex paraît au moins une fois par mois. Renseignement à la Mairie !ANALYSES MEDICALES :

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- Laboratoire DUMONS 05 62 71 71 70Centre Louis Delherm - CASTANET

- Laboratoire LES ESSARTS-CHAPUSET12, rue J.M. Arnaud - CASTANET 05 61 27 93 55

IMMOBILIERUn panneau pour afficher lesannonces de vente ou delocation immobilières est àvotre libre disposition dans lehall de la mairie.

Pour toutes transactions une adresse à AuzevilleAGENCE IMMOBILIERE DU SUD

1, ch de la MayrineTél/fax 05 61 75 72 00 - Tél 06 80 65 41 69

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OCTOBRE 6 SPERTE13 DUROU20 BABOUCHIAN27 POPINEAU

NOVEMBRE 1 SPERTE3 SPERTE

10 DUROU11 DUROU17 ETESSE24 TOLOSA

DECEMBRE 1 FEDOU8 MARTINEAU

15 DU LAURAGAIS22 LEPARGNEUR25 LEPARGNEUR29 BUISSON

JANVIER 2003 1 POPINEAU5 BABOUCHIAN

Documents

No 56 10/2002 - Auzeville-Tolosane · MICHEL, Jacqueline et Denis MONCHY, Louis NOUGADERE, Laurence SALOMÉ, Sylvie et François-Régis VALETTE. ... Le projet d’aménagement lourd