1
und 14 = 9mo. Umgekehrt erkennt man schon auf der beigegebenen Tafel den Stern 14 heller als I I. Wie die Messung ergiebt, ist 14 photographisch um 0?3 heller als 11, und 11 ruckt uni om6 herunter in der Skala. Auffallende Abweichungen zeigen ferner die Sterne : 371 501 44, 45, 18, 59, 38, - 34, 23, 35, 66, 64, 401 48, die heller fur’s Auge als fur die Platte sind, und die Sterne 27, 25, 63, die schwacher fur’s Auge als fur die Platte erscheinen. Die Sterne 62 und 64 sind vielleicht veranderlich, doch kann ich Sicheres hieruber bis jetzt nicht aussagen ; sie sind fast zu schwach fur meine Hulfsmittel. Als Resultat der vorliegenden Untersuchung mochte ich aussprechen : erstlich, dass es moglich ist, selbst mit gewohnlichen Fernrohren brauchbare photographische Grossenbestimmungen zu machen ; dann, dass die Absorption der Atmosphare doch ziemlich betrachtlich sein wird, weil in einer mittleren Hohe von iso bis 40° ein Hohenunterschied von 2 5” bei obigem Verfahren einen Helligkeitsunterschied von einer halben Grossenclasse bewirken kann. Heidelberg 1890 Oct. 24. M. Wolf: Note sur un appareil qiii donnerait les variations de la latitude. On sait que dans les cercles meridiem on ne peut pas se fier A la constance du point nadiral sur le cercle divist dans le cours dune seule soiree d’observation. Cet assemblage d’acier et de bronze n’est pas un systbme ab- solument rigide et il est en outre sujet a toutes les vicissi- tudes de la temperature. Par exemple le cercle meridien Reichenbach-Heurtaux que j’ai en usage depuis I 882 donne dans les soirees froides d’hiver, un dkplacement du point nadiral de presque 3’’ en 5 ou 6 heures. Cela pose, il est evident que si on voulait Ctudier les variations de la verticale (si elle varie) au moyen d‘un tel instrument, il faudrait faire prealablement I’etude des effets de la temperature et du maniement prolonge; ce qui est presque impossible. J’ai imagine l’appareil suivant que j’ai commence A construire et dont je publie les idees principales afin que, si je ne reussis pas A le completer, il soit fait par d’autres qui surmontent mieux que moi les difficult& que je crains de rencontrer. Supposons de disposer d’une localit6 qui presente la surete contre les perturbations dues A: I’oscillation des batiments en masonnerie ; I 20 les variations brusques de temperature ; 30 les rayons du soleil; 4O les vibrations du sol; et dans cette localit6 sur le roc nature1 blitissons un support en briques dans le sens du meridien. Mettons sur ce *) Je sais que M. d‘Abbadie a fait des observations sur 1; Capodimonte I 890 Decembre. d’observer. support une lunette fixe de long foyer et une lunette qui flotte sur le mercure, l’une tournee contre I’autre avec les distances focales reglees pour I’infini. Ces deux lunettes auront chacune un fil horizontal inamovible et celle qui est fixe, un micrombtre en hauteur qui mesure la distance des deux fils dans le champ de la lunette. Tant que la verticale ne variera pas, ies deux images des fils horizontaux con- serveront leur distance, mais si cette direction vient 21 changer, la distance des deux fils variera et on pourra en mesurer les variations, si le grossissement est assez fort. On pourrait aussi mettre les deux lunettes fixes et faire flotter sur le mercure (dispose verticalement) un miroir plan, argente sur la premikre face. En ce cas l’angle de variation serait double, mais il y a a craindre I’imperfection des images. I1 y a beaucoup d’imperfections techniques A vaincre et entre autres il faut pouvoir mesurer directement les dixikmes de seconde au moins. I1 faut que le corps flottant, lunette ou miroir, flotte librement quoique sans variations d’azimuth signifiantes. I1 faut que I’image dont on mesure la distance verticale au fil horizontal de la lunette fixe, soit strictement lineaire si elle vient d’un fill ou un point Iumi- neux si elle vient d’un trou etc. En cas que l’appareil fait par moi ou par d’autres rkussisse A donner ce que j’en attends, on pourra etudier journellement les variations de la verticale comme on fait les observations meteorologiques et magnCtiques.*) rariation du Nadir, mais je le cite, sans savoir toutefois sa matliere A. Nabice. BeneMnng kleher Planeten. haben die folgenden Namen erhalten : Verschiedene von Dr. J. Palisa in Wien in der letzten Zeit entdeckte Planeten (292) Ludovica, entdeckt 1890 April 25 (295) Theresia, entdeckt 1890 Aug. I 7 KY. I (290) Bruna, entdeckt 1890 M&rz 20 (291) Alice, entdeckt 1890 April 25

Benennung kleiner Planeten

  • Upload
    kr

  • View
    213

  • Download
    1

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: Benennung kleiner Planeten

und 14 = 9mo. Umgekehrt erkennt man schon auf der beigegebenen Tafel den Stern 1 4 heller als I I. Wie die Messung ergiebt, ist 1 4 photographisch um 0?3 heller als 11, und 1 1 ruckt uni om6 herunter in der Skala.

Auffallende Abweichungen zeigen ferner die Sterne :

371 501 44, 45, 18, 59, 38, - 34, 23, 35, 66, 64, 401 48,

die heller fur’s Auge als fur die Platte sind, und die Sterne

2 7 , 25, 63, die schwacher fur’s Auge als fur die Platte erscheinen.

Die Sterne 62 und 64 sind vielleicht veranderlich, doch kann ich Sicheres hieruber bis jetzt nicht aussagen ; sie sind fast zu schwach fur meine Hulfsmittel.

Als Resultat der vorliegenden Untersuchung mochte ich aussprechen : erstlich, dass es moglich ist, selbst mit gewohnlichen Fernrohren brauchbare photographische Grossenbestimmungen zu machen ; dann, dass die Absorption der Atmosphare doch ziemlich betrachtlich sein wird, weil in einer mittleren Hohe von iso bis 40° ein Hohenunterschied von 2 5” bei obigem Verfahren einen Helligkeitsunterschied von einer halben Grossenclasse bewirken kann.

Heidelberg 1890 Oct. 24. M. Wolf:

Note sur un appareil qiii donnerait les variations de la latitude. On sait que dans les cercles meridiem on ne peut

pas se fier A la constance du point nadiral sur le cercle divist dans le cours dune seule soiree d’observation. Cet assemblage d’acier et de bronze n’est pas un systbme ab- solument rigide et il est en outre sujet a toutes les vicissi- tudes de la temperature. Par exemple le cercle meridien Reichenbach-Heurtaux que j’ai en usage depuis I 882 donne dans les soirees froides d’hiver, un dkplacement du point nadiral de presque 3’’ en 5 ou 6 heures.

Cela pose, il est evident que si on voulait Ctudier les variations de la verticale (si elle varie) au moyen d‘un tel instrument, il faudrait faire prealablement I’etude des effets de la temperature et du maniement prolonge; ce qui est presque impossible.

J’ai imagine l’appareil suivant que j’ai commence A construire et dont je publie les idees principales afin que, si je ne reussis pas A le completer, il soit fait par d’autres qui surmontent mieux que moi les difficult& que je crains de rencontrer.

Supposons de disposer d’une localit6 qui presente la surete contre les perturbations dues A :

I’oscillation des batiments en masonnerie ; I

20 les variations brusques de temperature ; 30 les rayons du soleil; 4O les vibrations du sol;

et dans cette localit6 sur le roc nature1 blitissons un support en briques dans le sens du meridien. Mettons sur ce

*) Je sais que M. d‘Abbadie a fait des observations sur 1;

Capodimonte I 890 Decembre. d’observer.

support une lunette fixe de long foyer et une lunette qui flotte sur le mercure, l’une tournee contre I’autre avec les distances focales reglees pour I’infini. Ces deux lunettes auront chacune un fil horizontal inamovible et celle qui est fixe, un micrombtre en hauteur qui mesure la distance des deux fils dans le champ de la lunette. Tant que la verticale ne variera pas, ies deux images des fils horizontaux con- serveront leur distance, mais si cette direction vient 21 changer, la distance des deux fils variera et on pourra en mesurer les variations, si le grossissement est assez fort.

On pourrait aussi mettre les deux lunettes fixes et faire flotter sur le mercure (dispose verticalement) un miroir plan, argente sur la premikre face. En ce cas l’angle de variation serait double, mais il y a a craindre I’imperfection des images.

I1 y a beaucoup d’imperfections techniques A vaincre et entre autres il faut pouvoir mesurer directement les dixikmes de seconde au moins. I1 faut que le corps flottant, lunette ou miroir, flotte librement quoique sans variations d’azimuth signifiantes. I1 faut que I’image dont on mesure la distance verticale au fil horizontal de la lunette fixe, soit strictement lineaire si elle vient d’un fill ou un point Iumi- neux si elle vient d’un trou etc.

En cas que l’appareil fait par moi ou par d’autres rkussisse A donner ce que j’en attends, on pourra etudier journellement les variations de la verticale comme on fait les observations meteorologiques et magnCtiques.*)

rariation du Nadir, mais je le cite, sans savoir toutefois sa matliere

A. Nabice.

BeneMnng kleher Planeten. haben die folgenden Namen erhalten :

Verschiedene von Dr. J. Palisa in Wien in der letzten Zeit entdeckte Planeten

(292) Ludovica, entdeckt 1890 April 2 5

(295) Theresia, entdeckt 1890 Aug. I 7 KY.

I (290) Bruna, entdeckt 1890 M&rz 20 (291) Alice, entdeckt 1890 April 2 5