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© 1997 MADHOUSE ŒUVRE ORIGINALE YOSHIKAZU TAKEUCHI RÉALISATEUR SATOSHI KON SCRIPT SADAYUKI MURAI ORIGINAL CHARACTER DESIGN HISASHI EGUCHI CHARACTER DESIGN HIDEKI HAMASU SATOSHI KON DIRECTEUR DE L’ANIMATION HIDEKI HAMASU DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE HISAO SHIRAI SOUND DIRECTOR MASAFUMI MIMA MUSIQUE MASAHIRO IKUMI PRODUCTION REX ENTERTAINMENT PRODUCTION DE L’ANIMATION MADHOUSE PRODUCTEURS HITOMI NAKAGAKI YOSHIHISA ISHIHARA YUTAKA TOGO MASAO MARUYAMA HIROAKI INOUE DISTRIBUTION VIZ MEDIA EUROPE UN FILM DE SATOSHI KON PAR LE RÉALISATEUR DE PAPRIKA, TOKYO GODFATHERS, MILLENIUM ACTRESS « IL EST CLAIR QU’AVEC BLACK SWAN, DARREN ARONOFSKY A VOULU RÉALISER SON PERFECT BLUE » CRITIKAT Mima est une icône pop, membre d’un girls’ band à succès. Quand elle décide de quitter le groupe pour devenir actrice, ses fans se désolent. Aussitôt, sa vie tourne au cauchemar. Elle reçoit des menaces, et d’inquiétants événements se produisent autour d’elle... LE 9 MAI AU CINÉMA Japon - 1997 - Thriller - 81 min - DCP VOSTF / VF - Visa n°95599 Interdit aux moins de 12 ans « Un chef-d’œuvre, une bombe » COYOTE MAG « Exemplaire et inclassable » LIBÉRATION

LE 9 MAI AU CINÉMA - Splendor Films

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Page 1: LE 9 MAI AU CINÉMA - Splendor Films

© 1997 MADHOUSE

ŒUVRE ORIGINALE YOSHIKAZU TAKEUCHI RÉALISATEUR SATOSHI KON SCRIPT SADAYUKI MURAI ORIGINAL CHARACTER DESIGN HISASHI EGUCHI CHARACTER DESIGN HIDEKI HAMASU SATOSHI KON DIRECTEUR DE L’ANIMATION HIDEKI HAMASU DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE HISAO SHIRAI

SOUND DIRECTOR MASAFUMI MIMA MUSIQUE MASAHIRO IKUMI PRODUCTION REX ENTERTAINMENT PRODUCTION DE L’ANIMATION MADHOUSE PRODUCTEURS HITOMI NAKAGAKI YOSHIHISA ISHIHARA YUTAKA TOGO MASAO MARUYAMA HIROAKI INOUE DISTRIBUTION VIZ MEDIA EUROPE

UN FILM DE SATOSHI KON

PAR LE RÉALISATEUR DE PAPRIKA, TOKYO GODFATHERS, MILLENIUM ACTRESS

« IL EST CLAIR QU’AVEC BLACK SWAN, DARREN ARONOFSKY A VOULU RÉALISER SON PERFECT BLUE »

CRITIKAT

Mima est une icône pop, membre d’un girls’ band à succès. Quand elle décide de quitter le groupe pour devenir actrice, ses fans se désolent. Aussitôt, sa vie tourne au cauchemar. Elle reçoit des menaces, et d’inquiétants événements

se produisent autour d’elle...

LE 9 MAI AU CINÉMA

Japon - 1997 - Thriller - 81 min - DCP VOSTF / VF - Visa n°95599Interdit aux moins de 12 ans

« Un chef-d’œuvre, une bombe » COYOTE MAG

« Exemplaire et inclassable » LIBÉRATION

Page 2: LE 9 MAI AU CINÉMA - Splendor Films

« Qui a lu le manga inachevé Opus de Satoshi Kon comprend que le médium papier était trop « petit » pour le mangaka dont les idées folles criaient leur besoin d’acquérir une dimension supplémentaire afin de révéler tout leur potentiel. De fait, Kon sera forcé d’arrêter Opus alors qu’il travaillait déjà sur Perfect Blue, son premier long-métrage d’animation. Certes, pour le bonhomme ce n’est pas vraiment un saut dans I’inconnu puisqu’il avait œuvré sur les décors ou les layouts de Roujin Z, Patlabor 2 ou Memories (dont il avait écrit le superbe segment Magnetic Rose) et réalisé un épisode de l’OAV Jojo’s Bizarre Adventure.Toutefois, Kon est ici, pour la première fois seul maître à bord sur un film de 82 minutes. Difficile dès lors de ne pas établir un parallèle avec son héroïne Mima chanteuse dans un groupe de J-pop qui, au moment où démarre I’histoire, quitte le monde de la musique pour débuter une carrière de comédienne vite parasitée par des meurtres atroces. Kon aurait-il projeté toutes ses angoisses de créateur en mutation dans I’inexorable fragmentation de la personnalité de Mima ? Cela expliquerait la

monumentale cohérence de Perfect Blue, dont la moindre articulation soutient à la fois une logique narrative limpide et un délitement labyrinthique des repères de l’héroïne et du spectateur (voir la façon dont la fiction prend le pas sur le réel, ou encore I’acuité de l’analyse des dérives virtuelles, digne de Black Mirror mais avec 15 ans d’avance !).Kon explique avoir avant tout travaillé sur la fluidité de I’histoire et de la mise en scène au lieu de s’être concentré sur quelques morceaux de bravoure. C’est peut-être là que réside le secret du défunt génie pour qui le voyage n’était pas une question d’étapes mais de cheminement.Et son premier « bébé » est tout simplement I’un des plus grands thrillers psycho-logiques qui soient, à ranger aux côtés des accomplissements les plus brillants d’Alfred Hitchcock ou Brian De Palma. Un fascinant et hypnotique conte cruel. »

MAD MOVIES

« Virtuosité incroyable du récit »

LE MONDE