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MEDIENSPIEGEL 09.06.2017 Avenue ID: 858 Artikel: 8 Folgeseiten: 12 07.06.2017 La Liberté Le soupçon pèse sur ces plantes-là 01 06.06.2017 FRC mieux choisir L’iode, un micronutriment qui nous veut du bien 04 06.06.2017 Migros-Magazin / Region Wallis Ein frisches Brot zum Feierabend 11 03.06.2017 Schweizer Bauer Folgen von Frost und Schnee sind noch unklar 14 03.06.2017 Schweizer Bauer Jedem Boden seine passende Getreideart 15 02.06.2017 Agri Céréales, protéagineux et oléagineux: conséquences du gel incertaines 17 01.06.2017 Die Grüne Neue Sorten für Weizen- und Cerstenanbau 19 01.06.2017 Schweizer Familie VOLLKORN 20

MEDIENSPIEGEL 09.06 - Pain Suisse · 2016. Les explications de la res-ponsable Anne Gabrielle Wüst Sancy. Comment ces OGM poussent-ils dans la nature? Anne-Gabrielle Wüst Saucy:

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Page 1: MEDIENSPIEGEL 09.06 - Pain Suisse · 2016. Les explications de la res-ponsable Anne Gabrielle Wüst Sancy. Comment ces OGM poussent-ils dans la nature? Anne-Gabrielle Wüst Saucy:

MEDIENSPIEGEL09.06.2017

Avenue ID: 858Artikel: 8Folgeseiten: 12

07.06.2017 La LibertéLe soupçon pèse sur ces plantes-là 01

06.06.2017 FRC mieux choisirL’iode, un micronutriment qui nous veut du bien 04

06.06.2017 Migros-Magazin / Region WallisEin frisches Brot zum Feierabend 11

03.06.2017 Schweizer BauerFolgen von Frost und Schnee sind noch unklar 14

03.06.2017 Schweizer BauerJedem Boden seine passende Getreideart 15

02.06.2017 AgriCéréales, protéagineux et oléagineux: conséquences du gel incertaines 17

01.06.2017 Die GrüneNeue Sorten für Weizen- und Cerstenanbau 19

01.06.2017 Schweizer FamilieVOLLKORN 20

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Datum: 07.06.2017

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Les parlementaires sont divisés sur le sort qu'il s'agit de réserver aux OGM résistants aux antibiotiques

Le soupçon pèse sur ces plantes -là«SANDRINE HOCHSTRASSER

Recherche Un seul article de la fu-ture loi sur le génie génétique divise lesdeux Chambres du parlement depuisdes mois. Cela pourrait passer pour undétail, une divergence insignifiante, s'ilne s'agissait de la dissémination à l'airlibre d'OGM avec des gènes de résis-tance aux antibiotiques. Inquiet, leConseil national milite à une large ma-jorité pour le maintien de l'interdictionen vigueur. Tandis que le Conseil desEtats et le gouvernement veulent per-mettre aux chercheurs de planter de telsvégétaux dans des champs en plein air,mais étroitement surveillés, comme lesite d'Agroscope à Reckenholz dans lecanton de Zurich.

Le bras de fer risque de s'achever enconférence de conciliation: les sénateursqui se prononcent aujourd'hui devraientcamper sur leur position, au nom «de lascience» et de la place de la Suisse dansles «projets de recherche internatio-naux», selon le vice-président de la com-mission compétente, Ruedi Noser (plr,ZH). Du côté du National en revanche,«nous attendons la preuve qu'il n'y aaucun risque de dissémination dans lanature», réplique Christine Bulliard-Marbach (pdc, FR), vice-présidente de lacommission de la science.Doutes des médecinsL'anxiété des conseillers nationaux re-pose sur la résistance croissante et mas-sive aux antibiotiques én médecinehumaine - «l'une des plus graves me-naces pesant sur la santé mondiale»,aux yeux de l'OMS. Les tubes digestifsdes patients sont habités, de plus en plusfréquemment, de bactéries qui sur-vivent aux antibiotiques, rendant lestraitements inefficaces et les médecins

totalement démunis.La Suisse augmenterait-elle les

risques en levant cette interdiction surces OGM résistants aux antibiotiques,alors que l'Union européenne - qui lesautorisait - recommande désormais auxchercheurs de s'en passer? L'idée, en toutcas, n'enchante guère le professeur Di-dier Pittet, infectiologue à l'Université deGenève. «A chaque fois qu'on introduitune nouvelle résistance, on court unrisque. Même si, selon les chercheurs,un tel gène n'est encore jamais passé dela plante - au sol -à une bactérie, puis àl'humain, toutes les résistances peuventthéoriquement se rejoindre, se combi-ner», souligne le spécialiste.

«Au début, on ne pensait pas non plusque les antibiotiques donnés aux pouletsse retrouveraient dans notre tube diges-

UR», rappelle-t-il. Or, l'abus de ces traite-ments vétérinaires est désigné désor-mais comme l'une des sources majeuresde la résistance chez les êtres humains.

Aussi des pétuniasAucune comparaison avec les élevagesd'animaux, contestent les biologistes. Iln'est pas question de disséminer cesOGM à tout-va, mais uniquement surdes sites réservés aux chercheurs. Toutest question de quantité et de sélection.«Chaque plante sera étudiée au cas parcas pour évaluer les risques», préciseMichael Winzeler, responsable du site deReckenholz. «Nous regarderons notam-ment s'il s'agit d'une plante avec unerésistance à un antibiotique déjà présent- naturellement - dans la nature. Larésistance à l'ampicilline, par exemple,est très répandue dans le sol, il y a doncmoins de risque à planter des végétauxavec cette résistance», ajoute-t-il.

«Chaque plante seraétudiée pour évaluerles risques»

Michael Winzeler

A l'heure actuelle, des OGM avec desrésistances aux antibiotiques sont déjàproduits dans une dizaine de labora-toires du pays. A l'Université de Fri-bourg par exemple, Didier Reinhardtproduit des pétunias génétiquementmodifiés - avec des protéines fluores-centes pour étudier l'interaction decette plante ornementale avec deschampignons.

Le gène de résistance aux antibio-tiques n'est introduit qu'en sus, pourfaciliter le travail du chercheur: celui-cipeut supprimer toutes les plantes dont latransformation n'a pas réussi avec unebactérie; tandis que les autres survivent.«C'est juste un outil de sélection, unmarqueur», rappelle le professeur. Enfait, la résistance aux antibiotiques n'estjamais un but en soi, juste un outil «bonmarché» pour faciliter la recherche.

Si le professeur de l'Université de Fri-bourg n'a pas d'intérêt à voir ses pétu-nias plantés en plein air, cette possibi-lité intéresserait d'autres chercheursqui travaillent sur du blé résistant auxchampignons. Histoire d'observer leurcomportement dans l'environnement.Les responsables des champs de Rec-kenholz ont déjà été approchés il y aquelques années avec une telle de-mande, qu'ils avaient dû décliner àcause de la législation en vigueur. Auparlement désormais de donner, ounon, son feu vert. »

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Datum: 07.06.2017

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Aujourd'hui, les OGM, tels que les blés, plantés dans tes champs d'Agroscope n'ont pas de résistance aux antibiotiques. Cela pourraitchanger sous l'impulsion du Conseil fédéral et du Conseil des Etats. Keystone-archives

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La chasse au colza OGM qui pousse illégalement au bord des gares et des portsPROPOS RECUEILLIS PAR SH

Elle les traque le long des voiesde chemin de fer notamment. Lasection biotechnologie de l'Of-fice fédéral de l'environnement(OFEV) recherche les plantesgénétiquement modifiées quipoussent illégalement en Suisse.Elle vient de publier ses derniersrésultats: il ne s'agit pas icid'OGM résistants aux antibio-tiques, mais d'une trentaine deplantes de colza résistant auxherbicides trouvés en Suisse en2016. Les explications de la res-ponsable Anne Gabrielle WüstSancy.

Comment ces OGM poussent-ilsdans la nature?Anne-Gabrielle Wüst Saucy: Leurculture est interdite en Suisse,mais pas l'importation. Quatrevariétés de maïs ou soja généti-quement modifié sont autori-sées pour l'alimentation hu-maine et le fourrage. Mais, dansles faits, il n'y a aucune impor-tation car il n'y a pas de de-mande. Ces plantes viennentdonc d'ailleurs! Il y a toujoursquelques impuretés dans lescargaisons arrivant par contai-ners (des seuils de tolérancesont fixés par la loi). Des grainesde colza OGM, très petites, selogent dans du blé «convention-nel» en provenance du Canada.Tous les endroits de transit oude transformation des céréalesimportées, comme les silos,moulins à huile, gares de triage,sont surveillés par l'OFEV.

Ces colzas peuvent-ils venir éga-lement du champ d'Agroscopedans la campagne zurichoise?Non, il n'y a pas de colza OGMsur ce site. Seuls du blé, despommes et des pommes deterre OGM y sont cultivés pourla recherche. De manière géné-

rale, les essais en champ sontscrupuleusement contrôlés.Nous surveillons un large péri-mètre autour du site, et à cejour nous n'avons pas constatéde dissémination.

Pourquoi le colza serait-ille seul OGM à se logerdans les cargaisons?Il y a une raison technique: lorsdu traitement des impuretés,seules les graines les plus petitespassent au travers des tamis. Lemaïs aurait de la peine à conta-miner les cargaisons de blé. Parprécaution, l'OFEV vérifie régu-lièrement si d'autres plantespeuvent apparaître en Suisse,sur la base des cultures d'OGMautorisées dans les pays expor-tateurs.Et vous n'en avez pas détecté?Non, pas d'autres plantes pé-rennes. Les pétunias OGM (avec

cette fois des gènes de résistanceaux antibiotiques, ndlr) retrou-vés dans des jardineries, ne ré-sistent pas à l'hiver et ne pré-sentent donc pas de risquessimilaires de dissémination.

Le nombre de colza OGMaugmente-t-il?Non. Depuis 2015, en collabora-tion avec les cantons, nous sur-veillons les alentours deshotspots (les lieux de transit etde transformation) et nousavons découvert 28 plantesOGM en 2016, ce qui représente2% des plantes analysées. C'esttrès faible.C'est davantage qu'en 2015...Oui, mais ce n'est pas significa-tif. En 2016, nous avons ciblénos recherches sur 37 hotspots(nouveaux pour la plupart).C'est la surveillance des mêmesendroits sur plusieurs annéesqui donnera des informationsfiables.

Pourquoi ne publiez-vous pasune carte pour localiser cesOGM?Ce serait difficile d'avoir uneéchelle représentative, avecquelques plantes sur toute laSuisse. Les impuretéssont tolé-rées dans les cargaisons si letaux est inférieur à 0,5%. Lesentreprises sont tenues d'empê-cher toute dissémination etelles font leur travail, selon leprincipe du pollueur-payeur. Lebut de la surveillance est d'évi-ter que des OGM se retrouventdans l'environnement, pas deporter atteinte à l'image desentreprises. »

Anne-Gabrielle Wüst Saucy. DR

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NutritionL'iode, un micronutrimentqui nous veut du bienBarbara Pfenniger

Il contribue au bon développementde l'organisme et du cerveau. Pouréviter toute carence, examinezscrupuleusement les étiquettes desaliments transformés! Nos conseilspour trouver les bonnes sources.

Il ne suffit pas d'avoir la main légère sur lesel, encore faut-il choisir le bon. A savoir unsel riche en iode, dont l'apport doit être ensuffisance pour le bon fonctionnement de

l'organisme. C'est en gros le message des campagnesde prévention de santé publique. Sont plus particuliè-rement visées les femmes, enceintes ou allaitantes, demême que les enfants et adolescents.

L'iode est indispensable à la production des hormonesde la thyroïde, essentielles pour la croissance et ledéveloppement du cerveau ainsi que pour le main-tien de l'activité intellectuelle. Les Suisses cuisinantmoins, l'iode est essentiellement absorbé via le sel

SuisseUn pays fort dépourvuL'iode est présent sous forme de sel dissous en faibleconcentration dans l'eau de mer, et s'accumule dans lespoissons, les algues et les mollusques. Selon la géolo-gie, certains sols peuvent en contenir, ce qui n'est pas lecas des surfaces agricoles des régions alpines suisses.

C'est ainsi que nos autorités, dès 1920, ont été ame-nées à faire ajouter de l'iode au sel de cuisine aprèsavoir constaté des problèmes de santé (goitres) et unediminution des capacités intellectuelles (crétinisme).Ces affections ont ainsi diminué... jusqu'à l'arrivée desaliments transformés contenant du sel non iodé.

ajouté dans les aliments transformés,à raison de 70% à 80%. Or ces denréescontiennent souvent du sel non iodé, lais-sant présager des carences importantes,faute d'une prise de conscience. Le clientn'a d'autre choix que de vérifier encore ettoujours l'étiquetage de ce qu'il achète, car laliste des ingrédients doit en effet indiquer préci-sément si le sel est iodé ou non.

QUEL SEL ACHETER? I En Suisse, les rayons offrentdifférents types de sel, non iodé et iodé. Ce dernier,aussi appelé sel comestible iodé ou sel de cuisineiodé, contient l'équivalent de 25 mg d'oligo-élémentpar kilo de sel. Le sel marin et la fleur de sel, en re-vanche, contiennent de si faibles traces d'iode que leurconsommation ne représente pas un apport suffisant:il faudrait en manger un kilo pour avoir l'équivalentd'un gramme de sel iodé. Conclusion: leur texture, trèsfine ou croquante, est intéressante du point de vueorganoleptique, mais ils ne remplacent pas le sel iodé.

LES PRODUITS LAITIERS I Les Suisses absorbent unepartie importante d'iode par ce biais-là. Nous profitonsindirectement de l'enrichissement en iode du fourragedes vaches pour leur santé et nous en mangeons desquantités importantes. Le lait founit 27% des apportsjournaliers, le fromage 9%. Dans les oeufs, ils sont del'ordre de 3%.

LE PAIN ET LES CÉRÉALES I Parmi les denrées trans-formées, le pain est l'aliment qui permet l'apport leplus important en iode (44%), car les boulangeries ontfait le choix d'utiliser du sel enrichi. Deux exceptionsnotables cependant: de nombreux pains bio, élabo-rés avec du sel marin, et le pain sans gluten. Si vouschoisissez ces produits-là, soyez vigilant à leur compo-sition. Quant aux céréales de petit-déjeuner, pourtantpresque aussi salées que le pain, elles contiennent engénéral du sel non iodé. Ce n'est donc pas ainsi quel'on absorbera sa dose d'iode au petit-déjeuner.

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LES ALIMENTS COMPOSÉS I Qui cherche un produitavec sel iodé peut déjà écarter tout aliment importé,généralement assaisonné au sel normal ou marin,et se concentrer sur les produits suisses. Les produitsdes marques propres des deux grands distributeurs, enrevanche, contiennent très souvent du sel iodé. Coopdit vouloir contribuer «à réduire les risques de mala-dies graves liées à la carence en iode (malformationset troubles neurologiques chez les nouveau-nés, etc.)»Migros considère également «qu'il est justifié et importantde proposer du sel de cuisine iodé et que la productionindustrielle de denrées y recoure autant que possible».Toutefois, ces déclarations d'intention ne concernent pastout l'assortiment, comme le bio, certains produits vé-gétariens, des conserves... Les autres distributeurs sontplus évasifs et misent sur l'étiquetage et la responsabilitépropre du consommateur. Unilever Suisse (Knorr, etc.) etNestlé (Maggi, Thomy, Leisi, etc.) offrent également seu-lement une partie de leur assortiment avec du sel iodé etrenvoient aussi à la vigilance du client.

en

Le pain, contrai-rement à de nom-

breuses céréalesde petit-déjeuner,

contient du sel iodé.Exceptions

fréquentes: les painsbio et sans gluten.

Le pain, contrai-rement à de nom-

breuses céréalesde petit-déjeuner,

contient du sel iodé.Exceptions

fréquentes: les painsbio et sans gluten.

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Toutes les varietes desel ne sont pas enrichiesen iode Le sel marin etprovenant de l'Himalaya

en sont dépourvus

Toutes les variétés de

sel ne sont pas enrichiesen iode. Le sel m

arin etprovenant de l'H

imalaya

en sont dépourvus.

Les besoins en iodeLes experts de l'Organisation mondiale de la santé(OMS) recommandent un apport journalier de:

020pg50pg50p

our un enfant jusqu'à 5 anspour un enfant jusqu'à 12 anspour une personne de plus de 12 anspour une femme enceinte ou allaitante.

L'apport suffisant en iode est très important pour lebon développement des enfants et adolescents, demême que pour le maintien des facultés intellectuellesdes adultes. Il est en revanche indispensable pour lesfemmes enceintes et allaitantes, car une carence en iodedu foetus peut causer des dommages irréversibles.

A l'inverse, un adulte sain peut supporter jusqu'à lmgd'iode par jour, soit environ sept fois la dose journalièrerecommandée. La limite est impossible à dépasser enmangeant normalement, sauf en abusant de complé-ments alimentaires.

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Recherche

«Il est urgent de légiférersur les perturbateurs»

Le cerveau risque de subir desdommages massifs et irréversibles.Explications d'une scientifique.

La professeure Barbara Demeneix est biologiste. Elle estune spécialiste reconnue internationalement pour sestravaux sur les hormones thyroïdiennes et les substancesqui perturbent leur action. Elle codirige le laboratoireÉvolution des régulations endocriniennes du Muséumnational d'histoire naturelle, à Paris. Auteure d'un récentouvrage consacré aux polluants qui brouillent les com-munications hormonales, elle nous explique commentles perturbateurs endocriniens peuvent augmenter lesrisques d'effets néfastes d'une carence en iode sur le dé-veloppement cérébral.

Sur quoi portent vos recherches?

Aujourd'hui, il est prouvé qu'une femme enceinte enmanque d'iode ou d'hormones thyroïdiennes a un risqueplus élevé d'avoir un enfant au quotient intellectuel (01)abaissé ou qui développe un trouble du spectre autistique(TSA). On sait aussi que celle qui est exposée à un forttaux de perturbateurs endocriniens a un risque augmenté

d'avoir un enfant avec un baissé de 5-6 pointsou autiste. Nous partons donc de l'hypothèsequ'une double exposition est un facteur aggra-vant. S'y ajoute encore le fait qu'une femme surhuit a des problèmes de thyroïde, une proportionen augmentation. Tous ces risques se cumulent, onne sait pas encore de quelle manière. Mais il ne s'agitpas d'une simple addition.

Sur quoi se basent vos hypothèses?

On constate des baisse de dans plusieurs pays. AuxEtas-Unis, on a documenté un plus grand risque d'autismeà proximité d'épandages de pesticides. Notre équipe adéveloppé une méthode in vivo pour démontrer com-ment la présence de polluants perturbateurs endocriniensdans l'eau affecte des grenouilles. Plongées dans cet élé-

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Avant de choisirvotre bouillon, véri-fiez la liste des ingré-dients. Le bouillon delégumes vaut mieuxque le mélange pourfondue chinoise.

. . - .

4

L'endocrinologueBarbara Demeneix a

rédigé l'ouvrageLe cerveau endom-

magé. Commentla pollution altèrenotre intelligence

et notre santé mentale,paru aux Ed. Odile Jacob, 2016.

n apport InsuLe sel marin ne contient presque pas d'iode, contrai-rement à l'eau de mer dont il est tiré. La raison en estsimple: l'iode s'évapore à la fabrication. D'autres sels à lamode en sont également exempts comme l'ont montréles analyses de l'Office fédéral de la sécurité alimentaire(OSAV), ainsi que l'émission A bon entendeur du 17 mai,Trop de sel, pas assez de iode.

Sel de l'Himalaya, du Kalahari, de Hawaï, de Perse, sel depyramide ou de bambou ou encore fleur de sel... aucunn'apporte assez d'iode pour entretenir le bon fonction-nement de la thyroïde. Si le sel enrichi en algues encontient davantage, il présente aussi des résidus d'arse-nic dont il vaut mieux limiter l'absorption. Conclusion:optez pour du sel iodé au quotidien.

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ment, les têtards deviennent fluorescents, et ce sont leshormones thyroïdiennes qui sont responsables de leurmétamorphose. Ainsi, le modèle animal permet donc derévéler des effets subtils, très difficiles à prouver chez leshumains.

Quelles substances sont incriminées?

La liste est longue et ne cesse de s'allonger. Au sièclepassé, quelques produits comme les PCB (des composéschimiques aromatiques qui se rapprochent des dioxines,ndlr) étaient déjà connus pour interférer avec le dévelop-pement cérébral. Les ont rejoint les retardateurs de flamme(des molécules qu'on retrouve dans certains meubles outextiles, les ordinateurs), les surfactants (les sprays imper-méabilisants, les poêles antiadhésives), plusieurs groupesde pesticides, les plastifiants (bisphénols, phtalates)... Denombreux objets du quotidien sont concernés.

Y a-t-il des groupes d'âge plus exposés que d'autres parl'effet de ces perturbateurs?

A notre avis, toute la population est concernée, car nousavons besoin des hormones thyroïdiennes à tout âge pourréguler le métabolisme. Toutefois, c'est plus probléma-tique pour une femme enceinte, un enfant dont le cerveauest en train de se développer ou un adolescent en pleinecroissance.

Comment peut-on réduire les risques?

Le plus simple, c'est d'assurer un apport suffisant en iodeaux femmes, dès les premiers jours de la grossesse. Enparallèle, chacun peut veiller à diminuer l'exposition auxpolluants en mangeant bio, en aérant suffisamment lespièces, en renonçant aux cosmétiques qui contiennent desparabènes, en limitant l'utilisation de certains filtres UV...

Vous avez aussi adressé des recommandations pour lesautorités?

Une faible dose de perturbateurs endocriniens suffit déjàà déclencher une réponse importante. Leur action estdonc très différente d'une toxicité aigüe classique pour la-quelle on peut calculer des doses sans risque. Il faut doncun cadre légal spécifique pour ces molécules, à l'instar dece qui est mis en place pour les substances cancérogènes.A notre avis, il est urgent de légiférer avant d'atteindredes dommages massifs et irréversibles dans la population.Des discussions ont cours depuis plusieurs années sansaboutir. En cause le lobbying de l'industrie chimique. Seulun cadre légal permettrait d'interdire une substance avantqu'elle ne cause des dommages à large échelle.

Comment doit s'orienter la science à votre avis?

Qui dit produitimporté dit aussi

sel sans adjonctiond'iode. Dans les

produits indigènes,sa présence est plus

fréquente.

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Datum: 06.06.2017

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Il faut davantage de tests pour identifier les perturbateursendocriniens parmi la multitude de molécules mises sur lemarché. Il est également important de mieux comprendrecomment tester l'effet des mélanges de substances, cescocktails auxquels nous sommes exposés tous les jours.

Aliments transformésAvec ou sans iode?

Pain

Pain bio

Pain sans gluten

Céréales

Flocons pour purée

Préparations de pommes de terre surgelées

Pâtes fraîches farcies (distributeurs suisses)

Rbstis

Repas en barquette (distributeurs suisses)

Repas végétariens en barquette (distributeurs suisses)

Repas tout prêts de marques autres que Migros et Coop

- Pâtes instantanées de marques et de fabricants suisses

Charcuterie, jambon, saucisses

Légumes en conserve

Chips

Bretzels

Olives

Sauce soja

Bouillon

Sauce à salade

Aliments transformésAvec ou sans iode?

PAINS ET CÉRÉALESDE PETIT-DÉJEUNER

FÉCULENTS

PLATS TOUT PRÊTS

SNACKS SALÉS

LÉGUMES

VIANDE

BOUILLONSET SAUCES

Pain

Pain bio

Pain sans gluten

Céréales

Flocons pour purée

Préparations de pommes de terre surgelées

Pâtes fraîches farcies (distributeurs suisses)

Rtistis

Repas en barquette (distributeurs suisses)

Repas végétariens en barquette (distributeurs suisses)

Repas tout prêts de marques autres que Migras et Coop

Pâtes instantanées de marques et de fabricants suisses

Charcuterie, jambon, saucisses

Légumes en conserve

Chips

Bretzels

Olives

Sauce soja

Bouillon

Sauce à salade

GÉNÉRALEMENT GÉNÉRALEMENTAVEC SANS

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Datum: 06.06.2017

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Migros-Magazin 8031 Zürich058 577 12 12www.migrosmagazin.ch

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Ein frisches Brotzum FeierabendIn der offenen Migros-Bäckerei im Simplon-Center kann man den Bäckern

über die Schulter schauen und ihnen sogar Tipps entlocken - damit dasselbstgebackene Brot auch so frisch und knusprig wird wie von den Profis.Text und Bilder: Denise Jeitziner

Die drei neugierigenKinder in der Brotab-teilung müssen sichauf die Zehenspitzen

stellen, um einen Blick überdie Theke in die offene Migros-Backstube im Simplon-Centerzu erhaschen. Dort sind die bei-den Bäcker Manfred Allenbachund Jonas Wellig gerade dabei,im Schnelldurchlauf Zöpfe zuflechten - rund 100 Stück werdenes alleine heute sein, bis Ende derWoche über 900.

Es sieht ein bisschen aus wieJonglieren, bloss mit Teigsträn-gen auf der Tischplatte statt mitBällen in der Luft. Die Kinderscheinen beeindruckt. «Wir soll-ten hier eigentlich Barhockeraufstellen. Die Eltern könntenin der Zwischenzeit in Ruheeinkaufen, und die Kinder wür-den es vermutlich nicht einmalmerken», sagt Manfred Allenbachund rollt die nächsten zwei Zopf-stränge aus.

Einblick ins BäckerhandwerkTatsächlich erhält man hier einenspannenden, nicht alltäglichenEinblick in das Backhandwerk.Erstens, weil Bäcker normaler-weise im Morgengrauen arbeiten,

wenn alle anderen noch friedlichschlummern, und zweitens, weilBackstuben höchst selten sooffen einsehbar sind wie hier imSimplon-Center. Seit 2013 istsie eine von fünf internen Back-stuben der Migros im Kantonund die einzige im Oberwallis. Dieübrigen Migros-Filialen beziehenihr Brot allesamt von der Zentralein Martigny. Hier im Simplon-Center wird bis auf wenige Aus-nahmen wie Toast- oder Aufback-brote und die Patisserie alles vorOrt zubereitet und fortlaufendfrisch gebacken. So ist das Brotnicht nur frühmorgens frischund knusprig, sondern auch nocham Feierabend.

Fast alles ist Handarbeit«Vielen Kunden ist die Freuderegelrecht anzusehen, wenn sieein Brot aus dem Regal nehmen,das noch warm ist», erzählt JonasWellig. Er hat sich einen Pinselgeschnappt und bestreicht einBlech voller frisch geflochtenerZöpfe im Turbotempo mit Eigelb.Schon hievt er den nächsten Teig-brocken aus der Knetmaschine aufdie Waage - exakt 2880 Grammsollen es sein. Allenbach nimmtden Teig in Empfang, drückt ihnflach wie ein Pizzaiolo seine Pizza,

schiebt ihn in eine Maschine, diean den Roboter R2-D2 aus demFilm «Star Wars» erinnert, undnach ein paar Sekunden ist derTeig in dreissig identische Kugelnportioniert, aus denen die nächsteMaschine Teigstränge formt. Ab-gesehen davon ist hier alles Hand-arbeit. «Das sieht und riecht manauch», ist Manfred Allenbachüberzeugt. Wer genau hinschaut,

erkennt, dass die Zöpfe von Welligeinen Hauch enger geflochtensind als die von Allenbach.

Kunden holen sich BacktippsWie eine einstudierte Choreo-grafie sieht alles aus, jeder Hand-griff vom Abwägen über dasPortionieren, Formen, Backenund Einpacken sitzt. Das ist auchnötig bei über dreissig verschiede-nen Brotsorten, die hier täglicherhältlich sind, darunter dasjeweils wechselnde Brot desMonats. Das aktuelle heisst Zwir-belino und besteht aus einemTeig, der 24 Stunden lang gegärthat, genau wie anno dazumal.«Auf diese Weise erhalten dieBrote mehr Geschmack», erklärtAllenbach. Die Kundschaftscheint das gute alte Handwerkebenso wie den direkten Kontaktzu den Bäckern mehr denn je zu

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Datum: 06.06.2017

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Medienart: PrintMedientyp: PublikumszeitschriftenAuflage: 23'000Erscheinungsweise: wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

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schätzen. Manche fragen nachBacktipps oder wollen wissen,warum ihre selbstgebackenenBrote daheim nicht so hübsch undknusprig werden wie hier.

Dass ihnen in der offenenBackstube jeder bei der Arbeitzusehen kann, stört die Bäcker

überhaupt nicht, ganz im Gegen-teil. «Wir wurden ja quasi ausdem Dunkel der Nacht unter dieLeute geholt», witzelt ManfredAllenbach. Seither werden sieauch regelmässig auf der Strasseerkannt. «Salü Bäcker!», grüssendie Kunden dann. mm

Ihre RegionNeues aus der

GenossenschaftMigros Wallis

4

'

Ihre RegionNeues aus der

GenossenschaftMigros Wallis

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Datum: 06.06.2017

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Migros-Magazin 8031 Zürich058 577 12 12www.migrosmagazin.ch

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1 Erinnert an den RoboterR2-D2 aus «Star Wars»:der Teigportionierer

2 Nach wenigen Sekundenist der Teig in 30 identischeKugeln portioniert.

3 Die nächste Maschineformt daraus Teigstränge.

4 Rund 900 Zöpfe flechtenManfred Allenbach und seinTeam jede Woche von Hand.

5 Wellig bepinseltdie Zöpfe mit Eigelb.

6 Vor dem Backen geht esin die Kühlung.

r

a --

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Datum: 03.06.2017

Schweizer Bauer3001 Bern031/ 330 95 33 www.schweizerbauer.ch

Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 30'195Erscheinungsweise: 2x wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

Auftrag: 551003Seite: 11Fläche: 17'366 mm²

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SWISS GRANUM: 2. Ernteprognose

Folgen von Frost und Schneesind noch unklarSwiss Granum geht derzeitvon einer Brotgetreide-ernte im Rahmen von2015 aus. Damals war derMarkt überversorgt.

Die aktuellen Schätzungen zurBrotgetreideernte liegen leichtüber dem Ende April festgestell-ten Trend. Die Brotgetreideflä-che wird um 1,4% höher einge-schätzt als 2016. Damit könnemit einer ähnlichen Erntemen-ge wie 2015 gerechnet werden,schreibt Swiss Granum in ihrerMitteilung. Sie schätzt die Ern-temenge an backfähigem Brot-getreide 2017 auf total etwa.460 000 t, was über dem übli-chen Marktbedarf von rund400 000 t liegen würde. Es kannaber jederzeit noch passieren,dass ein Teil davon wegen Qua-litätsmängeln in den Futterge-treidekanal deklassiert werdenmuss.

Futtergetreide: ZunahmeBeim Futtergetreide wird die

Anbaufläche verglichen mitdem Vorjahr um 0,80/o höher ge-schätzt. Der grösste Teil stammtvon der Zunahme beim Körner-mais. Bei diesem ist zu beach-ten, dass im vergangenen Jahr50/0 der ausgesäten Fläche nichtals Körnermais geerntet und da-mit statistisch nicht bei dieserKultur erfasst wurden. Somit istdie Körnermaisfläche 2017 nurgeringfügig grösser als im Vor-jahr. Bei den Erntemengen istbei allen Futtergetreidearteneine Zunahme zum Vorjahr zuerwarten. Die Futtergetreide-ernte 2017 wird insgesamt auf

etwa 440 000 t geschätzt. Darinnicht inbegriffen ist die allfällignicht backfähige Menge anBrotgetreide. Diese ist abhängigvom Witterungsverlauf und vonden Erntebedingungen.

Knapp 70 000 t RapsBei den Ölsaaten und den Ei-

weisspflanzen werden die Ap-rilzahlen bestätigt. Die Eiweiss-pflanzenernte fällt mit knapp22 000 t verglichen mit demVorjahr höher aus. Die Ölsaa-tenernte wird mit insgesamtrund 87000 t leicht tiefer einge-schätzt als im vergangenen Jahr.Von dieser Erntemenge entfal-len knapp 70 000 t auf die Raps-produktion.

In der aktuellen Erntepro-gnose seien die durch Frost undSchneefall von Ende April ent-standenen Schäden grössten-teils noch unberücksichtigt, be-tont Swiss Granum. GenauereAussagen werden mit der Ernte-schätzung Ende Juni möglichsein. big

Die Eiweisspflanzenernte2017 dürfte besser ausfallenals 2016. (Bild: zvg)

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Datum: 03.06.2017

Schweizer Bauer3001 Bern031/ 330 95 33 www.schweizerbauer.ch

Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 30'195Erscheinungsweise: 2x wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

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Jedem Boden seine passende GetreideartSeit Sommer 2016 wirdauch Biobrotweizen nachProteingehalt bezahlt. DemStandort und der Dün-gung muss dadurch nochmehr Beachtung ge-schenkt werden. je nach-dem, weicht man besserauf andere Getreide aus.

RAPHAEL CHARLES

Die technologischen Qualitäts-anforderungen an Brotgetreideführen dazu, dass der Stickstoff-düngung zur Sicherstellung ei-nes genügend hohen Proteinge-halts vermehrt Beachtung ge-schenkt werden muss. Die Dün-gung kann dadurch einen be-deutenden Anteil der Produkti-onskosten einnehmen - und daszuweilen für ein Resultat, dasunter den Erwartungen liegt.

Der Boden «düngt»Angesichts dieser Herausfor-

derung könnte man das Pro-blem ganz anders angehen, in-dem man nämlich den Bodenals den wesentlichen Faktor fürdie pflanzliche Ernährung ins-gesamt betrachtet. Denn Bodenenthält organischen Stickstoffin unterschiedlicher Form: sta-bilen organischen Stickstoff(2000 bis 3000 kg/ha), labilenorganischen Stickstoff (1000 bis2000 kg/ha), Stickstoff in denErnterückständen (20 bis 100kg/ha) und Stickstoff der mi-krobiellen Biomasse (100 bis400 kg/ha). Je nach Mineralisie-rung oder Immobilisierung

Der Roggen erreicht als erste Brotgetreideart das StadiumÄhrenschieben, das Einkorn als letzte. (Bilder: rch)

Im Rahmen des Projekts CerQual wird untersucht, wie sichder Stickstoff aus Gründüngungen auf die nachfolgende Ge-treidekultur auswirkt.

weist der Boden auch Stickstoffin mineralischer Form auf (30bis 300 kg/ha). Letzterer ist ins-besondere abhängig vom An-bausystem wie etwa Frucht-folge, Bodenbearbeitung, Grün-

düngung und Düngung allge-mein.

Solche enormen Unterschie-de machen deutlich, dass Bodennicht gleich Boden ist und dassdemzufolge bezüglich Frucht-

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Datum: 03.06.2017

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Ausschnitt Seite: 2/2

barkeit nicht nur die Anbau-technik, sondern auch die Bo-denbeschaffenheit zu berück-sichtigen ist.

N-Bedarf ist verschiedenWeizensortenempfehlungen

weisen ausdrücklich darauf hin,dass einige Sorten nur danneine gute Qualität erzielen kön-nen, wenn ihnen genügendStickstoff zugeführt wird, wäh-rend für andere Sorten exten-sive Anbaubedingungen vonVorteil sind. Die Sortenwahlkann somit punkto Pflanzener-nährung den Boden als natürli-che Ressource in den Vorder-grund stellen und auf die Dün-gung einen einschränkendenEinfluss ausüben.

Dieser Ansatz lässt sich eben-falls auf die Getreidearten über-tragen. So erweisen sich Dinkeloder Roggen als wichtige Kultu-ren in durchlässigen Böden, beiextensiven Anbaumethodenoder in Regionen, wo sie traditi-onsgemäss kultiviert werden.Aus ähnlichen Gründen habeneinige Produzenten alte Kultu-ren wie lokale Weizensortenoder etwas in Vergessenheit ge-ratenes Getreide wie Einkornoder Emmer ins moderne Be-wusstsein zurückgeholt.

Bescheidene SortenEmmer und Einkorn sind be-

scheidene Getreidesorten, diesich auch mit wenig Stickstoffund wenig Wasser begnügen.Sie bieten eine interessante Al-ternative zu Brotgetreide inflachgründigen, durchlässigen

Böden mit geringer Düngerzu-fuhr, aber auch in Regionen, diehäufigen Trockenperioden aus-gesetzt sind. Bei diesen Artenführt zu viel Stickstoff eher zuLagerungsproblemen. BeideKulturen hingegen sind wenigerwinterfest als Weizen oder Din-kel.

Einkorn ist der entferntesteVerwandte des Weizens sowohlin genetischer Hinsicht als auchin Bezug auf seine Wachstums-dynamik. Es läuft langsam auf,Bestockung sowie Ährenbil-dung erfolgen ebenfalls später.Die Keimlinge bleiben somitden Klimaschwankungen län-ger ausgesetzt, was eine guteStabilität der Bodenstrukturvoraussetzt, um Erosion oderdas Freilegen der Pflänzchen zuvermeiden. Sie können vomUnkraut auch leichter unter-drückt werden.

Damit sind Geduld und Tole-ranz gefordert, den Hackstrie-gel nicht zu früh oder zu oft ein-zusetzen. In der Folge lässt sichaber das Unkraut durch die fürdieses Getreide charakteristi-sche Bestockung gut in Schachhalten. Emmer ist unseren aktu-ellen Getreidesorten ähnlicherund somit eher verfügbar.

Projekt CerQualGleichwohl erweisen sich

heute Dinkel oder Roggen alsdie besten Alternativen zumWeizen, wenn es darum geht,Getreide unter extensiven An-baubedingungen bei einge-schränkter Bodenfruchtbarkeitzu kultivieren.

In mehreren Regionen derSchweiz sind heute Erfahrungund Wissen vorhanden. Sie las-sen genauer festlegen, wo, wieund wofür diese unterschiedli-chen Brotgetreide angebautwerden können. Diese Pionier-arbeit hat gezeigt, dass nicht al-les einfach ist und dass demThema durchaus Beachtungund Unterstützung gebührt.

Am Bioackerbautag könnendie Besucher verschiedene Ge-treideparzellen begutachtenund auch das aktuelle ProjektCerQual näher kennenlernen.Wie sein Kürzel (C&ales dequalit0 besagt, steht es für Qua-litätsgetreide. Getragen wird esvon backenden Bauern undpartnerschaftlich kooperieren-den Bauern und Bäckern. VomBundesamt für Landwirtschaftfinanziell unterstützt, steht esunter der Leitung von FiBL,Agroscope und Agridea inZusammenarbeit mit kantona-len Akteuren und deren Ver-suchsfeldern.

NÄCHSTES DOSSIER

Ob Versicherungen von Ge-bäuden, Inventar, Angestell-ten, Absicherung von Inves-titionen oder Vorsorge - je-der landwirtschaftliche Be-trieb ist mit einer Vielzahlvon Fragen rund um Versi-cherungen konfrontiert. Fürden Vertragsabschluss ist dasVertrauen in den Berater undden Versicherer von zentra-ler Bedeutung. jgr

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Datum: 02.06.2017

Agri1001 Lausanne 021/ 613 06 46www.agrihebdo.ch

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RÉCOLTE 2017

Céréales, protéagineux et oléagineux:conséquences du gel incertainesLes céréales panifiablesdevraient atteindre460000 t en 2017, soit20000 t de plus queles céréales fourragères.Quant à la récoltedes oléagineux etdes protéagineux, elledevrait respectivementbaisser et augmenterpar rapport à l'an passé.SWISS GRANUM

Cwiss granum estime actuel-Jlement la récolte 2017 àenviron 460 000 t de céréalespanifiables, environ 440 000 tde céréales fourragères (sanscéréales panifiables éven-tuellement impropres à lapanification), près de 22 000 tde protéagineux et environ87 000 t d'oléagineux. L'esti-mation ne tient en grandepartie pas' encore compte desdégâts provoqués par le gelet la neige à la fin avril.

Céréales panifiablesLes estimations actuelles

se situent légèrement au-des-sus de la tendance constatéeà la fin avril et tablent sur uneaugmentation de la surface decéréales panifiables de 1,4%par rapport à 2016. La ré-colte 2017 devrait donc êtresimilaire à celle de 2015 et

s'élever globalement à envi-ron 460 000 t. Pour des rai-sons de qualité, une part nonencore déterminée ne pourranéanmoins probablement pasêtre déclarée apte à la panifi-cation à la récolte et seraécoulée dans le canal fourra-ger. Cette quantité est actuel-lement encore contenue dansl'estimation.

Céréales fourragèresLes estimations actuelles

pour les céréales fourra-gères se situent au-dessousde celles d'avril. Au total, lasurface cultivée devrait aug-menter de 0,8% comparative-ment à l'année précédente,augmentation majoritaire-ment due au mais grain.Concernant ce dernier, no-tons que 5% de la surfaceensemencée l'année dernièren'ont pas pu être récoltéscomme mais grains et n'ont,par conséquent, pas été re-censés dans les statistiquesde cette culture. La surfacede mais grain n'augmentedonc que très légèrement en2017 par rapport à l'annéedernière.

Concernant les quantitésrécoltées, on s'attend à unehausse pour toutes les cé-réales fourragères compara-tivement à 2016. La récolte

2017 de céréales fourragè-res est estimée au total à440 000 t. Cette estimation necomprend pas la quantité decéréales panifiables éventuel-lement impropre à la panifica-tion. Celle-ci n'est pas encorequantifiable et dépend del'évolution du temps et desconditions de récolte. ,

Oléagideux/protéagineuxL'estimation d'avril pour

les oléagineux et les protéa-gineux se confirme. Avec prèsde 22 000 t, la récolte de pro-téagineux augmente compa-rativement à l'année précé-dente. Quant à la récolted'oléagineux, elle est estiméeà environ 87 000 t (dont prèsde 70 000 t de colza), soit unelégère baisse par rapportà 2016.

L'estimation actuelle desrécoltes n'inclut en grandepartie pas encore les dégâtscausés par le gel et la neigeà la fin avril. Il convient doncde tenir compte du caractèreprovisoire de cette estima-tion pour l'interprétationdes chiffres. L'estimation derécolte à la fin juin fournirades indications plus pré-cises.

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Datum: 02.06.2017

Agri1001 Lausanne 021/ 613 06 46www.agrihebdo.ch

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La récolte de céréales panifiables devrait âtre similaireà celle de 2015, selon Swiss Granum. E. FRIOUD

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Datum: 01.06.2017

Die Grüne3000 Bern 25031/ 958 33 11www.diegruene.ch

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EMPFOHLENE SORTEN

Neue Sorten fürWeizen- undGerstenanbauDie Liste der empfohlenen

Winterweizensorten (LES) von

Swiss Granum enthält 27 Winter-

weizensorten. Darunter die neue

Sorte Spontan der Klasse II. Die

deutsche Sorte verfügt über ein

hohes Ertragspotenzial unter

Extenso- und ÖLN-Bedingungen,

ist mittellang bis lang und weisteine gute Standfestigkeit auf.Zinal (I), Rainer (II) und Bockris

(Futterweizen) befinden sich zum

letzten Mal auf der Liste, Surettawurde gestrichen. Die LES für

Wintergerste enthält elf Sorten,darunter mit Azrah und Maltessezwei neue Sorten. Die neuenLES für die Ernte 2018 können

ab Mitte Juni bei Swiss Granum

bestellt werden.

[email protected]

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Datum: 01.06.2017

Schweizer Familie8021 Zürich044/ 248 61 06www.schweizerfamilie.ch

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Voll gut fürs HerzVOLLKORN

Bei Menschen mitangeborenerGluten-Unverträg-lichkeit löst dasKlebereiweiss desWeizens eineDünndarmentzün-dung mit teilweiseheftigen Beschwer-den aus. Gluten hataber auch den Ruf,für die Normal-bevölkerung unge-sund zu sein. Für

die Herzgesundheitbringt glutenfreieKost jedoch keineVorteile, zeigt jetzteine neue US-Stu-die. Vielleicht istder Verzicht aufGluten sogar un-günstig, weil vieleso den Konsum vonVollkornproduktenreduzieren. Diesenwird eine schüt-zende Wirkung auf

das Herz nach-gesagt. Menschen,die sich ohne medi-zinischen Grundgetreidefrei ernäh-ren, laufen alsoGefahr, den schüt-zenden Effektvor Herzerkran-kungen zuverlieren.

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