PROGRAMME SAISON TRAN 09/10 - transversalestransversales-verdun.com/wp-content/uploads/2016/... · 3 théâtre Programme (en 9 mots clés).Frissons (et dérision - décembre) : Pierre

théâtre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 3classique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 24découvertes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 34cirque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 50actualités cirque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 60danse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 62infos pratique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 70calendrier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 78

sommaire

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théâtre

Programme (en 9 mots clés). Frissons (etdérision - décembre) : Pierre (Meunier) quel’on a déjà vu sur scène se heurter à descailloux, des ressors, des tôles et des machinesà rêves, s’aventure, à ses risques et périlsmais pour notre plaisir, dans une confrontationdirecte avec une femme (damned ! que va-t-il advenir du grand Pierre ?!). Eternité (janvier) :le grand Will (Shakespeare, of course) quiraconte la vie comme personne donnera unefois encore à d’excellents acteurs l’occasionde faire claquer haut les bannières de nosemportements. Actualité (janvier) : Charles(Tordjman - Vers toi terre promise) s’entourede grands talents, ceux de Giovanna (Marini),d’Agnès (Sourdillon) et de Serge (Magiani),pour dire les usines qu’on démonte, les femmeset les hommes qu’on broie. Mythe (revisité,février) : Antigone pleure son frère mort (c’estclassique), mais ici Antigone est jouée parAdèll (Nodé-Langlois) et Adèll est un clown(ira-t-on jusqu’à rire des larmes du clown ?).Mémoire (perdue puis retrouvée, en février) :Alexandra (Fleisher, lointaine cousine de BettyBoop) aide son vrai père (qui avait 5 ans en1940 et est juif) à retrouver les mots de samémoire. Mai (en mars) : Jacques (Kraemer)se souvient qu’en 1968, durant quelquessemaines, les idées (comme les filles) se sontmises à tourbillonner. Voix (majeures, à voiret à entendre, en mars) : celles de Blaise(Cendras) et de Marguerite (Duras)respectivement proposées par Balazs (Gera)et Sandrine (Gironde) et leurs équipes.Révélations (mars) : de très étrangesmarionnettes (celles des aveugles,Cie3-6-30) nous confieront leurs histoiresles plus belles et les plus … Edifications(en avril et en mai) : où l’on aura (enfin)l’occasion de découvrir que, dans un bureau,la vie (burale) n’est pas vraiment un rêve.

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Extrait : « Les corps ont naturellementtendance à tomber les uns sur les autres.C’est l’attraction universelle, aucun de nousn’y échappe.Qu’est-ce que le sexe ? Question. La questiondu sexe est soulevée.Y a-t-il là quelque chose à soulever, qui seserait affaissé ou qui, étant retombé, auraitrenoncé à se dresser ?Sexe est un mot. Ce n’est qu’un mot, maisil y a des mots qui vous laissent tranquille.Il y a des mots, on peut s’asseoir dessus :talus, chaise, rivage… et penser à autrechose. Sexe non. Pourquoi ? »«Tentative d’un théâtre qui ouvre auspectateur l’espace intérieur de sa proprerêverie, en provoquant un questionnementjubilatoire, ludique, sensible, de notre relationsexuée à la vie, à l’amour, à la mort».

Pierre Meunier

Presse : Sexamor, ou comment Pierre Meunier,poète des matériaux en mouvement (la pierre, le ressort,les tôles animées, etc.), interroge l'amour et le désir. Ilest accompagné de Nadège Prugnard, princessedésenchantée qui rend son univers poétique plus rock.

Marie-Pierre Genecand, Radio Suisse Romande.

Deux ans après «Au milieudu désordre», PierreMeunier nous revient avecun spectacle, une foisencore, aussi poétique queloufoque, riche et inventif.Parmi des mécanismessurréalistes, une femme etun homme s’affrontent, seséduisent, se confient, jus-qu’à n’en plus pouvoir.

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Pierre Meunier : formé aux artsdu cirque avec Pierre Etaix etAnnie Fratellini, Pierre Meunier,né en 1957, est acteur, auteur,metteur en scène et réalisateur.Il était là aux premières heuresdu Cirque Zingaro, avant dedevenir l’un des complices de LaVolière Dromesko. Par sonparcours (L'Homme de plein vent,Le chant du ressort, Le tas, Leségarés, Au milieu du désordre),il est devenu un créateur unique.

Nadège Prugnard : diplômée enphilosophie et en art dramatique,elle choisit le théâtre comme« philosophie pour la vie »… Elleest actuellement auteure associéeau Théâtre d’Aurillac et dirige lacompagnie Magma Performingthéâtre depuis 1999. Ses quatrederniers textes ont été crées àla Comédie, de Clermont-Ferrand.Créatrice engagée, elle organisedes événements artistiques etmilitants autour de la question dudevenir culturel.

textes et jeu : Pierre MeunierNadège Prugnard

dramaturgie : Yoana Urruzolasons : Alain Mahé costumes : Christine Thépénierpeinture : Catherine Rankl, Eric Gazillerégies : Jean-Marc Sabatrégie son : Géraldine Foucault construction : Joël Perrin, Denis Wengerstagiaire : François Lanelguitare : Jean-François Pauvrosch. production : Claudine Bocher

production : La Belle Meunière

coproduction : Théatre de Vidy-Lausanne , Théatre de la Bastille, Agorad’Evry, Théatre National deStrasbourg, Le Merlan-Marseille,Le Fanal- Saint Nazaire, Théatrede Brétigny , CDN de ThionvilleLorraine

du 2 au 4 décembrethéâtre-20h30

projet de Pierre MeunierSexamor

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Aujourd’hui , cette comédie romanesquebrille de tous ses feux, par son rythme, savirtuosité poétique, son esprit carnavalesque,son univers ludique, ses parades et seschansons, sa fraîcheur, son efficacité. PourPeter Ackroyd, le biographe de Shakespeare,Peines d’amour perdues est un opéra-bouffeavant la lettre ; son extravagance, sasensualité, son flot constant d’inventivité,sa richesse, son ornementation, ses abruptesruptures prosodiques… C’est l’une despièces les plus brillantes jamais écrites. »Quatre princes, hommes de goût et deculture quittent le pouvoir et le siècle pourse consacrer à la gloire de l’étude et à laméditation : dans leur bucolique retraite,ils font serment de renoncer au monde età ses plaisirs.L’arrivée de quatre princesses a vite fait dejeter le trouble chez nos ermites laïcs,d’enflammer leur désir des femmes, lescontraignant à parjurer leur serment. S’ensuitune chorégraphie échevelée, jeux de cache-cache, rendez-vous secrets, mascarade,chasse à courre, théâtre dans le théâtre…

Gilles Bouillon

Ce texte, qui sera créé àTours fin 2009, est l’unedes pièces les plus foison-nantes et inventives deShakespeare : quatre prin-ces se retirent du faste dumonde pour une vie d’absti-nence et de méditation.Arrivent quatre princesseset tout recommence.

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Gilles Bouillon : directeur duCentre Dramatique Régionalde Tours, Gilles Bouillon met enscène avec prédilection lescomédies de Shakespeare,dont il apprécie le rythme, ladimension opératique, la pro-fondeur sous une irrésistibledrôlerie, l’efficacité théâtralede la poésie : Le Marchand deVenise (1983), La Nuit des Rois(1986), Le Songe d’une nuitd’été (1980 et 2004).

traduction : Jean-Michel Dépratsmise en scène : Gilles Bouillondramaturgie : Bernard Picoscénographie : Nathalie Holtcostumes : Marc Anselmilumière : Michel Theuilmusique : Alain Bruelrégie générale : Laurent Choquetconstructions : CDR de Tours.

avec : Alice BenoitHélène StadnickiClaire ThéodolyBertrand FieretGaëtan GuérinXavier GuittetFlorian HaasAntoine Sastre(distribution en cours)

production : Centre DramatiqueRégional de Tours

6 et 7 janvierthéâtre-20h30

Peines d’amourperdues

de William Shakespeare

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La Fabbrica parle d’une épopée, celled’ouvriers et celle de l’Italie et cette épopéeque j’ai un peu connue, j’avais envie de lachanter. Pas très loin de la rue EmileZola, il y a Hagondange que je connais bien.C’est pendant une fête de l’Huma que j’aientendu pour la première fois GiovannaMarini. Elle chantait des chansons de luttesavec des femmes aux voix aiguës etchargées de l’histoire d’une collectivité.Quel bonheur de savoir que maintenantelle fait partie de l’équipe de création de laFabbrica ! La fabbrica comme Ascaniol’écrit « on est en train de la démonter. Onl’emporte morceau par morceau. Le haut-fourneau, on le vend à la Chine, ou àl’Afrique». Il dit « notre » fabbrica. Cela, jele comprends. Quand il y a quelques annéesje mettais en scène Daewoo : l’histoired’une usine qui a fermé et qui a licencié enLorraine 1300 personnes, je défendaisquelque chose qui était comme mon usineaussi. Je ne peux faire du théâtre que s’ilest noué, cousu, inscrit en moi au plusprofond.

Charles Tordjman

Serge Maggiani : au théâtre, ila travaillé notamment avecRégy, C. Dasté, Kokkos,Mesguich, Kraemer, Vitez…Dernièrement, il interprétaitBéranger dans Rhinocéros d’Ionesco, sous la directiond’Emmanuel Demarcy-Mota etjouait sous la direction deChristian Schiaretti dansL’annonce faite à Marie deClaudel, créée en novembre2005 au TNP de Villeurbanne

Giovanna Marini : issue d’unefamille de musiciens, guitaristeclassique, la rencontre audébut des années 60 de PierPaolo Pasolini, Italo Calvino etde l’ethnomusicologue DiegoCarpitella, bouleverse sa vie.Tout en se consacrant à desrecherches sur les chantspopulaires italiens, elle vaavoir une grande carrière dechanteuse et de compositeurpour le cinéma et le théâtre.

Charles Tordjman (Daewooen 2004, Vers toi, terre pro-mise en 2009) nous entraînedans la réalité industrielleet politique de l’Italie duXXè siècle. Avec notam-ment Agnès Sourdillon,Serge Magiani et la chan-teuse italienne, GiovannaMarini.

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Agnès Sourdillon : elle a jouédans une trentaine de specta-cles, parcourant le répertoirede Sophocle à Rodrigo Garcia,sous les directions deBraunschweig, Sobel, Milianti,Novarina, Bezace, Chéreau,Sachel… Elle a également faitquelques apparitions au ciné-ma (Jacques Rivette/Jean-LucGodard), les Ames grises…

Ascanio Celestini : après desdébuts proches de la comme-dia dell’arte et l’art du masque,il s’illustre par un travail d’écri-ture tout à fait personnel,essentiellement réalisé surbase de témoignages et derencontres avec des « gensordinaires ». Il a reçu en 2002le Prix de la Critique, ainsi quele Prix Ubu.

mise en scène : Charles Tordjmanchansons : Giovanna Mariniscénographie : Vincent Tordjmanlumières : Christian Pinaudcostumes : Cidalia Da Costacollaboration : Zohar Wexlertraduction : Olivier Favier

avec : Serge MaggianiAgnès SourdillonGiovanna MariniXavier RebutSandra Manginiet Germana Mastropasqua(en alternance)

production : la Manufacture

coproduction : Théâtre Vidy Lausanne E.T.E,Compagnie Fabbrica

19 janvierthéâtre-20h30

La fabbricad’Ascanio Celestini

Un mythe éternel revisitépar un clown : Antigone,figure jeune et rebelle,s’oppose, par amour pourson frère, aux lois de la cité.Mais ici, Antigone a un nezrouge, celui d’Adèll Nodé-Langlois créatrice de cespectacle d’une rare inten-sité.

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Antigone a inspiré de nombreux dramaturgescomme Sophocle et Anouilh. Elle futcondamnée à mort et emmurée pour avoirenseveli son frère malgré les ordres de sonroi Créon. Le clown et Antigone sontfrère et soeur, ils ont chacun choisi de suivreleur loi propre en marge. Leur existencea la couleur de l’effroi : Antigone fait faceà la mort et le clown fait face au rire. Cesont deux figures poétiques et sacrifiées.

Adèll Nodé-Langlois

Adèll Nodé-Langlois : après undébut dans la danse elle rejointl’Ecole Nationale de Cirque deMontréal et se spécialise entrapèze ballant, jeu d’acteur etjeu clownesque. Co-fondatricedu cirque Pochéros en 93, elletravaille avec de nombreusescompagnies. Dès 2001, elles’ouvre à une approche plusthéâtrale et clownesque jus-qu’à la création d’Antigone.

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Presse : Les clowns des années deux mille ont pournom Boudu, Ludor Citrik, Jackie Star ou encore Antigone.Tous singuliers, avec ou sans nez rouge, ces personnagesappartiennent à la même famille recomposée, celledes êtres hors de toutes normes, qui jouent avec lasouffrance, la folie et la mort, tout en trimbalant uneimparable pulsion de vie.Avec Antigone d’Adèll Nodé-Langlois -l’une des dernièresnées : elle est apparue sur les planches en 2007-, noussommes au coeur du tragique, sur le fil entre la vie etla mort. C’est d’un enterrement qu’il s’agit : Antigone,nez écarlate, cheveux hirsutes et regard poignant,procède aux rituels de mise pour inhumer Polynice.Elle peut repeindre la vie en blanc et jouer une mélodiesur son bandonéon, elle sait que tout est joué d’avance :au bout de son destin maudit il n’y a que la mort.Mais le clown n’habite que le présent. Alors, au centredu cercle de terre, avec toute la vie possible, les doigtsdans la matière organique, elle embellit la mort, et dansesur sa propre tombe.Le rire nous traverse, mais ce que l’on retient c’est salucidité brûlante et sa sensibilité à vif qui lui donnentune épaisseur humaine qui noue la gorge.

Naly Gérard - Mouvement

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interprétation : Adèll Nodé-Langlois

écriture : Adèll Nodé-LangloisSophie Buis

mise en scène : Sophie Buisregard complice : Mads Rosenbeckcréation lumière : Nicolas Cautainrégies : Sébastien Morin

Julien Rourecostumes etaccessoires : Charlotte Pareja

ateliers Bonne Taille

production : Compagnie Pochéros

prod. déléguée : le Manège de Reims,scène nationale

coproduction : le Manège de Reimssoutiens : Cirque Trottola,

Château de Monthelon,le Prato

du 1er au 3 févrierthéâtre-20h30

AntigoneMonologue clownesque de et par Adèll Nodé-Langlois

Ces artistes inventifs auxtalents multiples (danse,chant, musique, images…),ont créé ce spectacle trèssensible autour d’un enfantjuif né en 1935 qui durantdes décennies a préféré neplus se souvenir de touteune partie de sa vie.

En Avril 2007 , nous sommes allés à Sambin,un petit village dans le Loir-et-Cher. Nousnous y sommes rendus à la demande deRené Fleischer. Il nous a toujours dit queson enfance, alors qu’il est né en 1935,commence en 1940, à Sambin. Ses parentssont allemands, il ne les reverra qu’en 1945.Pendant cinq années, il vivra chez unefemme à qui il rend un hommage solennel.Nous sommes tous là, à entendre deshistoires, à en découvrir aussi, car certainesétaient enfouies ou tues… Nous avonsvoulu en savoir plus et sommes allésinterroger René Fleischer sur son enfance,sur ces années de guerre à la campagneet sur sa langue maternelle, la langue del’amour et du bourreau. Celle qu’il ne voudraplus entendre ni parler pendant des années.

Alexandra Fleischer et Joachim Latarjet

Joachim Latarjet : trombonistené en 1970, il fonde avecAlexandra Fleischer la compa-gnie Oh ! Oui…, et met enscène des spectacles de théâ-tre musical : Du travail bien fait,F., le fou, l’assassin, Oh ! Oui…,Hox, Acte V, Happy End, StilleNacht. Depuis 2008, il est artis-te associé à La Filature (ScèneNationale de Mulhouse). Il estun des membres fondateurs deSentimental Bourreau et parti-cipe à toutes les créations. Il atravaillé avec Michel Deutschet Philippe Decouflé.

Betty Boop : apparue dès 1930elle fut la première héroïne dedessin animé ; feminine agui-cheuse et sensuelle, elle estdevenue un sexe-symbole del'âge d'or de l'animation améri-caine. Elle a été créée parDave et Max Fleischer…

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Presse : Pudique et délirant, intime et poétique,Stille Nacht paraît tenir presque autant de lapsychanalyse que du spectacle vivant.

Jean-Michel Lahire - Les Dernières Nouvelles d’Alsace

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Alexandra Fleischer : comé-dienne et fondatrice avecJoachim Latarjet de la Cie Oh !Oui…, elle participe à laconception, au montage et àl’écriture des textes des spec-tacles de la compagnie.Parallèlement, elle continue dejouer pour d’autres metteursen scène et chorégraphes. Aucinéma, avec notammentJames Huth, Nicole Garcia,Juliette Garcias..., commeauthéâtre, avec Lucie Nicolas,Nordine Lahlou, PierreCottreauet Geisha Fontaine…

du 9 au 11 févrierthéâtre-20h30

Stille Nachtd'Alexandra Fleisher et Joachim Latarjet

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conception :Alexandra FleischerJoachim Latarjet

mise en scène et musique :Joachim Latarjet

avec :Alexandra FleischerJoachim LatarjetAlexandre Théry

vidéo :Mathilde Bertrandylumières :Léandre Garcia Lamollason :Nicolas Barrotconduite accompagnée :Christine Tournecuillert

production déléguée :Oh ! Oui

coproduction : les Subsistances

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J. Kraemer a créé et dirigé,dans les années 60, le ThéâtrePopulaire de Lorraine. Ilraconte son Mai 68 dans unspectacle entre fiction etsouvenir : une troupe joueMolière sur scène, vit l’amouren coulisse et suit la politiqueà la radio.

Quarante ans après, il me paraît nécessairede faire retour à la façon qui est la miennesur ces « événements ». Pour moi, il nes’agissait surtout pas de faire undocumentaire ou un livre de témoignagesou d’Histoire ( ce n’est pas mon métier)mais d’apporter, au travers de mes dialogueset par l’incarnation qui en est faite par troisjeunes acteurs, une sensibilité particulière,« provinciale » si j’ose dire, de quelqu’unqui a vécu ces fameux événements en étantlui-même, déjà, metteur en scène et chefde troupe. J’ai donc inventé librement àpartir de mon vécu de l’époque. Je lerappelle en quelques mots : je dirigeais leThéâtre Populaire de Lorraine que j’avaisfondé en 1963 ; nous tournions avec leMenteur de Corneille que j’avais mis enscène dans les villes de notre Région. Lagrève générale à laquelle nous nous sommesassociés nous a fait suspendre notre tournée.

Jacques Kraemer

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Jacques Kraemer : formé rueBlanche et au ConservatoireNational à Paris, il fonde en 1963le Théâtre Populaire de Lorrainequ’il ne quittera qu’en 1992 pourfonder sa compagnie aveclaquelle il met en scène et créechaque année une nouvelle piècealternant des œuvres dont il estl’auteur et des œuvres classiquesou contemporaines (Diderot,Shakespeare, Rullier, Marivaux,Racine, Marivaux, Strindberg,…).De 1993 à 2005 il assure ladirection du Théâtre de Chartres.

du 9 au 11 marsthéâtre-20h30

Agnès 68de Jacques Kraemer

mise en scène : Jacques Kraemer

avec : Philippe CanalesMarion LubatSimon-Pierre Ramon

assistant : Jean-Philippe Lucas Rubioscénographie : Sarah Lefèvrelumières : Nicolas Simonincostumes : Anne Bothuonmaquillages : Suzanne Pisteur

production : Compagnie Jacques Kraemer

avec le soutien : Jeune Théâtre Nationalpartenariat : Lamirault Automoblile

Balazs Gera adapte au théâtrele poème enfiévré de Cendrarspar le biais d’une triplepartition : vocale, corporelleet picturale. Une propositionartistique faite de nébulosité,d’éclats, de résonances etd’impulsions.

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La Prose du Transsibérien et de la petiteJeanne de France est une épopée où lemerveilleux se mêle au vrai. C’est un voyagedans l’espace/temps, dans l’écriture ; unetraversée qui « hésite entre les souvenirset le rêve », une fièvre qui nous mène auxquatre coins du monde et de la vie, un« orage sous le crâne d’un sourd »…

Balazs Gera

Presse : Il y a le corps vivant de l'acrobate MathieuAntajan et le corps parole du comédien Guillaume Gilliet,qui dit la poésie d'une manière habitée. Et puis il y ale plasticien Pascal Doudement et une installation qu'ilréalise in situ. Ce spectacle éblouissant qui s'inscritrésolument dans le registre du spectacle total est d'uneintelligence, d'une sensibilité et d'une beauté sidérantes.

MM - froggydelight

La bulle. Elle occupe toute la scène, immense et rondecomme une lune, pleine comme un ventre, transparenteet bleue comme la nuit. Coincés à l'intérieur, trois garçonss'y emploient, l'un dit le texte, l'autre joue avec descouleurs drapeau, le troisième défie la pesanteur surdes filins. C'est beau et plein d'esprit.

L’express

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Blaise Cendrars (1887-1961) : néen Suisse, il mène d'abord unevie d'aventurier et de bourlingueuravant d'écrire et de publier sespremiers poèmes (Prose duTranssibérien et de la petiteJehanne de France en 1913). Ilparticipe à la guerre de 14-18comme engagé volontaire :gravement blessé en 1915, il seraamputé du bras droit. Le 28septembre 1915, il est naturaliséfrançais. Après un bref passagepar le cinéma, il s’oriente vers leroman (l’Or, Moravagine). Sonœuvre, poésie, romans, reportageset mémoires, est placée sous lesigne du voyage, de l'aventure,de la découverte et de l'exaltationdu monde moderne où l'imaginairese mêle au réel de façoninextricable.

15 et 16 mars théâtre-20h30

La prose du Transsibérienet de la petiteJeanne de Francede Blaise Cendrars

mise en scène : Balazs Gera scénographie : Giulio Lichtner

Pascal Doudement costumes : Sabine Siegwalt création son : Xavier Jacquot lumière : Giulio Lichtner

Balazs Gera

avec : Mathieu AntajanPascal DoudementGuillaume Gilliet

production : Cie Balázs Gera

coproduction : Transversales

La compagnie de l’Escalier aentrepris, pour 2010, un largetravail sur l’oeuvre écrite etfilmique de Marguerite Duras.L’un des temps forts en serala création de la Maladie dela Mort, ce très beau texte deDuras où une femme accepteun temps, parce que la vies’en va, d’accéder au désird’un homme.

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« Vous lui dites que vous voulez essayer,essayer plusieurs jours peut-être. Peut-être plusieurs semaines. Peut-être mêmependant toute votre vie.Elle demande :Essayer quoi ? Vous dites : D’aimer... »

Marguerite Duras - La maladie de la mort

Un homme paie une femme, pendantplusieurs jours et plusieurs nuits. Durantcette progression des gestes vers l'acted'amour, la femme lui révèle qu’il est atteintde la maladie de la mort. Marguerite Durastouche du bout des doigts avec précautionet rage ce que l’être a de plus intime, deplus sensuel et de plus cruel : l’impossibilitéessentielle d’aimer, de se livrer à l’amour,la nécessité de mourir à soi dans l’amour,d’en rester définitivement changé et endevenir permanent. Le désir, dans sonabsence ou dans son attente, dans sesdébordements et dans ses obsessions,dans cette nécessité qui nous rappelle quenous sommes vivants.

Sandrine Gironde

Sandrine Gironde : metteuse enscène et improvisatrice vocale,elle a fondé, en 1993 de la Ciel’escalier. Elle a mis en scène(Poésie Machin, création pour 4comédiens et un Magnétophone,La vie est courbe) et a participéà des performances vocales (LVoyelle S, interventions etperformances en Poésie Sonore,Avec ou « sens » les yeux, carteblanche autour des écriturescontemporaines)

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Marguerite Duras : (1914-1996)est née et a grandi enIndochine. Le baccalauréat enpoche, elle se rend à Paris,poursuit ses études et entre untemps au ministère desColonies. Journaliste, drama-turge, scénariste, elle reçoit leGrand prix du théâtre del'Académie française en 1983et le prix Goncourt en 1984pour L' Amant, adapté parJean-Jacques Annaud aucinéma. Son oeuvre est à rat-tacher au courant du NouveauRoman. Parmi ses romans, onpeut citer Un barrage contre lePacifique (1950), Le Marin deGibraltar (1952), Moderato can-tabile (1958).

mise en scène : Sandrine Girondecollaboration : Sibel Kilerciyan avec : Marie de Bailliencourt

Quentin Ogiersons : Jean-Marc Weberscénographie : Olivier Irthumlumière : Jérome Lehericherregard : Nathalie Simoncostumes : Cathy Roullephoto : Stephahie Lempereur

production : Cie de l’Escalier

coproduction : Centre culturel André Malrauxde Vandœuvre,Théâtre Gérard Philippede Frouard, Transversales

du 17 au 19 marsthéâtre-20h30

La maladie de la mortde Marguerite Duras

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Quatre pièces courtes écritespour des marionnettes. Celles,hyperréalistes, des «Aveugles»(joué à Verdun en 2008), desvieillards fascinants dont cespièces courtes vont nousrévéler le quotidien, drôle ettouchant.

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J’ai grandi à la campagne au milieu despaysans. Des hommes et des femmes reliésà la terre, aux animaux, au travail, où vie etmort étaient intensément liées. Ils n’avaientpas l’éducation des lettres et des sentiments.Sans langue pour se raconter, livrés àl’espace et aux temps, les plus vieux d’entreeux ressemblaient à des pierres. C'est ceque je retrouve dans les marionnettes deBérangère et Marguerite Bordat.À travers leur immobilité et leur absencede vie - mais un objet est-il mort lorsqu’onle regarde ? - se révèle une oeuvre, uneparole en attente.

Eddy Pallaro

Bérangère Vantusso : s’est forméeau CDN de Nancy de 92 à 95, puisa découvert la marionnette àl’Université de Paris III - Sorbonneen 98 avec François Lazaro, puisEmilie Valantin au CDN d’Orléans.Elle a fondé la Cie Trois-Six-Trenteen 99

Marionnettes : ces marionnettes,sont inspirées des travaux dephotographes comme BertTeunissen ou Julien Germain, etaussi des sculptures de l'australienRon Mueck. Elles représententle corps humain dans ses plusminutieux détails, grâce ausilicone, à la résine polyester età la peinture à l’huile.

Eddy Pallaro : est né à Cognacen 1971. Après une formationde comédien avec DanielPierson au C.D.N. de Nancy, ilest interprète dans les misesen scène d’Arnaud Meunier etde Bérangère Vantusso. Il par-ticipe activement aux projetsde compagnie de ces deuxderniers. Au cours de cesannées, il interprète Tchekhov,Koltès, Sophocle, Müller,Racine, Azama, Pasolini,Cagnard, Caro, Calderón,Hikmet. Il mène égalementdepuis un travail d’écriture ettente de questionner les diffé-rents espaces de représenta-tion de la parole.

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mise en scène : Bérangère Vantussotexte : Eddy Pallaro

interprétation : Anne DupagneGuillaume GillietJunie MonnierPhilippe Rodriguez-Jorda

marionnettes sculpture, peinture : Marguerite Bordat

Nathalie Régiorcorps, articulations : Bérangère Vantusso,

Stéphanie Le Bourncostumes : Emmanuelle Thiébault

Chantal Lallementperruques : Nathalie Régior

Sophie Niesseronmoulage têtes : Laurence Villerotmoulage mains : Justine Macadouxavec l'aide de : Philippe Rodriguez-Jorda

Roland Vantussoscénographie : Marguerite Bordatadministration : Catherine Hubindiffusion : Florence Kremper

production : compagnie trois-six-trente

coproduction : Théâtre de la Marionnetteà Paris , Transversales

du 22 au 27 mars

L’herbe folled’Eddy Pallaro

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Une confrontation entreacteurs, marionnettes dansun spectacle relevant dufantastique : un beau jour, lecorps d’un employé de bureause transforme, lui révélant desmondes dont il ne soupçonnaitpas qu’ils étaient à l’intérieurde lui. Une pièce drôle etintrigante.

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Le bureau est un espace dans lequel onentretient des rapports très superficiels età la fois très intimes avec des gens que l’onne connaît pas et avec qui l’on vit huit heurespar jour. D’où l’idée d’un personnage seretrouvant physiquement envahi par sescollègues.

Hervé Blutsch

Presse : Etonnant et captivant spectacle. Il débutepar une drôle d’apparition et une question métaphysique :Dieu est-il entrepreneur ou manager ? On s’attend àune critique en règle de l’impitoyable univers du mondedes affaires. Mais très vite, tout dérape. La critique estlà, mais le burlesque, le fantastique prennent le dessus.Antoine, le personnage central, est possédé. Sans queses trois collègues s’en rendent compte, il est justementpossédé par eux ! Physiquement. Comme des verruesqui gonflent et d’où sortent des marionnettes qui l’habitent,le hantent, vivent en lui comme des parasites.

Daniel Bordur

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Cie Ka : créée en novembre 2000à Besançon, la compagnie estdirigée par Catherine Hugot. Ellerassemble des comédiens del’ERAC (Cannes) et d’ailleurs, desmarionnettistes formés à l'ESNAM(Charleville). Elle travaille sur laconfrontation entre marionnettes,texte contemporain et jeu d’acteur,dans une esthétique originale.

mise en scène : Catherine Hugottexte : Hervé Blutschavec : Guillaume Clausse

Arnaud FrémontCarine RousselotDavid Van de Woestyne

sons : Uriel Barthélémiscénographie : Ana Kozelkacollaboration : David Girondin-Moablumières : Ali Laouadimarionnettes : Catherine Hugot

production : Compagnie Ka

coproduction : Théâtre de l’EspaceBesançon

mise en scène : Catherine Hugottexte : Hervé Blutschavec : Guillaume Clausse

Arnaud FrémontCarine RousselotDavid Van de Woestyne

sons : Uriel Barthélémiscénographie : Ana Kozelkacollaboration : David Girondin-Moablumières : Ali Laouadimarionnettes : Catherine Hugot

production : Compagnie Ka

coproduction : Théâtre de l’EspaceBesançon

du 26 avril au 8 mai

La vie buraled’Hervé Blutsch

Les mélomanes et lecteurs attentifs de cetteplaquette y auront noté un vrai changementconcernant la saison « classique » : les concertsdélaissent les mardis (qui leurs étaientcoutumiers) pour deux jeudis, un samedi etun dimanche après-midi. Mais ces lecteursauront également constatés qu’au-delà decet aménagement pratique (souhaité par denombreuses personnes), la saison 09/10demeure friande de belles œuvres (Pergolese,C.P.E. Bach, Mozart, Schuman, Schubert,Fauré, Piazzolla, Rachmaninov et Franck), dedynamisme (Chœur Soto Voce), de virtuosité,de grands solistes (Nathan Braude, VladimirChevel, Michel Lethiec, Dimitri Naïditch etFerenc Vizi). Merci à tous ceux qui nous ontfait des suggestions. Bonne saison à tous.Vive la musique !

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Interdum volgus rectum videt, est ubipeccat. Si veteres ita miratur laudatquepoetas, ut nihil anteferat, nihil illiscomparet, errat. Si quaedam nimisantique, si peraque dure dicere crediteos, ignave multa fatetur, et sapit etmecum facit et Iova iudicat aequo.Non equidem insector delendavecarmina Livi esse reor, memini quaeplagosum mihi parvo Orbilium dictare;sed emendata videri pulchraque etexactis minimum distantia miror. Interquae verbum emicuit si forte decorum,et si versus paulo concinnior unus etalter, iniuste totum ducit venditquepoema.

classique

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Chœur d’Enfants Sotto Voce est considérécomme « l’un des ensembles les plusdynamiques et inventifs en Franceaujourd’hui ». Par son large répertoire, il asu séduire aussi bien en France qu’àl’étranger. Il est soutenu par la FondationOrange, les Ministères de la Culture et del'Education Nationale, le Conseil généraldu Val-de-Marne, les villes de Créteil et deParis, la SACEM. Chaque année, le chœurparticipe à un grand projet à l'Opéra Nationalde Paris ou au Théâtre du Châtelet. Ilsont ainsi chanté dans Pollicino, Peter Pan,Carmen et Boris Godounov au Châtelet,dans Miniwanka et la Petite Renarde Ruséeà l'Opéra Bastille. Ils collaborentrégulièrement avec Charlotte Nessi etl’Ensemble Justiniana. Par ailleurs, leréalisateur Christian Leblé a tourné undocumentaire sur Sotto Voce intitulé"Chamboule-Chant", diffusé à plusieursreprises sur Arte.

L’association IRIS soutient lespatients atteints d’un déficitimmunitaire primitif. Depuis 10ans elle travaille autour de sesobjectifs principaux qui sont :l’information médicale et grandpublic, le soutien financier etpsychologique des familles etla recherche dans la mesurede ses moyens.

Ce choeur a su, en 12 ansd’expériences, s’affirmersur la scène internationale.« Les choeurs ont cetterage de chanter et de bou-ger, qui fait du bien, et lesenfants du Choeur SottoVoce sont adorablementcraquants ». Le Monde

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21 novembrethéâtre-20h30

Choeur d'enfantsSotto Voce

soirée de soutien à l’association IRIS

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direction : Scott Alan Proutypiano : Richard Davischef adjoint : Mathieu Septier technique vocale : Catherine Cardinchorégraphe : Evandra Martins

Célia Pierre : médaillée du CNR de Nancy,elle est également diplômée en musiquede chambre baroque. Elle fait partie du«Concert Lorrain » dirigé par Anne-CatherineBUCHER avec lequel elle se produitrégulièrement dans des programmes demusique ancienne. Elle a été dirigée parEdward Serov (orchestre philharmoniquede Volgograd).

Michel Marquez : formé au CNR de Nancy,il y obtient une médaille d’or avant de seperfectionner à Londres avec Charles Brettà l’Académie Royale de Musique. Il a travaillédepuis avec Marc Minkowski, Jean ClaudeMalgoire et Gérard Lesne.

Rénaldo Greco : passe au CNR de Nancy,avant d’être primé à l’unanimité à l’EcoleNationale de Musique d’Aulnay-sous-Bois(classe de Patrick Gallois). Il s’estperfectionné ensuite avec Philippe Pierlot,Sandrine François, Pierre-Yves Artaud,Michel Moraguès et alterne les prestationsJazz et les concerts classiques.

Créé en 1982, cet ensembleLorrain, premier prix auconcours national de Tours,sera accueilli dans sa versioninstrumentale (25 musiciens)pour un programme avecsolistes autour du StabatMater de Pergolese et duConcerto pour flûte en rémineur de C.P.E. Bach

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Pergolese (1710-1736) est l'undes génies les plus authentiquesdu pré classicisme italien. Ilpréfigure ce que sera la musiquede Mozart, tant dans le domainelyrique que dans celui de lamusique sacrée. Fondée sur untexte très répandu au XIIIè sièclelouant la Vierge Marie, unecommande fut faite à Pergolèsepour remplacer le Stabat Materd’Alessandro Scarlatti trèspopulaire à Naples.

Carl Philipp Emmanuel BACH(1714 -1788) Les cinq fils de J.S.Bach devinrent musiciens. CarlPhilipp Emmanuel, le second, estle plus illustre d’entre eux. Né àWeimar en 1714, il fut élève deson père à Leipzig et devint, en1738, claveciniste dans l’orchestredu prince héritier de Prusse.Quand ce dernier devint le roiFrédéric II, Carl Philipp Emmanuelle suivit à Postdam. A la mortde son parrain Telemann, il luisuccéda comme directeur de lamusique à Hambourg, poste qu’iloccupa de 1768 à sa mort. Il futun musicien particulièrementprolifique.


Gradus ad musicamCélia Pierre : soprano, Michel Marquez : contre ténor, Rénaldo Greco : flûte

Pergolese : Stabat Mater

Carl Philipp Emmanuel Bach : Concerto en ré mineur pour flûte

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Vladimir Chevel : né en 1951, est diplomédu conservatoire Tchaïkosky de Kiev, puisremporte deux fois, à 21 et 25 ans le PremierPrix de violoncelle du concours nationalLyssenko d’Ukraine. Lauréat à Vilnius duconcours national de toutes les Républiquesd’URSS, il joue dans son pays comme enAllemagne comme soliste de l’OrchestrePhilarmonique de Kiev. Youri Bachmet l’inviteà devenir membre des « Solistes deMoscou », ils effectuent plusieurs tournéesen Europe, aux Etats Unis, en Australie etau Japon (Carnegie Hall à New york,Concertgebouw d’Amsterdam etMusikverein de Vienne). Il participe aufestival Schlezvig Holstein en Allemagneet à celui d’Edimbourg. Il a été membre dediverses formations de musique de chambreavec Y.Bachmet, G.Kramer, D.Sitkovietskyet M.Bezverkhny.

Dimitri Naïditch : né en 1963, il étudie auConservatoire Supérieur Tchaïkovski deKiev où il remporte quatre premiers prix en1990. Il se perfectionne ensuite à l'AcadémieGnessine de Moscou, avec Igor Brill, pendantdeux ans. Il se passionne pour le jazz,participant aux festivals d'Europe de l'Est,et compose en mêlant cette influence et lefolklore slave. Après une tournée, lesmusiciens de l'ARFI lui proposent de venirjouer en région lyonnaise, et il s'installe àLyon en 1992. Il y devient professeur auConservatoire National Supérieur.

Vladimir Chevel a été lauréatdu concours national d’URSS,avant de jouer comme solisteavec de nombreuses form-ations européennes dont lesprestigieux «SolistesdeMoscou». Dimitri Naïditcha eu 4 premiers prix auconservatoire Tchaikovsky.Tous deux sont d’origineukrainienne.

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Vladimir Chevel etDimitri Naïditch

Violoncelle et piano

César Franck : Sonate la maj, extraits

Franz Schubert : Sonate la mineur "Arpejiona",extraits

Astor Piazzolla : Grand Tango, Millonga

Franz Schubert : Ave Maria

Gabriel Fauré : Après un rêve, Elégie

Giulio Caccini (Vladimir Vavilov) : Ave Maria

Sergei Rachmaninov : Vocalise

Edith Piaf : Padam

+ improvisations

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Nathan Braude, né en 1984, il est 2e prix duConcours International Brahms en 2004. Ilse produit comme soliste avec de nombreuxorchestres dont ceux du Luxembourg,d’Anvers, Maastricht, l’Orkest der LageLanden et Les Solistes d’Europe. NathanBraude a joué dans de nombreux festivalsdont Verbier, Chigiana à Sienne, Raviniaà Chicago, Giverny et Juventus à Cambraioù il est nommé ‘Lauréat Juventus’ en 2008.Il a étudié entre autres avec Nobuko Imai,Carol Rodland et Kim Kashkashian.

Michel Lethiec, après des études àBordeaux, obtient au CNSM de Paris lespremiers prix de clarinette et de musiquede chambre, puis le prix d'interprétationau Concours International de Belgrade.Depuis ses débuts à New York en 1980, sesconcerts l'ont conduit partout dans le monde,y compris en Chine où il fut le premierclarinettiste occidental à enseigner. Depuis95, il est professeur au CNSM de Paris.

Ferenc Vizi , né en Roumanie en 1974, ilentre au CNSM de Paris en 92. LauréatJuventus dès 95, il se distingue aux concoursde Saratov, Hamamatsu, Tel-Aviv, Munich.Depuis, il se produit avec des orchestreset en récital en France, Allemagne, Finlande,Russie, Pologne, Hongrie, RépubliqueTchèque, Belgique, Luxembourg, Roumanie,Vénézuéla, Colombie et Mexique.

Trio de haut vol composéautour de Nathan Braude,altiste primé au concoursBrahms en 2004 et devenurécemment alto solo auPhilharmonique de Liège ;avec Ferenc Vizi accueilli authéâtre en 2008 et MichelLethiec, un des meilleursclarinettistes français actuels.

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8 avrilthéâtre-20h30

Nathan Braude,Michel Lethiec etFerenc Vizi

Alto, clarinette et piano

Schumann : Trois Fantasiestücke op. 73

Schumann : Märchenbilder op. 113

Mozart : « Trio Les Quilles » K. 498

Schumann : Märchenerzälhlungen op. 132

Bruch : Quatre des Huit pièces op. 83

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Le programme « découvertes » n’est pas unprogramme de voyage (cette saison : Trinidadavec Renegades, Pologne avec Motion Trio,France avec Nitchojazz, Mamaille et MustaphaMB, Sénégal avec le Wade quartet) même sile dépaysement fait partie des plaisirs qu’ilapporte. Il est aussi un espace de rencontres: avec d’autres cultures, d’autres couleurs,d’autres questions, avec des créationsdifférentes, d’autres harmonies, d’autresrythmes, d’autres langues. Il est festif : onl’écoute souvent en tapant du pied ou dansses mains. On chante. Il peut surprendre. Ilest chaleureux puisque fait du partage demusiques vécues ensemble, de l’envie demieux entendre, voir, ressentir, comprendre.Les voyages que l’ont y fait se ressentent dansle corps comme dans la tête.

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découvertes

Thierry Lhuillier est venu nousvoir pour nous dire son envied’enregistrer un concertpublic. C’est avec plaisir quenous l’accueillons au théâtrepour deux enregistrementsque nous espérons les plusvivants et chaleureux possible.En partenariat avec l’asso-ciation Anes Art’gonne.

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Ils sont trois, trois troubadours, fiersmusiciens aux talents fous qui promènentleurs notes et leurs textes depuis 2002 surles routes de France et d’ailleurs. Festivals,bistrot, grange, rues, tout convient àBarzingault, groupe saltimbanque, maniantla clé de sol sans bémol et le verbe à tousles temps. Barzingault s’appuie sur desinstruments populaires et des textes finementciselés, distille ses chansons dans uneambiance toujours festive. Avec ThierryLhuillier, au chant, au piano, et aux interludeshumoristiques et caustiques, ChristelleVigneron, au piano, mais avec des bretelleset Patrick Leroux, virtuose du violoncelle,on part pour une aventure au terme delaquelle seul le bonheur demeure, celuid’avoir vibré à l’écoute de petites merveillesd’insolence ou de tendresse, ou de textesplus graves mais tout aussi attachants.

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5 et 6 novembrethéâtre-20h30

BarzingaultChanson

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Thierry Lhuillier : chant, piano

Christelle Vigneron : accordéon

Patrick Leroux : violoncelle

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Groupe mythique des Antilles, le RenegadesSteel Band Orchestra est reconnu dans lemonde entier depuis plus de 30 ans. Ces 18virtuoses ont conçu, en martelant de simplesfonds de tonneaux - les pans -, une véritablephilharmonie tropicale et vibrante quitranscende les genres, capable d'allerdu classique au reggae, en passant par lecalypso national. Un philharmonique debassines et bidons. Lancés dans ungrandiose enchevêtrement musical, lesfunambules du Renegades Steel Bandinterprètent leurs parties avec une virtuositéqui laisse pantois, leurs bidons métalliquesarrivant à imiter n’importe quel instrument.Virtuoses, inventifs et communicatifs, lesRenegades apparaissent aujourd’hui commele steel band le plus primé de Trinidad,capable comme nul autre de jouer unstandard de Marley, une pièce de Mozartou un calypso national.

Cet ensemble traditionnelinterprète avec virtuosité,samba, salsa ou calypso.Ils ont ébloui des scènesdans le monde entier. Ceconcert aura lieu à la CitéVerte à l’occasion du 30ème

anniversaire du CentreSocial e Culturel

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Presse : cet ensemble apparaît aujourd’hui commeLE steel band indétrônable, le plus primé de Trinidad,capable comme nul autre de tout jouer avec unenthousiasme contagieux !

France Musique

Steel band : est le nom utilisépour un groupe de steel pans(ou steel drums comme on lesappelle aux Etats-Unis).Considéré comme le seulinstrument acoustique crée auXXe siècle, le pan est construità partir de bidons d'huile quisont coupés, cannelés, chro-més ; une fois fabriqués, ilspeuvent reproduire la gammeentière d'un orchestre sym-phonique.

double répertoire : Classique (Bach / Scubert) + Calypsos reggae

en collaboration avec les Folles Journées de Nantes

25 novembre20h30

Renegades Steel BandOrchestra

Trinidad

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Motion Trio, c'est toute la magie et lamélancolie des Balkans. Ce triod'accordéonistes polonais a joué sur lestrottoirs de Cracovie pendant des années,il joue depuis sur les scènes internationalesen dynamitant tous les clichés du soufflet.Avec une énergie rock, un look digne deMetallica et un son acoustique saisissant,ils inventent un genre avant-gardiste auxéchos de tango et de valse, aux accentsbaroques et jazz. Un trio d’accordéonistesfondé en 1996 par Janusz Wojtarowicz,leader et auteur de la plupart descompositions, constitue un événement surle plan musical européen et mondial. Malgréle jeune âge des musiciens, "Motion Trio"a joué avec des artistes tels que Bobby McFerrin, Tomasz Stanko ou Micha Urbaniak.

D’une virtuosité frisantl’impertinence, ces troisaccordéonistes formés àCracovie, mouchent toutesles habitudes, toutes lesmanières de jouer et de faireécouter la «boîte à frisson».«L’avant-garde rayonnantede l’accordéon - Le Monde».

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Presse : dans ce trio, les classiques instrumentsgroovent comme une armée de djs, swinguent commedix caravanes de Tziganes, vous chopent aux tripescomme une montagne de sound systems. Bref, les troisPolonais font de l’accordéon un instrument du XXIe

siècle. Il était temps.Philippe Krümm, Mondomix

Janusz Wojtarowicz : accordéon

Pawel Baranek : accordéon

Marcin Galazyn : accordéon


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Nous connaissons Nitcho(Sébastien) Reinhardt depuis2004 : Il était encore au collègemais déjà d’une belle virtuositéet nous lui avions confié unecarte blanche à l’occasion dela projection du film Swing deTony Gatlif. Depuis, il n’a pasarrêté de travailler et deprogresser. Il est vraimenttrès doué.

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Comme Tchavolo Schmitt dont il a assuréla 1ère partie sur la scène du théâtre, NitchoReinhardt est un jeune guitariste compositeurautodidacte. Originaire de Verdun, bercédepuis sa naissance par la musiquemanouche, il a appris la musique « à l’oreille»,en écoutant les disques de Django Reinhardt,son idole et cousin. Il a donné son nomau groupe NITCHOJAZZ. Il joue entouré deses deux frères Youri et Tony, tous deuxguitaristes rythmiques. Aujourd’hui, ils sontaccompagnés par le contrebassiste ThierryChanteloup. Inspiré par le swing manouche,Nitchojazz a déjà réalisé un premier albumde compositions personnelles de Nitcho,« Latcho Dives ». Un second album est encours d’enregistrement. Ce groupe joueune musique vivante, dynamique et agréable,inspirée du pur style jazz manouche.

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Nitcho Reinhardt : guitare solo et composition

Youri Reinhardt : guitare rythmique

Tony Reinhardt : guitare rythmique

Thierry Chanteloup : contrebasse

du 20 au 26 janvier

NitchojazzFrance

Hélène Géhin et Ivan Gruselle,vont créer de toutes piècesune véritable opérette depoche en 1 acte, farceatypique et foisonnante,mordante, se moquant de tout,même d’eux-mêmes. Cespectacle sera donné enseconde partie de la «Prosedu transsibérien» et de la«Maladie de la mort»

La marquise du Clairon, femme modernedu début du XXème siècle se sent abandonnéepar son mari, l’ambassadeur de Belgique.Elle rêve d’aventure, seule dans son boudoir.Arrive alors un jeune voleur, venu déroberses bijoux…Deux personnages chanteursmontent une opérette intitulée « Mets-moiau trou petit gendarme » : ensemble ilsinterprètent, du mieux qu’ils peuvent, tousles rôles - archétypes théâtraux : la bonne(un peu idiote), le mari trompé, le jeunehomme romantique, la femme volage…Genre à la fois connoté et ouvert auxaudaces formelles, l’opérette nous a sembléle parfait écrin pour poursuivre le travaildu duo « Hélène et Ivan » : mélange desépoques, avec des costumes et un livretgrivois « début XXème » sur une musique etune mise en scène « début XXIème » ; mélangedes genres avec une place pour le chant,le théâtre, la danse et la manipulationd’objets.

Hélène Géhin et Ivan Gruselle

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Mamaille : fondée en 2001,Mamaille développe son activitéautour de la production despectacles et d’un labeldiscographique. La Philharmoniedu Bon Vide, Le lit , La GrandeMamaille, Hélène et Ivan chantentles Classiques, spectacles phares,ont pour dénominateur communune vision de l'humour enmusique, une poèsie colorée etune énergie bouillonnante.L'écriture musicale d'Ivan Gruselleoffre le terreau où se développel'esthétique Mamaille, défendueavec talent par Hélène Géhin,Camille Perrin, Ludovic Fresse,Michel Deltruc, Sébastien Costeainsi que les musiciens de laphilharmonie. La compagnie estune référence en Lorraine où ellebénéficie du soutien renouvelédes institutions les plus variées,du squat à la scène nationale.

musique : Ivan Gruselle

livret : Hélène Géhin

mise en scène : Laurent Fraunié

avec : Hélène GéhiIvan Gruselle

production : Mamaille

coproduction : transversales

du 15 au 19 mars

Mets-moi au troupetit gendarme

opérette de poche en un acte

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Ce groupe originaire de Troyesa composé, en langue arabe,un répertoire puisant auxsources des musiques arabo-andalouses, malouf, chaâbiet musiques du désert. Le toutservi par des sonoritésmodernes, dans un rythme etune vitalité épatants.

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Les ex-membres du groupe Ahlem seretrouvent désormais sous le nom deMustapha MB pour une formule auxsonorités plus électriques et explosives.Le répertoire puisant aux sources desmusiques arabo-andalouses, malouf, chaâbiet musiques du désert se mélange à unerythmique “groovy” naviguant entrefunk, reggae, jazz, ou afro-beat… Le groupea vu le jour à Troyes (Aube), sous l'impulsionde Mustafa Messaoud Bouneb, musicienoriginaire de Constantine en Algérie. C'estavec un bagage musical important issu dela culture orientale (chant, oud, mandoleet composition) qu'il s'entoure de musiciensfrançais afin de réaliser une fusion entresa musique et d’autres styles musicaux.C'est ainsi que le groupe travaille autourde compositions personnelles chantéesen arabe. Ainsi s'élabore un répertoire auxsonorités originales, vivantes et colorées,à l'image d'une société faite d'une mixitéculturelle vécue au quotidien par lesmusiciens. L'entente musicale est à lahauteur de l'entente humaine et le groupe.

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Mustapha Messaoud Bouneb : chant, mandole, oud

Nicolas Pautras : basse, bendir, choeurs

Florent Hazouard : guitare, choeurs

Johann Vigon : percussions, choeurs

Mickaël Correia : batterie, chœurs

25 mars

Mustapha MBFrance

théâtre-20h30

Seydina Insa Wade, initiateurde l’afro-folk sénégalais estune des légendes de la scènemusicale sénégalaise etinternationale. Artiste engagé,il fut l’un des membres ducélèbre groupe Xalam deDakar.

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Bien avant l’essor de la section «Musiquesdu Monde» des rayons de disques, SeydinaInsa Wade a ouvert une voie à l’expressionpropre des musiques du continent Africain.Auteur, compositeur et interprète d’un chantayant pour univers ses racines, ses liensavec la terre, les gens de sa famille, deDakar, Seydina Insa Wade donne sa voixaux réalités exaltées de sa condition. Luiont succédé notamment Youssou N’Dour,Ismaël Lô…

Presse : Les mots sont en Wolof mais ils semblentclairs, comme un espéranto dont le sens serait portépar la puissance du chant. Seydina chante le Sénégalet le passant entend qu’on parle de lui. On ne s’étonnepas de le trouver ici au Festival inter-celtique. On nes’étonnera pas de le croiser demain à Dakar, aprèsdemain à New York et la semaine prochaine dans unpetit bistrot parisien ou angevin. On parle volontiers deworld music pour désigner ce style. Peut être faudra-t-il enfin parler de « human music » un jour ? Celle quiparle des petites bonnes esclaves des famillesriches comme de la mort de l’Ami. D’un français hésitantet maladroit, Seydina donne en deux trois indicationsla piste de sa prochaine chanson. Sa violoncellisteHélène Billard, bienveillante, l’accompagne là aussimerveilleusement. Et on comprend, et on voyage.Africain, Seydina ? Oui. Comme nous.

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Seydina Insa Wade : guitare, voix

Hélène Billard : violoncelle

Solen Imbeaud : flûtes

Gillian Mombo : percussions

29 avril

Wade QuartetSénégal

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Quatre spectacles de cirque au programmeque l’ont pourrait rapprocher deux à deux. Lepremier de ces rapprochements concernerait« Thomas parle d’amour », tourné en réseaufin septembre et début octobre, spectacledans lequel un homme parle des femmes avecsa malice, sa candeur, sa tendresse et samauvaise foi, sa pudeur et ses effronteries,son corps (il est un acrobate hors-pair, aucerveau et à la roue allemande), son cœur -ce qu’il en dit fait souvent rire mais passeulement, « Thomas » donc et « Les yeuxpour » (joué au théâtre début mars), aventurepar laquelle cinq femmes (acrobates au cadreaérien et au fil, danseuses, chanteuses) nousparlent d’elles et des femmes, de fierté, debeauté, d’harmonie, mais aussi de doutes, dela difficulté qu’il y a à être femme dans certainspays, sociétés, zones, quartiers, appartements,et du machisme ordinaire ; leur spectacle estparfois grave mais pas seulement. Le secondrapprochement mettrait en rapport « La mesuredes choses » (danse et jonglage, créé authéâtre en décembre) qui est un conte sansparoles sur la mécanique de la vie (histoirede poule et d’œuf, tendre et humoristique) etse joue principalement avec quelques cailloux,solo sur un plateau quasi-nu, et L’Epicycle(CirkVost, accueilli fin mars début avril à labase de loisir du Pré l’Evêque, à ne manquersous aucun prétexte), spectacle exclusivementde haut vol (trapèze volant et à ballant, cadreaérien, etc.), dont la création constituera unévènement phare de la prochaine saisoncircassienne nationale et qui nécessitera lemontage d’un chapiteau culminant à unehauteur de 23 mètres. Le cirque, terre decontrastes ? Le cirque, monde multiple detalents, de paroles, de créations et d’émotions,de dépassements, d’exploits. Le cirque, toutsimplement.

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C’est un homme, il est venu au milieu de lapiste. Personne ne l’y obligeait. Il est venuparce qu’il avait envie de raconter deshistoires. Comme il ne savait pas comment,il a tout apporté. Il a pris ses accessoires,ses instruments, il a pris aussi tout ceque son corps savait faire. Il a pris aussiles mots malhabiles, les silences, les gesteshésitants. Il a pris les fous rires, les enviessecrètes. Il a pris les caresses, les baisersfurtifs. Il a pris les jeux et l’enfance, lescoups de clairon sonores, l’insouciance etla peur. Et sa légèreté d’aviateur... Bref ! Ilest venu tout entier. Alors, quand il a ditbonjour à tout le monde, il met une robe deprincesse, prend son petit violon, et lespectacle commence.

Thomas Reudet

Ce spectacle me plaît parce que c’est unrésumé de ce que devrait être le cirque ouun artiste de cirque, la poursuite de laperfection et l’aveu de l’imperfection.

Gilles Cailleau

Que ce soit avec une roueallemande, des pas de danses,un violon, un cerceau ou desboites de sardines, ThomasReudet, artiste aussi effrontéque virtuose, nous raconteses histoires intimes danslesquelles il se prend pourBlanche-Neige. Tout commeelle, il attend l’amour : un jourmon prince viendra.

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Presse : Une création belle et poétique, virtuose etfragile. F.R. - La Dépêche du Midi

Thomas Reudet : formé aux écoles nationales de cirque deChâtellerault, Rosny et Chalons,il a contribué à la création de lafanfare Circa Tsuica et du CheptelAleïkoum, collectif né de la 15ème

promotion du Centre National desArts du Cirque. Il rejoint la CieAttention Fragile pour La guerredes boutons en 2005 et Fournaiseen 2007. Il s’est spécialisé en roueallemande, cercle, trombone,souba, double trompette

avec : Thomas Reudetmise en scène, écriture : Gilles Cailleau

production : Cie Attention FragileCheptel Aleïkoum

du 28 septembreau 3 octobre

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Thomas parle d’amourpar Thomas Reudet.

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« La mesure des choses » est une évocationlégère, ludique, esthétique et étrange duprincipe de la vie : c’est l’histoire du tempstombé amoureux de la matière. Ils s’aimèrent.Des millions de nos années. Et de leur amour,naquit la Vie... ». Prendre la mesure deschoses, c’est accepter la relativité dechacun. C’est apprendre ou réapprendreà voir les petites choses qui nous entourent,et qui, à leurs échelles, font les grandesbeautés de la Vie. Parler des cycles de lavie, de l’évolution des espèces à traversdifférents états de conscience, ressentirce qui meurt doucement pour laisser laplace. J’ai voulu travailler avec des élémentsnaturels très simples parce qu’eux aussis’expriment à leur manière : un arbre mortmais toujours debout, des pierres pour quinous ne sommes qu’un bref instant etdes œufs sous leur multiples formes : pleinset fragiles, cassés et coulants, vides etredevenant poussières.

Christelle Herrscher

Après 3 résidences àTransversales, C.Herrscher,danseuse et jongleuse,vient présenter sa création.Un spectacle très sensible,empruntant au théâtred’objets, sur la vie, la nais-sance, la filiation, la pouleet l’oeuf.

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Christelle Herrscher : née en1981, danseuse et jongleuse,elle se forme à EPSE DanseMontpellier puis au ThéâtreCirqule de Genève et enfin auCentre des Arts du Cirque deLomme avant d’intégrer la CieEzec Le Floc’h qui produit éga-lement son premier solo :Solitude Meublée. Elle écritégalement un duo de musiqueet de jonglage : Les SaintesAmères. Après deux ans etdemi de tournée, elle intègre leCNAC pour six mois de recen-trage et de réflexion. Arriveensuite, parmi d’autres projets,l’envie de La Mesure desChoses. Elle étudie en parallèlele violoncelle et s’intéresse auLand Art.

conception et interprétation : Christelle Herrscherlumières : Solenne Galais regard : Nathan Israël.

production : Minuit 13 la Caustique

coproduction : Transversales

du 10 au 12 décembrethéâtre-20h30

La mesure des chosesde Christelle Herrscher

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On ne sait pas précisément où on est, nid’où viennent ces cinq femmes. Elles sesont croisées, interpellées et sont réfugiéesd’un monde où elles ne collaient plus à cequ’on attendait d’elles. Par leurs jeux , leursrituels, leurs rencontres étranges, ellesnous laissent voir leur histoire, leur parcours,qui convergent vers la difficulté de s’affirmeren tant que personne -en tant que femme,et de s’affranchir des préjugés, partout.Dans ce repli du monde, elles se débattent,se lâchent, se réapprennent plus libres,redeviennent elles-mêmes. Les yeux pour…les regarder, s’émouvoir, se donner ducourage, et croire à une certaine liberté.Sophia Perez a rassemblé cinq circassienneset danseuses d’origines diverses (Japon,Maroc, Suède, France et RépubliqueDémocatique du Congo), pour interrogerla place de la femme dans ces différentescultures. Après une année de voyages, derencontres et d’écriture, elles nous livrent,par le cirque, la danse et la parole un regardcroisé sur la féminité.

Sophia Perez : née au Maroc,vit en France depuis ses septans. Elle découvre le cirqueassez tôt et y trouve une formed’art vivant universel, un langa-ge international. Elle devientalors voltigeuse. Tout en conti-nuant à développer des tech-niques très physiques elle adécidé de passer à la mise enscène, toujours dans uneapproche des autres cultures.

Cinq acrobates, danseuses,actrices, chanteuses, nousparlent d’elles et de toutes lesfemmes. Un spectacle vivifiantet coloré, dont des extraitsont été présentés à Verdunen juin 2008, en sortie derésidence.

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auteur /metteur en scène : Sophia Perez

auteurs/interprètes : Tatiana-Mosio BongongaColline CaenAmanda LundKotoé MakinoLola Renard

accompagnement : Martine Cendredirection acteurs et chant : Anne Kaempfcréation sonore : Guillaume Dutrieuxcréation lumière : Clément Kaminskiscénographie : Laëtitia Tourycostumes : Maïlis Martinsseconstructions : Emmanuel Céalisphotographies : Milan Szypuraproduction / diffusion : Héloïse Pascal

Scènes de Cirque

production : Cie Cabas

coproduction : Le Cheptel Aleïkoum, l’Echalierde St Agil, le Centre Européen deConques, Transversales, la Meriseà Trappes, l’Académie Fratellini,le Chapiteau d’Adrienne, Subtopia(Suède), le Steep Slope Studio(Japon), l’école de Shems’y (Salé,Maroc).

3 et 4 marsthéâtre-20h30

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Les yeux pourpar la cie Cabas

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Héritiers artistiques ettechniques de la fameusetroupe Les Arts sauts, lecirque Vost est une réfé-rence en matière de voltigeaérienne. Une lutte perpé-tuelle contre le vide, un uni-vers poétique, inspiré de laBD et de l’esthétique dumouvement, un spectacleexceptionnel.

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Extrait du guide de l’Epicycle : structuremétallique de forme écliptique dont lemouvement circulaire est entraîné par unassemblage de poulies et d’engrenagesactionnés par les habitants du cercle. Leshabitants se déplacent grâce aux techniquesacrobatiques transmises de génération engénération : les lanceurs ou porteurs utilisentla force centrifuge pour envoyer les voltigeursdans les airs. Chacun a son rôle à tenir.L’épicycle peut se recharger par lebalancement trapézoïdal des habitantesdu cercle. L’opération nécessite volupté etdélicatesse. Un univers se rapprochant dela bande dessinée dans lequel les cordes,les trapèzes, les filets et les mains sont lespoints névralgiques de l’antichute, de lalutte des humains face au vide et, de cefait, l’expression d’un combat perpétuelpour ne pas lâcher prise...

Cette version originale sera bien évidemmentsous-titrée en langage universel, celui quise lit avec les yeux, les oreilles et, bien sûr,avec le coeur.

Cirk VOST

Cirk VOST : c’est après l’envolfinal de la compagnie ”les ArtsSauts” en septembre 2007,qu’est né le Cirk VOST. L’enviecommune de cinq artistesissus des quatre coins dumonde (France, Canada,Australie, Suède) de continuerà se balancer, s’envoler, se rat-traper et faire rêver, les amèneà poursuivre leurs expériencesaériennes vers d’autres hori-zons. Être suspendu, perchédans un univers où la pesan-teur peut être déviée, défiée etdéjouée. La gestuelle, le mou-vement et l’appropriation duvide sont les principauxmoyens de communicationdans cet espace où se côtoientdes entités différentes et com-plémentaires. L’un ne peut semouvoir sans l’autre, telle estla relation interactive à laquel-le nul ne peut échapper.

mise en scène : CirkVOSTJohn Paul Zaccarini

trapézistes : Benoît BellevilleArnaud CabochetteMelissa ColelloJean PellegriniSara SandqvistCécile Yvinec

rigger en scène : Andy Mitchellmusicien : Nicolas Forgerégie : Tom Rampazzirégie générale : Jan Naetsbureau : Alexandrine Biancomusique : Antonin Chaplain et Nicolas Forgelumière : Wilfried Shick costumes : Solenne Capmasstructure : Patrick Clody -Side Up Conceptchapiteau : Abaca Lightweight Structures Engineers

production : CirkVOST

coproduction : Cirque-Théâtre d’Elbeuf, Le Carré MagiqueLannion, Pôle régional des arts du cirque,l’ Agora de Boulazac, Cirque Jules Verned’Amiens, La Verrerie d’Alès, Le Volcan duHavre, Bonlieu Annecy, L’Hippodrome deDouai, La Coursive La Rochelle

du 31 mars au 2 avrilsous chapiteau-20h30

L’EpicycleCirk VOST

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Résidences Transversales s’est engagéerésolument dans un soutien à la créationcircassienne, particulièrement aux projetsportés par de jeunes artistes de cirque. Cesoutien se concrétise notamment parl’accueil des équipes (le plus souvent authéâtre mais également ailleurs), la mise àdisposition d’espace de travail, l’apportd’un soutien technique et financier. Cesdispositifs s’appellent résidences. Ellespermettent aux artistes de travailler avecintensité sur un temps déterminé (entre 10jours et quatre semaines). L’enchainementdes résidences, nécessaire car au cirqueles élaborations de spectacles, trèsconsommatrices d’énergie et de temps,s’étire souvent sur plusieurs saisons, cetenchainement, donc, permet l’aboutissementdes créations.

Equipes Six équipes circassiennes ont étéaccueillies depuis la mise en place de cedispositif (février 2008). Trois projets ontd’ores et déjà abouti ou sont en passe del’être (Sway - Cie Les Mains Sales en janvier2009, Les yeux pour - Cie Cabas fin juindernier, La mesure des choses - Cie Minuit13 la caustique en décembre prochain) ;ces créations ont fait (Sway) ou feront (Lesyeux pour et La mesure des choses) partiede nos programmes. Les trois autres projets(Proserpine - Le tout nous, Guillaume Top- Le cirque à Jean Kevin, Pocheros - Leterritoire des ôtres) sont toujours en coursde recherche. Un nouveau projet seraaccueilli en septembre (Absurlesque - Jean-Charles Gaume) d’autres nous rejoindrontdébut 2010, car la création est un mouvementne s’arrêtant jamais.

Partenariats Il est à noter que tous cesprojets s’élaborent et se déroulent sousune forme de responsabilité partagée entreles équipes artistiques et plusieurs structuresd’accueil. Cette pratique qui répartit lescharges liées aux créations (espaces,temps, moyens financiers) entre plusieursstructures renforce la fiabilité des productions

tout en permettant aux équipes d’élargirleur audience. De cette façon, nous avonseu l’occasion de conjuguer nos efforts avecle Prato de Lille, Les Migrateurs Associésde Strasbourg, le Créac de Marseille, LeCirque-Théâtre d’Elboeuf, le Sirke de Nexon,le CNAC de Châlons-en-Champagne,l’Académie Fratellini de St Denis au coursdes expériences rappelées ci-dessus.

Partenariats lorrains Cet effort de mise enrelations des structures culturelles autourdes enjeux du cirque doit aussi être vécuen Lorraine et c’est dans cet esprit quenous avons mis en place début 2009 unprincipe de rencontres périodiques desprogrammateurs lorrains autour des enjeuxdu cirque. Ces rencontres ont pour objetde favoriser la circulation des spectaclesde cirque en Lorraine comme l’informationqui les concerne. L’élaboration de l’encartci-contre, qui signale les évènementscircassiens se déroulant en Lorraine aucours de la saison qui s’ouvre, est un despremiers résultats concret de ces rencontres.Plusieurs structures lorraines ont d’oreset déjà acceptées de l’inclure dans leurspublications. D’autres modes d’information(comme la constitution d’un site ou d’unblog sur le cirque de création en Lorraine)sont en cours d’élaboration.

«Les yeux pour»

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Trois temps forts du cirque en Lorraine

à Lunéville - Fournaise - Cie Attention FragileLes 20 (19h30), 21 et 22 mai (20h30) - Place CarenthalLe chapiteau carré de Fournaise est, au dehors, comme une grandetente nomade. Au-dedans, c’est comme un cabaret : on s’installe àproximité des pistes (il y en a cinq, une grande et quatre petites) autourde petites tables. Là, une bascule envoie les corps en l’air pour ytourbillonner, ici un acrobate s’amuse à défier la chute, un hommejongle avec les couteaux, la trapéziste est prise de vertige, un dresseurde cerceau, des chansons, des poèmes, des bicyclettes supportantd’improbables pyramides humaines. Renseignements : La méridienne- 03 83 76 23 31

à Verdun CirK V.O.S.T. (version originale sous-titrée)Les 1,2 et 3 avril - Base de loisir du Pré l’EvêqueHéritiers techniques et artistiques de la compagnie les Arts Sauts, lessept membres du Cirk Vost présentent une création 100% aérienne.Un monde très spectaculaire, en altitude, se dégustant avec les yeux,les oreilles et le cœur. Un univers se rapprochant de la bande dessinéedans lequel les cordes, les trapèzes volants, les mains sont lespoints névralgiques de l’anti-chute et de la lutte des humains face auvide, l’expression d’un combat perpétuel pour ne pas lâcher prise.Renseignements : Transversales - 03 29 86 10 10

à Montigny-lès-Metz - Cie BAM : Testé-dé-TestéLes 20 et 24 mai - Rue Pierre de Coubertindans le cadre du festival de cirque contemporain « Les nuits d’Eole »Six identités, six caractères, six manières d’appréhender le monde, plustrois spécialités (bascule, acrobatie et mât), forment ce que ces six jeunesartistes appellent la machine BAM. Rythmée par l’énergie de chacun, cettemachine donne au groupe une identité insouciante, arrogante, toujourssur le fil du rasoir avec le risque en bruit de fond, l’humour et la dérisioncomme maîtres mots, de l’ordre et du chaos et des agrèscassables.Renseignements : Cirk’Eole - 03 87 62 70 96

Actualitésdu cirque

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La danse fait son chemin. Cette saisonencore, en mai, durant toute unesemaine dite « de la danse », nousdonnerons à voir trois démarches, troiséquipes. Groupe Jman vient de Suisseet allie la performance physique avecun humour ravageur (voire ravagé).Les seconds sont africains (RépubliqueDémocratique du Congo) et conjuguentle langage de la danse contemporaineet leurs racines au service d’un spectacletrès fort et très émouvant. Les troisièmessont Street-Harmony, de Nancy etdanseurs Hip-Hop, ils nous montreront,un an après la création de leur premièrepièce, la suite de leur aventure.

danse

Après avoir assassiné sa femme (elle adansé avec un autre), Marcel se justifie enreprenant les mots d’une chanson deJohnny : «Je l’aimais tant, que pour la garderje l’ai tuée», écrit-il avant de se suicider augaz. Cet homme a t- il joué la comédie ?Aurait-il tué sans les paroles de Johnny ?Anne Delahaye et Nicolas Leresche prennentappui sur ce fait divers pour explorer la partdu vrai et du faux dans la vie de chacun.Dans le rôle de l’acteur authentique : unepoule, une vraie (l’animal). Dans le rôle deshumains ballottés entre fiction et vérité:deux interprètes, les chorégraphes eux-mêmes, qui mêlent danse, théâtre etacrobatie sur fond de musiques populaires,entre «Rondo Veneziano» et karaoké.

A.Delahaye, N. Leresche

D'un côté Johnny Hallyday,Rondo Veneziano, l'hommedoré et l'amour pour toujours.De l'autre des corps quitombent et sautent sans setoucher. Magica Melodia estune réflexion sur les artsvivants qui nous rappelle quele spectateur est en droit dene pas recevoir ce qu'il attend.

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Nicolas Leresche : après uneformation en théâtre physiqueà l’école Dimitri (Suisse), il partpour l’école nationale decirque de Montréal (Québec)dont il sort diplômé. Il rejointensuite le cirque Eloize(”Nomade”). Il travaille enSuisse, Québec et Allemagnedans différentes compagnies(Ton und Kirschen, MariellePinsard, cirque Monti, Paolodos Santos, cie Alias).

conception/ interprétation : Anne DelahayeNicolas Leresche

intervenant : Gilles Baronlumière : Thomas Hemplercostumes : Karine Duboisrégisseur : Guillaume Fontannazadministration : Frédérique Leresche

production : groupe J.M.a.n

coproduction : La Bâtie-Festival de GenèveJeunes Talents Cirque Europe

10 maithéâtre-20h30

Magica Melodia groupe J.M.a.n

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Anne Delahaye : après une for-mation en danse classique,elle rejoint en 1992 leConservatoire national supé-rieur de Lyon dont elle sortdiplômée en danse contempo-raine. Elle travaille ensuiteavec Sylvie Giron, IsabelleSchad, Marco Berettini, la cieAlias, Paolo dos Santos. Plusrécemment, elle travaille avecle plasticien Massimo Furlan etle chorégraphe Philippe Saire.

« Pour moi, la danse contemporaine estune danse toujours en recherche, libre dese redéfinir à chaque instant. Elle est parexcellence une danse de la vie, que ce soitau Congo, sur le continent africain ou ailleurs,même si certains courants, occidentauxou africains, tendent à se figer dans desformes qui suivent des modes et à sescléroser. La danse contemporaine mepermet d’exprimer ma vision du monde, decrier ma rage et de trouver la paix. Il s’agitd’un engagement artistique profond, d’uneprise de position radicale. Etre artiste c’estun choix sans compromission. »

Boris Ganga Bouetoumoussa

Le chorégraphe congolaisBoris Ganga Bouetoumoussaexpose les mots qui perturbentl'ordre établi de par leurjustesse et leur actualité. Au son des machines, dessonnettes et du train, lesdanseurs peignent uncontinent dépossédé. Ici, ladanse donne corps au mot.

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Presse : « Il ou Elle » nous emmène au Congo. BorisGanga Bouetoumoussa, le chorégraphe et l’un desquatre interprètes. On reconnaît des danses de combatqui se confondent dans un jeu de théâtre envoûtantrythmé par des bruits de locomotives. Ici, le discourspolitique se fait cavalier des danseurs dans une lutteinfernale, avec la voix de Mobutu en toile de fond.

Marine Duval - PBM

Boris Ganga Bouetoumoussa :Chorégraphe, danseur inter-prète et directeur artistique dela compagnie Bô Zu diaKatiopa il est né le 3 Août 1973à Linzolo, région du Pool en R.du Congo. Il débute sa carrièreartistique à l'âge de 14 ansdans le ballet Génie Militaire.Depuis 1997, il réalise plusieurscréations avec différentescompagnies. Depuis 2003, il estformateur et co-responsabledes Ateliers de recherche cho-régraphique en danse contem-poraine du Centre culturelfrançais de Brazzaville

chorégraphie : Boris Ganga Bouetoumoussacostumes : Aliénor Valletlumières : Armel Louzala

avec : Boris GangaBrunel NkoukaDimitri NanitelamioBrice Mingouolo

production : Compagnie Bô Zu dia Katiopade Brazzaville


Il ou elleCie Bô Zu dia Katiopa

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Notre parti pris est d’explorer au sens leplus large les possibilités de la danse HipHopà dialoguer avec d’autres esthétiquesartistiques, musicales. Le HipHop en tantque matière à décomposer, à mélanger, àreconstruire dans un acte de création. Ilest à noter que notre démarche artistiques’intègre dans le projet d’action socioculturelle et artistique que notre associationmène depuis plusieurs années visant àdévelopper et valoriser les cultures urbaines,à rendre accessibles et attractifs l’art et laculture auprès de publics qui en sontéloignés. C’est pourquoi nous faisons lepari de créer un spectacle pouvant touchertout type de structures (structures socioculturelles, théâtres, SMAC, milieu rural,milieu carcéral…)

Cie StreetharmonyStreetharmony rassembletrois danseurs et danseusenancéens. De parcoursartistiques éclectiques ilsaiment à créer des passerellesentre danses urbaines,orientales, africaines. Suiteau succès de leur créationau théâtre en 2009, ilsprésentent une nouvelle étapede leur travail.

Streetharmony : est une com-pagnie nancéenne qui ras-semble 3 danseurs et danseu-ses HipHop autour de leurpassion commune de la scèneet la culture HipHop. De par-cours artistiques éclectiqueset variés, ils aiment à créer despasserelles et du dialogueentre différentes esthétiqueset cultures : Danses HipHop,Orientale, Africaine,… Ladanse en tant que vecteur derêve, d’imagination et de tolé-rance, revenant ainsi auxsources mêmes de la cultureHip-Hop ! «Individus», leur pre-mière pièce professionnelle aété créée à Verdun en juin 2009

avec : Samad Ait NasserRomain HenryMakoro Traore


Création Hip-hopCie Streetharmony

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infos-pratique

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Réseau Ce que nous appelons le« réseau » est le regroupement(informel) de différents acteursassociatifs (dont Transversales)et institutionnels des régions Nordet Centre du département de laMeuse autour d’enjeux communs :l’accès à la culture, aux pratiquesartistiques, l’animation des régionspar l’action culturelle. Les initiativesqui animent ce « réseau » émanenttout autant des associations desrégions que de Transversales ;Transversales est souvent à l’originedes projets à caractère « global »(ex. : les tournées de spectaclesfigurant dans cette plaquette), lesdémarches liées à des enjeuxspécifiques (ex. : ateliers de pratiqueartistique) ou à des sites etévénements particuliers (ex. :festival) sont logiquementdavantage proposées par lesassociations des régions. Lescantons de Charny, Clermont,Damvillers, Dun, Etain, Fresnes,Montmédy, Pierrefitte, Seuild’Argonne, Stenay, Souilly,Spincourt, Varennes, Verdun-Est(Val de Meuse) ont été jusqu’iciconcernés par ces initiativesculturelles partagées ; nous

espérons qu’ils continueront del’être. Nous espérons aussi qued’autres partenaires (d’autresrégions) auront tantôt l’envie derejoindre le « réseau ». Nouscontacter pour tout renseignement.

Développement culturel Nousconsidérons la Culture comme undroit pour tous et un enjeuprimordial d’éducation. Chaquesaison, avec de nombreuxpartenaires (établissementsscolaires, centre sociaux,associations culturelles, collectivitéslocales) et grâce à eux, nousparticipons à la mise en placed’actions (ateliers, résidences,programmations) permettant auxhabitants de notre région d’accéderplus aisément à la création et à lapratique artistiques. La saisonprochaine, plus d’une vingtained’actions seront mises en place.Elles concerneront des adultes,des lycéens, des collégiens, desenfants d’écoles élémentairesetmaternelles, des adolescents horstemps scolaire. Nous contacterpour tout renseignement, ouproposition d’atelier.

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lexique

Théâtre amateur Comme dit plushaut, la plupart des ateliers depratique artistique mis en placepar notre association concernedes publics bien déterminés(secteur scolaire, adolescents desquartiers,…). Il en est, cependantquatre qui sont accessibles à toutà chacun. Trois concernent lesadultes (à Dieue-sur-Meuse, Étainet Hannonville), un les enfants(Étain). Chacun de ces ateliers,très vivant, est animé par uncomédien professionnel. Nouscontacter pour tout renseignement.

Relais Vous êtes un spectateurpassionné, vous pouvez partagervotre goût pour le spectacle avecvos amis en devenant spectateur-relais de Transversales. Pour cela,il vous suffit de constituer autourde vous un groupe de 10 personnesminimum désireuses comme vousde souscrire à une des formulesd’abonnement (à découvrir pagesuivante). L’ensemble de votregroupe bénéficiera d’un tarifapproprié, vous-même, en tant quespectateur relais, vous serez notreinvité permanent (gratuité de votreabonnement). Nous contacter pourtout renseignement.

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1global

Chœur d’enfants Sotto Voce /Renegades Steel Band Orchestra /Sexamor / La mesure des choses /Peines d’amour perdues / Gradus adMusicam / Motion Trio / La fabbrica /Vladimir Chevel et Dimitri Naïditch /Antigone - monologue clownesque /Stille Nacht / Les yeux pour / Agnès 68/ La prose du Transsibérien et de lapetite Jeanne de France / La maladiede la mort / Mustapha MB / L’Epicycle/ Nathan Braude, Michel Lethiec etFerenc Vizi / Wade Quartet

Chœur d’enfants Sotto Voce /Renegades Steel Band Orchestra /Sexamor Peines d’amour perdues /Gradus ad Musicam / Motion Trio / Lafabbrica / Vladimir Chevel et DimitriNaïditch / Antigone - monologueclownesque / Stille Nacht / Agnès 68 /La prose du Transsibérien et de lapetite Jeanne de France / La maladiede la mort / Mustapha MB / NathanBraude, Michel Lethiec et Ferenc Vizi/ Wade Quartet

tarif normal : 130€

tarif groupe : 104€

tarif réduit : 65€

2théâtre + musiquestarif normal : 120€



3théâtre + classique + cirque

Chœur d’enfants Sotto Voce /Sexamor / La mesure des choses /Peines d’amour perdues / Gradus adMusicam / La fabbrica / VladimirChevel et Dimitri Naïditch / Antigone -monologue clownesque / Stille Nacht/ Les yeux pour / Agnès 68 / La prosedu Transsibérien et de la petiteJeanne de France / La maladie de lamort / L’Epicycle / Nathan Braude,Michel Lethiec et Ferenc Vizi




6théâtre + découvertes

Renegades Steel Band Orchestra /Sexamor / Peines d’amour perdues /Motion Trio / La fabbrica / Antigone -monologue clownesque / Stille Nacht/ Agnès 68 / La prose du Transsibérienet de la petite Jeanne de France / Lamaladie de la mort / Mustapha MB /Wade Quartet




7musiques + cirque

Chœur d’enfants Sotto Voce /Renegades Steel Band Orchestra / Lamesure des choses / Gradus adMusicam / Motion Trio / VladimirChevel et Dimitri Naïditch / Les yeuxpour / Mustapha MB / L’Epicycle /Nathan Braude, Michel Lethiec etFerenc Vizi / Wade Quartet




8théâtre + cirque

Sexamor / La mesure des choses /Peines d’amour perdues / La fabbrica/ Antigone - monologue clownesque /Stille Nacht / Les yeux pour / Agnès 68/ La prose du Transsibérien et de lapetite Jeanne de France / La maladiede la mort / L’Epicycle




9musiques

Chœur d’enfants Sotto Voce /Renegades Steel Band Orchestra /Gradus ad Musicam / Motion Trio /Vladimir Chevel et Dimitri Naïditch /Mustapha MB / Nathan Braude, MichelLethiec et Ferenc Vizi / Wade Quartet




10théâtre

Sexamor / Peines d’amour perdues /La fabbrica / Antigone - monologueclownesque / Stille Nacht / Agnès 68 /La prose du Transsibérien et de lapetite Jeanne de France / La maladiede la mort




11classique + cirque

Chœur d’enfants Sotto Voce / Lamesure des choses / Gradus adMusicam / Vladimir Chevel et DimitriNaïditch / Les yeux pour / L’Epicycle /Nathan Braude, Michel Lethiec etFerenc Vizi




12découvertes + cirque

Renegades Steel Band Orchestra / Lamesure des choses / Motion Trio / Lesyeux pour / Mustapha MB / L’Epicycle/ Wade Quartet




13classique

Chœur d’enfants Sotto Voce / Gradusad Musicam / Vladimir Chevel etDimitri Naïditch / Nathan Braude,Michel Lethiec et Ferenc Vizi




14découvertes

Renegades Steel Band Orchestra /Motion Trio / Mustapha MB / WadeQuartet




15cirque

La mesure des choses / Les yeux pour/ L’Epicycle




4théâtre + découvertes + cirque

Renegades Steel Band Orchestra /Sexamor / La mesure des choses /Peines d’amour perdues / Motion Trio/ La fabbrica / Antigone - monologueclownesque / Stille Nacht / Les yeuxpour / Agnès 68 / La prose duTranssibérien et de la petite Jeannede France / La maladie de la mort /Mustapha MB / L’Epicycle / WadeQuartet




5théâtre + classique

Chœur d’enfants Sotto Voce /Sexamor / Peines d’amour perdues /Gradus ad Musicam / La fabbrica /Vladimir Chevel et Dimitri Naïditch /Antigone - monologue clownesque /Stille Nacht / Agnès 68 / La prose duTranssibérien et de la petite Jeannede France / La maladie de la mort /Nathan Braude, Michel Lethiec etFerenc Vizi




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formules d’abonnement

Comment réserver ou s’abonner ?au théâtre, du lundi au vendredi, de 9h à 19hsans interruption, 1 place du marché couvertVerdun (entrée des artistes)par téléphone au 03 29 86 10 10par courrier à Tranversales BP 60250 - 55106Verdun cedexpar courriel :[email protected]

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