Lettre de l’animation pastorale 2nd

degré – Mai 2016 - DEC - Service de pastorale scolaire de Vendée - N°24

A l’attention des chefs d’établissement 2

nd degré

des adjoints/animateurs en pastorale scolaire des équipes d’animation pastorale des professeurs, personnels, catéchistes, parents accompagnateurs des prêtres référents

Service de pastorale scolaire

Animation pastorale 2nd degré

Pasto’Lien N°24

Sommaire :

Évènements de la pastorale

diocésaine

● 700ème

anniversaire du diocèse

Formation initiale et continue ● D.U Animation en pastorale scolaire

Écho de la vie pastorale des établissements Sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle

● Collège Saint-Nicolas de Tiffauges et collège Jean Yole

● Collège Notre-Dame de Bourgenay

Collège Saint-Jacques la Forêt

Documents – Ressources

● Initiales, Ecclésia, l’1visible ● Outils « Apprendre à Être » ● Stage « Jeunes organistes »

Textes – Prières

Textes à

Le temps pascal est celui de l’annonce de Jésus ressuscité. Nous

nous y sommes habitués. Depuis 2000 ans, si la résurrection avait

révolutionné le monde, cela se saurait. Oui, celui qui croit davantage à la

magie qu’au lent travail de la germination, celui qui a l’habitude de penser

et d’agir seul, celui qui ferme les yeux à la réalité du Mal et de son emprise,

celui-là aura bien des difficultés à entrer dans la foi. Par contre, celui qui

s’est laissé surprendre par la grâce de Dieu advenant dans le respect du

désir de l’homme, avec sa collaboration et sa volonté de conversion, celui

qui a mesuré le risque de Dieu à s’incarner dans un village perdu de Galilée

en pays occupé, au sein d’un peuple certes choisi, mais « à la nuque raide

et au cœur endurci », celui qui a contemplé le Fils de l’homme au milieu

des hommes les conduisant à son Père, les sauvant, sollicitant leur foi,

celui-là s’ouvrira à l’impossible en ce monde, au possible de Dieu. Il faut

avoir vu mourir Jésus Christ pour accueillir sa résurrection. Il faut croire en

sa résurrection pour être associé à son combat contre le Mal.

Dans la résurrection de Jésus, Dieu nous dévoile encore une fois ce

qu’Il est. Avez-vous pris le temps de lire ou d’écouter la rencontre de Jésus

avec Marie de Magdala tout en pleurs au seuil d’un tombeau dont elle ne

comprend pas qu’il soit vide ? Un mot suffit : « Marie », pour qu’elle se

laisse saisir dans l’inouïe d’une relation à nouveau possible, de la disciple à

son Seigneur bien-aimé. Vous êtes-vous tenu près de Thomas quand il

demande à voir, à toucher les blessures du crucifié, le soi-disant visiteur du

soir ? Ce n’est pas qu’il doute, c’est plutôt qu’il voudrait bien y croire, il

demande à rencontrer le Ressuscité, jusqu’à en toucher la chair. « Avance

ici ton doigt, et regarde mes mains ; avance aussi ta main, et mets-la dans

mon côté. » Le corps glorifié, le corps blessé, le corps enfin reconnu dans

l’unité de l’être, le corps aimant pour toujours. Et puis avez-vous rejoint les

disciples sur le lac ? Ils sont à la pêche dans un bateau et voilà qu’un

homme les appelle du rivage. Il leur indique où jeter les filets et la pêche

devient grandiose. Le disciple bien-aimé reconnaît le Christ ressuscité, lui

qui les attend pour le repas, lui qui appelle à la mission le pécheur repenti.

Nous demandons l’Esprit Saint pour notre mission d’éducateur

auprès des enfants et des jeunes. Nous le demandons pour la collaboration

entre adultes au sein de l’établissement. Nous le demandons pour les

relations humaines de chaque jour, qu’elles soient vraies, simples et

profondes. Nous le demandons pour annoncer l’Évangile du Christ plus

grand, plus saint, plus vivant que nous. Nous le demandons pour le

transmettre. Qu’il vous soit donné de le reconnaître : feu intérieur, souffle,

élan, audace, service ! Bon courage jusqu’à l’été !

Édito du P. Jean BONDU, Aumônier de l’Enseignement catholique de Vendée.

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1 – Évènements de la pastorale diocésaine

Le diocèse de Luçon fête le 7ème centenaire de sa création (1317-2017). Ouverture du jubilé diocésain à

Luçon le 27 novembre 2016 (1er dimanche de l’Avent) et clôture liturgique du jubilé le 26 novembre 2017

(fête du Christ-Roi). Ce projet a pour but de :

- Créer une dynamique diocésaine (un partenariat Enseignement catholique et pastorale jeunes) autour de :

Je suis, tu es, il ou elle était, nous sommes… des témoins du Christ en Vendée depuis 700 ans.

- Aider à comprendre ce qu’est un diocèse, un évêque et l’histoire du diocèse en Vendée.

- Découvrir les églises locales.

- Découvrir les grands fondateurs (saint Hilaire, saint Philbert, saint Henri Dorie,

saint Louis-Marie Grignion de Montfort etc.)

- Vivre en témoins missionnaires (Église vivante aujourd’hui, des témoins à

l’œuvre aujourd’hui, des acteurs convaincus et convaincants) ; « une Église

missionnaire hier et aujourd’hui ».

Pour permettre à chacun de vivre ce projet dans les établissements l’an prochain et

au cours d’un grand rassemblement (date diffusée ultérieurement), nous proposons

l’élaboration d’une mallette pédagogique à partir de documents ou d’initiatives déjà

vécues par le passé dans les établissements en lien avec les différents points listés

dans les objectifs ci-dessus. Merci de renvoyer, dès que possible ces documents

ou projets à Catherine Bibé avant le 31 mai 2016…

2 – Formation initiale et continue des acteurs en pastorale

Le calendrier de formation pour l'année 2016 - 2017 n'est pas déjà disponible mais pour donner le goût de la formation, voici un lien qui la présente et annonce que les axes 1 & 3 seront au programme de l'année à venir http://www.ifeap.fr/Actualites/des-animateurs-en-pastorale-scolaire-en-formation-universitaire

3 – Écho de la vie pastorale des établissements

Sur les chemins de Saint-Jacques… J’y étais…

Collège Saint-Nicolas de Tiffauges et collège Jean Yole des Herbiers…Ultreïa ! …

Ah ! Le chemin de Compostelle, ils en rêvaient depuis quelques

mois déjà lorsqu’ils sont montés dans les bus en ce petit matin des

vacances du printemps 2016 !

Les sacs sont bouclés avec la coquille fixée dessus, les bâtons de

marche sont taillés et prêts à en découdre avec ce chemin de

légende, les pieds piétinent d’une impatience légèrement teintée

d’angoisse … Serai-je à la hauteur de ce défi ? Marcher quelques 25

kilomètres chaque jour, pendant une dizaine de jours consécutifs,

n’est pas tout à fait anodin !

Aussi depuis le mois d’octobre le projet se prépare : marches

d’entraînement, temps de réflexion et d’approfondissement de

l’élan originel et de l’enthousiasme du départ, activités manuelles

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pour décorer coquilles et bâtons, préparation des équipes pour assurer l’intendance quotidienne, récapitulatif du

matériel à prévoir … On ne s’improvise pas ainsi pèlerin ! Quel meilleur fil rouge pour une pastorale d’année scolaire

et des jeunes de 4ème et de 3ème qui ont besoin d’idéal et de joindre l’action à la réflexion ? C’est depuis Conques que

nous nous élançons, là où nous avions terminé le chemin deux ans plus tôt avec un autre groupe de jeunes. La veille

nous avons partagé la célébration des complies avec les pères Prémontrés, la bénédiction des pèlerins et un temps de

méditation accompagné par l’orgue de l’abbatiale. Le ton est donné ! Lire la suite…

Collège Amiral Merveilleux du Vignaux et collège Notre-Dame de Bourgenay « Nous sommes partis du 4 au 10 avril sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle entre le Puy-en-Velay et

Saint-Chelly-d’Aubrac, sans trop savoir ce que nous allions trouver … » : alors pourquoi marcher ?

La marche ensemble nous a permis de

revenir à l’essentiel : l’émerveillement de

la nature,

la découverte de l’autre, le bonheur

d’être soi, tout simplement.

Pas de technologie, pas de virtuel, juste

des paroles et la présence de l’autre.

Prendre son temps nous a rendus

disponibles à l’ouverture du cœur et de

l’esprit.

Marcher pour laisser derrière nous ce

qu’on connaît, ce qu’on maîtrise, … pour

aller vers l’inconnu.

Pour découvrir ses priorités, ses qualités,

ses défauts et se parler en vérité, sans

technologie venant perturber le message …

140 km d’efforts pour se construire une belle paix intérieure.

Bravo à tous nos jeunes pèlerins : Enzo, Rémi et Lubin (NDB), Elise et Chloé, (AMV), Jeanne, Henri, Pierre et Jean

(AEP) … et au moins jeunes. Que saint Jacques nous accompagne tous sur nos chemins de vie !

André Gallot, Fred Beaucé, Loïc Prugnières et Bérangère.

Collège Saint-Joseph de Chantonnay du 6 au 14 avril 2016

Depuis plusieurs mois, 9 jeunes confirmés du collège Saint Joseph se retrouvaient chaque vendredi pour se

préparer à partir sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. Cette aventure leur a été proposée durant leur

parcours confirmation dans le but de leur montrer que tout ne s’arrête pas le jour de la confirmation mais que le

chemin continue…

De longs mois de rencontres, de préparation matérielle et

physique, de cheminement aussi pour arriver à ce jour du

mercredi 6 avril dernier. Beaucoup d’excitation, de craintes

et d’inconnues surtout…

Tout le monde est prêt, les parents sont là aussi pour

accompagner leurs jeunes, une relation de confiance s’est

instaurée entre eux et l’équipe d’accompagnement, ils ont

participé aux recherches de donateurs et ont été actifs

jusqu’au bout. Lire la suite…

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4 – Documents – Ressources en pastorale

Initiales n°241 : Souffrir pour quoi, pour qui ?

Le numéro d'Initiales (n°241) de mars 2016 porte sur le thème : Souffrir pour quoi, pour

qui ? La question de la souffrance interpelle aujourd’hui de manière très forte car devant

tous les moyens scientifiques mis à notre disposition, elle est de moins en moins acceptée.

Les jeunes sont confrontés à leur propre souffrance et aussi à celle des autres. Les

accompagnateurs n’ont pas de réponse à apporter et sont souvent démunis. Pourquoi moi,

que fait Dieu, faut-il souffrir pour suivre Jésus, qu’est-ce que cela veut dire de porter sa

croix ? Ces interrogations sont récurrentes. Comment alors accompagner ces situations

d’épreuves, comment aider à les dépasser, quelle place pour le sacrement des malades

souvent méconnu des plus jeunes ? L’espérance chrétienne permet une parole. Encore

faut-il qu’elle soit « entendable » et qu’elle puisse rejoindre chacun dans le désert où il se

trouve à ce moment-là. « Heureux ceux qui pleurent, ils seront consolés » Mt 5, 4

Le goût de la miséricorde

Si la miséricorde est le nom de Dieu, la catéchèse et le catéchuménat ne peuvent passer à

côté de cette révélation. De nombreux textes bibliques y introduisent ceux qui les lisent, les

étudient et les méditent. Cependant, il ne suffit pas d'approfondir ce qu'est la miséricorde,

encore faut-il en faire l'expérience et la goûter à travers les sacrements, l'action et la

conversion des personnes et des communautés. Cette année sainte amorce un mouvement

qui n'aura pas de fin. Bonne lecture !

L’1visible n° 67 de février 2016

Un numéro sur le pardon à mettre à disposition des lycéens et des adultes de nos communautés éducatives. Vous y découvrirez un échange avec le pape François, qui a plus de quinze millions de « followers » sur son compte

twitter, des articles sur miséricorde et justice, sur le pardon, sur ses demandes dans la prière. « Au soir de notre vie,

nous serons jugés sur l’amour » (saint Jean de la Croix)

Des clés pour pardonner, des témoignages forts sur le pardon vous permettront d’initier des débats : « Si je ne

pardonne pas, je souffre et garde mes plaies ouvertes… » ; « Mets ce pardon en moi, moi je ne peux pas »

Le débat habituel avec Lili Sans-Gêne a pour thème : Dieu peut-il aimer tout le monde ? C’est le père Nicolas Buttet

qui répond à ses questions. « L’amour respecte la liberté jusqu’à l’horreur. Et l’horreur, Dieu l’a assumée. Ce fut la

croix. »

Un site Web à consulter : www.pourlamisericordedivine.org « une invitation à la confiance »

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Outils « Apprendre à Être »

Nous vous proposons cette année encore une commande groupée DEC

pour l’acquisition d'outils « Apprendre à Être », des Éditions Paroles de Sagesse :

Calendriers "Apprendre à Être", Kits "Anti-harcèlement" (informations complémentaires dans le document joint).

Pour cela, merci de compléter le formulaire ci-joint, avant le 10 juin.

Rendez-vous sur le site de la Pastorale

Scolaire pour mieux comprendre ce qu’est le

projet « Apprendre à Être » des Éditions

Paroles de Sagesse développé en partenariat

avec le SGEC.

Stage « Jeunes organistes »

Ci-joint le tract d'inscription au stage :

"Jeunes organistes" (9-18 ans)

qui aura lieu

du 8 au 14 juillet 2016 au lycée St François d'Assise (site Victor Hugo) à La Roche Sur Yon

Date limite d’inscription : 1er juin 2016

Pèlerinage des ados à LOURDES pour les 13-15 ans

du 23 au 27 juillet 2016 Téléchargez le tract en cliquant sur l’image Date limite d’inscription : 3 juin 2016

5 – Éducation et Miséricorde (à partir des propos de François Moog)

Cliquer pour

télécharger le tract

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Le pape François invite toute l’Église à redécouvrir le visage miséricordieux de Dieu. Une telle invitation nous

concerne aussi. Au service du présent et de l’avenir de chacun, qu’est-ce qu’une école catholique qui ouvre des

« Portes saintes » ?

L’expression « Jubilé de la Miséricorde » reste pour beaucoup de personnes une notion complexe qualifiée par un

vocabulaire désuet. Le risque serait de faire de la Miséricorde un slogan ou un thème d’année car elle est une

vertu, une disposition, un « attribut de Dieu ».

Sans cette miséricorde, une école peut-être « tant bonne » que « catholique » ; lorsqu’elle accompagne tous les

élèves et soutient les progrès d’apprentissages, qu’elle se préoccupe de la formation des enseignants entre eux,

qu’elle partage des rôles et des responsabilités, qu’elle s’intéresse au suivi des élèves de très près et à leur devenir,

qu’elle progresse ensemble et se focalise sur la réussite de chaque élève.

Une école qui revêt le visage de la miséricorde c’est une école qui pratique la miséricorde et qui l’enseigne (à la

fois prédication et engagement) ; que l’annonce de l’Evangile soit fidèle aux paroles du Christ et visible dans les

réponses de foi que les chrétiens sont amenés à donner par leur témoignage ; « que celui qui pratique la

miséricorde ait le sourire » (RM 12, 8) ; que ce soit une communication qui produit des faits et qui change la vie ;

que la miséricorde divine et le pardon dépasse la justice humaine.

Une école qui pratique la miséricorde et qui redécouvre ses œuvres : la proximité, la rencontre, la patience, la

fraternité, le service du prochain, l’Amour, la fidélité au Christ etc. Une école fondée sur ces œuvres de miséricorde

qui peuvent transformer la vie de l’école. Une éducation intégrale qui implique un apprentissage de la miséricorde,

qui éduque le cœur et qui pénètre jusqu’aux entrailles (quoi faire ? avec sa colère, ses peurs, pardonner et se

pardonner mais aussi recevoir le pardon…)

Une école qui enseigne la miséricorde en habituant les jeunes aux récits de l’Évangile, aux paraboles. En dialoguant

avec eux et, surtout, en leur faisant faire l’expérience de la miséricorde. En leur faisant comprendre que, dans la

vie, on peut se tromper, mais que l’important est de toujours se relever. En développant « l’écoute » de l’autre. En

cherchant à vivre toujours plus de relations de proximité entre chaque personne. En permettant à ceux qui le

désirent de vivre ou d’entrer dans une démarche de pardon. En distinguant l’acte de la personne et en l’élevant au

nom de la miséricorde de Dieu. En ayant un regard bienveillant, accueillant, un regard qui fait grandir l’autre.

Comment outrepasser la justice pour conduire à la miséricorde ? En donnant la parole, en développant les

dispositifs de médiation, d’analyse de pratique professionnelle. En accompagnant les communautés éducatives

dans leurs fondements, dans leurs pratiques. Dans l’évaluation des élèves et la mise en œuvre du règlement

intérieur.

Le temps de la miséricorde

La miséricorde, qui représente pour moi le message de Jésus, a pris, peu à peu, une place

de plus en plus centrale dans ma vie de prêtre ; elle est le fruit de mon expérience de

confesseur, de toutes les expériences, belles et positives, que j’ai connues. » Ce qui fait

défaut [dans le monde d’aujourd’hui], c’est l’expérience concrète de la miséricorde. La

fragilité des temps où nous vivons, c’est aussi cela : croire qu’il n’existe aucune possibilité

de rachat, une main qui t’aide à te relever, une étreinte qui te sauve, te pardonne, te

soulage, t’inonde d’un amour infini, patient, indulgent, et te permet de reprendre la

route. Nous avons besoin de miséricorde.

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6 – Prière (d’Yves Chamberland)

Comment aimer comme toi ? Seigneur Jésus, ta gloire et celle de ton Père sont étroitement liées, mais c’est sur la croix qu’elles le sont. Sur la croix, tu nous montres le vrai visage de Dieu : Un Dieu d’amour et de miséricorde. Seigneur Jésus, tu nous demandes d’aimer à notre tour. De nous aimer les uns les autres comme tu nous a aimés. Tu en fais même un commandement. Comment aimer comme toi, autant que toi ? Comment aimer sans compter, jusqu’au bout ? Comment pardonner même à mes ennemis ? Comment être miséricordieux comme ton Père ? Seigneur Jésus, nous avons besoin de la force de ton Esprit. Grâce à lui, nous pourrons faire toutes choses nouvelles. Avec lui, nous grandirons dans l’amour. C’est lui qui fera que nous serons reconnus comme tes disciples, à l’amour que nous aurons les uns pour les autres.

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