Thibaut bertet portfolio architecture 2015

THIBAUT BERTET PORTFOLIO ARCHITECTURE 2015

refuge, un logement idéalautour

tanière, une maison individuelle

60 logements sociaux, une halle de marché et un squareentre

atlas metropolitain - relief

terminaison danse, un conservatoire de danse et de musique

en d’autres thermes

cabane urbaine

Les portes du port, de sol en solsol

cv

europan 11, par la gran via

abstraction constructive : le plein et le vide, autour du parcours d’un musée

un salon en ville, tous grands ensemble

caserne publique

[sommaire]


Un logement idéal. Travail sur le raumplan, comment l’intimité peut elle être percue avec un minimum de cloisonnement? Le plan s’organise autour d’un unique meuble central qui acceuille l’ensemble des usages du logement.Condenser les services dans une partie de l’habitat afin de libérer un maximum l’espace de vie. Il y a la création de diagonales qui permettent une perception plus importante de l’espace. Un escalier étroit mène à un espace supplémentaire, un lieu. Ponctué d’une lumière unique et logé dans les hauteurs du logement, cet endroit devient un lieu d’élévation, de savoir, de repos.

2008 S3 ENSAM F. Rambert

Refuge, un logement idéal

ex nihilo

autour02

01- photographie de maquette 1/50 sur l’espace perché.

02- coupe et élévation de la façade principale, les espaces sont différen-tiés par des changements altimé-triques.

03- plan, les différents espaces sont délimités par un unique meuble.01

02

03SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS

DESCRIPTION

PROJECT NO:

MODEL FILE:

DRAWN BY:

CHK'D BY:

COPYRIGHT

MARK DATE

SHEET 1 OF 8

A-1

#File

Pat

h

#Client

#Street#City, #State/Country #Post

Layout

#Project Name

SCALE: 3" = 1'-0"11st FLOOR

Les Goudes, fin de Marseille, portent les traces des différents usages du littoral marseillais. Ce projet étudie un objet marquant de la constitution historique de cette côte. Les bunkers bénéficient d’une image négative de la population. Le projet se nourrit de leur typologie et des usages qu’ils proposent. L’édifice s’insert dans une dent creuse entre la voie principale et les quais du port. Il profite ainsi de la topographie existante pour laisser le sol libre depuis la voie principale et redonner cet espace à la ville. Un belvédère est ainsi créé, offrant une vue sur le port jusque là inexistante. La volumétrie du projet rend compte de sa massivité, les murs périphérique définissent une enveloppe capable laissé libre. L’intérieur s’organise autour d’un unique meuble qui se plie pour délimiter les différents espaces du logement et offrir l’ensemble des usages requis.

01- plan de situation et relevé quanti-tatif des constructions militaires sur le périmètre du port des Goudes.

02- coupe sur le rapport à la route et au port.

03 et 05- maquette de situation, 1/1000. maquette d’insertion mon-trant le rapport à l’espace public de la voie principale et du port, 1/200.

04- plan, un unique meuble découpe la volumétrie en différents espaces.01


Tanière, une maison individuelle

les goudes, marseille

autour04

02 03

SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS

DESCRIPTION

PROJECT NO:

MODEL FILE:

DRAWN BY:

CHK'D BY:

COPYRIGHT

MARKDATE

SHEET 1OF 8

A-1 #File Path

#Client


Layout

#Project Name

SCALE: 3" = 1'-0" 11st FLOOR

05

04

SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS

DESCRIPTION

PROJECT NO:

MODEL FILE:

DRAWN BY:

CHK'D BY:

COPYRIGHT

MARKDATE

SHEET 1OF 8

A-1

#File Path

#Client

#Street

#City, #State/Country #Post

Layout

#Project Name

SCALE: 3" = 1'-0" 11st FLOOR

Cerné entre le MUCEM, le Fort St Jean, le Pharo, la Major et Pouillon, le site du J4 est un lieu marseillais à forte teneur symbolique. Le projet vient se placer entre cette série de monuments. Un travail sur le dessin du quai dans la continuité de celui effectué par Ricciotti, per-met une mise à distance du MUCEM.Il s’agit d’une conception des thermes qui s’éloigne de la vision habituelle d’un tel lieu : renfermé, sombre, intime,… En effet, le bâtiment s’inscrit comme une vitrine derrière laquelle l’activité se ressent et où les usagers défilent. C’est suivi d’un travail de mise à distance de l’usager et de l’espace public pour respecter l’intimité de chacun.Le parcours s’organise autour d’un épais mur en béton qui contrevente le bâtiment et sépare les différents bassins.Le rapport à l’eau est aussi très présent entre les bassins des thermes situés en hau-teur, et le poids de ces bassins est ressenti par les personnes qui viennent s’asseoir au bar : la terrasse du bar vient se pincer entre l’eau des bassins et l’eau de la mer.


En d’autres thermes

J4, marseille

autour06

01

02

01- maquette d’étude des usages et des délacements sur le site.

02- séquence dans le parcours du batiment.

03- élévation depuis l’esplanade du J4 et faisant face au futur MUCEM.

04- plan masse, rapport à la digue et aux cheminements sur le site concer-vant les usages existants.

03

SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS

DESCRIPTION

PROJECT NO:

MODEL FILE:

DRAWN BY:

CHK'D BY:

COPYRIGHT

MARK

DATE

SHEET 1

OF 8

A-1

#File

Pat

h

#Client

#Street

#City, #State/Country #Post

Layout

#Project Name

SCALE: 3" = 1'-0"

11st FLO

OR 04

Après avoir fixé le cadre qui limite notre territoire d’observation, nous l’avons décomposé en cartes thématiques successives afin d’en comprendre les particularités. Cette représentation cartographique du territoire est pré-cise et objective. Après cette reconnaissance première, vient la mise en place d’une représentation subjective du territoire se traduisant par une « carte de synthèse ». Cet outil nous a permis de construire un regard qui interroge le territoire.J’ai personnellement continué ce travail pendant un mois au sein du CAUE13.

La thématique choisie, le relief, oriente notre regard et permet d’inscrire le tra-vail de documentation photographique dans une double dimension. D’abord, à la grande échelle, par conscience du territoire métropolitain et de ses compo-santes et ensuite l’arpentage des lieux traversés par les itinéraires qui produit un relevé photographique des situations rencontrées. En s’inscrivant dans la continuité du travail cartographique, nous avons inscrit notre pratique photo-graphique dans une connaissance mentale préalable du territoire qui a instruit notre regard.

Ce projet se construit en connivence avec Marseille Provence -2013 (capitale européenne de la culture) et le partenariat du CAUE13 (Conseil en Architecture Urbanisme Environnement de Bouches-du-Rhône).

2011 S8 ENSAM L. Hodebert, A. Field, E. Pinard / travail avec J.Pinard et C. Castelli

Atlas métropolitain - relief

marseille métropole

autour10

01

02

01- carte objective représentatrice du relief du territoire de la métropole marseillaise.

02- installation du rendu photo-graphique. On voit en fond le mont puget , un élément important dans la constitution de ce territoire.

03- schéma préparatif de la mise en place de l’installation. Chaque pho-tographie est placée à une hauteur proportionnelle à l’altitude du som-met représenté.

04- carte objective qui met en avant l’organisation de la métropole autour des principales accentuations du relief.

05- carte de synthèse, le territoire est représenté comme un archipel constitué de multiples îles auto-nomes autour desquelles s’organise un système distributif donnant accès aux quelques points d’ancrage.

03

04

05

06

07

08

09

06- massif de l’étoile

07- montagne sainte victoire

08- regagnas

09- carpiagne

10- garlaban

11- montmorin

10

11

Le bâtiment vient se positionner pour redonner place à la place du quatre septembre et l’étirer jusqu’à l’imposant bâtiment aux multiples fonctions présent sur le site: le Saint George et son église pour lui donner un parvis. Ce travail se concrétise par un redessin des sols et de la voirie pour lier les deux parcelles, offrant ainsi un dégagement, un recul dans l’espace public pour les bâtiments.L’espace public vient glisser sous le bâtiment pour devenir square. Le square est une masse végétale dont la canopée supporte le bâtiment. La confrontation entre le square, espace public et le privatif, se résoud par un travail de mise à distance : le socle qui vient s’avancer dans le square, la densité de la végétation et la mise en place d’épaisses coursives coté square.Le marché investi le square par de possibles pratiques extérieures. Il permet ainsi une porosité entre la rue et le square. Le marché est lui aussi très ouvert sur la rue, le quartier et se construit grâce à des épaisseurs qui acceuillent les stands. Le toit terrasse supérieur reçoit une série de logements, les plus grands : un espace extérieur privatif est offert aux familles les plus nombreuses. Le second toit propose un espace communautaire à l’ensemble des locataires. Le bâtiment fait l’éloge de «l’architecture pour une vie en communauté» allant jusqu’à chercher des références dans des projets expérimentaux tel que le Narkomfinde Guinzbourg à Moscou. Le bâtiment tente de jouer le rôle de «condensateur social» en donnant la priorité aux espaces communs pour favoriser la rencontre. De larges coursives et des usages associés aux pratiques du toit sont mises en place.Le logement vient creuser ses parties humides dans une épaisseur recevant les fonc-tions techniques du bâtiment.La figure permet d’éviter tout vis-a-vis entre les logements environnants, il y a donc un choix de venir installer des logements qui se tournent uniquement sur les trois vues choisies : la place du quatre septembre, le square et la mer.

2009 S5 ENSAM F. Brugel

60 logements collectifs, une halle de marché et un square

place du 4 septembre, marseille

entre14

01

02

01- croquis depuis la place vers le square.

02- maquettes concept, formelle et de volumétrie.

03- coupe et coupe facade, un dé-gagement pour redonner légitimité à la place du 4 septembre, le projet s’inscrit dans des gabarits urbains existants et des dipsositifs de mise à distance entre le square et les loge-ments sont mis en place.

04- plan masse.

03

SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS

DESCRIPTIONPROJECT NO:MODEL FILE:DRAWN BY:CHK'D BY:COPYRIGHT

MARK DATE

SHEET 1

OF 8

A-1

#File

Pat

h #Client


Layout

#Project Name

SCALE: 3" = 1'-0"

1 1st FLOOR

04

05

06

05 et 06- maquette, plan et coupe d’une cellule et de l’espace com-mun surdimensionné, l’accent est mis sur les lieux de rencontres et de partages. Un épais mur sépare les parties communes des parties privées est creusé pour acceuillir l’ensemble des besoins techniques du logement.07- plan de sol, la place du 4 sep-tembre est étirée pour dessiner le parc et le marché.

LAVERIE

A

A

B

B

C

D

D

E F

E F

COUPE FF

LAVERIE

A

A

B

B

C

D

D

E F

E F

COUPE FF

LAVERIE

A

A

B

B

C

D

D

E F

E F

COUPE FF

SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS


MARK DATE

SHEET 1

OF 8

A-1

#File

Pat

h #Client


Layout

#Project Name

SCALE: 3" = 1'-0"

1 1st FLOOR

07

Un conservatoire de danse et de musique en terminaison de la Canebière. Symbole marseillais. Le projet recherche une compacité maximum. Pression du site. Seul vide du projet : une cour en hauteur. C’est autour de cette cour traversante, créant un lien visuel entre le cœur d’ilot et la ville, que le conservatoire s’installe. Les distributions sont repoussées en périphérie, le projet devient alors introverti. La bulle savante. Un soubassement surélève la totalité de l’école. Il accueille les parties du programme recevant du public, mettant en relation le bâtiment avec la ville. Le bâtiment vient construire de la ville, une accroche à l’urbain très forte, en terme de gabarits, de rapports aux hauteurs et de recherches de terminaison de l’ilot. Un travail sur la neutralité des espaces a été important. Salles de danses et salle de spectacles sont alors appropriables, vierges, avec un maximum de services repous-sés en extrémité. L’ architecture s’efface au service de l’art et de la création.

2009 S6 ENSAM F. Brugel

Terminaison danse, un conservatoire de danse et de musique

la cannebière, marseille

entre18

01

02

01- maquette de concept.

02- maquettes programatiques et volumétriques.

03- coupe de situation sur le rapport à l’église .

04- plan masse, le projet vient en terminaison de l’ilot, les alignements sont respectés et un parvis pouvant acceuillir différentes manifestations est créé.

03

04SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS


MARK DATE

SHEET 1

OF 8

A-1

#File

Pat

h #Client


Layout

#Project Name

SCALE: 3" = 1'-0"

1 1st FLOOR

06

0805

05- plan des salles de musique et de danse avec un travail sur la neutralité des espaces, la lumière par reflexion et la couleur (cf. 13).

06- plan sur la cour de l’école, lieu de rencontres entre les différents pra-ticiens.

07- le rdc du conservatoire acceuille les parties publiques du programme. Une rue transversale est créée.

08- schémas de principes des plans de niveaux et de la coupe.

09- facade sur la Cannebière, les gabarits s’alignent sur les batiments existants et la salle de spectacle sort du soubassement.

10- coupe perspective sur la cour et la salle de spectacle.

coupe perspective

10

09

07SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS


MARK DATE

SHEET 1

OF 8

A-1

#File

Pat

h #Client


Layout

#Project Name

SCALE: 3" = 1'-0"

1 1st FLOOR

11- croquis depuis la cour regardant la cathédrale par la faille.

12- coupe sur la rue créée.

13- maquette et peinture de re-cherche sur la lumière et la couleur.

14- insertion du projet, vue depuis le boulevard gambetta regardant la cathédrale.

11

12

plan de solSHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS


MARK DATE

SHEET 1

OF 8

A-1

#File

Pat

h #Client


Layout

#Project Name

SCALE: 3" = 1'-0"

1 1st FLOOR

14

13

Comment faire vivre 4 à 6 personnes dans un édifice de 15 à 20 m2? Le pro-jet tente de mettre en avant la vie en collectivité. Comment donner un véritable lieu de rencontre malgré ces contraintes? Afin de répondre à cette question, très vite l’édifice est devenu le contenant de ce lieu de vie. La proposition est un «édifice - mur» qui viendrait marquer les limites d’une pièce centrale extérieure. Le travail du mur, qui peut se déployer, se déformer pour délimiter, permet aussi de mettre en avant l’envi-ronnement dans lequel il s’installe. Il se déforme pour pointer un évenement dans le site, il vient cadrer les deux mondes qu’il sépare et, l’horizontale qu’il installe révèle la nature qui l’entoure.On trouve une réflexion sur l’image de la maison : l’ensemble des «pièces» d’une maison sont présentes notamment une entrée. Ce qui explique aussi l’inclinaison du toit qui permet ainsi de réorienter le bâtiment vers une «intériorité».


Cabane urbaine

la ville, l’école

entre24

01

02

01- en ville, le projet pourrait prendre l’apparence d’une forme déjà très largement présente.

02- OFFICE Kersten Geers David Van Severens, aftrer the party, pa-villon belge pour la biennale d’archi-tecture de venice 2008, ambiance.

03- schémas de principes d’implan-tations.

04- insertion du projet à l’ENSAM, un projet de l’atelier sera retenu pour y être construit.

03

04

2011-2012

Si l’étendue du port autonome de Marseille/Fos demeure considérable, représentant près de 40 km de côte ; sa lisibilité reste difficile. Cette zone industrielle vient ponctuellement cohabiter avec la ville que ce soit à Marseille, Fos, Martigues, ou Port st Louis. Ainsi, se côtoient quotidiennement flux industriel et privé. De plus, le port est en perpétuel mouvement, avec ses nombreux projets d’extension comme « Distriport » ou « Fos 3XL ». À cela s’ajoute la partition du port en deux séquences radicalement différentes sur Marseille et Fos sur mer, séparées par 70 km. Il s’agit d’autant d’éléments qui viennent créer une confusion et des limites difficile-ment perceptibles.L’objectif principal est donc d’annoncer, de signaler le port, pour permettre une lec-ture plus aisée de ce territoire. Le projet ne présente pas un continuum linéairequi viendrait délimiter l’étendue du port, celui-ci se perçoit au moyen de signaux à l’expression unitaire qui viennent marquer les entrées du port. Que ce soit à Fos ou à Marseille le territoire est parsemé d’éléments verticaux à l’image des grues, des pylônes électriques, des cheminées de sidérurgie, des tours… Face à ce paysage marqué par ces points de repère, les signaux doivent pouvoir s’imposer différemment. Ils viennent alors se poser en contraste, selon un plan horizontal. Il s’agit de créer une nouvelle séquence dans le paysage associé au port, par un traitement du sol. Au-delà du travail sur le signal, apparaît la question du double programme : d’une part répondre aux besoins techniques du port, et d’autre part de l’associer aux mani-festations de « Marseille Provence 2013 : capitale culturelle européenne». Dans les deux cas, le programme doit pouvoir rester flexible : évoluer en fonction des activités du port et être réversible ou réutilisé après « Marseille 2013 ». Il s’agit donc de créer un sol/support capable de recevoir un programme souple et modulable. À l’image d’une plateforme logistique, Il est équipé des infrastructures, des réseaux nécessaires à l’alimentation de modules contenant les programmes. C’est un sol renvoyant à l’image du quai, un sol sur lequel les choses évoluent, se passent, disparaissent, circulent... Un sol dur, immense, un paysage identifiable, marqué. Il est géométrique, et si sa forme est visible en plan, elle reste relativement imperceptible dans sa pratique. C’est un matériau, une épaisseur, une couleur, un support libre, posé de façon autonome dans la nature, ne cherchant pas délibéré-ment à agir avec le site.Ainsi, le signal est pérenne et le programme évolutif.

2011 Worshop ENSAM (role de chef d’équipe)

Les portes du port, de sol en sol

port autonome de marseille et fos

sol28

Fos

La Fossette

Lavera

Porte 4 Cap Janet

Tissu urbain : verticalité et entités horizontales

Territoire séquencé : horizontalité et entités verticales

Portes du Port

Plateformes du Port

Porte 2C St Cassien

Porte Chanterac

18 km

Marseille

Port-St-Louis

Mat de Ricca

01

02

01- étendue du port autonome de marseille/fos.

02- principe de projet, travail de la cinétique et de séquences.

03- analyse et répertoriage de sé-quences urbaines sur les deux par-ties du port.

03

5

Schémas d’interventions.

1

1

1

4

4

2

2

3

3

4

2

1

1

1

4

4

2

2

3

3

4

2

1

2

2

33

1

1

2

2

33

1

04- insertion dans la séquence d’ar-rivée sur la porte de la fosette depuis la plaine de la crau.

05- travail sur les séquences du port de marseille, chacune des portes peut acceuillir différents usages.

06- différents usages imaginables.

07- schémas d’implantations pos-sibles selon la trame proposée.

08- à chaque noeud de la trame, un système de réseaux est proposé pour une viabilité maximum de la dalle.04

05

dallemodule

dallemodule

07 08

06

Cet exercice est un travail théorique sur le plein et le vide réalisé principale-ment en maquette. Le volume est constitué par des modules qui par rotation forment un vide central. Ce vide se décale selon les niveaux.Le bâtiment est un musée, une promenade architecturale qui s’élève. Entre le travail théorique et la proposition faite à Avignon, l’édifice est déformé. Il prend appui sur un mur de soutènement afin de recréer les sensations obtenues au cours de la première phase théorique.Le projet propose par son parcours de recontacter les rives du Rhone avec le jardin de Rocher des Doms en créant une place basse et en l’étirant jusqu’au parc.Le musée est constitué par un mur, faisant face au mur de soutènement pré-éxistant, qui acceuille les services et les distributions. Les salles d’expositions, encastrées dans les deux murs créent le lien et construisent l’entre-deux. Cet interstice travaille sur les vues, la lumière et surtout sur la cinétique de la découverte de l’entrée du musée.Par la suite, la question de la construction est posée et le projet est déssiné en détail au 1/20.

2011 S7 ENSAM E. Babin, S. Fernandez

Abstraction constructive : le plein et le vide, autour du parcours d’un musée

rocher des doms, avigon

sol32

01

01- maquettes du travail théorique du plein et du vide.

02- coupe de situation depuis le parc vers le rhône.

03- coupe sur le projet, le mur de soutènement existant est dédoublé et les salles d’expositions viennent s’insérer dans l’entre deux.

02

03

04- insertion de la façade depuis de rhône, le batiment vient dédoubler le mur existant.

05- coupe sur les salles d’exposition, elles sont positionnées pour créer des situations et des vues particu-lières.

06- plans, le sol de la place basse est étiré pour venir se reconnecter avec le parc, les circulations se font dans une épaisseur dans le fond des salles d’expositions.

07- coupe détail sur l’ensemble de l’édifice.

04

05

06

SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS

DESCRIPTION PROJECT NO: MODEL FILE: DRAWN BY: CHK'D BY: COPYRIGHT

MARKDATE

SHEET 1

OF 8

A-1

#File Path

#Client


Layout

#Project Name

SCALE: 3" = 1'-0"

11st FLOOR

07

La stratégie première du projet consiste à se raccrocher à la voie principale de Sestao. Cet étirement de l’axe majeur de la ville permet une urbanisation en conti-nuité avec son centre. Actuellement, la voie principale finit en épingle, se retournant vers le centre de la ville en niant le site de la « punta Garcia » qui propose pourtant de fortes qualités géographiques. L’étirement de la « grande rue » s’effectue aux regards des séquences urbaines qui la constituent. Il opère un prolongement de la vie urbaine en considérant la formation de la ville existante. Ce développement de la ville de Sestao permet de se relier à Barakaldo, en bâtissant le long d’une rue existante. Les cartes et photographies d’époque nous ont révélé une urbanisation, le long de cet axe, antérieure à l’âge d’or de l’industrie hispanique. Le projet propose une réurbanisation du site sur les traces d’une cité préexistante permettant de retrouver une forte identité urbaine à ce nouveau morceau de ville.Le projet s’édifie selon trois séquences principales. A l’échelle métropolitaine, Urbi-naga devient le nœud de transport de l’agglomération : bus, métros, autoroutes, tramways, trains. La réorganisation de ces réseaux autour d’un pôle multimodal redy-namise le site et donne une accessibilité, une proximité à l’ensemble du territoire. Des bureaux, des parkings, un centre commercial et une maison de la culture et des associations y sont connectés. La « grande rue » continue en corniche sur un parc bas. Sur la dernière séquence, le projet se retourne, le parc est en hauteur sur une bute existante. Ce travail de séquençage du projet ainsi qu’un ensemble de percées latérales offrant des vues sur le grand paysage cherche à donner une dimension cinétique au projet.Le travail sur les espaces publics révèle la volonté de donner un sens au projet aussi bien à l’échelle métropolitaine qu’à l’échelle du quartier.

L’atelier a été mené dans l’optique d’une réponse au concours EUROPAN 11. Le site et le programme sont des données du concours.Ce projet a été retenu par le jury de fin de semestre.

2011 S8 ENSAM G. Sensini, P. Panerai (int.) / travail avec C.Geay

Europan 11 - par la gran via

sestao, bilbao, espagne

sol36

01- vue ancienne du périmètre de projet, aujourd’hui un talus, c’était autrefois un véritable morceau de ville.

02- maquette du projet 1/1000.

03- extrait de carte ancienne, comme sur la photographie (01), on voit bien les habitations qui ont été détruites au profit de l’industrie.

04- plan masse.01

02

03

04SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS

DESCRIPTION

PROJECT NO:

MODEL FILE:

DRAWN BY:

CHK'D BY:

COPYRIGHT

MARK DATE

SHEET 1 OF 8

A-1

#File

Pat

h

#Client


Layout

#Project Name


05- coupe élévation sur l’ensemble du projet.

06- schéma axonométrique et pour-centage de la répartition program-matique.

07- principe d’implantation de la séquence 1, la gare.

08- le projet s’organise autour de trois séquences, où les rapports de vues, à la topographie et program-matiques sont différents.

09- vue depuis la terrasse d’un café sur la place haute du pôle multimodal.

06

07

05

08

09

«Dans la densité du vide, la recherche d’introversion proposée des cours semi-pu-bliques semble pour sa part maintenir une identité beaucoup plus collective à ces logements. Dans ces ensembles-là, il est manifesté une capacité particulière à pro-duire de petites villes dans la ville, à la fois indépendantes et reliées au tissu urbain environnant.»

Nicolas Bassand, Densité et logement collectif: innovations architecturales et urbaines dans la Suisse contemporaine, 2009

10- principe d’implantation de la séquence 2 et détails des logements.

11- principe d’implantation de la séquence 3.

12- vue depuis la rue principale.

13- vue depuis les rives du cours d’eau vers le parc et la gare.

10

11

12

13

Le projet aborde les problématiques contemporaines liées aux grands en-sembles. Les questions de la qualification et des usages des sols, de l’échelle, de l’identité et de l’attractivité de l’ensemble ainsi que les possibilités de connexion avec son environnement proche ont été posées.Un dispositif où l’habitant est au centre du programme nous a semblé important, le résident devient acteur de son environnement et l’investissement fourni l’implique dans son quartier. D’autre part une activité est ramenée au centre pour donner une identité nouvelle à l’ensemble. L’agriculture est apparue comme une éventualité, d’abord pour sa double échelle, à la fois parce que c’est un besoin primaire à l’échelle humaine mais elle pose aussi la question des lieux de productions, des circuits qui s’allongent de plus en plus et la grave perte de connaissance dans ce domaine des nouvelles générations.

CONSOM’ACTEUR

BANQUE DE SEMENCES

MARCHE-LIEU DE VENTE

CONSERVERIE-MIELLERIE

RECEPTION DU PUBLIC

ATELIER PEDAGOGIQUE

JARDINS PARTAGES

COMPOSTAGE

RESTAURANT-CANTINE CULTURES

2013 S9 ENSAM H. Dubois, JL. Rolland

Un salon en ville, tous grands ensemble!

résidence le chateau st jacques, saint marcel, marseille

01

02

03

04

SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS

DESCRIPTION

PROJECT NO:

MODEL FILE:

DRAWN BY:

CHK'D BY:

COPYRIGHT

MARK DATE

SHEET 1 OF 8

A-1

#File

Pat

h

#Client


Layout

#Project Name


05

06

01- photomontage d’intention.

02- annalyse de l’état fractionné, entre «la poche» et son environne-ment, du bâti, de la voirie et du par-cellaire.des différences d’échelles mais des continuités possibles.

03- plan de situation, horizontale-ment : entre pavillonaires, verticale-ment : de la route à la colline.

04- photomontage, la poche appa-rait comme une première césure dans le continuum urbain de mar-seille.

05- plan type de l’intervention en pied d’immeuble.

06- coupe de principe de l’interven-tion.

07- plan masse, les voies sont retra-cées dans une volonté de recon-nection horizontale, à échelle plus humaine. L’instalation des differentes parties du programmes permet de faire monter le public dans la colline.

07SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS

DESCRIPTION

PROJECT NO:

MODEL FILE:

DRAWN BY:

CHK'D BY:

COPYRIGHT

MARK DATE

SHEET 1 OF 8

A-1

#File

Pat

h

#Client


Layout

#Project Name


SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS

DESCRIPTION

PROJECT NO:

MODEL FILE:

DRAWN BY:

CHK'D BY:

COPYRIGHT

MARK DATE

SHEET 1 OF 8

A-1

#File

Pat

h

#Client


Layout

#Project Name


SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS

DESCRIPTION

PROJECT NO:

MODEL FILE:

DRAWN BY:

CHK'D BY:

COPYRIGHT

MARK DATE

SHEET 1 OF 8

A-1

#File

Pat

h

#Client


Layout

#Project Name


Pour le diplôme, un travail préalable de fabrication du sujet et d’analyse terri-toriale a été mené à quatre étudiants. A l’origne, le point de rassemblement se résumait au territoire marseillais. La première étape fut de définir un subs-trat commun plus précis. celui-ci pou-vant être un objet concret ou un thème théorique. Nous avons décidé de nous rattacher à une réalité physique, de l’ordre du système géographique ou infrastructurel.

Le choix, s’est finalement porté sur le littoral pour son indéniable participa-tion à l’identité marseillaise. Nous nous sommes plus particulièrement attachés au littoral sud marseillais, du vieux port aux calanques, car celui-ci est lisible à travers deux lignes : la frontière entre terre et mer d’une part et la route des-servant l’ensemble de la côte d’autre part. Cet interstice est loin d’être uni-forme, et sa diversité est une des autres raisons qui ont suscité notre intérêt, laissant la possibilité de dénicher des problématiques suffisament variées pour que chacun y trouve son compte.

Le travail commun a porté un certain regard sur la constitution du paysage actuel du littoral sud marseillais à tra-vers son évolution historique. Ce paysage est l’expression du rapport de l’homme évoluant sur ce territoire. Les strates successives qui se sont accumulées au cours de l’histoire ont laissé au cours du temps des témoi-gnages évocateurs. Ainsi, nous avons mis en avant dans notre analyse cer-tains éléments remarquables constitu-tifs de ce paysage tels que les ruptures topographiques prononcées, les murs, les soutènements, les enclaves inac-cessibles, les grands domaines publics et certains édifices remarquables.

2013 PFE ENSAM JM. Chancel / travail avec L. Duchemin, A. Lombard et M. Objois

Annalyse commune du littoral sud marseillais

marseille

SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS

DESCRIPTION

PROJECT NO:

MODEL FILE:

DRAWN BY:

CHK'D BY:

COPYRIGHT

MARK DATE

SHEET 1 OF 8

A-1

#File

Pat

h

#Client


Layout

#Project Name


Les grandes enclaves urbaines01 sont très souvent d’anciens sites militaires ou industriels. Bien qu’il s’agisse de lieux connus de tous, très peu en ont l’expérience et la pratique. Ils demeurent mystérieux et sont source de beaucoup d’élucubrations parce qu’ils restent impénétrables.Aujourd’hui en plein cœur de Marseille, l’ancienne citadelle St Nicolas est représenta-tive de cette situation particulière qui place l’objet dans l’ambiguïté de l’emblème mystérieux. C’est un authentique symbole de la métropole marseillaise mais per-sonne n’a même connaissance de sa possible fréquentation. Nous même, nous avons découvert la poésie d’un site oublié à seulement quelques mètres du Vieux-Port.Le territoire des forts marseillais est révélateur de la construction de la ville de Mar-seille. Les strates successives constitutives de la rive sud de la calanque sont très lisibles. Les dispositifs défensifs sont préexistants à l’arrivée de la ville. Les remparts ont longtemps contenu ce que l’on appelle aujourd’hui la ville historique. La ville est venue buter contre ces grandes emprises, et le quartier s’est construit dans cette confrontation d’échelles et de formes. Les temps changeants et l’obsolescence de la fonction défensive des forts ont mené à la cession d’une partie du domaine militaire (à cette époque seulement une partie des glacis) que la ville moderne s’est empres-sée de coloniser, continuant ainsi l’écriture de la ville. Aussi, la situation d’ancienne porte de la ville et son évolution au cours du temps a mené ce territoire à apparaître aujourd’hui comme un carrefour urbain où l’ensemble des différentes logiques et pensées urbaines se rencontrent.Devenues désuètes, les grandes emprises militaires ont perdu une part de leur iden-tité, identité d’usage, identité formelle, identité toponymique, mais ont toujours gar-dée leur imagibilité.Forcés de constater la mutation de cet emblème, de qu’elle manière peut-on raccro-cher ce site à la ville existante ?L’enjeu est alors de redonner l’usage de ce site à la ville, de travailler sur les pratiques urbaines préexistantes en les confortant et en proposer de nouvelles pour retisser une continuité d’espaces publics permettant d’inscrire ce site dans la ville tout en travaillant sur les porosités entre les différents éléments qui constituent le quartier.L’homme est venu conquérir le haut de cette colline qu’il a entaillé dans le but de venir y installer cet édifice bastionné. Mais le paysage et le rapport de ce fort avec son environnement ont totalement évolué au cours de grandes transformations. C’est

01- les enclaves, ces lieux qui for-les enclaves, ces lieux qui for-ment le négatif de la ville bâtie, des aires interstitielles et marginales, des espaces abandonnés ou en voie de transformation, le collectif Osservato-rio Nomade les appelle les territoires actuels. Ce terme fait référence à Foul-caut soulignant le devenir autre de ces lieux : « l’Actuel n’est pas ce que nous sommes mais plutôt ce que nous de-venons, ce que nous sommes en train de devenir, à savoir l’autre, notre de-venir autre ». Ces territoires nous pro-posent un véritable voyage dans les combles de la ville, là ou elle a entassé ses mémoires et ses rebuts

02- 1800 : le fort est encore entouré de quelques bâtiments militaires, d’activités économiques, de Saint-Vic-tor ou de rares habitations.1840-1850 : le bassin de carénage est creusé entre 1832 et 1840. De nombreux projets sont imaginés pour l’extension du port économique. La ville s’est étendue jusqu’aux remparts.1900 : le boulevard Charles Livon à été percé séparant le fort en deux identités distincts : le fort Ganteaume en bas et le fort d’Entrecasteaux en haut. Un tun-nel est creusé pour relier la gare du Pra-doau bassin de carénage, une gare y est implantée. La caserne d’Aurelle est construite sur la face nord du fort. La ville est sortie des remparts et de nom-breuses extensions sont projetées sur le glacis ouest du fort.1960-1970 : la ville moderne est venue grignoter le glacis ouest du fort sans aucun plan directeur. Un nouvel axe im-portant a été crée, l’avenue de la Corse.

2013 PFE ENSAM JM. Chancel, R. Borruey, F. Brugel

Caserne publique

caserne d’aurelle, fort st. nicolas, marseille

sol50

01 02

03

notamment le cas avec le creusement du bassin de carénage en 1829 puis la créa-tion de la place d’armes de la caserne d’Aurelle aménagée à la fin du XIXème siècle en taillant dans la butte calcaire du fort d’Entrecasteaux et en terrassant de l’autre pour créer une plateforme horizontale capable d’accueillir la caserne sur un terrain initialement très tourmenté. Ces transformations ont mis à nu le Fort Saint Nicolas, amplifiant l’image de coagulation, d’un édifice tout droit sorti de terre.Du haut de sa colline, le fort est un de ces rares lieux de la métropole où la ville se donne à voir. Sur la première couronne, en longeant la place forte on découvre un panorama intégral de l’ensemble de la ville nous proposant une lecture complète de l’histoire de l’édification de la ville.Le projet cherche à trouver une connexion avec la ville constituée, là où aujourd’hui aucun lien n’est possible. La face sud du fort est constituée soit de murs de clôtures, soit de soutènements soit de falaises. Seule l’entrée de la Caserne d’Aurelle est le point de contact de l’entité des forts avec la ville constituée. Le projet vient saisir cette accroche et composer avec la place d’arme pour ouvrir une brèche et faire entrer la ville dans l’emprise militaire. Le programme s’inscrit dans la perspective de l’ouverture de ce site à la ville et de reconnexion entre les différents éléments tout en tirant parti des potentialités qu’ils offrent pour finir par apparaître comme une évidence. Ainsi, l’imagibilité du site, sa place dans la ville, sa situation de carrefour des différentes logiques urbaines et sa mise à distance par rapport à la ville elle même afin de mieux l’appréhender nous a donné envie d’installer un lieu dédié aux étudiants concernés par la construction de la ville : une école d’architecture.

Le projet permet la mise en place d’une interface reliant la ville, le fort et les jardins du glacis. Il travaille sur la (re)composition de cette pièce urbaine dont la morphologie a marqué la constitution du quartier. L‘école s’organise autour de ce vide qui devient l’élément central du projet, les rez-de-chaussée accueillent les parties publiques du programme faisant entrer la ville dans l’enceinte. Le fort devient l’ultime façade de cette cour, descendant ainsi jusqu’à la ville existante. Le projet offre une meilleure visibilité au fort depuis l’Avenue de la Corse, l’implantation du nouveau bâtiment le met en valeur, il est ainsi révélé aux passants et refait surface pour le quartier.

04

05

06

03- extrait de la carte de synthèse commune du grand paysage : les édifices remarquables, grands do-maines, falaises, enclaves, murs et soutènement sont remarqués.

04- état des lieux des pratiques pié-tonnes existantes, des possibilités à trouver et des obstacles à franchir.

05- carte postale ancienne de la façade de la caserne d’Aurelle sur la ville.

06- coupe de situation sur le territoire des forts de droite à gauche, la ville, la caserne d’Aurelle, le fort St Nico-las, le fort d’Entrecasteaux, le port, le fort St Jean.

07- plan masse du projet. Une reconnexion piétonne est proposée par des structures existantes entre le Pharo, le fort St Nicolas, la caserne d’Aurelle et l’abbaye St Victor.

07SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS

DESCRIPTION

PROJECT NO:MODEL FILE:DRAWN BY:CHK'D BY:COPYRIGHT

MARK DATE

SHEET 1

OF 8

A-1

#File

Pat

h

#Client


Layout

#Project Name

SCALE: 3" = 1'-0"

1 1st FLOOR

08SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS

DESCRIPTION


MARK DATE

SHEET 1

OF 8

A-1

#File

Pat

h

#Client


Layout

#Project Name

SCALE: 3" = 1'-0"

1 1st FLOOR

09SHEET TITLE

/ /

CONSULTANTS

DESCRIPTION


MARK DATE

SHEET 1

OF 8

A-1

#File

Pat

h

#Client


Layout

#Project Name

SCALE: 3" = 1'-0"

1 1st FLOOR

11

10

08- plan de rdc de l’école, la cour centrale est le centre de l’école, la ville et le fort y sont étirés. Les quatres côtés de l’ancienne place d’arme sont maintenant tenus et le fort fait office de toile de fond pour ce nouveau lieu de vie.

09- plan de sous-sol de l’école, la cour descend dans l’école et se transforme en salle hypostyle reliant les deux bâtiments de l’école et de-vient un espace capable, partition-nable et appropriable.

10- ensemble des plans du bâtiment nouveau et schémas. Le vide qui dessine chacun des plateaux change entre chaque étage, proposant des situations différentes.

11- coupe sur la descente du fort vers l’amphithéatre.

SH

EE

T TITLE

/ /

CO

NS

ULTA

NTS

DESCRIPTION

PROJECT NO

:M

ODEL FILE:

DRAWN BY:

CHK'D BY:CO

PYRIGHT

MARK

DATE

SH

EE

T 1

OF 8

A-1

#File Path

#C

lient

#S

treet#C

ity, #S

tate/Country

#P

ost

Layout

#P

roject N

ame

SCALE: 3" = 1'-0"

11st F

LO

OR

THIBAUT BERTET aRCHITECTE d.e

NE le 24.07.1988a toulon (83)Nationalite francaisepermis B

72 RUE DE LA COLONIE 75013 [email protected](33) 6 38 67 84 38


[curriculum vitae]

formation - diplôme

expériences professionelles

workshop - associations

indications complémentaires

2013

2013

2015

2011

2015

logiciels

langues

voyages

2009

2011

2011

2011

2011

2010

2010

2009

2008

2006

Bac+5 ENSAM / Obtention du diplôme d’état d’architecte à l’Ecole Nationale d’Architecture de Marseille

( mention B : "bien" )

Francois Brugel Architectes, Paris, collaborateur, 2 mois- DCE crèche et logements de la Samaritaine, Paris (1er)- Concours 60 logements à la Bouilladisse, (13)

KOZ Architectes, (1er Prix Building of the year 2014), Paris, chef de projet, 10 mois - Concours : COP 21 (60), Guggenheim Helsinki (FIN), Réinventer Paris (13ème)- Esquisse, PC, APD, 30 logements ZAC Armorique à Rennes (35), 60 logements à Mexico D.C. (MEX)- PRO-DCE Gymnase de St Cypien (66)

Workshop «Village de Ville II», à la Friche, Marseille (13), organisé par Jean -Marc Huygen

Association Old Chap’s, restauration d’un bal parquet de 1953, montage et location

Archicad, Autocad, Suite Adobe, Sketchup, Microsoft Office

Anglais (niveau Baccalauréat), Espagnol (niveau Baccalauréat)

Workshop «Village de Ville I», à la Friche, Marseille (13), organisé par Jean -Marc Huygen

Workshop «Les portes du port», à l’ENSA Marseille (13), organisé par Stéphane Hanrot

Briolle Marot Repiquet, Hyères, collaborateur, 3 mois- Esquisses maisons individuelles, Hyeres (83)- Accessibilité Abbaye du Thoronet, (83)- Réhabilitation Fondation Vasarély, Aix-en-provence (13)

Sejima And Nischizawa And Associates, SANAA, (Pritzker 2010), Tokyo, Japon, stage, 3 mois - APD de la Samaritaine, Paris (1er)- Concours FRAC Bordeaux, (33)

CAUE 13, Marseille collaborateur, 1 mois- Réalisation de l’Atlas métropolitain avec un graphiste

Durousseau Architecte, Marseille, collaborateur, 1 mois- Extension d’une chapelle, Aix-en-provence (13)

Atelier Fernandez et Serres Architectes, (NAJA 2004), Aix-en-Provence, stage, 2 mois- Réflexion en maquette et Esquisse de la réhabilitation d’une cave viticole en centre culturel, Saint Chamas , Aix-en-provence (13)

Agence Dejean+Marin, Paris, stage, 2 mois- Esquisse Cour de la Grace de Dieu, réhabilitation et construction neuve de 89 logements, Paris (20ème), projet en association avec Francois Brugel Architecte

Compagnons du Devoir, Maison de Marseille, stage, 15 jours- Taille de pierre, réhalisation d’une maquette d’un escalier balancé en marbre à l’echelle 1/5ème

Obtention du Baccalauréat Scientifique, mention "bien"

Japon, Novembre 2011, 3 MoisArgentine, Bolivie, Chili, Oct 2009 - Mars 2010, 5 MoisLisbonne, Octobre 2009, 9 JoursBerlin, Mars 2009, 10 JoursSerbie, Croatie, Bosnie-Herzegovine, Autriche ; Aout 2008, 1 MoisArgentine, Noel 2007, 15 JoursFrance, Italie, Grece, Roumanie ; Juillet 2007, 1 Mois

THIBAUT BERTET 72 RUE DE LA COLONIE 75013 [email protected](33) 6 38 67 84 38

Documents

Thibaut bertet portfolio architecture 2015