2009-R5 documento Solange

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Solange erzählt uns aus ihremsportlichen Werdegang:

Das Boxen trat anlässlich eines Treffens und durch Zufälle inmein Leben. 2005 absolvierte ich die Polizeischule in Lausanneund besuchte, ohne grosse Überzeugung, einen Kurs in Halb-kontakt in einem Lausanner Club. Ich teilte den Verantwortli-chen dieses Clubs mit, dass ich an einem Vollkontakt Wett-kampf oder an einem Box-Wettkampf teilnehmen möchte. Sieantworteten: “ Das ist nichts für Mädchen“ und schrieben michin einen Halbkontakt Kurs ein (was meines Erachtens zu vielÄhnlichkeit mit Tanzen hat).

Während der Polizeischule bekam ich zufällig mit, dass einerder Ausbildner, Bertrand Fellay, ein Trainer des englischen Bo-xens ist. Ich ging auf ihn zu und teilte ihm mit, dass ich kämp-fen will und fragte, ob er bereit sei ein Mädchen zu trainieren.Bertrand sagte mir, dass ich mich zuerst einmal für einen Kursbei ihm eintragen soll, dann werde er während dem Trainingmein Potential und meine Motivation beobachten, dann erstsehe er weiter…

So habe ich mich für einen Kurs bei Bertrand eingeschriebenund wurde gleich aufgenommen. Ich habe mich sofort anseine Weise die Kurse zu leiten und alle Teilnehmer gleichzu-stellen, gewöhnt. Dies hatte zur Folge, da ich mich immer mehrin diesem Sport sah, dass Bertrand mir eröffnete, dass er be-reit sei, mich für Wettkämpfe auszubilden. Jedoch erst, wennich meine Polizeischule abgeschlossen hätte, damit meineAusbildung nicht beeinträchtigt werde. Dies führte bei mir zueinigen Missstimmungen, da ich die Boxlizenz sofort habenwollte. Bei dieser Gelegenheit bedanke ich mich aber bei Bert-rand für seine grosse Geduld.

2006, mein Polizeiabschluss in der Tasche, begann die harteRealität. Fünf bis sechs Trainingseinheiten pro Woche, körper-liches Training, Technik, Sparring (Übungskämpfe). Schlep-pende, chronische Sehnenentzündungen, die ich seit den Mär-

schen in der Polizeischule hatte, schränkten die Entwicklungmeiner körperlichen Leistungsfähigkeit ein. Trotzdem bean-tragte Bertrand eine Lizenz beim Schweizerischen Boxverband,die mir im Frühling 2006 ausgestellt wurde, gefolgt von mei-nem ersten Wettkampf. Welch grosser Moment!!! Durch dieAdrenalinschübe, den Stress und die Angst zu verlieren, mach-ten meine Atemwege es mir schwer. Man hätte meinen kön-nen, man sehe einen Bulldogen mit Asthma. Es sollte nicht dasletzte Mal gewesen sein, dass ich dieses Gefühl von Atemlo-sigkeit erlebte… Es braucht einige Kämpfe, in denen ich dasAtmen im Kampf lernen sollte. Aber noch heute ist dieserKampf nicht gewonnen.

Es folgten harte, lange Trainings, unterbrochen von Verletzun-gen (gebrochene Nase, Verstauchungen der Handgelenke undDaumen, Sehnenentzündungen an den Schultern, etc.) DieWartezeit zwischen den Kämpfen ist sehr lange, da es wenigeBoxerinnen in derSchweiz gibt. Ausdiesem Grund kämp-fen wir in der ganzenSchweiz. Um mir re-gelmässiger Kämpfeund unterschiedli-chere Gegnerinnenzu ermöglichen, hatmich Bertrand miteinem Antrag für dieInternationale Boxli-zenz überrascht. Beimeinem dritten Wett-kampf kämpfte ichgegen eine Rumä-nin. Damals wieheute, die Mädchenaus dem Osten ha–ben harte Köpfe.

Solange Bocquet, Polizistin und BoxerinGeboren am 1. Oktober 1985 und seit 2005 Polizistin bei der Lausanner Polizei.

IPA_Revue_Okt_2009:Layout 1 05.10.2009 10:59 Uhr Seite 19

Meine erste Schweizer Meisterschaft fand Ende 2006 in Baselstatt. Fürs erste Mal fühlte ich mich im Ring zu Hause. DieKämpfe verliefen gut, bis hin zum Finale, wo wir mit einem Siegrechneten. Zu unserer Überraschung wurde meine Gegnerinzur Siegerin erklärt. Der Geschmack der Niederlage, und vorallem auch die Ungerechtigkeit, waren hart zu verarbeiten. Ei-nige Monate später wurde jedoch ein Kampf in Zürich organi-siert und ich trat erneut gegen die gleiche Gegnerin an, wennauch nicht für die Schweizer Meisterschaft, doch ich hattemeine Revanche. Bertrand sagt mir oft, man lernt immer wie-der aus Niederlagen, aber um ehrlich zu sein, ich habe immernoch nicht gelernt zu verlieren. Gut, dass Bertrand immer fürmich da ist, um mich anzuschreien und mich danach wiedermoralisch aufzubauen (Danke Coach!).

Anfang 2007 wurde ich in die Gruppe B des Nationalteams derFrauen gewählt (es gibt drei Gruppen, A bis C, A ist die Wich-tigste). Zufrieden, aber auch etwas enttäuscht, dass ich nur indie Gruppe B nominiert worden war.

Ende 2007, Schweizer Meisterschaft in Martigny, keine Diskus-sion dieses Mal. Ich gewinne meine Kämpfe durch KO und holeden Gürtel. Daher beschleunigt sich alles, der Trainer der Na-tionalmannschaft lässt mich in die Gruppe A aufsteigen. Sehrstolz kann ich nun endlich unsere Farben im Ausland verteidi-gen. Reisen und internationale Turniere beginnen. Meine Geg-nerinnen kommen aus Dänemark, Deutschland, dem Kosovo,der Ukraine, den Niederlanden und Italien. Wir treffen sie inihrer Heimat oder begrüssen sie auch bei uns.

Bisher (Juni 2009) hatte ich 19 Kämpfe, davon sind 4 Nieder-lagen und 7 oder 8 Siege durch KO. Im Juli werde ich in St. Pe-tersburg, Russland, an einem International Turnier teilnehmen.Dies ist die letzte Vorbereitung für die Europameisterschaft,die vom 8. bis 12. September in der Ukraine stattfindet.

Solanges Auszeichnungen: Silbermedaille Schweizer Meisterschaft 2006Goldmedaille Schweizer Meisterschaft 2007

Goldmedaille am „Hvidovre Bux Cup“ Turnier in DänemarkSilbermedaille am „Wuppertal Cup“ Turnier in Deutschland.

Solange Bocquet,policière et boxeuseSolante Bocquet, née le 1er octobre 1985,policière à la Police de Lausanne depuis 2005.

Solange nous raconte son parcours sportif: "Mes débuts dansla boxe sont dus au hasard de la vie et surtout à la chanced'une rencontre. J'étais à l'école de police à Lausanne en 2005,je pratiquais, sans grande conviction le semi contact dans unclub de Lausanne. Lorsque je leur avais dit que je voulais fairede la compétition en boxe ou en full contact, les responsablesde ce club m'avaient répondu que "ce n'était pas pour les fil-les" et ils m'ont mise en semi contact (qui a beaucoup de si-militude avec la danse à mon avis…).

Bref, durant l'école de police, j'ai appris par le plus grand deshasards que l'un de mes instructeurs, Bertrand Fellay, était en-traîneur de boxe anglaise. Ni une ni deux, je suis allée le voiren lui disant que je voulais faire des combats et je lui ai de-mandé, s'il était intéressé à être l'entraîneur d'une fille. Il m'adit de commencer par venir aux cours et que d'après mon po-tentiel et ma motivation, on verrait…

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Je me suis donc rendue aux cours de Bertrand et tout de suiteils m'ont convenu. J'ai immédiatement accroché sur sa façon dedonner ses cours et de traiter les gens à égalité. Par la suite,voyant que je m'accrochais de plus en plus à ce sport, le coachm'a annoncé qu'il commencerait à m'entraîner pour les com-bats, mais seulement à la fin de l'école de police, histoire de nepas compromettre ma formation. Ceci dit, cela a provoquéquelques coups de gueule, vu que je voulais ma licence tout desuite. Je tiens par la même occasion, à remercier Bertrand pourson extrême patience…

En 2006, mon brevet de police en poche, la dure réalité a com-mencé. Cinq à six entraînements par semaine, physique, tech-nique, sparring (combats d'entraînement). Traînant des tendi-nites chroniques depuis les marches de l'école de police (…),mon évolution s'est faite attendre au niveau physique. Malgrécela, Bertrand a fait une demande de licence à la fédérationSuisse de boxe, je l'ai reçue au printemps 2006, suivie de monpremier combat. Quel grand moment!!! Etouffée par l'adréna-line, le stress et la peur de perdre, mes capacités respiratoiresme font défaut. On aurait cru voir un bouledogue asthmatique.Cette sensation de n'avoir qu'un demi poumon, ne sera pas ladernière fois… il en faudra des combats avant de réapprendreà respirer en combattant et encore maintenant… ce n'est pasgagné.

S'ensuivent des longues périodes d'entraînement, entrecoupéesde blessures (nez cassé, entorses des poignets et des pouces,tendinites aux épaules, etc.) L'attente entre chaque compéti-tion est assez longue, vu le peu de boxeuses qu'il y a en Suisse.C'est pour cette raison que nous nous déplaçons dans toute laSuisse. Pour me permettre de combattre plus régulièrement etd'avoir des rencontres diversifiées, Bertrand fait une demandede licence internationale et m'en fait la surprise. Pour mon 3èmecombat, j'ai combattu une roumaine, j'ai pu constater à ce mo-ment-là et je le constate encore aujourd'hui, les filles de l'Est ontla tête dure!

Mon premier Championnat suisse s'est déroulé à la fin de l'an-née 2006 à Bâle; pour la première fois, je me sentais à l'aise surle ring, pourvue de toutes mes capacités respiratoires (Miracle!).Les combats se sont bien passés, jusqu'à la finale où nous avons



cru gagner et à notre grande surprise, ils ont donné la victoireà mon adversaire. Le goût de la défaite et surtout celui de l'in-justice ont été durs à effacer. Mais quelques mois plus tard, uncombat a été organisé à Zürich contre cette même adversaireet même si je n'ai pas récupéré la ceinture de championnesuisse, j'ai eu ma revanche.

Bertrand me dit souvent que l'on apprend dans les défaites,mais pour être honnête, je n'ai toujours pas appris à perdre.Heureusement qu'il est toujours là pour me crier dessus et me re-monter le moral (Merci coach!)

En début d'année 2007, j'ai été sélectionnée dans l'équipe fé-minine, mais dans le groupe B (il y a 3 groupes, A à C, A est leplus important), contente mais un peu déçue de n'être que dansce groupe B.

Fin de l'année 2007, rebelote, championnat suisse à Martigny,cette fois, pas de discussion je gagne mes combats par KO etrécupère cette ceinture tant convoitée. Suite à cela, tout s'accé-lère, l'entraîneur de l'équipe nationale me met dans le groupeA. Très fière, je peux enfin aller défendre nos couleurs à l'étran-ger ou chez nous. Les voyages et les tournois internationauxcommencent: Danemark, Allemagne, Kosovo, Ukraine, Pays-Bas, Italie sont les pays d'origine de mes adversaires. Certainesfois nous nous rendons chez eux, certaines fois nous les accu-eillons.

À ce jour (juin 2009), j'ai 19 combats à mon actif, dont 4 défai-tes et 7 ou 8 victoires par KO. En juillet, je serai en Russie, à St-Petersbourg, pour un tournoi international, dernière prépara-tion avant les Championnats d'Europe qui se dérouleront du 8au 12 septembre prochain en Ukraine."

Palmarès de SolangeMédaille d'Argent aux Championnats suisses 2006

Médaille d'Or aux Championnats suisses 2007Médaille d'Or au tournoi "Hvidovre Box Cup", Danemark

Médaille d'Argent au tournoi "Wuppertal Cup", Allemagne

Jean-Claude SeydouxRédacteur francophone

Remerciements à mon coach

Si je suis arrivée à ce niveau sportif aujourd'hui, je ledois en en grande partie à Bertrand FELLAY. Il fait ensorte de rester dans l'ombre pour mettre en avant sespoulains, mais c'est grâce à lui que l'on évolue autant.Il a tout de suite cru en moi et m'a poussée vers le hautsans jamais me lâcher. Je lui suis très reconnaissanteet je ne le lui dit pas assez.

MERCI Bertrand ! Tu es un entraîneur hors pair.


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armi per il combattimento, ma solamente alla fine della scuoladi polizia. Ciò per non compromettere la mia formazione. Tuttoquesto ha provocato un po’ di tensione perché io volevo otte-nere la mia licenza da subito. Colgo l’occasione per ringraziareBertrand per la sua immensa pazienza…

Nel 2006, con il mio brevetti di polizia, la dura realtà é iniziato.Affrontavo da cinque a sei allenamenti alla settimana: fisici, tec-nici, sparring (combattimento d’allenamento). Siccome mi por-tavo appresso delle tendiniti croniche dovute agli scalini dellascuola di polizia (…), la mia evoluzione dal punto di vista fisico,si è fatta attendere. Nonostante ciò, Bertrand ha fatto do-manda per ottenere una licenza alla federazione Svizzera diboxe e l’ho ottenuta nella primavera 2006, seguita da un mioprimo incontro. Che grande momento! Soffocata dall’adrena-lina, lo stress e la paura di perdere, le mie capacità respiratoriehanno fatto difetto. Sembrava di vedere un bulldog asmatico.Questa sensazione di avere solo a disposizione un mezzo pol-mone non era l’ultima volta… ci sono voluti diversi incontriprima di imparare a respirare in combattimento ed ancora at-tualmente… non è finita.

Hanno fatto seguito dei lunghi periodo di allenamento, inter-rotti dalle ferite (naso rotto, slogamenti ai polsi e delle dita,tendiniti alle spalle, ecc,). L’attesa tra ogni competizione è ab-bastanza lunga, visto le poche boxeuses presenti in Svizzera. Èper questa ragione che ci spostiamo in tutta la Svizzera. Perpermettermi di combattere più regolarmente ed avere degli in-contri variati, Bertrand ha fatto domanda per una licenza in-ternazionale e mi ha fatto una sorpresa. Per il mio 3° incontro,ho combattuto contro una romena ed ho costatato a queltempo e ancora oggi che le ragazze dell’Est hanno la testadura!


Solange Bocquet,poliziotta e boxeuseSolange Bocquet, nata il 1 ottobre 1985,poliziotta presso la Polizia di Losanna dal 2005.

Solange ci racconta del suo percorso sportivo : «I miei inizi nellaboxe sono dovuto al caso della vita e soprattutto alla fortunain un incontro. Ero alla scuola di polizia di Losanna nel 2005,praticavo senza troppa convinzione il “semi contatto” nel clubdi Losanna. Quando dissi che volevo della competizione nellaboxe o in “full contact”, i responsabili del club mi avevano ris-posto che ”non era per una donna” e mi hanno piazzato in“semi contact” (che secondo me ha molte somiglianze con ladanza…).

In breve, durante la scuola di polizia, sono venuta a conoscenzaper puro caso che uno dei miei istruttori, Bertrand Fellay, era al-lenatore di boxe inglese. Senza esitare, l’ho contattato raccon-tandogli che volevo fare dei combattimenti e gli ho chiesto seera interessato di diventare l’allenatore di una donna. Mi risposedi incominciare a venire ai corsi e che in base al mio potenzialee la mia motivazione, si sarebbe deciso…

Mi sono dunque recata al corso di Bertrand e da subito mi sen-tivo coinvolta. Ho immediatamente apprezzato la sua manieradi dare i corsi e di trattare le persone allo stesso livello. In se-guito, vedendo che mi appassionavo sempre più in questosport, il coach mi ha comunicato che avrebbe iniziato ad allen-




Il mio primo Campionato svizzero si é svolto alla fine del 2006 aBasilea. Per la prima volta, mi sentivo a mio agio sul ring, prov-vista di tutte le mie capacità respiratorie (miracolo!). I combat-timenti si sono ben svolti, fino alla finale dove avevamo credutodi aver vinto e per nostra grande sorpresa la vittoria é andataall’avversario. Il boccone della sconfitta e soprattutto dell’in-giustizia sono stati duri da digerire. Ma qualche mese più tardi,un combattimento è stato organizzato a Zurigo contro questastessa avversaria ed anche se non ho recuperato la cintura dicampionessa svizzera, ho ottenuto la rivincita.Bertrand mi dice spesso che si impara nelle sconfitte, ma ad es-sere onesta non ho mai imparato a perdere. Fortunatamenteegli é sempre pronto ad incitarmi ed ha tirarmi su di morale(grazie Coach !).

All’inzio del 2007, ai campionati svizzeri di Martigny, sono stataselezionata nella squadra femminile, ma nel gruppo B (ci sono3 gruppi da A a C, A) è il più importante. Ero contenta ma un po’delusa di far parte solo del gruppo B).

Alla fine del 2007, sempre ai campionati svizzeri a Martigny,questa volta, senza discussione vinco i mei combattimenti perKO e recupera quella cintura tanto desiderata. A seguito di ciò,tutto si accelera, l’allenatore della squadra nazionale mi inse-risce nel gruppo A. Molto fiera, posso finalmente difendere i no-stri colori all’estero e da noi. I viaggi, i tornei internazionali ini-ziano: Danimarca, Germania, Kosovo, Ucraina, Olanda, Italiasono i paesi d’origine delle mie avversarie. Qualche volta gli ren-diamo visita ed altre volte li accogliamo.

Attualmente (giugno 2009) ho 19 incontri al mio attivo, di cui 4sconfitte e 7 o 8 vittorie per KO. In luglio sarò in Russia, a SanPietroburgo, per un torneo internazionale, ultima preparazioneprima dei Campionati d’Europa che si svolgeranno dal 8 al 12settembre prossimi in Ucraina.

Palmarès di SolangeMedaglia d'argento ai campionati svizzeri del 2006

Medaglia d'oro ai campionati svizzeri del 2007Medaglia d'oro al torneo "Hvidovre Box Cup", Danimarca

Medaglia d’argento al torneo "Wuppertal Cup", Germania

Jean-Claude SeydouxRedattore francofono

Grazie al mio allenatore

Se oggi sono arrivata a questo livello sportivo, lo devoin grande parte a Bertrand FELLAY. Egli rimane unpo’ nell’ombra per mettere avanti i suoi pulcini, ma ègrazie a lui che si evolve così tanto. ha subito credutoin me e mi ha spinto verso l’alto senza mai lasciarmi.Gli sono molto riconoscente e non ho glielo mai dettoabbastanza.

GRAZIE Bertrand! Sei un allenatore senza pari.


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