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KlettMagazin Frühjahr 2012 trait d’union Paris cultive ses jardins ab Seite 3

KlettMagazin - Minio Browser · et le fameux ballon qui transporte chaque jour des dizaines de passagers à 150 m au-dessus de Paris . Sensation assurée . Le tout récent parc Clichy

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KlettMagazinFrühjahr 2012

trait d’unionParis cultive ses jardins . . . . . . . . . . . . . . . ab Seite 3

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Liebe Leserin, lieber Leser,

Paris weckt für gewöhnlich vielfältige Assozi-ationen: Stadt der Geschichte, der Architektur, der Kultur, des Luxus, der Gastronomie, der Liebe… Wer weiß schon, dass Paris auch zahl-reiche hübsche Parks und Gärten vorzuweisen hat? Nathalie Raut lädt zu einem ausge-dehnten Spaziergang durch die Grünanlagen der Hauptstadt ein (S. 3).

Nicht erst seit Haussmann unterzieht sich Paris einem steten Wandel. Nun soll im Nord-Osten der Stadt das Viertel Clichy-Batignolles ein völlig neues, moderneres aber auch grüneres Gesicht erhalten. Der Städteplaner François Greher, einer der Initiatoren dieses ambitionierten Projekts, verrät uns auf S. 6 mehr dazu.

Im Quartier Batignolles liegt übrigens das „Collège-Lycée Honoré de Balzac“, einer der Handlungsorte des neuen Lehrwerks Décou-vertes. In einem Interview mit trait d’union präsentiert die Schulleiterin ihre „section allemande“ (S. 8).

Das neue Découvertes, Série jaune wird an vielen Schulen bereits mit Erfolg eingesetzt. Ulrike Lange zeigt, wie man damit kompe-tenzorientiert unterrichten kann, und dass es den jungen Schülerinnen und Schülern - nicht zuletzt durch das hohe Identifikationspoten- zial der Texte und der darin handelnden Figuren - auch großen Spaß bereitet.

Ist die Heterogenität von Lerngruppen immer nur ein Hindernis? Für Frank Haß nicht, wenn man sich der unterschiedlichen Lernvoraus-setzungen bewusst ist, Differenzierungsmaß-nahmen konsequent einsetzt und dabei ein Mindestmaß an Sensibilität wahrt. Wie das funktioniert zeigt er auf den Seiten 12-13.

Dass kompetenzorientiertes Lernen und Leh-ren keineswegs auf Kosten von motivierenden Inhalten gehen muss, demonstriert Claudia Steffen auf den Seiten 14-15.

Viel Spaß bei der Lektüre!

Christa Weck Ernst Klett Verlag Programmbereich Französisch

InhaltLand & Leute

3 Paris cultive ses jardins

NathalieRaut

5 Recette: Croque-monsieur et croque-madame

Interview

6 Clichy-Batignolles se réinvente

FrançoisGrether/BéatriceSimon

8 Questions à Mme le Proviseur

NathalieKaranfilovic

Forum Fremdsprachen

9 Clip didactique: Alltagserfahrungen

EynarLeupold

10 „Französisch macht Spaß“ – Kompetenzorientiertes

Arbeiten mit dem neuen Découvertes

UlrikeC.Lange

Unterrichtspraxis

12 Mit Heterogenität umgehen

FrankHaß

14 Kompetenzorientiertes Lernen in thematischen Modulen

ClaudiaSteffen

Vu et lu

16 Avec Kidtonik, le français, c’est super chouette

CoralieMontfort

17 CD-Tipp

18 Amélie Nothomb – Tuer le père

CyrilSkinazy

Aktuell

19 France Télévisions : Au service du grand public

MarieGauvillé

20 Das neue Découvertes 2012 – Französisch von seiner

Schokoladenseite

22 Klett engagiert sich für das Fach Französisch

23 A vos affiches !

CamilleDiaz

Editorial/Inhalt

Paris ne détrônera jamais Berlin, capitale verte par excellence. Mais l’art du jardin a toujours été l’un des pans de la culture française. Qu’en reste-t-il à Paris ? Entamez une visite verte de la capitale et savourez les richesses de sa diversité. Par Nathalie Raut

Paris cultive ses jardins

Land & Leute

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Impossible de dresser une liste exhaustive des parcs et jardins parisiens . Si l’on y ajoute les squares, la ville en compte plus de 400, soit près de 500 hectares qui ont su, non sans combat, troquer le béton contre les arbres . Ces espaces, figures emblématiques d’un patrimoine architec-tural qui se visite, sont bien plus que des lieux de détente . A la belle saison, ils se livrent à des événements musicaux et des rencontres artistiques en tout genre… Sans oublier les traditionnels pique niques en été . Au sein de la capitale, deux exemples attirent plus particulièrement les visiteurs, le jardin des Tuileries et celui du Luxembourg . Le premier est organisé selon un axe central jalonné de sculptures de Rodin, Henri Moore et Jean Dubuffet . Son concepteur, le célèbre Le Nôtre, y ajouta des bassins et de grandes terrasses qui participent de cette géométrie parfaite .

Le second, le jardin du Luxembourg, créé à la demande de Marie de Médicis en 1612, abrite le magnifique palais où siège le Sénat . C’est Napoléon qui avait voulu faire de ce parc un lieu animé pour les enfants, une tradition qui perdure encore aujourd’hui avec, en plus, des kiosques, un café et des terrains de tennis . Les fontaines et statues qui s’élèvent au milieu de parterres fleuris confèrent à ce parc un indéniable charme bucolique .

L’héritage haussmannienParis dénombre en son sein beaucoup de jardins haussmanniens . Parmi eux, Monceau et les Buttes Chaumont comptent parmi les plus belles réalisations . Le premier, situé à la frontière du 8e et du 17e arrondissement a été créé en 1788 par le duc de Chartre, qui voulait faire de ce jardin « un pays d’illusions », un lieu d’expérimentation ou de réflexion artistique . Il a par la suite été « retravaillé » par le baron Haussmann, qui lui a donné l’apparence qu’on lui connaît aujourd’hui, avec ses plans d’eau, sa grotte, son petit pont et son pavillon néo-classique .

Deuxième exemple, les Buttes Chaumont . Bâti sur une an-cienne carrière dans le nord de Paris, ce parc de 25 hectares a été inauguré en 1887, sous Napoléon III . Caractérisé par un fort dénivelé, ce jardin très escarpé attire les touristes et les Parisiens pour ses vues imprenables sur la capitale . Il réunit collines, grottes, cascades, lac, ruisseaux, pelouses, plantations variées et belvédères, ainsi qu’un pont suspendu de 60 m au-dessus du lac . Sans oublier le temple de la Sibyl-le, inspiré du temple de Vesta à Tivoli, en Italie .

Des sas de décompressionQuelle que soit l’époque, l’eau a toujours joué un rôle primordial dans l’aménagement des jardins . Outre ses atouts esthétiques, elle est surtout utilisée pour ses vertus apaisantes . Dans une capitale comme Paris, plombée par le stress au quotidien, les bois percés de lacs constituent des sas de décompression privilégiés . Notamment les plus spacieux : à l’ouest, Boulogne, et à l’est, Vincennes .

Le premier est connu, entre autres, pour son jardin de Bagatelle, qui accueille une magnifique roseraie . Les pivoines, clématites, iris, dahlias, crocus, jacinthes qui tapissent ses alentours font inévitablement penser à un tableau de Monet .

Le second est très apprécié des familles . Equipé d’espaces de jeux, de balançoires et de manèges, il fait la joie des enfants, qui peuvent aussi profiter de balades en poney ou en canoë . Il est particulièrement animé l’été avec ses concerts de jazz .

Certains lui préfèrent néanmoins le parc André Citroën, installé en bord de Seine au début des années 1990 sur l’ancien site du constructeur automobile . Il concentre dans un même lieu une étonnante diversité d’univers : outre les nombreux parterres thématiques et saisonniers qui bordent les 18 hectares du parc, on apprécie la bambouseraie qui jouxte un jardin en mouvement . Au

centre, une immense pelouse marque la frontière avec un jardin japonais creusé en terrasses . Le tout dans un décor futuriste où se dressent deux grandes serres, des jets d’eau et le fameux ballon qui transporte chaque jour des dizaines de passagers à 150 m au-dessus de Paris . Sensation assurée .

Le tout récent parc Clichy Batignolles (situé dans le 17e

dans l’ex-gare des Batignolles) fait lui aussi le pari de réunir trois thèmes majeurs : le sport avec terrain de basket et aire de skate, les saisons et l’eau . Pensé par l’architecte paysagiste Jacqueline Osty, il fait figure d’exemple en matière de développement durable . En attestent une gestion optimale de l’énergie (éolienne et panneaux solaires), un système de récupération des eaux pluviales et l’utilisation de plantes peu consommatrices en eau . En 2008, le jardin a pris le nom du pasteur Martin Luther King .

Des lieux de convivialitéEn prise totale avec la vie des quartiers, d’autres espaces verts constituent des lieux de convivialité, où hommes, femmes et enfants prennent plaisir à cultiver leur potager . Ces nouveaux territoires de sociabilité, souvent gérés par des associations, verdissent de plus en plus la capitale, qui en recense aujourd’hui près de 70 . L’un des plus insolites demeure celui de l’Aqueduc dans le 14e arrondissement de Paris . Ce jardin peuplé de fleurs, de légumes et d’abeilles est accessible par un escalier central qui distribue trois grandes terrasses, divisées chacune en de multiples petites parcelles . Enraciné sur 1000 m2 le long des voies du RER B, cette parcelle de campagne qui s’interdit tout pesticide occupe 280 adhérents . Ce type d’initiative inspirée du modèle américain – les premiers exemples ont vu le jour à New York au début des années 1970 – essaime de plus en plus dans les provinces françaises . Entre héritage des jardins ouvriers et friches d’expérimentations, ils participent, en tout cas, d’un nouvel esthétisme urbain qui relie esprit collectif, pédagogie et

Land & Leute Land & Leute

Pour en savoir plus :www.parisinfo.com/visite-paris/parcs-et-jardins

Croque-monsieur et croque-madameIngrédients pour 4 personnes :

8 tranches de mie de pain

30 g de beurre fondue

4 tranches de jambon

(4 œufs)

1/4 litre de lait

30 g de beurre

30 g de farine

Sel

Poivre du moulin

Noix de Muscade

50 g de gruyère râpé

Préparation :

Préchauffez le four à 180°C pendant 10 minutes.

Réalisez la sauce béchamel. Faites un roux avec la farine et le beurre.

Ajoutez le lait et faites cuire en fouettant. Assaisonnez et ajoutez une

pincée de noix de muscade. Réservez. Beurrez ensuite les tranches

de mie de pain. Recouvrez d’une tranche de jambon coupée en deux.

Ajoutez une fine couche de sauce béchamel. Masquez le croque-mon-

sieur de sauce béchamel et saupoudrez de gruyère râpé. Passez les

croque-monsieur 10 minutes sous le grill jusqu’à ce qu’ils soient bien

dorés. Surmontés d’un œuf à cheval, ils deviendront croque-madame !

le jardin des Tuileries le parc André Citroën Bois des Vincennesle Bois de Boulognele jardin du Luxembourg

respect de l’environnement . A l’heure où les projets de gratte-ciels défigurent le sol parisien, ce type de jardins s’impose pour rappeler une vérité populaire et certaine : que la nature est tout simplement moins anxiogène pour l’être humain .

> Nathalie Raut est journaliste. Elle vit à Paris.

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Interview Interview

Clichy-Batignolles se réinvente

projet olympique, l’État et la Ville ont demandé que soit privilégié le plus important programme de logements . Ensuite est arrivée la perspective de l’installation du fu-tur Palais de Justice de Paris, accompagnée par la Direc-tion Régionale de la Police Judiciaire et par la Maison des avocats . Enfin, le prolongement de la ligne 14 du métro avec ses deux stations est venu heureusement renforcer l’accessibilité au secteur . Actuellement, plusieurs chan-tiers sont engagés ; ils vont se multiplier et s’étendre pro-gressivement .

tdu: Quels sont les projets futurs sur le site ?François Grether: Il y a les importantes composantes du projet urbain, qui sont connues, programmées dans les procédures et dont l’élaboration est engagée . Mais, je souhaite aussi évoquer des projets complémentaires, souhaitables, dont je suis persuadé qu’ils interviendront ultérieurement .

Ceci concerne l’extension de la ligne de tramway T3 avec la transformation du boulevard Berthier, la reconversion du site et des beaux bâtiments de Garnier pour les décors de l’Opéra, la mise en valeur des liaisons avec Clichy La Garenne et le traitements des espaces confrontés au boulevard périphérique, le devenir de la voie ferrée de petite ceinture, le lancement de certains franchissements supplémentaires du faisceau ferré et la

revalorisation de la petite gare de Pont Cardinet, etc . En outre, il y aura sans aucun doute d’autres évolutions, des changements imprévisibles en réponse à des attentes futures .

tdu: Un réaménagement de cette envergure est un projet de longue haleine. Quand devrait s’achever la transformation du site ?François Grether: Les réalisations qui sont actuellement préparées se dérouleront jusqu’en 2018 . C’est à partir de cette date que les usages des nouveaux habitants et actifs trouveront progressivement leur place, peut-être comme nous avons pu l’imaginer, mais aussi différemment à divers égards .

Cependant, l’achèvement de notre travail ne peut pas être regardé comme une fin pour une partie de la ville . Tout projet urbain porte sur les transformations d’un moment, celle d’un passage dans le mouvement lent et continu de la ville . Il y a un avant, une histoire antérieure avec sa trajectoire, qui souvent détermine le projet, et il y a un après, qu’il faut préserver pour tous les enrichissements imprévus, les attentes qui surgiront dans l’avenir .

> Propos recueillis par Béatrice Simon.

Paris bouge. Les franges oubliées de la capitale sont en train de prendre

un nouveau visage. Par son ampleur et son ambition, Clichy-Batignolles

est l’un des plus grands projets urbains engagés dans la capitale française.

Nous avons interviewé l’un des principaux acteurs de ce projet, Monsieur

François Grether, architecte-urbaniste.

Pour plus d’informations : http://www.clichy-batignolles.fr

tdu: M. Grether, vous êtes l’urbaniste en charge de la méta-morphose du quartier des Batignolles. Quel est le challenge d’un tel projet urbain ?François Grether: Le devenir du site des Batignolles appa-raît comme un enjeu important et passionnant de par sa situation dans Paris et dans le nord-ouest parisien à la jon-ction du 17e arrondissement avec Clichy La Garenne et Le-vallois Perret, son étendue sur environ 50 hectares dans la partie la plus dense du Grand Paris et enfin de par sa con-frontation avec les grandes infrastructures ferro- viaires et avec le boulevard périphérique . La perspective annoncée d’y réaliser un nouveau parc paysager représen-tait aussi un vrai défi .

tdu: Quels sont les objectifs principaux de ce projet ? Et en quoi est-il novateur ?François Grether: Les principaux objectifs fixés par la Ville dès l’origine de la démarche, sont de relier les dif-férents quartiers riverains jusque là séparés par les in-frastructures, de réaliser un grand parc paysager dans la partie la plus compacte et minérale de l’agglomération, de construire un maximum de logements avec une part sociale prépondérante (55%), de répondre à de très fortes exigences de développement durable et enfin d’intégrer les fonctions de logistique urbaine . Ces objectifs doivent se conjuguer et concourir à une forte ambition globale . Le rayonnement et les effets du projet peuvent dépasser lar-gement ses contours ou périmètres, pour s’inscrire dans la métropole, comme un lieu de centralité ou de polarité nouvelle dans le nord-ouest parisien, dépourvu de monu-ments, d’institutions ou d’équipements majeurs . Des con-tinuités écologiques sont à prolonger sous la forme d’une vaste trame verte bien au-delà du parc . Les édifications peuvent constituer un paysage architectural exceptionnel, représentatif de la création contemporaine, de sa diversi-té, dans le but d’exprimer le dynamisme de Paris .

Vous demandez quelles sont les nouveautés ? Pour moi, chaque projet demande une démarche particulière, à chaque fois différente, issue d’une situation singulière, une aventure qui est donc par définition nouvelle .

tdu: Vous avez travaillé avec Jacqueline Osty, architecte-pay-sagiste. Comment se manifeste concrètement cette collabo-ration ?François Grether: Il ne s’agit pas de notre premier tra-vail en collaboration . Pour le nouveau parc Martin Luther King, nous avons retenu ensemble trois thèmes de la con-ception à développer : l’exercice du corps, la pratique de jeux et sports libres, pour tous les âges ; le spectacle de l’eau et de son cycle depuis le recueil des eaux de pluie jusqu’à leur traitement ; l’expression des saisons et, pour moi, la prise en considération des divers aspects du temps, des rythmes naturels et des conditions climatiques .Ensuite, c’est Jacqueline Osty qui réalise complète-ment l’ensemble des traitements paysagers, alors que j’interviens pour les quelques éléments à construire dans le parc . Il faut noter que la même équipe coopère, avec d’autres répartitions des tâches, pour le déroulement des aménagements urbains et pour la maîtrise d’œuvre des voies publiques nouvelles .

tdu: Ce projet a débuté en 2003. Où en est-il aujourd’hui ? François Grether: Le déroulement de ce projet a connu plusieurs périodes . Tout d’abord, celle du village olym-pique [ndlr : il était prévu de construire le village olym-pique sur le site des Batignolles en cas de succès de la can-didature de Paris pour les Jeux Olympiques de 2012] . Puis, la réalisation rapide d’une première partie du parc, dont la très forte fréquentation démontre un succès certain ; pourtant, sa limitation provisoire prive encore ce parc de l’ampleur des plans d’eau centraux, des parcours traversa-nts, des habitants et activités riveraines futures . Après le

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Forum FremdsprachenInterview

Questions à Mme le ProviseurLe Lycée-collège Honoré de Balzac est un établissement unique en son genre. Niché

au cœur du quartier des Batignolles à Paris, il acceuille 2000 élèves, dont la moitié en

section internationale, tout en s’ouvrant aux arts. Interview avec Katia Blas, ancienne

prof d’allemand et proviseur de l’établissement.

Mehr über die Cité scolaire Honoré de Balzac:http://lyc-balzac.scola.ac-paris.fr

tdu: Mme le Proviseur, vous dirigez la cité scolaire Honoré de Balzac. Quelles sont les spécificités de votre établissement ? Katia Blas: La cité scolaire Honoré de Balzac est composée d’un collège de 920 élèves, d’un lycée de 805 élèves, de classes post baccalauréat, plus encore une cinquantaine de stagiaires adultes de la formation continue . La moitié des élèves du collège et du lycée sont des élèves de « sections internationales », c’est-à-dire qu’ils préparent l’option internationale du baccalauréat en allemand, anglais, espagnol, arabe, portugais et italien .

tdu: A qui s’adressent ces sections internationales ?Katia Blas: La section internationale s’adresse plus particulièrement aux élèves biculturels, qui ont un parent dont la langue est le français et un parent dont la langue est autre que le français . Elle peut aussi s’adresser à des enfants dont les deux parents sont français mais qui ont vécu un temps assez long dans un autre pays, ou encore à des parents français qui souhaitent faire « baigner » leur enfant dans une autre culture depuis leur plus jeune âge … Les élèves doivent être capables de s’exprimer dans les deux langues à l’entrée au collège .

tdu: Votre section allemande accueille cette année 134 élèves de la 6e à la terminale. Où en est l’apprentissage de l’allemand en France ?Katia Blas: L’allemand, après avoir fortement décliné à la fin du XXe siècle (parce que « langue des bons élèves » ou langue difficile) progresse à nouveau, suite aux mesures prises lors des accords de Saarbrücken en 2003, notamment grâce à la création de classes Abibac et au soutien de l’OFAJ à tous les projets de rapprochements franco-allemands .

tdu: Votre établissement offre aussi une option cinéma et des actions culturelles plutôt inhabituelles pour un lycée-collège...Katia Blas: L’établissement a un équipement de pointe autour du cinéma : salles de montage, de projection, studio d’enregistrement et il noue des partenariats avec le monde du cinéma. Dans ce cadre, il offre aux élèves du lycée une option de la seconde à la terminale,

mais le cinéma est aussi une spécialité du bac littéraire. L’établissement bénéficiant de très belles installations sportives (une piscine, 4 gymnases), il offre aussi des options en plus de l’horaire normal d’éducation physique obligatoire. Nous avons enfin une option arts plastiques au lycée qui nous permet chaque année d’organiser, avec l’option cinéma une « semaine des arts ».

tdu: Balzac est situé au cœur du quartier des Batignolles. Comment s’intègre-t-il dans cet environnement ?Katia Blas: La cité Balzac est l’établissement scolaire parisien le plus vaste, puisqu’il s’étend sur 5 hectares . Le quartier des Batignolles est en rénovation . Les enseignants de sciences et technologie particulièrement, utilisent la dynamique créée par cette rénovation du quartier pour rendre leurs cours plus concrets et sensibiliser les élèves aux problèmes écologiques . L’établissement possède aussi une grande « salle des fêtes » de 400 places qu’il peut mett-re à disposition d’associations de quartier ou de la mairie pour être en osmose avec son environnement .

tdu: 2000 élèves sont scolarisés à Balzac. Quels sont les défis majeurs à relever pour une école d’une telle envergure ?Katia Blas: Le défi majeur est, bien sûr, de faire réussir tous les types d’élèves, en diversifiant les parcours propo-sés, en utilisant au maximum les aides mises à disposi- tion des élèves, les partenariats . Le défi est aussi d’obtenir une rénovation complète et cohérente de l’établissement car, malgré l’espace important, la plupart des locaux datant de 1954 ne sont plus adaptés à la pédagogie d’aujourd’hui et à l’ accueil d’un public international .

tdu: Si vous deviez formuler des vœux pour l’avenir de votre établissement, quels seraient-ils ?Katia Blas: De meilleurs résultats pour tous, un environ-nement agréable, rénové, un projet d’établissement solide et ambitieux qui entraîne toutes les parties prenantes vers des objectifs communs, un climat serein entre les élèves et les adultes et entre élèves …

> Propos recueillis par Nathalie Karanfilovic

von Schülerinnen und Schülern gegenüber dem Fach und der/ dem Unterrichtenden stillschweigend übergangen . Das ist unbefriedigend für die Lehre-rinnen und Lehrer, und die Skepsis sowie Unsicherheit gegenüber Veränderungen „von oben“ mag gerade auch der Einsicht geschuldet sein, dass viele Probleme, bei deren Lösung man Hilfe erwartet, sehr viel „bodenständiger“ sind .

Natürlich wird jede(r) Unterrichtende – auch im Austausch mit Kolleginnen und Kollegen – ihr eigenes Inventar von Verhaltensmaßnahmen für die Interaktion in und mit der Klasse entwickeln und anwenden . Dieses Inventar sichert einen Französisch-unterricht mit einem klaren „cadre structurant“, von dem Meirieu spricht . Dazu gehören u .a .– ein Stundenbeginn und ein

Stundenende, die deutlich durch die Lehrkraft gesetzt werden (und nicht durch das Klingelzei-chen)

– klar formulierte Arbeitsan-weisungen, die die Aufmerksamkeit und die Aktivität der Lerner in jeder Lernphase jeweils gezielt lenken

– eine interessierte Wahrnehmung von Lernerleistungen (von der Hausaufgabe bis zur mündlichen Mitarbeit) sowie eindeutige, indivi-duelle Rückmeldungen

– die aktive Einbeziehung von Schülerinnen und Schülern bei der Gestaltung von Unterrichtsphasen, einzelnen Stunden oder Unter-richtseinheiten

Clip didactique: AlltagserfahrungenVon Eynar Leupold

Philippe Meirieu gilt als einer der prominentesten und angesehensten Pädagogen in Frankreich . In einem Interview, das in der Tageszeitung Le Monde unter der Überschrift „Contre l’idéologie de la compétence, l’éducation doit apprendre à penser“ erschien, berichtet er u .a . von seinem Eindruck in einer Grundschulklasse . Er schreibt:Pour avoir enseigné récemment en CM2 après une interruption de plusieurs années, je n’ai pas tant été frappé par la baisse du niveau que par l’extraordinaire difficulté à contenir une classe qui s’apparente à une cocotte-minute. Dans l’ensemble, les élèves ne sont pas violents ou agressifs, mais ils ne tiennent pas en place. Le professeur doit passer son temps à tenter de construire ou de rétablir un cadre structurant.

Lehrerinnen und Lehrer werden diese Erfahrung mit einem müden Achselzucken quittieren, denn sie erleben täglich in der Begegnung mit Schülerinnen und Schülern diese Herausforderung . Sicher, das quirlige Verhalten aus der Grundschule mutiert zu einer manifesten und aufreizenden Gleichgültigkeit bei manchen Lernern in der weiteren Schullaufbahn . Aber in jeder Stunde gilt es, erstmal die atmosphärische Grundlage für ein nachhaltiges Lernen zu schaffen .

Bei der lebhaften fachdidaktischen Diskussion um Qualitätssicherung, um Standards, um Kompetenz-orientierung oder Lernaufgaben wird dieser Aspekt des Lehr- und Lernprozesses, nämlich die Verän-derung in dem aktuellen Verhalten

– die überlegte Reaktion auf Störungen durch Einzelne in der Klasse .

Aber wie volatil das Geschehen im Unterricht trotz einer klaren und strukturierten Planung sein kann, zeigt das folgende Praktikumserleb-nis aus einer Französischstunde in einer 3 . Klasse einer Grundschule in Baden-Württemberg .Der Sitzkreis war gebildet . Die Unterrichtende hatte gerade ihr großformatiges „album“ aufgeschla-gen und die Aufmerksamkeit der Schülerinnen und Schüler mit einer guten Arbeitsanweisung gesteuert, als ein Schüler aufschrie: „Da ist eine

Spinne!“ . In der Tat bewegte sich eine Spinne durch den Sitzkreis . Einzelne Schülerinnen und Schüler sprangen auf, andere fragten, wo das Tier sei, wiede-rum andere gaben der Lehrerin

den Hinweis: „Die darf man aber nicht tot machen .“ Kurz: es entstand ein Minichaos . Erst die souveräne Reaktion („Handlungskompetenz“) der Unterrichtenden, die die Spinne mit ihrem Taschentuch einfing und sie aus dem Fenster ins Freie warf, ermöglichte anschließend einen nicht mehr ganz konzentrierten Neuanfang der Unterrichtsphase .

> Prof. Dr. Eynar Leupold arbeitet als Universitätsdekan und Forschungsdirektor an der Groupe Ecole Supérieure de Com-merce in Troyes (Frankreich). Er ist Präsident der Sektion Französisch der Klett-Akademie für Fremdsprachendidaktik.

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Gestuftes Üben Die Texte, Übungen und Aufgaben zu den jeweiligen Kompetenzen stehen in einem klar erkennbaren inhalt-lichen Zusammenhang, wodurch Kompetenzorientierung . bewusst mit Inhaltsorientierung verbunden wird . Im Atelier-Teil der Unité ermöglichen abgestufte Übungsse-quenzen die Verknüpfung der Lernbereiche mit Blick auf ein kommunikatives Ziel (Abb. 1) . Im Beispiel Seite 33 werden anhand des Themas „Vorlieben“ die kommunika-tiven Kompetenzen mit dem Aufbau methodischer kom-petenter (Ministrategie) und interkultureller Kompetenz (Begegnungssituation) verbunden. Zur individuellen Förderung bieten Schülerbuch und Cahier d’activités stets ein En plus-Angebot an zusätzlichen

Forum Fremdsprachen Forum Fremdsprachen

« Le rap à Paris, c’est oui! » – so munter auf Französisch rappend, hüpfen zwei Jungen nach der Französischstunde die Treppe hinunter in die Pause . Sie gehören zu den 31 Schülern eines 6 . Jahrgangs des Ernst-Barlach-Gymnasiums in Castrop-Rauxel, die seit dem Schuljahr 2011/12 mit dem neuen Découvertes arbeiten und dabei offensichtlich Spaß haben, wie auch die Eltern am ersten Elternsprechtag bestätigen . Was bietet also der Unterricht mit dem neuen Lehrwerk? Und wie kommt es bei aller Freude am Unter-richt der konsequenten Förderung der Kompetenzen nach?

Transparente OrientierungZu Beginn jeder Unité bietet eine Bildseite mit dem Titel Découvertes den Einstieg in die thematische Einheit, fordert durch Vis-à-vis-Kästen zum interkulturellen Nachdenken auf und benennt kurz und leicht verständlich das kom-munikative Ziel der Unité in einem Portfolioauftrag . So erhalten die Lerner z . B . zu Beginn der „Geburtstags“-Unité 3 die Aufgabe, über ein eigenes Familienfest zu sprechen, was sie mit Hilfe eines Fotoromans oder einer Collage als Portfolioprodukt umsetzen . Die didaktische Forderung nach „Ergebnisorientierung“ wird so mit Leben gefüllt . Anschließend können die Lernenden ihr sprachliches Können im Bilan-Teil eigenständig überprüfen .

IdentifikationspotenzialDie Texte bieten in ihrer Vielfalt (Dialog, Fotoroman, gezeichnetes journal intime …) und mit ihrer Figurenwelt ein direkt spürbares Identifikationspotenzial für die 11-jährigen Lerner . Der Vergleich mit den Lehrwerksfi-guren spielt ja gerade in diesem Alter eine wichtige Rolle, nur zu gerne sprechen die Schüler darüber, wen sie „cool“ oder unsympathisch finden . Auch der Spannungsbogen der Texte von einem Teil zum nächsten (z . B . die Frage: Ist Alex nun ein Junge oder ein Mädchen?) findet klaren Zu-spruch . Durch die sachte, aber stetige Progression können die Schüler nach und nach auch größere Texportionen mit spannenden Inhalten bewältigen (z .B . U 4, in der ein USB-Stick verschwindet) .“

„Französisch macht Spaß!“ – Kompetenzorientiertes Arbeiten mit dem neuen Découvertesvon Ulrike C. Lange

Übungen zur Differenzierung nach oben und unten, sowie DELF-Trainingsaufgaben an.Im folgenden Pratique-Teil geht es dann ausschließlich um die schülereigene Perspektive, aus der heraus die Lerner lebensnahe Aufgaben bewältigen, so z . B . lesend aus einer Auswahl authentischer Dokumente ein passendes Geburtstagsgeschenk zu wählen (Abb. 2). Dabei werden die Aufgaben zunehmend komplexer und gehen so behutsam, aber konsequent auf die Forderung nach mehr Aufgabenorientierung ein .

Selbstständigkeit der Lernenden

Das selbstständige Arbeiten mit dem Ziel, das lebenslange Sprachenlernen anzuregen, hat in Découvertes einen be-sonderen Stellenwert . Hilfreiche Verweise und Strategien versetzen die Schüler von Anfang an in die Lage, ihren Lernprozess wahrzunehmen und zu steuern . Die Unités 5 und 7 bauen die Selbsttätigkeit der Lernenden weiter auf: Die fünfte Unité bietet Activités au choix, die die Schüler in selbstgewählter Reihenfolge bearbeiten können, während Unité 7 einen Schritt weiter geht und einen vollständigen Übungszirkel als Stationenlernen anbietet . Immer geht es darum, die Schüler zu mehr Lernerautonomie zu bringen, ohne sie dabei zu überfordern oder allein zu lassen .

Spaß durch rhythmisches ÜbenBei all dem kommt die Freude am Französischlernen nicht zu kurz . Lieder unterschiedlicher Genres, rhyth-mische Übungen, Rollen- und Bewegungsspiele tragen dem Alter und dem Bewegungsdrang der Lernenden Rechnung . Sie lernen die ersten Verben z . B . mit einer entsprechenden Bewegung im rhythmischen Sprechen (Abb . 3), wodurch die Behaltensleistung deutlich erhöht wird . Die Lernenden helfen sich anschließend gegenseitig bei der Übung durch das Vormachen der entsprechenden

Bewegung . Auch zahlreiche Lieder, die zum Mitsingen einladen, sorgen nicht nur für Auflockerung, sondern hel-fen auch beim Grammatikerwerb, so z . B . Le rap des crêpes, der Verbformen übt . Als besonderes Bonbon präsentiert das Cahier d’activités Hinweise und Hilfen zur sukzessiven Einstudierung eines deutsch-französischen Klassenthea-terstücks, in dem die Inhalte der Unités verarbeitet und damit spielerisch gefestigt werden . Die Schüler agieren entweder frei oder lassen sich von dem vorliegenden Stück des Knirpstheaters (www .knirpstheater .de) inspirie-ren, das eigens zum Lehrbuch passend geschrieben wurde .

Zusammenfassend lässt sich sagen, dass das Lehrwerk von Anfang an durchgehend der Kompetenzorientierung verpflichtet ist, indem es die kombinierte Schulung der kommunikativen, interkulturellen und methodischen Kompetenzen in den Mittelpunkt stellt . Es ist also nicht verwunderlich, dass die Schüler aus Castrop-Rauxel be-reits in der ersten Klassenarbeit zum Thema Bonjour Paris (4 Teile: Hören, Lesen, Schreiben schriftlich und Sprechen als mündliche Teilprüfung) zeigen konnten, dass ihnen die Sprache nicht nur Spaß macht, sondern die kompeten-zorientierte Vermittlung auch Früchte trägt .

> Ulrike C. Lange, Fachleiterin für Französisch am Studienseminar Reck-linghausen und stellvertretende Bundesvorsitzende der Vereinigung der Französischlehrerinnen und –lehrer (www.fapf.de). Sie unterrich-tet am Ernst-Barlach-Gymnasium in Castrop-Rauxel.

GrammaireBilanPratique 3Atelier A B

53

Pratique: tâches

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Abb. 2 (Découvertes, Série jaune, Schülerbuch, S. 53)

Grammaire 2A Bilan

27

Atelier A

vingt-sept

Qu’est-ce que c’est en français?

A Ecoutezetrépétez.

B Regardezl’exemplesurlaphotoetjouez.(SchauteuchdasBeispielaufdemFotoanundspielt.)

En rythme

Ecoutezetmimezlesverbesquevousentendez.(HörtzuundmachtPantomimenzudenVerben,dieihrhört.)

je regarde … j’écoute … je parle …

je cherche … je trouve … je porte … je travaille …

1Jeu de mots

42

Mehr dazuc53vr4

Jeu de mots 243 – 44

22, 3

une gomme

un stylo

un livre

un crayon

un cahier

Atelier B Pratique

Oui, c’est un stylo.Qu’est-ce que c’est en français?

C’est un truc bizarre.

C’est un stylo?

DO01622011_L2_026_038.indd 21.11.2011 13:52:19 Seite: 27 [Farbbalken für Fogra39] CyanDO01622011_L2_026_038.indd 21.11.2011 13:52:19 Seite: 27 [Farbbalken für Fogra39] MagentaDO01622011_L2_026_038.indd 21.11.2011 13:52:19 Seite: 27 [Farbbalken für Fogra39] YellowDO01622011_L2_026_038.indd 21.11.2011 13:52:19 Seite: 27 [Farbbalken für Fogra39] BlacK

Abb. 3 (Découvertes, Série jaune, Schülerbuch, S. 27)

GrammaireBilanPratique 2Atelier BA

33

Ils travaillent, ils parlent … (G 5)

A Trouvezlepronom.(FindetdasPronomen.)

Exemple: ? cherche une BD. (Léo) R Il cherche une BD.

1. ? cherche une BD. (Léo)2. ? parlent. (Marie et Mme Latière)3. ? sont à l’école. (Alex et Jérôme)4. Marie et Léo, ? aimez le rugby?5. Oui, ? aimons le rugby.

B Trouvezlaformecorrecteduverbe.(FindetdierichtigeVerbform.)

1. Tu (parler) avec un monsieur.2. – Monsieur, vous (travailler)?3. – Non, je (regarder) le journal.4. Et toi, tu (chercher) Léo et Marie?5. – Oui. Ah, voilà, ils (arriver).6. – Salut, nous (chercher) la rue Nollet.

Le sport et la musique

Ecoutez,puisfaitesdeuxfiletsàmots.(HörtzuunderstelltdannzweiWortnetze.)

Tu aimes la musique, Léo?

Ecoutez,puisnotezdeuxchosesqueLéoaimeetdeuxqu’ildéteste.(Hörtzu.SchreibtdannzweiDingeauf,dieLéomagundzwei,dieernichtmag.)

Exemple:

la musique …

Et toi, qu’est-ce que tu aimes?

Parlezavecvotrevoisin.Utilisezdesmotsdel’exercice7.(SprechtmiteuremNachbarn.VerwendetWörterausderÜbung7.)

En forme 6 R En plus 125, 3

Jeu de mots 7Mehr dazu

3kp4um

59

8Ecouter

60

9Parler R En plus 125, 4

trente-trois

le rock

la chanson

le rap la techno

la musique classique

le judo

le rugby

le vélo

le foot

la gymnastique

aimerdétester

le rugbyl’écolela techno

– J’habite rue Truffaut. Et toi, tu habites où?

– J’habite à Neunkirchen, Jägerstraße.

– J’aime le rugby. Et toi, qu’est-ce que tu aimes?

– J’aime le vélo et le rock. Et toi, tu aimes aussi

le rock?

– Oui, j’aime aussi le rock. / Non, je déteste le rock.

– Et Max, qu’est-ce qu’il aime?

– Il aime la musique classique.

– Et Sonia, qu’est-ce qu’elle aime?

– Elle aime le foot.

on dit

le rap

le rugby

le sport

la musique

Du musst hier nicht jedes Wort ver stehen. Achte vor allem darauf, was auf J’aime … und Je déteste … folgt.

Miaou. Moi, j’habiteCité des Fleurs.

DO01622011_L2_026_038.indd 21.11.2011 13:53:22 Seite: 33 [Farbbalken für Fogra39] CyanDO01622011_L2_026_038.indd 21.11.2011 13:53:22 Seite: 33 [Farbbalken für Fogra39] MagentaDO01622011_L2_026_038.indd 21.11.2011 13:53:22 Seite: 33 [Farbbalken für Fogra39] YellowDO01622011_L2_026_038.indd 21.11.2011 13:53:22 Seite: 33 [Farbbalken für Fogra39] BlacK

Abb. 1 (Découvertes, Série jaune, Schülerbuch, S. 33)

Grammaire Bilan Pratique2 AtelierB A

33

Ils travaillent, ils parlent … (G 5)

ATrouvezlepronom.(FindetdasPronomen.)

Exemple: ? cherche une BD. (Léo) R Il cherche une BD.

1. ? cherche une BD. (Léo)2. ? parlent. (Marie et Mme Latière)3. ? sont à l’école. (Alex et Jérôme)4. Marie et Léo, ? aimez le rugby?5. Oui, ? aimons le rugby.

BTrouvezlaformecorrecteduverbe.(FindetdierichtigeVerbform.)

1. Tu (parler) avec un monsieur.2. – Monsieur, vous (travailler)?3. – Non, je (regarder) le journal.4. Et toi, tu (chercher) Léo et Marie?5. – Oui. Ah, voilà, ils (arriver).6. – Salut, nous (chercher) la rue Nollet.

Le sport et la musique

Ecoutez,puisfaitesdeuxfiletsàmots.(HörtzuunderstelltdannzweiWortnetze.)

Tu aimes la musique, Léo?

Ecoutez,puisnotezdeuxchosesqueLéoaimeetdeuxqu’ildéteste.(Hörtzu.SchreibtdannzweiDingeauf,dieLéomagundzwei,dieernichtmag.)

Exemple:

la musique…

Et toi, qu’est-ce que tu aimes?

Parlezavecvotrevoisin.Utilisezdesmotsdel’exercice7.(SprechtmiteuremNachbarn.VerwendetWörterausderÜbung7.)

En forme6R En plus 125, 3

Jeu de mots7Mehr dazu

3kp4um

59

8 Ecouter

60

9 ParlerR En plus 125, 4

trente-trois

le rock

la chanson

le rap la techno

la musique classique

le judo

le rugby

le vélo

le foot

la gymnastique

aimerdétester

le rugbyl’écolela techno

– J’habite rue Truffaut. Et toi, tu habites où?

– J’habite à Neunkirchen, Jägerstraße.

– J’aime le rugby. Et toi, qu’est-ce que tu aimes?

– J’aime le vélo et le rock. Et toi, tu aimes aussi

le rock?

– Oui, j’aime aussi le rock. / Non, je déteste le rock.

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– Et Sonia, qu’est-ce qu’elle aime?

– Elle aime le foot.

on dit

le rap

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Du musst hier nicht jedes Wort ver stehen. Achte vor allem darauf, was auf J’aime … und Je déteste … folgt.

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Diese Übungsfolge zum Themenkomplex „Wohnort, Hobbies, Vorlieben“ führt über ein Vokabelnetz sowie über eine Ministrategie zum Hörver-stehen hin zum Sprechen.

Découvertes, Série jauneab Klasse 6SchülerbuchISBN 978-3-12-622012-5 € 16,95

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Rubrik Rubrik

12 | Klett-Magazin trait d’union Klett-Magazin trait d’union | 13

Unterrichtspraxis Unterrichtspraxis

Bereits vor hunderten von Jahren wurde die „Vielfalt der Köpfe“ von Pä-dagogen thematisiert . Während jedoch im Alltagsverständnis Vielfalt ein zu-nehmend positiv besetzter Begriff ist, wird Heterogenität in der deutschen Schullandschaft durchaus ambivalent gesehen . Durch zahlreiche, mehr oder weniger diffizile, organisatorische Maßnahmen wird versucht, leistungs-homogene Gruppen herzustellen . Dabei wurde komplett übersehen, dass Leistung keine Voraussetzung sondern eine Folge von Lernprozessen ist . Es ist an der Zeit, hinter den Leistungsbegriff zu schauen und zu überlegen, welche Lernvoraussetzungen zu unterschied-lichen schulischen Leistungen führen . Vergleicht man die Schüler einer Lern-gruppe (z .B . Schulklasse), so wird sehr schnell deutlich, dass sie sich beträcht-lich in ihren Lernvoraussetzungen unterscheiden . Dies betrifft sowohl ihre medizinisch-physiologischen Vor-aussetzungen (Hörvermögen, Sehver-mögen, Sprachvermögen) als auch ihre anthropologisch-psychologischen An-lagen (z .B . Motivation, Konzentrations-fähigkeit, Gedächtnis, Ausdauer und Selbstkontrolle) . All diese Unterschiede in den Lernvoraussetzungen sind zum einen Teil erblich prädisponiert, zum anderen Teil durch familiale und schulische Sozialisation verstärkt oder vermindert worden . Lernen ist also in jedem Fall ein hochgradig individueller und subjektiver Prozess . Es ist deshalb höchste Zeit, dass neben

Phasen einheitlichen unterrichtlichen Vorgehens verstärkt auch Phasen stär-ker individualisierender Lernangebote treten .

Im Folgenden soll kurz umrissen wer-den, wie im Fremdsprachenunterricht unter den gegebenen schulischen Rah-menbedingungen stärker differenziert unterrichtet werden kann

Differenzierung bei der Textrezeption

Bei der Rezeption fremdsprachiger Texte (Leseverstehen / Hörverstehen /

Hör-Seh-Verstehen) lässt sich recht gut individualisieren . Im Wesentlichen lassen sich folgende Formen differen-zierter Angebote einsetzen:

1. Gleicher Text – gleiche Aufgabe – unterschiedliche HilfenAlle Schüler rezipieren den gleichen Text (z .B . Lehrwerkstext) und erledigen die gleiche(n) Aufgabe(n) . Lerner, die dabei auf Schwierigkeiten stoßen, erhalten vom Lehrer (evtl . auf Nachfrage) weitere Hilfen (scaffolds) . Solche Hilfen könnten z .B . weitere Illustrationen, Wortschatzhilfen oder auch strategische Hinweise sein .

Mit Heterogenität umgehenViele Lehrerinnen und Lehrer nehmen derzeit die Heterogenität von Lerngruppen

bewusst war und verstehen dies als besondere pädagogisch-didaktische Heraus-

forderung der Gegenwart. Wenngleich diese verstärkte Sensibilität durchaus zu

begrüßen ist, so ist zugleich zu bemerken, dass es sich keinesfalls um ein neues

Phänomen handelt. Von Frank Haß

Texte an . Dort, wo dies nicht der Fall ist, liegen die Texte aber zumindest in digitalisierter Form vor, so dass eine Bearbeitung mit wenig Aufwand möglich ist .

4. Unterschiedliche Texte – unter-schiedliche Aufgaben – unterschied-liche HilfenDiese anspruchsvolle Form der Differenzierung bedarf des wohl größten Vorbereitungsaufwandes und wird somit nur in ausgewählten Unterrichtsphasen eingesetzt werden . Im Prinzip handelt es sich hier um eine Freiarbeitsphase . Die Vorteile der starken Individualisierung müssen realistisch gegen den hohen Vorbe-reitungsaufwand abgewogen werden . Der Vorbereitungsaufwand lässt sich allerdings reduzieren, wenn das Lehrerkollegium als Team arbeitet .

Individualisierung bei der Entwicklung der sprach-lichen Mittel

Auch im Bereich der Wortschatzarbeit kann stärker differenziert vorge-gangen werden . Voraussetzung ist allerdings ein wortfeldorientiertes Arbeiten . Die Unsitte, neuen Lernwort-schatz durch das zufällige Vorkommen neuer Wörter in einem Text zu definieren, sollte endlich der Vergan-genheit angehören . Wird Unterricht kompetenzorientiert (= Befähigung zur Situationsbewältigung) geplant, so ergeben sich automatisch Wortfelder, die mit der zu bewältigenden Situation zusammenhängen . Diese Wortfelder können dann stärker differenziert werden . So könnte z .B . der Basiswort-schatz die Wörter und Wendungen enthalten, die von allen Schülern sicher beherrscht werden müssen . Der erweiterte Wortschatz enthält Wörter und Wendungen, die helfen, die Situation sprachlich differenzierter zu bewältigen . Dieser Wortschatz ist von den stärkeren Lernern zu erwerben . Darüber hinaus lernt jeder

Schüler noch eine festgelegte Anzahl an lexikalischen Einheiten, die für ihn persönlich bedeutsam sind . Auch bei der Arbeit an sprachlichen Strukturen ist differenziertes Vorgehen denkbar . So sollten Schüler natürlich mit wichtigen Strukturen vertraut gemacht werden . Inwieweit diese jedoch zum Gegenstand einer Bewusstmachung (Kognitivierung) gemacht werden, lässt sich mit Blick auf die jeweiligen Schüler differenziert gestalten . So ist z .B . denkbar, dass die eher schwachen Lerner einer Klasse eine Struktur nur verstehen (rezeptive Beherrschung), während die stärkeren Schüler dieselbe Struktur sprachpro-duktiv verwenden lernen .

Individualisierung bei der Textproduktion

Im Bereich der Textproduktion (Spre-chen, Schreiben) ist es zunächst mög-lich, auf die sogenannte „natürliche Differenzierung“ zu vertrauen . Dies bedeutet, dass alle Schüler prinzipiell die gleiche Aufgabe bearbeiten . Ist die Aufgabe offen genug gestaltet, wird der schwächere Schüler einen weniger komplexen, stärker am Muster angelehnten Text produzieren, der lernstärkere Schüler hingegen wird einen komplexeren Text produzieren, der weit über das vorgegebene Muster hinausgeht . Die individuelle Förde-rung kann hier noch verstärkt werden, wenn den Schülern entsprechend und ihres Leistungsvermögens differen-zierte Hilfen zur Verfügung gestellt werden . Nicht vergessen werden sollte, die stärkeren Schüler explizit zu komplexeren Texten zu animieren .

> Dr. Frank Haß ist Lehrer und Lehrerbildner; Autor und Herausgeber von Lehr- und Lern-materialien; Berater zur Schul- und Unter-richtsentwicklung.

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Kompetenzorientiertes Lernen in thematischen Modulen

Unterrichtspraxis Unterrichtspraxis

Aufbauend auf den Bildungsstandards für den Mittleren Bildungsabschluss (2003), auf deren Grundlage bundes-weit die sogenannte „Kompetenzorientierung“ Einzug in alle Unterrichtsfächer gehalten hat, sind in den vergangenen Jahren auch für das Fach Französisch die Kerncurricula der Länder entstanden . Es werden dort die „Funktionalen Kompetenzen“ Hör-/Hörsehverstehen, Le-severstehen, Schreiben, Sprechen und Sprachmittlung in den Vordergrund gestellt und Niveaustufen entsprechend dem Gemeinsamen europäischen Referenzrahmen (GeR) formuliert .

Veränderte Rolle der LehrwerkeIn den Kerncurricula der Länder wird die Nutzung des „Lehrwerks als Steinbruch“ empfohlen, um den Unter-richt nicht mehr allein entsprechend der in den Lehr-werken vorgeschlagenen Progression durchzuführen, sondern im Hinblick auf eine Kompetenzorientierung sinnvoll zu nutzen .

Hier stießen die unterrichtenden Lehrkräfte lange an Grenzen, da es mit vorhandenem Material kaum möglich schien, kompetenzorientiert an Themen zu arbeiten; auch fehlte es an Vorbildern, an denen man sich orientieren konnte . Zahlreiche Veröffentlichungen in praxisorientierten Fachzeitschriften (z .B . FU Französisch) haben in den letzten Jahren an illustrierenden Beispielen, an sogenannten „Lernaufgaben“ – insbesondere für den Sekundarbereich I – gezeigt, wie Kompetenzaufbau an interessanten Inhalten aussehen kann .

Die Forderung nach einer „neuen Lehrwerksgeneration“ wurde zeitgleich von den Fachdidaktikern klar formuliert: „Dabei wird es in Zukunft nicht mehr möglich sein, eine Lehrwerksprogression zugrunde zu legen, die sich primär am Sprachsystem orientiert und die wesentlich an der grammatischen Progression ausgerichtet ist . (…) Auch die methodischen Kompetenzen müssen so in die Lehrwerke

integriert werden, dass die Lerner sie für die Bearbeitung nachfolgender Aufgaben auch tatsächlich benötigen . Grundsätzlich wird zu überlegen sein, ob nicht eine größere Offenheit im Zugriff auf Texte und Lernaufgaben oder Übungen gewährleistet sein muss . Dies spricht eher für einen modularen Aufbau eines Lehrwerkes, nicht für die Abfolge aufeinander aufbauender Lektionen .“ (Caspari u .a ., 2008) .

In den niedersächsischen Kerncurricula für das Fach Fran-zösisch wird für die Fachkonferenzen folgender Auftrag formuliert: „Die Fachkonferenz legt auf der Grundlage des centre d’intérêts thematische Einheiten an, die den Erwerb der erwarteten Kompetenzen ermöglichen, und berücksichtigt dabei schulische und regionale Besonderheiten.“ Von den niedersächsischen Fach-konferenzen wird die Erstellung von kompetenzorien-tierten, inhaltlich auf ein Thema fokussierenden Modulen erwartet . Die Angebote der Lehrwerke werden dabei mit einbezogen, ergänzt jedoch um vielfältiges authentisches Material . Im Unterricht soll der Kompetenzaufbau anhand handlungsbezogener, komplexer Aufgabenstellungen erfolgen, die u .a . auch Möglichkeiten der Differenzierung beinhalten .

Durch diese Art Umsetzung wird es möglich, individueller zu arbeiten, in die langfristige Unterrichtsplanung Schul-projekte und fächerübergreifende Angebote einzubauen und die unterschiedlichen Lernstände der Schüler zu berücksichtigen .

Kompetenzaufbau in ModulenWie die Planung der Module im Sinne eines Kompetenz-stufenmodells geplant werden kann, möchte ich an drei erprobten Beispielen skizzieren: Wird z .B . der Unterrichts-gang ins Kino im Rahmen von Cinéfête verbindlich für alle Jahrgangsstufen in das Fachcurriculum aufgenom-men, so kann im Rahmen des thematischen Moduls Le cinéma français regelmäßig als ein Kompetenzschwerpunkt

im rezeptiven Bereich das Hörsehverstehen aufgebaut werden; als Anschlusskompetenzen im produktiven Bereich sind das Sprechen oder das Schreiben sinnvoll . Mit dieser Vorgehensweise werden diverse positive Aspekte miteinander ver-bunden: Die Authentizität des Materials und des Ortes („einen Film schaut man am besten im Kino an“), die Lebenswelt der Schüler (der Kinobesuch und das Diskutieren über Filme und Schauspieler gehören auch im Zeitalter von Internet immer noch zu den Lieblingsfreizeitbeschäftigungen der Jugendlichen) und vor allen Dingen die

Handlungsorientierung, die dann gegeben ist, wenn wir die Schüler an der Auswahl des Films beteiligen, indem wir sie anhand von Filmplakaten und -fotos aus dem Internet oder bandes annonces diskutieren und abstimmen lassen . Sowohl die Vorbereitung des Unterrichtsgangs als auch die vertiefende Auseinandersetzung mit dem Film können im Sinne des selbstgesteuerten Lernens im Laufe der Zeit immer selbstständiger durchgeführt werden . Aus den Filmthemen ergibt sich häufig auch die Möglichkeit, projektartig und fächerübergreifend zu arbeiten: Ich denke hier z .B . an den Film Welcome aus der Cinéfête 11, dessen hochaktuelle Einwandererthematik unter verschiedenen Blickwinkeln in den Fächern Werte und Normen/ Religion, Politik/Gesellschaftslehre vertieft werden konnte, oder auch an den Film Oscar et la dame rose aus der aktuellen Cinéfête 12, dessen Thematik „Umgang

Gezielt Kompetenzen aufbauen um die Handlungsfähigkeit der Schüler in

der Fremdsprache zu fördern – aber bitte anhand motivierender Inhalte!

Dies ist kein Widerspruch, sondern Leitlinie eines modernen Unterrichts-

konzepts. Von Claudia Steffen

Literatur– Caspari u.a.: Kompetenzorientierung, Bildungsstandards und

fremdsprachliches Lernen – Herausforderungen an die Fremd-

sprachenforschung (Positionspapier DGFF, 2008) www.dgff.de/

fileadmin/user_upload/dokumente/Sonstiges/Kompetenz-

papier_DGFF.pdf

– Der fremdsprachliche Unterricht Französisch 96 (2008):

Lernaufgaben konkret

– Der fremdsprachliche Unterricht Französisch 112 (2011):

La tâche: von der Übung zur Aufgabe

– Europarat: Gemeinsamer europäischer Referenzrahmen

für Sprachen (Straßburg, 2001)

– Niedersächsisches Kultusministerium (2009): Kerncurriculum

für das Gymnasium, Schuljahrgänge 6-10 Französisch

– Preller, Uta: Lesewerkstatt Französisch – Kreative Arbeit mit

Jugendliteratur in der Sekundarstufe I und II (Klett, 2008)

mit Sterben und Tod“ in den o .g . Fächern ebenfalls seinen Platz hat .

Ein weiteres Modul, das im Sinne eines Kompetenz-stufenmodells gestaltet werden kann, ist ein jährliches „Leseprojekt“, bei dem als rezeptive Kompetenz das Lese-verstehen aufgebaut wird und als produktive Kompetenz je nach Zielorientierung das Sprechen oder das Schreiben . Hier sind z .B . regelmäßig wiederkehrende Veranstal-tungen als Höhepunkt denkbar: Das könnte der franzö-sische Vorlesewettbewerb für die Jahrgänge 6-10 sein, die Teilnahme an Wettbewerben oder Ausstellungen sowie Führungen durch selbst gestaltete Ausstellungen z .B . als Teil einer von den Schülern gestalteten soirée française . Leseprojekte sind bereits ab dem ersten Lernjahr mit authentischen Bilderbüchern (albums) durchführbar . Im Sinne der Portfolioarbeit können aus der Arbeit mit einer lecture individuelle eines Jugendbuches carnets de lecture und/oder affiches de lecture entstehen, die auch ausgestellt und präsentiert werden können . Zur Lektüre und persönlichen Bewertung mehrerer Kinder- oder einfacher Jugendbücher könnte z .B . ein Mini-prix des lycéens einladen, im Jahrgang 10 könnte mit der Lerngruppe dann ggf . am Prix des lycéens allemands teilgenommen werden .

Schulen, die über enge Kontakte mit frankophonen Partnerschulen oder eine so gute technische Ausstattung verfügen, dass die Teilnahme am e-twinning oder der regel-mäßige Zugriff auf frankophone Kinder- und Jugendseiten möglich ist, werden problemlos ein jährliches Modul „projet de communication“ in ihr Fachcurriculum integrieren können, in dem die Sprachmittlung als komplexe, stets mehrere Kompetenzen integrierende funktionale Kom-petenz im Sinne eines Stufenmodells aufgebaut werden kann . Hier können sich die Schüler unter Nutzung von E-Mail/Blogs/Diskussionsforen, im Rahmen von Drittort-begegnungen und Schüleraustauschen miteinander über aktuelle Themen austauschen, die ihre Altersgruppe, ihre persönlichen Interessen und das Bild des Partnerlandes im eigenen Land betreffen .

AusblickEin modular aufgebautes Lehrwerk im Sinne eines Angebots von in sich geschlossenen, aber anschlussfähigen Bausteinen (s .o .) könnte den organisatorischen Rahmen für kompetenzorientierten Unterricht mit stützen . Zentrales Element der Module müssen dabei die kompetenz-orientierten, komplexen Lernaufgaben sein, die ein breites Spektrum an Situationen, Herausforderungen und exem-plarischen Handlungs- und Übungsfeldern anbieten . Die thematische Einbettung stellt dabei einen von mehreren wichtigen Aspekten für den Unterricht dar . Wünschens-wert wäre das Ausweisen eines sich an den Niveaustufen des GeR orientierenden Kompetenzstufenmodells für die funktionalen Kompetenzen, das den Lehrkräften die Auswahl aus dem modularen Angebot erleichtert .

> Claudia Steffen unterrichtet am Herbartgymnasium Oldenburg. Sie ist Fachberaterin für Französisch bei der Niedersächsischen Landesschulbehörde in der Regionalabteilung Osnabrück.

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Vu et lu

Avec Kidtonik, le français, c’est super chouette !

Dans les années 2000, la multiplica-tion des chaînes de télévision aura permis en France une explosion d’émissions consacrées aux talents vocaux, un véritable tsunami défer-lant sur les ondes et pro-pulsant de l’anonymat total à une fulgurante notoriété des apprentis chanteurs . C’est dans ce contexte que naquit en septembre 2000, sur Canal J, l’émission Lapi-ap destinée aux enfants et qui révélera en 2008 le groupe de dance-pop Kidtonik . L’équipe com-posée de six membres, quatre filles et deux gar-çons, a sorti depuis deux albums qui aligneront de jolis succès au Top 50 .

Cette formation (Joanna aujourd’hui âgée de 13 ans, Sarah 17 ans, Robin 18 ans, Oihana 14 ans, Morgane 16 ans et Alexis 13 ans), bien que marquée par un style hétéroclite, a su trouver un public chez les 10-15 ans . Approchés en 2011 par la rédaction française des éditions Klett, les interprètes de Aller

plus loin et Left&Right ainsi que leur label Heben music - qui chapeaute entre autres les carrières de Lââm et Anggun

- ont accepté de reprendre leur succès Hey en adaptant leurs paroles pour les scolaires allemands . Hey, Tous ensemble, on fait des découvertes est désormais le morceau emblématique de la nouvelle génération de Découvertes .

Pour accompagner le nouveau Découvertes, la rédaction française a demandé

à l’un des groupes de musique les plus en vogue chez les pré-ados français de

chanter leur tube Hey afin d’en faire l’hymne emblématique de cette nouvelle

génération : Hey, Tous ensemble, on fait des découvertes ! Par Coralie Montfort

Vu et lu

Retrouvez le morceau Hey, Tous

ensemble, on fait des découvertes

sur le CD accompagnant le Cahier

d’activités. Le vidéoclip qui ac-

compagne le morceau apparaît

sur le DVD Ça tourne!

CD-TIPP: Fránçois and the Atlas Mountains

Révélation pop 2011, les Français sortent un nouvel album, « E volo love », sur le prestigieux label londonien Domino Records. Une premiè-re pour un groupe de l’hexagone. Ils seront en tournée en Allemagne au mois de février.

On peut évoquer sa vibrante poésie ou sa pop indescriptible. Ses chansons aux arrangements électroniques et aux rythmes africains. Mais pour se décrire, Fránçois a trouvé une formu-le : « Entre Jacques Prévert et Talking Heads. » Prévert, « pour la poésie française classique ». L’amour du verbe, la puissance de l’inspiration. A Talking Heads, la pop « de recherche » et l’expérimentation.

Sur scène, Fránçois n’est pas tout à fait le même. L’album et le live sont les deux som-mets d’une même montagne. « Sur les enre-gistrements, on essaie de recréer un environ-nement sonore familier, à écouter chez soi. » En concert, c’est l’énergie qui prime. « Il y a la volonté d’éclater les morceaux ». Les morceaux « éclatent » et les paroles éclosent : « les chan-sons naissent d’elles-mêmes. Je me laisse por-ter par le chemin mental. »

Trois albums confidentiels étaient jusqu’alors sortis. Mais le tournant arrive avec leur qua-trième opus, « Plaine inondable » sur le label bordelais Talitres. Depuis un an, tout s’est en-suite enchainé. L’aide du Fonds d’action et d’initiative rock. La révélation du Printemps de Bourges, le prix Premières Francos Adami. Enfin, Fránçois devient le premier Français à signer chez les britanniques de Domino Re-cords. Avec leur nouvel album « E volo love », l’éclosion continue.

> Christophe Payet

Tournée : 14.02. à Francfort, le 15.02. à Leipzig, le 16. 02. à Berlin, le 17. 02. à Munich te le 19. 02. à Hambourg

Retrouvez tout sur Kidtonik et l’interview

complète de Sarah et Robin en ligne sur :

www.klett.de

Code: 2mr8kz

Comment concilier études et carrière artistique quand on est encore ado ? Sarah et Robin reviennent sur leur aventure Kidtonik

tdu: Robin et Sarah, comment en êtes-vous venus à participer à une émission de casting ?

Sarah: Mon père m’avait inscrite sur un site pour avoir des infos sur des concours de chant et quelques jours après, on a été contactés pour participer à cette émission . Ce n’était pas vraiment un rêve . Je chante depuis toujours oui, mais c’était juste une passion [ . . .] .

Robin: Personnellement, j’ai été contacté par la production afin de participer au casting de l’émission Iapiap sur Canal J . [ . . .]

tdu: Où en êtes-vous dans votre scolarité ?

Sarah: Je suis en classe de terminale littéraire . Je vais passer mon bac à la fin de l’année et j’espère que j’intégrerai une grande école d’art sur Paris . Parce que c’est important les études, on ne sait pas quand tout cela peut s’arrêter .

Robin: Je fais actuellement des études dans une école artistique [ . . .] en Belgique .

tdu: Est-ce difficile de mener de front carrière et vie de lycéen ?

Sarah: Non ça va, car lorsque nous enregistrons des clips ou des musiques c’est pendant les vacances ou pendant les week-ends.

tdu: Est-ce que le succès a changé votre vie d’ado ?

Sarah: Non, pas vraiment. J’ai tou-jours mes amis, toujours mes petites habitudes de lycéenne et de fille nor-male. Il y a peut-être un truc qui a changé : le fait que je me fiche tota-lement du regard des autres et de ce qu’ils peuvent dire sur moi. Et le fait que je sois « populaire » aussi, mais bon, c’est pas déplaisant.

Robin: Ce qui a changé dans ma vie d’ado, c’est surtout d’avoir pu vivre plus intensément ma passion du chant et d’avoir eu la chance de connaître 5 amis formidables . Mais c’était plutôt chouette de s’entendre dire de temps en temps : « Tiens, je t’ai vu à la télé dans le Top 50 » .

tdu: Quel conseil donneriez-vous à un ado qui souhaiterait se lancer dans la même aventure ?

Sarah: Je lui dirais de ne jamais re-noncer, même s’il y a des bas. C’est la motivation et les moyens qu’on se donne pour réussir qui sont impor-tants. Toujours croire en ses rêves même quand les autres font tout pour nous rabaisser et briser notre bonheur.

Robin: Et bien, je lui dirais : fonce, crois en toi, fais ce qui te plaît . Crois en tes rêves et fais-toi plaisir . Qui ne tente rien n’a rien !!! Mais surtout, garde bien les pieds sur terre, c’est très important de rester soi-même .

Découvertes, Série jauneab Klasse 6Cahier d’activitésISBN 978-3-12-622016-3 € 8,50

Découvertes, Ça tourne !DVD mit altersgerechten Film sequenzen abgestimmt auf das Schülerbuch. ISBN 978-3-12-622099-6 € 16,95

Le choix de Hey, parfaitement œcu-ménique et rassembleur, colle assuré-ment à l’esprit du nouveau Découvertes

par son dynamisme . Il suffit d’en écouter le refrain « Hey, tous ensemble, on fait des découvertes, découvrir la France, c’est super chouette. En avant pour un nouveau voyage. 1-2-3 ... » Un viatique certain pour toucher les adolescents dès leur première année d’apprentissage .

> Coralie Monfort est journaliste. Elle vit à Paris.

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Klett-Magazin trait d’union | 1918 | Klett-Magazin trait d’union

Vu et lu Aktuell

Amélie Nothomb – Tuer le pèrePour son vingtième livre publié en 20 ans, la stakhanoviste du roman

francophone nous plonge au cœur du Nevada dans le monde fascinant

du jeu, de la magie et des illusions. Pour son nouvel opus « Tuer le père »,

Amélie Nothomb nous rappelle avant tout qu’elle est une fabuleuse

conteuse ... Cyril Skinazy l’a lu pour nous.

Pour plus d’informations: www.francetv.com

France Télévisions : Au service du grand public« Documents authentiques ». Clés de voûte d’un apprentissage linguistique à la fois

vivant et proche de la réalité, les « documents authentiques » sont aussi un peu le

Saint Graal de l’éditeur de manuels scolaires que nous sommes ! Heureusement,

pour les documents visuels et/ou sonores, nous pouvons désormais compter sur un

partenaire de qualité : France Télévisions. Par Marie Gauvillé

Si la naissance de la télévision, en France comme dans d’autres pays européens, remonte à l’après-guerre, on peut dire que l’histoire de France Télévisions commence réellement en 1981, avec l’élection de François Mitterand en tant que président de la République . C’est en effet essentiellement sous la présidence de François Mitterand, dans les années 1980, que se dessine le paysage audio-visuel français actuel, avec, notamment, la création des premières radios libres et le début de la télévision privée . La naissance de Canal + en 1984, suivie deux ans plus tard par le lancement de la première chaîne privée non cryptée, La Cinq, et enfin la privatisation de la première chaîne publique, TF1, en 1987, marqueront le début de la diversification du PAF (paysage audiovisuel français) . Une diversification qui ne se poursuivra pas uniquement dans le secteur privé, puisque dès 1992, date du regroupement de la 2e et de la 3e chaîne au sein de France Télévision, d’ambitieux projets ne cesseront de voir le jour : ARTE, bien sûr, en 1992 . Puis La Cinquième, deux ans plus tard . Et, à partir de 2000, RFO devient FÔ, La Cinquième France 5, France 4 voit le jour et le groupe prend un « s » ! France Télévisions devient par ailleurs actionnaires de deux chaînes d’information .

La couverture géographique étendue, la diversité des thématiques, la richesse de l’offre, le tout encadré par une mission de service publique, autant dire que Klett ne pouvait que souhaiter un partenariat avec France Télévisions . C’est chose faite depuis 2010 . Un partenariat qui nous permet désormais de proposer, sur nos supports

multimédias, des extraits d’émissions « authentiques » . Il faut dire que l’ambition pédagogique qui nous guide est également un des piliers de la mission de service publique défendue par France Télévisions, dont les archives représentent une source quasi inépuisable de sons et d’images .

L’exigence qualitative du premier groupe audiovisuel français nous garantit par ailleurs de pouvoir offrir aux enseignants des documents originaux, adaptés à l’âge et aux centres d’intérêt des élèves . Et pour inaugurer dignement ce partenariat, quel autre sujet pouvions-nous choisir, si ce n’est l’emblématique fête du 14 juillet ? Rendez-vous donc très bientôt sur le premier volume de notre nouvelle série de DVD « Ça tourne », l’authentique !

> Marie Gauvillé est journaliste et auteure chez Klett. Elle vit dans le Sud de la France.

« Tuer le père » est le 20e livre publié d’Amélie Nothomb, sachant que cette somme ne constitue que le tiers de sa production littéraire . En effet, l’écrivain belge traduit dans 37 langues ne produit pas moins de trois livres par an, par-mi lesquels elle choisit « par instinct » - affirme-t-elle - celui dont se délecteront ses fans .

Amélie Nothomb, célèbre autant pour ses romans à succès que pour ses chapeaux faramineux et qui se cite au début du livre, a-t-elle voulu de façon subliminale régler ses comptes avec son géniteur, foncièrement déçu qu’elle n’ait embrassé la carrière politique à laquelle il la destinait? La fin du livre - inattendue - donne un semblant de réponse .

Une mère dont le fils adolescent entretient des rapports houleux avec son dernier compagnon propose au jeune homme, par ailleurs virtuose des tours de carte, d’acquérir son indépendance . Elle l’invite donc moyennant une rente mensuelle à quitter le domicile . Le garçon ne se fait pas prier et voit là l’occasion de vivre comme il l’entend et de se livrer sans frein à sa passion de l’illusionnisme . Très vite, une rencontre marquante va le conduire dans la maison du plus grand magicien de Reno dont la compagne est aussi désirable que protectrice .

Pour Marcel Duchamp, « l’œuvre d’art appartient pour moitié à celui qui la fait et pour moitié à qui la regarde » . Le livre d’Amélie Nothomb n’appartient qu’à elle .

Amélie Nothomb ne perd pas son temps à être écrivain avec des descriptions, des études de caractère, des digressions . Bille en tête, elle poursuit son aventure avec à chaque page des faits marquants qui interdisent au lecteur de sauter une ligne sous peine de quitter la route . Lire du Amélie Nothomb c’est conduire sur un parcours que l’auteur a décidé, sans risque de pouvoir à tout moment prendre un chemin de traverse .

« Tuer le père » est un R .G .M, soit un roman génétiquement modifié qui, bien que traversé d’éclairs

inspirés et de brises émotionnelles, ne laisse dans la bouche que le goût des plaisirs immédiats et des choses bien faites .

La toile de fond de « Tuer le père » est l’univers de la magie et le Festival de Burning Man, à Black Rock dans le désert du Nevada, le plus grand rassemblement au monde de la discipline .

A ce titre, le roman montre qu’Amélie Nothomb est une incontestable magicienne . Car, au détour d’une conversation entre les deux principaux protagonistes de l’histoire, elle nous livre un constat riche en forme de clé pour la création : le but de la magie est d’amener l’autre à douter du réel .

Comme le disait Pierre Dac avec humour « Quand on dépasse les bornes il n’y a plus de limite » . C’est précisément cette limite qui s’appelle la triche et que l’auteur pointe comme la barrière infranchissable de l’immoralité . Faire douter du réel par la séduction, comme le pratiquait le grand Houdini, soit, mais utiliser la tromperie pour le voler : tel est le procédé auquel se refuse la romancière . Dans un parallèle avec l’écriture, qu’elle a elle-même évoqué lors d’un entretien radiophonique, « Tuer le père » est sans doute une façon subtile de s’abstraire du camp des écrivains à la mode qui usent de recettes éculées pour enjôler le lecteur .

> Cyril Skinazy est auteur et journaliste. Il vit à Paris.

Amélie NothombTuer le père Editions Albin MichelISBN 978-2226229755Die deutsche Fassung „Den Vater töten“ er-scheint im Mai 2012 beim Diogenes-Verlag.

Découvertes 2012 –en collaboration avec France Télévisions

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AktuellAktuell

Découvertes ermöglicht einen zeitgemäßen, erfolgreichen Französischunterricht . Neben der systematischen Schulung aller Kompetenzen wurden besondere Schwerpunkte auf Differenzie-rung, individuelle Förderung und die konsequente Hinführung auf Lernaufgaben gelegt .

Leicht, motivierend, spielerischGut zu bewältigende Lernportionen in vielfältiger Aufbereitung sowie kurze und ansprechende Texte sorgen für Motivation und Erfolgserlebnisse . Rhyth-misch-musikalische Elemente und spielerische Aktivitäten bringen Abwechslung und fördern die Konzentration .

Entwicklung aller KompetenzenIn jeder Unité werden alle Kompetenzen Schritt für Schritt geschult und thematisch sinnvoll miteinander verknüpft . Das reichhaltige Angebot unterstützt zugleich die schulinterne Schwerpunkt-setzung .

Klare thematische Schwerpunkte Jede Unité hat einen thematischen Schwerpunkt, der als roter Faden klar erkennbar ist . Anhand alters gerechter Texte, Übungen und Aufgaben wer-den die Kompetenzen und die sprachlichen Mittel Schritt für Schritt entwickelt .

Atelier: Ich weiß, wie’s geht!Der Atelier-Teil in den Unités vermittelt den neuen Lernstoff in überschaubaren Portionen . Zusätzliche Übungs möglichkeiten bietet der Übungspool En plus – Différenciation im Anhang .

Schrittweises Hinführen an Lernaufgaben (Tâches)Im Anschluss an die Atelier-Teile ermöglicht der Bereich Pratique das Lernen an lebensnahen Aufgabenstellungen . Auf die Bewältigung dieser Lernaufgaben (Tâches) werden die Lerner Schritt für Schritt vorbereitet und erzielen so ganz einfach schnelle Lernerfolge . In Pratique wird kein neuer sprachlicher Lernstoff vermittelt .

Bilan: Das kann ich!Die Bilan-Seiten fassen zentrale Lernziele der jeweiligen Unité zusammen . Die meist geschlossenen Bilan-Übungen und die Lösungen im Anhang ermöglichen die Selbstkon-trolle . Online-Links zur Klett-Internetseite führen direkt zu zusätzlichem kostenlosen Übungsmaterial .

Differenzierung leicht gemacht Im En plus-Teil (Différenciation) am Ende des Buches finden Sie ein großes, zusätzliches Angebot an Übungen mit un-terschiedlichen Schwierigkeits stufen . Diese zusätzlichen Übungen passen zu einer genau definierten Stelle im Atelier-Teil der Unités .

Vom Lernerlebnis zum LernergebnisZu Beginn jeder Unité wird das erwartete Lern ergebnis transparent und leicht verständlich dargestellt . Am Ende entsteht jeweils ein Produkt für das Portfolio-Dossier . Die Schülerinnen und Schüler können sich zu wichtigen Lernzielen selbst überprüfen und erhalten Hinweise auf weitere Übungsmöglichkeiten .

Das neue Découvertes 2012

Découvertes, Série jauneab Klasse 6

Découvertes, Série bleueab Klasse 7

Die neue Generation des bewährten Lehrwerks ist jetzt erschienen. Découvertes

2012 wurde mit viel Liebe und großem Sachverstand von erfahrenen AutorInnen und

BeraterInnen aus der Schulpraxis gemeinsam mit unserer Redaktion Französisch

entwickelt. Mit drei verschiedenen Ausgaben bietet Ihnen das neue Lehrwerk einen

passgenauen Einstieg, je nachdem in welcher Klasse mit Französisch begonnen wird.

Découvertes, Junior ab Klasse 5

Découvertes Junior ab Klasse 5 DécouvertesJunior wurde speziell für die 2. Fremdsprache oder fortgeführte 1. Fremdsprache ab Klasse 5 konzipiert. Es deckt als Doppelband die Klassen 5 und 6 ab. Nach diesen zwei Lernjahren wird die Kompetenzstufe A1– Anfang A2 des GeR erreicht. Anschließend wird der Unter-richt in Klasse 7 mit Découvertes,SériejauneBand2 bzw. Découvertes,SériebleueBand2 weitergeführt.

Découvertes, Série jaune ab Klasse 6 Découvertes,Sériejaune wurde speziell für die Alters-gruppe entwickelt, die mit Französisch als 2. Fremd sprache in Klasse 6 beginnt.

Découvertes, Série bleue ab Klasse 7 Découvertes,Sériebleue berücksichtigt ältere Schülerinnen und Schüler, die mit Französisch als 2. Fremdsprache in Klasse 7 starten.

Für jeden Einstieg das passende Lehrwerk:

Französisch von seiner Schokoladenseite

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«kräpp»Französisch ist dir näher

als du denkst.

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A vos affiches !Depuis son lancement en 2002,

le programme FranceMobil a

fait du chemin et rencontre un

écho positif aussi bien dans

les établissements classiques

que les écoles profesionnelles,

comme le prouve cette initiative

originale.

Par Camille Diaz

En 10 ans, FranceMobil a rendu visite à plus de 700 000 élè-ves dans 8400 écoles . Sur la seule année scolaire 2010-2011, les douze intervenants FranceMobil auront parcouru plus de 200 000 km à travers l’Allemagne pour aller à la rencon-tre de plus de 80 000 élèves dans 910 établissements . Si ce résultat est très positif, FranceMobil s’est attaché ces der-nières années à renforcer ses interventions dans les écoles professionnelles, où la maîtrise de la langue française peut également devenir une réelle compétence professionnelle et donc un atout sur le marché du travail .

L’action de FranceMobil s’est donc orientée dans ce sens et un projet d’affiches pour la promotion du français a vu le jour en janvier 2011 à l’initiative de l’Institut français de Düsseldorf et du Adolf-Kopling-Berufskolleg de Mün-ster . Mme Erika Alexander, professeur de français et de graphisme, a eu l’idée de demander à ses élèves de réaliser eux-mêmes des supports promotionnels afin d’encourager d’autres élèves à apprendre le français .

A partir notamment des idées reçues qu’ils avaient sur la France, les élèves ont tout inventé : l’idée publicitaire, l’image, le slogan . Ainsi, ils ont montré comment mettre des connaissances de français, même modestes, au service d’une compétence technique spécifique, ici le graphisme .

Cette initiative, destinée à l’origine aux élèves des filières technologiques, peut finalement motiver un public bien plus large à apprendre le français et servir d’exemple à de nombreux établissements .

Elle a pu voir le jour grâce à une collaboration étroite entre l’Institut français en Allemagne et les éditions Klett, qui ont cofinancé la production des affiches et du film documentant la génèse de ce projet . Les partenaires disposent désormais d’une collection d’affiches originales, dont les meilleures pourront être utilisées pour la promotion du français dans toutes les écoles allemandes . Du vrai « travail de pro » !…

> Camille Diaz est chargée de mission à l’Ambassade de France à Berlin

Klett engagiert sich für das Fach Französisch Seit vielen Jahren engagiert sich der Ernst Klett Verlag für den Französischunterricht in Deutschland – von der Unterstützung kleiner Lesewettbewerbe an den Schulen bis hin zu gemeinsamen Informationsmaterialien mit der Französischen Botschaft. Hier haben wir für Sie eine Auswahl aktueller Projekte und Initiativen zusammengestellt.

Info-Paket Französisch Das Infopaket „Bringt Französisch ins Spiel“ können Lehr-kräfte z .B . auf Elternabenden vor der Wahl der 2 . Fremd-sprache einsetzen . Es enthält unter anderem eine CD-ROM mit einer Powerpoint-Präsentation, ein Poster zur Fran-kophonie und einen Flyer für Schüler und Eltern . Diese Materialien können Lehrkräfte bei Klett auch einzeln

bestellen: Tel. 0711/6672-1333, Bestellnr. X520000

Comic Wettbewerb „La vie en BD“Jedes Jahr ruft der Ernst Klett Verlag zum großen Wettbe-werb „La vie en BD“ auf . Rund 1 .000 BDs haben die Jury in diesem Jahr erreicht . Schüler sollten eine Geschichte aus dem im Unterricht verwendeten Französisch-Lehrwerk oder einer im Unterricht behandelten Lektüre erstellen .

www.klett.de/bd

DELFIm Ernst Klett Verlag erscheint die Reihe DELF scolaire – Prêts pour l´Europe, die Schülerinnen und Schüler intensiv auf die DELF-Prüfung parallel zum Lehrwerk vorbereitet . Erhältlich sind die DELF-Hefte passend zu den vier Stufen des GeR . Nach Abschluss der Prüfung erhalten die Schüler vom Klett-Verlag ein Abzeichen (Delfin) in Bronze (A1), Silber (A2), Gold (B1) und Emaille (B2) als Anerkennung ihrer Leistung . Neu ab 2011 ist der blaue Delfin für DELF Prim .Die Broschüre DELF scolaire – Prêts pour l´Europe gibt einen Überblick über die verschiedenen Prüfungsniveaus sowie nützliche Tipps und Hinweise . Sie liegt kostenlos in den Instituts français aus .

DELF bei Klett: www.klett.de/lehrwerk/4246

Deutsch-französischer TagKlett beteiligt sich regelmäßig an zahlreichen Veranstal-tungen . Außerdem werden zum deutsch-französischen Tag aktuelle Materialien zum Einsatz im Französischunterricht angeboten, die sich Lehrer im Internet kostenlos herunter-laden können . Zum dt .-frz . Tag 2012 verloste der Ernst Klett Verlag einen Auftritt des Musikers Arnaud Fleurent-Didier .

France MobilDas France Mobil tourt im Auftrag der Botschaft und der Instituts français durch Deutschland, um die Schüler für die französische Sprache zu begeistern – mit Klett-Materialien an Bord . 2004 erhielt das Projekt den Adenauer-de-Gaulle-Preis .

www.institutfrancais.de/francemobil

TOMIBIBTOMIBIB heißt die buntbedruckte Tasche voller Kinder-bücher von Tomi Ungerer, die das Institut français d’Allemagne im Frühjahr 2012 an über 100 bilinguale Grundschulen in Deutschland verschenkt . Unterstützt wird das Projekt unter anderem vom Ernst Klett Verlag .

C’est parti!„C’est parti!“ heißt es in den Instituts français . Lehrerinnen und Lehrer erhalten dort kostenlos einen neuen Werbe-koffer für die Französischförderung . Er enthält einen rund 25-stündigen Schnupperkurs Französisch und soll Schüle-rinnen und Schüler am Ende der Primar- bzw . am Anfang der Sekundarstufe für das Französische als 2 . Fremdsprache begeistern .Der Ernst Klett Verlag, das Institut français d’Allemagne und das Deutsch- Französische Jugendwerk haben sich für den Werbekoffer zusammengeschlossen . Das Institut français d’Allemagne bietet eine Reihe von Fort bildungsmaßnahmen an, in deren Rahmen Lehrkräfte den Werbekoffer kostenlos er halten können .

Für weitere Informationen wenden Sie sich bitte an das Institut français in Ihrer Region: www.institutfrancais.de

Lesungen und Workshops in Zusammen-arbeit mit den Instituts françaisZusammen mit den Instituts français veranstaltet Klett regelmäßig Lesungen mit renommierten Schriftstellern der frankophonen Welt: Wilfried N’Sondé, Fatou Dioum, Azouz Begag etc . Zum Tag der Frankophonie treten Künstler auf . Zudem werden laufend Workshops zu verschiedenen Themen wie DELF, Atelier d’écriture uvm . angeboten .

Ansprechpartnerin: Christa Weck, Leiterin der Abteilung Franzö-sisch, Ernst Klett Verlag, Rotebühlstraße 77, 70178 StuttgartTelefon: 0711/6672-1876

Linktipp: France-BlogSeit 2006 behandelt das France-Blog Themen für den Fran-zösischunterricht, gibt Tipps für Anfänger und informiert über Aspekte der deutsch-französischen Beziehungen .

www.france-blog.info

Bundeswettbewerb FremdsprachenKlett unterstützt den Bundeswettbewerb Fremdsprachen auf Landesebene mit Sachpreisen . Neben den großen Spra-chenwettbewerben engagiert sich der Ernst Klett Verlag auch für die kleinen Vorlese- und Sprachwettbewerbe an Schulen . www.bundeswettbewerb-fremdsprachen.de/

DigitalfilmwettbewerbMit dem jährlich stattfindenden Digitalfilmwettbewerb werben die Französische Botschaft in Deutschland und die Goethe-Institute in Frankreich für die Sprache des Nachbar-landes . Dabei steht nicht das fehlerfreie Sprechen im Vor-dergrund, sondern die aktive, kommunikative Verwendung der Partnersprache . Der Ernst Klett Verlag und Ernst Klett Sprachen unterstützen den Wettbewerb mit Sachpreisen .www.goethe.de/ins/fr/lp/prj/dig/deindex.htm

Prix des LycéensSeit 2005 besteht diese Kooperation zwischen fran-zösischer Botschaft, Bureau du Livre de Jeunesse, der Leipziger Buchmesse und den Klett Verlagen . Oberstu-fenschüler wählen unter fünf nominierten französisch-sprachigen Jugendromanen den besten aus . Mit dem Preisgeld von Ernst Klett Sprachen wird die Übersetzung des gewählten Titels ins Deutsche ermöglicht . www.institutfrancais.de/prixdeslyceens

Mehr Information auch im Internet unter: www.klett.de/frankreich

In eigener SacheChrista Weck, Leiterin der Abteilung Französisch des Ernst Klett Verlags wurde im März 2011 mit den „Palmes académiques“ geehrt. Der französische Bildungsminister zeichnete sie damit für ihre Ver-dienste um die französische Sprache und Kultur aus.

DELF scolairePrêts pour l‘Europe

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W 510438 (2/2012) Redaktion: Dr. Nathalie Karanfilovic

Das Klett Magazin erscheint im Ernst Klett Verlag, Postfach 10 26 45, 70022 Stuttgart Telefon 0711 · 66 72 13 33, Telefax 0711 · 98 80 90 00 99 www.klett.de © Ernst Klett Verlag GmbH, Stuttgart 2012

Bildnachweis: Titel: fotolia/Ekaterina Pokovsky; Seite 3, oben: fotolia/bofotolux, shutterstock/fotoluminate; Seite 3 unten: fotolia/Nina Malyna/wojciech nowak/Ekaterina Pokovsky, Tomouki Tsuchiya; Seite 4/5: fotolia/Xtragon/Atlantis/L. Bouvier/gam16/Studio DER, Natha-lie Raut, Paris; Seite 6: Atelier Grether, Paris; Seite 7: laif/Agentur für Photos/Xavier POPY/REA; Seite 9: Klett-Archiv; Seite 12: Klett-Archiv/MEV; Seite 14: Klett-Archiv/MEV; Seite 16/17: Credit: Felipe Salazar; Seite 18: Marianne Rosenstiehl; Seite 19: Klett-Archiv/Gilles Floret