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Ijllt M* ' Ai! ^1 || f J •• f*»; ' u ^-ywl ‘lJ.il!l/ u> ;• '.).l 1-*'1iltlijiîl ' , \ ’ ..fj ili fi niwiftil jl «iiiii' ;•/ - ' f’i, • •-,' !*; •! nTu"!'!» i-m, .■Kiin... ■, lii'-n’i »■-i'''! .iL'^kiàiuüÉBÉt IIIHVfi'lll )ll,vi. ;■- ...1 . ij,, «mu, I ! ! i . i i ‘)l.>i.t{M r'iUu-ao . . . . M|4<ir. <.ib i"!.!.!»!'! i.it. ; •.. Vi-' ■ Pp an., SU mob Trobmeb , Tmbwpb, . . . . .4.P ;'t '••,1 .Kit'iM’antKT'iK ri» t; >• . pROPM^AUifrfinuurr B. PAŸiEN. yA) oii/o}} 1* .mmv, WuUumiUiuliiViîli T m mnI omi» dofiili^Mi^ ti/ir. p faits diven,.5Q q,. yn cojoime L'aboniwment ettl|^ d^anncoj'Il ifestjiàbti iPterrompo etmt condfl é si i r«Bpiration pp«no donne pis d’tv b oOptralre ASCMUS.wUw du densïtsmant 'TlWl "TT'rTT i! . - vn^ifn ^ i i.jcÎhqI ij'.imjoo. JiVtrivr WPtWfl; ilj m i.i rAû jifi 4i <[iu M'.MwnvnifvM 00^. ............................ , ..... à roaimivfio des tiniB empereurs; trobrobdoSue, d%Baffière et de SipAitUPpf^iA ■irwWtVuf i>mw «MiriMmW'iih IMiniAU«fir4 kHr.plWiUKWlE !}Vi«»ior pp"» pirti. rAlnee aUD de pi^i^re part aji Toyaced’esplônUeMtt-enuid «st^najor, qui k lieu sons li direction dn fddHDarëcbal généru et cherdet’dt^|>^i|^^^|^ycomtedeMollk^ Le prMdenl Gnnl.itt gracié pluâeurs peiv «mMcoo^mpéM compie, bi^p^ p^i^e du Ip ’ nSRiObcofrmtion composée de ses patv lis>nd,?l< -président- tt. ^rtporidu■^ae'i attaqu^ Æ tim .fipirtw, luj w r 1® sépatenr AidungliiP quo.dsnSjleipnncipeiiMafad pm ,..|^l)i^itiiaiuiistOp. tnpis favoratde .é , rémancj- pation ^me.BMBMiia de-guerre. | |?)fb,fard« i l p y a i t ^ . d ’s v b <d’wpopd*^r auk 'L l i ^ t^ à Géhfcrede H.'ravocalCoheOp de' ^IM o^lÉ'raM Vélêii bhiits'de liotivèliM coni> m lt»M àttM ti4eü cbaOriHiQi:. • Le tribonil - ‘W iknliid’nMlqMstion dé droit q u i'» coin- ’ clfiliwitdiim i qneition.d» l>it. Un'«gU;desattoir‘ * ‘*' i £ j iw p , dans cnaque c MitrtjnKr.iypriisnlnà, M- iCohfNjt; pH>'iMiArayata>fBt..8te’ décidés i paît, dans cnaque cas ^HlbUllr' pMiiôt. le côl ..... lfawia.fBl..8t- jdiott. commarcial.<re|Ndwniec fiMdNil^UP dtJs^uoBtion;.<flliio’eit' .. . d P i i p M ltf» pnWàPiimU lie tPlus M»' spn<«rriTée>i Gonèvea Msi <d|pM « miéMUXk sont nécmsatns dans uije |WifS4iù4ootml.oimMd«xSt où tous bs. pnn- iOli|ii^y ili itnaw b etoùilesdéuUsseot innoni- iwf in^^ption de sujoursi le .tri- .dMlIlipQliriNid^niquid’ttui b.coun sestra- ali iVw. a pu direquedesjwes onlié< .1 iin ÜB «qptdoB eesBaînes ro iü v n ^ .dé’.qualre . iW ÉM apeuttlwir reodie oa.témoigRligeqo’ys I letrdlUflIon eonséquenoe, et qun leurs'COAgfs/ iMM>H^|ibi/>m«ws' obareés que impa lenrs fe , |Uq.e agibflon qui) ett dtfl^ilfl.de s*oxpli« iqnçT lùgnp 'Pn iAllemagoe, non-seolement idansila preseOc-mais encore dans les régions 4>flicielles. , ' La GajuWcP'JiuÿMbourg interprète la pré* 'ci^diitdg' aVéé* ,jgdotrerne^ot Trsià^b a ’I^Empniot de i|(o)8..nîn<- liiî'ds çômpié I f kigpe pérlain d'pptt.glidrrp M Pfé8Â4t|nt..ijie (a.OlépubliqQe aurait eu hèle de vider..la^queslioB 'finaor ]çièr«..afin 4e’|Muivoir aborder pliii vke la queatioft iqllilaire. L^vacoaiiôd' de Belforl sera ' infailRblemeni süitîe'd'üidcr ’èflenslve de notre part. Le niéme jddrital,'faisant eà cèla chôrus avec .ud ^raotj n'pi^br^ (îf 'cOdfitèriéf 'coiislate aiVcc un apparéDt,,q||jr<N les^et^ajc^ rppfi^rimées dans notre loi sur I'àrni^,el8ignulc h l’aiiention déses maîtres les deux raillions de soldais que peut armer dgpp.vi): na«>do. détresse,let les S50,000 bomipes qu’elle.jieii.l,mettre en ligne au premier prétexic de conflit. Peiidant ce temps, le cabinet reprenant JeseiM menlsdeiiiGI s’cxposé b'proTOquer no nonvépn copflit coiistlialionqièl efi à ÿ - .nteniant dap^ piié, preporttop J e , DOi]i)bie.;des ibaileKiep : par chaque r ^ i - nient d’ariilterle, sans même attendre 3 cet eSétIa rbilrée dit Heichsralb. ' . Les.feu'ifles ol^'ieii's^allêgqçq^b 1^. celle mesure arbitraire, de i4éveloppe- 'floent excessif, disdné plits : 'la 'stipréroaflië déia oonVulle artillerjè (1‘ançaiM ^ùr çqlle ,déT«)(l!ép|!!aguie. S’il nous fallait trouver un melifb cette isurexcltalion de nos voi8iu&.«l>ià iees sirou- -laeresd'appréliensions;nouSiécfaertibep6n8 les trè^gfaudf iiritil-çiqetMs qui topr- mentent runiié eenuunique. A'Stiitlgard, â!Mubiuli, ii 'Darmstddt, b Presdç m .^é, V ilenie a-èeè^. dlêlçf par faite et la préMye s’en trouve dans les i^vé- lalions scandaleuses de la Gazette de Spener sur les maisons régnantes de ces Etals. Une'diversion du (■dté<do>la>*fValtèe est donc indlspeiisÂble pour faire rentrer‘dans .l'ilinbr* i()s ^!i|on()niiSf, ,^(ii tei)*n)i«K!ni depuis qui^lques. jours en scène, lAvec nnie ‘atids!ce,'dotit'‘M. de'fi.isiharck ne lés croyait ,pii'ps,do,ude plus cpp^bles. La guerre incessante que pour8piiÇ|^.|<|e! Bismark contre les jésuites d’Àllemagnie ' 0 ’esl'|»olot faite pour' (létondre^les'lki^pr^s'’ <)f là ' Prusse avecla cafhçl^qqe, $^^ièrp..- iNowsireiiéYOïiS dans,un,journal allemand trà - fajtiiqiii témoigne de l’oxoessive : froi^ifr des rébtibns du gbuvèrnetnc^t'üe' .LohW jl' ,dé Payiüi^.avec |a famiil.e,iiiipénq|e d’AUe-. mi^ne. Le prince Kritz, (ils de ' l'empereur Guillaume;'ajant,dû s’arrêter b M^iiic^, ày>^t f|;a|ler r.çidintlre l'impi^irjçe, sa raére, à llbbenBCÜwengen,, a i passé h nu.it bl'bdielüesiQuàtre Salsonpcpmmèlepreolier ybjdigèit^ivouù, lia lutte présidentiélle.-aux fiiats-iUDis, Vkcqnioe chaque jbuf tlavaa|^ge; fipitit pronve b quel point ks p a y o n s ' poliliqd< spttt ftireicitées. C’é« bl^|!ijijé''da.q«l Ipirdq 1 ^ 29|, juillet, f i Savanqah i(GéofgieJ un meeting de grantistes b été attaqué pal qttaire on cin^ cÿbié grqefejens arrate d| fpsllsi et dé revolven.; éeij.x-ci, relrancbf dans le bèiimenl où avait lieu la réuaiot ripostèrent immédiatcroeot, él uneyéritabli bqlpjlle s’engagea peudant une détoi-iieni^ Qoauduneseadronde uvalerie, interve nant, 'fit' cesser la ntaniféetation, une ^usr ifi^n^ine de de blesHés^giràieot.^ur iOicarreau.. '■ "Nous voilà donc revenus ait beau lemif Où le.^évplfigi', dispuis^t^df ilôjiar l’bbnneul- (de faire l’élieotidii :dtt président. La ‘ caiMii^ilore de ’ H.-Horace Greelev V la I !réçqit; .«b?,qçé io«r *14 appuis nouveaux.. On comptei, >parmi eenx'qm<«e'8ptit prononcés publiquement cp ^ faveur ou contre' la réélectipn du. gé néral Graoi, -N.. Karl Kchurz, iei.sénaieur ^uromer>. Kapcien vieeritrésidcni Andrew Johnson, et le général I^nks. M. Greeley a aaki,'eel& va-sans dire, de chauds partisans '(KiUs'Ia presse. Son succès parait doàë pço* Iqtbie, Nous, doiitons, malheiireiisemént, que la France ait lieu de s’en féliciter. l/j^t^rnational a reçu d’assez C|s)heu- ses noiivellesldu Mexique. Depuis, lanmor^ dç.Jiiarez, le vice-président ‘de la réputilii- qüe,'bL l.érdodéTejada. qui se trouvait qob ifiuccesseui:! légal, n’aurait su répnimer que irqp faiblement des désordres qui éblalcqt de touscèiés. Mexico serait isolé du ré^le de la réptihlique. s^tris postes et sans télégra phe pouncommuniqucrau dehors; On s'at tendrait b.dtts luttcssanglantcs. Nous ne sa vons ceqii’il.fant pe^aerdc qetris,tetableiu. ILest sûr «eolement que le congrès vieqi d'être convoqué en session extraordinaire. palais où on le retenait prisonnier, fi^ alors que le colonel Marcelioo Guttierrcz, frère du dictateur, l’assassina. Le peuple, indigné, se souleva en apprep 4>aut le meurtre dn chel.de ÜEtat, el. nu8|> sacra dans sa colère les quatre frères Gut lierres; mais le directeur seul fi^t,pendu un réveirbère. Lecombal contre les insurgés dura,qjia Ire jours. Le sang coula b Qois pM ilbo. cette période dans les rues de Lima. Aossitêt l'insurrection étodSée, le vice président dd;f^ ;Bép|iib|ique, cp^dnél .'HercnciaCoballes, prit possessiou du-pou voir et composa son .çainistl^e. " ' i D^ns ee:oooreau'cibinei figurent legén^ 'ralCantero,‘NH. |[ii^^f;(i,e|t'Siinl:be& I Q’p«{ie* M ût w wmyeau ; pcâsuiont ‘dOit^epfOtritfmë,'él‘ t|'6ir ^^J^'dé'éro^^ quç Ikjf. UaquW j^rdb 'sero m ^ànii chef de la République do Pérou. -T-, .,1|[y.a eu b Madrid n^é ÿ^ttniou d’cnvirou 3ü0 membres de rinieroatiouale.ttour sta tuer siir la demande de secours des grévistes de Malaga : la réunion a ré^lu de leur-oan- s^illèr <le conltnperq'.r|ési^,i^équx exi||:e^t|e8 des patrons; mais une quêlféi'pnur oçoonrir les grévibtés n’a produit que . pkeias. .C'est maigre. Infwualions. ,t)n pe rappelle qu’il y a eu un.vifdényilé entre. Je gênerai. Hanteuffe! el 'lè Ifeénérbl'de GrObeu'rt quà celui*i:ïa étéde céc1iel|célidbhiné " u n . mois d'arrêt.' l'ou^ lés'paiériltè'qbç'.M. de Les rcnseigneincnlssptvnuissqul c^Jriils . d’une dépéçfiè.de.Uma eu da)e..du;28 Juil- - let : Là (question présidentielle étant souiuisje b la décision du Congrès pour la vérificaliop ' du Bcrutiu,:une réunion préparatoice cdt, Jieu pour oy^aniserle contrôle des volos, éijàis derniilt-es.^IcctioQS. Dans celle réunion, ou reconnut que M.' 'Manuel Piardoavait obtenu iinegraddéms- ijpfité. Guttjerresv ministre de la guerre sous |e- président Balla.etson homme deconfiaucp, ^y^ut éb cbpbàissanèe d,e cette MPréciaiioyi du Congrès, ,'fii uuis tentative de .coup d’État. Dansce dessein, tl-seraità la tê|e, de b piqs forte partie de la garnison de. Lima, formée de soldats delà ligne. Son premier acte fut de se proclamer dictateur ct^d’ari^'er s(ùi protecteur, le pré- sjd.eul.j^ltg. b qniil devait toute sa carrière. Après celte arresiaiioo, ikexpédia un décret de dKtsoltvfiohdu Congrès. Àlbre II eut l’idée dé fQcmer.an triumvirat. " , Le coluael. Baba tenta de sî^der yEDI^LETON (30) ,11,,;.. V StOlSA’H ‘KM ISipiB DIVtSIOMS îlq ‘ini 1-1 .1» tu; -PrT- '^ H i^ lB l'd U 'Ili vOITe dnclè, 'avant '' |HMIL W t>pMWI«a'«eaillMi^^ wdMaiMedâBO»ivMéanÿvjMMiêuM iT'ièaariw MOh, enfiW Idf dit . .tÉèenÉies4n6li*i'Vle;w#Ér& "sa4ti^BA.iiifitl '< ' ’ ’i '' ^>1^' lea a m E t e sgjgM m stsejasdns■à|res'tiJ&t^ffi« ||[ - «JE!?** ï l! t ©!■•» — a m M penthnl dras fsaai 11 h at dire en Amérique : ~ qii gagne UJtnn trajets un regard méchant; mais j il r -lut, la H«sewq'de.sipy(ame|.AQ,4f|P08iit i l.::' ■ pgrd. yom.W M ggtmA.flMffüiÀ,.,) ygus (a perdez. Djinn lui jeta un regard m khant; roaisiü - an ' JH¥ ,i t ^ p U Fraaris.v^jaré daqstpnqj^l>l liibn,,. lï;"sidVaiTrdw 7jiwx.^fe5#^ IgmlLm lise,disait : , . , j •riiRiiM.belle encore que sa. smurl .EUe sgnijDn icmsReJ Prtt « w KW iA w rt et, Int.fiVi»)) <*»' «t’À iw iin I f M »li)s » V ont». -Hw m,icw>.i|àias «lein,tm n,t '.i-r f e w ^ e , ii>>wmM|.«(seMi .R neei. (',( ln«>in,,ti;iwgent, il in'en :IWW;liHlH»l>»flintl» llMIOlil). Francli le disposait a les stiiTn.Ianqde sir ,to<>>«sM ,|)itiati^eiit: i ’ *W » . W i.sow i parler. ,iiM>iW<°>vl'>Maai..Gewgw..i|iieiair Mmes il>en rnmpto daps dq '.ddalité-d’i^ffî- se.i^nl edlénddijjuiirdonn^ lint^Ù^mi^ ) le même jour a Berlin.iÇ’i^l bn' incident Grol>en cler?, siot) le même jour' qui rappelle les temps féodaux. Le iTOBi»tia.<d»4’intériBoria4de<aéiiHe*8Ur ■voile clrtntaMrpanxipndfyiamtaliynBMtât èfili’an* niversaire du éineplembra, i: ' ' ............. Dore' l(«iinesuresà.'prendre aliO: db pryvieuir.'toiitjld- multe. il 11 : • l'exécution major, quivaétr 680 umiBpréfiJb!Wfl)sq^,d’iff>rèB ce ,que rapportent difiérentés c b irc ^ t^ n c e s allemaùdee, è la diacusrion d'un eonseB'nommé par l’empereur Guillaume. On'va commencer là oonsiniotion de deux ponts de pterresurleübin.biW eM l^k BriaMck ; .quand ils seront terminés,l’AllàmigoeiWwklera huit ponts fortifiéa sur le Rbui,. tous r e ^ , p v une voie ferrée slrat^ique, et :en npporL par cliomins de fer, avec les principes placeB d'artnes, ce qui triplera la rorce de la'liM® du Rhin. LeGoumer du Bu-AMi -dH que les jeunes soldats de PAlsa(»djorraMeaBroul-rovoyéH|ea garnison en Hanovre ou dans la Westphabed Jls ,y, resteront réunis dans difTéiçptà. roais.aux détachements .qu'jlsfoiTnàrootséroul joints'dés. ^Idats. dés anciennes piloviacç^.'lCs ù%sl qn’kvec le tetiaps, 'àjbiite’làTedùlé rilt^ 'mande, que les AtsacteiMALervans'Btrobt. ea cocformHédU'Sjàtèmo iwvilorial àUaraandvnen* ivojés daw.tlesgarmspns deleurM ls. Ge^ se feraiiatu,rriimçptlqnMqe.l'JÜnoe*upra^ sera tout à'(ail'yèpoiiciliee a'veç Ip.upùvd^ftat.de 'choses.' ' ' ' Pur suite de l’entente de l’autorilé.'française avec l’autorité allemande, le génie miritaire (vientd'élie-chai^ d'é(ablip>un>canip de ma- 'nœuvcee pourles troupes piuasienncsBurla rive .drpitedel’OiimaiD. La commission de la guerre vient d^.décider a u’iine .^ le d e pyrolechniç serait créée-^iBor- eaux. il est ^lem enl quwlipn.d’y établir une école d’arlitleneel.uDe.^lédé'tir. ‘‘Deux ofHblei^'ont visité'cetterille et ses en virons, et il-'ési( prbbaMe 'qué'o^eM du côté.'de Draguignan que serait établi le campdiBFtillerie. Le'génie àlleqmnd'déplbîe une g r ^ ë activité dans'là ■coifttrunidn forts''(fai dotvenl prouver Strasbourg contre 'FéveDtuMité'd'-inie .attaque. il. parait.eerisin.que ■lu,;gouveroeraeu|.<cki ,flf/'Jin .nepai^nerq mi. travail ni, ,inçt^rç,qiUio vijie, dans qn.d^ai ai^î.rsÿpi'o- ciié qite pu:«'iblë. sur uri pîedde défense reqc table. floq- Lo ininislre des aflàires'étrangères^ reçuldu gouvornemont italien ' iiim^'inôiiwiMiiüitioritdte plus Iraporlantesjlio'agiVthlààauiO'Mtvpaf I® >go«vètiflRme{i(pb‘>Fk|Mncey '(FMW-pfodsBMSicri - adressée au peuple fràùçais. CenUipreliUmarim lés vrais- rëpsbiMéins < des grandes: villes ‘de^Franoe h persévéré dàos laivoie'iiwimrée : lu>l8‘Brur8l871‘m:daéB'leèidé(9l|ao)acabinei M. lion Renault a décidé en.prindpe la : création d’ùn « Moniteur ofliqél tip.la préfec- ; italiens i-assuraieni 1rs, •■nn'- r « rninniiiiiDiiv turode police. - ^ ^ ^ Ce, journal, Mmilraii tou^)^.,dimancUes, et' serait le lésumé de’la ‘sèmàibo;.il contiendrait, toutrs tes .ordonnances de u préfecture, et le, récit de tous les crimes, suicides et accidents. Le voyage que M. Tbiers vient do (aire à Paris ne sera, pas le seul. Il a anoncé, en elfet, b M. de Goulard qu’il reviendrait encore le 25 courant, puis le 4 sep-, tembre. Il veut être là le jour decqi aunîve|-- sairp. Mais lo président ne rentrera dérmitivcmeAt que le 10 ou le 15 septembre. L'élat-major giînéral allemand aurait, dit-on, dans un mémoire adressé récemment îi M. de Bismarck, déclaré que la poæession de Belfqrl était indispensable à laisccurité de l’Allemagne, et que des négociations devaient, sans plus lar der, être engagées avec la France afindelui offrir en Change de celte place, une compensation de territoire sur on açtre po¥t^* U. de Holtke aurait été l’instigateur de ces , Itfi sucres dp tout de IS Dr. p^r I .plua^i/lO/ Les cafés venant dei G lent 150 fr. les iM HC8. Lee cacaos venant des paieiit lOQ fir par i|0!0 ’ ‘ les chQcolatql^ tir. , Lee'iiiés dès ràys fy. rar 100 klkw. ;,dMi ftancs.. ]>&mu8çadmtipbqr les'lM I 300 fr. ; pquè les'autt^'âW n'. Lçe vaqijies.dë, tqpf . Les,vins, ai IliectOlitre; lés vins comniuncux de Franco do leur aympathie et leu r’proineuaioht^leur -appui efOseUf cm cas d’une action nouvelle. Inpèts à partir de 1971. La uécessité du moment a forcé nos li^sla- teurs à augmenter les obatgee des conlribùables : dans une proportion excessive pour tous.' Il faut sortir de notre position par des efforts, qu.^que pénibles qu'ils nous paraissent et quelque grands que soient les sacrifices à faire. Ces contributions se divisent en impôts di rects cl en impôts indirects. Lés impôts -lirccts sont : L’impôt foncier, qui donnera pour Vexercice courant.... 167,533.970 fr. L'impôt personnel. . . . 44,800i2>’>8 Et l’impôt des portes et fenêtres.................... : . . . 32,064,345 'Soit au total. . . . 24!k0»4,&79 fr. Les impôts indirects se prélèvent oomme suit ; fW . s ebicorées. ô d “- . p  t' Lm alcool? et ratut-dÿVISikl,% 8^||k'9l’i(s rbecjdUré de Ijqifi^TlUl èi^d0^U ilÊ ,‘ 3 Î^ j; V bect^^ S T ^ st autorisée d’BRorie, 20’ fF.’léu4i(klrileg;;i)dUiiiUt|25 32 fr. ; d ailleurs,,3? fr..,, * ., ' L’essence de jjwlrôle âle', diés paÿHkifc éRAh rope,'4fr.; d’aillearStW ft'.’i' 'm 'iiol.nn -Le .droit;de fimilaliM i dyp, viwLw|kW|l4i pour les 4 çl^ases, à 1 fr. 1 ,fr, ^ Jf|M L 2 fr 40 par hectolitre ; les yirïJéa^iranfllM pàient-5 IV. l-t;-:')» p.--,! (La taxe perçue aux «Btrtes.dp.ft|iù|pif h vin en cercles de 8.fr. 5Q,tsprlm teilles de 15 frj ^ ^'nruTlT Les ridres parent 1 fr. l’hectoMPè,',.' . Le drqil guiénal de cOQsppipuÜM par beeto- liire ,1'alsopliur 25 en principal. ,i :■ . ' Le droilsur'ia ràbricàUêtni deè :à3;fr:i(i0'psrb«ciplifrs.'.. ;iir Les bi|lai^,aQnùP^Umaql;ùA w jr^ / (>>3'abonnes deè cèrcles,'2,0/0 orledFzwIm "tlon aiinueliéJ ■'‘'•■I , ' ' | '»o hicv Les esrttidà Jomc.sont ÆOtêesMtyilhwMwwt à 50i:..ft}r.je^, ; .. .1 ; Les creàiiüPs liÿpotb'éCaires' sobi m M lterds 2 0/0 sur le revenu. .«luniu Nous ne lirions pas des allumeUas,dBftl ww qui do|t,^il^j!a^tni't,^p^^^ra^oÿ^ ' ■ Jrwis^d(<>nrwpkrMKMt‘ll'>u»'''^|mÉiMMU ■pr prprqghiions dp;qM id^;,.|ffj|wi>ri| | | 4s biens meubles, contrats de n u n u ^ p i r m de meubles ou immeubles, etc.',‘^i8n^ffinB h 5 fr:‘potir tout ca|ptal ailwaBaua dm SfilO fr. f à.lO Ir. do: 5 à 110><p^^;.L2PirrridtK|Ok 20.000 fr.; plus ^ fr. > r 20.000 fr. L’enregistrement desIntlrVi'dii i1i|i|dBèùUi 50 centimes ipar 100.fr. ÿilriliV d^ifll||nli d’assurance, passés à l’èfragger o im .M M * meubles situés eu.France, cqûm roW . par 100 fr. . .nui non la-j Aux droits de timbre oa.aiafilaidaiiiidlM|Bm au principal pour les droits detimbres de iMrta nature, saûf (es ùfibtS'dé'romiÉelMB'idBJçsrtajM catégories, -le lét^im és de» e b e k ^ lM llr et les permis'de chasse. ' snin u! Les droits d e routstkHi'par'.débèS'MHahittl sur les fonds publies, LVéi)iem,jàttr. virirtnt'u Les actes d'bùvettOfeds’étiUfi'dftl'frÿbMkw droit d'^regrilKirirot dé SèeMfiriiitt'MM fr. : les hypothèques, uù driAl'thi'2'4f04*M as surances maritimés'ün 'drôH ‘'dMilra|iMllwMt de 50«!ntifflfeMr'l00'fr.'?lcdle»''èîliiWPVm- rendiedeOO/O^'Iaprinfe. •f”' Toutes les qu'dtaaces «oidessas ilsitlMlifr. at toua les récépissés-doivétt'Otih 'tiiibMll'A M •centimes. v Les ports de lettre OQl‘êl|é,j par lettre simple .affraOchi® ;) , pour celles non àffranphies,.1^,,._ I circulaires, les envois d'arg^it, tarif spécial Irès-éievéi , s’adressant au .pke PârdoB, l’aurais mb I besoin de >vous ptrien,'lut idib-il mb le sàlnadL ^ 'Vow lci! aiéidriade'vieWBrd èi«pêfa|t. >Vnas KPavti» doonë'voiiiB Biréle de H# pa» •léduitsulvre.'' J’kI leuu cette paroleirêpOQdlt le'leuàe e ‘)1ghbMb^ov‘v6üè’' v u u iie t dÿjbdjjj 4oyi«é;'o’éUH^rira!dM 4i fy MAI  npi^ de mot?... Ëbi monsieur, il y a trois mois que nous noos voyons chaque jour! que ne vousiân^aequilliet-vous phis .tôlî . r - ~>G’iasiià|ue plus lAt votre non. véritable inJéladt'WCMAa; il«x’aAlé révélé (depuis qix ; rniuMes Nultmeot. nêr Cr«st.i|usle. Barlek. (hieUa cet cette ipiasio»? ' — Deux lettres A remetifc. •wiA-quH I Gelietid est pour str James Smiib, fié- .go«ian{;d»mauFMLau Préaidio d d Norte.àu i JlcKiqtt»A ■ ••'..• — ti’est moi ; donnez. — La seconde est adressée an génésal Jonathan Smiih.- — Mon (Vèrol... U est mort! Francb'FâVança m élbent. — le suis le filsidu général, dlt-H, vous, pouvez me remeltro cette letéT®* — Quand vops iq’aurez-montfé l’acte de mariage de votre mèra, répondit froi^iuent Georges. — Hum! bien lqufjjél,pensa ÇfaaHIa® 9° contemplation devajit un cadra cq'ùvèrt d'pn voile noir, et se-dlSSot : — QnYwtt-^nilà dessous? un Raphaël ou mniGourhélt FVands avait bondi soua llusnlte. — Vous me rendrez raisou Iis'>écria4*ll. .■•-«iSLuo blanoveut'se battra'Bouè vous, répliqua Georges d’un toB <mépraani,']’ap-.. ' Oaflla .4ons>èsa'0art^ qu’H troiis iplàlra de m>nvoxer. Vous n’êtes plus«n-£arope;-inàis en A m é r^ . ItL.on.nq fiai pas contra fa .mulâtre.,, on le batl "Franrib'tt'tiùb^dde tigre vers son ap- iiliili‘'é ^ ( f i ë s s ’l p i ê i ^ il àjrréiia , d’un geste Francis, et ll’tlli b Gcorgés ‘‘Jl-'X ra'lèU m , Touléz-voiis mè lés ra- tùëtirijî' •' - — Suivie-champ. " ’ T^'ldén^'int str Jaiùes. LaisseaV°‘'*> ' monstedr, dll-lfà FHpblàJe.vous (bi-alhle.n^ tôt appeler auprès dé ihol: ' Tous les perstmoioee présents sc dispo saient à sortir, lorsque Stanislas les retint d’un mot. Pendant la scène que nous avons racontée, il nlavaii pu oéder <b la «eniaiioU d’éearicr ' le voUbiiui «nv»lo(qMii le taUeau, et il parals- isaikproroBdénMntéaiu.de.ceqBH venait de volr.r T- A qui ce portrait? denpànda-t-il. — A moi, sw rii Francis qùl courni vers le tableau et s’empressa d’abaisser le voile. Giel! Rt sir /amesqui-veoaiid’eBtrevôir cpitetoile mysiMemse représeaiant aue. jeune famme morte. Pendant ce temps Stanislas examinait' FiMcis. -L Bigre de bigre! dlt-H eufln. je me Ile ■disais' bien, j’ai-vu ce bonbomn^lb quèlquc ‘ panûL ce portnHt, savéï-vousqui Itamii? ' Un ^inrae français, < réponcUi :Francis. • H Ce.pfiotreiflnnçaist o’çstmtd, répliqua If ;qàvéu de Mojeqdoùx. -r- Vous?... je ne vcms reconnais pas. Céla ne roé surprend,pas. vous ne vooiei riéh alors qoè li'panvre jeune fille, eè^m ieh.tout jamais, éoam e je n i raprié-. .prononçant ces iparides», -StafiaNi écarta le voile sans qpo,Rfo^& Sir James vint alors s’a g ^ u ilM devant celtb laàubre image ne 8a''nfè' morte; de, grosseéfurmes difscendilent leolementde ses y eu x ^ 'S e s Joues. >^iAh!‘ivo«8 ne me reconnaissez pas? Eh ;bien;>mai,ije me rippelie tout. >Nous. qous Bommfa'vnsdeax foM. — Oeiix-rolsl — OfiL.deux foix La première, loreque vous étés venu consttller'le docletfr lugue- ncautintais dans son cabinet. " -r EyiqsÀmudet ^ .pevfp^Je, cadavre de cette mallifurauso femme, vous pour pleurer et prier, mvt.iiuür la fiiirftVoylvre sur celle toile. Qusfd ce por- inill vous ip’fvpz d^.: -r-,Gctle ,malaijM4‘^ ^ 4 ues reesotitçesVjf ,nu pûi^ vüus.pjïéi^,,.,^' Afors, continua Francis, vous mavez tendu la main tt vous m’avez répondu > » Ne vous mettez pas en peine de ce|a, ce por- ' trait est b vous, car je vous le donur. , — Vos sonvenirs sont exacts, dit irancien rapin, seulement vous oublias d’sjpnter qne vous aiez détaché du col de la moHe un bijou... un petlt-médaillon...qnevousyavez mis quelques-uns des beaux cheveux de la; pauvre feànine,:et qne vousjneJravesplert. OhTc^t/kieo^voa^i’dBêiiFiÀMsIni seiraiii les mains avec émotion ; nuis ce mé daillon? ces cheveux? — J’ai'gardé ce' bqou comme une reli que...iLe/vniei,.. bJa-chalte ila.-mn montre. Et tout en parlant, SlatdsUs djètfcba •le joyau et le tendit b Francis; nrais, plus :p i^ p t que la ipensée, sir James s’élança entr’eux et saisit le médaillan-qAll baisa cent foia ardemment. — ParpUié! fit Fraads. SirlatiteslaiioBrBa.le.dpa,-et s’adressant àdeuxdésesvàleia: -r Placez, leurdit-U, ofppnnitdansmoQ apuriemeut,, — . W (Wrip* ih • cruauté de. w f|iiieverjce.pdMm — Vous m’fVM bien c^véom A llq! EraocU cepri^ 1a lAie èans rfpopéhw et s'éloigna accolé. Q uanti btqnjsUs, il,se retira jp^t en U meflloule sÿon médAt^n. Enfin G e ra ^ rasm .^saal ateç le père d'EtMtbi qt>( Ivd'tut brpsflufloq^; .rçpbûdllVQplîÔh ' , — Gel)u-cl est,dps|inée.kmrat.frèpe,lagéti lierai jùpaihuH?,. Oui, VqûsaouVjCZ ÜQpyrir. — Sir James brisa i>MyéiM>Pfi .et 'P!ariiua- nii iVabprd nqiifimnjMtl U()(êMfiet »pl» au, fur cl b mcsqrf,qu'i),|M,>-.riua,^^ étquueficult se peignait sdr sa màte n n re qi ,, paiTois, il iiiterrompitsa lecture |H>ur jeter un ragard sur le jeune homme. Quand il eut t^miu^,, U i fixant de noçveaa ses y i ^ r~ lui dit après .an oùUSo. lenr'^* Ainsi,, véos, êtes?.,. — Le fils dei^frali W ^çf.,. — Ha sœur! — Oui. . — Ces papiers,ne penyM .i1i|||if|f;,|M doute. . — Savez-vous, mon enbat, À qàé' VoM mèra écrivait an géMral^ i ) ij — Nw- •• VOUS avez pu ratnarquer qnet.la omI ni éa cette léttra étaiilUiabi. ' ‘'•'"(fin (o — En effet, -— ■AloenécoMstiafl auj- Et, reprenant, k — *“ ----------•-* qui suit’d’une v<U'_ — « Mon frère, je I auprès de moi; ponr 4 ' instanu, quaiipM obi ’henhe,'je* dMuranreinépifr-jiMi____ qaedaxniaèreàet«b<Mm,, s ■ i — De la|mt s’écria Jaçfçg iRttM ^ u ra . t^raimTp.'i" — Ha mèreinla rien inagfréjnâHpffiit ^^^auvra âarah 1 fit iamaB Étt'lRLril ainsi sa leétul« î ' ' «ncff «mi T^ •- A:ipiqiqréièiq (La suite au prOèJuéiA

levae des Jounaix. - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1872_08_18_MRC.pdf · Ijllt M*' Ai! ^1 ||fJ •• f*»; ' u ^-ywl • • ‘lJ.il!l/ u> ;• '.).l 1-*'1iltlijiîl

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du densïtsmant'TlWl "TT'rTT

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M '. M w n v n i f v M 0 0 ^ . ............................ , .....à roaimivfio des tiniB empereurs; t r o b r o b d o S u e , d%Baffière et de

S ip A itU P p f^ iA ■irwWtVufi> m w« M iriM m W 'iih IM in iA U « f ir4

kHr.plWiUKWlE !}Vi«»ior pp"»

p ir t i . rA lnee aUD de p i^ i^ re part aji Toyaced’esplônUeM tt-enuid «st^najor, qui k lieu sons l i direction dn fddHDarëcbal généru et cherdet’d t^ |> ^ i |^ ^ ^ |^ y c o m te d e M o llk ^

Le prM denl G n n l.itt gracié pluâeurs peiv « m M c o o ^ m p é M com pie, b i ^ p ^ p ^ i^ e du Ip

’ n S R iO b c o frm tio n composée de ses patv lis>nd,?l< -président- tt . rtporidu■^ae'i a ttaqu^

Æ t i m .fipirtw, luj w r 1® sépatenr A idungliiP quo.dsnSjleipnncipeiiM afad pm

,..|^l)i^itiiaiuiistOp. tnpis favoratde . é , rémancj- pation ^me.BMBMiia de-guerre. |

|?)fb,fard« i l p y a i t ^ .d ’svb <d’wpopd*^r auk

'L l i ^ t ^ à Géhfcrede H.'ravocalCoheOp de' ^ IM o ^ lÉ 'raM V élêii bh iits 'de liotivèliM coni> m l t » M à t t M t i 4 e ü cbaOriHiQi:. • Le tribonil - ‘W ik n li id ’nMlqMstion dé droit q u i '» coin- ’ clfiliwitdiim i qneition.d» l>it. Un'«gU;desattoir‘

* i £ ‘*' i £ ji» i w p

, dans cnaque c M itrtjn K r.iy pr i i s n l nà,M - iCohfNjt; pH>'iMiArayata>fBt..8te’

décidés i paît, dans cnaque cas ^H lbU llr'pMiiôt. le côl ..... lfaw ia .fB l..8 t-

jdiott. commarcial.<re|Ndwniec fiM dN il^U P dtJs^uoBtion;.<flliio’eit'

.. . d P i i p M ltf» pnWàPiimU lie tPlus M»' spn<«rriTée>i Gonèvea Msi

< d |p M « miéMUXk sont nécmsatns dans uije |WifS4iù4ootml.oimMd«xSt où tous b s . pnn-

iOli|ii^y ili itna w b e toùilesdéuU sseot innoni-

iw f i n ^ ^ p tio n de su jo u rs i le .tri- .dM lIlipQliriN id^niquid’ttu i b .c o u n sestra-

ali iVw. a pu d irequedesjw es onlié< .1 i i n ÜB «qptdoB eesBaînes ro iü v n ^ .dé’.qualre

. iW É M apeu ttlw ir reodie oa.témoigRligeqo’y s I letrdlU flIon eonséquenoe, et qun leurs'COAgfs/ iM M >H^|ibi/>m«ws' obareés que im pa lenrs fe

, |Uq.e agibflon q u i) e t t dtfl^ilfl.de s*oxpli« iqnçT lùgnp 'Pn iAllemagoe, non-seolem ent idansila preseOc-mais encore dan s les régions 4>flicielles. ,

' La GajuWcP'JiuÿMbourg in terprète la pré* 'c i^ d iitd g ' aVéé* ,jgdotrerne^otT rsià^b a ’I^Empniot de i|(o)8..nîn<-liiî'ds çômpié I f kigpe pérlain d'pptt.glidrrp

M Pfé8Â4t|nt..ijie (a.OlépubliqQe aurait eu hèle de vider..la^queslioB 'finaor

]çièr«..afin 4 e ’|Muivoir aborder p liii vke la queatioft iqllilaire. L^vacoaiiôd' d e Belforl sera ' infailRblemeni süitîe 'd 'üidcr ’èflenslve d e notre part. Le niéme jddrital,'faisant eà cèla chôrus avec .ud ^raotj n'pi^br^ ( î f 'cOdfitèriéf 'coiislate aiVcc un apparéDt,,q||jr<N le s^ e t^ a jc ^ rppfi^rimées dans notre loi su r I'à rn i^ ,e l8 ignu lc h l’aiiention déses m aîtres les deux raillions de soldais que peut arm er

dgpp.vi): na«>do. détresse,let les S50,000 bomipes qu’elle.jieii.l,m ettre en ligne au premier prétexic de conflit.

Peiidant ce tem ps, le cabinet reprenant Jese iM m en lsd e iiiG I s’cxposé b'proTOquer no nonvépn copflit coiistlialionqièl efi à ÿ - .nteniant dap^ piié, preporttop J e , DOi]i)bie.;des ibaileKiep : par chaque r ^ i - nient d ’ariilterle, sans même attendre 3 cet eSétIa rb ilré e dit H eichsralb. '. Les.feu'ifles o l^ 'ieii's^a llêgqçq^b 1^. ce lle m esure arbitraire, de i4éveloppe-

'floent excessif, disdné plits : 'la 'stipréroaflië d é ia oonVulle artillerjè (1‘ançaiM ^ùr çqlle ,déT«)(l!ép|!!aguie.

S’il nous fallait trouver un m elifb cette isurexcltalion d e nos voi8iu&.«l>ià iees sirou- -laeresd'appréliensions;nouSiécfaertibep6n8

les trè ^ g fa u d f iiritil-çiqetMs qui topr- m en ten t ru n iié eenuunique.

A 'S tiitlgard , â!M ubiuli, ii 'Darmstddt, b P resd ç m .^ é , V i l e n i e a-èeè^. d lê lç f par­faite et la préMye s’en trouve d an s les i^vé- lalions scandaleuses de la Gazette de Spener su r les maisons régnantes de ces Etals.

■ U ne'diversion du (■dté<do>la>*fValtèe est donc indlspeiisÂble pour faire re n tre r‘dans

.l'ilinbr* i()s ^!i|on()niiSf, ,^(ii tei)*n)i«K!ni depuis qui^lques. jo u rs en scène, lAvec nnie ‘atids!ce,'dotit'‘M. de'fi.isiharck ne lés croyait ,pii'ps,do,ude plus cpp^bles.

La guerre incessante que pour8piiÇ|^.|<|e! Bismark contre les jésuites d ’Àllemagnie

'0 ’esl'|»olot faite pour' (létondre^les'lki^pr^s'’ < )f là ' P russe a v e c l a cafhçl^qqe, $^^ièrp..-

iNowsireiiéYOïiS dans,un,journal allem and trà - fajtiiqiii tém oigne de l’oxoessive : fro i^ ifr des réb tibns du gbuvèrnetnc^t'üe' .LohW j l ' ,dé Payiüi^.avec |a famiil.e,iiiipénq|e d ’AUe-. m i^ne . Le prince Kritz, (ils de ' l'em pereur G u illau m e;'a jan t,d û s’arrê te r b M^iiic^, ày>^t f|;a|ler r.çidintlre l 'im p i^ ir jç e , sa raére, à llbbenBCÜwengen,, a i passé h nu.it bl'bdielüesiQuàtre Salsonpcpm m èlepreolier ybjdigèit^ivouù,

lia lu tte présidentiélle .-aux fiiats-iUDis, V k c q n io e chaque jb u f tlavaa |^ge; fipitit

pronve b quel point k s p a y o n s ' poliliqd< sp ttt ftire ic itées. C’é « b l^ |!ijijé ''da.q«l Ipirdq 1 29 |, ju illet, f i Savanqah i(GéofgieJ un m eeting de grantistes b été attaqué pal qttaire on cin^ cÿbié grqefejens arra te d| fpsllsi e t dé revolven.; éeij.x-ci, relrancbf dans le bèiim enl où avait lieu la réuaiot ripostèrent immédiatcroeot, é l uneyéritab li bqlpjlle s’engagea peudant une déto i-iien i^

Q o a u d u n esea d ro n d e u v a le rie , interve­nant, 'fit' cesser la ntaniféetation, une ^usr ifi^n^ine de de blesHés^giràieot.^uriOicarreau..'■ "Nous voilà donc revenus ait beau le m if Où le.^évplfigi', dispuis^t^df ilôjiar l’bbnneul-

(de faire l’élieotidii :dtt président.

La ‘ caiMii^ilore de ’ H .-H orace GreelevV la I !réçq it; .«b?,qçé io « r *14ap p u is nouveaux .. O n com pte i, > parm i e en x 'q m < « e '8 p tit p ro n o n cés p u b liq u em en t c p ^ faveu r o u c o n tre ' l a ré é le c tip n d u . gé­n é ra l G rao i, -N .. K arl K ch u rz , ie i .s é n a ie u r ^ u ro m e r> . K apcien v iee ritré s id cn i A n d rew Jo h n so n , e t le g é n é ra l I ^ n k s . M. G ree ley a a a k i,'e e l& va -san s d ir e , d e c h a u d s p a rtisan s '(KiUs'Ia p re sse . S o n s u c c è s p a ra it d o à ë pço* Iqtbie, Nous, d o iito n s , m a lh e iire iise m é n t, q u e la F ran ce a it lieu d e s ’e n fé lic ite r .

l / j ^ t ^ r n a t i o n a l a reçu d’assez C|s)heu- ses noiivellesldu Mexique. Depuis, lanmor^ dç.Jiiarez, le vice-président ‘de la réputilii- qüe,'bL l.érdodéT ejada . qui se trouvait qob

ifiuccesseui:! légal, n’aurait su répnimer que irqp faiblement des désordres qui éblalcqt de touscèiés. Mexico serait isolé du ré^le de la réptihlique. s^tris postes et sans télégra­phe pouncom m uniqucrau dehors; On s 'a t­tendrait b.dtts luttcssanglantcs. Nous ne sa­vons ce q ii’il.fant pe^aerdc qetris ,tetab le iu . ILest sû r «eolement que le congrès vieqi d 'être convoqué en session extraordinaire.

palais où on le retenait prisonnier, fi^ alors que le colonel Marcelioo Guttierrcz, frère du dictateur, l’assassina.

Le peuple, indigné, se souleva en apprep 4>aut le m eurtre dn chel.de ÜEtat, e l. nu8|> sacra dans sa colère les quatre frères Gut lie rres ; mais le directeur seul fi^t,pendu un réveirbère.

Lecom bal contre les insurgés dura,qjia Ire jours. Le sang coula b Qois p M ilb o . cette période dans les rues de Lima.

Aossitêt l'insurrection étodSée, le vice président dd;f^ ;Bép|iib|ique, cp^dnél

.'HercnciaCoballes, prit possessiou du-pou voir et composa son .çainistl^e. " '

i D^ns ee:oooreau 'cibinei figurent l e g é n ^ 'ra lC antero ,‘NH. |[ii^^f;(i,e|t'Siinl:be&

I Q’p « { ie * M û t w w m y e a u ; pcâsuiont ‘dO it^ep fO tritfm ë ,'é l‘ t|'6ir ^^J^ 'd é 'é ro ^^ quç Ikjf. UaquW j^ rd b 'sero m ^ à n i i ch e f de la République do Pérou.

-T -, •

.,1|[y.a eu b Madrid n^é ÿ^ttniou d’cnvirou 3 ü 0 membres de rin ieroatiouale.ttour sta­tuer siir la demande de secours des grévistes de Malaga : la réunion a r é ^ lu de leur-oan- s^illèr <le conltnperq'.r|ési^,i^équx exi||:e^t|e8 des patrons; mais une quêlféi'pnur oçoonrir les grévibtés n’a produit qu e . p k e ia s. .C'est maigre.

Infwualions.,t)n pe rappelle qu’il y a eu un.vifdényilé

entre. Je gênerai. Hanteuffe! el 'lè Ifeénérbl'de GrObeu'rt quà celui*i:ïa étéde céc1iel|célidbhiné " u n . mois d'arrêt.' l'ou^ lés'paiériltè'qbç'.M. de

Les rcnseigneincnlssptvnuissqul c^Jriils . d ’une dépéçfiè .de.U m a eu da)e..du;28 Ju il- - let :

Là (question présidentielle étant souiuisje b la décision du Congrès pour la vérificaliop ' du Bcrutiu,:une réunion préparatoice cd t, J ieu pour oy^aniserle contrôle des volos, éijàis derniilt-es.^IcctioQS.

Dans celle réunion, ou reconnut que M.' 'M anuel Piardoavait obtenu iin eg ra d d ém s- ijp fité .

Guttjerresv m inistre de la guerre sous |e- président B alla .etson homme deconfiaucp, ^y^ut éb cbpbàissanèe d,e cette MPréciaiioyi du Congrès, ,'fii uuis tentative de .coup d ’É tat. D ansce dessein, t l - s e r a i tà la tê |e , d e b piqs forte partie de la garnison d e . Lima, formée de soldats de là ligne.

Son prem ier acte fut de se proclamer d ictateur ct^d’a r i^ 'e r s(ùi protecteur, le pré- sjd.eul.j^ltg. b qn iil devait toute sa carrière. Après celte arresiaiioo , ikexpédia un décret de dKtsoltvfiohdu Congrès. Àlbre II eut l’idée dé fQcmer.an trium virat. " ‘, Le coluael. Baba tenta de s î ^ d e r

y E D I ^ L E T O N (30)

,11,,;.. V StOlSA’H ‘KM ISipiB DIVtSIOMS

îlq ‘ini 1-1 .1» tu; - P rT -

' ^ H i ^ l B l 'd U 'I l i vOITe dnclè, 'avant '' |H M IL W t> p M W I« a '« e a i l lM i^ ^ w dM aiM edâB O »ivM éanÿvjM M iêuM

iT'ièaariw MOh, e n f iW Id f d it. . t É è e n É i e s 4 n 6 l i * i 'V l e ; w # É r &

" s a 4 t i^ B A .i i i f i t l '< ' ’ ’i ' ' ^ > 1 ^ '

lea a m E t e s g j g M m

stse ja sd n s ■ à |r e s ' t i J & t ^ f f i « | | [

- « JE !?* * ï l ! t— © !■ •» — a m M p e n th n l d r a sf s a a i 11 h a t d ire e n A m ériq u e : ~ q i i g ag n e

UJtnn t r a je t s u n re g a rd m é c h a n t; m a is j il

r-lut, la H «sewq'de.sipy(ame|.AQ,4f|P08iiti l . : : ' ■

p g rd . y o m .W M ggtm A .flM ffü iÀ ,.,) y g u s (a p e rd e z .

D jinn lu i je ta u n re g a rd m k h a n t ; ro a is iü - a n ' • • • •

JH¥,i t ^ p U F ra a r is .v ^ ja ré daqstpnqj^l>l

liibn,,. lï;"sidV aiTrdw 7 jiw x.^fe5#^ I g m l L m l i s e ,disait : , . , j•riiRiiM.belle encore que sa. sm url .EUe

s g n ijD n icmsReJP r tt « w K W iA w r t et, Int.fiVi»)) <*»'

«t’À iw i in I f M »li)s » V o n t » . -H w m ,icw > .i|à ias « l e i n , t m n , t ' . i - r f e w ^ e , ii>>wmM|.«(seMi . R n e e i .

( ', ( ln«>in,,ti;iwgent, il in'en :IW W ;liH lH »l>»flintl» llMIOlil).

F ra n c l i l e d isp o sa it a les s t i iT n .Ia n q d e s ir , t o < > > « s M ,|) i t i a t i^ e i i t :

i ’ * W » . W i . s o w i p a r le r .

,iiM >iW <°>vl'>M aai..G ew gw ..i|iieiair M m es

il>en rnmpto daps dq '.ddalité-d’i^ffî-se .i^n l e d lé n d d ijju iird o n n ^ lint^Ù ^m i^

) le m ême jo u r a Berlin.iÇ’i^ l bn' incident

Grol>en cler?,siot) le m ême jour' q u i rappelle les tem ps féodaux.

Le iTOBi»tia.<d»4’intériBoria4de<aéiiH e*8U r ■voile clrtntaMrpanxipndfyiamtaliynBMtât èfili’an*niversaire d u éineplembra, i: ' ' .............

Dore'l(«iinesuresà.'prendre aliO: db pryvieuir.'toiitjld- m ulte. il 11 : •

l'exécutionm ajor, q u iv a é tr 68 0 umiBpréfiJb!Wfl)sq^,d’iff>rèB ce ,que rapporten t difiérentés c b i r c ^ t ^ n c e s allemaùdee, è la diacusrion d 'u n eonseB 'nom m é par l’em pereur Guillaume.

O n 'v a com m encer là oonsiniotion d e deux ponts de p te rre su r le ü b in .b iW e M l^ k BriaMck ;

.quand ils se ron t te rm inés,l’A llàm igoeiW w klera hu it ponts fortifiéa su r le R bui,. tous r e ^ , p v une voie ferrée s lra t^ iq u e , e t :en n p p o rL par cliomins de fer, avec les p r in c ip e s placeB d 'artnes, ce q u i trip lera la rorce de la'liM® d u Rhin.

L e G o u m e r d u B u -A M i -dH q ue les jeunes so ldats d e PAlsa(»djorraM eaBroul-rovoyéH|ea garnison en H anovre ou dans la W estphabed J ls ,y, resteront réunis dans difTéiçptà. roais.aux détachem ents .q u 'jlsfo iT nàroo tsérou l jo in ts 'd é s . Id a ts . dés anciennes piloviacç^.'lCs ù%sl qn ’kvec le tetiaps, 'à jb iite ’ làTedùlé rilt^ 'm ande, que les AtsacteiMALervans'Btrobt. e a cocformHédU'Sjàtèmo iwvilorial àUaraandvnen*ivojés d aw .tlesgarm spns d e l e u r M ls . G e^ se fe ra iia tu ,rriim çp tlq n M q e .l 'JÜ n o e* u p ra^ sera tou t à '(a il'yèpoiic iliee a'veç Ip .upùvd^fta t.de

'choses.' ' ' ‘ '

Pur suite d e l’entente de l ’au torilé.'française avec l’autorité allemande, le génie m iritaire

(v ie n td 'é l ie - c h a i^ d'é(ablip>un>canip d e ma- 'nœuvcee p o u rle s troupes piuasienncsB urla rive .d rp ite d e l’OiimaiD.

La commission d e la guerre v ien t d^.décider

au’iine . ^ l e d e pyrolechniç serait créée-^iBor- eaux. il est ^ l e m e n l quw lip n .d ’y étab lir une école d’a r l i t l e n e e l .u D e .^ lé d é 't i r .‘‘Deux ofHblei^'ont v is ité 'c e tte r ille e t ses en ­

v irons, et il-'ési( prbbaMe 'qué'o^eM d u cô té .'de Draguignan q ue serait établi le campdiBFtillerie.

Le'génie àlleqm nd'déplbîe une g r ^ ë activité d a n s 'l à ■ c o ifttrun idn fo r ts ''( fa i dotvenl p rouver S trasbourg con tre 'FéveDtuMité'd'-inie

.a ttaque .il. p a ra it .e e r is in .q u e ■lu,;gouveroeraeu|.<cki

,flf/'Jin .nepai^nerq mi. travail ni,,inçt^rç,qiUio vijie, dans q n .d ^ a i a i^ î .r s ÿ p i 'o - ciié q ite pu:«'iblë. su r uri p îe d d e défense reqctable.

flo q -

Lo ininislre des a flà ires 'é trangères^ reçuldu gouvornemont italien ' iiim^'inôiiw iM iiü itior itd tep lu s I rap o rlan tesjlio 'ag iV th lààau iO 'M tvpaf I®>go«vètiflRme{i(pb‘>Fk|Mncey '(FMW-pfodsBMSicri - adressée au peuple fràùçais. CenUipreliUmarim

lés vrais- rëpsbiM éins < des grandes: villes‘de^Franoe h persévéré d ào s la iv o ie 'i iw im ré e

— : lu>l8‘Brur8l871‘m :daéB 'leè idé(9 l|ao )acab ine iM. l i o n Renault a décidé en .p r in d p e la :

création d ’ùn « M oniteur ofliqél tip.la préfec- ; italiens i-assuraieni 1rs,•■nn'- r « rninniiiiiDiiv

tu ro d e police. - ^ ^Ce, jo u rn a l, M m ilraii tou^)^.,dim ancU es, e t '

serait le lésum é d e ’la ‘sèm àibo;.il contiendrait, toutrs tes .ordonnances de u préfecture, e t le, récit de tous les crim es, suicides e t accidents.

Le voyage q ue M. Tbiers vient do (aire à Paris ne sera, pas le seul.

Il a anoncé, en elfet, b M. de G oulard qu’il reviendrait encore le 25 couran t, puis le 4 sep-, tembre. I l veut ê tre là le jo u r d e c q i aunîve|-- sairp.

Mais lo président ne ren trera dérmitivcmeAt que le 10 o u le 15 septem bre.

L'élat-major giînéral allem and a u ra it, d it-o n , dans un m ém oire adressé récem m ent îi M. de Bismarck, déclaré que la poæession de Belfqrl était indispensable à laisccurité de l’Allemagne, e t que des négociations devaient, sans p lus la r­der, être engagées avec la France a finde lu i offrir en C hange de celte p lace, une com pensation de territo ire s u r o n a ç tre po¥t^*

U . de H oltke au ra it été l’instigateur de ces

, I t f i sucres dp tout de IS Dr. p^r I .p lua^ i/lO /

Les cafés venant dei

G lent 150 fr. les i MHC8.Lee cacaos venant des

paieiit lOQ fir p a r i|0!0 ’ ‘ les c h Q c o la tq l^ tir.

, Lee'iiiés dès ràys fy. r a r 100 klkw . ;,dM i

ftancs..]>& m u8çadm tipbqr l e s ' l M I

30 0 fr. ; pquè le s 'a u t t ^ 'â W n ' . Lçe vaqijies.dë, tqpf

. Les,vins, ai IliectO litre; lés vins

comniuncux de Franco do leur aym path ie e t l e u r ’pro ineuaioht^leur -appui efOseUf cm cas d ’une action nouvelle.

Inpèts à partir de 1971.La uécessité d u m om ent a forcé nos l i^ s la -

teu rs à augm enter les obatgee des conlribùables : dans une proportion excessive p ou r tous.' I l fau t so rtir de n o tre position p ar des efforts, qu.^que pénibles qu 'ils nous paraissent e t quelque grands que soient les sacrifices à faire.

Ces contributions se d iv isent en im pô ts di­rects cl en im pôts indirects.

Lés im pôts -lirccts son t :L’im pôt foncier, q u i donnera p ou r Vexercice

courant.... 167 ,533 .970 fr.L 'im pôt personnel. . . . 44,800i2>’>8E t l’im pô t des portes et

fenêtres.................... : . . . 32 ,064 ,345'S o it au total. . . . 24!k0»4,& 79 fr.

Les im pôts indirects se prélèvent oom m e su it ;

f W .

s ebicorées. ô d “-

. p  t 'Lm alcool? e t r a tu t-d ÿ V IS ik l ,% 8 ^ ||k '9 l’i(s

rb e c jd U ré d e Ijq if i^ T lU l è i ^ d 0 ^ U i l Ê , ‘3 Î ^ j ; V b e c t ^ ^ J ü S T ^

s t autorisée

d ’B R orie , 2 0 ’ fF.’lé u 4 i(k lr i le g ; ; i )d U ii iU t |2 5

3 2 fr. ; d a illeu rs,,3? f r . . , , ■ * . ,' L’essence d e jjwlrôle â l e ', diés paÿH kifc éRAh

r o p e , '4 f r . ; d ’a i l le a rS tW ft '. ’i ' 'm 'i io l .n n -Le .d ro it;d e fim ila liM i dyp, viw Lw |kW |l4i

p ou r les 4 çl^ases, à 1 f r . 1 , fr , ^ J f |M L 2 f r 40 par hectolitre ; les y ir ïJ é a ^ ir a n f l lM pàient-5 IV. l-t;-:')» p.--,!

(La taxe perçue au x « B tr te s .d p .f t |iù |p if h vin e n cercles d e 8 .fr . 5 Q ,tsp rlm teilles de 15 f r j ’ ^ ^ 'n r u T l T

Les rid res paren t 1 fr . l’hectoMPè,',.'. Le d rq il guiénal de cOQsppipuÜM p a r beeto- liire ,1 'a lso p liu r25 en principal. ,i :■ . '

Le d ro ilsu r 'ia ràbricàUêtni deè :à 3 ;f r : i( i0 'p s rb « c ip lif r s . '.. ;iir

Les b i|la i^ ,aQ nùP ^U m aq l;ùA w j r ^ /(>>3'abonnes deè cèrcles,'2 ,0 /0 o r le d F z w Im

"tlon aiinueliéJ ■'‘'•■I , ' ' | '»o hicvLes esrttidà Jom c.son t Æ OtêesMtyilhwMwwt

à 50 i:..f t} r.je^ , ; . . .1 ;Les creàiiüPs liÿpotb'éCaires' so b i m M lte r d s

2 0 /0 s u r le revenu. .«luniuNous ne l i r io n s pas des allum eUas,dBftl ww

qui d o | t , ^ i l ^ j ! a ^ t n i ' t , ^ p ^ ^ ^ r a ^ o ÿ ^

' ■ Jrwis^d(<>nrwpkrMKMt‘ll'>u»'''^|mÉiMMU ■pr prprqghiions d p ;q M id ^ ; , . | f f j |w i> ri | | | 4 sbiens m eubles, contrats d e n u n u ^ p i r m de meubles ou im m eubles, etc.',‘ i8n^ffinB h 5 fr :‘potir to u t ca |p ta l a ilw aB aua dm S f ilO fr. f à .lO Ir. do: 5 à 11 0 > < p ^ ^ ; .L 2 P ir r r id tK |O k20 .000 f r . ; plus ^ f r . > r20 .000 fr.

L’enregistrem ent desIntlrV i'dii i1 i|i |d B èù U i 5 0 centim es ipar 10 0 .fr . ÿ i l r i l i V d ^ i f l l | | n l i d ’assurance, passés à l ’èfragger o i m . M M * meubles situés eu .F ra n c e , cqûm r o W . par 100 fr. . .nui non la-j

Aux dro its d e tim b re oa.a iafilaidaiiiidlM |B m au principal pour les d ro its d e tim b res d e iMrta nature , saûf (es ùfibtS'dé'romiÉelMB'idBJçsrtajM catégories, - l e lé t^ im é s de» e b e k ^ l M l l r e t les perm is 'de chasse. ' snin u!

Les d ro its d e routstkH i'par'.débèS'M H ahittl su r les fonds publies, LVéi)iem,jàttr. virirtnt'u

Les actes d 'bùve ttO feds’étiU fi'd ftl'frÿbM kw d ro it d '^ re g r ilK ir iro t dé S è e M firiiitt 'M M fr. : les hypothèques, u ù driA l'thi'2 '4f04*M as­surances m aritim és 'ü n 'd rôH ‘'dM ilra |iM llw M t d e 50 « !n tifflfeM r'l0 0 'fr . '? lcd le» ''è îliiW P V m - r e n d ie d e O O /O ^ 'Ia p r in fe . •f”'

Toutes les qu'dtaaces «o idessas ilsitlMlifr. a t toua les récépissés-doivétt'O tih 'tiiibM ll'A M

•centimes. • v

Les po rts d e lettre OQl‘êl|é,j p a r le ttre sim ple .affraOchi® ;) , p o u r celles n on à ffra n p h ie s ,.1 ^ ,,._

I circulaires, les envois d 'a rg ^ it ,• ta rif spécial Irès-éievéi

, s’ad re s sa n t a u .p k e

PârdoB, l ’aurais m b I besoin de >vous p trien ,'lu t idib-il mb le sàlnadL

^ 'V ow lci! aiéidriade'vieWBrd èi«pêfa|t. >Vnas KPavti» doonë'voiiiB B iréle d e H# pa» • lédu itsu lv re .'' ■

— J’kI leuu cette paroleirêpOQdlt le'leuàe e ‘)1ghbM b^ov‘v6üè’' v u u i i e t dÿjbdjjj 4 o y i« é ; 'o ’é U H ^ r ira !d M 4 i f y

M A I

 n p i ^ d e m o t? .. . Ë b i m o n s ieu r, il y a tro is m ois q u e n o u s n o o s voyons ch aq u e

jo u r ! q u e n e v o u s iâ n ^ a e q u ill ie t-v o u s ph is. tô l î . r -

~ > G ’iasiià|ue p lu s lAt v o tre n o n . véritab le inJéladt'W CM Aa; il«x’aA lé ré v é lé (depu is q ix ; rn iuM es N u ltm e o t .

nêr C r«st.i|u sle . B arlek . (h ieU a c e t cette ip iasio»? '

— D eux le ttre s A re m e tifc .• w iA - q u H ’

I G elietid e s t p o u r s t r J a m e s S m iib , fié- .go«ian{;d»m auFM Lau P réa id io d d N o r te .à u i JlcKiqtt»A ■ • • ' . . •

— ti’e s t m oi ; donnez.— L a seco n d e e s t ad re ssé e a n génésal

J o n a th an Smiih.-— Mon (V èro l... U e s t m o r t! F ran cb 'F âV an ça m é lb e n t .— l e su is le f i ls id u g é n é ra l, dlt-H, vous,

pouvez m e re m e ltro c e tte letéT®*— Q uand v o p s iq ’a u re z -m o n tfé l’ac te de

m ariag e de v o tre m èra , ré p o n d it f r o i^ iu e n t G eorges.

— H um ! b ie n lq u f jjé l ,p e n s a ÇfaaHIa® 9° contem plation d ev a jit u n c a d ra cq'ùvèrt d 'p n voile no ir, e t se-dlSSot :

— QnY w tt-^nilà d e sso u s? u n R aphaël ou m n iG o u rh é lt

■ FV ands a v a it b o n d i so u a llu sn lte .— V ous m e re n d re z ra iso u Iis'>écria4*ll.

.■•-«iSLuo b la n o v e u t 's e b a t t ra 'B o u è vous, rép liq u a G eorges d ’un toB < m é p ra a n i , '] ’ap-..

' Oaflla .4ons> èsa '0art^ qu’H troiis iplàlra de m>nvoxer. Vous n’êtes plus«n-£arope;-inàis en A m é r ^ . ItL .o n .n q t» fiai pas contra f a .m ulâtre.,, on le ba tl

" F r a n r ib 't t 't iù b ^ d d e tigre vers son ap - iiliili‘'é ^ ( f i ë s s ’l p i ê i ^ il àjrréiia

, d’un geste Francis, et l l ’tlli b Gcorgés ‘‘J l- 'X ra 'lè U m , Touléz-voiis mè lés ra -

t ù ë t i r i j î ' •' -— Suivie-champ.

" ’ T ^ 'l d é n ^ 'i n t s t r Ja iù e s . L a is se a V °‘'*>' m o n sted r, d l l - l f à F H p b là J e .v o u s (bi-alhle.n^ tô t a p p e le r a u p rè s d é iho l: ' ■

T o u s les p e rs tm o io e e p ré se n ts sc d ispo ­sa ien t à so r tir , lo rsq u e S tan is las les re tin t d’u n m ot.

Pendant la scène que nous avons racontée, il nlavaii pu oéder <b la «eniaiioU d’éearicr ' le voUbiiui «nv»lo(qMii le taU eau, e t il parals-

isaikproroBdénMntéaiu.de.ceqBH venait de volr.r

T - A qui ce portrait? denpànda-t-il.— A moi, s w r i i Francis qùl courni vers

le tableau e t s’empressa d’abaisser le voile.• Giel! Rt s ir /a m e sq u i-v e o a iid ’eB trevôir

c p ite to ile mysiMemse re p ré se a ia n t aue. je u n e famme morte.

Pendant ce temps Stanislas examinait' F iM c is .

-L Bigre de bigre! dlt-H eufln. je me Ile ■disais' bien, j ’ai-vu ce bonbom n^lb quèlquc ‘ panûL ce portnHt, savéï-vousqui Itamii?

' Un ^ in ra e français, < réponcUi : Francis.• H Ce.pfiotreiflnnçaist o’çstm td , répliqua

I f ;qàvéu de Mojeqdoùx.-r- Vous?... je ne vcms reconnais pas.

Céla ne roé surprend ,pas. vous ne vooiei riéh alors qoè l i 'p a n v re jeune fille, e è ^ m ie h . to u t jam ais, é o a m e j e n i raprié-.

.prononçant ces iparides», -S ta fia N i écarta le voile sans qpo,Rfo^&

Sir Jam es vint alors s’a g ^ u i l M devant celtb laàubre image ne 8a''nfè' m orte; de, grosseéfurmes difscendilent leolem entde ses y e u x ^ 'S e s Joues.

>^iAh!‘ivo«8 ne me reconnaissez pas? Eh ;bien;>mai,ije me rippelie tout. >Nous. qous Bommfa'vnsdeax foM.

— Oeiix-rolsl— OfiL.deux foix La première, loreque

vous étés venu consttller'le docletfr lu g u e - n ca u tin ta is dans son cabinet. "

- r E y iq sÀ m u d e t^ .p ev fp ^ Je , cadavre d e c e tte m a llifu rauso

fem m e, vous p o u r p leu re r e t p r ie r , m v t.iiuü r la fiiirftVoylvre s u r c e lle to ile . Q u s fd c e por- in ill vous ip’fv p z d ^ .: -r-,Gctle,m alaijM4‘ ^ 4u es reesotitçesVjf ,n u pûi^vüus.p jïéi^ ,,.,^ '

Afors, continua Francis, vous mavez tendu la main t t vous m’avez répondu > »

N e vous m ettez pas en p e in e d e c e |a , c e p o r- ' tra it e s t b vous, c a r j e vous le d o n u r ., — Vos sonven irs so n t e x a c ts , d i t iran c ien ra p in , seu lem en t vous o u b lia s d ’s jp n te r q ne vous a ie z d é tach é d u co l d e la m oH e un b ijo u ... un p e tlt-m é d a i l lo n .. .q n e v o u s y a v e z m is que lques-uns d es b e a u x chev eu x d e la ; pau v re feàn ine,:e t q n e v o u s jn e J ra v e s p le r t .

O h T c ^ t / k i e o ^ v o a ^ i ’d B ê iiF iÀ M s In i s e ira ii i les m ains avec é m otion ; n u i s c e m é­daillon? c e s cheveux?

— J’a i 'g a r d é ce ' b q o u com m e u n e re li­q u e ...iL e /v n ie i , .. b J a - c h a l te ila.-m n m o n tre .

E t to u t e n p a r la n t, S la td sU s d jètfcba • le jo y au e t le ten d it b F ra n c is ; n rais, p lu s : p i ^ p t q u e la ipensée, s ir J am es s’é lança e n tr ’eux e t sa is it le m édaillan-qA ll b a isa c e n t fo ia a rdem m en t.

— P a rp U ié ! fit F r a a d s .S ir la t i te s la i io B rB a .le .d p a ,- e t s’ad re s sa n t

à d e u x d é s e s v à l e i a :- r P la c e z , le u rd it-U , o fp p n n i td a n s m o Q

a p u r ie m e u t ,,

— . W ‘ (Wrip* i h •c ru au té d e . w f |i i ie v e r jc e .p d M m

— Vous m ’fV M b ie n c ^ v é o m A l l q !E raocU c e p r i^ 1a lAie èan s rfpopéhw e t

s 'é lo igna a c c o lé .Q u a n t i b tq n jsU s, i l ,s e r e t i r a jp ^ t e n

U m e fllo u le sÿon m é d A t^ n .Enfin G e r a ^ ra sm .^saal a t e ç le p è re

d'EtMtbi qt>( Ivd'tut b r p s f lu f lo q ^ ;

.rçpbûd llV Q plîÔ h ' ,— Gel)u-cl est,dps|inée.km rat.frèpe,lagéti

lie ra i jùpaihuH ?,. Oui, VqûsaouVjCZ ÜQpyrir.

— S ir Jam es b risa i>MyéiM>Pfi .et 'P!ariiua- n i i iVabprd nqiifimnjMtl U()(êMfiet » p l» a u , fu r c l b m c s q r f , q u ' i ) , |M , > - . r i u a , ^ ^ étquueficu lt se p e ig n a it s d r sa m àte n n r e q i , , paiTois, il i i i te rro m p itsa lec tu re |H>ur j e t e r un rag a rd s u r le je u n e h om m e.

Quand il eu t t^m iu^ ,, U i fixant de noçveaa ses y i ^ r~ lui dit après .an oùUSo. lenr'^*

Ainsi,, véos, ête s? .,.— L e fils dei^frali W ^ ç f . , .— H a sœ ur!— Oui. .— Ces papiers,ne p e n y M .i1 i | | | i f |f ; , |M

doute. • .

— Savez-vous, mon e n b a t, À q àé ' VoM m èra écrivait an géM ral^ i ) ij

— N w - • •VOUS avez pu ratnarquer qnet.la omI n i éa cette léttra étaiilU iabi. ' ‘'•'"(fin (o

— E n effet, -— ■A loenécoM stiafl auj- E t, reprenant, k — *“ ■----------•-*

qui suit’d ’une v<U'_— « Mon frère, je I

auprès de moi; ponr 4 ' in s tan u , q u a iip M obi

’henhe,'je* dMuranreinépifr-jiMi____qaedaxniaèreàet«b<M m,, s ■ i

— De la|m t s’éc ria Jaçfçg iR ttM^ u r a . t^ ra im T p .'i"

— H a m èreinla rien in a g fré jn â H p ffiit

^ ^ ^ a u v r a âa rah 1 fit iamaB É tt'lR L ril ainsi sa leétul« î ' ' «ncff «m iT^

•- A :ip iq iq ré iè iq

( L a s u i te a u prOèJuéiA

t t H m iS ô U U tn , Ui m l M iy«p|i4« ~ n b n i l i l ’lidm M oii i U co la pour

i ea(l« HDBMae DomoncUlure q ue • néoMoiiM |>our

‘ ;el. lU Iheureuseroent, on a recette ne p o u m tout

________ kMiii lee moyensM biês, « t i w * trouver do iiouvotlfle ree- aoefON. C ea t p a r l lro p M su r les maUërea pre- m û re s q u 'o a ^ i M ^ ^ u U ib re r n o tre dette, w lu tio a toq jeo rs diinciie p ou r u n E ta l quel-

■ ne, problèm e b iw p lo t terrib le & résoudre a i l s ' ^ l d ’un psye auaû éprouvé que le

levae des Jo un a ix .U C o iw tjtu tio iin e rc o m iD e n c e so n p rem ie r

f o r i s p i r une ptpimale. ^■ -IVois hauts personnages de Berlln arrivèren t

avnp iintî le ttre de. ilioD d u ro i de P russe pour l'em

. . .a i t par o u b li, e t on l ’avertit avec a u ta n t de gravité q ue de

poué vous ètije Ibda l ^ p e r e u r . . ,

aus d u re r io n s vo ir les curiosités MtSé^, ' , liebV J’aviserai.

’y ^ j f r q i r , ûti^^appeler le prince Mens*

— « S f l i i i .A W , tro is m essieurs que m e — ‘y n apgà pm n frère de Prussô, e t qu i

e ^ J ^ p o u r . vo ir nos curiosités. Que _*.H jjjgj, m on trer!

itl i t le a et

^ m p te s < tiirg hr'lpw cou ;

le faisait s 'assit dearâs c'é ta it exposa 1 e t une p r

p u t 8*(• bon

so r ti t sa d ’abo rd nue c't U réponoit av douceur :

■ — Les ainliassadeurs du roi m on m aître ne sont point dans l'usage d e rem porter leu r si-^e avec eux.

L a G axetle de M agdehourg p a r te m ieui^ d e l 'a l t i tu d e d e n o s g ra n d s h o m m e s d e la g a u c h e ra d ic a le d a n s l 'A sse m b lé e , q u ’ils n 'e n p a r le n t c u x -ro é m e s :

’ ' ‘^ .Ü H ' grapd ' nobabr^ d 'e n tre eux ont c o ra ' p lètem ent im té ledrA convictions dans la ques-

4 .tio frJttU itaii«> .U |ihqm L -d!eolre eux les o u t re n ié e dans la question des im pôts. Hs o n t sa- cridé les points les p lus.im portan ts de leu r p ro ­grammé,'fcè q u i en frisait tou te la valeur, dès que leu r i n t â ^ personnel ou des i.itérèts de p a r ti l’exigeaiént. •

P a s m al, p o u r on jo u rn a l a llem an d !

I ^ ^ U H LES u

d j ^ i b e l i n , n égocia^ l a l n t f A il9 novem bre r . ro é l ie .A e lIn , domiciliée c l i a n r i ^ n t e i t a n t l , 9 0 0 r iq m m un m andat su r la

P M iB dem eurait a |nd tb 'Z ib fl|n . Lu l'acteur déiivi

i(|ue è celui- I l I e ts W ttn q u e e t alla ti

d u m andat.MM. Delsol e t Zibelin n 'ayant

M. A le u n d re ZitieUn la restitiH leu rs, ^ jit jntrO duil une instance n is fra t^ n d es postea, nlin d 'o b u .t io n d q préjuaice qu 'ils ont é p r d u v  ^ r ------

’ d e là fru té d 'u n de ses pré)K)sés. sL 'adm inistration se p lain t, pbf-'coaW , d e ce

q ue la dem ande soit si tardive.Le trib u n a l, après avoir entendu M* Koliart..

avocat des dem andeurs, ut M* T aillàndier,-avo­ca t du directeur général des postes, a Vendu un jugém eni condam nant je u inH ieur général des postes à payer è MM. Dcistd la som m e d e 1,932 francs avec lee inlérét*' depu is le 99i novem bre 18C9.

L'adm inistration payera, eu ou tre , les défiens.

prince, q u i, on le (g ava it'iV spn t 'bn et m ordan t, u fau t leur

com ptes du chem in de Saint- i 'ü l - . - .. .. .. . iig n’au ron t jam ais

*S * d e 'n o to rié té *1“®

" ^ * ^ ÿ ? ! n i ^ ^ t ? o a ^ t a i i alors louSo récente* pQÙîi qes pommes folies, e t q u 'o n nava it

^ j i 5 m P P (« ^ ^ re u i l le r les com ptes; to o t le

^ Ü S ® S f l i f â S * c e U e histo ire au su jet do la * prM uaioé visita d * em pereurs de Russie et » A 'J M r i n h o è , ^ l i u . Quelles choses curieuses

leu r m ontrera-t-il î

S d o q le C oiultlH lionnef. c e q u e l 'e m - p o u rra p ré s e n te r d e

i?l‘p ta s 3 u i6 o x à s e s a a g u s te s h ô tes , « a p rè s les •'^IW ihJfes d e la g u e r re , s u r to u t le s co m p tes

^éga rlitio D d e s p re m ie rs m illia rd s d e l’in d M a i té , q u i o ffrira ieu t u n io té ré t to u t

'p iq a a n t q u e ce u x d u c h e m in d e fe r ^ ^ ^ i ^ Q i ' M r s t ^ i ^ b M oscou , > c e son t

le s sc a n d a le sd o n tsa c ap ita le e s t c h a q u e jo u r ^ l1 e ib é l tV e , 'e t d o o t le jo u rn a l p a ris ien e m - '^ p h i â t e l a p e in tu re é lo q u e n te au iV ationaf

Z s if im j. f**°°‘ b ien q u 'a u W o lks ta a t.

, i | t ^ i W i p l e ‘berlinois est u ne écum e d e là e ^ o d e ; on en chercherait en vain une

; ,^ P |^ r^ e d a n s le s au tres grandes villes. >

d i t le iH altM o/ e t il c o n tin u e d u. TOfm* tq h , ^ i S a n t s e s le c te u rs s u r c e q u e

vau t ' 'c e p eu p le q u i p ré te n d n o u s av o ir h ^ 'o i l v a s p a r la -s u p é r io r i té d e s e s v e r tu s

. ap ss i b ie n q u e p a r l’ex c e lle u c e d e se s

arm es.

d e l’in c id e n t d e M. d e V ogué ' " q m ’v e u i s’a s U ô lr e n p ré se n c e d u su lta n ,

i iH s f in g è M ^ ^ p t tS , d a n s le 5 p o rL ra p p e lle ’ h is tô r iè tte c o n n u e , m a is to u jo u rs

: > i(4 )a .8e so u v ien t h q u e lle e x tré m ité fu t *>,'*^éèoit L éopo ld U a ^ r , le c é lé b ré p ian is te , ' " l é ^ ' d e s o n fo y a g e b C o n s ta n t in o p le e t qu’il

« ,. i n l i p p e l é h l 'h o n n e u r d e jo u e r d ev an t le > ''‘M8lUiK ‘G 'ee t a n e b ie n p e tite h is to ire q u e

W ^ ^ l l d o s v o u s re d ire , e t d o n t le m é rite n o n m o in s d a n s l’e x a c titu d e q u e d a n s

a«(i% fbfiB e'’e iq u i e e d a ré c it .

i , é a n ’» |l,pa» chose facile que de faire de la i-i m afiqqe dans le sérail. On vous fait ven ir à hu it

heures du m atin pour jouer è tro is h eu res; il ],K ifrat.que voua soyez en grand uniform e; vous

atterioez ^ t heures dans une très belle galerie no pA itm tid é fen d u de s’asseoir. De tem ps eo tem ps t-i.OfiiViiBl vous, d ire ce q u i se passe chez Sa Hau-

Sa'liautCM e vien t d o s e lev e r... II faut itisi1l9W br^'Merner.Àiçe m o t. P lus ta rd on vient •ni'|v<WSi£re: S a lU uteese v a se m ettre au l»ain,—

vous vous prosternez encore. — Sa Hauterse te iffaabiÛè* voua vous rcprostcrnez. — Sa H au- O t le café, e t vous vous reprosternez

encore è chacun de ces avis très détaillés, et

É oura plus respectueusem ent. Enfin, on vous d u iv ô tr e p iano ; on en a ô té les pieds par k pour lé ra rq u e t d e la galerie, mosaïque

'.piWiMiM, des M is les plus rares. L’im m ense T S o o a ttifcOB eal- posé s u r cinq Turc*! Les m alheureux son t là à genoux, accroupis, écrasés

ir cette masse énorm e. — Mais, dites-vous, ■H M M v.iotM r s iir u n p iw H tjh iem q-

iii crm l a lors que vous hés ité i 'iS feeq n e n 'e s t p u d ’ap lom b. On prpnd un.

.. .è m ët sofas les genoux du plus petit V 'q éan d le piano est ainsi calé, on olsé dé j o u # ; on n’iiôagine pa-s q u 'u n

aeolim ent d 'hum an ité vous arrê te , .vous êtes obligé d 'etpli'4fa'cr'cettk’ délicatesse de la civili­sation e t cela es t très long.

• EpÛn, on rem et à votre piano ses piedsWÜotlan parait. A près toutes sortes

desam idecs, on vous ordonne de jo u e r .. . vous pas rie c h a iu . On ne

i ’M m i t jsHMis detumt t a tfawlewe. • rU o v T iq t -v. ,-<u —

Il fon t a lo rs p ira iid ra s o n p a r t i , o u jo u e r 10 *Âil’'V é lil|b e tt'e e s t in flex ib le ,

A na ta re llem eD i q o j ^ e d è b o u t, h m o in s q e e lfe rM B O » -o o e d e s e e n d â n c e ex c e ss iv e .

*0 ifO jiÉ titrABWk dèfjc L é o ^ l d H S y e r p ro fila ,

r o l M M M i iT O M ib in <>oi>iMr a u « è g e . -OMMlpè p h r n s è id e f t t d e n o tr e a m b a ssa -

% * “ *** s u lta n e s t e n c o re c o n ­te s té b C o n a ta n liM p la . M; d e V ogué, q u i

H ( ^ é e s d O n ^ s i t e b I ^ B a y e r p a r Ahdeà-Éfeijiidi^^M kcm,

t i t a f g M H s i i é n r i i q i i ’a o .i r e p r is e B ta n t d e la

V ran ee M r a î t d ro i t ,b d e s é g a rd s p a r llc o - j i iy i 'q h J d o it so n e i is te iw e

p g | | | i ^ ^ * g O x su c c è s d e s a rm é e s f r a u -

in c id e n t d e V ogué,' \ à è è m » ^ o f / u ü t .

V i n i é ‘

Le cas est curieux e t il in téresse tous lœ cercles de Paris. H . Rocher a posé la question dans l'EvènenieMl, le tr ibuna l la résoudra e t il nous parait im possible que ce ne so it pas en faveur des cercles.

Voici le fait.Deux banquiers allem ands appartiennent k

un cercle de Paris.lis r«H;oivent l'avis que leu r cotisation ne

sera plus ret.iie. qu’ils doivent sa considérer, p a r conséquent, com m e ne faisant p lu s |tartie du cercle.

Ces messieurs se frchen t; ils prétendent q ue le règlement ne p arian t |ias du cas de nationa­lité étrangère com m e m o tif d 'exclusion, mais seulcniriit de celui d 'indiguité basée su r un acte contraire à l 'honneur, le cercle n 'a pas le d ro it, sans ê tre prévenu d e calom nie, do les exclure de son sein: et p ou r qu 'il n 'en ignore, les deux Allemand.-i c liai^ent un huissier «le rem ettre au cercle leur cotisation.

Celui-ci refuse.Proci«.MH. les Allemands évincés veulent que la

justice les réintègre dans cette assemblée qui les chasse, et où l’on veut avoir la liberté d ’agir c td e p arler sans être éternellem ent surveillé, espionné, trah i. Je n 'ai ju s de m oulin qui tourne su r les terres du roi de P russe e t n 'au ­rai pas vraisem blablem ent l'occasion de vérifier s 'il y a des juges à Berlin. Mais il e s té présum er que ceux de Paris ne se m on tre ron t pas aussi prussiens.

ihw l 9» tptqtttooiB au m o i ce

iprM 'i t d W

Ces b o n s A llem ands! M. A n n ao d G o u z ie o p u b lie , d a n s le C o u rr ie r «Je F ra n c e , u n é c h a n - tilloD d e le u r s ty le ép is to ia ire .

C 'est UQ sim p le m u sic ieo d e la g a rd e p ru s s ie n n e q u i é c r it fa o n jo u rn a l d e so n p ays p o u r lu i ra c o n te r la d é fa ite d e la m u s i­q u e d e la g a rd e ré p u b lic a in e e t le tr io m p h e d e sa m u s iq u e .

Je ne m e souviens pas, écrit ce chevalier de la clé d e fa , combien de fois nous avons jo u é le tValcb on the R h ine, m ais je m e souviens que nous avons été escorté en tr iom phe par u n im ­mense concours de peuple dans le m eilleur hô ­te l de la ville.

Les m ains des belles dam es agitaient des m ouchoirs de toutes les fenêtres ; elles nous j e ­ta ien t des bouquets odorants o t des couronnes, e t quelques-unes nous envoyaient m êm e des baisers — m ais ne le dites pas à nos fem m es e t à nos am antes.

C 'est q uand nous avons é té a ssisà la tab le du déjeuner q ue nos hô tes o n t vu quel carnage nous au tres Prussiens pouvons faire dans une charge; les bons vins e t le cliampagne o n t coulé si libéralem ent qu'enfin nous avons été forcés d 'en refuser avec rem erciem ents, — e t vous savez ce q u 'u n tel refus signifie d e la p a r ld 'u n m em bre de la m usique prussienne. Dans no tre reconnaissance, nous a ir io n s volontiers joué pour le bon peuple d’O bokcn, m ais la chos«: a été absolum ent im|K>srible; les b o u cho ine pou­vaient plus rencontrer les em bouchures.

Q uel tab leau g a la n t! d e s b a is e rs o ffe rts p a r CCS d am es e t les b o u c h e s d e c e s m e s ­s ie u rs n e |K )uvant pas r e n c o n tr e r les e m ­b o u c h u re s !

Ceci e s t u n e n o u velle d u C a u lo it :« Un com bat singulier — très singulier en

effet — va avoir lieu à Londres entre deux citoyens-célèbres : Verm erscli e t Lissagaray, q u i se son t livrés, au p réalable, k u ne scène de pugilat dans un m eeting teau deroièrenoent à New o f Science.

> M. Lissagaray, dont le visage a é té littéra­lem ent laflbiinl p a r les'ongles de Y erm ersch, a envoyé un cartel à colui-ci. -•

E n tre f rè re s c l am is d e c e calibfe-lfa,fa quoi p eu t-o n b ien s e b a ttre ? — Au p é tro le fa q u in ze pas , avec d es p o m p es.

NOUVELLES DËPARTENEPiTitLESLa circu laire auivante a é téad iessée par le

m in istre de la guerre aux généraux com m andant les d é p a r t^ e n ts :

Versailles, 3 5 iuillet 1872.. Général,

J ’ai adressé le 27 ju in dern ie r k MM. les généraux chargés des inspections générales du ^ n i e en l '872 , des instructions com plém entaires dans lesquelles se trouve le p a rag ràphed-ap rès ;‘ ' l ' lA ' nouvelle organisation d e n ô tre é ta t m ilita ire im pliquera p ou r chaque rég im ent ou bataillon s'adm inistran t isolém ent la nécessité de concèhtràr dans one mêiAe garnison tou te la partie active d u corps, son dépô t e t ses m aga-

E iféo iiséqaence,'ibk ttaeuoit faite' des p u - ^ ( b r t é S e t dé ^ e lq o e s localités se tro u v an t dans des conditions particulières, il ne sera èO b sëN éd é^rn iS o n q ue dans tes villes où les ressources du casernem ent p erm ettron t la oohcéüli'knota d*nii côrps de trûope com plet. Je vouç au torise k frife connaître ce tte dérision kuz aiKôtltéé 'préfectorales e t m nn idpalee des villes d e vô treéitondisB em ent d 'inspection qui, pourraien t ê tre a tteiates p a r cette m n n re , e t à m InfbrnlRr dès k lirésent de la supprsM ion prochaine de leure ^ m is M s , k m oins q ne les dépkHém ents ou k s villes ne prennen t k leur charge les dépenses k fr ire , p o u r augm enter dans les p ro p o sio n s n é c e m irc i la contenance d é ’léu r 'cMoreém eot: •' ‘Vous lÉi’É dreasera su r le résu lta t de ces

d im ifd M s ù n riippoit spérial.

Lo com m erce se m eu rt! le com m erce est m o rt! ainsi débute u iiiloriném eqt l'o raison funèbre de la France proiion«‘ée paf mcssei- gncurs les pt'ssimisles. Oc sont eux q u i ont déjà déclaré que, to u t (x>mpto fait, l'em prun t serait .à peine couvert !

L 'adm inistration des douanes. — q u i para ît ê tre m ieux renseigni^. ce nous sem ble, que lesdits iHSsiinisles, — va, heureusem ent, k coups au chiflVes, détru ire ces «Simples k do rm ir debout.

I.e total général de la valeur des m archan­dises im portées dans le prem ier sem eslri'd e 18C9, sous.le régime d it d e la prospérité Im p é­riale, a tte ignait 1 ,437 ,497 ,000 francs; eo I 8 7 0 .i l é t ^ de 1,674,134,(M)0; il -i atteint déjà p o u r - le - prem ier sem estre de 1872, 1 ,078 .732 ,000;,

P our les marchandises exporlées, le total en 18tî9 avait a tte in t 1 ,492 .868 ,000 : en 1870 1 .510 ,859 ,000 , e ld an s le s six prem iers mois de de cette année 1,727;599 ,tK)0.

Ce qui fait une augm entation d e 180 m illions 740 ,0b0 francs su r le prem ier sem estre de 1870 e t d e 235.231 ,500 su r celui «le I8tl9 .

Ne nous arrêtons pas on si beau chem in.En 18G9, la valeur .des principaux objets fa­

briqués, en France, pendant le prem ier se­m estre. avait « ttrin l 8 ^ ,4 0 9 ,0 0 0 francs; elle .s'était élevée à 858 ,747 ,000 francs en 1870, et cette année elle a a tte in t diqà 900 ,574 .000 fr.

L’augm entation ne s 'a rrê te pas là ; elle porte aussi su r les produits n aturels : objets d ’alim en­tation ou princi|talcs m atières nécessaires à l’in dustrie.

Le total de la valeur q u 'ils atteignaient eu 1809 éta it de 602 ,802 .000 ; il é ta it, en 1870, de 012 ,309 ,000 .

Cette année le prem ier sem estre a fourni un total de 074 ,053 .000 Ir.

Voilà la vraie éloquence k opposer aux oraisons funèbres su r la m ort de la France par ces « aigles de mots > m ais non de faits!

Il ressort d 'u n e décision présidentielle qu«* la lim ite d'.àge des olliciers «le l'arm ée qui de­m andent ù concourir pour la gendarm erie, sans distinction de nradc. sera fixée à trente-six ansdistinction de grade, sera fixée n o u r le sc a p ila in o sc tk tren te-quatre ans pour les lieutenants e t sous-liculenats.

Cette m esure a été m otivée par la nécessité d 'ob ten ir des olliciers de gendarm erie des ga­ranties encore p lusgrandes d 'activité p a rs iiite de l'accroissem ent d 'ell'ectil q u i doit donner aux c o m m a n d a n t d ’arrondissem ent unsurcroU sen­sible d ’occupation. Afin d e ne |K>iter le trouble dans aucune situation régulière, cette masure, qui n 'au ra pas d ’elTel ré troactif, ne recevra «on application qu 'à p artir d e l’année 1873.

tueu.-«e devien t ra re , e t l ’autorité {utei n rile cesse d 'ê tre indiscutable. N 'esl-il pas vrai qno lu

d'q J)^indvpenJ^nce precoc^ tê le s^ e t qu ’elK8«en ÿeearniqnxICC? ( p 'u n ne|o i{ im M id |p lukk

■|u b ,j «v j-

f r ^ l s I r a i^ d 'éè l) i ( itiL B v e ^ io n . père? q u 'n to lère son au to rité p lu tô t q u 'i) ne l'accepte? N 'est-il (tas vrai que I entbnce la plus tend re ne vetit recevoir des loià q u e de ses frn lua ies les plus insolentes, de ses passions h s plus ' fbogueuseor/ A ussi, p a rv en u s. k prine ' à l'adolm cenre, le e e n u n ts rêvent, avant l'heure, une ém ancipation q u i ta rd e trop à yi-nir^k le q r .

lltré; lü iif rn e n tsd e to u t espèce de' joiig . ils son t fiers, arrogants, insolents mêm e. B ientôt, d issipateurs .avant l'àge , ils dévoreo t, en l'e scem p u n t, leu r héritage à . venir, s'allhu)* chissant d e la loi du respect, do l'am our, e t «le l’obéissance, e t l’au to rité tom be devant leurs révoltes ei leu r m éprls.

« . . . . L 'in stitu teu r jou issan t des m êm esdro ifr e les paren ts, do it en avoir les qualités. Aussi, néton, ce grand m aître en étlucation, nous

d it-il. 1» Soyez pèrt»; ce n 'est pas a.ssez, soyi^r

m ères! •L’in stitu len r vr.itm ent digne de ce nom ' t'ai

père e t m è re à la fois; i la l l i e r a u to r i ié e l l ’afTim- tion, la force inoralo q u i re tien t, e t la douceur qni a ttire ; il p rouve s«m am our i n r son dévoue^ m ent q u i ^ l e , s 'il est possible dé l 'é ^ le r , cqlui de la m ère. Non seulem ent il a le dévouem ent du corur, mais celui d e tous les jo u rs , du tou tip Im heurc-s d«‘ la v ie ; il est infatigable e t ço^n- plc l, lib re e t désintéressé. F.tre constam m ent au servic> des besoins, des fribh'ss*», des m i­sères d e l 'e sp rit et du «mrps ; se consacrer à l’in lirm ilé m orale p o u r s’élever ju sq u ’à la force et k la grandeur, à l'ignonuico .pour rin&tzuire, à la h '^èreté pour la fixer, à tous les défaute pour les corriger, fa to u s les vices p ou r les gué­r i r ; d onner to u t son tem ps, user ses forces et son ém v^ie; se liv rer sans réserve, sacrifier tout ce q ue l'ou i>eul, to u t ce q ue l’on est, e t après avoir to u t donné, se donner soi-même : tel est le dévouem ent q u ’exige l'éducation »

Voici les nom s des élèves q u i o n t é té lu plus couronnés :

F ran ra i* . — Cours supérieur : Morel, Boitel, C ham pagne, C o lom bier, J o s s t , D ebou t, Lhoste.

Cours pré|>araioire : H u b e r t , R oquillon , N ogniot.

A nglais. — M ore l, D o ite l, Cham pagne . Leroux, Colombier.

A //rm ani/. — M orel, Doitel, Champagne.M af/tém aliguet. — Cours supérieur : Morel,

D oitel, Cham jiagne, C olom bier, T isseraiit, D elm ul, Andraut.

t'x)urs pré|iaraloire : H u b e r t , B oquillon , Devougo

Sciencxes naturelles : M orel, Doitel, Cliam-

^ ^ e s .v in . — Doitel, Colombier, Morel Ju les, Spère.

G ym nastique : Dtvliade, Ange, Doitel.E xercice* mUiUiires. — D eb o u t, Cliatn-

pagne.I æ prix d ’oxainen public a été décerné à

l'u iiam m ité à l'élève Morel (Edouard).Morel (E douard ), Chami«ague (Artliur) et

Doitel (Eugène] o n t rc«u un prix d 'honneur, résum ant tous ceux ()u’iU ont obtenus.

_ g Mofc ,L a C olom be, funü .L e p è re D oucei, q u u d rillo . H oaa lia , p u lk u .

tUIBLUlBU.jAtOSSINI.

BOUTilBt..Ulanciibtkau . E. L iio tb .

U n e d é c o u v e r t e *

Fiat lux......

liU race des Durand deviendra célèbre, je «vois, si elle ne l'est déjà. L’origine d u nom , d 'ah o id inconnue, e st désorm ais acquise, etiron- rat généralnm ent fixée su r m -p o in t. L e |is r - I chem in dans leqiiel se rencontre’jlblir la pVt-'\ n lè r e (ois fra lgM tura« d 'u n Oarond (Ptoere ou< P .iulf) «ist fo rt curieux et offre des particularités qui intéreascraiefj^ certa inem ent q uelque paléo­graphe. Iai stylei a ssex y m esq u e à la vérité, dé- notn do la pa rt de l 'a u lru r — c’est du moins une tb rte présom ption —* q u 'il n’a jam ab cündu l ’a r td ’écrireco rrec tem en t; l'o rthograplto est égalem ent très archéologique,, ind ice doqt on |H)urrait tire r parti pour aasignenau monù- rai-iil d o n t s'ag it, une époque pi;éciNi.—^ Enfin, chose bizarre, e t 's u r laquelle tou te l'u llenthm des savonU do it se conceiilrer, ce papyrus ren­ferm e u n program m e com plet d 'in stru c tio n ..... obligatoire! e t lé développem ent do ce giave su je t noua a paru non m oins curieux que le style et l’o rthographe.

D n s’occupait donc, en ce tem |ts-lk, de eeile H quettion im U iénab le * .(8108) q u 'il e s t sseril) q u i nous pasrionne ta n t au jourd’hui : l'Instruc- lio n . H y a Ik un indifce de plus, indice imporr ta n t, q u i pt-rmellrn aux savants dq su pronopcur h a rd im en t su r ré{HN|ue du ce p rk ie u x inopit- tiieiil.

J aCUI)E.S l.e Cl'RIEL'X.

La m alson des ^ u x flopset ava it é té assurée à la co m ))ftg r)ie ,d e^A f^ : m ais cMie assurance

j é ta itexp irée d epuis l e l u m ai d eroier.' L ea ieu rV ére l, |)luB heureux , é ta it assuré.

Od attribuei cet incend'w à ) |’iroprudaoee dea I enfants CoNot q u i jouaien t avyc dM allum ettea ' su r le seuil d e la m atsoh'.' ‘

S iitB S t-M a ia> tlra* l!« iB |;« ac« ss . — Le sieur D e l^ n n g e , fcgé d e .18 ans. veuf, sans en frn ts , so liv ra il, ra re lt-il, à la boisson e t ne .voulait',*^

1 p h is .travam er: il jiiL a rriv a it souvent* d e d ireta rdera it pas k m ettre

1 p endu oans Ia

in à SM j,oura.jV9<7,M îlt, on l ’a trouvé au cm ciiet d 'une vo iture q ui se trouvait cour d e sa m aison.

fM »l««M s» . — Poluse eorreetionneUe d u 18 juU U fk — Le 7 d e ce m ois, dMix m iH talrei d e no tre gsrnM onl rev en tM d ’nne (Ôtedea «avirons,

æ c ro isa in ib d an is tle faubourg Saint-V aast avec 'jj tu ^ ^ o u v f l^ chaud rqnqiefg Hy npMjniilTAirfil

'^*'n; n e la ironxe héurea d u m tr . T é m , une espèce d e cyclope, s eperm it dedéiorifllsr u n

hom m es ivres, les m ilita ires easayètent de con­tin u er leu r chemiiL^,niqio les chaudronniers se je tè ren t su r eiixi U ne lu tté s'engagea, lultegéoé- reuse d u côté, des ,m ilita iro q u i , q p r te j 'é l r e

'ren d u s ti^irfas ' d e le i^ 'a g r is a s e d N J 'M m tranquillè inriil !le ch'éiiiin de la c a s ^ d . iU ijm - valent su r le nont 'lbrétin’ils V ap^ bri^ ^ - ” *

* idrt ■ • - . .

L 'adm inistration d«B télégraphes v ien t de réaliser u ne nouvi-lle am élioration dans u ne de ses parties les plus im portantes. Désormais, aiu lieu d 'ê tre en toIs. les poteaux télégraphiques seront en métal.

Cette idée avait été indiquée souvent p a r des physiciens, mais ju sq u ’ici l'application des dilférents systèmes avait n-nroiilré desdDicullés irisurm onlahles, eu ^ r d aux prix, à la d im en ­sion. à la visiiectfa la pose. U nouveau poteau , dû à M. DcsgolTc, ot «léjâ i-n iisageauxalen tours de Paris, prusente les avantages incontestables, m ême su r les poteaux de ho ii. au po in t do vue du prix de i\*vienl.

Ia; pot«Mu su comimse de deux Ifdes pliees suivant une courhu q u i lui doiinu uno grande lésislance, et rivé-es su r leurs rebords, Divers tron«;ons s 'em hoitenl riv«5shs uns sur lesaulr«îs, et le profil, Cüni(|ue du sol au som m et, reste d ro it du niveau du sol fa la base du )>oteau.

S E M L . I I M

I n a t l t a t l o n C a l ^ t

Quoi«|ue nous soyons encore sons le poids des douloureux événemeuls qu i .so sont succédé depuis deux ans. un grand nom bre de personnes se sont fait une fête d 'assister k la distribuiicn des prix c td 'ap p lau d ir aux succès des enfants.

La d istribution était piésidée par M- le Sous- Préfet de Sentis, assistédc M. le Maire, du H. le C uré e t son clergé, de M. lu Commandant de ia garnison, de M .C hahnin, ad jo in t, de M. Lebrun, e t des olTiciera.

Les élèves, sous la d irection du sympathicpie M. P oix , chantèren t plusieurs ohraurs, appro­priés fa l a , circonstance e t applaudis )>ar les assistants.

Après un brillant oxamen fait par M. le Sous- P réfet, M. le Curé, M. le Commandant, et souteou par les élèves M orel, de Rouvreltes (SoroiM ), Doitel, de Persan (Seide-et-Oise), Cham pagne, d e Ruily, e t C olond)ier,'de Senlis. M. Cabot commença son dlscôqrs au^ milieu de l'a tten te générale. Il a tra ité , avec |e talent que tou t le m onde lui reconnaît, un sp je t qui devrait ê tre conalam m énl fa l'o rdre d u -jour*, e t faire la base principale de no tre régénération poun arriver prom ptem ent "fa Une revanclie : De Pau- to riU d ê iu P éd iu â lio n .

Yolci quelquek (uidlfafira dq ce discours rem arquable, aoqyepl interrom pu p a r lus applaudissem enis chaleureux du public :

« . . . . Au m ilieudem os divm ohs, il «et un poin t aur lequel noua, aom m es tous d ’aocOrd; nous avons la conv ic tion :u iun im e q ue le p lus puissant moyen de régénération, c’est l ’in struc- tion , répandue k flots su r ,tous, sans exception. • Instruisez le peuple, > jéljéeat fr parole léguée par le fondateur do l'indépendance des E tats- U nis, k ses concitoyeba, e t nous savons de quel développem ent intellectuel elle a été su ivie, et quel rang ém inent oMte nation o a u p e dans I univers.

• Nos vainqueura, eux aussi, on t, depuis loitaterops, Vbigariké ilna tru c tlo n , non k cause de leu r esprit Iim tAI, n iais k cause d u prdtes- tontism e, d o n t U form e principale d e fr

On est souvent tro p sévère pour les d is trib u ­tions de p rix . On Ire fuit com m e des cérém o­nies m onotones e t interm inables.

E n cela on fait preuve d ’un esprit changeant. Car tous, dans notre enfance, nous avons aimé le jo u r de« prix .

Q uelle ém otion quand on nous conduisait avec un liv re e t une couronne aup rès de nos parents émerveiilé?, quand la tê te ornée d ’un diadèm e de papier, nous faisions no tre révérenct; k l'aud ito ire !

Ce fu ren t là nos prem iers succès, peu t-être les p lus doux.

Ia s vrais am is de la jeunesse n 'on t pas oublié ces jo ie s ; ils se plaisent a assister aux d istribu ­tions.

C'est ce q u 'o n t fait un grand nom bre de per­sonnes lundi dern ie r k l'E xlernat. Assises devant une légion du gracieuses enfants, elles en parta­geaient l'allégresse.

De leu r côté. Ire jeunes élèves travaillaient à em bellir la fête. Grandos e t petites r«'%itèrent leur fable ou leur pièce de vers, avec ce ton propre à l'enfance q u i ne rappelle en rien rexagération de l'ac teu r, m ais la sim ple natu re p lus ou m oins gênée par la tim idité.

I.,es refrains populaires font tou jours plaisir aussi l 'a ir de M at/re corfreau e t celui de 1- bonne aventure o n t eu un véritable succès.

Nous avions aussi de la m usique ' sérieuse une scène chantée su r l’obéissance destinée à éclairer les m èrre q u i o n t une tro p bonne opi*

P t a l i e c « • r r e « t l « n a c l l « «Itf S c m I I m.

l'aéSIDBNCK OB àl. Dauciiart.

Audience du M ercredi 14 AomI.

Vagabondage. ~~ M onimignon (Napoléon),6 ! ans , inanouvrier, sans dom icile ni résidence, com parait devant le tribunal sous la prévention de vagabondage; reconnu coupable, il s 'entend condam ner en six jo u rs d e prison e t p a r corpe I aux frais.

Coups d un agent. — Camus flIenri-Louis- I Joseph), 3 9 ans, e t O r p h ^ (Pauliu), 3 3 ans, I m anouvriers à Do'issy-FVesnoy, son t appelés I devant le tribunal sous la prévention de coups I au garde cham pêtre d e la com m une; reconnus coupables, ils son t condam nés par défaut eii chacun trois m ois d e prison e t p a r corps en 25 francs d ’am ende e t tous deux solidairem ent | aux frais.

Vagabontlage. — D rébant (Jeah-Baptislej, sans dom icile ni profesnoo , com parait devant le tribunal sous la prévention de vagabondage; reconnu coupab le , il s’entend condam ner en quinze jou rs d e prison e t |u ir corps auX frais. — Le tribuna l o rdonne, en o u tre , qu 'il sera m is à la d isposition d e l'au torité adm inis- -1 tra tive |>oiir ê tre , après l'expiration de sa peine, conduit dans un d ép ô t de mendicité.

B é l h M i M a r l . — Le m ardi 6 août, des enfants jouaient a u pont de D éthaiicourt, su r la riv ière d 'A utom ne q u i passe en tre cette com m une e t celle de G llocourt, lo rsque tout-à- coup un en f tn t d e deux ans, appartenan t au sieur L ecuru, tom ba dans la rivière. L’enfant a lla it périr, sans l ’intervention d 'u n jeune garçon de 11 ans. nom m é E rnest Sôucany, qùi sans s 'inquiéter d u danger, se je ta fa l'eau ét p arv in t à ram ener sain e t sau f l'enfant du sieur L ecuni.

C h M i l l l y . — A la d istribu tion des prix I d u lycée Gondorcet, H . R enouard, procureur

nion d e leurs enfants et pour la fin un com pli­m ent rem pli «le m agnifiques rérajulionq* hVuk aYôns rem arque particiilièrem eiit les deuxouvertures à quatre m ains : celles d u Domino h o ir et du Jeune H enri.

Lo latent du jeu n e P errin , déjà populaire .Sènlis. a trouvé là une belle occasion (le s'afllr- méTi Son jeu b r illan t, plein de verve e t te té , a le (Ion de p laire k tous : au connnlf«eur qui aait combien leSd(Ngl3 s '^ l i s e n t diflicile- m ent, e t a i’Iiom m e sim ple qui n’en tend jouer du piano qu!une fois p ar an.

N ous rem ercions donc le jeune artiste , e t nous souhaitons nos chères onfan tsdo l'Exter nkt de goûter souvent d ans l'avenir des jo ies aus.si franches e t aussi vives que celles d ts d is­tribu tions de prix.

E t a t c i v i l d ic f tc i ia lU .JVwiaaiIres.

Dufnur (Julie-Charlotte).t'zjtnmelle (Paullne-Looise).

' B ordier(M araurrite-Pauline).Leforl (Joséphine).Gueuk (Marllie-Atièle).

Décèe.Dattavoine (Em ilo-Julieo), 10 jou rs .Dunel (Louis-Dénoni), ren tie r, M ans 8 m ois.8eneattx(M argM rito-Pierrette), veuvePrévoat,

6 9 a ns 5 mole./ l le rfr t te (M arie-Victoire). Veuve Deaucerf,

8 6 .«M 'H , mois.M «quaire(Caroline-Prançois^, épouse Fouroy,

4 & an sA m o ls .ihifa/fMfioAt de m ariage.

E n tre M- Grévin (Kugèhc-Spiridion), ^ r d i r n d e là paix k P aris , e t n fraem oiselle V andercruche (AuguBtine],k Sonlis.

E n tre H . V eniirr (Louie-Tliéodore), com ptable fa DarÜefy, e t m adernoiselle D iu u lt (AuguaÜoe- C slin a), saas profession fa S«;nlis.

h inbvM . F lam gnt (Eugène-Cliarles), ja rd in frr k ^ n f i s , c l m adenioiselle Roger (Aline), b lan­chisseuse k C haînant,

< d eux chaudronniers venaient k la restxMuae; ils s 'arrêtèren t jyoïir leu r l^ire fa ixsmôme ' '(]ui tjdbnd'I'flrèiHe (q Itli flt 'Uife l crfane. C cst a lors q u 'ils doùïièréiit' vais sujets une ru d e correction. L 'un de vauricfis réussit à .p rendre la ,Rijte^ i

. l'à ttlrô .’élajt qnlèvé f u pb q te '^V i? ' je u n » 'in ilila irra q u i, dans (it;.,'o n t ’ o ii l)^ ufae gén ém ité ,. iifaè,, to u te .épl^uvé. recoivéiit I ra ’iifliçil M. fr préslaetii'M (le M. lé p rô c u ra publique. Q uand aux prévenus q u i, (Îisent-Üs, ne 80 deux : ils sontsonnem ent èi H crm ann eh IS ’j o u n d e f r i peine. •

V « ta e ic a ra c « ; — Le 10 àôàt^ efrforiftiotch v i lu i , le 's ie u r Michel a c c ro c h e 'a a 'n a o i^ p ^ de la chem inée. .Le lendem ain,; Â T U nk

' c inq heures d ü ifaatin e t ne re d ire ifridi. En J r ilv a n t il va chercllersa m o ilM '; ^ e Avait é té enlevée.'On ne sait com m ent le V oléùFa'uu pénétrer sans être «n teodu ; la dkhUii’‘H icnel n’ayaht pas q u itté la maison. ' ‘

r a id e la Cour de Cassation, qui pn'-siclaU, a , dans sou rem arquable discours, d(

VkBIÉTÉS.R i f t A W i i l l E !

' SUR LA ' ' ■’t ■■■- ■■ '

DÉFENSE DÉ PARISSepfem ôre 1 8 7 0 - ^ /o n a se r 1871 /

P n r E. 'V io llo l-fr- D uc , 'cX '^Dédteiiant-^do- in n e l d e la L ég io n a u x illR li« e 'd « '^ n ie .'*ri«, >(01, la>S> tie «.'47 P ^ e i.’ sMè'ilttÙi'ta-Mio

(l«i XI pU aebat. ‘ I

L 'ém in cn l a rc h ite c te a é té fa 'la' n elB é e t a 'r e n d u d e g ra n d s se rv ic e s f 'd ir iîn t ' :il H vit le s c h o se s d e p rès , e u p efao n tie , e n h a u t e t qn b a s : il a m ^ i t é avet; qâ p q ls iu g te in te llig e n c e «>t so n ex p é rie n c e d j î j^ J q ig u e , s u r CCS tr is te s é v én em en ts . I l ra co n te , il c o m p are , il é c la ire e t re d re s se : c’e s t u n c o n ­s e ille r fa n e p as ’écfaHèF'de g a ie té d e c tM r ; e t sa p aro le d o i t ê t re eniéndu^e d ^ c e g ra n d e xqm en d è c o n sc ien ce e s t con v ié p a r ta n t d e vm x p ln s / .M ! J M ( u au to r is é e s ; e lle d d i t po ser d o n s 'in n t l i U u e t d e s tin é e s . A ce u x q u i n e oM nnttifrieH l'' le liv re o u n é F au ra ie iit p a s M if i '- lk -a n o u s c ro y o n s dev tiir o ffr ir du s pajjcA les p laA ÿ igu iliku iU i^ 'd ré c6 m ém o ire . '

• .. . Soyez aasuré 'tque, q liô lq llIL n tr iv f , les dilRculléu Buigiront p ou r U - m n a aptkq 1a

donné utém oignage sym pathique de regrels pu jeune d uc d e Guii>e, récem m ent eidevé, par une m ort prém aturée, à scs cam arades et au bel avenir qui s'ouvrait devant lui. O s paroles, qui ré- ponclaient au sen tim ent général, o n t c lé accueil­lies par d 'unanim esapplaudissem ents.

Parm i les lauréats de la classe de m athém a­tiques élém entaires, le nom du jeune François d 'U rléans, d u c d e G iiiso , excrilent élève, était Irès-aimé au lycée Condorcet. Lo proviseur annoncé q ue M. le d u c d ’Aumale avait dem andé e t obtenu l ’au torisation de fonder un prix annue l, de la valeur de m ille francs, m u perpÀiuer au lycée la mém oire «le son fils. O tto com m unication a été accueillie d \ w un in térêt très-sym path ique. Ce prix a été décerné à l'élèvè S icard , de la classe de m aihém atlijues élém entaires

Une louchante id ée : ..................O n sait que le jeune duc d e Guise figure

p a rm ile s la u ré a tsd u lyc«eCoRdür«x-l. .Le prix rem porté n l r lo i va ê tre relié en noir,

e t adressé k M. le (lue d ’Aumafr.

C * a a p l è K t a e . — Nous avons la satisfac­tion d 'annoncer q u e l ’au teu r d e la ««iiWràclion d ’u n rbeval et d u n é voiture, c«nnmif^ le 29 'J> ( ju ille t; au p r^ u d ice de M. Plerusin, louèuf «le '

ren tiée des trou|M« victorieuses en 'A H taiiqp ie ,I su rtou t s i , nous rep lian t s u r noAM nkdids'pour

{tanser nos blessures, el- recoosU tùer le pays, nous abandonnons ces projets d e n V k i ^ a 'r i - diculee pouF le m om ent. L e tomns M ekm ryirrs de noHs venger, si nouSsavôns ê tre un peuple e t profiter activem ent dé la d u re l^ fo n q u e m u s venons do recevoir, la; le in |» seul es t wgrAiid jiis lic irr con tre lequel i l - n ! y 'a pas d ’a i l é II n 'est q u 'u ti m oyen d e no pas gêner ta couru Idint, m ais s û r , lie cetto justice , V e s l d e /b ir* r ^ o a - reuseéient son devoir, lout to n d ré o fr ; d e ne pas s'a liandonnor, de ne pas rh e re h e r-d ’au tres , sauveurs que Mi-mèiiiOt do dévelbp |frr les fa­cu ltés qui nous sont dévolues a veciprttfrlance e t courogo; d e m ettre au kan de U — Ko» fo i» live té , t'égoUme, l'ignorance e t bon noMkre de vices q u i nous ro n g n t'. •

i*'obstac.ie fa c e tte re n a is sa n c e e s t c e tte .-edeepatiii|â». t tn n tn l i i î i t in n -q u i m— im p tln

l 'é n c ig ie d e s p ro v in ces , le u r ô te v ie; ÎDi« tia iiv e , o rg a n isa tio n d ’e iise m h ie , o rd re gé­n é ra l, «1 j u s q u ’il lu faqqit0 vtp s e m ouvoir d ’cllo s-m ém es e n d e iio rs d e l'im p u lsio n c e n tra le . --

ju ille t, MU |lie|UUl,.e ue m . • ---- - ■ uuieuu ( ' M«MI« CIC lUISV ■ OACVUIIUII, Il II aiMIVvoituresfa Compiègne, a é té a rrné ,,ina jra l de 1 passuffi que la capitale eô t appelé k d lo tou tes lesce tte sem aine; k S en lis , k l 'h ô w du G rand- | forces, toute l’a«}tioD,: o u a v a i t a rm é cette tôleCerf, au m om ent où il ten tait de ^lettreau détaim ent d 'u n lomnir d e , c ^ i s Ville, uAe

guerre. E nfennéa dans un casque, elle ne [louvait ni vo ir , ni en tend re , n i æ m ouvoir: elle était com plètem ent séparée d u tronc . •

C’e s t Ifa,le g ra v e r e p , r o < ^ j ^ M , V iollet* l e - D u c ' : ' m n o n la

I fen te » ; fortifl< »tioos co n n ,ie s d e to u s les

escroquerie, d isan t, com m e k Compiègne;-qu il ava it un rendez-vous a rec les f o ra tie r s ..^ a is ta personne fa laquelle il s ' t o i t ' adressée, et q u i é ta it au c o o ran td e ra ffk H U .p a rle journal, se m it'endéftance , l’invita k reven ir d a m 'u n e ^ , . h eu re , e t m ettan t le tem ps k profit, Svèrtfrséit 'A i | _ n , la police q ui se M islt' de V individu au inom ept I : „ j _ . o ù 'il d éjeunait. m o in d re

Di pait,JUSqu'— w..„. „..w . .... --------------- - ------ce n’est q u ’en p r é s e ï ^ de M. P ijreoh , q u i ] d eavait été appelé , q u i l se décida ksvouer!l«l j |^ ^ p j ip | | | | i e ,a a M ^ é o . M uprov iM A iA iU É M iitD it, _ -----

Seulem ent, il a vendu le cheval è( la vqi- , tu r e k u D m archaiid da Paris q u i h v a it dtii^ revendu le cheval. Malgré «tais, H» Vieraon com pte ren lre r a q jo u rd ^ u i m êm e en po6sasl| sioo des objets q u i lui appartisniM nl e t q u i lui o n t a u s é a u ta n t de soucir q u e d a .dé im r» ches. , . l ' '

Q uand k l ’individu, il au fs k fqndfg. coj fa ta jiiatice de ses actions p lp t ou |PQ>ifr nôtes. (p r o g r iq d fV i

/ f ,5u. jUSQO AUL II o e eu II • • l ^ o ’ao m o in d re p li d uBien qu’il p rétendit d 'abord qu ’o n se téom - 1 a i a ^ e n t r a l ^ iv e elit, il n’en frit pas m oins incarcéré. .11 ifia le e n g in s p e rfe c tio n n é s d e I indB Stne«qu’au bout ê tre l'au teu r de ta soustractioii ; J m o()prnç|. q q e - . | ! i B ^ u U ^ , . o k e s -

«•m*. « mW - '- é s e ï ^ de M. P ijreon , q u î ] d eq u i l se décida k a v o u e r ! l« i j |^ ^ p j ip | | | | i e ,a a û ^ é o . M uproviM A dA ïU É aeot

pa s e n c o re o rg a n isé e s p o u r '« ti |lfM e v i h c e '(ta da «diiWMiiiitMif,^ Anssitdt

N iu D c lay r-flk lh lM td lIu l.sieu r Gossid avait qu itté t a tn iU r r r - , - . T travailler i M pntataira: sa l e t d ^ v ^ H é l é ­m ent de so r tir p ou r 1rs travsiix dés èh><mp»<

ja is N ttl k la m alson ses deux petites njles k g ^ de 6 e t de 9 a ns. A peine arrivés k t^ pièée de terre , elle en tendit crier ko ff0 l è i aecxturant dans le paya, elle v it que le M é ta it k sa'tnfai- soD. La m obilier a pu être Msavé iva tit' que la

l’invefafiMeHiéttl, paVàlty'sWUnël.^ ë e t lIA éh rjis d etfr's iriéide iek p o tii is é x ié i r i (q y (M |^ n p ^ ^ o f^ j ’e i ^ . a ,pq, q t t p I r i l i l i ^ . ^ r s B L as-

.Acqiriiles. imifrbnM M SiBkiiM éM ttoM BitiM tte* r ie s q u i p lo n g ea ieu t s u r f % v is ,c 6 8 ^ > ia B S l ’d o iro in e n c e 'd e e t i f le d i A l i p t rp t i l té r is c r d e u x o u tro is fo f1 R ,"^ ’lNk '( ie r -tilH ik lit ilb*lé o ra

, ^ i . 9o ^ , . t W t a - e d t - , i l i m « M s M vb o m b a rd e m e flid m m é d i^ t. B i i«N R iaÉ I,i|tO tt-H |f vuik*nii a i i s 8 d r » d u 'P s n i id è p lu sq u e Trocbii"ii^en 'A 'A (f t irb é f

m v i K a l M t a a f l i s . '

Ik q u e

« n «M; 4bnb«uàe giiode fille eaeiégée, un fti( Bora) dont on doit: tenir compte et qui ee pro-

î p i ^ a rm * blonufc perd une i r / n u i r i r B w l i t m m b re u w ,

I d * ao n li$ titio n l'en tam e. Uue garnison I q n l( |iM i M illiers d'faom m ee, com nundée

| a r des cbeik en q u i d ie a pleine connance,

« isfcver * n orRaniaation e t son m oral f fp rp .o e .rap l-il pas q ue la défense se

tro p . Haw une arm ée nom breuse, o e m M M d 'é ié r f tÿ ts . t l* d ivers, enferm ée dans

' to u rn an t â n s cesse su r die*r o â y t en contaét p e rm ib en t avec rd é m e n t d i l l . « t.trtM tO t'ittaq u ée d ans aob m oral. Dans ce «Mlhhge dû ' ûlvil e t d b ^ d i f^ i r e , la disci(dlne se rdbche . l à ’n o s la lg ié ^ la rue , d u foyer, du

a'om w ttM S u /11IÎ

M iré au cabaret, q ue ses cam arades, HiK\‘Jouissent k l 'n e n rs • préeénie de

_________ urs. U ne des Hautes des générauxl’origine d o com m andem ent de

n n ^ d e W fis, ç 'a é té de laisser pencbnt des M inaincélM troubeseantonnées c h n l’hébitan t, t r d n e r m isa boulevards, e t passer les journées d a ted « > lie u x .é q u iT o q u e s : le s ofDcieii n’on t pas ap p ris à , connaître leu rs hom m es,: k ^ en

. occuper : ils éta ien t é trangers les uiU aux a u tn s .^ L 'd e c |io n d ans la garde m obile a con-

'en lever é 'c e l te troupe une boûno.im tM .de 'sa 'valeur m ilitaire.

E t p lu s Itn o , J u r ia n t d u G o u v e rn em en t d u 4 M p 'fem b re ,' q u i su c c é d a it h l’ip cap a - c ité 'C I fr là lé g è re té d e l’e m p ire :

K q v â f f m û eq op n ’o p u avoir, g r d e e 'ë M t oH giae, Vénetgie e t l ’au to rité né- cessaireEtpOQç pous re ten ir sué la pente, so it en

.b u a u t I a p p e l au pays à tem ps e t lorsque T ra h é m i nous eh laissait la facilité, so it en orga* nûafli m forces réelles d o n t P aris d isposait, sur

^ m é ’ w iid é b a s é 'e t au m oyen d ’une sévère et eu c te d isc ip lin e . Si ce pouvoir n 'ava it p lu s» ÎM pW âver^tO iC O ur des Tuileries, il croyait M œ c d m p i e é avec celle de Belleville ; il a

qé‘/paternellem ent, dirai*ie, quand il igirven d io taleurs, sans réticei..................... réticences, sans

â i à uÂtfr é ém p té 'sü r to u td é quelques centaibes d é b ra illa rds (|ui se cro ien t le peuple

. . L ’a u te u r e s tim e q u 'a u x p re m ie rs jo u r s d e lep te ro b re . il fa lla it, avec le c o rp s d e Viiioy, im illlr’ à 4 0 0 0 m è tre s d e l’e n c e in te u n e u i t e ^ j | n t t e r i e s e t d e re d o u te s re lié e s

ÿ n t r e e l le s ; le s p ièces d e c e s so lid e s ou* S rag es! a v a n c é s e u s se n t é té se rv ie s p a r tes k a r i n s ; on^o&t a in û , p e n d a n t u n te m p s , fa* p l e m e n t g ^ é c e s .p o sU io n s < e n face d ’un

M M i q u i M t r a în a it avec lu i q u e d e Par* B E rié d e c a m ra g n e , e t q u i n e s app ro ch a it i^ 't ià jp T ta té 'qn^V éc p ru d e n c e . V ous c u s -

'4 Â s A fm lK h A ’s in g u liè re m e n t d im in u é sa p s e t g é n é se s m o u v em en ts , e n l’obli» m l, ,B q fà |* ce q u e p e n d a n t u n m o is , à ^ ''à ^ ^ r i^ o S u ré m e n l sa lig n e d e c irc o n -

m i^ q O s re ta rd ie z l’iiiv e slissem ep t, e t Jp M ÎIif ' e n c o re co m m u n iq u e r avec la ^ j u ^ q t r u t q u c s p o in ts . ■ E t l’on pou*

j U r e ^ a en g u in xe jo u r $ U t &lais la t t |i i ) e a d m in is ira iiv e . m a is le s am ours*

c o rp s , m a is la p e u r d 'in n o v e r , c e f l * o d e s b u re a u x ! D onc, o u s e re n fe rm a d a n s l’e n c e in te ; le v ide , u n v ide obliga to ire , s e U L ao lo u r d e P a r is ; o n b rû la le s appro*

'M im iK ^m é 'n is ,’1‘ù tn a le s ja rd in s m ara lc lic rs , c é l le m am e lle d e P a r is ; p u is le p illag e .... to lé ré d e la b an lieu e , la d é v a s la lio n p a r la m o b ile la .ü g u o , p a r la g a rd e n a tio n a le d e n arche iÿ leaT irao çs-tireu rs ; b o r r ib le im p ré ­voyance! V in t l 'h iv e r , e t la m itra ille : c e s m a iso n s o u v e rte s n 'o ffra ie n t p lu s d ’a b r i n i

l’u n n i c o n tre l’a u tre .. . P u is , c com m e • fpQtiriOMis e n fe rm e r p lu s é t ro ite m e u l e t fa ­

c i l i te r u n in v es tissem en t p lu s r ig o u re u x .

l 'o rd re é la il d o n n é d e c o u p e r le s ro u le s , d e fa ire s a u te r le s p o n ts , do d é tru iro les coro«> m u n lc a lio n s . d e lih rrioadér fés g m n d e s vo ies ai>ouliasant a u x |>(fiieq{lpn8 r in i é r i é i s 'd e U . v ille . > In u tile s Jiii'SureK, q u i d e |> e u v c u t||i^ m a is — j e p a r le «Ip l’u re b e d 'n u po n t q u e l’o n fa it s a u te r ~ q uu r e ta rd e r d ’ up^.^lemi- jo u r n é e a u p lu s ! ■ mayqlip d e |*<>nneinr: e t , s i l’on a b eso in d 'u r ti lfe n e , c om m u aux Jo u r­n é e s d e C b am p ig u y , q u e lle ^ c a ^ n n ié q u e «le n’av o ir p lu s là u n p o n t co m m e jcetui d e Jo in - v ille p o n r la fa ire av an ce r, e t jp eu t* é ire a s ­s u r e r le su c c è s d e l’e n tr e p r is c i M ais n o n , il fa lla it fra p p e r f o r t , e t iro p rp ss lo u o e r les m a sse s , e n v u e d e l’o u tran ce !

« Si l’on tenait r ^ is l r e de to u t le sang, des m illiards et des larm ea q ue nouS c oû tm l po ire passion p ou r la mire ep ic é M e t la pote, la liste rem plira it u n gros volum e. iB tc q q u 'i ly apaut» è lrà de p lus hum iliaü t, c 'est’de pànaer que cette mise en scène u 'a pés m êm e ra t t ja i t de la nou­veauté. Les vieux trucs reparaissent perpétuel­lem ent. Qui n ’a pas levé les. épabies en voyant installer à Paris, aux portes des im airies et sur quelques carrefours, la célèbre tr ib u n eà rideaux rouges avec l ’estrade e t la table d u liq é e à rece* voir les enrôlem ents volontaires! tribune que nous avons vue tan t de l^i» l% urer au C irque,, aux acclam ations des gavroches. lEl celte prisé chronique del'IIôlel-de*Ville, tou jours conduite de la m êm e m anière, avec les m èm escom uarses e t les mêm es discours e t les listes jetées au peuple assemblé su r la place e t représen tan t k lui seul P a ris ; q u e dis*js*... tou t^ la F ran ce!... Ce q u i est nav ran t, c’est d e v o iriq u ’en France des nom m es éclairés se laissent èn tralner k ce p la b ir frivole d e produira d e l ’effet 'à un m o­m en t voulu, sans réiléchlr jam ais que le lende­m ain am ènera les déboires e t l’afféont. Combien pourrais-je vous c iter d e ces phrases iinîquâ* m ent destinées à produire u n effet su r la foule,

Eromesses o u engagements q ue les faits devaient ruta lem ent dém en lirque lques jq u rsp lu s ta rd ,

e t do n t le m oindre danger é ta it d k nous rendre ridicules aux yeux d e nos ennem iè. P endant ces q u a tre longs m ois j ’at souvent chekçlié la dignité calm e c l sim ple, celle qu i convenait à notre si- lualion . O n lisait su r lesraum des proèlam ations âm poûlées; su r rios boulevards on voyait délll'er des gardes nationaux en chan tan t la jfarie tffa tse ou M ourir p o u r ta p a tr ie ,,on sè grisait beau­coup . P lû t au ciel qu’il eû t HHIu!, dès le com ­mencem ent du s i ^ e , ra tionner lé v in el^ ferm er les cabarets ! Un Irano-tireurou u n m obile rèo- Ira it-U dans Paris en voiture dééuuvertei avec un casque d e P russien, c’éta it une jo ie , des cris com m e si tou te l 'a rm * allem ande e û t été fiiite prisonn iè re !... •

S i M. V io lle t-lc-D uc a d m e t, q u ’a u p o in t de tiue m a té r ie l, la d éfen se d e .P aris a m o n ­t r é q u e lle é ta it l 'é te n d u e d e d o s re sso u rces , do n o s m oyens in d u s tr ie ls , d e n o tre aictivilé, s i b ien q u e le r é s u lta t a d é p a s sé to u te s les esi>érancos, au p o in t d e .. tu e m ilita ir e , il c o n s ta te q u e n o u s so m m e s r e s té s b ien a u - d e sso u s d e n o u s-m ê m e s e t d é s be so in s de l’h e u re p ré s t 'n te . T o u t a m a n q u é : é n e i^ ie d a n s la i l ire c tio n , m é th o d e , u n ité d ’ac tio n ,

: e u te n te e n tr e tes c h e fs , o t . s u r to u t la f o i en l'c flicaché d e la d é fe n se ; p o in t de co u ra n t é le c tr iq u e v en an t d ’e n h a u t, p o u r a lle r fa ite tre s sa il l ir ju sq u ’au x d e rn ie rs d e s tn e a ib re s .

• . . . . L’on pouvait constater do jou r en jou r l’affaissement m oral e t la dislocation de cette arm ée q ue le tem ps e t les épreuves eussent dû cependant rafferm ir. T out arrivait toujours

■ tro p ta rd , o rd res, m esures, .<^lerm inations, m ouvem ents; e t le soldat, qui juge assez bien les choses, q u i le louchent de si: près, perdait to u te conliance en scs ch e fs ,' ne m archait q u ’avec la certitude de ne pas réussir.

• Pendan t 4 m ois, j ’ai vécu avec celte arm ée, partageant ses souffrances à la .fln, ses espé­rances au d ébu t, écoulant ses propos e t m ’y m êlan t souvant. E h ! bien, j e dois à la vérité de d ire q ue si, dans ces longues Journées d 'a n ­goisses, y’ai éprouvé u ne dou leu rm ora le q u i me lit oublier tou tes les au tres, c’èla it de voir à

tobsque h eu re l a ...........f(|Vay«nte rap id ité ces corps a nne so rtira d e m a mémieiie l ’aspeot navran t do pqaeohoriM des daroiêrs jo u rs . I l ftiul av o ir p iM des lü il l i s u Mvooae, d ans la tranchée auxavant-poeleo, i’km e innu iè tee t rp re ille au guet, au m ilieu de ces som ats m ornes, pelotonnés! au jpu r d 'u n brasier, s ^ e s , défkits, couverts d e ' bn ibéaux n n s n om , ab rités derrière des débris le mtmbUs arrachée I ; ^quelques maisons vo i-

de leurs officiers. 11 faut avoir vu la pkie lueu r d 'u n e au ro re d 'h iver se l e v * su r ces dem i- cadawee, s u r oea m em bres engourdis e t couverts de g ivre, s n r ces visages sans éclair, indifférentsà to u t événem ent Alors on a com priscom m ent e t pourquoi deux jo u rs de bataille étaieot im p o asib la ; p o u rq u o i, a |»è8 une journée de lu tte h onorable, la retra ite é ta it im ­posée ai l’o n voulait éviter u n effroyable dé­sastre. Alors on ren trait dans ses cantonne­m ents, l 'am ertum e au c œ u r, l'&me navrée, dèm andant q ü ’u ne balle ennbAiie v in t enfin vous d â iv ro r de la yue de ces misères, de celte déchéance.

• Y a-t-il un honnête h om m e q ui osât rejeter la responsabilité de ces m alheurs l u r noi gou- te rn a n lt, s u r u n chef? N on , certes, e t ce serait u n q ipd igailé , i ls o n t fait ce q u ’ils pouvaient Ikiré, on ne saurait b lâm er les gens de n r pas boeséder le g é n ie ; e t un gén iescu l, â d é lk u td c r&me affaissée d e la nation , pouvait rend re la vie k ce corps tom liaat en lam beaux sous le coup de nos désastres J . G.

(L a m ite prochainem ent.)

F A I T f i l D I V E R S .

H . l’in tendant général R e n ie r v ient de p artir pour Bourges avec p lusieurs officiers supérieurs du génie e t d e l’artillerie afin de pfepdre lesdis- positions'nécessaires â l’organisation du grand com m andem ent confié à M. le général D ucrot.

Le nom bredeà options des Alshciens-Lorrains pour la oatim ialité Hrançaise dépasse trois m ille dans le d épartem en t de la M arne.

Le m onum ent du général Desaix, près du pont du R h in , à K rhl. v ien t d ’être restauré et eq touré d ’une nouvelle grille .

MU. O bry, chef d 'escadron de cavalerie, e t O kounef. capitaine d e rem onte , viennent d 'ê tre désignés p ar le m inistre de la guerre pour aller com pléter en Hongrie e t en Angleterre les achats de chevaux n é c e ^ ir e s à no tre service de rem onte e t de reproduction.

M. Obry est le même officier (mi a été ache­te r, il y quelques tem ps, dans le Royaum e-Uni, lés d eux superbes coursiers de H . Thiers c i l* les m eilleurs tro tteu rs d e la Grande-Bretagne.

Depuis le 1*' du mois, d (s inspecteurs de l’en- r ^ is tre m o n l o n t reçu l’o rd re d u rainietre des finances d e se présenter dans les grandes adm i­n istrations privées, pour y vérifier, sur les titres de Caisse, 1 exécution de la loi cuncernanl l’iin- pAt d u tim bre su r les

P ar o rd re d u préfet d e police, on vient de

Blacarder k 1 .800 exemplaires, .>:ur les m urs de an s , u ue affiche publiant <e le.vte d ’un juge­

m ent, en v ertu duquel le 18"co'nseil de guerre a condam né k tro is mois d e prison un sieur Bouland. coupable d ’avoir 'insulté une sen ti­nelle de la garde répGblicaine, ru e MouffàUM.

Excellente idée, d o n t nous félicitons Y m s in ­cèrem ent H . Léon Renault.

La sta tue de Napoléon I " , qui décorait le h au t de la colonne VenH&me, est ence m oiiiHit. renferm ée au dépôt du garde-meulfles,./!,!, des QgneB. Elle n 'a pas été, com m e oA f q ^

A m m m ent, j e té e s la S e loepar ira lédéré t. C’est le gouvermunent lui-m êm e q u i, dans les p re­miers jo u rs q u i su iv iren t le dH eutem bre, crai­gnant la folie destructive aloni r ^ n l e d i a la populace, p rit le parti sfge de faire déposer l’é­norm e b loc de b rom e dans lo lit d e là Seine, près d u po n t de Courbevoie.

On r a t grand’peine k l’eo tire r depuis.Il parait que c 'est l 'em barras où l’on cet de

replaça-celte sta tue su r le (klle ^ la colonpe, qui a re tardé Jiisqu'k c e io u r la ' rm liffcation d n ’ m onum ent déboulonne p a r les o rd res de Courbet.

Tous les plans de recoostru ilion dressée par M . Norm and, architecte, son t délinitivrinent arrêtés.

La dépense ne dépasserait pas la som m e de 350,000 fr . E n effet, tous les ffagm ents d e la colonne o n t é té retrouvée. A peine subetsle*t-it deux ou tro is lacunes qu’il e s t très b c ile de icombler.

On n’a ttend plus que les ordres d u m in istre : des travaux publics.

Il faut c iter les conquéran ts d u travail, qui p r i r e n t la revanche : l’intriligence avant le canon.

Celle année, on nous signale u n jeu n e hom ­me q ui a rem porté au roI I ( ^ Ghaptal, dans la classe des m athém atiques sp& iales, u n si grand nom bre do p rix , qii’il lu i fa llu t u ne voiture pour les e n c r i e r . En m êm e tem ps il se p i ^ sentait k l'E cole normale, où il é tait reçu le prem ier, e t k l’Ecole polytechnique, où il occupe le prem ier rang encore;

Un professeur de la Faculté de Paris disait que, depuis soixante ans, c 'e s t la prem ière fois qu 'un {»reil succès est obtenu.

Ce jeune h o ro n e s’appelle : A lbert Badou- reau. ^

Celui q u i o b tin t une pareiüe distioclion il y a soixante ans . s’appelait V aillant, e t il est de­venu m aréchal de France.

Le 2 5 ju in 1873, le second conseil de guerre , séant à P aris, condam nait à la peine d e m o rt e t à la dégradation m ilitaire lo nom m é Théogène Cerfbeer, capitaine au I " bataillon d e la garde nationale m obile de la H eurthc, reconnu coupa­ble d 'avoir, le 6 novem bre 1870, déserté h l’en­nemi.

Le condam né ne s'é ta it point pourvu en ré­vision, m ais un recours en grâce ayant été for­m é, H . le président de la R épublique, par déci- rion du 6 aoû t d ernier, a com m ué la peine de mort prononcée contre Cerfbeer en d ix années d e Imnnissement.

M ardi.kl’ouverturedc l’audience, lecondam né a comparu devant le deuxièm e conseil q u i l'avait jugé.

Sur les réquisitions de M. le com m andant Darhery, commissaire du gouvernem ent, les lettres de grâce o n t été lues par M. le gTeffier Iraliault, e t il a été donné acte do cette lecture.

Il est il rem arquer que les lettres d e grâce ne font pas mention de la dégradation m ilila ire . O r, (l’après la ju risprudence, les peines acces­soires subsistent, » m oins q u 'il n’en a it été fait remise spéciale par l’acte de grâce.

Aussi, nous assure-t-on qu ’il sera procédé très ])rocliainement à la d ^ ra d a lio n ou.capi- taine Cerfbeer, conform ém ent au jugem ent.

COMPAGNIE FRANÇAISE

PHÉNIXA ssurances cn n irc l 'in c e n ille e t s u r la vie.

E tab lie k P a r is , ru e d e Lafavelte , n» 3 3 .

P a r déc is io n d u co n se il d ’adm in is tra tio n d e ce tte C om pagn ie, e n d a te dn 3 3 ju ille t d e rn ie r, M. W xtellin fils a é té unm m é ag en t g én é ra l |K>ur l 'a r ro n d isse n ie n t de .Senlis, pu r ud jo o c lio n avec M. W atullin pè re .

A P av eo ir, 1 « p o litM l e r o a l i l g t é M p t r l’u a 011 l 'a i i lre , e t la s ig o a to re ae in : W a tê f l in e t f tU .

c u r u i u i H i a i i i M n n i m u n n H

Ealsslta de 10,(KH1 êUigitlMSlAVPOIITAtra 15 nuiM » O'iRlAlftT

Jm ûttanee d u 1** octobre I87S P ay ib les p ar semeatre, les 1 " avril e t 1*'octobre

d e c liaque annéeRKUMOBSABLES EN 9 8 AiméSS A 600 nAKCf

Autorisée par décîûon du Gou vo n eraen t, en da te d u 3 5 m ars 1873

r a ix D ÉMISSION : I B M feancb

Payables com m e su it :3 5 francs en souscrivant,30 — 10 septem bre 1873,75 — 3 0 novem bre 1873,50 - 3 0 février 1878,75 - 3 0 m ars 1878.

Le coupon d 'avril sera reçu en déduction du dern ie r vaseroent.

Les vorséroents en re tard seront passibles d lune retenue d e 6 0 /0 .

Les souscripteurs p o u rro n t an tic iper leurs versements avec bonification d ’un escom pte de 5 0 /0 l’an.

En tenan t com pte d u coupon d ’avril 1873 et de la bonification d 'in té rê t su r les som m es ver­sées, le prix de ces obligations ressort net à 350 fr. 8 0 , rapportan t 15 francs d ’in l* ê t annuel, c’est-k-dlre 6 0 /0 .

Le cap ita l de la Compagnie : 24 ,0 0 0 actions libérées de 350 francs, cotées k ta Bourse' de 540 à 550 francs. . . 12 ,000 ,000 fr. >

Subventions d e l’E ta t . 25 ,460 ,108 80do n t 15 ,160 ,lO Sfr. 8 0 c . déjà encaissés ; e t 11 ,300 ,000Tranc» paya- bles le 15 Janvier 1874 e t le 15 janvier 1875.

Total. . 37 ,460 ,108 fr. 80LaCom iugnic d e là Vendée, n 'a encore émis

lue 3 8 ,0 0 0 obligations form ant un capital d e s ,0 0 0 ,0 0 0 francs.

■Les obligations faisant l’objet d e la présente émissloif. son t destinées :

r A assurer le service d e trésorerie p ou r les avances que la (kimpagaie fait à l’E tal p ou r les travaux d'am élioration du po rt des Sables- d 'O lonne e t de la plate-form e de la ligne de Oressuires à Tours.

2* A donner suite à un p ro je tée con tra t d 'ex­ploitation pa^sé pour 98 an sa v e c la Compagnie d e Poitiers-Snum ur, con tra t par lequel'e lieffest engagée (sauf ratification par l’Assemblée générale) à garantir k cette Compagnie le mon­tan t de ses obligations, so it 6 ,300 ,000 francs.

Ijcs concessions d e la Gompagniede la Vendée com prennent :

1* Les lignes des Sables-d’O lonne e t de La Rochc-sur-Yon k Bressuire, en(‘x p lo i ta t io n ............................................134 kilom.

2* La ligne de Bressuire à Tours en constniction : 126 kilom . dont 75 kilom . (de B ressuire k Chinon) seront prochainem ent m is en exploitation, e t le com plém ent (de Chinon k Tours] k la fin de l’année 1 8 7 3 . . . . . . . 126

3* Le troni.-on de racconlem enl de Tliquara k Montreuil-Bellay. . 20

' Ensem ble. . 370P lus l(^ 100 kilom ètres de la

ligne de Pçiliers-Saum ur pendant to u t le tem ps de sa concession. . 100

Soil un réseau de . . . 370 kilom.dans les contrées Ire |dus riches e t - le s plus com inerçaijire de la France.' Bien que l’exploitation de date récente et ne |ic rlan t q u f su r 124 kilom ètres ne puisse être

Kise Comme base du rendem ent kilom étrique,I p r o d u i t o n t donné un excédant de.

doDtlraiati^elilfl r«obw6««M seront à la charge de h C o m r '~Ûe PoiÜer»& iarour.

D re s te . .obligatiooa p o u r k a 3 7 0 ........... -concM slm d e 1a Cempagolo des.' de la Teodée, so it u n intériU de se rr ir par d taq u e kilm nèlre.

Ce Dombre . d ’obUgaüoqs suffisant p o u r la rro lner m l'ensem ble des coaceanon t, oo bien so n t M U ee Ica d u n e a d n kilom ètre aeragrevéat, par a iu ta, 9M ces titres ofhrenLaux souacriptaufs; .

Ces charges so n t d e beaucoup i n M a a n s h celles q u ’o n t A supporter ton tes lrâ a n t n a | i |M r d u réseau flnnçals. i

LA SOUSCRIPTION SERA Les lundi 19, m ard i 3 0 e t m ê r c î^ ! ^ 'M ;à t .s

Au siège de la GompApûiê,/ 1 8 , n e de Lafayette, k P aris, e t dans ton tàs iM atatiOM des ngnre de la Gcûnpagme d e la Vendée livréai k l ’explo ita tion ;

Au Crédit agnc<de, 17 e t 1 9 , r u a Neuvo^dra-Capucines, k Iraris;

Au Crédit Industriel e t C om m erdal, 7 3 , rue d e là V ictoire,k P a ris ;

E t en P rovincç, dans toutes le s S q o cu rsak i e t chez les Correspoiidants d e ces deux: 4 ti( id ^

On p e u té ra le m ra t sedscrire d an s td a trà lm Succursales de la Banque de F rance, an v en an t au crédit de la Compagnie d e l a 'V e n ^ ' o u établissements ci-dessus désignés.

OBLIGATIONS VUG ÊRES P roduisant 3 5 fr .d 'iq té r^ p a y a U e a parseiM Stra

REMBOunsAïus a 5 0 0 r n .En cas d e vie de l’O b li^ ta lre an I M m fixé '

ÉMISES PAU , , -'l.n ,

LiR C R ED IT V IA R B R

ASB'a*('«■MD3T11U

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SERVICE DBS INT^ÉTS.liCs intérêts sont payés par sem cetrè, su r

coupon, au p o rteu r, au siège d e U Com fiotaiek P an s, dans les départeinisots, dans tou tes les agences d e la C o m p i l e .

OARANTIKS.

Capital to â a l, m m eu b le t, ren te t, e tc .,15 m illions. Le m ontan t des é m ia isq s d ’fbB- galions viagçrçs est em ployé i 1* en p rêts su r prem ières l iy p o lli^ u es ; 2* en valeurs dflnt l’intérêt est ^ r a n t i par l'E ta t.

On souscrit p a r correspondance :A Paris, au s i ^ e d e la S o c lé lé ,1 9 ,raeL o u is-

le-Orand;A S nilia , dans les b ureaux d e H . CMièl^'ltÉn-

qiiièr, e t chez M Desmazure, place U jH rande , d irecleur de l ’agence dU Crédit .viager. ^

Envoyer avec la dem ande u n buHetiq ind i­quan t la d a teex ac ted e ht naiasanéO. I

. -Le P ropriita ire ’€ é r t n t t E n k e tP ^ m n -

■I A r t . 1.

E tude de H* A n f ra a n < « V u n t r * ; » ,avoué à Sertiis, rue Neuvo-de-

P aris, n* 1 7 , successeur de H* F rémv.

V e n É « , » a rEriTELHAIBOns ET MUnURS,

E n l ' é t m e f p a r le m in istère de M*tOiraU0, notaire à Creil,

^ com m û d cet effet,DR :

Tri l 'huile Maîsoii• AVEft , ■ • • •_ *■

S ituée k VERN ËU tL-SU R-O ISe, d ih ton ’^ e C r t l l , eh la ru e des Granges, près

s m W . ' .jàq, yERnbUIU,'.

^ .Ei Une Carrière’ A r i lH E S DE TAILLE

G B U L . dans la cavée de. Paris,

B ra q |a » 4 a «QMt p e u rro n l e fre réu n ti.

L’ad judication au ra .lleii 'en - l 'é tu d e de M* BUGUET, no taire k Creil, le

, Ubmnmmtiket e g m l m |»ore> 1 S V 9 , k m idi.

MMÎmIa e ù J i \

p lu s

I n • -

E n vertu d ’un jugem ent contradictoi­rem ent rendu en tre les parties c i-après notamlées par le tr ibuna l civil do pre-

.■’m ièra k ié w ie e d e Senlis, le vingt-trois m éi m il h u it cen t soixantedouze, enre-

•g ftffffa riig rffné , ....E t aux requête , p o u ilu ite et diligence

d e m adam e Alexandrine D elattre, veuve M . ÿ j l i InMla N irelas D o ré , m aître car-• ‘ r w ^ t 'éropriétairé , ladite d am e dem eu- ’-U iA à c r n l , è f ^ o m quelle agit audit

. . . . ju g o h e o t , . .A À n t M* V antroys, p ou r avoué,

• • •^060D tretV . Adolphe-Eugène-François • . D o ié ir a i tM io s dem euran t k G red, au

n o m M c o m m é tu te u rd a tifd e la m ineure . . liarié-LouM -B stelle Doré, sa nièce. U - • . d ite m ineure au nom e t Comme arale et• • uBiqàe héritière du sieur Louie-Nicolas• . U orei son p ^ . issu® d u prem ier ma-

llhtte d é é à dern ie r avec Loulae-Marcel- tr. liM QiébéM VdflaqueilealleeBlégalem ent• * Mialtlèrei'!( ' '>• ..A y an t'p o u r avoué H* R neat Ghal-

ôi* ^ Ê i i préiéocepott loi dûment appelé do• I L F erainandPoU e. cu ltivateur, dem eu-

MM à V erneull, a u nom e t com m e au' brègM otéur de >la mitaeure Duré aus-

•;? m î t r e o i e au» enchères publiques au • . n lÉ i o fM b t'e t d e rn ie r jenchériiaeur M k ^ j jm ilM U e D -^ a s -à a u E -daa im m eubles

d o n t la désignation n d t. .*

l E É S I O n i A T lO NP r e m i e r L o t .

Une m aison située k V erneuil, en ta rue des Granges, près de l ’Eglise, com ­prenan t u n principal corjis de bâtim ent a ev é en partie su r cave, d ’un rcz-de- chaussée e t d ’un prem ier étage avec gre^ n ier au-dessus, le to u t constru it cri pierres, e t couvert en tuiles.

Le rez-do-cliaussée est composé de cinq piècred’habilaliou do n t trois k che­minée e t un fournil auquel on arrive par un petit perron.

Le prem ier étage n’est pas d istribué. A cô té des p ièces d 'hab ita tion 'et d ans le m êm e bàiim en t son t u ne écQrie, une po rte cocbère couverte , u n celUèr e t une grange au-deesus.' '-Bn facê d ecèecom m uoseet obe petite basse cou r, d ans laquelle se trouven t poulailler p t cab inet d ’aisances.

PstU ja rd in devant l 'h a b i t a t m t P ^ ' 'é

P our le prem ier lo t, su rcelle d e 10,000 fr.

'P o u r le deuxièm e lo t, s u r celle d e ;‘ . . . . 200

P o u r le troisièm e lo t, su r celle d e . . . . . ■400

E t p ou r le quatrièm e lo t, s u r celle d e . . . 10,000

Le to u t contenant en superficie, envi* ron quatre-vingts a res de te rra in , ^ a n t d ’un côté M. Surm ontier, d 'au tre côté M. Pérôeval. par devant k ta d a r iè r e k MMsieurs A ntoine, Maréchal e t V alentin jfm ary.

. : D euxièm e Lot.Un terrain servant do poK à pierres,

s itué k.Verneuil.iSur le 'b é rd de l'O ise, lieu d it l'Ile , eontçnadt neu f ares cin-

Ïu a n to * p t o>û|lhréel tbnant d ’u n côté arsonnirr:.,' C àu tre côté Lam y» d*up

bo u t la riv ière , d 'au tre bout-la top liede , Creil k P o n t. '

T r o i s i è m e L o t . ,Un a u tre te rra in servant aussi d é p o rt,

s itué a u m êm e te rro ir, lieu d it le Bas du T rem b lay , contenant vingt-trois ares

3uatr»vm gi-qua io rze .ce td ia res , . ten a n t. 'u n cô té la rivière, d ’au tre cô té la rou le

d e Poiit à Creil, d ’u n bo u t StaniaUs D abancourt, d ’au tre b o u t Fasquelle.

Q u a t r l è n i e e t . d e r i / i i e r L o t .U ne carrière k pierres de taille, située

k Creil dans la cavée d e PariSi Heu d ît la I cavée de Paris ou H erbeval,.contenant

un hectare aoixanle-trois ares vingt cen- tla rre d o n t une faible partie est. seule­m en t extraite.

Ladite carrière p o ^ au cadastre, section G, n um éro 2 0 3 partie, 393^ 313

gir t ie , 313 , 314 , 3 1 ^ , 316 , 3 1 $ bis, 1 7 ,3 1 8 ,3 1 9 ,8 3 0 ,Cette carrière tie n t par devant à la

cavée de Paris ou rou te de P aris k A m ien s , des au tres parU k p tu - s ieu n .

M i S E l S A P R I X

1 ilndépendam m ent d ^ chàygee. clauses e t conditions inséréu i’ au cajjier des charges, l'ad judication aurk nett su r jes m iseak p r ix suivantee, f i x ^ jw r l e ^ - gem an^ aus-énuncé, savoir : ^

%■} ■

Total de mises k prix . 20 ,600 fr.Fuit e t rédigé par l’avoué poursui­

vant soussigné,A Senlis, le h u it aoû t m il h u it c en t

soixante-douze.Signé : A Vantrots.

'Enregistré à S e n lis , le neuf août 1873, reçu u n tVanc quatrc-v ingtscen- tim es, suDvénUon com prise.

Signé : B otn . ■ S 'a d re t^ê rp o iè lftren s 'e ig u em en lt ;1* A M* VANTRQY8, ayoué poursui­

vant la ven te ;3« A H* GHALMIN, avoué co-lici-

ta n t;3* AM *PAYBN,notairek Pont-Sainte-

Maxence; ' '- 4* E t k M* DüGUET, no taire, dépo-

isita ire des titres e t d u cah ier des chaiges.

. p o a r lo se f tio n ,Signé : A . V antroys.

Ar t . 2 .E tude d e-tf* Victor-Lou u P e l b « l a ,

docteur en d ro it, avoué à Senlis, rue Roi^ r o a i l te , ri* 14 .

V R IV T RSur Publications ju d id a iié s ,

P ar su ite de conversion de saisie im m obilière.

En la salle de la Mairie d e Pontpoint, P ar le m inistère de M* P a t ^ , nolairo

d P onf^ÎN te-M aæ eN ce,. , eamtttis â itftt;t/p!t.

En p rûeftce de H* R ichard , ROfat're audit P o n t,

D’une MaisonAVEC

C m m m t B A é ia a c m toe t liépendanees.

Située k SklM T-GERVAIS, com m une d e P ontpoin t, can ton d e n t-S a in te - Maxence, arrondissem ent de Senlis (Oise),

EN UN SEUL LOT.

L*iidjudicatlôQ auM lieu le M a a i

Bim lm s é » e |H le m iM re W 9 %eUre d e releree.

En exécution d ’un jugem ent rendu kur U requête collective dee. parties ci- après nommées, p a r le trilûioal civil d e prem ière instance de Senlis, le vingt- tro is ju ille t m il h u it cen t soixante-douze, ep regu lré e t oteBltonné som m airem ent, éb 'bu reau des hypothèques de Senlis, conlbriném enL silx d isposltio iu de l ’àrlic le 748 du code de prOcedui a v llé .

11 sera, aux re«|uêle, poursu ite et diligence de madame Reine-Philippine Mercier, veuve de M. Jean-Philippe Meunier, ren tie r, dem eurant k Saint- Paterne, 4-ommune de P ontpoin t.

Créancière saisissante, ayant pour avoué constitué H* Pcibois, exerçant p rès le tribunal civil de Senlis, dem eu­ra n t en ladite ville, rue Rougemaille, num éro 14.

Procédé contre : Madame José-

Ëhipe Brossin, veuve de H . Louis- harlês Barizien, en son vivant berger,

dem eurant k Saint-Gervais, com m une d e ’Pontpoin t. tan t en son personnel com m eayant été coniinune en biens avec son défunt m ari que com m e tu trice naturelle et légale de Gustave-Cliarles Barizicn et André-JuU's Barizien, s(s (fe'ri^ enfants m ineurs, habiles k .se dire e t 'p o rle r héritiers chacun pour m oitié d u feu sieur Louis-Cliarles Barizicn, le u r père décédé.

Parties saisies, ayant p ou r avoué constitué M* Clialmin. exerçant près le­d i t tribunal civil de Senlis, dem euren t en ladite ville, rue Sain t-ilila ire , n u ­m éro 10.

En présence ou lui dûm ent appelé de H . Raphaël Barizien, m aiiouvner, de- m w n n t k Saint-Gervais, en nom et comme subrogé tu teu r des deux m i­n eurs Barizien sus-nom m és, fonction k laquelle il a été nom m é e t qu ’il acceptée suivant délibération 'd u conseil de famille desdits m ineurs, prise devant M. le juge do paix du canton de P ont- Sainte-Maxence, le vingt-neuf mai mil h u it cent soixante-dix, enregistrée.

A la vente surpubU cationsjudiciaircs, p a r su ite de converrion de saisie im m o­bilière, au plus offrant e t dernier enché­risseur e t k l’extinction des feux, de l 'im m euble d o n t la désignation suit-:

DÉSIOIVATIOIV% Telle qu'èlle e s t ' ih d iré e a u oaAi’e r

dee chargea.Une maison sise k Saint-Gervais,

com m une de Pnnlpoiut, canton de P in t-S ain tO 'M axence, arrondissem ent de Senlis, départem ent d e l’Oise, on la I ue Basse, près la rue Pisseuse, consis­tan t en deux pièces k feu, dans l ’une desquels se trouve u n four, grenier au- dessuscouvcrtcn tuiles, g n n g e y attenant couverte ^ l e m e n t en tu iles, petite cour ensuite fermée d e m ura e t dans laquelle se trouvent une étable k vaches, un toit k porcs c4 des lapinlètes, jard in en face.des bâtim ents, le to u t contenant com pris l’em placem ent de cm bâtim ents, dix-répt ares tren te-huit eeû liarrs, tient du levant k M. Gonrland e ta u x héritiers Gaplin, du couchant, k M. Louis Bontem pi, du nord k lan ieB aà rè , et du

.m idi k M. Davenne e t R ancurel, fils, représentants do m adam e veuve Davenne.

ADJUDICATIOIV SÉISB A P l in x

L’adjudication de l'ImoMttble |u a -

aura lieu , le dimanche guinse sepiémbre m il h u it cen t soixanle^douse, une heure de relevée, en la m airie dd P o n tpo in t, e t par le m inistère de H*Payco,notairekPont-Saiate-M axence^ com m is k cet effet, su r la mise k p r is fixée par le jugem ent sus-énoncé, du vingt-trois ju ille t m il h u it cent soixante- douze, k hu it cents francs, ci . 800 fr.

Fait e t rédigé par m oi avoué poursui­vant soussigné,

A Senlis, le seizu août m il hu it cent soixante-douze.

Signé : PËLBOIS.E n r^ is lré k Senlis, le seize aoû t

m il h u it cent soixante-douze, reçu un franc quatre-vingts centimes, (léciiaea com pris.

Signé : Bor.x.

5*a<freoer p ou r U t renseignesnents :I* A M* PELBOIS, avoué poursuivant

la vente;3* A H* CIIALMIN, avoué présent q

la vente;3* A M* PAYEN, notaire k Pont-

Sainle-Maxcnce, dépositaire des titres de propriété e t (fu caliier des charges ;

4* A M* RICHARD, notaire -audit Ponl-Sainle-Maxence ;

5* Et à H* LAVERGE, huissier auême lieu.

P o u r insertion.Signé : P e ld o is .

Art . 3 .E tude do M* Vicyor-Lodis P c l b a i s *

docteur en dro it, avoué k Senlis, ruo Rougemaille, num éro 14.

P IJR O B L É B A L B .P qr expiait d é Laverge, huissier k

P on t Sainle-Maxcnco, en d a te d u treize a o û t .m il h u it cen t soixanta-douze, enregistré,

N rafication a é té faite, k la requête de M. Louis-Cbarles M àrienval, m eunier, dem eurant k Pont-Sainte-M axencé.

A Monsieur le P ip c u rra r de la Répu­blique, p r * le tr ibuna l civil deprem ière instance d e Senlis.

D 'un acte drrasé au greffe dud it tr i­bunal, le quinze ju ille t m il h u it cent soixante 'douze, aussi enregistré, consta­tan t l e d ^ t fait au d it greffe, par H ’ Pelbois, avoué d u re q u m n t, de la copie collationnée e t enregistrée, d ’un p ro c * -v e rb il reçu par M* Renoist, no taire k Senlis, le douze novem bre mil- h u it c en t soixante-el-onze, enrraistré ,

’ iudlcatien au profit de >kla requête de madame

. j e D a m s , rans professioA, _SeM lb, veuve do M. l m - JMand, décédé k Senlis, le

srize octobre m il h u it cen t aoizante- d ix , e t de rosdemidselle Harie-Jvljetle H éland, ro q je u n , m arcbqnde llngèra, dem eurant a u ir i k ^ l i s , en présence de l*M. F n n ç o ii 'U d o reT lu éo an l,eo tro -

Germain

ireneur de m açonno ie . dem eurant k* Srroenonville, au nom e t com m e .<ubro-:

Îé tu teu r frisan t fonction de tuteur, em adem oisrileJeaone-HermineM éland,

A m élie-H arie-Eugrâie Mélaod e t Léon-} M élaod, enfants m ineur n és d u nuriàgei d e M. e t madame Méland D arras, s i ^ nom m és; 3* e t M. P ieir^Z éph irin ; Darra.s, cu ltivateu r, d e m e u n u l k Villers-i Sajn t-F ram boorg , au nom e t com m d tu teu r a d k ec.dra d its m ineurs M élaod.'

D 'une m aison avec b&timents. c o u r; ja rd in e t d^iendance, sise k P o n t^ in te - : Maxence, arrondissem enlde Senlis (Oise),‘ en la rue de Cavillé, p o rtan t les numércsi 2 e t 4 , appelée au tretois l’hôtel de Saint-': M artin, « t tenan t d 'u n cô té aux anciens, fossés de la ville, d ’au tre côté k M. Chily ou son représen tan t, d ’un bout k M. le curé ou son représentant, e t d 'au tre b out k la rue deCiavillé E t ce moyennant, ou tre les charges, le prix principal de deux mt'lfe detw cent cinquante francs, en dêduclion duquel H . H arienval a payé deux cent e tnquaate jm it /bancs o M tre-v ing t-d ix^ep t rèn tin iespour frais d epoursu ite de vente.

Le d i t d épôt ainsi effectué pour par­ven ir à purger l ’im m euble vendu des hypothèques lé ^ le s pouvant leg revçr.

AVéc aécU ration k Monsieur le P ro ­cu reu r de la République :

que la d ite notification lui était faite afin qu 'il eû t k p rendre dans le délai de deux mois, au profit de qu i de d ro it, toutes inscriptions d ’hypothèques de cotte na tu re , faute de quoi le d it im m euble en serait affranchi.

3**‘ q ue les anciens propriétaires de cet im m euble étaient o u tre les vendeurs: 1*M. Léon-Germain M éland; 3* m ade­moiselle Marie-Julie de Saint-M arlln ; 3* m adam e Jeanne-A rbilliot, décédée épouse d e Charles de Saint-M artm ; 4* Bernard Arbilliot; 5* Claude-Vincent Lequeux; 6* et les enfants e t héritiers de Marie-Louise Dusautois épouse dudit s ieu r Lequeux.

3**'E t que le requérant, ne conna is­sant pas tous ceux rlu ch e f desquels il p o u rra it ê tre formé des inscriptions pour raison d 'h ypothèque légale exis­tan te indi^endam m M il d e l’inscription, ferait faire la préseo te insertion confor­m ém ent k la loi. \

P o u r insertion.Signé pRLiOis.

l i r a B A É lf lM B iServant de Remise e t d ’b ^ l a t i

e t «ara à ^

E tude d e M* B a é i e l l e r , avoué, li­cencié en d ro it, k G o m p l^n e , ruo des M inimes, n* 6^_______

SUR EXPROPRUTION D im an ch e? Septem bre 1873, àm idi^ l’audience dee saisies im mobilières du tribunal civil d e G om pi^ne,

D’ une Propriété6isè‘ Avenue de Clairvoix k GompHgtie,

Consistant en tV m M irim a M argeoiac,

Le to u t )» & su r 14187 n è tr te '-^ eterrain ,

MISE A PRIX , deux raille fraaca,c i ................................................... 3 ,0Q 0.lr.

5’adrezfer :1* A M* BA TTEU ER , avm ri p ou r­

su ivant, k Compiègne, rue des Minune», h* 6;

3> A M* MICHEL, noU ire fc Coui-p i^ n e ;

3* A H . JOSSIEZ, hniarier k Gora-pi^ne;

4* EÂ au Greffe d n tr ib u n a l de Gois-piè^e.Etude de M* A r a y » 4 g .Y — i « y y ,

avoué k S enlis, ru e N e u v o d e f tr is , n* 17, successrar d e K* FéuÉév .

V B ^ B .S u r saisie i^ipolM llère,

En l'audience dés criéré d u tribunal (iv tt de prem ière instance séant k S enlis, au palais de justice,

DR , ' i l

10 Pièces de TerreSituées au te rrito ire de YAUplEMNES,

cantoû d e Grépy, wrcéidi— flad t d e Senlis (Oise),

E l i l i » 4 *Qui powrroMl être 'rA iiiér psurtie llem m t

o u e n h Ia U té i ' L’A djudication au ra lira le B t o r â l

wirayt Andit 1019* banke d em td i.S’adresser pour les tA M* VANTROYS, avoué p o o n b iv a u t E t au greffe d u U ^ a a l o o S eU ia ; q u

le cahier des chargea e s t ,4 ^ M |^ . . ..

E tude de M* A m g - a a t « V w B im e y e ,avoué k S enlis, n ie N euvod»P aris ,

n* 1 7 , aucoeraeuT do

v ü i vS u r Publications jud ic ta ira i.

A u x enchère» pubHqisei

i» MÂÎ'SON ‘ 'ÂVBC

« r i i r a d i « t B m m c i

A VERNEUIL, caqlbn d e PÎMfr-Ôrinto- M axeoeefOiw),

2* MaisonA f i i ' i À u i a t . .

e t C A i O S à » S< i M c t e r a S 4 n r M S l c M O a M *

I I DEUX PltCED Y llk tA S \R R O N ,c w l^ i |d « U « t tM l t

L’A djudicatkm au ra Ifou p a r U r a W ^

Jâ l l*yA B T R 0Y 8,

r < l m ' l Vini iiii il»'-.

n S i ^ ÿ lS è M » '|O M i).'" i» ' ><">- ta m lio i ' iiMû nu ;iuijir- 'nu _■ ’

9 U » w m l t i n i

ia » iu a tw ( ti ' fju<w ni'dhot' - - i

^^A -VKfift^SXÏÏIf^TlltCSNXi cà'ntdn

t>jioitK!n W ^ n 1æ brril

Q td p m

« M M l i B k r e l W W k u i n

H - G U U ID IM D E IÜ O V E an x iii;

■AlilMItlliWlllB'f+WB#. I . i- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - :- - - - - - - - - - - - - n t t rI.» d e H* V iG T O R -U o u c ite n w ts t l<wlenr e n droil« avoué I Sniliü,

’aud ienc« .S iB i/[è riée« id« \< W btiia l- vil

, ' d x K J a l ^ N b , l ^ r , Jo ^ ÎM

, |^ ^ é e à S B N U S ^ b o w g S a în W H a rtin ,/ . r o u t e d e l ^ q ^ n a n ^ S ^ . d ,

en facerH op ila l,

w w c i ; ^E n t o u r é ^ M iin - '

'S itu é te rro ir d e S B M U S ^ü au 'd itia s ■ F ou rs \O É * tt,T .iiv V | ov

t i u r n e P i è e e . i i ë ^ T M * e

j i i t i î & ü W A W '

àCHEÀ b o ^ r j ^

E tu d e d e H* B n « e i C C l M J a a t n ,avoué à S enlis, rue Saint-

y n i i a i ! n > W .W i7 - i . i . -e i ta u m 'ib i j

. sud lM iB iH aèB iS f e M w î S w f i n I » '* » «?*i

de pnm iera uutance de Senlis, sise «a n l û e de li^^cé de ladite villes 4 Û H » * M r i i l O

I n i l j l i i W l ï n î . t im f f ; 'f r _ r f i t r r ~ T -

- ' l Ü a t l e a

Siiué'hiM né l é i ^ r l ' lieb d l f d e n ^ les. M urs d e Saint-Lazire,' ë n - i j n ' s Ië ï il L b f ? . ,

If^d judicatioD au ra , lieu J e . . J É a n n i t ': M N V V f'heure-

d e m idi.-E a d r e A fr p e u r les reM ei(;iiM eiib .*

1* A.M* PFIiD Q lS. ayôuél d j^ e p ra n t & Senlià, r a e .R o ü ^ in a i l le n u in w .fd ;

2 ” A 'C l i A L H l N , avoué,.^i|j^VMéu> tu e Saint-H ilaire, num éro 1 0 :

' '' S* A H* AUBERT, avbaé à Senlis, place d e û v a r a a d e : ; ^■' e A .H ^CO U iA S-N ÊRY , huissier à:

S èn lis: < ‘ :5* E l au greiTeudu trib u n a l m i l de

Senlis, où le cahier des chaînes «et déposé.

TOILEBIEënondisBem ont de

‘our ■- J H P « * * 4 ? * k w « l< f c . la d i le Tuilerie^ ê eliicniioSifl a u d it ufliU lBLY .

L*Ali^UthliOri - aU tà lira le M a r d i A w b t ' i t W » , heure de

i . . fm tr U t , rO M e^neM eiib :: i l r i f (A Ml iCHALlilN , a re n é poursui­

van t, dem eurant à Senlis, rue S a in t- H ilaire , n« 1 0 ;

S* A H* VANTROŸS, avoué à Senlis • ' A P S A IIÎIE 'D E V 'A L L O N , n o u ire '« O n iU M y jO lS ^ ;

'4*1âiM*uRAIlGÉ, notaire au m êm eh î i i u . n H , . / . r

5* E t au greffé d u trib u n a l de Senlis.

i & u ^ d e W E r a c a e C l i a l a a i m ,- . I U P ^ . ^ ^ * i n « '^ H l ) l e i r e , p* iO , ■tilnh t f i y w w i f d e y g e n r i D dfat.

E tude de M* P a v a i D e l M v e î avouéà Senlis, ru e d u GbàteT, n* '31,

, ,suc(»a e u r ,^fv M*; T hkmet.

V K I H T GA ux E nchères puM iques,

E n Télude e l p a r te m inisfére de H* DELàcoua, R olatre à ifewtUy-en- T èeiie , chef-lieu de can ton , «m ûidt*- sem ent d e Seu lit,

M e l a H f e » # r e p r l ë < é i D B :

Deux MaisonsAvec J a rd in

A NEU IlLT-EN -TflELLE, D ^ w a e P i è e e d e T e r r eAu te rro ir d e cette com m une;

n BtlE iOTU ntCE OE TEUESituée m è n e terro ir;

E a q i n a t r e l « e l aQ ui p o u rro n t ê tre réun is en tolalilé

ou en partie.E t d ^ a a e e r ë a a c e d e 1 , 9 # # t .

Le (cul dépendant de la succession bénéQciaire de M onsieur Auguste-Cy- fille H esrard. décédé à Neuilly-en- T he lle , le sept octobre IS fô . L’aiB udicationaura lieu l e l M a n a a e h e

v la g : t - e i |a !V A e d t i # 9 # , à une heure de relevée.S a d re e s tr p our avoir de t renseigne­

m ents :A H* DELGOYE, avoué pou rsu ivan t ; E t à M* DELACOUR,notaireâNeuiily-

en-Thelle, dépositaire d u cah ier des chaînes.

, M k K ^ « ii(b :i» S M « fto M ia o é iA 0 r» .

E n I audience den criées du Tribunal — eifil_ d e -Senlis, séant an Palais de

. n j f j ^ t p i l l u l a d U s vjUo, m e N euve-de-

•B :

: B n o W n f a o nSise è BONNEUQi, en la rue de la

l u o t n t i n i t a b i r a v - ■ -

V i M B i 0 é « 4 à n V m e | . B o i 8■ 'IP 'A M gipiri'Ib iM N N E D IL , a n l a n de

Grépy, arrondiseeroent de Senlis,. t n u l -M S N /U S V X 'L O T S . - ■

iLMOUddication a u ra lieu le M a r d i

■'■^'VdH-eietr p o u r Ict renoeipneoiento

‘ ‘V ^ t - ^ *^Ti.ï3ïAMflî'(, avoué poursui-

retr|. 4u . T ribunal où i c h a r j ^ est déposé.

■ i i I B J M M U I U . . I I . L h . l i I I E tu d e d e M* E r a e a t t ' I a a l M a ,

w n é - è - S e n l i s . r u e Salin*,w T e> > lnH '#H iM r«ü> tK lO .

‘W 9 M Ü t S O T ^ ^ IM U ld ie M

DCBBZ. nolaire

'"'"’ ^ u h é 'MaisonS itu é , jL ^U JU iS y-C H A IIA N T , am iD

i ; » f l r w w * s * e « i a K o » ) . ' -

ÜliMUil».

L a c h a s s e ’M m ,dterTQirdnOfW Dhwtto..

C o H f ie n a n t 6 4 h e c ( a r e H 2 8 a i 'e s$ ’i||dress(V à ' MrüllàmuirUKVAiiAip,:

no taire à Chaihbly, > ' . him■ f . I .{. | f l lllim n ISJ'IWW

C r d y y é f i u r V a i i a l a : .Bf

, lg l l le a ^ B W « h « W B a n V e r fc e r le .

iUnids Elvkliss

Le 8am cd i„3L A ppt, deux heures ap rù 9 -iiid i,il(* po tairo ià .YM encHundi,; p p ^ ê f a , en son é tude. É la vente ppr ^ u 4 > c a tio n publjquu:de d iverses P ropriut&. de | ’auc |eune Société. Serreti lla m o ir , D ùquesne e t C‘%

ET.Rorauuxtn' DB

B EDX C Ù I D S Ë i u t u m mS i s l ü n . A - t n b ÿ ; 'd ’ude cM tenanbe de

9 Hectares 7 ares.L’au tre è . Villeae\iye7eous-V erberie,

d 'u n e contenant» d e 1 hectares 15 ares, GOUpRKNAIri' DE

iV a m ie mN o m b r e u s e s D é p e n d a n c e s ,

'H a b i t a t i o n s , J a r d i n s , Propres i toute exploitation industrie lle

ou putoe.S 'a d rœ se rù H* KIELCOUAT, notaire ,

ou à h ! GOBTÜBE, liqu idateur de la Société S erret, J lam oir, Ouqueene^ à ValencienneB.

8 ‘n,|i»^>nHVHW'?VWititr

a ' L O v u H '

m u i t i ' i i E u x « n i T u n s s ..".i

E r a d t a o i B A - a 'a la a é d ; - " ' 'S'HdvtaberrAu D |in au 'd tiU o N riM li/s

.SW tfti.; -'«‘l ’ .W'- mim

A ' < ^ e i p 4 « s « H ePo ltfèàuM -i^satifié . '

.

: M i a C ! k h « l * F « r r a i i t.S'adreveari Bu.Rurwih -du Jo tirh il ,Ou è Rarou^.canton de N anleuil-le-

H audouin (Oise), è l l . ‘ LEÜOUXv q é i Texploiie. x . , • • . i

w I M ü tà U m m

« M u ' u w t t r a S ! *

î j ù j ^ c i i L j

W ‘' ■ ’i

W d ^ ^ U t o h i N '

|il n 'i d o i iau ir ln

j ; I !! .n -u i’- TïïTTh â h i è e i U « s |w r d i i U i d l e m l k N i '

R ir la - lla tr iv â e 'l lo p ia la ire ,Pat U a ii tm U r e id tW ÿ u ^ fV f

Le D lm a n p b a S S q ^ ^ m ^ ÿ f| l[nidi,

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e TerreSitués terro irs de Yersigny e t de

Rofières,

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E n la Maison d'ccole de Yersigny,Le D im anche 2 5 Août 1872, à I heure.

Par le m inistère Je H* LuNicopu, , nolaire d ffan tru il-le-naudouin .

Ces terres seront affermées p ou r n ^ i f années â p a rtir du i 1 novepibre 1873.

jTadresser audit M' L 8 iè ^ i i | , nolaire.

A v e n d r e p a r a d j u d i e a t l o aP ar le m in u lère de M* LBiucgoE,

notaire a A'antoNt/-/e-ffaHdo«ifi,1* E n la Maison d 'école de Chevrevilte, Le D im anche l " S e m m b re , à 2 h eures,

Deux Maisons.Siluéoak GltevrevUh»,-

e t 9 P i è e e s d e T e r r eSituées terro irs de Chevreville e t de '

Nantfluil*4e41audouin.2* E n la Maison d ’école d 'E rm ênonvi||e ,' Le D im a n c h e S ^ te m b re , ù une heui»,- f l b e c l a r f f jO .5 a r e s {Bi9 e .

d sTcrre. Pré et BoisEn d ix -n eu f p i ^ t

Siluées terroirs d ’Ermeiioùvil^e, l ^ n t a - gny-Salnlu-Félicité, lu Plessis-Belle- ville e l Rve. '

S*adrejiter a u d it J P Lemcove, no to ire .

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S’adrcsaeraudil H ^ Y n a iim , notajre.

e n d r e ^ r a d U n ^ t o g U o i i ,a r le m in tstire de-M* V n i in r r ,

A » J U D I C A T | { ^ i lEn la m airie doM onià l^ ire ,

I js D im anQ he25 A o û tl8 7 2 )k 2 .h e u re s ,

S ituée k H oiita ta ire , vis-à-vis la M airie. 3 'adrexaer au d it M* D uku^ , noiqiFe, '

A C É I Ë B i e H Y D j B A I J l A l O I / e d e .B i l i l I I K T p - l l l j

FÉLIX V E R N pISR cptt^sen ld p a r A . YD ËLO T

A D J U D I C A T I O NE n la m airie-de H ootatalfe ,

Le D im anche 2 5 Août 1872^ k 2 heures,

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L e D im anche.25 A oût 1872v'-à>i beufe. P a r i e m inftlé tv de.H *iB iIetve,, n é la ire

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ï.,e t o u t ô tPè.8 b o n m o rc h 'd .

C L A SSÉ1871 ' L À L t B E R j e V H I C E

A S S U R A N C E S iA - lP O R ï- À I - t - E T " " , " ’ ' ' '

R EM ELÉr^""““ -------------------------

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P a i e m e n t a p r s H i l l l i é r a f l o n i l P f l n i l l v e .

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C H G M i n i » B p - E B b l j N o i n b .

n w g t i s EUan-c

SÎ5GL0

1tNsKT^rhl tié 'é t tétfcfiiaiit lès

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