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VIDME ANNEL N. 4650 ADMINISTRATION 128DACTION 38, RUe Roqueiaine T01.11100SE e 43 <-130/724-EMENTS dm. emoi. 1. h.""e 5 fr /0 fr. 20 fr. Colonies Énarser 9 h. 18 h. 36 fr. MARDI 13 JUIN 1916 ÊDITIONS RÉGIOSALES sans, abroome, unnx. PYRÉNÉ.13.5-0.1.TALISS vernoes,comulsz,cuiran L05-132-0.00071, 0058,LOT.a.rnesa>zelhotes al8471,,PTHÉrilaan, LAND., IAliti-Er-GWRONN13, nana, mulon, 10.1178-01-110.4 SOM.00176 Nolm Rgpliblicaines re séance du Reichstag, les s socialistes ont voté can- ' , iaidget. L'Uidon socialiste -du tra- laf '" outre, voté contre le nouveau ola, eu -n, de dome milliards de- ode *. g ic gouvernement allemand. 'yr:11(dr donner à ses yotes pl. qu'ils n'en ont, KI est per- iiinee,..oppose.r à ceux qui, ch. nie d6 ont de dénoncer les socle- 80 ands comme les meilleurs e hien' dos entrepris. .pangernm- acim'-6,rtes. la fraction majoritaire aise'r ee vote, rompu le pacte qui o" feu solidaire de la politique dia II ';- elle n'en est pas moins en- : fatalité. des évenements, train`%,`,-i,, &indépendance qui peu, Jeudn uire jusqu'a l'opposition. ent sont, de plue on Pins e conflit monstrueux et tre,r P--mulant tant de profits san de ruines et de misères pour nombre. L'ivresse pa Pour t"7.,,F-dissipee. Maintenant coin le gouffre du déficit. u'ee mu'"esu're que les dépenses de taMrf ' uéessiteront des impôts noué p ,-au"xe /e fossé se creusera fatalement wre 'les classes riches rimées à leur égolsmo elle prolétariat las de, sa mi- eim. Les dirigeants de la social-dosai- ,ate devront tenir' compte de cette di- ses inévitable d'intérêts et daspi- alions'et se ranger avec ceux qui s'a- ivent, à la lueur des faits, qu'ils t tons les frais de la. guerre et que. d'ou être Lee bénéficiaires, ils n'en *nal jamaie que, des dupes et des vic- e., Quant au groupe de l'Union socialiste du wax-ail, qui. agit som l'impulsion des plus nobles consciences du socialisme allemand, il persiste dans la voie d'op- position libératrice où il s'est délibéré- ment engagé depuis Sa rupture avec la Majorité. Quelques socialistes français se sont plot diminuer la portée. de cette rup- tore. Leur principal argument. a .é té que bs socialistes allemands de la minorité 8, renfermaient trop dans d'os formules suies, négatives et stériles et que, crai- gnant de parler et d'agir on rémubli- raina redoutant d'appeler le peuple al- kmand à la bataille révolutionnaire roche l'Empire, ils ne. méritaient eux- mêmes qu'a. confiance -conelitionnelle Or voici qu'un dru leaders les plus respectés du groupe de PUMA,a du tra- vail, le citoyen Ledebour, vient de faire entendre le langage révolutionnaire prou attendait des socialistes aile- mands comme gage de leur sincérité. Non seulement Ledebour . réclamé avec une grande insistance la paix une paix sans annexion mais, après avoir donné la définition dia vrai so- mialiste 1 qui doit être républicain, il a. terminé son discours par nu app-el non déguise o la révolution. Voici d'ail leurs le texte de ses parole.s. du moins la version qui nous len est donnée, à . 'es Bavas où j'écris ces lignes, par PnA ,,12,,,,ehn, ânelir a été obligé de oilmcb. us la,,,erer;';.- 4 Oubli olé, 11 a protesté pu- ;;;;; 1 ntre des chaises qui sont im mégime d'absolutisme ou Sn efforts 004 50 de devenir .répubileain a. -ont êté les con et les sur- 2 qu'on blesse par des ven- ....Son dama.. ne nous touche Vrai socialiste doit btre répuldi- niourdbui Liebknecht est accusé h, Os il est it espérer que le ugoes plus objectivement que es livré, sans respect pour Pim droits du Parlement. Connutill0 l'AInmagne doit sortir vla- n./ la e r 2,Protungen la d-urée de la ejee,,, aut que la paix soit conclue Oran, 'Mri brutale. Cela ne veut pas dire me borne f . -ana,: , routière ne pourra être je, o,-a d avdéelrons avoir es rapports tmlil:.:,;Cra , ;a, ,Itcj.,err: My ausn. stlIqq2n i'll Petat noueer in relebjonnsu'pas ....,i ,i,r,can- la lutte contre-1e bsari'm' 't e.irrasre ,,,,, line qu.tien de politique anlé- t,:. j;k1;'±: iven'o:h't r:.::ier;It,lbuo'dlr.fd:naneilnolîlib' ipicniee. nu elui.rtt'oerfrnia'. pu e-: Paix a .1 Ledeb,,, r renouVelle ses plaintes conne la see, et l'arbitraire des arrestations pré- itie.a%esr. 40,2> plaintes sont damnai... sans ,tprip';,ZLdeorain'arieduetaitLinupi dreMens'act ra,,, .nf ' cocus dis s.eAgs ' osusverCevm'ent,'-ii «,,,,°'.hue dgons le binages Pan principe sie ta.. voZ.4 P.10 PeuPle pour cela, fense'-nie ras j aqi-lisurce gouvernement s'en rq; peba Mi diable. Cialounv:auurrsi .e11"uPacie 1' Te4iie4nees.Wareirbt.',4> Prenderesie«d7rOit la'arj.o,r; ; r"r"bbla ma présenoa de ces a ''''u d.(Xlarations, les rio. qui d u'Périalistes, leur ont répo- aro'u l 0ut aussi lés commentaire. journaux réactionnaires i seraient au désespoir le raient la République In' magne I Qu'importe en- te oppressnm qui foutule .peuple .allernand I an-dela du Rhin, a. re- 00m grflee à Pénergie d'une ilivrera°,nte. C'est sous ero ésbi.- rat de,malin la lutte pour ante et c'est sur cette révolu tes aros ,S O CIALAS lion ii erieure, noir Id: victoire des for ces d'avenir et de progrès aroan le ii puissances des ténèbres o, contre I réaction l'absolutisme et le capitan me, que nous devons avoir foi, en, Aller magner continue eu tous pays, peur as- surer à lailinnatate, réconciliée dans le travail, la paix et la sécurité. Marcel ',IBERT. ECHOS DEUX POINTS DE VUE. Mme sien-Pensante. Mademoiselle, je vous entendais tout à l'heure faire votre 11050 toise s Fifille; croyez-vous .roellement que si Louis XVI n'assit pas tenté de s'enfuir, il ne serait pas mort sur l'échafaud t... Mlle X..., .professeur. Mos Dieu ! Madame, on ne peut rien affirmer 0 ee sujet,. male il me semble /aies que Louis XVI, en abandonnant son poste, a comMis la Pacte extrêmement grave qui Pa irrévocablement perdu... Mme 13.-P Oh 1 Pacte extrémemeat gravel Permettez 'Mademoiselle; il était très naturel que le roi 'essayât de se mettre bisse, d'oa peu- ple aussi décharné... et rien ne prouve, en som- me, qu'il allait airs-cher des armes Ji l'étranger. ioula X... Tom porte à le croire, Madame... Mme Mals non, Mademoiselle 1 Oe .pauvre roi a été la victime immeeste d'an peu- ple Infâme travaillé depuis longtemps par da écrivains hinples et perse. t Enfin, laissons celas, Dites-né doue un Peu amena aseè deè 'Jensen. dc ce pauvre garçon disparu..., le Ms de votre concierge. dont sous nie parliez Pau tre jour ? Mlle X... Ah 1 Madame, on a. enfin su quel- que chose., mais je me paon le croire On dit qu'il aurait été moulue pour s'être endormi étant de garde. Pauvre petit I /1 n'avait que vingt ansl M ne puis croire vraiment qu'on soit si se- Mme 0.-P. ! mon Dieu 1 mademoiselle, ce n'est que justice S'endormir ainei, c'est abandonner en poste 1 Jet &est exposer toute Permée 1 toute is Franee 1 On ne dus pas avoir piEe de ces gons-Its ! Il Tant bien faire d. exemples, s.s quoi rous ee laisseraient aller à la mollesse, ainsi qu'a fait votre petit protégé qui, entre nous me fait l'effet d'un ignoble fai- "Ma. I Gus. LE PLUS JEUNE CHEVALIER DE FRANCE. Les autorités militaires viennent d, décerser au jeune Marseillais Fernand Fille, la croix de chmalier de la mégion Eagage o 1,7 399e, il se trouve un jour seul dam sme tran- chée ennemie soutenant un combat. il perdit un 359e, dl se tr'ouve une jèmr seul dans une traa- chée ennemie, soutenant an rofhat, /I perdit un MI et le bras gauche. il Mail déjà titulaire de la médaille militaire et de la croix de guerre. C'est le plus jeune ehevalier de Frame, DEFINITIONS.. Quelques définitions tirées d'un journal des transitées President Wilson. Ela bloe-netee hot C0nstantm. La Grèce figée. Grand-duc Nicolas. Un monsieur bien .poli; il frappe à. la Porte, on entrant. General Eastern, Très soucieux de sa toi. lette. Adore les cols très hauts... (da. les 0,000 Pertitatud o toulgre. L'Homm as- sassina. Les Roumains La chauma» des Silée d'Or. Von Tirpitz. Une maison oè; il y a. du cou- lage. Le, vie obère est surtout Pceuvre maurvais lFrançais, mercantis qhOntés die la spéculation qui, pendant que les poilus se battent béroiquenient, ran- çonnent leurs femna., leurs mères, tous les êtres chers qu'ils ont laissés derrière eux. Ge sont ces trafiquants, ces écumeurs de catastrophes qui, là encore, font cyniquement les pochas da publie, sans qu'il en tombe -d'ailleurs un sou de plus dan.s celles du paysan, c'est-à-dire du producteur. Et ceux-là, ces fauteurs de vie chère, qu'attend-on pour lueur mettre la main aie collet, les coffrer 1... Jacques DRIM. (L'Everfl du 10 juin 1914a- La Fourragère Décidément les poilus sont toujours mé- contents Que ne fait-on pas pour eux, pour les sa- lisfaire, pour les flatter, pour les récompen- ser ? Mais ils grognent toujouro. on a Manne I,- Groix de guerre trot ex- près pour eux, Et voila qu'ils se fâchent Parce qu'on la distribue ntort et â travers. Qu'est-ce que ça peut bien leur faire, puis- qu'à eux aussi on la leur' d.onne de temps en temps ? On a inventé la médaille /militaire tout ex_ Prias pour exalter leurs exploits. Et qu'ils se fâchent parce qu'on la décerne tous les blessés du front quelle, quu les circionstanCes de la bl.sure, si elle s née cessité une amputation. ils réclament Pour ces victimes pitoyables un autre insigne que la médaille militaire; uniquement destinée à commémorer ln actions .11.0.8. -On a inventé les chevrons pour leur faire plaisir. Et voilà qu'ils se fâchent encore, sous prétexte q.ue los non com.hattants de la rone de l'armée en tireront lesrplus grands profits. Mais que leur importe, puisqu'ils Pro vent eux aussi les exhiber Enfin on a inventub la fourragée Pour ins- tille., de tous les autrm les soldate- ayant fait partie d'au oorps Et voilà que beauroup se plaignent, procc qu'ils .preten- dent que la réglementation du port de -ce nouvel insigne aboutit lima simplementro les en priVer, Ne peuvent pas, en effet, arborer la four- ragère ceux qui ne font plus partie dm rorPs cab bien qu'ils- en fissent partie au moment de la citation et bien qu'ils aient participé aux exploits qui, ont motivé la citation du dit corps. lin grand, très grand- nombre de poilus Mont alosi Plus le droit de prouver au Pu- blic qu'ils furent courageux .bien que la preuve leur ait été donnée par la voie du r Bulletin Officiel s. Prenons un exemple oh tonte netro région est intér.sée partie.ulièrement. La 58e division de .roserve dont faisaient partie la brigade co.nstituée pro le e de , le e de , le e de a été, citée tente entière en finrier de l'année dernière pour le motif suivant t 2 A toujours été en première' ligue, a gagne du terrain, Men a jamais perdu malgré ale lourdes pela. et de violentes attaques de Or, depuis un an, beaucoup, parm1 los poilus de la 58e division out dû la q.uitter palme que blessés. Ils ma -été, après guni- son, versés dans d'autres régiments. Ils n'ont pas le droit de porter la. four- ragère I SUR TOUS LES FRONTS C'est leur courage cependant, leur uvoue_ ment, qui valut à leur unité la citation qui Chansre. Et ce n'est point par leur faute ni par leur volonté qu'ils ont changé, de corn. jutant l'annonce de l'institution de la touëragére a soulevé d'approbations, autant sa réglementation a provoqué de déceptions chm tous ceux qui, demeares longtemps dans des corps délite, prétendaient, en l'é- pimglant sur leur poitrine, lever la tete plus fièrement encore, qu'arec le Crois de Mance- Cor celle-ci témoigne d'un béret 5100 tandis que la rourragère fera dire de celui qui la portera, nen seulement fluil est un brave, mais encore qu'il ,était au milieu d'autres braves dont l'exploit collectif fut presque toujours siffen plus beau, du moins plus fécond, plus retenti.ant et plus impo- sant qu'un exploit individuel. Faut-il dom que ce témoignage d'admira- tion justifiée dont le peuple, dont les civils honoreront tout porteur de la fourragère- faut-il qu'un si graina nombre en soient se- vrés dire frustrés peur le sim- ple et insuffisant motif qu'ils ne sont plus dans le camps qui leur doit sa célébrité r Nom croyons que la réglementation du port de la fourragère établie hâtivement, .peut Porc modifiée, li est urgent qu'elle le soit dans un esprit moi. étroit. Et tout .poi- lu ayant appartenu b une unité eine b l'or- ri doit avoir le droit de porter la fourra- gère. Capitaine HUDELLE, diesfze. sainsaseissaaunreasnimeseniannan_n_st. Violent bombardement sur la rive droite de laMeuse et sur le front anglais COMMUNIQUE OFFICIEL 12 Juin 15 heures 681° Jour de la guerre. al Courest do SoisSOns, notre. artillerie a détruit des ouvrages de l'ennemi et provoque une explosion dans ses li- gnes. Sur la rive gauche de la Meuse, bom- bardement de la région de Ohattan- court. Sur la rive droite, la lutle dartilderie a été très Ivive doue le secteur au nord de Souville de Tavannes Celte, nuit, une attaque allemande dirigée sur nos tuan,ohées b l'ouest du fort de Vaux a été complètement re,poussee. Aucun événement important à signa ler sur le reste du front. Sur luiront Britannique Depuis hier soir, le saillant PYpres été de nouveau la région, primipale de l'activité sur le front britannique. Dans le secteur sud, depuis la colline 60 jus- qu'à un point situé à environ 1.500 yams au nord, l'ennemi a bombardé violemment nos tranchées pendant trois heures au cours de l'après-midi. CM bombardement avait été précédé, daess la matinée, du bombardement de la ville d'Ypres et de la région en ar- rière et au ELA de cette ville. Au nord de la route de Menin, nos tranchées ont été 1.10111bardépg par terminer.. Il n'y a pas eu &action d'infanterie pendant la journée da. Ce secteur, sauf urne, tentative infructueuse de l'ennemi pour enlever mi de nos blockhaus dans le bois du Sanctuaire. Hier soir, nos tranchéou ont été vio- lemment bombardées entre Thiepval, Beaumont et Binet. Au cours d'une incursion dans la val- lée de l'Ancre, l'ennemi est par,enia couper la retraite à ,quelques honunes qui construisaient des déferons en fils de fer barbelés ; Cinq luirmmn man- quent. Sur le reste de notre front, rien à si- gnaler. sauf de petites actions de mor- tiers do tranchées en face de Fricourt et au sud de NeuVillerSaint-Vant, limmorni a fait éclater trois mines deux dans les environu de la route de la Bossée, la troisième à l'est de Vires- traet. Aucune de ces mines n'a causé de dégâts à nos tranchées. Sur le front Oriental L'offensive, russe en Volhynie, en Ga- licie ripes Bukovine a, continué et a été suivie de nouv.ux succès. Au cours d. combats Chier nos al- liés ont fait do nouveaux prisonniers un, général, 309 officiers et 35.100 sol- dats ; ils ont enlevé 30 canons, 13 Mi- trailleuses et 5 lance-bombes. Le total des prisonniers faits jusqu'ici, au cours des opérations, s'élève donc à. un général, 1.509 officiers et plus de 106.000 soldats. Le, total des prises s'élève à 124 bon- ehe,e à feu 180 mitrailleuses et 59 lance bombes. En aval de Loutsk, les Allemands ont essayé &arrêter l'offe,nsilve russe, ; ils ont ,été rej.eles. Les troupes opérant dans. la régi:0,n de la ville de Doubno ont pris, en talonnant l'ennemi, la ville de Doubno et le fort; quelques éléments ont traversé l'Ikva et développent leur offensive. An nord ne Czernovitz, les troupes du général autrichien Letchistky ont op- posé une, vive résistance, ; elles n'on ont pas moins été culbutées. Dans cette rée gion seule, les Russe,s Ont fait prison- niers 18.000 soldats, I général et 347 officiers; ils ont pris 10 canons, et au moment de L'envoi de ce rapport les prisonniers continuent à affluer par nombreux groupes. On signale que l'ennemi se défend acharnement sur le Styr, en avant dc Loutsk. on la lutte fait rage. Sur la front du Caucase Les Turcs ont attaqué avec acharne- m'est dans la région de la Platane ; ils ont été. repoussés. Dans la région de Diarbékir, les Rus- ses ont quelque peu progressé. Sur la iront Italien L'ennemi a concentré tous ses efforts au sud-oue,st d'Asiago; il a lancé eé- paisses colonnes à l'assaut qui ont été iepoussées ; contre-attaqués, les Autri- chiens ont lassé plusieurs centaines do prisonniers dans les mains des Ita- liens. Depuis l'Adige jusqu'à la Brenta, les troupes de Cadorna sont passées à l'of- fensive et ont réalisé quelqu. progrès. Sur le front de l'Isonzo. duel (Partit Les Italieuu déclare,nt avoir fait dans l'ensemble des acti000u de ces jours der- niers 560 prisonniers. Devant Verdun L'ennemi est loin d'avoir atteint son but L'artillerie du kronprinz tonne, contin-ue et violente, Sur l'ensemble de nm lign. de Thiromont h Damlowp, comme de Souville Tavannes. Cette préparation Par roc lounfe constitue pour l'ennemi le puis- sant o levier » qui lui permet de desceller nm ouvrages les plus résistants Eu am- plifiant et en conduisant les s chocs de l'artillerie, en multipiant les so coups de bélier a de l'infanterie, il a pu réduire a fortifications les plus scientifiquement aménagées Quand s'orneteraid-il Nous sommes en mesure de lui appuis, de plus en plus Uri matériel comparable par la puissance, la Portée, la rapidité- de tir, et donc un avenir relativement raPPron. Par 1-0 ubbibt.. En se moment, le centre allean.and â Ver- dun, du ravin de Bras au ravin qui de ré- tang de Vaux monte à Douaumont, a quel- que peu mordu eus- le plateau oh se trouve la forme do Thinumont L'ennemi est sur la lisière sud du bon de la Caillette; mais, répétons ',pavant d'atteindre la vaillante forteresse de l'Est il lui faudra briser les dardons. os Froideterre, de. Fleury, de Bel- leville-Saint-Michol. Il lui hiudrait, pour s'avancer sur la gau- ehe de Vaux, enlever les fortifications de la Lean de face, il lui faudrait enlever Sou- ville, puis Saint-Michel 06 Bellovillo sons les feux de flans de 'Dacron., de Moula._ ville et, plus au sud, do Belrupt et ellau- drainville. Il a encore de la besogne I Sur le Front autrichien LA VAGUE RUSSE - La rupture du front autrichien. Amènera-t-elle une retraite générale? Les Russes près des faubourgs de Czernowitz. Le Vainqueur Le Général Broussiloff Le général broussilotr, qui vient 00 rein- porter sun les Annie/aiemu une grande vie- -Mire, est âgé, de 63 ans deux atm de moins que le général Ivanof auquel il a succédé. Il est vif, p1000 00 volonte cille pe.evésen- ce. Tout lime dans sa physionomie sen regard inquisiteur, son menton ferme, la ligne. vigoureuse de sa mbehoiro La meilleure stratégie et l'a tactique la .Plus heureuse, déclaré à Hamilton bine, r Daily Mail a, c'est d'attaquer. Mais, lui répondit none confrère an- glais, cola implique bien des pertes. Non en aucune façon. si votre attaque réussit. lies attaques qui échou-enti comme les Mammies allemandes 'a Verdun, sont te. ciblement coûteuses. Mais les attaques qui réussissent content ires peu d'hommes. 8i seulement noue avions eu des munitions à rette époque de l'année, l'an passé... Maintenant, Il eu est autrement, noue avou tout en abondartn, non sommes prêts et nous nous réjouirons quand on nous don- nera Perdre du le prouver. Le général Ivanof -était extainnernentpopu- taire, le général Broussiloff a déjà inspiré plus de nufiroce encore, Le seul point com- mun de ces deux hommes, c'est qu'ils n'ap- partiennent ni Pu.n ni l'autre à Pnal-uamin oe sont des .officiers do troupe qui ont gagné leur situation p., un dur travail. A taus autres égards, ils sont le contraire l'un do l'autre. Irorof, le lin d'un paysan propriétaire, est rosse, pour tout l'essentiel, un paysan. Il vit Or la ma.niere la phis simple, préfère la non Taure des soldats 2. teute rotre rit dort sur un lit de soldat Incuse« nt d'une bonne famille 11 entra tout diabord dans le corps des Pages, puis dans un régiment de cavalerie élégant: Son talent personnel et ses relations contribuè- rent également à lui assurer usi avancenient lapidé. Il était fort hien YU à la Cour, se distinguait comme -un cavalier audacieux, en c.ouragesit les officiées de cavalerie à pren- dre part à des parties de polo et â des stee- ple-chas.; il était très aimé datas la sonne rétrograd. -Puis vint la guerre, qui épcon va la capacité et le marron.re des hommes. Il débuta eu-logo comme commandant d'un c.orps d'armée. 13len010 il fut nommd générai d'armée. Aujourd'hui ilicommande toute l'ai- le gsuche de l'armée russe. .Dans sa manière de vivre, il suit les habituaim de l'Enropc occidentale. C'est un homme cultivé et qui parle le fraapais comme les Français. 11 a Oit au journaliste anglais qui l'interrogeait IPPprendrait l'anglais après la gnefire Quand sera-ee, mro général / lui de- manda celui-ci. .Si, comme j'en Suis certain, nous devons combattre eneore jusqu'au moment OE nunIS uoeOeOO gEfeinê une victoire complete, cela nous prendrs quelque temps. Les Allemands .pourraient amener la paix avant cette épo- que en renversant leur gouvernement. Mais ce serait une folie de compter là-dessus. So- lon toute probabilité, il faudra que la guerre ga.gmée par des. batailles serrées. No. sommes prête, ici, et je suis heureux de voir que nus aven dé-101e do rendre votre année bramant.s missi grande que possible, linos rormis à employer toute notre force. Les conséquences de la victoire russe Londres, 12 juin. On télégraphie de Petrograd au Times r Le num porté eontre 1m positions autriehien nes sur la basse Stripa acquiert une signification ..emapleinenhdr'e par la fait qu'il a .P.rte sur Os mute qui, venant du Sud, conduit à Len, berg. Nous av.s alsi, 500 esulernent.perme fortes positions de l'ennemi sur la rive est, de la rivière, mais nous continuons, 05 00000, a 001005- 5v ses lignes seCOndaireS, dont /a puissance est, sans doute mondre. r 2,8 &mie. prisonniers qui ont né fadas dans es secteur der.larent que l'armée d, ses betbmer, défendant la Stripa, commeme 5 par- tager l'état de démoralisation qui séest emparé des troupes placées sons les ordres de Parchi. chic Joseph-Ferdin.d et opérant sur le Styr. » Nos succès sur la basse Stripa doiveat réa- gir sur les positions de l'extrême flanc .drort de l'ennemi qui étaa precrademmeat Placé mus aè commandement de vo. Pfla.n.r. Nana mena- çons en effet, les communications ares l'arrière le Iiimg des lignes paesant par le travers 5010- m.. et Stanialau, au cas .d'un nouveau progrès de etre part aans les directions de KOrolidée et Tysmienics, Ainsi, le développement de notre offensive sur cette partie du front forcera les Autrichiens à suivre l'exemple dm troupes aus- tro-hongroises On Styr et de se retirer vers te nord...est, afin de couvrir leurs rommun1ca. Esse. e La brèche faite dans le front ennemi. Lents!, et à Rapt.00s a exposé les Autrmtériens aie le cours moyen du Styr et dans lu eOilm Koseb-Serny, à être sérieusemeat attaquée sur /eur fane et à l'arrière, SEls sont incapables avec l'aide de renforts allemands venus de la rive mord du Pripet d'arrêter notre avance dams la direction indiquée InidessUs, Il, se verront re- poussés sers le nord, mee leur arrière embourbé dans les marécages de Pinsk. » Daus cc cas, le secteur Sarny perd toute mn importance et alors, plus vite les Autri- chiens évacueront Kafalovskoclharterlski .plus vite ils emereront leur retraite dans la direction de Emel, mieux vaudra pour rox. Le plan du général Broussiloff Pourtant, la réelle é.preuve de force entre les groupes damée du général Broussitoff et ceux du général von Liasingen est encore à venir. Jusqu'ici, le plan ois général Br.miloff a été conduit avec une preelsion qui témoigne haute- ment des prêparatio. accomplies. Le projet diune rompliention oonsidérable, qui oonsiffait mcbtre en monvement mi certain nombre d'armées a réussi ...Mout. La première' Chose .nécessaire b Po>ration était de faire une pr.sion ront/ane. /1 n'y 5m aucun échec; la poussée a été inenéé mir une énergie sans ditEichi.emeat. Les secours allemands seraient impossibles LDu correspondant des Daey'drNees'ép.J5, 51.5.5'Fii'etro- grad ; On n'estimera jamais trop le suecès de l'or- ganisati. stratégique du général. croussuff. L. pantins autriehicones sont intenables sous 14 pression rasse et l'on croit que les Allemands sont incapables de secourir, pour In troisiàme fois, leurs infortunés allies. r Un point stratégique aux mains des Russes Le sillage de Demidimka, dont la prise par les Eusses a été signalée par /e communiqué d'hier, est à 35 kilomètres au sud de Loutsk et 100 kilomètres â l'ouest de Doubno, Ce succès a une gram de importunes car il a rendu les Russes mattres Mièbrés butins d. Doubno, qui sont en réalité des forets touf- fues formant une forteresse naturelle' entourée par des marais et les riviêrm rua et Styr. Le vainqueur Le général Letchitsky, le hérioe ide la grande vieloire eller, est Aie de 60 one; il « fait sa carrière prineipalement en Sibérie. Czernowitz menacée Petrograd 12 juin. ,Ose000n de, la journée d'hier, Ces troupes rosses attaquèrent la 050e de pont de Zaiestehiky et approchèrent des faubourgs 0e Mersovitz l'ennemi produisit de nombreuses explosions. Les Autrichiens acculés à la retraite Petrograd 12 juin. Les autorités militaires d'ici consEdèrent que la rupture du front autrichien me la Stripa peut .arriver s détermber une retraite génémle, plus f.ilement encore que le prenmt O la ligne sur le Styr, ea Volhynie. Prévoyant que les ef- forts qui, seront faits à présent pour refouler les troupes russes de ces réeras ue réuseiront pas, même mec lEide de batailleuu allemands prélevés des socle., de ridera/leviers, Lida Vina, l'ennemi doit, d'aprés eux, remner tout le lémg de la len. Les dangers qui menacent les comrenieatMns dee forces de l'archiduc Soseph-Ferdinand Tsartorisk et Rafalovska, comme celles du gé- néral Pilanzer à CsernoSitz, sont évidents pour tous ceux qui regar.dent ls tartv Il faudra que ces élértlents battent en retraite vivement star preparomt à de rudes combats sur leur route de repli, Une foie que toutes les armées exécuteront ee mouvement, les aueSeg seront en bonne posture pour taire pression sur clins, comme Os Iv n- .rent en Pologne et en Galicie aux mois disent et d'octobre 191.4. Cette fois-ri les opérations se sont dévelop- pées avee uno. plus gr.de rapidité que pela- dant anone autre dm retraites précédestes dos Autrichiens; chacun remarque, à l'heure sa- luer la similitude entre les dépêches °Men- tes de la semaine denédère et selles aln mua premiers jours de la guerre, mais le coup de premier ohm du général Dimussiloff fut plus visroureux que ceux qui .furent portés aux pre- mières heures des hostilités et les Autrichiens ont battu en retraite 000sut cette poussée mee une agilita correspondante. L'offensive fut irrésistible Des détails emnpffmentaires de la bataille ont été dames par dm officiers blessés arrivée Kief m Odessa. Le capitaine d'un régiment sibérien décrit les mûes d'exaltaisan dan les tranchées et les lages, 1411Ter. Pon fut averti que Pasaace avoir lie, Le samedi maria 27 mai, partant où cela Lut possible, on célébna immédiatement ou service divio. rr A la suite de la violence du bombardement dit-il, les premières, les secondes et les 15000' nos lignes elles-mêmes des tranche0s att.trichien nes furemt prises mee facilité. Nos pertes fu- rent léger., é Sur les positions I. pins fortes de l'arrière, Pennend offrit une résistance solide, grâce à ses mltrailleuses, see .grenades et ses mines de toute nature préparé. b Pasancd,'Là. nous enrnes plus O souffrir; il fut né-cet/salsa de IwilileveMer les positions: les hommes s'y -.hardèrent' .a.ve., le cuurage le qdus magnifique et la détertnination la plus rêsolue, » Dès que nous 1. atteigniaons, Iss Autre:- chie. cessaient la résistance, jetaient 'bas /ours armes et se reisdaient. Nous .allàmes de mameau de Pavamt, laissant derrière nous des monceaux do cadavrm ennemis littéralem.t accumulée ou t.. o Il restait cependant eneore e.v face de nous beaucoup de vivants. Parfois, sers aoiuns b éle- ver pour nous-mêmes des .poaltions defessives, tout eu .parant à dus contre-attaques. Notre corps d'armée soutint huit de rolles-ei qui se succédèrent rapidement et les repoussèrent tou- tes Nous cao. mimes de nouveau ms mouve- ment et nous evaucàm. 10hussont Viennemé evee use vigueur inlassablè, Le rôle de la cavalerie Alors, à tussors les brèches obtenues, narre cavalerie s'él.ca, Mute heure.e d, se retrom ver m selle et d'avoir de la besogne à arcom- pli, Elle Os do prodigi.e. hécatombes, Quel, ques régiments pénétrèrent au galnip jusqu'a l'arrière de Pommai e mirera à mort su . fuite taus roux mins mirons rencontrer, puis Os gageront les Autrichiens em retraite et ehe- vanohêrent trapers leurs rangs, les éparpillaos et les tailladant. La cavalerie captura beaucoup de canons et fit une besogne d'une valeur inesEmable. Des régiments entiers étalant coupée de leur hase et contraints de se rendre, 00e a eu tout le j.r ot toute la nuit une arri- rvée continnelle do orironniers â l'as/aéra. Ce ne sont ol. des Slaves, mais presque to. des Au. trie/tiens et des Hongrois de langue allemande. axer un gran8 nombre .d'Allemanas pure qui ont 050 mis dams los régünents autrichiens pour leur donner d. ton. Les hommes mat solides pour la plupart, hien portants et blen vétuS Mals ils se plaignent irrite, mal nour.r.j.s. , Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

,S OCIALASimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1916/B315556101... · 2010-03-05 · VIDME ANNEL N. 4650 ADMINISTRATION 128DACTION 38, RUe Roqueiaine T01.11100SE e 43

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VIDME ANNEL N. 4650

ADMINISTRATION128DACTION

38, RUe Roqueiaine

T01.11100SEe 43

<-130/724-EMENTSdm. emoi. 1.h.""e 5 fr /0 fr. 20 fr.ColoniesÉnarser 9 h. 18 h. 36 fr.

MARDI 13 JUIN 1916

ÊDITIONS RÉGIOSALES

sans, abroome, unnx.PYRÉNÉ.13.5-0.1.TALISS

vernoes,comulsz,cuiranL05-132-0.00071,

0058,LOT.a.rnesa>zelhotesal8471,,PTHÉrilaan,

LAND., IAliti-Er-GWRONN13,nana, mulon,

10.1178-01-110.4SOM.00176

Nolm Rgpliblicaines

re séance du Reichstag, les

s socialistes ont voté can-

' , iaidget. L'Uidonsocialiste -du tra-

laf '" outre, voté contre le nouveauola, eu -n, de dome milliards de-ode *. g ic gouvernement allemand.

'yr:11(dr donner à ses yotes pl.qu'ils n'en ont, KI est per-

iiinee,..oppose.r à ceux qui, ch.nie d6 ont de dénoncer les socle-

80 ands comme les meilleurse hien'dos entrepris. .pangernm-

acim'-6,rtes. la fraction majoritaireaise'r ee vote, rompu le pacte quio" feu solidaire de la politique diaII ';-

elle n'en est pas moins en-: fatalité. des évenements,

train`%,`,-i,, &indépendance qui peu,Jeudn uire jusqu'a l'opposition.

ent sont, de plue on Pins

econflit monstrueux et

tre,r P--mulant tant de profitssan de ruines et de misèrespour nombre. L'ivresse paPour t"7.,,F-dissipee. Maintenant coin

le gouffre du déficit.u'ee mu'"esu're que les dépenses detaMrf' uéessiteront des impôts nouép ,-au"xe /e fossé se creusera fatalement

wre 'les classes riches rimées à leur

égolsmoelle prolétariat las de, sa mi-

eim. Les dirigeants de la social-dosai-

,ate devront tenir' compte de cette di-ses inévitable d'intérêts et daspi-

alions'et se ranger avec ceux qui s'a-ivent, à la lueur des faits, qu'ils

t tons les frais de la. guerre et que.d'ou être Lee bénéficiaires, ils n'en

*nal jamaie que, des dupes et des vic-e.,

Quant au groupe de l'Union socialistedu wax-ail, qui. agit som l'impulsion desplus nobles

consciences du socialismeallemand, il persiste dans la voie d'op-position libératrice où il s'est délibéré-ment engagé depuis Sa rupture avec laMajorité.

Quelques socialistes français se sontplot diminuer la portée. de cette rup-tore. Leur principal argument. a .é té quebs socialistes allemands de la minorité8, renfermaient trop dans d'os formulessuies, négatives et stériles et que, crai-gnant de parler et d'agir on rémubli-raina redoutant d'appeler le peuple al-kmand à la bataille révolutionnaireroche l'Empire, ils ne. méritaient eux-mêmes qu'a. confiance -conelitionnelleOr voici qu'un dru leaders les plus

respectés du groupe de PUMA,a du tra-vail, le citoyen Ledebour, vient de faireentendre le langage révolutionnaireprou attendait des socialistes aile-mands comme gage de leur sincérité.Non seulement Ledebour . réclamé avecune grande insistance la paix unepaix sans annexion mais, aprèsavoir donné la définition dia vrai so-mialiste 1 qui doit être républicain,il a. terminé son discours par nu app-elnon déguise o la révolution. Voici d'ailleurs le texte de ses parole.s. du moinsla version qui nous len est donnée, à

.

'es Bavasoù j'écris ces lignes, par PnA

,,12,,,,ehn, ânelir a été obligé de oilmcb. usla,,,erer;';.- 4 Oubli olé, 11 a protesté pu-

;;;;; 1 ntre des chaises qui sont immégime d'absolutisme ou

Sn efforts 004 50de devenir .répubileain a.

-ont êté les con et les sur-2 qu'on blesse par des ven-

....Son dama.. ne nous toucheVrai socialiste doit btre répuldi-

niourdbui Liebknecht est accuséh, Os il est it espérer que leugoes plus objectivement quees livré, sans respect pour Pimdroits du Parlement.

Connutill0l'AInmagne doit sortir vla-n./ la e r 2,Protungen la d-urée de laejee,,, aut que la paix soit conclueOran, 'Mri brutale. Cela ne veut pas dire

me borne f .-ana,: , routière ne pourra êtreje, o,-a davdéelrons avoir es rapportstmlil:.:,;Cra , ;a, ,Itcj.,err: My ausn.stlIqq2n i'll Petat noueer in relebjonnsu'pas....,i ,i,r,can- la lutte

contre-1e bsari'm' 'te.irrasre ,,,,, line qu.tien de politique anlé-

t,:.

j;k1;'±: iven'o:h't r:.::ier;It,lbuo'dlr.fd:naneilnolîlib' ipicniee.

nuelui.rtt'oerfrnia'.

pue-:

Paix a.1 Ledeb,,,r renouVelle ses plaintes conne lasee, et l'arbitraire des arrestations pré-

itie.a%esr. 40,2> plaintes sont damnai... sans

,tprip';,ZLdeorain'arieduetaitLinupi dreMens'act

ra,,, .nf 'cocus diss.eAgs 'osusverCevm'ent,'-ii«,,,,°'.hue dgons le binages Pan principesie ta.. voZ.4 P.10 PeuPle pour cela,fense'-nie ras j aqi-lisurce gouvernement s'en

rq; peba Mi diable. Cialounv:auurrsi .e11"uPacie1' Te4iie4nees.Wareirbt.',4> Prenderesie«d7rOit

la'arj.o,r; ;r"r"bbla ma présenoa de cesa ''''ud.(Xlarations, les rio. qui du'Périalistes, leur ont répo-

aro'ul

0ut aussi lés commentaire.journaux réactionnaires

i seraient au désespoir leraient la République In'magne

I Qu'importe en-te oppressnm qui

foutule.peuple .allernand Ian-dela du Rhin, a. re-

00m grflee à Pénergie d'une

ilivrera°,nte.C'est sous ero ésbi.-

rat de,malin la lutte pourante et c'est sur cette révolu

tesaros

,S OCIALASlion ii erieure, noir Id: victoire des forces d'avenir et de progrès aroan leii puissances des ténèbres o, contre I

réaction l'absolutisme et le capitanme, que nous devons avoir foi, en, Allermagner continue eu tous pays, peur as-surer à lailinnatate, réconciliée dans letravail, la paix et la sécurité.

Marcel ',IBERT.

ECHOSDEUX POINTS DE VUE.

Mme sien-Pensante. Mademoiselle, je vousentendais tout à l'heure faire votre 11050toise s Fifille; croyez-vous .roellement que siLouis XVI n'assit pas tenté de s'enfuir, il neserait pas mort sur l'échafaud t...

Mlle X..., .professeur. Mos Dieu ! Madame,on ne peut rien affirmer 0 ee sujet,. male il mesemble /aies que Louis XVI, en abandonnant sonposte, a comMis la Pacte extrêmement grave quiPa irrévocablement perdu...

Mme 13.-P Oh 1 Pacte extrémemeat gravelPermettez 'Mademoiselle; il était très naturelque le roi 'essayât de se mettre bisse, d'oa peu-ple aussi décharné... et rien ne prouve, en som-me, qu'il allait airs-cher des armes Ji l'étranger.

ioula X... Tom porte à le croire, Madame...Mme Mals non, Mademoiselle 1 Oe

.pauvre roi a été la victime immeeste d'an peu-ple Infâme travaillé depuis longtemps par daécrivains hinples et perse. t Enfin, laissonscelas, Dites-né doue un Peu amena aseè deè'Jensen. dc ce pauvre garçon disparu..., le Msde votre concierge. dont sous nie parliez Pautre jour ?

Mlle X... Ah 1 Madame, on a. enfin su quel-que chose., mais je me paon le croire On ditqu'il aurait été moulue pour s'être endormi étantde garde. Pauvre petit I /1 n'avait que vingt anslM ne puis croire vraiment qu'on soit si se-

Mme 0.-P. ! mon Dieu 1 mademoiselle,ce n'est que justice S'endormir ainei, c'estabandonner en poste 1 Jet &est exposer toutePermée 1 toute is Franee 1 On ne dus pas avoirpiEe de ces gons-Its ! Il Tant bien faire d.exemples, s.s quoi rous ee laisseraient aller àla mollesse, ainsi qu'a fait votre petit protégéqui, entre nous me fait l'effet d'un ignoble fai-"Ma. I Gus.

LE PLUS JEUNE CHEVALIER DE FRANCE.Les autorités militaires viennent d, décerser

au jeune Marseillais Fernand Fille, la croix dechmalier de la mégion Eagage o 1,7

399e, il se trouve un jour seul dam sme tran-chée ennemie soutenant un combat. il perdit un359e, dl se tr'ouve une jèmr seul dans une traa-chée ennemie, soutenant an rofhat, /I perdit unMI et le bras gauche. il Mail déjà titulaire dela médaille militaire et de la croix de guerre.C'est le plus jeune ehevalier de Frame,

DEFINITIONS..

Quelques définitions tirées d'un journal destransitées

President Wilson. Ela bloe-neteehot C0nstantm. La Grèce figée.Grand-duc Nicolas. Un monsieur bien .poli;

il frappe à. la Porte, on entrant.General Eastern, Très soucieux de sa toi.

lette. Adore les cols très hauts... (da. les 0,000

Pertitatud o toulgre. L'Homm as-sassina.

Les Roumains La chauma» des Silée d'Or.Von Tirpitz. Une maison oè; il y a. du cou-

lage.

Le, vie obère est surtout Pceuvremaurvais lFrançais, mercantis qhOntésdie la spéculation qui, pendant que lespoilus se battent béroiquenient, ran-çonnent leurs femna., leurs mères,tous les êtres chers qu'ils ont laissésderrière eux.

Ge sont ces trafiquants, ces écumeursde catastrophes qui, là encore, fontcyniquement les pochas da publie,sans qu'il en tombe -d'ailleurs un sou de

plus dan.s celles du paysan, c'est-à-diredu producteur.

Et ceux-là, ces fauteurs de vie chère,qu'attend-on pour lueur mettre la mainaie collet, les coffrer 1...

Jacques DRIM.

(L'Everfl du 10 juin 1914a-

La FourragèreDécidément les poilus sont toujours mé-

contentsQue ne fait-on pas pour eux, pour les sa-

lisfaire, pour les flatter, pour les récompen-ser ?

Mais ils grognent toujouro.on a Manne I,- Groix de guerre trot ex-

près pour eux, Et voila qu'ils se fâchentParce qu'on la distribue ntort et â travers.Qu'est-ce que ça peut bien leur faire, puis-qu'à eux aussi on la leur' d.onne de tempsen temps ?

On a inventé la médaille /militaire tout ex_Prias pour exalter leurs exploits. Etqu'ils se fâchent parce qu'on la décernetous les blessés du front quelle, quules circionstanCes de la bl.sure, si elle s néecessité une amputation. ils réclament Pources victimes pitoyables un autre insigne quela médaille militaire; uniquement destinée àcommémorer ln actions .11.0.8.

-On a inventé les chevrons pour leur faireplaisir. Et voilà qu'ils se fâchent encore,sous prétexte q.ue los non com.hattants dela rone de l'armée en tireront lesrplus grandsprofits. Mais que leur importe, puisqu'ils Provent eux aussi les exhiber

Enfin on a inventub la fourragée Pour ins-tille., de tous les autrm les soldate- ayantfait partie d'au oorps Et voilà quebeauroup se plaignent, procc qu'ils .preten-dent que la réglementation du port de -cenouvel insigne aboutit lima simplementro les

en priVer,Ne peuvent pas, en effet, arborer la four-

ragère ceux qui ne font plus partie dm rorPscab bien qu'ils- en fissent partie au momentde la citation et bien qu'ils aient participéaux exploits qui, ont motivé la citation dudit corps.

lin grand, très grand- nombre de poilusMont alosi Plus le droit de prouver au Pu-blic qu'ils furent courageux .bien que lapreuve leur ait été donnée par la voie dur Bulletin Officiel s.

Prenons un exemple oh tonte netro régionest intér.sée partie.ulièrement.

La 58e division de .roserve dont faisaientpartie la brigade co.nstituée pro le e de

, le e de , le e dea été, citée tente entière en finrier

de l'année dernière pour le motif suivant t

2 A toujours été en première' ligue, a gagnedu terrain, Men a jamais perdu malgré ale

lourdes pela. et de violentes attaques de

Or, depuis un an, beaucoup, parm1 los

poilus de la 58e division out dû la q.uitterpalme que blessés. Ils ma -été, après guni-son, versés dans d'autres régiments.

Ils n'ont pas le droit de porter la. four-ragère I

SUR TOUS LES FRONTS

C'est leur courage cependant, leur uvoue_ment, qui valut à leur unité la citation quiChansre. Et ce n'est point par leur faute nipar leur volonté qu'ils ont changé, de corn.

jutant l'annonce de l'institution de latouëragére a soulevé d'approbations, autantsa réglementation a provoqué de déceptionschm tous ceux qui, demeares longtempsdans des corps délite, prétendaient, en l'é-pimglant sur leur poitrine, lever la tete plusfièrement encore, qu'arec le Crois de Mance-Cor celle-ci témoigne d'un béret 5100

tandis que la rourragère fera dire decelui qui la portera, nen seulement fluil estun brave, mais encore qu'il ,était au milieud'autres braves dont l'exploit collectif futpresque toujours siffen plus beau, du moinsplus fécond, plus retenti.ant et plus impo-sant qu'un exploit individuel.

Faut-il dom que ce témoignage d'admira-tion justifiée dont le peuple, dont les civilshonoreront tout porteur de la fourragère-faut-il qu'un si graina nombre en soient se-

vrés dire frustrés peur le sim-ple et insuffisant motif qu'ils ne sont plusdans le camps qui leur doit sa célébrité r

Nom croyons que la réglementation du

port de la fourragère établie hâtivement,.peut Porc modifiée, li est urgent qu'elle lesoit dans un esprit moi. étroit. Et tout .poi-

lu ayant appartenu b une unité eine b l'or-ri doit avoir le droit de porter la fourra-gère.

Capitaine HUDELLE,

diesfze.sainsaseissaaunreasnimeseniannan_n_st.

Violent bombardement surla rive droite de laMeuse et sur

le front anglais

COMMUNIQUE OFFICIEL

12 Juin 15 heures

681° Jour de la guerre.

al Courest do SoisSOns, notre. artilleriea détruit des ouvrages de l'ennemi etprovoque une explosion dans ses li-

gnes.Sur la rive gauche de la Meuse, bom-

bardement de la région de Ohattan-court.

Sur la rive droite, la lutle dartilderiea été très Ivive doue le secteur au nordde Souville de Tavannes Celte, nuit,une attaque allemande dirigée sur nostuan,ohées b l'ouest du fort de Vaux aété complètement re,poussee.

Aucun événement important à signaler sur le reste du front.

Sur luiront BritanniqueDepuis hier soir, le saillant PYpres

été de nouveau la région, primipale del'activité sur le front britannique. Dansle secteur sud, depuis la colline 60 jus-qu'à un point situé à environ 1.500yams au nord, l'ennemi a bombardéviolemment nos tranchées pendanttrois heures au cours de l'après-midi.CM bombardement avait été précédé,daess la matinée, du bombardement dela ville d'Ypres et de la région en ar-rière et au ELA de cette ville.

Au nord de la route de Menin, nostranchées ont été 1.10111bardépg parterminer.. Il n'y a pas eu &actiond'infanterie pendant la journée da. Cesecteur, sauf urne, tentative infructueusede l'ennemi pour enlever mi de nosblockhaus dans le bois du Sanctuaire.

Hier soir, nos tranchéou ont été vio-lemment bombardées entre Thiepval,Beaumont et Binet.

Au cours d'une incursion dans la val-lée de l'Ancre, l'ennemi est par,eniacouper la retraite à ,quelques honunesqui construisaient des déferons en filsde fer barbelés ; Cinq luirmmn man-quent.

Sur le reste de notre front, rien à si-gnaler. sauf de petites actions de mor-tiers do tranchées en face de Fricourtet au sud de NeuVillerSaint-Vant,

limmorni a fait éclater trois minesdeux dans les environu de la route dela Bossée, la troisième à l'est de Vires-traet. Aucune de ces mines n'a causé dedégâts à nos tranchées.

Sur le front OrientalL'offensive, russe en Volhynie, en Ga-

licie ripes Bukovine a, continué et a étésuivie de nouv.ux succès.

Au cours d. combats Chier nos al-liés ont fait do nouveaux prisonniersun, général, 309 officiers et 35.100 sol-dats ; ils ont enlevé 30 canons, 13 Mi-trailleuses et 5 lance-bombes.

Le total des prisonniers faits jusqu'ici,au cours des opérations, s'élève donc à.un général, 1.509 officiers et plus de106.000 soldats.

Le, total des prises s'élève à 124 bon-ehe,e à feu 180 mitrailleuses et 59 lancebombes.

En aval de Loutsk, les Allemands ont

essayé &arrêter l'offe,nsilve russe, ; ilsont ,été rej.eles.

Les troupes opérant dans. la régi:0,n dela ville de Doubno ont pris, en talonnantl'ennemi, la ville de Doubno et le fort;quelques éléments ont traversé l'Ikvaet développent leur offensive.

An nord ne Czernovitz, les troupes dugénéral autrichien Letchistky ont op-posé une, vive résistance, ; elles n'on ontpas moins été culbutées. Dans cette réegion seule, les Russe,s Ont fait prison-niers 18.000 soldats, I général et 347officiers; ils ont pris 10 canons, et aumoment de L'envoi de ce rapport lesprisonniers continuent à affluer parnombreux groupes.

On signale que l'ennemi se défendacharnement sur le Styr, en avant

dc Loutsk. on la lutte fait rage.

Sur la front du CaucaseLes Turcs ont attaqué avec acharne-

m'est dans la région de la Platane ; ilsont été. repoussés.

Dans la région de Diarbékir, les Rus-ses ont quelque peu progressé.

Sur la iront ItalienL'ennemi a concentré tous ses efforts

au sud-oue,st d'Asiago; il a lancé eé-paisses colonnes à l'assaut qui ont étéiepoussées ; contre-attaqués, les Autri-chiens ont lassé plusieurs centaines doprisonniers dans les mains des Ita-liens.

Depuis l'Adige jusqu'à la Brenta, lestroupes de Cadorna sont passées à l'of-fensive et ont réalisé quelqu. progrès.

Sur le front de l'Isonzo. duel (Partit

Les Italieuu déclare,nt avoir fait dansl'ensemble des acti000u de ces jours der-niers 560 prisonniers.

Devant VerdunL'ennemi est loin d'avoir

atteint son butL'artillerie du kronprinz tonne, contin-ue et

violente, Sur l'ensemble de nm lign. deThiromont h Damlowp, comme de Souville

Tavannes. Cette préparation Parroc lounfe constitue pour l'ennemi le puis-sant o levier » qui lui permet de descellernm ouvrages les plus résistants Eu am-plifiant et en conduisant les s chocs del'artillerie, en multipiant les so coups debélier a de l'infanterie, il a pu réduire a

fortifications les plus scientifiquementaménagées

Quand s'orneteraid-il Nous sommes enmesure de lui appuis, de plus en plus Urimatériel comparable par la puissance, laPortée, la rapidité- de tir, et donc un avenirrelativement raPPron. Par 1-0 ubbibt..

En se moment, le centre allean.and â Ver-dun, du ravin de Bras au ravin qui de ré-tang de Vaux monte à Douaumont, a quel-que peu mordu eus- le plateau oh se trouvela forme do Thinumont L'ennemi est surla lisière sud du bon de la Caillette; mais,répétons ',pavant d'atteindre la vaillanteforteresse de l'Est il lui faudra briser lesdardons. os Froideterre, de. Fleury, de Bel-leville-Saint-Michol.

Il lui hiudrait, pour s'avancer sur la gau-ehe de Vaux, enlever les fortifications de laLean de face, il lui faudrait enlever Sou-ville, puis Saint-Michel 06 Bellovillo sonsles feux de flans de 'Dacron., de Moula._ville et, plus au sud, do Belrupt et ellau-drainville. Il a encore de la besogne I

Sur le Front autrichien

LA VAGUE RUSSE-

La rupture du front autrichien. Amènera-t-elle uneretraite générale? Les Russes près des faubourgs

de Czernowitz.

Le Vainqueur

Le Général BroussiloffLe général broussilotr, qui vient 00 rein-

porter sun les Annie/aiemu une grande vie--Mire, est âgé, de 63 ans deux atm de moinsque le général Ivanof auquel il a succédé.Il est vif, p1000 00 volonte cille pe.evésen-ce. Tout lime dans sa physionomiesen regard inquisiteur, son menton ferme, laligne. vigoureuse de sa mbehoiro

La meilleure stratégie et l'a tactique la.Plus heureuse, déclaré à Hamiltonbine, r Daily Mail a, c'est d'attaquer.

Mais, lui répondit none confrère an-glais, cola implique bien des pertes.

Non en aucune façon. si votre attaqueréussit. lies attaques qui échou-enti commeles Mammies allemandes 'a Verdun, sont te.ciblement coûteuses. Mais les attaques quiréussissent content ires peu d'hommes. 8iseulement noue avions eu des munitions àrette époque de l'année, l'an passé...

Maintenant, Il eu est autrement, noueavou tout en abondartn, non sommes prêtset nous nous réjouirons quand on nous don-nera Perdre du le prouver.

Le général Ivanof -était extainnernentpopu-taire, le général Broussiloff a déjà inspiréplus de nufiroce encore, Le seul point com-mun de ces deux hommes, c'est qu'ils n'ap-partiennent ni Pu.n ni l'autre à Pnal-uaminoe sont des .officiers do troupe qui ont gagnéleur situation p., un dur travail.

A taus autres égards, ils sont le contrairel'un do l'autre.

Irorof, le lin d'un paysan propriétaire, estrosse, pour tout l'essentiel, un paysan. Il vitOr la ma.niere la phis simple, préfère la nonTaure des soldats 2. teute rotre rit dort surun lit de soldat

Incuse« nt d'une bonne famille 11 entratout diabord dans le corps des Pages, puisdans un régiment de cavalerie élégant: Sontalent personnel et ses relations contribuè-rent également à lui assurer usi avancenientlapidé. Il était fort hien YU à la Cour, sedistinguait comme -un cavalier audacieux, enc.ouragesit les officiées de cavalerie à pren-dre part à des parties de polo et â des stee-ple-chas.; il était très aimé datas la sonne

rétrograd. -Puis vint la guerre, qui épconva la capacité et le marron.re des hommes.

Il débuta eu-logo comme commandant d'unc.orps d'armée. 13len010 il fut nommd généraid'armée. Aujourd'hui ilicommande toute l'ai-le gsuche de l'armée russe. .Dans sa manièrede vivre, il suit les habituaim de l'Enropcoccidentale. C'est un homme cultivé et quiparle le fraapais comme les Français. 11 aOit au journaliste anglais qui l'interrogeait

IPPprendrait l'anglais après la gnefireQuand sera-ee, mro général / lui de-

manda celui-ci..Si, comme j'en Suis certain, nous devons

combattre eneore jusqu'au moment OE nunIS

uoeOeOO gEfeinê une victoire complete, celanous prendrs quelque temps. Les Allemands.pourraient amener la paix avant cette épo-que en renversant leur gouvernement. Maisce serait une folie de compter là-dessus. So-lon toute probabilité, il faudra que la guerre

ga.gmée par des. batailles serrées. No.sommes prête, ici, et je suis heureux de voirque nus aven dé-101e do rendre votre annéebramant.s missi grande que possible, linosrormis à employer toute notre force.

Les conséquences de la victoirerusse

Londres, 12 juin.On télégraphie de Petrograd au Times

r Le num porté eontre 1m positions autriehiennes sur la basse Stripa acquiert une signification..emapleinenhdr'e par la fait qu'il a .P.rte surOs mute qui, venant du Sud, conduit à Len,berg. Nous av.s alsi, 500 esulernent.permefortes positions de l'ennemi sur la rive est, de larivière, mais nous continuons, 05 00000, a 001005-

5v ses lignes seCOndaireS, dont /a puissance est,sans doute mondre.

r 2,8 &mie. prisonniers qui ont né fadasdans es secteur der.larent que l'armée d, sesbetbmer, défendant la Stripa, commeme 5 par-tager l'état de démoralisation qui séest emparédes troupes placées sons les ordres de Parchi.chic Joseph-Ferdin.d et opérant sur le Styr.

» Nos succès sur la basse Stripa doiveat réa-gir sur les positions de l'extrême flanc .drort del'ennemi qui étaa precrademmeat Placé mus aècommandement de vo. Pfla.n.r. Nana mena-çons en effet, les communications ares l'arrièrele Iiimg des lignes paesant par le travers 5010-m.. et Stanialau, au cas .d'un nouveau progrèsde etre part aans les directions de KOrolidée etTysmienics, Ainsi, le développement de notreoffensive sur cette partie du front forcera lesAutrichiens à suivre l'exemple dm troupes aus-tro-hongroises On Styr et de se retirer vers tenord...est, afin de couvrir leurs rommun1ca.Esse.

e La brèche faite dans le front ennemi.Lents!, et à Rapt.00s a exposé les Autrmtériensaie le cours moyen du Styr et dans lu eOilmKoseb-Serny, à être sérieusemeat attaquée sur/eur fane et à l'arrière, SEls sont incapablesavec l'aide de renforts allemands venus de larive mord du Pripet d'arrêter notre avance dams

la direction indiquée InidessUs, Il, se verront re-poussés sers le nord, mee leur arrière embourbédans les marécages de Pinsk.

» Daus cc cas, le secteur Sarny perd toutemn importance et alors, plus vite les Autri-chiens évacueront Kafalovskoclharterlski .plusvite ils emereront leur retraite dans la directionde Emel, mieux vaudra pour rox.

Le plan du général BroussiloffPourtant, la réelle é.preuve de force entre les

groupes damée du général Broussitoff et ceuxdu général von Liasingen est encore à venir.

Jusqu'ici, le plan ois général Br.miloff a étéconduit avec une preelsion qui témoigne haute-ment des prêparatio. accomplies.

Le projet diune rompliention oonsidérable, quioonsiffait mcbtre en monvement mi certainnombre d'armées a réussi ...Mout.

La première' Chose .nécessaire b Po>rationétait de faire une pr.sion ront/ane. /1 n'y 5maucun échec; la poussée a été inenéé mir uneénergie sans ditEichi.emeat.

Les secours allemands seraientimpossibles

LDucorrespondant des Daey'drNees'ép.J5, 51.5.5'Fii'etro-

grad ;On n'estimera jamais trop le suecès de l'or-

ganisati. stratégique du général. croussuff.L. pantins autriehicones sont intenables sous14 pression rasse et l'on croit que les Allemandssont incapables de secourir, pour In troisiàmefois, leurs infortunés allies. r

Un point stratégique aux mainsdes Russes

Le sillage de Demidimka, dont la prise parles Eusses a été signalée par /e communiquéd'hier, est à 35 kilomètres au sud de Loutsk et

100 kilomètres â l'ouest de Doubno,Ce succès a une gram de importunes car il a

rendu les Russes mattres Mièbrés butinsd. Doubno, qui sont en réalité des forets touf-fues formant une forteresse

naturelle'entourée

par des marais et les riviêrm rua et Styr.

Le vainqueurLe général Letchitsky, le hérioe ide la grande

vieloire eller, est Aie de 60 one; il « fait sacarrière prineipalement en Sibérie.

Czernowitz menacéePetrograd 12 juin.

,Ose000n de, la journée d'hier, Ces troupesrosses attaquèrent la 050e de pont de Zaiestehikyet approchèrent des faubourgs 0e Mersovitzl'ennemi produisit de nombreuses explosions.

Les Autrichiens acculésà la retraite

Petrograd 12 juin.Les autorités militaires d'ici consEdèrent que

la rupture du front autrichien me la Stripapeut .arriver s détermber une retraite génémle,plus f.ilement encore que le prenmt O la lignesur le Styr, ea Volhynie. Prévoyant que les ef-forts qui, seront faits à présent pour refoulerles troupes russes de ces réeras ue réuseirontpas, même mec lEide de batailleuu allemandsprélevés des socle., de ridera/leviers, LidaVina, l'ennemi doit, d'aprés eux, remner tout lelémg de la len.

Les dangers qui menacent les comrenieatMnsdee forces de l'archiduc Soseph-FerdinandTsartorisk et Rafalovska, comme celles du gé-néral Pilanzer à CsernoSitz, sont évidents pourtous ceux qui regar.dent ls tartv Il faudra queces élértlents battent en retraite vivement starpreparomt à de rudes combats sur leur route derepli,

Une foie que toutes les armées exécuteront eemouvement, les aueSeg seront en bonne posturepour taire pression sur clins, comme Os Iv n-.rent en Pologne et en Galicie aux mois disentet d'octobre 191.4.

Cette fois-ri les opérations se sont dévelop-pées avee uno. plus gr.de rapidité que pela-dant anone autre dm retraites précédestes dosAutrichiens; chacun remarque, à l'heure sa-luer la similitude entre les dépêches °Men-tes de la semaine denédère et selles aln muapremiers jours de la guerre, mais le coup depremier ohm du général Dimussiloff fut plusvisroureux que ceux qui .furent portés aux pre-mières heures des hostilités et les Autrichiensont battu en retraite 000sut cette poussée meeune agilita correspondante.

L'offensive fut irrésistibleDes détails emnpffmentaires de la bataille ont

été dames par dm officiers blessés arrivéeKief m Odessa.

Le capitaine d'un régiment sibérien décrit lesmûes d'exaltaisan dan les tranchées et leslages, 1411Ter. Pon fut averti que Pasaaceavoir lie, Le samedi maria 27 mai, partant oùcela Lut possible, on célébna immédiatement ouservice divio.

rr A la suite de la violence du bombardementdit-il, les premières, les secondes et les 15000'nos lignes elles-mêmes des tranche0s att.trichiennes furemt prises mee facilité. Nos pertes fu-rent léger.,

é Sur les positions I. pins fortes de l'arrière,Pennend offrit une résistance solide, grâce à sesmltrailleuses, see .grenades et ses mines de toutenature préparé. b Pasancd,'Là. nous enrnes plusO souffrir; il fut né-cet/salsa de IwilileveMer lespositions: les hommes s'y -.hardèrent' .a.ve., lecuurage le qdus magnifique et la détertninationla plus rêsolue,

» Dès que nous 1. atteigniaons, Iss Autre:-chie. cessaient la résistance, jetaient 'bas /oursarmes et se reisdaient. Nous .allàmes de mameaude Pavamt, laissant derrière nous des monceauxdo cadavrm ennemis littéralem.t accumulée out..

o Il restait cependant eneore e.v face de nousbeaucoup de vivants. Parfois, sers aoiuns b éle-ver pour nous-mêmes des .poaltions defessives,tout eu .parant à dus contre-attaques. Notrecorps d'armée soutint huit de rolles-ei qui sesuccédèrent rapidement et les repoussèrent tou-tes Nous cao. mimes de nouveau ms mouve-ment et nous evaucàm. 10hussont Vienneméevee use vigueur inlassablè,

Le rôle de la cavalerieAlors, à tussors les brèches obtenues, narre

cavalerie s'él.ca, Mute heure.e d, se retromver m selle et d'avoir de la besogne à arcom-pli, Elle Os do prodigi.e. hécatombes, Quel,ques régiments pénétrèrent au galnip jusqu'al'arrière de Pommai e mirera à mort su .fuite taus roux mins mirons rencontrer, puisOs gageront les Autrichiens em retraite et ehe-vanohêrent trapers leurs rangs, les éparpillaoset les tailladant.

La cavalerie captura beaucoup de canons et fitune besogne d'une valeur inesEmable.

Des régiments entiers étalant coupée de leurhase et contraints de se rendre,

00e a eu tout le j.r ot toute la nuit une arri-rvée continnelle do orironniers â l'as/aéra. Ce nesont ol. des Slaves, mais presque to. des Au.trie/tiens et des Hongrois de langue allemande.axer un gran8 nombre .d'Allemanas pure qui ont050 mis dams los régünents autrichiens pour leurdonner d. ton. Les hommes mat solides pour laplupart, hien portants et blen vétuS Mals ils seplaignent irrite, mal nour.r.j.s.

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Page 2: ,S OCIALASimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1916/B315556101... · 2010-03-05 · VIDME ANNEL N. 4650 ADMINISTRATION 128DACTION 38, RUe Roqueiaine T01.11100SE e 43

La répercussion sur le frontitalien

Rome, 12 juin,La formidable oft.eive des armees r.ses

,00Mmenm k produire sen effet sur le fromtPro, d'où de nombreex tre.s militaires .pas.ntjournellement par Innsbruck, emportant destroupes destinées à la Galicie.

Les félicitations du roi NicolasBordeaux, 12 juin.

P.c.ion de la brillante vietnire de l'ar-me, rus., te mi Nimles vient d'adresser au tsarla dépêche saivante

Bien qu'éloigné den champs de bataille, j'on-tends l'écho de vos vietaires ei mon rieur s'enréjouit sinetmement.

. Je (Pic. votre Majceté et salue mes frèresrusses, vengeurs de mes désastres, en feulantmes bras, affadis par lage et les fatigues, versl'empereur libérateur et vers la Russie,

Que Dieu ..bénie. 5. efforts 1 t'est le veaud'ian frémis prince fflave d'un feld-manélgalrus.,

Sous le ciel de l'Orient

Autour do SaloniqueLe fort Rupel bombardé par

nos avionsSatanique, si juin.

On ne sig.le rien sur le front,Des avions français ont bombardé divers points

du front ennemi.Selomique, /é juin.

Des aéroplanxs français ont bombardé, la nuit.derniere plusieurs p.itions bulgeffs, y comprisle fort iiripeal..

Les positions bulgaresSalonique, 11 juin.

Les .Bulgares travaillent muit et jom à se re-trancher le long .de /a ligne qui s'éteni du nordde Vettenu au nord dr Putjovo la travers laStrouma, et dans une direction. nordest le longde la Valoviska. Gontraimment d dee nemelles:précédent., du n'ont pas occupé le fort de Pe-tra, où une compagnie de .Idats grecs mantetoujours /a garde.

La force bulgare la plus rapprochée est1,e00 métres au nord de Krushevo; ente der-nière ville est à 8 kilomêtrxx au nord-est dufort .de Petra. L'eenerni oceuee ainM rias poseHoa assez forte sur les peetes sud des monta-gnes commandrne. la plaine et la vallée de /aStrouma, ans artillerie étant installée sur lespontes lie Vetrina et Ardijjem sur les eollin. dePuljove et de Redore à Pest de la Strouma.

En GrèveOccupation de l'île de Tliasos

Paris 12juin.'Notreeorr.ponlant d'Athée. nous télégra-

phie que les alliés ont ocoupé mitiasieemeaat PileThaeos formant p.tM dx Parchipe/ grec si-

tué à l'entrée dos golfes e'Orphano et de .Gas

L'Ile deTha.e'

en f.e des eôtee de Thrace,dont elle est séparée par ou canal d., quatmmètres EnailrOn, a une superficie de 28 sur 20kilomètres et une population de 5,000 halétants.

Aetuellement, le drapeao dés alliés flotteohef-Iffu 2e Ille,

Dans l'EuropeEn lierne

La cloute de M. SalandraParoles amères

Salandra, lors de la seau. Mil. fut mis enminorité, a pr.oncê °outre l'état-majorIon erneres critiques ci-d.sons

« Pendarn que mous dirigions notre plus grand.effort mi/Raine vers l'Orient alliv de surmonterle résistance opin1àrne que dés obstacles natureleet des défeneee préparées depuis longtemps op-posaient à nos objectifs territoriaux, le.emi,pro/n.1 d'ut, répit sur d'autres fronts, prépa-rait centre nous un vigovmux mouvement offen-sif, 11 accumulait, dans un rein du Trentin., demombr.acs troupen clan aies et une ..ormequantité

Ges .rnistions clét.orables ont rendu pot.sibles les Premiers et indéniables suecès de l'of-fermier .-nernie. Il faut ee,endant rêoonnattrevirilement qu'une défense mieux préparée l'au-rait ou moins arrêtée phis longtemps et platloin de la Casière de !a aorte hiontrigneime.

Les remplaçantsRame, 12 joie.

On parle de M. PIlinoi, am..adeur à Parispour Io portefeuille .d. affairea étr.gères. Lenom du miMatre de la justim, M. Orlando, estmis en avant. M. Basolati .rait égalefent unportefeuille. .Én, on nomme M. Boselli, doyende la .Chambre.

gram Socialiste au Parld111811I

Pretès-verbal de la séance dit vendredi 9 juinLa séance est ouverte à 10 heures du matin,

tom; la presidesee du .mura. André LebesCorrespondances Ordre du jour de la 3e

anstlaa de la SE. protesterd contre lesprojetsuthehe.&but Aclarnant le monopole des as_

surances.

Feurfnent dépose une lettre de la Fédéra_Mon nedemate dee AMIlealtà des prof.seurscollège. Eus est rra:noyée à la soue-commicMou de Teaseignem.t.

Comité secret, Mailer .alyse les modifi-cations proposéea par la commission du orgie-must. Après discussion s laquelle prennent partRe.udel, Rognon, Sixte-Quenin, Gro.sier,Compêre-Morel qui derroudr que le groupe dé-pose pour sa part une demande d'interpellation,P. Comstans qui, insiste pour que le groupe ro_tienne des explications sur la préparanon de ladéfense de Verd.Un, IM.tet qui &mande que legroupe précise les qu.tions qu'il p.era, Possemble. décide ; I. De déposer MM demanded'interpellation, qee Rognau remettra à la pré-sidence; 2. De faire in.rire ses divers orateurs,2. De fixer à la prochaine séanm son attitude aucoure du Comité secret.

Délégation d. groupes. Renaude/ entre.tient le groupe de ce qui s'est passa à la der-

Mère séance de la dêlégati., par suite du votePar groul,

L'assemblée nonne mandat au secrétaire Osgroupe d'écrire au président de la derngationpour lui demandes une modification dsfonetio.ement de la derograliers I.e groupe so-cialiste, qui fut ara des groupe. initiateurs derot organisme intérieur, reste t.jours attachéà cette formule mai, dffrnanee un, modinoationde la représentahon, qui doit ôtes proportion-nelle au rombre des membres, afin d'éviter quel'organisme représentatif des groupes prennedes Ornions en erotradiation à es qui est t'ex-pression de /a majorité de la Chambre.

Visite du camarade de Brouckère. Le ca-marade Brouckere, du parti ouvrier belge,heureux de se trouver au milieu de8 camaradesfrançais exprime la ,pensée de la cl.. onrenées isige sous le joug de l'envahisseur etfait ro:1.Rn l'état d'eeprit 4cr soeialistes .bel-ses, qui cous résolus à supporter toutes lessouffr.Ces jusqu'au jour de la victoire :des ar-mées du droit,

Le prêsident remercie de Brounkre dru nrn.bles paroles qu'il vient de prononcer eine nepeuvent que reserrer rêtreino frateraelle quiunit dans le malheur eommun /es socialistes deBelgique et d. Frau., rotés dames unehes de l'Internationale, qui affirma toujours sonrespect du droit et de la Pérété donnée.

On nous écrit

LES BRANCARDIERS

Une inégalité choquante nous est signalée Parune Innuse Toulousaine; lee femmes éceiventbeaucoup et elles n'ont pas tort, car t.ant laqueue de la porte, elles suifferai plus que qui-conque dcu abus et des injustice.

»on Sommera' brancard/6r. daottuoi,emi hertairtes ldivieions, les tkraneardiere

des classes 1895, 1896, 1897 sontsils envoyésadne les formati,ons de l'arrière, c'estsà-diretrains sanitaires, hôpitaux, etc., alors quedans d'autrot divisions c. mêm. Masseusont depuis vingt et un mois sue le front.Il ne doit pas y avoir deu manièreu d'ex.roter les presoriptione ministériell....

Hélas I Il a brancardiers et bra.ardiers,oorrirrie il y a fogats et fagots. Les ene ont lachance d'appartenir à une obviaiao et, peur desrai.ne dent nous ne .pouvons être juges, on les

tilise à l'arrière, loin des balles, Les autres...Mais, de toutes façons qu'ils evill.t relever

nos bl.saa sous la mitraille oe qu'ils braventla contagion dame I. hôpitaux, ILs n'en sont Pesmoins aklos et le Pays, bien Mill a. elege,3Cive., ne leur en doit pau moins nue sineérerecennaiseence.

Le MIDI SOCIALISTE est le journalde ses lecteurs. Ceux-ci le savent, etbeaucoup nous aident de leur collab0-ration active.

Le Problème de la Viande

Le ,problème de Ix viande de bonchariebon marché est, en mémo temps que l'undes plus importants Iran des plao dirfluiles

réroudre, L'expérience a prouvé qu'en rai-son de la oomplexité de§ intérêts engagés,sa rolution. exige une étude et dee vues .Tensemble qui permettent de tenir compte del'infinie variété des besoins auxquels il S'a-git de repondre et des intérêts qu'il convientde resPector.

Prelie, de la néeessité du réaliser mn ad-rond préalable, le ministre de l'intériefr adécide de ronroguer à son cabinet, autour-drhui, les inaires des principales villes deFrance, ,parnai troques nétre camaradeRieux, .afin de recueillir leurs avis et leursdesiderata.

Cette conférence permettra sans doute d'é-tablir les bases d'une entente, pentséteo Mê-me d'une organise'ou interdépartementaledont on rorait en droit :d'attendre I. plusheure. effets

L'utilité du PrOt l'Etat des Titres

des Pays neutres

En prêtant s. titres .de pays neutres auTrésor le porteur rend pies ernées les opé-rations que le .Ministre des Finances doitfaire à l'étranger pour les anhate co.idgra-bi. qu'exige la DETENSB NATIONALE.

le ménage les deniers publies ;en effet,l'Etat, mis h même de payer dans leg paysoù sent nos fournisseurs en: monnaie de cesradinou pays, devra moine comptes, avec lechange qui est élevé, puisqu'absorbé. Parles h.ofns de nos armé., nos industries,Teillartent que très peu.

51 retire enfin de son Prêt un importantprofit représentié par une bonification d'unquart, soit 25 p. 100 de Pintée« brut annuelde see titres

Servir I. intérêts du, pays tout en faisantune excellente affaire, c'est ainsi que se ré-sume l'opération.

Aussi mouno hésitation n'est-elle ,permise.

À travers TantouseTannerie

ire Maire de Toulouse a Phonnenr de faireconnaître à ses administres que ce. qUIauraient des ebservatio. à pre.nter sur /ademande du sieur Etienne Delprat, tendantà installer ,et n, exploiter une tannerie, dansles /oraux de l'ancienne glacière Toulousai-ne, quartier d. Sept-Deniers, chemin deR.de, sont priés de les formuler ad eangmi.ariat de polio du 3e arrondissement, Oùest ouverte, à net effet, une enquête des commodo et inrommodo c.

I,es observations .rent reçund au dit com-missariat, 'boulevard Armand-Dup.ortal, tousles jours, dirnanchna et fêtes exceptés, demidi 3. 3 heures, du 13 au 271 juin 1916Mus

Arnert Thomel fait connattre l'excellentebeeogne feite dans les pays seandinaves par lesamis de la Frence,1 di indique quel est l'étatd'.1mit des démocrates, des libéraux et des se,cialiates norvégiens et suédois el souligne le re-nerement, qui an produit da. /es milieux Istiegermanophiles O la suite de la résistance héroi-que des troueea frençaises sous Verdnu, tm faitegMemem part de l'impression de confiance etde réconfort qu'Il rapporte de ion royase enfluSeie,

iier'elesréPâq nedellst eseee:'paa71'5USx'eal'ini'ndessondamitles pr9499dentee

ba iP1ance est leroie.

Le secrétaire Ilubert Rouova

Le MIDI SOCIALISTE est un organede combat. Indépendant il combattrales puissances d'argent gui corrompentla Presse. Lire /e MIDI SOCIALISTE,c'est se faire un esprit indépendant etc'est éviter d'être l'esclave des puissan-ces d'argent qui causent le maneur de/a classe ouvrière.

CHRONIQUE LOCALEChambre de Commerce

La Chambre de Commerce de Tourouseprie les industriels et rommençants de sacirconscripOon qui désireraient prendre partâ la foire do Bordeaux (du 5 au 29 septem-bre proehain) de le lui faire savoir.

Petits FaitsCOUP DE COUTEAU

La nuit dernière, M. Jan:unes Gamine, âgéde 34 ans, cultivateur, mobilisé à l'oies ruai,et logé avenue de Paris, est venu raconterau, trommissaire de police de service b laPermanenee iluiatt moment où il néon.-Soit du roté de la rue Constantine, mn in-ùn'il croit être lin sujet espagnol,s'est jete Stir lei et L'a frappé avec ungour.teau.

Ge mobilisé .portait effectivement une proieau cou, an niVeau de la tranc-hée.

Après avoir été pansé air poste de secouredu Capitole, il a été conduit à l'Hôtel-Dieu.Son. agreesee, Ment le signalement asseotaillé a pu être fourni à la police, est acti-vement reeherché.

DFPrês le blessai, il paraissait pris deboisson quand il s'est précipité sur lui,TOMBE 517 TRAM

Samedi soir, vero 2 heures, Insinue De-laid Nrohroned, sujet algérien, 21 ans, ma-nceudre à Parsenah.se 'rendait à Aueamvillesur un tram éleetreque. A Lalande, le ventayant enlevé son chapeau, il descendit pré-eipitarn.rnant de voiture. perdit l'équilibreel tomba à la renverse. Dans sa chute, ilregut une blessure à la base.. crâne et di-

/vars. egatursionsTransporteAlletefii-Dieuil y fut admis, salle Saint-alauriro. Son êtalO'inspire aucune inquietuds

Samedi matin, vers 14 heures, Mlle IeanelleLope.. âgée de 18 ans, demeurant route dePeri., voulant descendre du tram en mar-che qui fait le trajet du Capitole fi la bar-rière de Groix-Daurade. a pendu Pequill-bre et est tombée à la rereerne. Ikans Saehute, elle S'est légèrement contusionnai, àla jambe gauche.

Us VOLSUme enqnête est ouverte an commi.friat

du fer arnondissernent re lativement au vold'un sac à main renfermant la somme de250 francs environ, commis heur matin .dansl'église,SaintaSernin, an préjudice de MmeSouque, boulevard de Strasbourg, 36,

EIMEIMM MEMErE, Laluble, tel ile101001,

Çoarriep ThéâtralA l'Hehitud-CinémaZE&PLEIN... D'IlUMOUR

Skerht-revule en un acte de M. Paz( de ffidx

Par au heureux à peu-pies, le maître humo-riste qu'est Peul de ma; nous Menine MeVrieu.meut commue il a raison que sajoyeuse verve s'est donné dans .n uvre der-nière le plus libre cours. Le spirituel aut.., de.4 l'Encre de Chine s'est affirmé urne fuis deplue revuiste de bonne école.

Il eet difficile en ded-tors d'ineerntestablestrouvailles d'etrnhalnemest dx mieux adapterles refrains à la mode dant l'audition plaît tou.jours Infiniment. Avec de Max. la sélectio,u destimbres est toujours parfaite et Zep'prnte.mour ! la prouve assez les reconstitution,%eles de le Petit Béguin do Chrietieé, la PetitePromenade et Près de la Porte Saint-Denis eleScotto, le Nouvel Uniforme de Viment Hyepa etPair //mort 0e Memmis Miperrare. Parmi lesseenes les mieux venues, louons sans réservesd'abord celle où la Gemsare est satirisée .denme il convient. Ge faisan, Paul de Max man-qué h la plus élémentaire gratitude envem mtteSentir Anastasie, eui a bien voulu nx pas « ca-viarder .n. texte.

Habile à manier le ju de mots, de Max corsecette scène d'une heureese combinaison detree de j.maux qui s'amalgament le pive spi-rituellement du monde.

Note. aessi Phommege vibrent rendu euxvaillant, soldats d'Albert Ier par la ville de Pa.ris. La Brabançome qui décidément s'acclimate

hes noue, prête ses notes héroïques. La Légendedu Petit Soldat, émouvante et sincère adapta-tion de la Légende des Plots bleus, a été applau-die frénétiquement. Puis une scène gaie. Deuxavais viennent exposer leurs doléances ; visitesmédicales obsédantes et ininterrompues._ ins-pections anadémiqu. dit spirituelle-ment l'und'eux. Solies les rimes ...rées aux petitesdactylos qui "mettent an Sc marnent une ente dejoliesse et de fralcheur dans S austères rnireauxmilitaires. Tré, circonstanciés, /es enup/ets del'Opérette française, oeil a endn triomphé desfadeurs viennoises.

La musique régionaliste est aines représentéepur note, immOrtelle TOUlotisaillle de Deffès, quiharmonie, lee strophas tracées à la gloire de.noe valeureuses troupes mértdionales qui écri-vent avec leur sang /a plue tragique des épopuis.

TISSUS de COTONCette semairae

Au PRINTEMPSToulouse

Vente d'un nouvel Arrivage

Daus sok, ..mble la distribution est ente. ,points digne du texte.

L'adret diseur Geergyl est un élégant com-père. La commere se prisante sous les traitsmasculiee oh I si. peu Myrthil, phêno-mime vocal dont Pergaxe a ln douceur et lapleone de la voix féminine. iedépendatemeut dugeste et de l'expression, traduits à s'y méprn-

aorthil porte eon travesti avro une é''-gamin tras ) femme s. L'illmiOa es, totale. LeIII le. éprouvé de Stirneel .sure ou persuamagedu journaliste .antionasta,siert évidem-ment une tornects interprétation. Mile Penlette chante rnmsoimmie.emera son rôle de PO-pérette et klkL Autel et Mhéval'b mut deux tourloulous typiques. Mlle Janine remplit agréabie-ment te travesti du quêteur et cirons,

o. p. danm avec une fantaisie trée « Es,pagne lise mention. particulière k M. Dalle,brillaet spécialiste ea Penne réalisé, clfi,lhouette on apaehe saisi... vérité

Et enfla l'attrait .prineipal une jolie Pe-tite étoile qui scintille déjà en meilleure place etque de Max, tel Plammei. vient de classer dé.%Hivernent au firmamen.t tléâtra/. J'ai nomméMlle Ida, un délicieux petit Sêmres pestera...i-n.. doué, pou a .0(.0 Seà débuts avec unerare autorité.

Le suocée miluS SOUrie, petite /da, et vous ve-nez de justifier une bien enviabLe erre",

Le nielle e chaleur.sement aecueeli Zep'pleind'humour et sur le final, le si pitteméqueTipperrary, récemulent importe d'Angleterrelev bravos Relatèrent rnieeimes et montrèrent aPheureux auteer que le chemln du succès sernpeur lui. longe comme celui de,..perrary, parbleu

Paul Bled,

ConvocattionsPARTI SOCIALISTE

COMMISSION ADMINISTRATIVE

La Pommieruml administrative se réunira mar-di 13 courant, au siège habituel, in heures dusoir.

Ordre du jour .

1. .Compte rendu de la réunion de la Commis-sion des finances.

S. Organisation manifestation anmivereairela mont de Sauras,

O. Qumtione diverses.Le Secrétaire l 55. Ven.,

SYNDICATS

SYNDICAT NATIONAL DES GREMINSFER. Les employés et ,roarriero, rnécaei-eienS et ehauffenrs des chemins do fer duMidi, syndiqués et non endigués, sont priéed'aserster à la réunion qui aura. lieu le jetel55 juin, à 8 h. 30 dru soir, a la Bourse duTravail.

Ordre du »tué m Entrevue directoriale dejutllel ; 'Revendicatioeo à présenter a laditeentrevue; Question urgente intér.sant laCalsee de Prévoyance.

Les déléguée élus sont tenus d'être pré-sents.

Aucune questi.bu'intereasant pas direc-tement /a rorporeion ne pourra être posée.AMICALES

LOGE u LA PARFAITE HARMO-NIE sLeS membrmu dis la Loge la Parraire Har-monie sent priés de se rendre à ru réunionde ce soir mardi 13 juin, à 8 11. 20.

Ordre du jour b Décisiens à ersedre.

Theatre: et CinémasA111812111E1

ti:N=A elEATRE-permanente de 2 I, 30 h. O heures, soirée h8 h. 10.

Artillerie do eampague °italienne, document:Gribouille seul époueer la .1111e dea pets. comi-que. Polichinelle, drame en trois palliée; LaOmit% â l'Heritage, eomédirn, Missiau tra,gique,drame en 3 parties; Journal-Actualitée.

AMERIGAM.GOSIVIOGRAPH. Mattne.2 h. 20 et 4 h. 30, soirée h n ti, 45.

Les Vampires I PHomme &a Poises., grand.drame en I. parties; Le Bluff, cl/Médie; Avis auh.e Sexe, comédie; Gaurnofft-Act.lites.

Actualités de la guerre b un centre d'instruc-tion de mitrailleurs en Algérie.

HABITUDE-CINEMA Grand sucés de Zep'-plein drnemour, la elffliedeuse revuette de notreami Paul de Max. Aujourdemi, eu mannes et«obéi, Pep,p0ein d'humour sera joué.

.tia programme eindrilategraphique hors depair complernra le .programme.

CVNEMA PATHE. . matinée, Germinal,deuxième partie; Aetualités : notre escadre à

En soirée, â 8 h. ID, même programme et Par-t. ,glorieux, drame en trois parties.

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100 m. I ter Bec (S T.); 400 M. r ler Sien(S. T.); 800m ler Marte (S. T.) ; 1000m,Bonneoud (S. T) I 5.000 m. l far Donne-

rons (S. T.); 140 m, haies l ler Casteret S.T.), poide ; 00e Bénezet (T B 8); Disque :fer Chi/o tli (I I T); Sauts m hauteur avecélan, les' nihilo (11) 4 60; eane élan, ter Ber(9 T) 1 10; longueur avec élan, ler Chllo(H) 5 m 8f; sans élan ler Bec (SPI 3m 02;Perche I lei' Casteret (S T), 2m, 90; Javelot.lor bonnet (H.).

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CHRONIQUE REQ1011.11E

PAIN-DGEUVRE -- Le Minis-tre de la Guerre ayant .presçrit la orostitu-tion, dans la plus large mesure, de la mail,eUVI, féminine à la main_daeuvre militai-.), les personnes qui désirent âtre em-ployées dans les hôpitaux romplementairesde la Place de Garrossonne, en balite dosecrétafres, dactylographes. cuisinières, ai-de-ruisiniênes et manutenLionnaires, Peu-vent adr.ser mie demande à M. le cèd«inChef de la Place de Carcassonne avant le11 juin courant

La prehre.ij sera donnée fout Tabor,aux femmes, mères, filles ou meurs des mi-litaires tuée on blessés ,pendant la guerre,ensuite aux Baroneu de mobilisés :et en der-nier Ileu aux autres candidat..

Itro demandes porteront, les indicatio.'nécessfilres site la situation et l'adressemaele des postulantes.

Les demandes formulées antérieurementau présent avis :devront' être renouffelées.

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°ours gratuits d'Espéranto auront lieu tou-tes 1m sernaines dans urne salle d.e la. BourseOsa , nu ter étago.

Que tous ceux que cette langue peut in-téresser viennent à la première séance quise tlendra le vend,redi 16 job a. 20 h, 10.

Tous y seront reg. amicalement et ea.formalités,

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EMPLOYES ET OPTAI/ERS DES CHE-p-g FER- Lee emPloYée et ouvriers

dmo ebenüns de fer, endifirroe et nen syn-diques, sont instamment priés d'assister àla réunion générale qui aura lieu aujour-Ph. 13 juin 1916, à la Bourse du Travail,à 90 heures ,précises.

Ordre du rour I Ouestiono très importan-tes.

SOC/ETE, GOOPERATIVE POPULAIRE BI-TERROISE. Les membres des sourarom-ini.ions I Finances, Propagande, Achat,sont priés do se :rend.re mardi 13 courantà la réunion rrod au,ra lieu â la Bourse :doTravail, à 20 heures

Les membres du Conseil d'administra-lion de la Boucherie croperative sont priesdo se rendre à la ...ion hebdomadairequi :aura, lieu meth.redi ta gourant, café desAllées, 'fer étage, à 93 h. 30.

ARIEGEFédération Socialiste de l'Ariège

Le public et notammemt les femmes estismffle à assister à la conférence graruite et rostradiotoire sur ) la vie Offre lee mayena del'enrayer ,,, qui sera d.. au Canine de Foix,le mereredi fi juin h 8 h, 30 du sain, par léeitoyeu .Dande B.effl, de Paris secrétaire gêne-rai de la Fédération dot Coopératives de ros-sommatioe de France.

LAVEUSE?LA CRISE DIE LA PET/TE MTSNAlE

Gomme Toulouse, Muret et d'autrua villes,nous albans avoir, à notre tour, la petitemonnaie de carton.

A cette fin les mlmbres de l'Union de dé-fense des intérêts commerciaux de bavela-net, réunis en assemblée générec, o q Juin,ont décidé la création de tickets on bons demare/rendis. de ohm. 05, 0 le, 10 et 0 fr.pour remédier à la pgituhie de la petitemonnaie préjudiciable aux transactions ducornmeree en détail.

Il sera fait une première enlisai.on pourun millier de frau., eouverte par la oaissede l'Union s.-nommée.

Noues apprenons cette hem euso initiativect nous espérons que toua les ...Menteses restriction aroepteront avec bonne Giéro la petite monnaie de guerre.

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Poursteirenasignements. com-mandes, s'adresser d M. le Direc-teur de l'Imprimerie dela Presse,

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luin a été radiée de la lisPa.mtence aux vieillarfévrier 1916. Boa merl

et le nie, avea lequelellpar an. Elle n'e. d.e pas

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N. D. L. R. Lee personn11mandent des renseigne/x.1P5enoue erouser quand noueimmédiatement 11 sera répond',uestions ; mais, parfois, na

nous esl nécessaire pour rassments de notre _réponse..prière, quand ne.

no., de joindre à la letirs ,,,coupure du journal qat'

t,

rpe:L:e:1:0M:IDbraal rurse CielC: rAgeuLeI:Setsii0E::eee:saide aux femmes des mobilitil

cédure des ALLOCATIONSIIILITes

et pensions. I/ les aidera dams la 1

Ces commises,

Le Commullittligde 3Jim

Parla, fttaSue la rive droite de la Heu., esse

PNiedasta ,Préparatice etaP/Wett,, la Lamanda ont dirigé Huta la Oum. de 1nues ancrossivee eontre .9 papa ànord de Poudrage de Thionred . tttel'importa., des offrotife mese Na re,Irone des easants, 0,oe tire dit...pita.feus d'infanterie ont arrêté PragatiG,saine dont les perton ont érn 88 erses

Le bombardement scsi Gee., et arldà toute la région à l'ouest de Vau al àsnos deuxièmes lignes, dans le. arienSouville et de Bava...

Sue la rive gauche, lutta dentale/14,8.la région au nord de ,Ohattenemfiaction d'infanterie.

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