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Schädliche Insekten im Haus - · PDF fileIntroduction On ne faisait pas de provisions Si l'on considère l'histoire de l'espèce humaine, longue d'un million d'an-nées, on s'aperçoit

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Schädliche Insekten im Haus

Insectes ravageurs domestiques

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Inhaltsverzeichnis Table des matières

Vorwort...................................................................................................................................4

Avant-propos ..................................................................................................................5

Einleitung Introduction .................................................................................................6

Übersicht der Arten Aperçu des espèces................................................................10

Besprochene Schädlinge Ravageurs traités:

Dermestes lardarius GEMEINER SPECKKÄFER DERMESTE DU LARD ........................12

Anthrenus sp. KABINETTKÄFER ANTHRÈNE ..............................................................14

Cryptolestes ferrugineus ROTBRAUNER LEISTENKOPFPLATTKÄFER CUCUJIDE ROUX ....16

Lyctus brunneus BRAUNER SPLINTHOLZKÄFER LYCTE BRUN ...................................18

Rhizopertha dominica GETREIDEKAPUZINER CAPUCIN DES GRAINS ...................20

Stegobium paniceum BROTKÄFER VRILLETTE DU PAIN..........................................22

Gibbium psylloides KUGELKÄFER PTINE SPHÉRIQUE ...............................................24

Tribolium destructor GROSSER REISMEHLKÄFER GRAND TRIBOLIUM DE LA FARINE......26

Hylotrupes bajulus HAUSBOCK CAPRICORNE DES MAISONS................................28

Sitophilus granarius KORNKÄFER CHARANÇON DU BLÉ ........................................30

Tineola bisselliella KLEIDERMOTTE MITE DES VÊTEMENTS.........................................32

Nematocera, Brachycera MÜCKEN, FLIEGEN MOUSTIQUES, MOUCHES.............34

Ctenocephalides sp. KATZEN-, HUNDEFLOH PUCE DU CHAT, PUCE DU CHIEN ..36

Paravespula vulgaris GEMEINE WESPE GUÊPE COMMUNE...................................38

Blattella germanica DEUTSCHE SCHABE BLATTE GERMANIQUE ...........................40

Pediculus capitis KOPFLAUS POU DE TÊTE...............................................................42

Lepisma saccharina SILBERFISCHCHEN POISSON D'ARGENT ...............................44

Bibliographie .......................................................................................................................46

Dank Remerciements.................................................................................................47

Bildnachweis Table des illustrations ..........................................................................48

Text und Layout: frinat, Büro für Natur- und Landschaftsfragen,Samaritergasse 32, 1700 Freiburg

Texte et mise en pages: frinat, Bureau d'études en environnementSamaritaine 32, 1700 Fribourg

AutorenAuteurs: Erwin Jörg, Thomas Binz, Roman Eyholzer & Roger Schaller

ÜbersetzungTraduction: Dominique Huther, La-Chaux-de-Fonds & Gilles Cuenat, Les Bayards

Umschlag: AMERIKANISCHE SCHABE Photo: frinatEnveloppe: BLATTE AMÉRICAINE Photo: frinat

© Naturhistorisches Museum Freiburg, 1993© Musée d'histoire naturelle de Fribourg, 1993

2. Auflage, © Erwin Jörg 20042e édition, © Erwin Jörg 2004 http://www.erwinjoerg.ch

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Vorwort

Die Insekten repräsentieren fast 80% des Tierreiches unserer Erde. Sie stehen zumMenschen in zahlreichen direkten und indirekten Verbindungen und haben dahereine viel grössere Bedeutung als man sich allgemein vorstellt.

Auch wenn die Unterscheidung zwischen nützlichen und schädlichen Arten künst-lich ist, spielen Insekten seit jeher für den Menschen und das ganze Ökosystemunseres Planeten eine äusserst wichtige und nutzbringende Rolle. Zu erwähnensind hier nur die grosse Anzahl Insekten, welche Pollen transportieren und damitfür die Befruchtung der Blüten verantwortlich sind. Ohne ihren Beitrag könntenpraktisch keine Früchte geerntet werden.

Gewisse insektenfressende Arten verringern den Bestand an pflanzenfressendenSchädlingen und verhindern damit Schäden an landwirtschaftlichen Kulturen.Andere helfen bei der Zersetzung von organischer Materie. Auf der Liste der so-genannt "nützlichen" Insekten finden wir auch die Biene, Nahrungsspenderin fürden Menschen, oder den Seidenspinner Bombyx mori. Die Larve dieses Nachtfal-ters, die berühmte "Seidenraupe", spielte in der Menschheitsgeschichte eine wich-tige Rolle.

Zweifellos werden einige der Insektenarten, die im näheren Umfeld des Menschenleben, von jenem weniger geschätzt. So z.B. wenn sie an der Übertragung vonKrankheiten beteiligt sind (gewisse Mückenarten verbreiten den Gelbfiebervirus,andere die Malaria und die Tsetse-Fliegen, Glossina sp., die Schlafkrankheit). An-dere sogenannte "Schädlinge" verzehren, beschmutzen oder verderben Nah-rungsmittel. Sehr unangenehm sind auch die Bettwanzen oder jene Arten, die imBesitz einer Giftdrüse sind. Ihre Stiche können speziell bei allergischen Personenschlimme Reaktionen hervorrufen und sogar deren Leben gefährden.

Die hier beschriebenen Beziehungen zwischen Mensch und Insekten sind bei wei-tem nicht vollständig. Doch geht daraus hervor, welch gegensätzliche Rolle letz-tere spielen können und wie wichtig ihre Bedeutung für den Menschen ist.

Auch auf einer psychologischen Ebene bestehen viele Verbindungen zwischenMensch und Insekt. So wird z.B. der Marienkäfer ("Herrgottsgüegeli") als Glücks-bringer geschätzt und der Floh im täglichen Sprachgebrauch verwendet ("Je-mandem einen Floh ins Ohr setzen"). Auch Fabel- und Geschichtenschreiber lie-ssen sich von Insekten inspirieren (Die Zikade und die Ameise). Manchmal werdenInsektennamen sogar als Bezeichnung für Gruppen und Sportklubs verwendet.Die Grasshoppers (= Heuschrecken) sind ein Beispiel dafür.

Diese kleine Broschüre hilft Ihnen, die schädlichen Insekten im Haus zu erkennenund sinnvoll zu bekämpfen. Sie lernen diese Tiere besser kennen und warum nichtauch besser ertragen.

Naturhistorisches Museum FreiburgAndré Fasel, Konservator

Avant-propos

Les insectes, représentant près de 80% de la faune mondiale, ont bien évidemmentdes relations directes ou indirectes avec l'homme. Ils ont, à ce titre-là, une impor-tance beaucoup plus grande qu'on ne pourrait l'imaginer.

Même si la distinction entre insectes utiles et nuisibles est artificielle, de nombreusesespèces ont joué et jouent encore un rôle important et des plus utiles pour l'hommeet pour l'ensemble des systèmes écologiques de la planète. Rappelons que de trèsnombreux insectes transportent le pollen et sont responsables de la pollinisation desfleurs; sans eux, la production de fruits serait quasiment impossible.

Certaines espèces insectivores limitent les effectifs d'espèces phytophages (man-geurs de végétaux) qui, elles, pourraient anéantir les productions agricoles. D'autresencore contribuent à éliminer les substances organiques en décomposition. Enfin,d'autres insectes dits utiles, comme l'abeille qui permet d'obtenir une alimentationnon négligeable pour l'homme, ou le Bombyx mori, papillon de nuit, qui a joué unrôle important dans l'histoire humaine grâce à ses chenilles, les célèbres "vers àsoie".

Il est vrai que certains insectes, vivant dans le voisinage immédiat de l'homme, sontmoins appréciés, en particulier pour les maladies dont ils sont vecteurs (des mousti-ques véhiculent le virus de la fièvre jaune; d'autres transmettent la malaria et lesmouches tsé-tsé, Glossina sp., la maladie du sommeil). D'autres espèces, considé-rées comme ravageurs, consomment, souillent ou altèrent les aliments. Nombresd'insectes peuvent causer des désagréments, telles les punaises des lits ou encore,ceux possédant des glandes à venin. Ces derniers provoquent des piqûres dont laréaction, essentiellement chez les personnes allergiques, peut parfois être grave etmême mettre leur vie en danger.

Ces exemples de relations entre l'homme et les insectes ne sont ici pas exhaustifs.Cependant, ils montrent à quel point ils jouent des rôles diamétralement opposés etont une importance non négligeable pour l'homme.

Psychologiquement également, les relations de l'homme avec les insectes sontaussi multiples; autant la coccinelle, "la bête à bon dieu", est appréciée commeporte-bonheur, autant d'autres sont utilisés dans une terminologie bien précisecomme "j'ai le cafard". Enfin, des poètes ont su s'en inspirer pour leurs fables, leurscontes (la cigale et la fourmi). Parfois des insectes donnent même leur nom à desgroupes ou des clubs tels que les Grasshoppers: les sauterelles!

Que cette petite brochure vous apprenne non seulement à reconnaître les insectesdomestiques ravageurs contre lesquels on lutte activement mais encore qu'ellevous apprenne aussi à mieux les connaître et pourquoi pas aussi, à mieux les sup-porter.

Museé d'histoire naturelle de FribourgAndré Fasel, conservateur

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Introduction

On ne faisait pas de provisionsSi l'on considère l'histoire de l'espècehumaine, longue d'un million d'an-nées, on s'aperçoit que l'homme vécu,jusqu'à une époque très récente, seu-lement de chasse et de cueillette.Toute denrée comestible était englou-tie sur place. On ne pensait pas à fairede grosses provisions. La survie de lafamille ou du clan dépendait forte-ment des ressources alimentaires dis-ponibles dans la contrée avoisinante.Nos ancêtres ignoraient les dépréda-teurs des entrepôts d'aliments, mais ilsavaient déjà des ennuis avec les asti-cots de mouches et autres bestiolestelles que les mites, qui s'attaquaientaux fourrures et aux peaux des bêtes.Ils souffraient aussi de parasites hémo-phages tels que moustiques, poux,puces et punaises.

L'homme se sédentariseUn changement important se produisitil y a environ 10'000 ans quandl'homme commença à vivre dans deshabitations permanentes, se mit àcultiver la terre et à élever des ani-maux domestiques. Il construisit desgreniers à céréales. Les invertébrésqui, auparavant, passaient l'hiver ense nourrissant des provisions faites parles rongeurs, se mirent à piller les stocksaccumulés par l'homme. De nom-breux autres animaux, qui vivaient etse nourrissaient à l'extérieur, élirentdomicile dans ces abris où la nourritureabondait. Bien involontairement et àson insu, l'homme favorisa l'existencedans sa demeure de commensaux,qui ne tardèrent à devenir des hôtesindésirables. Au fil du temps, ces para-sites ne firent que prospérer et l'on es-time aujourd'hui qu'ils détruisent 30 %des stocks de nourriture dans lemonde.

Place aux spécialistesOutre suffisamment de nourriture, lesanimaux ont besoin d'abris et deconditions climatiques favorables.Pour les insectes et autres invertébrés,les endroits où s'abriter et se nourrir nemanquent pas dans les habitations.Les températures régnant dans nosappartements sont idéales pour nom-bre de ces petits animaux. Ils suppor-tent en revanche très mal l'air sec. Iln'est dès lors pas étonnant que seul unpetit nombre d'entre eux, très spéciali-sés, fassent de nos maisons leur gîtepermanent. Ils sont pour la plupart issusdes régions tropicales ou subtropica-les. Ces animaux partagent depuis fortlongtemps déjà le logis des humains etont au fil du temps modifié leurs habi-tudes, s'adaptant de mieux en mieuxà notre mode de vie.

Ausgesprochene Spezialisten habenes geschafftDie Tiere brauchen neben ausrei-chender Nahrung auch geeigneteLebensräume. Für Insekten und andereKleintiere gibt es sehr viele Möglichkei-ten, sich in einem Haus zu versteckenund zu ernähren. Die in unseren Woh-nungen herrschenden Temperaturensind für viele dieser Tiere ideal.Schlecht hingegen ist die geringeLuftfeuchtigkeit. So erstaunt es nicht,dass beinahe nur ausgesprocheneSpezialisten es geschafft haben, inunseren Häusern Fuss zu fassen. Siestammen hauptsächlich aus trocke-nen Gebieten der Tropen und Subtro-pen. So wird der Mensch schon einelange Zeit von diesen Tieren begleitet,die sich immer mehr an seine Lebens-weise angepasst haben.

Einleitung

Man lebte von der Hand in denMund...Während beinahe einer Million Jahrenseiner Entwicklungszeit zog derMensch sammelnd und jagend umher.Alles Essbare wurde eingesammeltoder sofort verzehrt. Man lebte vonder Hand in den Mund und hatte nochnicht gelernt, grössere Nahrungsvorrä-te zu lagern. Das Überleben einer Sip-pe war sehr stark vom momentanenNahrungsangebot abhängig. Zu jenerZeit kannten unsere Vorfahren prak-tisch noch keine Vorratsschädlinge. Siehatten vor allem mit lästigen Fliegen,mit Käfern und Motten, die ihre Felleund Häute frassen sowie mit blutsau-genden Parasiten wie Mücken, Flöhen,Läusen und Wanzen zu kämpfen.

...und wurde mehr und mehr sesshaftVor etwa 10'000 Jahren kam dann dieentscheidende Wende. Man wurdemehr und mehr sesshaft und begannin der näheren Umgebung der ent-standenen Siedlungen Felder zu be-stellen und Haustiere zu halten. Es wur-den Getreidelager angelegt. Kleintie-re, die vorher von den Wintervorrätender Nagetiere lebten fanden so plötz-lich einen reich gedeckten Tisch vor.Auch viele Tiere, die vorher nur drau-ssen gefressen und gelebt hatten,drangen in die Vorratskammern ein,um sich von den darin gelagertenNahrungsmitteln zu ernähren. DerMensch stellte ungewollt und unbe-wusst den nun plötzlich als schädlichempfundenen Tieren in seinen Behau-sungen zahlreiche Wohnräume undFrassmöglichkeiten zur Verfügung. Mitder Zeit gab es immer mehr solch neueLebensräume. Man schätzt, dass heu-te weltweit bis zu 30 % der Vorrätedurch Schädlinge zerstört werden!

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Backofen mit Schaben, Holzschnitt von 1550Fournil infesté de blattes, Gravure sur bois de 1550

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Des corps recouverts de véritablescuirassesLa presque totalité des petits animauxque l'on trouve dans nos apparte-ments appartiennent à l'ensemble desARTHROPODES (appelés aussi articu-lés), qui ont, comme leur nom l'indi-que, des membres formés de piècesarticulées. Le corps de ces animauxest composé de segments. Contraire-ment aux vertébrés, ils possèdent unsquelette externe. La surface de leurcorps est recouverte d'une solide ca-rapace qui protège les organes et lamusculature. Pour croître, les arthro-podes transpercent cette carapacerigide. Sous cette action se forme unenouvelle peau, d'abord tendre, quicroît lors de la mue et durcit progressi-vement au contact de l'air. Les ten-dres membranes synoviales qui relientles segments permettent aux animauxde se mouvoir.Les SCORPIONS, les ARACHNIDES, lesOPILIONS, les ACARIENS, les CRUSTA-CÉS, les CLOPORTES, les MYRIAPODESet les INSECTES appartiennent augroupe des arthropodes. Les insectessont la majorité des ravageurs domes-tiques.

A quoi reconnaît-on un insecte?Le corps des insectes comprend troisparties: la tête, le thorax et l'abdomen.La tête porte les yeux, les antennes etles pièces buccales. Deux paires d'ai-les et trois paires de pattes sont nor-malement insérées sur le thorax. L'ab-domen renferme les organes de re-production et de sécrétion ainsi que lamajeure partie de l'appareil digestif.Les jeunes insectes sont appelées lar-ves. Leur aspect diffère souvent for-tement des insectes adultes. Ils nepossèdent encore pas d'ailes, ou alorsdes ailes réduites. Ils sont très souventdépourvus de pattes ou en ont aucontraires davantage que les adultes,

comme par exemple les chenilles.Leurs pièces buccales, adaptées àleur mode de nutrition, diffèrent éga-lement souvent de celles des adultes.La larve du pou, par exemple, senourrit de déchets organiques qu'ellebroye avec ses mandibules tandis quele pou suce le sang de l'homme ou del'animal avec son rostre.

La prévention plutôt que l'insecticideParmi les très nombreux insectes quel'on trouve dans nos maisons, beau-coup ne s'y trouvent que par hasardet sont totalement inoffensifs. Seuls lestrès rares insectes vivant en perma-nence dans les maisons sont pourl'homme des colocataires en-combrants. Le but n'est pas d'anéantirtous ces insectes, qui jouent souventun rôle important dans la nature. Ainsidiverses espèces de DERMESTIDEStravaillent à l'élimination des nom-breux cadavres d'animaux que l'ontrouve à l'extérieur, empêchant ainsi lapropagation de maladies. Mieux vautchercher à éviter l'invasion en prenantdes mesures préventives plutôt qu'enusant de sa bombe d'insecticide. Il estconseillé de conserver ses alimentsdans des récipients hermétiques, en-treposés dans des endroits secs et frais,de les stocker pendant le moins detemps possible et de les contrôler àintervalles réguliers. La propreté de lamaison et des entrepôts est primor-diale. Si toutes ces précautions sontprises, tout risque d'invasion de para-sites est exclu. Pour ne pas être déran-gé par les insectes, il suffit de poserdes moustiquaires aux fenêtres et decolmater les interstices et les fissuresqui leur permettent d'accéder auxappartements.

Sehr oft besitzen sie keine Beine, oderaber sie haben zusätzliche Beine, wiedies z. B. bei den Raupen der Schmet-terlinge der Fall ist. Aufgrund verschie-dener Ernährungsweisen haben dieLarven auch oft andere Mundwerk-zeuge entwickelt als die erwachsenenTiere. So zerkauen die Larven der Flöhemit ihren Kiefern organische Ab-fallstoffe, während der Floh selbst mitseinem Rüssel Blut bei Mensch und Tiersaugt.

Vorbeugen ist besser als Spritzen!Viele Insekten kann man im Haus undin Lagern antreffen. Sehr häufig sinddie Tiere rein zufällig in die Gebäudegeraten und sind völlig harmlos. Nursehr wenige Insekten haben sich aufdas Leben im Haus spezialisiert undsind zu unangenehmen Mitbewohnerngeworden. Es ist sicher nicht das Zielalle diese Tiere zu vernichten, da sie imNaturhaushalt oft eine wichtige Rollespielen. So sind z. B. verschiedene Ar-ten der SPECKKÄFER Dermestidaedraussen an der Beseitigung vielerTierleichen beteiligt und verhindern sodie Ausbreitung von Krankheiten. Manmuss also unbedingt schon den Befallim Haus verhindern, denn Vorbeugenist besser als Spritzen! Durch eine kühleund trockene Lagerung der Produktein gut dichtenden Gefässen, durcheine kurze Lagerzeit und regelmässigeKontrollen und durch angemesseneSauberkeit in Wohn- und Lagerräumensollte es möglich sein, die Schäden invertretbaren Grenzen zu halten. DieMontage von Fliegengittern an denFenstern und das Abdichten von Fu-gen und Ritzen verhindern weitgehendeine Insekteninvasion in unsere Räume.

Ihre Körperoberfläche ist zu einemkräftigen Panzer erhärtetBeinahe alle Kleintiere, die man imHaus antreffen kann, gehören zumStamm der GLIEDERFÜSSER Arthropo-da. Der ganze Körper dieser Tiere ist ineinzelne Abschnitte (Segmente) ge-gliedert. Im Gegensatz zu den Wirbel-tieren besitzen sie jedoch nicht eininneres sondern ein äusseres Skelett.Ihre Körperoberfläche ist zu einemkräftigen Panzer erhärtet. Alle Organeund Muskeln befinden sich innerhalbdieser schützenden Hülle. Da der Pan-zer starr ist, müssen die Gliederfüsserdiesen sprengen um wachsen zu kön-nen. Darunter hat sich vorher eineneue und grössere, anfänglich nochweiche Haut gebildet. Während derHäutung dehnt sich diese aus underhärtet nach einer gewissen Zeit ander Luft. Weiche Gelenkhäute, die dieeinzelnen Segmente miteinander ver-binden, ermöglichen diesen Tieren sichangemessen zu bewegen.Zu den Gliederfüssern werden dieSKORPIONE, SPINNEN, WEBERKNECHTE,MILBEN, KREBSE, ASSELN, TAUSENDFÜ-SSER und INSEKTEN gezählt. Die Insek-ten sind die häufigsten Schädlinge imHaus!

Woran erkennt man ein Insekt?Der Körper der Insekten ist in die 3Abschnitte Kopf, Brust und Hinterleibgegliedert. Am Kopf befinden sich dieAugen, Fühler und Mundwerkzeuge.An der Brust entspringen normalerwei-se 2 Flügel- und 3 Beinpaare. Der Hin-terleib enthält die Fortpflanzungs- unddie Ausscheidungsorgane sowie dengrössten Teil des Verdauungssystems.Die jungen Insekten nennt man Lar-ven. Sie weichen meistens stark vomAussehen der ausgewachsenen Tiere(Imago) ab. Sie haben noch keineFlügel oder höchstens unvollständigentwickelte Stummelflügel.

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ÜBERSICHT DER ARTEN APERÇU DES ESPÈCES

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Description:Ces coléoptères noirâtres ont 7-9 mmde long. Sur la moitié antérieure desélytres, ils portent des villosités brunjaune. Leurs larves, de rougeâtres àbrun foncé, atteignent la taille de 15mm. Leur pilosité est brunâtre et ellessont pourvues de deux épines au boutde l'abdomen.

Moeurs:Ces coléoptères et leurs larves sontprincipalement nuisibles aux produitsd'origine animale: notamment le cuir,la fourrure, la salami, le lard, le poissonséché, le fromage et la laine. Ils peu-vent aussi s'attaquer à des substancesvégétales si celles-ci sont suffisammentriches en graisse. Ils se manifestentassez souvent dans les habitations oùleur nourriture se compose fréquem-ment de cadavres d'insectes et autressaletés difficiles d'accès. La femellepond quelque 150 oeufs sur les ali-ments appropriés. Pour la formationde la chrysalide, les larves creusentune niche dans des objets plus solidestels que le bois, le liège, le tabaccompressé, ou dans des ballots decoton ou de cuir. Lorsque les condi-tions sont favorables, le coléoptèresort de son oeuf après 70 jours déjà.

Dégâts:Les dommages aux produits rongéssont la conséquence de la voracitéde ces insectes. Les trous creusés parles larves causent des dégâts consi-dérables aux parquets, constructionsen bois ou autres matières.

Lutte et prévention:Entreposer les substances dommage-ables à basses températures. Sinon,recourir aux mêmes mesures que pourl'Anthrenus (cf. page 14).

Espèces parentes:D'autres espèces de Dermestides exis-tent chez nous dont le mode de vieest équivalent. Le DERMESTE DESPEAUX Dermestes maculatus est éga-lement fréquent. Ses élytres se termi-nent par des pointes acérées.Les ATTAGÈNES (Attagenus sp.) sontd'aspect analogue tout en étant gé-néralement un peu plus petits que lesDermestes. On peut rencontrer leurslarves dans les mêmes matières et ilscausent des dégâts comparables. Lescoléoptères adultes ne se nourrissentvraisemblablement que de pollen etde nectar.Pour la lutte et la prévention, cf. ci-dessus.Comme principal amateur de produitsd'origine végétale, on trouve le TRO-GODERME DES GRAINS Trogodermagranarium. De forme ovale, il mesure 3mm au maximum. Finement velu, il estde couleur brun foncé. Tandis que cecoléoptère n'ingère plus de nourriture,les larves de 5 mm de long et à fortepilosité s'attaquent à diverses céréa-les, aux produits céréaliers, aux légu-mineuses, aux cacahuètes et à lafarine de poisson. L'entreposage deces aliments à 0 °C permet d'éviter lesdégâts causés par ce coléoptère enprovenance des régions tropicales.

grosse Einbussen an den befallenenProdukten, andererseits treten auchdurch die Bohrtätigkeit der Larvenerhebliche Schäden an Parkett, Holz-bauten oder anderen Stoffen auf.

Vorbeugung und Bekämpfung:Lagerung der gefährdeten Stoffe beiniedrigen Temperaturen. Ansonstenkönnen die gleichen Massnahmen wiebei Anthrenus angewendet werden(siehe Seite 14).

Verwandte Arten:Mit gleichartiger Lebensweise kommennoch verschiedene andere Speck-käfer-Arten bei uns vor. Ebenfalls häu-fig ist der DORNSPECKKÄFER Dermestesmaculatus, dessen Enden der Flügel-decken in scharfe Spitzen auslaufen.Die ähnlich aussehenden PELZKÄFER(Attagenus sp.) sind in der Regel etwaskleiner als die eigentlichen Speckkäfer.Ihre Larven können an den selbenStoffen angetroffen werden und ver-gleichbare Schäden verursachen. Dieerwachsenen Käfer ernähren sichwahrscheinlich nur von Pollen undNektar. Vorbeugung und Bekämpfungsiehe weiter oben.Hauptsächlich an Produkten pflanzli-chen Ursprungs findet man den ova-len, bis 3 mm grossen, dunkelbraunenund fein behaarten KHAPRAKÄFERTrogoderma granarium. Während derKäfer keine Nahrung mehr aufnimmt,befallen seine 5 mm grossen, starkbehaarten Larven verschiedene Ge-treide, Getreideprodukte, Hülsenfrüch-te, Erdnüsse und Fischmehl. Durch dasLagern der Stoffe um 0 °C kann einBefall durch den aus tropischen Re-gionen stammenden Käfer verhindertwerden.

Dermestes lardariusGEMEINER SPECKKÄFERDERMESTE DU LARD

Coleoptera, DermestidaeKäfer, SpeckkäferColéoptères, Dermestides

Aussehen:Die schwarzen Käfer sind 7-9 mm lang.Auf der Vorderhälfte der Flügeldeckensind sie gelbbraun behaart. Ihre Larvenwerden 15 mm gross, sind rötlich- bisdunkelbraun, mit bräunlicher Behaa-rung und tragen am Hinterende zweiDorne.

Lebensweise:Käfer und Larven sind Schädlinge aufhauptsächlich tierischen Produktenwie Leder, Pelze, Salami, Speck etc.,Trockenfisch, Käse, Wolltextilien unddergleichen. Sie können auch pflanz-liche Stoffe befallen, sofern diese ge-nügend fetthaltig sind. Im Haushalttreten die Tiere relativ häufig auf, wo-bei ihre Nahrung oft aus toten Insektenund anderem, unzugänglichemSchmutz besteht. Das Weibchen legtetwa 150 Eier direkt an geeigneteNährstoffe. Zur Verpuppung bohrensich die Larven in festere Gegenstän-de wie Holz, Kork, gepressten Tabak,Baumwoll- oder Lederballen ein. Beigünstigen Verhältnissen entwickelt sichder Käfer schon in 70 Tagen aus demEi.

Schaden:Einerseits entstehen durch den Frass

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Description:La longueur de ces coléoptères est de 3-4 mm et leur forme est ovale. Leur corpsest pourvu de dessins de couleurs diffé-rentes, se caractérisant par des groupesde motifs. Les larves ont 5 mm au maxi-mum. Elles sont fortement velues avec,partiellement, des touffes de poils.

Moeurs:On rencontre ces coléoptères et leurslarves aussi bien dans les maisons qu'enplein air (nids d'oiseaux, cadavres d'ani-maux, etc.). Alors que les adultes se nour-rissent de pollen et de nectar, les larvesdévorent principalement des produitsasséchés d'origine animale. La laine (vê-tements, tapis, rideaux et meubles rem-bourrés), les fourrures, le cuir, les plumes(duvets), les insectes et d'autres cadavresd'animaux (collections zoologiques) ainsique les os sont leur nourriture préférée.Pour pondre ses oeufs, la femelle vole enpassant du plein air dans une habitation.Le développement total d'un oeuf, aprèsavoir traversé plusieurs stades larvaires(jusqu'à 12 selon les conditions environ-nantes), ainsi que la métamorphose de lachrysalide en coléoptère dure quelque 4mois à la température d'une chambre. Siles conditions sont mauvaises, le déve-loppement peut alors se prolonger à

raison d'un an au maximum.

Dégâts:La plupart des trous imputées à la MITEDES VÊTEMENTS Tineola bisselliella (cf.page 32) sont causés par les larves desAnthrènes. Au cours de leur développe-ment, elles manifestent une voracitétypique se traduisant par des trous ou desrasages. Les chenilles des Mites viventdans une trompe qu'elles ont elles-mêmes tramée d'où elles se nourrissent,de sorte qu'elles ont toujours à leur dispo-sition des fils bâtis sur le morceau auquelelles s'attaquent. Les larves de ces co-léoptères causent aussi des dégâts dansles collections d'insectes insuffisammentprotégées. Ainsi de grandes collectionspeuvent-elles être détruites en peu detemps.

Lutte et prévention:Les articles en laine et en fourrure net-toyés doivent être conservés dans dessacs de plastique fermant bien. L'adjonc-tion de morceaux de bois de cèdre per-met de repousser les éventuels envahis-seurs. Il faudrait régulièrement passerl'aspirateur sur les tapis, voire les battre. Ilconvient d'enlever la poussière derrièreles meubles et dans les fentes. Il faudraitcontrôler périodiquement les collectionsd'insectes et les mettre à l'abri dans desrécipients étanches.Les petits textiles attaqués peuvent êtresurgelés pendant au moins 2 heures à -26°C, permettant ainsi de mettre fin à tousles stades de développement. Manteauxet tapis peuvent être brossés et aspirés àfond et on veillera à détruire ensuite lesac à poussière. Il faut malheureusementsouvent traiter les objets plus grands avecdes toxiques.

Espèces existant fréquemment:ANTHRÈNE DES TAPIS Anthrenus scrophu-lariae, ANTHRÈNE DES MUSÉES Anthrenusmuseorum et Anthrenus verbasci.

Schaden:Die meisten der KLEIDERMOTTE Tineolabisselliella (siehe Seite 32) zugeschrie-benen Löcher stammen von den Lar-ven der Kabinettkäfer. Sie führenwährend ihrer Entwicklung einen typi-schen Loch- oder Rasurfrass durch. DieRaupen der Motten leben in einerselbstgesponnenen Röhre von wo aussie sich ernähren, so dass bei Motten-frass immer gesponnene Fäden aufdem befallenen Stück vorhanden sind.Sehr oft verursachen die Käferlarvenauch Schäden in ungenügend ge-schützten Insektensammlungen. Inkürzester Zeit können so ganze Samm-lungen zerstört werden.

Vorbeugung und Bekämpfung:Die gereinigten Woll- und Pelzsachenmüssen in gut verschliessbaren Plastik-säcken aufbewahrt werden. Zusätzlichbeigelegte Zedernholzstücke vertrei-ben mögliche Eindringlinge. Teppichesollte man regelmässig saugen odersogar klopfen. Staub hinter Möbelnund in Ritzen muss man entfernen.Insektensammlungen sollten peri-odisch kontrolliert und in dicht ab-schliessenden Behältern aufbewahrtwerden.Befallene kleinere Textilien könnenwährend mindestens 4 Stunden auf -26°C tiefgekühlt werden, wodurch alleEntwicklungsstadien abgetötet wer-den. Mäntel und Teppiche könnengründlich gesaugt und gebürstet wer-den. Der Staubsack wird danach ver-nichtet. Grössere Gegenstände mussman leider oft mit Gift behandeln.

Häufig vorkommende Arten:TEPPICHKÄFER A. scrophulariae, MUSE-UMSKÄFER A. museorum und WOLL-KRAUTBLÜTENKÄFER A. verbasci.

Anthrenus sp.KABINETT-, TEPPICH- oderBLÜTENKÄFERANTHRÈNES

Coleoptera, DermestidaeKäfer, SpeckkäferColéoptères, Dermestides

Aussehen:Die Käfer sind 3-4 mm lang und vonovaler Gestalt. Ihr Körper ist mit ver-schiedenfarbigen, zu charakteristi-schen Mustern gruppierten Schuppenbesetzt. Die Larven werden bis 5 mmlang. Sie sind stark behaart, mit teilwei-se in Büscheln angeordneten Haaren.

Lebensweise:Die Käfer und ihre Larven können so-wohl im Haus wie auch im Freien (Vo-gelnester, Tierkadaver etc.) angetrof-fen werden. Während sich die er-wachsenen Käfer von Pollen und Nek-tar ernähren, fressen die Larven haupt-sächlich an trockenen Produkten tieri-scher Herkunft. Wolle (Kleider, Teppi-che, Vorhänge und Polstermöbel),Pelze, Leder, Federn (Bettdecken),Insekten und andere tote Tiere (zoolo-gische Sammlungen) sowie Knochensind ihre bevorzugte Nahrung. DasWeibchen fliegt zur Ablage seiner Eiervom Freien ins Haus. Die Gesamtent-wicklung vom Ei über mehrere Larven-stadien (je nach Umweltbedingungenbis zu 12) und Puppe zum Käfer dauertbei Zimmertemperatur rund 4 Monate.Bei schlechten Bedingungen kann sichdie Entwicklung aber bis zu einem Jahrausdehnen.

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Description:Comme toutes les espèces de cegenre, ce coléoptère, d'une taille de1,5-2,2 mm et de teinte brun rouge, aun corps plat et une large tête exac-tement adaptée à son pronotum (cor-selet). Une mince ligne borde le côtéde la tête et du pronotum. Les élytressont pourvues de nervures longitudi-nales et le pronotum n'est guère pluslarge que long. Les Cucujides rouxadultes sont d'assez bons insectesaériens.

Moeurs:Ce coléoptère est cosmopolite mais aune prédisposition pour les terres auclimat humide et à étés courts. Il vit decéréales de tous types ainsi que deproduits céréaliers. L'éclosion est suiviede près par la copulation et la pon-daison des oeufs a lieu quelques joursplus tard. Les oeufs sont disposés dansd'étroites fissures au grand dam desgrains de céréales! En général, leslarves commencent par dévorer lesgermes. Puis, elles restent dans leurgîte jusqu'à la formation de la chrysa-lide, laquelle a lieu dans un cocon. Ledéveloppement total dure 12 semai-nes au maximum, mais peut se réduireà quelque 3 semaines seule-

ment lorsque les conditions sont opti-males. L'adulte résiste très bien auxbasses températures. Il en est demême pour les larves à tous les stades.Ce coléoptère craint la lumière etseuls des parties de la population glo-bale peuvent être repérés à la surfacedes stocks.

Dégâts:Cette espèce ravage principalementles céréales entreposées. Les larves et,dans une mesure beaucoup plus forte,les adultes se nourrissent des grains decéréales, dont les enveloppes sontdéjà endommagées. Toutefois, lesgermes ont la préférence. Il est géné-ralement difficile d'évaluer les dom-mages, seul le 0,3 % environ des co-léoptères présent étant visible dans lescéréales humides et, dans les grainssecs, ces insectes ne se déplacentguère.

Lutte et prévention:A l'instar du CHARANÇON DU BLÉ Sito-philus granarius (cf. page 30), il fau-drait dans ce cas aussi veiller à ce quel'entreposage du fourrage et de lanourriture soit aussi court que possibleet procéder à des contrôles réguliers.

Espèces parentes:CUCUJIDE PLAT Cryptolestes pusillus: 1-1,8 mm de long, pronotum nettementplus large que long. Cette espèce estsensible au froid et a besoin de beau-coup d'humidité.SILVAIN DENTÉ DES GRAINS Oryzae-philus surinamensis: longueur maximalede 3,2 mm, plat, brun gris, pronotumallongé, 6 dentelures de chaque côté,élytres à nervures longitudinales. Il est,après les CHARANÇONS (Sitophilus sp.)l'insecte importé nuisible aux céréalesle plus fréquent. S'adapte très facile-ment.

derstandsfähig. Auch die verschie-denen Larvenstadien sind sehr kälte-tolerant. Da der Käfer lichtscheu ist,kann an der Oberfläche der Vorrätenur ein Bruchteil der Gesamtpopulati-on ausgemacht werden.

Schaden:Diese Art befällt vor allem Getreidela-ger. Die Larven und in viel stärkeremMasse die erwachsenen Tiere fressenan Getreidekörnern, wobei bei diesenmindestens die Kornhüllen Beschädi-gungen aufweisen müssen. Bevorzugtwird der Keimling gefressen. Ein Befallist im allgemeinen schwer festzustellen,weil in feuchtem Getreide nur ca. 0,3% der vorhandenen Käfer sichtbar sindund in trockenem die Tiere kaumwandern.

Vorbeugung und Bekämpfung:Wie beim KORNKÄFER Sitophilus gra-narius (siehe Seite 30) sollte auch hierdarauf geachtet werden, dass Nah-rungs- und Futtermittel möglichst kurzgelagert und in regelmässigen Ab-ständen kontrolliert werden.

Verwandte Arten:KLEINER LEISTENKOPFPLATTKÄFER Cryp-tolestes pusillus: 1-1,8 mm gross, Hals-schild deutlich breiter als lang. Die Artist kälteempfindlich und hat einenhohen Feuchtigkeitsbedarf.GETREIDEPLATTKÄFER Oryzaephilussurinamensis: Maximal 3,2 mm gross,flach, graubraun, langgestreckterHalsschild, mit je 6 Zähnchen an denSeitenrändern. Flügeldecken mitLängsrippen. Nach den KORNKÄFER-Arten (Sitophilus sp.) der häufigste,importierte Getreideschädling. Sehranpassungsfähig.

Cryptolestes ferrugineusROTBRAUNER LEISTENKOPFPLATTKÄFERCUCUJIDE ROUX

Coleoptera, CucujidaeKäfer, PlattkäferColéoptères, Cucujides

Aussehen:Wie alle Arten dieser Gattung besitztder rotbraune, 1,5-2,2 mm grosse Käfereinen flachen Körper und einen brei-ten, dem Halsschild exakt angepass-ten Kopf. Am Seitenrand des Kopfesund des Halsschildes befindet sich einefeine Linie. Die Flügeldecken sind mitfeinen Längsrippen versehen und derHalsschild ist kaum breiter als lang. Dieerwachsenen Tiere sind relativ guteFlieger.

Lebensweise:Der Käfer ist kosmopolitisch verbreitetund charakteristisch für Gebiete mitfeuchtem Klima und kurzen Sommern.Er lebt von Getreide aller Art sowie vonGetreideprodukten. Kurz nach demSchlüpfen erfolgt die Kopulation undeinige Tage später die Eiablage. DieEier werden in schmale Spalten, bzw.in Beschädigungen von Getreidekör-nern gelegt. Die Larven beginnenmeist ihren Frass an den Keimlingenund bleiben dann bis zur Verpuppung,welche in einem Kokon stattfindet, inder Frasshöhle. Die Gesamtentwick-lung dauert bis zu 12 Wochen, beioptimalen Bedingungen nur rund 3Wochen. Gegen tiefe Temperaturenist der ausgewachsene Käfer sehr wi-

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Description:Ces étroits coléoptères de 2-7 mm delong ont la forme de bâtonnets. Deteinte brune, la tête et le pronotumsont noirs. Le pronotum est plus large àl'avant qu'à l'arrière. Les élytres sontparcourues de plusieurs rangées depoints.

Mode de vie:Ces insectes tropicaux, amateurs de lachaleur, arrivent sous nos latitudes avecle bois d'importation à feuilles cadu-ques brut ou traité. Les larves d'un cer-tain âge et les chrysalides peuventpasser l'hiver en plein air. Pendant leprintemps et l'été, surtout en mai et enjuin, ces coléoptères volent la nuit etcherchent, pour y pondre leurs oeufs,divers arbres à feuilles caduques, telsque le chêne, le frêne, l'orme, le noise-tier et le marronnier ou le châtaignier.La femelle examine la teneur nutritived'un bois en mangeant un petit bout.Le bois, pour se prêter à un bon déve-loppement, doit se composer d'uneteneur élevée en sucre et en amidonainsi que de protéines en suffisance.Les oeufs sont disposés à l'aide de latarière (oviscapte) dans les trachées oudans des fentes et fissures convenables.Les larves écloses dévorent générale-

ment le bois dans le sens des fibres. Leuravancée se fait sous la surface et estsolidement obstruée par la farine deforet. Les particules de fèces ne sontpas visibles. Après la formation de lachrysalide, les coléoptères fraîchementéclos se nourrissent en traversant le boisvers l'extérieur pour finir par s'envoler. Ilsubsiste de leur envol des trous légère-ment reconnaissables de 0,8-1,5 mm,dont un peu de farine de forets'échappe. Dans la plupart des cas, cen'est qu'à ce moment-là qu'on en dé-couvre les dégâts.

Dégâts:Ces coléoptères détruisent l'aubierd'arbres à feuilles caduques indigèneset les variétés d'arbres introduites de-puis les Tropiques. Le bois ravagé estparsemé de sillons et rempli de farinede foret. Les trous dû à l'envol faits dansle bois apparaissent à l'éclosion.

Lutte et prévention:Le bois trop sec ou entreposé plusieursannées n'est plus attaqué car les larvesne peuvent plus s'y développer. L'élimi-nation régulière des déchets de bois, lasuppression de l'amidon par le biais dela vapeur et le traitement de surface(empêchant la pondaison des oeufs)constituent une protection du boispréventive.Comme méthodes de lutte, le chauf-fage du bois et son passage au gazainsi que des solutions liquides pour laprotection du bois peuvent être mis enoeuvre.

Espèces parentes:Auparavant, l'espèce indigène la plusfréquente s'attaquant au bois dechêne (aux parquets en chêne parexemple) était le Lyctus linearis. L'arri-vée accrue du Lycte brun tropical L.brunneus a fait fortement reculé le L.linearis.

unterhalb der Oberfläche und ist festmit Bohrmehl verstopft. Kotpartikel sindnicht sichtbar. Nach der Verpuppungfressen sich die frisch geschlüpftenKäfer nach aussen durch und fliegenweg. Beim Ausfliegen bleiben dieleicht erkennbaren 0,8-1,5 mm grossenFluglöcher zurück, aus denen etwasBohrmehl herausfällt. Meist wird derBefall erst jetzt entdeckt.

Schaden:Die Käfer zerstören das Splintholz ein-heimischer und aus den Tropen ein-geführter Laubholz-Arten. Das befalle-ne Holz ist mit Frassgängen durchzo-gen und fest mit Bohrmehl ausgefüllt.Beim Schlüpfen entstehen die charak-teristischen Fluglöcher im Holz.

Vorbeugung und Bekämpfung:Zu trockenes oder einige Jahre gela-gertes Holz wird nicht mehr befallen,weil sich die Larven darin nicht mehrentwickeln können. Die regelmässigeBeseitigung von Abfallholz, das Entfer-nen der Stärke durch Dämpfen desHolzes und die Oberflächenbehand-lung (verhindert die Eiablage) erge-ben einen vorbeugenden Holzschutz.Erhitzen und Begasen des Holzes undflüssige Holzschutzmittel können alsübliche Bekämpfungsmethoden ein-gesetzt werden.

Verwandte Arten:Früher war der einheimische PARKETT-KÄFER Lyctus linearis unsere häufigsteArt, die besonders in Eichenholz, z.B.Eichenparkett anzutreffen war. Durchdas vermehrte Einschleppen des tropi-schen Braunen Splintholzkäfers L. brun-neus wurde der Parkettkäfer stark zu-rückgedrängt.

Lyctus brunneusBRAUNER SPLINTHOLZKÄFERLYCTE BRUN

Coleoptera, LyctidaeKäfer, SplintholzkäferColéoptères, Lyctides

Aussehen:Die dünnen und stäbchenförmigen, 2-7 mm langen Käfer sind braun gefärbt,mit schwarzem Kopf und Halsschild.Der Halsschild ist vorne breiter als hin-ten. Auf den Flügeldecken sind meh-rere längslaufende Punktreihen zusehen.

Lebensweise:Die tropischen, wärmeliebenden Käfergelangen mit importierten verarbeite-ten oder unverarbeiteten Laubhölzernin unsere Breiten. Ältere Larven undPuppen können den Winter im Freilandüberleben. Im Frühling und Sommer,besonders im Mai und Juni, fliegen dieKäfer während der Nacht und suchenverschiedene Laubhölzer wie Eiche,Esche, Ulme, Nussbaum und Kastaniezur Eiablage auf. Durch einen Probe-frass untersucht das Weibchen denNährstoffgehalt des Holzes. Um für dieEntwicklung geeignet zu sein, muss dasHolz einen hohen Stärke- und Zucker-gehalt, sowie ausreichend Eiweissebesitzen. Die Eier werden mit Hilfe desLegebohrers in Gefässe (Tracheen)oder in geeignete Spalten und Ritzengelegt. Die geschlüpften Larven trei-ben ihre Frassgänge meist in Faserrich-tung vor. Der Gang verläuft immer

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Description:Ce coléoptère d'un brun rouge a 2,5-3mm de long. Sa tête est recouverte dupronotum qui a la forme d'un capu-chon. Les antennes se terminant parune massue épaissie sont aisémentreconnaissables, tout comme les ély-tres rayées longitudinalement depoints. Ce sont de bons insectes aé-riens, ce qui favorise leur propagation.

Moeurs:Le Capucin des grains est vraisembla-blement originaire d'Inde, d'Indochineet du Sud de la Chine. C'est par lecommerce qu'il est arrivé dans lesrégions tempérées. Sa nourriture secompose principalement de céréales.Toutefois, il dévore aussi le bois, lesracines et les semences. Les oeufs,dont le nombre peut fortement varierselon les femelles, sont pondus enpetits tas dans des fentes ou librement.La larve éclose se nourrit d'abord de lafarine de foret des adultes. Après 2semaines environ, elle creuse elle-même pour trouver ses aliments. Ledéveloppement total dure quelque 40jours. Le Capucin des grains vit uneannée au maximum. Il ne peut survivreà l'hiver s'il ne se trouve pas dans desentrepôts.

Dégâts:Les larves s'attaquant très tôt aux grainsde céréales, il est difficile d'en décelerles dégâts avant le stade adulte. Unegrande partie du grain est uniquementmâchée sans être mangée: les dégâtsaux céréales en sont par conséquentplus considérables. Ces dernières an-nées, l'importance de ces coléoptères agagné en force. Dans les céréales ra-massées à la moissonneuse-batteuse, latempérature de stockage reste élevéeplus longtemps, satisfaisant ainsi mieuxaux besoins du Capucin des grains.

Lutte et prévention:Comme pour le CHARANÇON DU BLÉSitophilus granarius (cf. page 30).

Espèces parentes:Le Dinoderus minutus: ce coléoptère estde forme cylindrique, foncé à brunrouge et a 2,4-3,8 mm de long. Il res-semble au Capucin des grains, maispossède deux fosses à la base du pro-notum. Il se glisse dans les entailles oudans les noeuds plus tendres des bam-bous. Ainsi se forme-t-il des galeries dansles veines du bois riches en amidon etc'est là qu'ont lieu l'accouplement et lapondaison des oeufs. Le Dinoderus mi-nutus est souvent importé avec le bam-bou, mais il vit aussi dans les céréales, lacanne à sucre, le bois et quantité d'au-tres matériaux organiques.Le CAPUCIN Bostrychus capucinus: l'in-secte indigène a 6-15 mm de long. Sesélytres sont noires ou rouges et son corpsnoir. Il s'attaque au bois d'arbres à feuil-les caduques, tels que le noisetier, lechêne et le marronnier ou le châtai-gnier. Toutefois ses larves ne causent desdégâts qu'à l'aubier. Au début, lesdommages passent fréquemment ina-perçus car la farine de foret compresséereste dans les galeries creusées.

Getreidekorn einbohren, kann manden Befall vor dem Schlüpfen der Kä-fer nur schwer erkennen. Ein grosserTeil des Kornes wird nur zerkaut undnicht gefressen. Dadurch ist der Scha-den am Getreide wesentlich höher. Inden letzten Jahren hat die Bedeutungdieses Käfers zugenommen. In demmit dem Mähdrescher gewonnenenGetreide bleibt die Lagertemperaturlänger erhöht, was dem Bedürfnis desKäfers entgegenkommt.

Vorbeugung und Bekämpfung:Wie beim KORNKÄFER Sitophilus gra-narius (siehe Seite 30).

Verwandte Arten:BAMBUSBOHRER Dinoderus minutus:Der Käfer ist walzenförmig, dunkel- bisrotbraun und wird 2,4-3,8 mm gross. Ergleicht dem Getreidekapuziner, besitztaber an der Basis des Halsschildes zweiflache Gruben. Er bohrt sich anSchnittstellen oder an den weicherenKnoten des Stengels in den Bambusein. Anschliessend werden in den stär-kereichen, inneren Schichten Galerienangelegt, wo Paarung und Eiablageerfolgen. Er wird oft mit Bambus einge-schleppt, lebt aber auch in Getreide,Zuckerrohr, Holz und vielen anderenorganischen Materialien.KAPUZINERKÄFER Bostrychus ca-pucinus: Der einheimische Käfer wird6-15 mm lang. Seine Flügeldecken sindschwarz oder rot, sein Körper istschwarz. Er befällt Laubholz wie Nuss-baum, Eiche und Kastanie, wobei nurseine Larven die Schäden im Splintholzverursachen. Auch ein Befall durchdiesen Käfer wird anfänglich häufigübersehen, da das Bohrmehl festge-presst in den Frassgängen verbleibt.

Rhizopertha dominicaGETREIDEKAPUZINERCAPUCIN DES GRAINS

Coleoptera, BostrychidaeKäfer, BohrkäferColéoptères, Bostryches

Aussehen:Der rotbraune Käfer ist 2,5-3 mm lang.Sein Kopf wird vom kapuzenförmigenHalsschild überdeckt. Gut erkennbarsind die keulenartigen Fühler und diepunktiert längsgestreiften Flügeldek-ken. Die Käfer sind gute Flieger, wasihre Ausbreitung begünstigt.

Lebensweise:Der Getreidekapuziner ist wahrschein-lich in Indien, Indochina und Südchinabeheimatet und wurde durch denHandel auch in die gemässigten Zo-nen eingeschleppt. Seine Nahrungbesteht hauptsächlich aus Getreide. Erfrisst aber auch in Holz, Wurzeln undSamen. Die Eier, deren Anzahl proWeibchen stark variieren kann, wer-den meist als kleine Pakete in Spaltenoder frei abgelegt. Nachdem die Lar-ve ausgeschlüpft ist, ernährt sie sichzunächst vom Bohrmehl der erwach-senen Käfer und bohrt sich nach rund2 Wochen in die Nahrung ein. DieGesamtentwicklung dauert etwa 40Tage. Der Käfer wird maximal ein Jahralt. Ausserhalb von Lagergebäudenkönnen die Tiere nicht überwintern.

Schaden:Da sich die Larven schon früh in das

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Description:La Vrillette du pain a 1,2-4 mm delong. Ovale et allongée, elle est decouleur brun rouge à jaune rouge. Lesélytres sont rayées longitudinalementde points et portent de fines villositésjaunâtres. A l'instar de toutes les Vrillet-tes, sa tête n'est pas visible, dissimuléequ'elle est sous le pronotum qui formeune voûte régulière. Elle vole très bien.

Moeurs:La Vrillette du pain provient certaine-ment des régions assez chaudes. Ellese nourrit de nombreux produits végé-taux et animaux, tels que les articlesde boulangerie et à base de choco-lat, le poisson séché et les herbes sè-ches par exemple. Quelques joursaprès l'accouplement, la femellepond jusqu'à 110 oeufs dont les larvessortent 6-25 jours plus tard. Ces der-nières sont très mobiles et se frayentdes passages dans la nourriture quileur convient. La durée du dévelop-pement total dépend largement de lanourriture et se monte de 40-200 joursselon les conditions qui prédominent.La Vrillette éclose reste quelques joursencore dans les trous qu'elle a creusésavant de sortir. Elle vit également enplein air et peut aussi passer

l'hiver dehors, supportant de bassestempératures à moyen terme.

Dégâts:Les dommages aux aliments peuventapparaître aussi bien dans les habita-tions que dans les entrepôts et chez lescommerçants. Les traces du passagedes Vrillettes et les excréments portentpréjudice à l'aspect et à la qualité desproduits attaqués. La Vrillette peut sedévelopper dans ou sur des parties deplantes contenant des toxiques. C'estpourquoi elle cause très souvent desdégâts considérables aux herbes ettisanes des pharmacies et des dro-gueries.

Lutte et prévention:Les denrées alimentaires doivent êtreemballées dans des récipients se fer-mant bien ou dans des sachets deplastique épais. A l'achat de produitsde boulangerie de longue durée et detisanes, il faudrait contrôler si aucundégât n'y est fait et les conserver aussipeu longtemps que possible.

Espèces parentes:La VRILLETTE COMMUNE Anobiumpunctatum: de 3-6 mm de long etbrune. Elle se nourrit de préférence debois jeune et travaillé d'arbres à feuil-les caduques et de conifères (meu-bles, objets d'art, charpentes, etc.). Salarve, le VER DE BOIS bien connu, nedévore que l'aubier où elle met 2-3ans pour se développer en Vrillette.Les galeries faites par les larves de-meurent ainsi que les trous d'envol enforme de cercles.Le LASIODERME DU TABAC Lasiodermaserricorne: mâles (2,7 mm) plus petitsque les femelles (3,5 mm). Surface ducorps velue et ponctuée irrégulière-ment de petits points. Moeurs et nuisi-bilité très comparables à celles de laVrillette du pain.

draussen überwintern kann, toleriert ertiefere Temperaturen über längereZeit.

Schaden:Schäden an Lebensmitteln könnensowohl in Haushalten wie auch imHandel und in Grosslagern auftreten.Dabei beeinträchtigen Frassspurenund Exkremente das Aussehen und dieQualität der befallenen Produkte. DerKäfer kann sich in oder an Pflanzen-teilen, die giftige Stoffe enthalten,entwickeln. Deshalb richtet er sehr oftwirtschaftlich bedeutende Schädenan Kräutern und Tees in Apothekenund Drogerien an.

Vorbeugung und Bekämpfung:Die Lebensmittel müssen in gut schlie-ssenden Behältern oder starkwandi-gen Plastikbeuteln verpackt werden.Beim Einkaufen von Dauerbackwarenund Kräutern sollten die Produkte aufeinen Befall kontrolliert und anschlie-ssend möglichst kurz gelagert werden.

Verwandte Arten:GEWÖHNLICHER NAGEKÄFER Anobiumpunctatum: 3-6 mm lang und braun. Erernährt sich mit Vorliebe von jünge-rem, verarbeitetem Laub- und Nadel-holz (Möbel, Kunstgegenstände,Dachbalken etc.). Seine Larve, derbekannte HOLZWURM, frisst nur imSplintholz, wo sie sich in 2-3 Jahren zumKäfer entwickelt. Zurück bleiben dieFrassgänge der Larven und die kreis-runden Ausfluglöcher der Käfer.KLEINER TABAKKÄFER Lasioderma serri-corne: Männchen (2,7 mm) kleiner alsWeibchen (3,5 mm). Körperoberflächeunregelmässig fein punktiert und be-haart. In Lebensweise und Schädlich-keit dem Brotkäfer sehr ähnlich.

Stegobium paniceumBROTKÄFERVRILLETTE DU PAIN

Coleoptera, AnobiidaeKäfer, Poch- oder NagekäferColéoptères, Vrillettes

Aussehen:Der Brotkäfer ist 1,2-4 mm lang, rot-braun bis rotgelb gefärbt und vonlangovaler Gestalt. Die Flügeldeckenhaben punktierte Längsstreifen undsind fein gelblich behaart. Der Kopf istwie bei allen Pochkäfern unter demgleichmässig gewölbten Halsschildverborgen und daher von oben nichtsichtbar. Die Tiere sind sehr gute Flie-ger.

Lebensweise:Der Brotkäfer stammt sicher aus wär-meren Regionen. Viele pflanzliche undtierische Produkte wie z. B. Backwaren,Schokoladeerzeugnisse, Trockenfischund getrocknete Kräuter dienen ihmals Nahrung. Einige Tage nach derPaarung legen die Weibchen bis zu110 Eier, aus welchen nach 6-25 Tagendie Larven ausschlüpfen. Diese sindsehr beweglich und bohren sich in dieihnen zusagende Nahrung ein. DieLänge der Gesamtentwicklung wirddurch die Nahrung stark beeinflusstund beträgt je nach den herrschen-den Bedingungen 40-200 Tage. Derausgeschlüpfte Käfer bleibt noch einpaar Tage in der Frasshöhle und beisstsich dann nach aussen durch. Da erauch im Freien vorkommt und auch

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Description:D'un brun rouge brillant, le Ptine sphé-rique mesure 2-3 mm. Avec sa formesphérique et ses élytres presque sanspoils et soudées, il ressemble à unegoutte de sang. Il ne peut pas voler.

Moeurs:Le Ptine sphérique s'est répandu avecles hommes dans le monde entier. Il vitvolontiers dans les bâtiments possé-dant des endroits sombres et humides.Il s'y déplace avant tout la nuit, cau-sant par sa voracité des dégâts auxmatériaux organiques tels que céréa-les, textiles, plumes d'oiseaux, épices,thé, foin, peaux notamment. Dans sesexcursions, il tombe fréquemmentdans des plats, des seaux et des go-belets dont il ne peut plus s'extirper. Lafemelle pond un à un quelque 200oeufs dans la nourriture. Les larveséclosent 8 jours plus tard. Elles se nour-rissent et croissent ensuite pendant 35-40 jours. Puis les chrysalides se formentet le Ptine sphérique apparaît 18 joursplus tard.

Dégâts:Bien qu'il soit un hôte fréquent de nosmaisons, il ne cause que peu dedommages. Si les Ptines prolifèrent

massivement et envahissent une mai-son entière, ils peuvent être toutefoistrès embarrassants.

Lutte et prévention:En cas d'apparition massive, on nepeut lutter contre les Ptines que sur lelieu de leur développement. Les foyersse trouvent souvent dans les isolationsorganiques des parois et des sols etparfois aussi dans les emballages ou-bliés de thé ou d'autres denrées. Lasuppression de l'isolation va de pairavec des modifications architec-toniques.Cribler plusieurs fois les denrées rava-gées ou les chauffer à 60 °C pendantune heure.

Espèces parentes:L'aspect extérieur du Ptinus fur (4,3 mmde long) diffère nettement selon qu'ilest mâle ou femelle (dimorphismesexuel): le mâle est apte au vol, est decouleur brun rouge et possède deuxélytres parallèles. La femelle est plussombre et ovale. Elle ne peut pas vo-ler. Le Ptinus fur se développe dans lesprovisions de toutes sortes, en particu-lier dans les fines herbes et les épices.Les larves et les adultes peuvent per-cer les emballages et causer degrands dommages en cas de propa-gation massive. Lutte: cf. ci-dessus.Le PTINE DORÉ Niptus hololeucus, longde 2,6-4,6 mm, brun et pourvu de villo-sités jaune or est un autre représentantde cette famille. Tandis que ses larvesvivent en se terrant dans des substan-ces de déchet d'origine végétale, lesPtines se déplacent souvent en massesdans les appartements. Le Ptine dorédétruit considérablement des maté-riaux comme les textiles, le cuir, lepapier et les emballages. Lutte: cf. ci-dessus.

Auftreten im nahezu ganzen Gebäudesehr lästig sein.

Vorbeugung und Bekämpfung:Bei einem Massenauftreten kann mandie Käfer nur am Entwicklungsort wirk-sam bekämpfen. Die Brutstätten sindhäufig in organischen Isolationen inWänden und Böden, aber manchmalauch in einer vergessenen PackungTee oder ähnlichen Vorräten zu finden.Die Beseitigung der Isolationen ist mitbaulichen Veränderungen verbunden.Befallene Lebensmittel wiederholtdurchsieben oder während einerStunde auf 60 °C erhitzen.

Verwandte Arten:Männchen und Weibchen des 2-4,3mm grossen KRÄUTERDIEBES Ptinus furunterscheiden sich deutlich in ihreräusseren Erscheinung (Geschlechtsdi-morphismus): Das flugfähige Männ-chen ist braunrot und hat paralleleFlügeldecken. Das dunklere Weibchenist oval und kann nicht fliegen. DerKäfer entwickelt sich in Vorräten allerArt, besonders aber in Kräutern undGewürzen. Larven und Käfer könnenVerpackungen durchbohren und beieiner Massenvermehrung grossenSchaden anrichten. Bekämpfung sieheoben.Der braune, goldgelb behaarte 2,6-4,6mm grosse MESSINGKÄFER Niptus holo-leucus ist ein weiterer Vertreter dieserFamilie. Während seine Larven im Ver-borgenen an pflanzlichen Abfallstof-fen leben, wandern die Käfer oft mas-senhaft in Wohnungen umher. Er ist einwichtiger Zerstörer von Materialien wieTextilien, Leder, Papier und Verpak-kungen aller Art. Bekämpfung sieheoben.

Gibbium psylloidesKUGEL- oder BUCKELKÄFERPTINE SPHÉRIQUE

Coleoptera, PtinidaeKäfer, DiebkäferColéoptères, Ptinides

Aussehen:Der Kugelkäfer ist 2-3 mm gross undglänzend braunrot. Seine kugeligeForm mit den fast haarlosen, verwach-senen Flügeldecken erinnert an einenBlutstropfen. Er kann nicht fliegen.

Lebensweise:Der Kugelkäfer hat sich mit dem Men-schen über die ganze Welt verbreitet.Er lebt gerne in Gebäuden mit dunk-len, feuchten Stellen. Hier wandert ervor allem nachts umher, wobei erdurch Frass an organischen Materiali-en wie Getreide, Textilien, Vogelfe-dern, Gewürze, Tee, Heu, Tiermehle,Felle usw. Schaden anrichtet. Häufigfällt der Käfer bei seinen Streifzügen inSchüsseln, Eimer und Becken, aus de-nen er nicht mehr herausklettern kann.Das Weibchen legt etwa 200 Eier ein-zeln in die Nahrung ab. Nach 8 Tagenschlüpfen die Larven. Sie fressen undwachsen dann während 35-40 Tagen.Darauf verpuppen sie sich, und 18Tage später schlüpfen die Käfer.

Schaden:Obwohl er ein häufiger Gast in unserenHäusern ist, sind die Frassschädendurch den Kugelkäfer gering. Bei Mas-senvermehrung kann er durch sein

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Description:Cet insecte brun foncé et brillant a 5-5,5 mm de long. A leurs pointes, lesantennes deviennent de plus en plusépaisses. Tous les Ténébrionides ontpour caractéristique les côtés de latête élargis en lobes séparant l'oeil enune partie supérieure et une inférieure.

Moeurs:Cette espèce de Tribolium est la seulepouvant encore se développer àmoins 20 °C. On la trouve dans lesprovisions de toutes sortes, telles queles céréales, la farine, les produits deboulangerie à longue conservation,les pâtes alimentaires, les flocons depommes de terre, les biscuits pourchiens, les aliments pour oiseaux, etc.Les oeufs, collants, sont déposés àl'intérieur des récipients ou directe-ment dans la nourriture où, à causedes particules d'aliments qui y adhè-rent, ils sont à peine reconnaissables.Les larves écloses se développent en7,5 mois lorsque les conditions sontoptimales. Arrivées à terme et jusqu'àla formation de la chrysalide, leur ins-tinct migrateur est grand: il peut durergénéralement 5 jours et jusqu'à 5 se-maines en cas de surpopulation. LesTribolium éclos peuvent atteindre l'âge

de 4 ans. On les rencontre égalementdans des denrées alimentaires danslesquelles les larves ne peuvent pas sedévelopper.

Dégâts:L'adulte sécrète un liquide conférantaux aliments attaqués une odeur re-poussante.

Lutte et prévention:Conserver les aliments non atteints dansdes récipients à fermeture étanche. Lesprovisions abîmées et les Tribolium doi-vent être détruits.

Espèces parentes:Les espèces de Tribolium plus petitescomme le TRIBOLIUM ROUGE DE LAFARINE Tribolium castaneum et le TRIBO-LIUM AMÉRICAIN DE LA FARINE Triboliumconfusum, quelque peu plus foncé, ontdes moeurs analogues. Ils se frayent unpassage dans les semences et se nour-rissent ensuite en y demeurant calfeu-trés. Ainsi parviennent-ils en Europe cen-trale où ces coléoptères nuisibles ga-gnent en importance. Supportant mal lefroid, ils ne survivent à l'hiver que dans lesprovisions stockées à près de plus de 10°C. Leur adaptabilité a pour consé-quence qu'ils font partie dans tous lespays européens des insectes dits enquarantaine, c'est-à-dire des insectesdont il faut à tout prix éviter l'importation.Un autre parent est le TENEBRION MEU-NIER Tenebrio molitor dont la larve estgénéralement connue sous le nom deVER DE FARINE. De 12-18 mm de long,de couleur brune à noire dans le haut etbrun rouge dans le bas, il est depuis dessiècles un hôte indésirable dans la farineet dans d'autres produits céréaliers. Defort grande taille et ayant un long dé-veloppement, il ne présente générale-ment pas de grands problèmes. Onpeut l'éliminer en criblant plusieurs fois lescéréales attaquées.

Schaden:Die Käfer scheiden eine Flüssigkeit aus,die den befallenen Nahrungsmittelneinen widerlichen Geruch verleiht.

Vorbeugung und Bekämpfung:Nicht befallene Lebensmittel in dichtschliessenden Gefässen aufbewahren.Die verdorbenen Vorräte müssen mitden Käfern vernichtet werden.

Verwandte Arten:Kleinere Triboliumarten, wie der ROT-BRAUNE REISMEHLKÄFER Triboliumcastaneum und der etwas dunklergefärbte AMERIKANISCHE REISMEHL-KÄFER Tribolium confusum, weisen eineähnliche Lebensweise auf. Sie bohrensich in Samen ein und fressen dann imVerborgenen. So gelangen die Käferhäufig nach Mitteleuropa, wo sie alsSchädlinge eine zunehmende Bedeu-tung erlangen. Da sie Kälte schlechtertragen, überleben sie den Winter nurin Vorräten, welche bei über 10 °Cgelagert werden. Die anpassungsfähi-gen Käfer gehören in allen europäi-schen Ländern zu den sogenanntenQuarantäneschädlingen, deren Ein-schleppung auf jeden Fall verhindertwerden muss.Ein weiterer Verwandter ist der MEHL-KÄFER Tenebrio molitor, dessen Larveals MEHLWURM allgemein bekannt ist.Der 12-18 mm grosse, oben braun bisschwarz und unten rotbraun gefärbteKäfer ist seit Jahrhunderten ein unbe-liebter Gast in Mehl und anderen Ge-treideprodukten. Da die Käfer rechtgross sind und eine lange Entwick-lungszeit haben, stellen sie in der Regelkein grosses Problem dar. Sie könnendurch wiederholtes Aussieben derbefallenen Nahrungsmittel eliminiertwerden.

Tribolium destructorGROSSER REISMEHLKÄFERGRAND TRIBOLIUMDE LA FARINE

Coleoptera, TenebrionidaeKäfer, SchwarzkäferColéoptères, Ténébrionides

Aussehen:Der glänzend dunkelbraune Käfer wird5-5,5 mm lang. Die Fühler werden zurSpitze hin allmählich dicker. Charakte-ristisch für alle Schwarzkäfer ist dieKopfleiste, welche das Auge in einenoberen und einen unteren Teil trennt.

Lebensweise:Diese Triboliumart ist die einzige, wel-che sich noch bei Temperaturen unter20 °C entwickeln kann. Man findet denKäfer in Vorräten aller Art wie Getrei-de, Mehl, Dauerbackwaren, Teigwa-ren, Kartoffelflocken, Hundekuchen,Vogelfutter usw. Die klebrigen Eierwerden an die Innenseite der Gefässeoder direkt in die Nahrung gelegt, wosie durch die anhaftenden Nahrungs-teilchen kaum zu erkennen sind. Dieausgeschlüpften Larven entwickelnsich unter optimalen Bedingungen in7,5 Monaten. Einmal ausgewachsenzeigen sie bis zur Verpuppung einengrossen Wandertrieb, welcher norma-lerweise 5 Tage, bei Übervölkerungaber bis zu 5 Wochen andauern kann.Die ausgeschlüpften Käfer werden biszu 4 Jahre alt. Sie sind auch in Nah-rungsmitteln anzutreffen, in denen sichihre Larven nicht entwickeln können.

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Description:Ces coléoptères ont 8-22 mm de longet sont de couleur brun foncé à noire.La longueur de leurs antennes est demoitié celle de leur corps. La tête, lepronotum et les élytres sont partielle-ment pourvus de villosités blanches. Lepronotum porte deux bosses noiresluisantes.

Moeurs:Sous nos latitudes, le Capricorne desmaisons est l'insecte nuisible portant leplus de préjudices au bois de cons-truction. Il ne s'attaque qu'au bois deconifères, le bois d'arbres à feuillescaduques étant toxique pour ses lar-ves et en empêchant le dé-veloppement. A l'intérieur des maisons,on le trouve dans les éléments secsdes toitures, plus rarement dans lesmeubles et les sols. Dehors, on peut lerencontrer dans les lattes de bois et lespoteaux téléphoniques. Ses larvesvivent de protéines dont la quantitébaisse avec l'âge du bois. C'est pour-quoi le bois de plus de 60 ans n'estque rarement attaqué.La femelle pond 150-200 oeufs dansles fissures et les fentes du bois. Leslarves écloses se frayent un passagedans la strate d'aubier riche en proté-

ines. Lorsqu'elles creusent leurs galeriesovales, on peut en entendre les bruitssemblables à ceux d'une râpe. Après4-7 ans, les larves se chrysalident sousla surface du bois. Les coléoptèreséclos quittent les lieux quelques joursou semaines plus tard. Les trous d'en-vol ovales ont 3x5 mm. On les recon-naît aisément et ils sont souvent lespremiers signes visibles d'une attaque.

Dégâts:Les galeries et les trous d'envols peu-vent porter de graves dommages à lastabilité du bois. C'est pourquoi le Ca-pricorne des maisons est un insecte àprendre très au sérieux dans les cons-tructions en bois.

Lutte et prévention:Comme il n'y a pas production defarine de foret, une attaque des co-léoptères avant leur envol n'est recon-naissables qu'aux bruits de râpe en-tendus la nuit. Par conséquent, le Ca-pricorne passe souvent inaperçu trèslongtemps. La meilleure protectionconsiste à choisir très attentivement lebois et, le cas échéant, à le prétraiteravec des produits de protection dubois ou des sels de bore.Pour la lutte, il faudrait - pour des rai-sons de sécurité - faire venir un spécia-liste sachant aussi évaluer le degré desdommages. On peut lutter contre leCapricorne en le pulvérisant d'airchaud ou par des produits de protec-tion du bois reconnus qui empêchentégalement une nouvelle attaque.

Espèces parentes:Le Criocephalus rusticum, le Callidiumviolaceum et d'autres espèces s'atta-quent au bois frais non écorcé et par-viennent souvent dans les maisons decette manière. Ils évitent le bois sec etdécortiqué de sorte que les mesuresde protection ne sont pas nécessaires.

fer verlassen ihre Puppenstube einigeTage oder Wochen später. Die ausge-fressenen ovalen Fluglöcher von 3x5mm Grösse sind leicht zu erkennen undmeist die ersten sichtbaren Anzeicheneines Befalls.

Schaden:Durch die im äusseren Teil angelegtenFrassgänge und die Fluglöcher kanndie Stabilität des Holzes erheblich be-einträchtigt werden. Der Hausbock istdeshalb ein sehr ernst zu nehmenderSchädling in Holzkonstruktionen.

Vorbeugung und Bekämpfung:Da kein Bohrmehl ausgestossen wird,ist ein Befall vor dem Ausfliegen derKäfer nur an den nächtlichen Nage-geräuschen zu erkennen. Das Tierbleibt deshalb oft sehr lange unbe-merkt. Der beste Schutz ist eine auf-merksame Holzauswahl und gege-benenfalls die Vorbehandlung desHolzes mit Borsalzen oder Holzschutz-mitteln.Zur Bekämpfung sollte aus Sicherheits-gründen ein Spezialist beigezogenwerden, welcher auch den Grad derBeschädigung des Holzes ermittelnkann. Bekämpfen kann man den Käfermit einer Heissluftbehandlung oder mitanerkannten Holzschutzmitteln, durchdie auch ein Neubefall verhindert wird.

Verwandte Arten:Der GRUBENHALSBOCK Criocephalusrusticum, der BLAUE SCHEIBENBOCKCallidium violaceum und andere Ar-ten befallen frisches, ungeschältesHolz und gelangen mit diesem öftersins Haus. Da trockenes und entrindetesHolz von ihnen gemieden wird, sindkeine Schutzmassnahmen nötig.

Hylotrupes bajulusHAUSBOCKCAPRICORNE DES MAISONS

Coleoptera, CerambycidaeKäfer, BockkäferColéoptères, Longicornes

Aussehen:Die Käfer sind 8-22 mm lang und dun-kelbraun bis schwarz gefärbt. IhreFühler sind halb so lang wie der Körper.Kopf, Halsschild und Flügeldecken sindteilweise weiss behaart. Der Halsschildträgt zwei schwarzglänzende Höcker.

Lebensweise:Der Hausbock ist in unseren Breiten dergefährlichste Schädling an Bauholz. Erbefällt nur Nadelholz. Laubholz wirktauf seine Larven giftig, so dass keineEntwicklung möglich ist. Im Haus findetman ihn in trockenen Dachstöcken,seltener in Möbeln und Böden. Drau-ssen kann man ihn in Holzzäunen undTelefonmasten antreffen. Seine Larvenleben von Eiweissen, deren Menge mitdem Alter des Holzes abnimmt. Holz,welches älter als 60 Jahre ist, wird des-halb nur selten neu befallen.Das Weibchen legt 150-200 Eier in Rit-zen und Spalten des Holzes ab. Dieausgeschlüpften Larven bohren sich indie eiweissreiche Splintholzschicht ein.Beim Nagen des ovalen Bohrgangesentstehen die raspelnden Geräusche,die von blossem Ohr wahrgenommenwerden können. Nach 4-7 Jahren ver-puppen sich die Larven dicht unter derHolzoberfläche. Die geschlüpften Kä-

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Description:Ces coléoptères ont 2,5-5,4 mm delong et sont de couleur brun noir bril-lant. Comme tous les Charançons,cette espèce possède aussi une têtedétroussée en trompe. Les élytres uni-formément noires et le pronotumpourvu sur toute sa surface de fossesovales sont caractéristiques. Ce Cha-rançon ne peut pas voler.

Moeurs:Les principales zones où le Charançons'est répandu sont les régions tempé-rée. Il en est l'insecte déprédateur descéréales le plus important et vit decéréales de toutes sortes. Toutefois seslarves se développent de préférencedans le froment et le seigle. Le Cha-rançon adulte peut aussi se nourrir defarine, de gruau ou de pâtes alimen-taires. Pour la reproduction, la femellecreuse à l'aide de sa trompe une ca-vité dans le grain de céréale et ypond un seul oeuf. Elle recouvre le troud'une sécrétion de même couleur quele grain. Une femelle peut ainsi en-dommager jusqu'à 300 grains. Le dé-veloppement entier (oeuf-larve-chrysalide-Charançon) se passe àl'intérieur du grain et dure 5 à 6 semai-nes selon les conditions climatiques.

Dégâts:Les dommages causés au grain ap-paraissent principalement dans lesentrepôts à grains. On notera que lavoracité des larves causent davan-tage de dommages aux grains quel'appétit des adultes. En cas de forteattaque, les céréales peuvent devenirchaudes et humides, ce qui peutconduire à la formation de moisissure.Les grains mangés peuvent servir denourriture de base à d'autres insectesnuisibles.

Lutte et prévention:Il faudrait veiller à que le fourrage et lanourriture soient stockés le moins detemps possible et contrôlés à interval-les réguliers.Les aliments fortement attaqués doi-vent être détruits. On élimine les Cha-rançons en chauffant les alimentsdans le four à 50 °C pendant uneheure ou en les mettant à - 18 °Cpendant 24 heures.

Espèces parentes:Le CHARANÇON ou CALANDRE DU RIZSitophilus oryzae: long de 3,5 mm aumaximum, élytres plus mates et plusclaires dotées de quatre tachesorange indistinctes. Pronotum pourvude fosses longitudinales laissant unezone médiane libre. Peut voler. A be-soin de beaucoup de chaleur.Le CHARANÇON DU MAÏS Sitophiluszeamais: peut atteindre 5 mm de long,avec taches sur les élytres plus visibles.Pronotum complètement pourvu defosses rondes. Peut aussi voler et pré-fère le maïs.Pour les deux espèces, modes de vie,dégâts et lutte analogues à ceux duCharançon du blé.

nach klimatischen Bedingungen 5-16Wochen.

Schaden:Schäden am Getreide treten haupt-sächlich in Getreidelagern auf, wobeidas Ausfressen der Körner durch dieLarven stärker ins Gewicht fällt als dasAnfressen durch die Käfer. Bei starkemBefall kann das Getreide warm undfeucht werden, was zu Schimmelbil-dung führen kann. Die angefressenenKörner können anderen Schädlingenals Nahrungsgrundlage dienen.

Vorbeugung und Bekämpfung:Es sollte darauf geachtet werden, dassNahrungs- und Futtermittel möglichstkurz gelagert und in regelmässigenAbständen kontrolliert werden.Stark befallene Nahrungsmittel müssenvernichtet werden. Die Käfer könnendurch Erhitzen der Nahrungsmittel imBackofen auf 50 °C während einerStunde oder Aufbewahren bei -18 °Cwährend 24 Stunden abgetötet wer-den.

Verwandte Arten:REISKÄFER Sitophilus oryzae: Maximal3,5 mm gross, mit matteren und helle-ren Flügeldecken mit vier undeutlichenorangefarbenen Flecken. Halsschildmit länglichen Vertiefungen, einemittlere Zone freilassend. Kann fliegen.Höheres Wärmebedürfnis.MAISKÄFER Sitophilus zeamais: Wird bis5 mm gross, Flecken auf Flügeldeckendeutlicher. Halsschild vollständig mitrunden Vertiefungen versehen. Eben-falls flugfähig. Bevorzugt Mais.Lebensweise, Schaden und Bekämp-fung bei beiden Arten ähnlich wiebeim Kornkäfer.

Sitophilus granariusKORNKÄFERCHARANÇON ouCALANDRE DU BLÉ

Coleoptera, CurculionidaeKäfer, RüsselkäferColéoptères, Charançons

Aussehen:Die Käfer sind 2,5-4,5 mm lang und vonglänzend schwarzbrauner Farbe. Wiealle Rüsselkäfer besitzt auch diese Arteinen zu einem Rüssel ausgezogenenKopf. Typisch sind die einheitlich dun-kel gefärbten Flügeldecken und derauf der ganzen Fläche mit länglich-ovalen Vertiefungen versehene Hals-schild. Das Tier kann nicht fliegen.

Lebensweise:Das Hauptverbreitungsgebiet desKornkäfers liegt in den gemässigtenZonen. Hier ist er der wichtigste Getrei-deschädling und lebt von Getreidealler Art. Seine Larven entwickeln sichaber bevorzugt in Weizen und Rog-gen. Der ausgewachsene Käfer kannsich auch von Mehl, Schrot oder Teig-waren ernähren. Zur Fortpflanzungbohrt das Weibchen mit seinem Rüsselein Loch in ein Getreidekorn und legtein einzelnes Ei darin ab. Darauf wirddas Loch mit einem Sekret verschlos-sen, so dass von aussen die Verletzungkaum mehr sichtbar ist. Insgesamtkönnen auf diese Weise bis zu 300Körner von einem Weibchen ange-bohrt werden. Die gesamte Entwick-lung (Ei - Larve - Puppe -Käfer) erfolgtim Innern des Korns und dauert je

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Description:La Mite des vêtements possède deuxailes à l'avant qui sont d'un jaune dorébrillant et deux ailes à l'arrière jaunegris. Son envergure est de 16 mm aumaximum. Tout le corps de ses larves(chenilles) est d'une couleur blancjaunâtre et fait reluire en transparencel'intestin après la prise de nourriture.

Mode de vie:On rencontre les Mites et leurs chenil-les aussi bien dans les habitationsqu'en plein air (nids d'oiseaux). Lesinsectes adultes n'ingèrent pas denourriture. Leurs larves ne se nourrissentpratiquement que de produits secsd'origine animale. Les textiles en laine,les fourrures, le cuir et les plumes sontleur nourriture principale. La femellepont ses oeufs (plus de 100) un par unou en groupe sur le substrat. Les che-nilles vivent dans un étui tissé par leurssoins d'où elles se nourrissent. Pour laformation de la chrysalide, elles sefabriquent un cocon. Si les conditionssont favorables, le développementtotal ne dure que quelque 65 jours.Mais, sinon, le temps d'une générationpeut s'étendre à une année.

Dégâts:Les trous de Mites sont toujours ac-compagnés de fils tissés. De nombreuxtrous attribués à la Mite des vêtementssont cependant causés par les larvesdes ANTHRÈNES (cf. Anthrenus sp.page 14) qui ne fabriquent jamais detrames.

Lutte et prévention:On peut prendre les mêmes mesuresde prévention et de lutte que pourl'Anthrenus (cf. page 14).

Espèces parentes:Les chenilles de la MITE DES FOURRU-RES Tinea pellionella se nourrissant defaçon analogue à la Mite des vête-ments ne se trouvent pas dans un étuimais dans un fourreau tissé par ellesqu'elles transportent avec elles.Un autre groupe de Mites se nourritprincipalement de produits végétaux.Les chenilles de l'ALUCITE DES CÉRÉA-LES Sitotroga cerealella (Gelechiidae,GELECHIIDES) vivent de plusieurs sortesde blé et de semences. Les espècesde la famille des PHYCITIDES (Phyciti-dae) ont un spectre alimentaire pluslarge. Les chenilles de la fréquentePYRALE DES FRUITS SECS Plodia inter-punctella vivent d'aliments très variés,tels les fruits secs, le chocolat, les noi-settes et les noix, les céréales et lesproduits céréaliers. Il en est de mêmedes chenilles de la MITE DE LA FARINEEphestia kuehniella et de la PYRALE DECACAO Ephestia elutella qui s'atta-quent à des denrées végétales detoutes sortes en préférant la farine etles produits céréaliers.On peut en éviter l'attaque encontrôlant régulièrement les stocks eten les conservant dans des récipientsfermant bien dotés de caoutchoucs.

Schaden:Mottenlöcher sind immer von gespon-nenen Fäden begleitet. Viele denKleidermotten zugeschriebenen Lö-cher werden aber von den Larven derKABINETT- oder TEPPICHKÄFER (vgl.Anthrenus sp. Seite 14) verursacht, dieaber nie Gespinste herstellen.

Vorbeugung und Bekämpfung:Es können die selben vorbeugendenund bekämpfenden Massnahmen wiebei Anthrenus ergriffen werden (sieheSeite 14).

Verwandte Arten:Die sich ähnlich ernährenden Raupender PELZMOTTE Tinea pellionella befin-den sich nicht in einer Röhre, sondernin einem selbstgesponnen Köcher, densie mit sich herumtragen.Eine weitere Gruppe von Motten er-nährt sich hauptsächlich von pflanzli-chen Produkten. Die Raupen der GE-TREIDEMOTTE Sitotroga cerealella(Gelechiidae, PALPENMOTTEN) lebenvon verschiedenen Getreidesortenund Samen. Die Arten in der Familieder FRUCHTZÜNSLER (Phycitidae) ha-ben oft ein breiteres Nahrungsspek-trum. Die Raupen der äusserst häufi-gen DÖRROBSTMOTTE Plodia in-terpunctella leben z. B. von sehr ver-schiedenen Nahrungsmitteln wie Trok-kenobst, Schokolade, Nüssen, Getrei-de und Getreideprodukten. Auch dieRaupen der MEHLMOTTE Ephestiakuehniella und der SPEICHERMOTTEEphestia elutella befallen viele ver-schiedene pflanzliche Lebensmittel,wobei sie Mehl und Getreideproduktebevorzugen.Durch regelmässige Kontrollen unddas Aufbewahren der Vorräte in gutschliessenden Behältern mit Gummi-dichtungen kann ein Befall verhindertwerden.

Tineola bisselliellaKLEIDERMOTTEMITE DES VÊTEMENTS

Lepidoptera, TineidaeSchmetterlinge, MottenPapillons, Mites ou Teignes

Aussehen:Die Kleidermotte besitzt goldgelbglänzende Vorder- und graugelbeHinterflügel und eine Flügelspannweitevon maximal 16 mm. Der ganze Körperihrer Larven (Raupen) ist von gelblich-weisser Farbe und lässt je nach aufge-nommener Nahrung den Darm durch-schimmern.

Lebensweise:Die Motten und ihre Raupen kommensowohl im Haus wie auch im Freien(Vogelnester) vor. Die erwachsenenTiere nehmen keine Nahrung zu sich.Ihre Larven fressen praktisch nur antrockenen tierischen Produkten. Woll-textilien, Pelze, Leder und Federn sindihre Hauptnahrung. Das Weibchenlegt seine über 100 Eier einzeln odergruppenweise lose auf das Materialab. Die Raupen leben in einer selbst-gesponnenen Röhre von wo aus siesich ernähren. Zur Verpuppung spin-nen sie sich in einen Kokon ein. Diegesamte Entwicklung dauert bei gün-stigen Bedingungen nur etwa 65 Tage.Die ganze Generationszeit kann sichaber bei schlechten Voraussetzungenbis auf ein Jahr erstrecken.

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STUBENFLIEGEGRANDE MOUCHE DOMESTIQUE

Description:Les diptères ne possèdent qu'unepaire d'ailes (une seule de chaquecôté du corps). Les ailes postérieuresréduites forment des balanciers ouhaltères qui assurent la stabilité du volde l'insecte.

Moeurs:Les représentants de ce très grandordre ont des moeurs fort diverses,parfois très spécialisées. La femelle duMOUSTIQUE (Culicidae) pond ses oeufsdans les eaux stagnantes, les flaquesdes chemins, les boîtes de conserveou les soucoupes des pots de fleur. LesMoustiques passent par plusieurs pha-ses larvaires avant de se transformeren chrysalides, puis en Moustiquesadultes. Pour pouvoir pondre desoeufs féconds, la femelle a besoind'un repas de sang qu'elle va sucer surles animaux à sang chaud (y comprisl'homme).Dans la famille des MOUCHES propre-ment dites (Muscidae) et des MOU-CHES À VIANDE (Calliphoridae), leslarves se développent, suivant les es-pèces, sur la viande, la charcuterie, lepoisson, le fromage, les cadavresd'animaux, les excréments ou d'autressubstances encore.

Nuisances:Les Moustiques nuisent par leurs piqû-res, mais aussi par leur vol bruyant lanuit.Les larves des Mouches détruisent lanourriture en y déposant leurs fèces.Par leur va et vient incessant entre lesexcréments, les déchets de toute sorteet nos aliments, il arrive que les Mou-ches déposent sur ces derniers desmicro-organismes qui les rendent im-propres à la consommation, voirequ'elles transmettent à l'homme desmaladies infectieuses ou parasitairestrès graves. On sous-estime souvent lesdommages que peuvent causer lesMouches.

Lutte et prévention:A la maison, il faut éliminer les sourcesd'odeurs qui attirent les Mouches enemballant hermétiquement les dé-chets et en les éliminant régulière-ment. Il faut également emballer lesaliments, les couvrir (cloche à fro-mage) ou les réfrigérer. On prévientaussi les invasions de Mouches ennettoyant régulièrement le logis. Il fautéliminer autant que possible les foyerd'incubation. Si trop de Moustiques oude Mouches tentent de pénétrer chezsoi, on peut installer une moustiquaireà la fenêtre. Les moustiquaires sus-pendues au-dessus des lits sont éga-lement très efficaces, en particuliercontre les Moustiques. On peut aussi,dit-on, se débarrasser de ces tapa-geurs nocturnes en installant dans lapièce des récipients contenant du vi-naigre ou de l'huile essentielle de la-vande ou de citron. Enfin, on combatces insectes au moyen de tapettes,d'aspirateurs à poussière et de papiertue-mouches.

Schaden:Bei den Stechmücken werden nebenden Stichen auch die nächtlichenFluggeräusche als sehr lästig empfun-den.Die Larven der Fliegen vernichtendurch ihren Frass und ihren Kot diebefallenen Nahrungsmittel. Da dieFliegen von Abfällen, Fäkalien undanderen unhygienischen Materialienimmer wieder auf unsere Lebensmittelwechseln, ist es möglich, dass sie da-bei Lebensmittel verderbende Mikro-organismen oder sogar sehr gefährli-che Infektions- oder Parasitenkrankhei-ten übertragen. Mögliche, durch Flie-gen verursachbare Schäden werdenoft unterschätzt.

Vorbeugung und Bekämpfung:Im Haus müssen Fliegen anlockendeGeruchsquellen eliminiert werden, d.h. Abfälle sollten immer in dicht schlie-ssenden Behältern gesammelt undregelmässig entfernt werden. Nah-rungsmittel dürfen nur verpackt, ab-gedeckt (Käseglocke) oder gekühltaufbewahrt werden. Stete Sauberkeitwirkt ebenfalls vorbeugend gegeneine allzu grosse Fliegenplage. Mansollte möglichst viele Brutstätten ver-nichten. Besteht die Gefahr, dassMücken und Fliegen immer wieder indie Wohnung einfliegen, können anden Fenstern mit Klettverschluss leichtFliegengitter angebracht werden.Speziell gegen Mücken sehr wirkungs-voll sind über den Betten aufgehängteMoskitonetze. Zur Vertreibung diesernächtlichen Unruhestifter sollen auchaufgestellte Gefässe mit Essig, Laven-del- oder Zitronenöl wirksam sein.Mit Fliegenklatsche, Staubsauger oderFliegenpapier kann man die lästigenBrummer eindämmen.

Nematocera, BrachyceraMÜCKEN, FLIEGENMOUSTIQUES, MOUCHES

DipteraZweiflüglerDiptères

Aussehen:Die Insektenordnung der Zweiflüglerzeichnet sich dadurch aus, dass sie nurein Flügelpaar besitzt (also zwei Flü-gel). Das zweite Paar ist zu den sog.Schwingkölbchen (Halteren) reduziertund dient der Stabilisierung der Flugla-ge des Tieres.

Lebensweise:Die Vertreter der grossen Gruppe derZweiflügler besitzen unterschiedlicheund zum Teil auch sehr spezialisierteLebensweisen.Bei der Familie der STECHMÜCKEN(Culicidae) legt das Weibchen zurVermehrung die Eier in stehende Ge-wässer, oft Wasserlachen in Karrspurensowie in Konservendosen, Blumenun-tersätzen etc. ab. Über mehrere Lar-valstadien und die Puppe erfolgt dieEntwicklung zur ausgewachsenenMücke. Zur Ausreifung seiner Eier mussdas Weibchen Blut von Warmblütern(z. B. Mensch!) aufnehmen.Die Larven der Familien der eigentli-chen FLIEGEN (Muscidae) und derSCHMEISSFLIEGEN (Calliphoridae) hin-gegen entwickeln sich je nach Art inFleisch, Fleischwaren, Fisch, Käse, Aas,Kot oder anderen Substanzen.

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Description:De couleur brunâtre, la Puce du chatet la Puce du chien (Ctenocephalidesfelis et Ctenocephalides canis) sonttrès semblables. Elles mesurent de 1,5-3,2 mm et sont aptères. Latéralementcomprimées, elles possèdent un rostreet des pattes postérieures qui serventau saut.

Moeurs:Cosmopolites, ces deux espèces depuces se trouvent fréquemment dansnos maisons. Seuls les adultes sonthématophages et vivent sur leurs hô-tes: les chiens et les chats (parfois aussiles humains, mais plus rarement). Lespuces sont aplaties latéralement, cequi leur permet de se mouvoir sansentraves dans les pelages. En cas dedanger, les puces peuvent faire desbonds de 30 cm. Les larves des pucesvivent généralement à l'endroit oùdorment leurs hôtes ou dans les tapis,les fentes du plancher et les fissures.Elles se nourrissent des déchets qu'ellestrouvent dans la poussière. La femellepond 20-25 oeufs par jour. Le déve-loppement complet de la larve se fait en

quatre semaines. A la fin elles se tissent uncocon dans lequel elles attendent qu'unhôte passe à proximité.Elles éclosent alorset sautent sur leur victime. La puce vitjusqu'à 1 an et demi.

Nuisances:Les piqûres de puces forment des ali-gnements sur la peau. L'animal infestésouffre de violentes démangeaisons et segratte à longueur de journée. Par ailleurs,les puces sont les vecteurs des ténias duchien et du chat (qui peuvent aussi ex-ceptionnellement affecter l'homme) Lespuces peuvent transmettre pratiquementtous les germes pathogènes.

Lutte et prévention:A titre préventif, il faut soigneusement etrégulièrement nettoyer les animaux do-mestiques (avec un peigne adéquat) etles endroits où ils dorment. Les chiens etles chats laissés en liberté peuvent êtremunis de colliers anti-puces. Il faut aussilutter contre les souris et les rats qui véhi-culent aussi des puces.

Espèces parentes:Mesurant de 2-4 mm, la PUCE DEL'HOMME (Pulex irritans) est moins fré-quente. Elle se nourrit principalement desang humain.De 3-4 mm de long, les PUCES DES OI-SEAUX (Ceratophyllus sp.) parasitentessentiellement les oiseaux et leur nids.Les nids abandonnés qui se trouvent àproximité des fenêtres peuvent être àl'origine d'invasions de puces dans leshabitations.D'une taille de 4-6 mm, les PUCES DESRONGEURS, notamment les PUCES DURAT, transmettaient jadis la peste et fu-rent responsables de grandes épidémies.

sen. Die ausgewachsenen Flöhe war-ten in ihrem Puppenkokon bis ein ge-eigneter Wirt in ihre Nähe kommt.Dann schlüpfen sie schnell heraus undspringen ihn an. Flöhe erreichen einAlter von bis zu 1,5 Jahren.

Schaden:Die Stiche eines Flohs befinden sichmeist in einer Reihe. Die betroffenenHautstellen beginnen heftig zu jucken,was oft tagelang andauern kann.Zudem sind Flöhe Überträger einesBandwurms des Hundes und der Katze(wird selten auch auf den Menschenübertragen). Durch Flöhe sollen bei-nahe alle Erreger ins Blut übertragenwerden können.

Vorbeugung und Bekämpfung:Vorbeugend sollten die Haustiere(Flohkamm) und ihre Schlafstellenhäufig gründlich gereinigt werden.Freilaufenden Hunden und Katzenkann man Flohhalsbänder anziehen.Mäuse und Ratten sollte man be-kämpfen, da sich sonst deren Flöheausbreiten können.

Verwandte Arten:Der 2-4 mm grosse MENSCHENFLOHPulex irritans ist weniger häufig. Er lebthauptsächlich von Menschenblut.Die 3-4 mm grossen VOGELFLÖHECeratophyllus sp. kommen vorwie-gend auf Vögeln und in ihren Nesternvor. Solche verlassene Vogelnester inFensternähe können Ausgangspunktvon Flohinvasionen ins Haus sein.Die 4-6 mm grossen NAGERFLÖHE sindvor allem durch die tropischen RAT-TENFLÖHE berühmt geworden. Dieseübertrugen einst die Pest und warensomit für die grossen Seuchen verant-wortlich.

Ctenocephalides sp.KATZENFLOH, HUNDEFLOHPUCE DU CHAT,PUCE DU CHIEN

SiphonapteraFlöhePuces

Aussehen:Die ähnlichen KATZEN- und HUNDE-FLÖHE, Ctenocephalides felis undCtenocephalides canis, sind braungefärbt, 1,5-3,2 mm gross und flügellos.Ihr Körper ist seitlich zusammenge-drückt. Sie besitzen einen Stechrüsselund zu Sprungbeinen ausgebildeteHinterbeine.

Lebensweise:Beide Floharten sind weltweit verbrei-tet und kommen in unseren Häusernhäufig vor. Da nur die erwachsenenFlöhe Blut saugen, trifft man auch nursie auf ihren Wirten, den Katzen undHunden (seltener auch auf Menschen)an. Mit ihrem seitlich abgeflachtenKörper können sich die Flöhe leichtzwischen den Haaren hindurch bewe-gen und sind somit besonders gut anihre Lebensweise angepasst. Bei Ge-fahr können die kleinen Flöhe zudembis zu 30 cm weit springen! Die Flohlar-ven leben hauptsächlich an denSchlafstellen der Haustiere in Teppi-chen, Spalten und Ritzen, wo sie sichvon verschiedenen Abfällen im Staubernähren. An den gleichen Stellen legtdas Flohweibchen täglich 20-25 Eierab. Nach etwa 4 Wochen ist die gan-ze Entwicklung der Larven abgeschlos-

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Description:Les ouvrières mesurent de 11-14 mm,les reines de 16-19 mm et les mâles(bourdons) de 13-17 mm. Les Guêpesportent sur le front une tache noire enforme d'ancre.

Moeurs:Une colonie de Guêpes peut compter,vers la mi-septembre, jusqu'à 5000individus. Les ouvrières et les mâlesmeurent en automne. Seules les reinesfécondées passent l'hiver dans desendroits protégés. Vers la fin d'avril,elles commencent l'édification du nid.De couleur ocre foncé, celui-ci estinstallé dans la terre, un trou de mur ouun recoin de grenier. Les vieux nids nesont jamais réoccupés. Les Guêpes senourrissent surtout d'insectes capturésou de substances sucrées.

Nuisances:Les piqûres de Guêpe peuvent êtretrès douloureuses, mais elles ne sontpas dangereuses, sauf si l'on est aller-gique ou si l'on est piqué dans la bou-che, au cou ou dans les vaisseauxsanguins ou lymphatiques. Les guêpessont attirées vers les hommes par lesaliments et les boissons sucrées.

Lutte et prévention:On se protège des Guêpes en cou-vrant les aliments ou en piégeant lesinsectes dans des bouteilles suspen-dues, remplies aux deux tiers de jus defruit dilué et d'un peu de vinaigre. Lalutte contre les Guêpes ne se justifieque si un nid se trouve à proximité im-médiate du logis ou d'une place dejeu.

Espèces parentes:La GUÊPE ALLEMANDE (Paravespulagermanica), plus grande, peut formerdes colonies de 7000 individus. Par sesmoeurs et ses nuisances, elle ressembleà la Guêpe commune, mais ses nidssont de couleur grise.Les FRELONS (Vespa crabro), dont lataille peut atteindre 35 mm, sont beau-coup plus pacifiques que les autresGuêpes. Pourtant on n'en rencontreplus guère aujourd'hui, tellement on lesa combattus, par crainte de leurs pi-qûres. Ces piqûres, pourtant, sontcomparables à celles des Guêpes.Les FOURMIS (Formicoidea) font aussipartie des hyménoptères sociaux. Lesreines et les mâles sont ailés. On peutles voir, dans les chaudes journéesd'été, effectuer leur vol nuptial. Quantaux ouvrières, aptères, on les voit sur-tout aller et venir en colonnes à la re-cherche de nourriture. Les fissures desportes, des fenêtres et des murs leurdonnent accès dans les maisons. Ilsuffit, pour les tenir éloignées, d'obturerces voies de passage.Les SIRICIDES (Siricidae) pondent volon-tiers leurs oeufs dans les arbres fraîche-ment abattus. Les larves se dévelop-pent pendant 1-3 ans à l'intérieur dubois avant d'éclore. Il arrive que l'éclo-sion ait lieu après que le bois a étéutilisé dans la construction. Maiscomme elles n'attaquent plus ensuite lebois sec, elles ne sont guère nuisibles.

Vorbeugung und Bekämpfung:Durch Abdecken der Speisen oderAbfangen der Tiere mit aufgehängtenFlaschen, zu 2/3 mit verdünntem Obst-saft und etwas Essig gefüllt, kann dieGefahr entschärft werden. Eine Be-kämpfung sollte nur erfolgen, wennsich ein Nest in unmittelbarer Nähevon Spielplätzen oder Wohnungenbefindet.

Verwandte Arten:Die nur wenig grössere DEUTSCHEWESPE Paravespula germanica bildetStaaten mit bis zu 7000 Tieren. In Le-bensweise und Schädlichkeit ist sie deroberen Art sehr ähnlich. Ihre Nestersind jedoch von grauer Farbe.Die HORNISSEN Vespa crabro werdenbis 35 mm gross. Sie verhalten sich vielfriedlicher als die anderen Wespen.Heute sind sie nur noch selten anzu-treffen. Aus Angst vor ihren Stichen, diemit denen der Wespen vergleichbarsind, wurden sie stark verfolgt.Zu den staatenbildenden Hautflüglerngehören auch die AMEISEN Formicoi-dea. An warmen Sommertagen kannman oft massenweise die geflügeltenMännchen und Königinnen beimPaarungsflug beobachten. Die flügel-losen Arbeiterinnen trifft man häufigauf "Ameisenstrassen" nach Nahrungsuchend. Sie gelangen durch Ritzen inTüren, Fenstern und Wänden ins Haus.Durch Abdichten dieser Stellen könnensie meist ferngehalten werden.Die HOLZWESPEN Sircidae legen ihreEier gerne in frisch gefälltes Holz. IhreLarven fressen während 1-3 Jahren imInnern und schlüpfen zuweilen ausbereits verbautem Holz. Da in trocke-nem Holz kein Neubefall stattfindet,sind sie als Schädlinge unbedeutend.

Paravespula vulgarisGEMEINE WESPEGUÊPE COMMUNE

Hymenoptera, VespoideaHautflügler, FaltenwespenHyménoptères, Vespides

Aussehen:Die Arbeiterinnen werden 11-14 mmgross, Königinnen 16-19 mm und dieMännchen (Drohnen) 13-17 mm. Aufdem Stirnschild ist ein schwarzer,ankerförmiger Fleck sichtbar.

Lebensweise:Der Wespenstaat erreicht Mitte Sep-tember mit bis zu 5000 Tieren seinemaximale Grösse. Arbeiterinnen undMännchen sterben im Herbst ab. Nurdie befruchteten Königinnen überwin-tern an geschützten Stellen. Ende Aprilbeginnen sie mit dem Nestbau. Dieockerfarbenen Nester befinden sich imBoden oder in dunklen Hohlräumen inGebäuden und Dachböden. AlteNester werden nicht besiedelt. IhreNahrung besteht hauptsächlich auserbeuteten Insekten und zuckerhalti-gen Substanzen.

Schaden:Ein Wespenstich kann sehr schmerzhaftsein, ist aber ausser bei Allergien oderStichen im Mund- und Halsbereichoder in die Blut- und Lymphgefässeungefährlich. Die Tiere werden vorallem durch das Aufsuchen süsserSpeisen und Getränke in Menschen-nähe lästig.

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Aspect:Cet insecte mesure de 11-15 mm delong. Brun-jaune, il porte une rayurelongitudinale sur le pronotum. Malgréses grandes ailes qui couvrent toutl'abdomen, il ne vole pas.

Mode de vie:Les Blattes germaniques sont originai-res des régions tropicales: elles sontdonc chez nous une espèce intro-duite. Comme elles aiment la chaleurautant que l'obscurité, elles passent lesjournées cachées dans des fissures oudans des placards, dont elles ne sor-tent que la nuit. Elles longent d'ordi-naire les murs et les meubles, mais ellespeuvent aussi se déplacer sur les pa-rois. Les blattes sont omnivores, maiselles préfèrent les matières végétalestendres et aqueuses. La ponte estenfermée dans des sortes de capsules(oothèques), qui contiennent géné-ralement de 30-40 oeufs. Le dévelop-pement de l'insecte dure en moyennede 5-6 mois, parfois seulement 2 mois,cela dépend de la nourriture disponi-ble et des conditions climatiques.

Nuisances:Omnivores, les Blattes se nourrissententre autres de matières organiques

en décomposition. Les germes patho-gènes et microbes saprogènes qu'ellesabsorbent peuvent se transmettre àl'homme. Ces insectes portent atteinteà l'hygiène du logis: ils souillent les pro-duits alimentaires qu'ils trouvent etrépandent une odeur désagréable. Ilspeuvent endommager divers maté-riaux tels que le cuir, les textiles et lepapier.

Prévention et lutte:Les lieux infestés doivent être traités àl'insecticide. On peut diminuer le ris-que d'infestation en éliminant réguliè-rement les déchets de toutes les piè-ces du logis ou au moins en les entre-posant dans des récipients herméti-ques. Il peut être utile aussi de colma-ter les endroits pouvant leur servir decachette.

Espèces apparentées:La BLATTE ORIENTALE (Blatta orientalis),21-28 mm, presque noire. Les femellessont pourvues d'ailes réduites. Lesmâles peuvent voler sur de courtesdistances. Supportent mieux les bassestempératures.La BLATTE AMÉRICAINE (Periplanetaamericana) 29-40 mm, de couleurbrun-rouge plus ou moins claire, deuxtaches sombres sur le pronotum. Plusrare, car elle ne se reproduit que si letaux d'humidité de l'air est élevé.La BLATTE DES MEUBLES (Supella longi-palpa), 11 mm au plus, brun foncé.Cette espèce colle des paquetsd'oeufs aux meubles ou à d'autresobjets et se propage grâce au com-merce d'objets d'occasion (brocante).

Schaden:Als Allesfresser ernähren sich die Scha-ben auch von verfaulendem organi-schen Material. Die so aufgenomme-nen Krankheitskeime und Fäulniserre-ger können auf den Menschen über-tragen werden. Die Tiere sind der Hy-giene eines Hauses abträglich, indemsie Verunreinigungen hinterlassen undeinen sehr unangenehmen Geruchverbreiten. Schaben können auchSchäden an verschiedenen Materiali-en wie Leder, Textilien und Papier ver-ursachen.

Vorbeugung und Bekämpfung:Bei Schabenbefall sollte eine Behand-lung durch einen Schädlingsbekämp-fer durchgeführt werden. Vorbeugen-de Massnahmen wie die Beseitigungvon Abfällen in allen Räumen desHauses oder wenigstens ihre Lagerungin dicht abschliessenden Behälternsowie die Vermeidung von Versteck-möglichkeiten helfen mit, die Wahr-scheinlichkeit eines Schabenbefalls zureduzieren.

Verwandte Arten:KÜCHENSCHABE Blatta orientalis: 21-28mm gross, fast schwarz, Weibchen mitStummelflügeln. Männchen sind zueinem begrenzten Flug befähigt. We-niger empfindlich gegenüber niedri-gen Temperaturen.AMERIKANISCHE SCHABE Periplanetaamericana: 29-40 mm lang, hell- bismittelrotbraun, Halsschild mit 2 dunklenFlecken. Seltener, da sie sich nur beihoher Luftfeuchtigkeit fortpflanzt.BRAUNBAND- oder MÖBELSCHABESupella longipalpa: Maximal 11 mmlang, dunkelbraun. Eipakete werdenan Möbel und andere Gegenständegeklebt. Diese Art wird deshalb oftdurch den Gebrauchtwarenhandelverbreitet (Brockenhäuser!).

Blattella germanicaDEUTSCHE SCHABEBLATTE GERMANIQUE

BlattodeaSchabenBlattes ou Cafards

Aussehen:Die Tiere sind 11-15 mm lang und vongelbbrauner Farbe. Auffällig sind diebeiden dunkelbraunen Längsstreifenauf dem Halsschild. Trotz der grossenFlügel, welche den Hinterleib überra-gen, sind diese Tiere flugunfähig.

Lebensweise:Die Deutsche Schabe ist in wärmerenBreiten heimisch und wurde bei unseingeschleppt. Da die Tiere gleichzei-tig wärmeliebend und lichtscheu sind,halten sie sich tagsüber in warmenVerstecken wie Ritzen, Spalten undSchränken auf und werden erst nachtsaktiv. Sie laufen normalerweise ent-lang von Wänden und anderen Ge-genständen und können auch anglatten Wänden emporrennen. Scha-ben sind Allesfresser, bevorzugen aberweiche und wasserhaltige, pflanzlicheStoffe. Die Eier werden in einer Eikapsel(Oothek) abgelegt, welche meist 30-40 Eier enthält. Die Gesamtentwick-lung kann je nach verfügbarer Nah-rung und Klimabedingungen starkschwanken. Sie dauert aber minde-stens 2 Monate, durchschnittlich zwi-schen 5 und 6 Monate.

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Description:Mesurant entre 2 et 4,3 mm, le Pou detête est de couleur jaune clair et pos-sède un long abdomen. Les poux secaractérisent par leurs pattes pour-vues de griffes, qui leur permettent des'accrocher aux poils de l'hôte et parleurs pièces buccales conforméespour percer. Les yeux des poux sontabsents ou réduits à des ocelles. Tousles poux sont aptères. Contrairementaux puces, ils ne peuvent pas sauter.

Moeurs:Le Pou de tête est répandu dans lemonde entier. Les adultes et les larvesse nourrissent de sang humain, qu'ilssucent de préférence dans la régionde la nuque. Pendant son dévelop-pement (oeuf-larve-pou), exigeantenviron 17 jours, la larve mue à troisreprises. Les poux adultes vivent seu-lement 20-30 jours. La femelle pondpar jour 3 ou 4 oeufs de 1 mm de long!Les oeufs, ou lentes, sont collés sur lescheveux, tout près de la peau. Lespoux ne peuvent survivre plus de 2jours sans nourriture. Aimant vivre àune température avoisinant 29 °C, ils

trouvent des conditions idéales dans levoisinage du corps humain.

Nuisances:Le Pou de tête peut provoquer chezl'homme de l'eczéma suintant. Desmaladies comme la fièvre récurrenteou le typhus exanthématique ne sontpas uniquement transmis par le POU DECORPS comme on l'a longtemps cru,mais également par le Pou de tête.

Lutte et prévention:Il faut éviter de s'échanger peignes,brosses et habits. Toute personne infes-tée devrait demander à ses prochesde se faire examiner et traiter au be-soin. Les poux et les larves installés dansles textiles ne résistent pas à une tem-pérature supérieure à 60 °C. Tout ce quin'est pas lavable doit être mis en qua-rantaine pendant au moins 7 jours. Ilexiste des produits spéciaux (sham-pooings, poudre, gel, lotions, etc.) pouréliminer les parasites.

Espèces parentes:Le POU DE CORPS (Pediculus humanus)est très semblable au pou de têtequoique un peu plus grand. Vivantprincipalement sur la peau et dans lesparties poilues du corps, il pond depréférence ses oeufs à l'intérieur desvêtements. Moins fréquent que le poude tête. A propos de la lutte et de laprévention, voir plus haut).Mesurant de 1,35-1,6 mm, le POU DUPUBIS (Phthirus pubis) possède un ab-domen presque aussi large que long. Ilvit dans les poils du pubis, les aisselles etdans les sourcils. A propos de la lutte etde la prévention, voir ci-dessus. Onpeut se débarrasser de ce parasite enrasant les poils du pubis et des aisselles.

telbare Nähe des menschlichen Kör-pers garantiert wird.

Schaden:Die Kopflaus kann beim befallenenMenschen grossflächige, nässendeEkzeme verursachen. Nicht nur KLEI-DERLÄUSE, wie oft geschrieben wird,sondern auch Kopfläuse können ver-schiedene Krankheiten, wie z. B.Rückfallfieber und Flecktyphus, über-tragen.

Vorbeugung und Bekämpfung:Es sollten nicht die selben Kämme,Bürsten und Kleider benutzt werden.Bei einem Befall müssen auch die Per-sonen, mit denen man verkehrt, unter-sucht und eventuell behandelt wer-den. Alle Entwicklungsstadien auf Tex-tilien werden durch Erhitzen derselbenauf mehr als 60 °C vernichtet. Nichtwaschbare Materialien müssen fürmindestens 7 Tage in Quarantänegebracht werden. Durch Anwendungvon Spezialmitteln (Shampoos, Puder,Gele, Lösungen, etc.) kann man dieTiere abtöten.

Verwandte Arten:KLEIDERLAUS Pediculus humanus: Sehrähnlich, aber etwas grösser. Sie lebthauptsächlich auf der Körperhaut undden Körperhaaren und legt ihre Eiermit Vorliebe auf der Innenseite vonKleidern ab. Weniger häufig. Vorbeu-gung und Bekämpfung siehe oben.FILZLAUS Phthirus pubis: 1,35-1,6 mmgross, mit kurzem Hinterleib. Sie lebthauptsächlich in den Schamhaaren, inden Haaren der Achselhöhlen und anden Augenwimpern. Vorbeugung undBekämpfung siehe oben. Achsel- undSchamhaare können abrasiert wer-den.

Pediculus capitisKOPFLAUSPOU DE TÊTE

AnopluraLäusePoux

Aussehen:Die Kopflaus wird 2-4,3 mm gross, istblassgelb gefärbt und hat einen lan-gen Hinterleib. Charakteristisch für alleLäuse sind die Klammerbeine, welchemit einer Kralle versehen sind, und diestechenden Mundwerkzeuge. DieAugen der Läuse sind zu Punktaugenreduziert, oder sie fehlen bei einigenArten auch vollständig. Alle Läuse sindflügellos. Im Gegensatz zu den Flöhenkönnen sie nicht springen.

Lebensweise:Die Kopflaus ist auf der ganzen Weltverbreitet. Sowohl die Larven, als auchdie erwachsenen Läuse sind blutsau-gende Parasiten des Menschen. Siesaugen mit Vorliebe im Bereich desHinterkopfes. Während der Entwick-lung (Ei-Larve-Laus), welche etwa 17Tage dauert, häutet sich die Larve dreimal. Die Lebensdauer der erwachse-nen Tiere beträgt nur 20-30 Tage. EinWeibchen legt täglich 3-4 Eier, dieetwa 1 mm gross sind! Die Eier, auchNissen genannt, werden einzeln dichtüber der Haut an Haare geklebt. OhneNahrung kann die Kopflaus maximal 2Tage überleben. Im allgemeinen be-vorzugen Läuse eine Temperatur vonetwa 29 °C, welche durch die unmit-

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Aspect:Le Poisson d'argent, long de 8-10 mm,est muni de trois filaments caudauxplus courts que le corps. Ses antennessont également plus courtes que lecorps. Le côté supérieur du corps estcouvert de petites écailles d'aspectnacré, le côté inférieur est jaunâtre.Les larves, blanchâtres, n'ont pasd'écailles. Tous les lépismes ne sont pasailés.

Mode de vie:Les Poissons d'argent sont des insectesnocturnes aimant les endroits chauds.Sous nos latitudes, on les trouve dansles pièces humides et chaudes tellesque les salles de bain, les cuisines et lescaves chauffées. Leur nourriture secompose principalement de produitsriches en amidon et en sucre, tels quela farine, la semoule, les pâtes alimen-taires et le sucre. La femelle pond enmoyenne 70 oeufs, mais elle peut enproduire 2-3 fois plus. Elle les déposegénéralement dans des fissures, mais illui arrive de les coller à même les pa-rois. Le stade de l'oeuf est suivi de 6-7stades larvaires. Ensuite, l'insecteadulte mue toutes les 2-3 semaines. Ladurée de sa vie peut atteindre 4 ans.

Nuisances:Comme beaucoup de matériaux (p.ex. les colles) contiennent de l'amidon,les Poissons d'argent peuvent causerdes dommages non seulement auxaliments, mais encore aux tapisseries,aux reliures des livres, aux tableaux,aux textiles et au papier. Les objetsassez épais sont endommagés à lasurface seulement, mais les plus min-ces peuvent être transpercés par cesinsectes. Comme ils se tiennent dansles endroits humides, les traces qu'ilslaissent sur le papier s'accompagnentsouvent de moisissures.

Prévention et lutte:Une bonne aération, l'absence d'hu-midité et la lumière protègent contreles Poissons d'argent. On peut faireobstacle à leur prolifération en colma-tant les interstices, les fissures et lestrous des planchers et des parois.

Espèces apparentées:Les Lepismodes inquilinus ressemblentaux Poissons d'argent, sauf par leurtaille, qui est un peu plus grande (10-13 mm). Leurs filaments caudaux sontau moins aussi longs que le corps, etleurs antennes peuvent être jusqu'àdeux fois plus longues. Leur couleur estun peu plus foncée. Le côté supérieurdu corps est couvert d'écailles jaunâ-tres, brillantes, groupées en bandes ouen taches. Le Lepismodes inquilinus nese tient normalement que dans lesendroits où il fait au moins 32 °C.Il arrive, mais rarement, que des Cte-nolepisma lineatum quittent les régionschaudes d'Europe centrale pour s'in-troduire chez nous.

Schaden:Da viele Materialien (z. B. Leime) stär-kehaltige Zusatzstoffe enthalten, kön-nen nicht nur an Lebensmitteln son-dern auch an Tapeten, Bucheinbän-den, Bildern, Herbarpflanzen, Textilien,Papier und anderen Objekten Frass-schäden auftreten. Dabei werdendickere Gegenstände oberflächlichabgeschabt, dünnere sogar durchlö-chert. Da sich die Tiere hauptsächlichim feuchten Milieu aufhalten, sind ihreFrassspuren im Papier häufig vonSchimmelpilzen begleitet, die sichauch nur bei feuchten Bedingungenoptimal entwickeln können.

Vorbeugung und Bekämpfung:Gute Belüftung, Trockenheit und Lichtschützen vor einem Befall durch Silber-fischchen. Durch eine möglichst voll-ständige Abdichtung von Rissen, Fu-gen und Löchern im Fussboden undan den Wänden kann die Ausbreitungdes Schädlings eingeschränkt werden.

Verwandte Arten:OFENFISCHCHEN Lepismodes inqui-linus: Im Erscheinungsbild ähnlich demSilberfischchen. Es ist aber mit 10-13mm etwas länger. Die Schwanzfädensind mindestens so lang, und die Fühlersind sogar bis zweimal so lang wie derKörper. Seine Farbe ist etwas dunkler.Die Körperoberseite ist mit gelblichen,glänzenden Schuppen bedeckt, diezu Flecken und Bändern gruppiert sind.Das Ofenfischchen stellt hohe Anfor-derungen an die Temperatur. Norma-lerweise ist es nur an Orten zu finden,die über 32 °C warm sind.Aus wärmeren Gegenden Mitteleuro-pas wird sehr selten Ctenolepismalineatum eingeschleppt.

Lepisma saccharinaSILBERFISCHCHEN oderZUCKERGASTPOISSON D'ARGENT

ZygentomaWohnungsfischchenLépismes

Aussehen:Das Silberfischchen ist 8-10 mm langund besitzt 3 Schwanzfäden, die kürzerals der Körper sind. Auch die Fühlersind nicht so lang wie der Körper.Während die Körperoberseite mitleicht abreibbaren, perlmutterartigenSchuppen bedeckt ist, ist die Untersei-te gelblich gefärbt. Junge Larven sindweisslich und besitzen keine Schup-pen. Alle Wohnungsfischchen besitzenkeine Flügel.

Lebensweise:Die Silberfischchen sind wärmelieben-de Nachtlebewesen und in unserenBreitengraden an feuchtwarme Stellenwie Badezimmer, Küchen und warmeKeller gebunden. Ihre Nahrung bestehtvorwiegend aus stärke- und zuckerhal-tigen Produkten wie Mehl, Griess,Teigwaren, Zucker etc. Das Weibchenlegt seine Eier in Spalten und Ritzen,klebt sie aber gelegentlich auch anglatte Flächen. Durchschnittlich legtein Tier rund 70 Eier. Es kann aber 2-3mal mehr produzieren. Auf das Eistadi-um folgen 6-7 Larvenstadien. Danachhäutet sich das erwachsene Tier alle 2-3 Wochen und kann dabei bis zu 4Jahre alt werden.

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Dank Remerciement

Die folgenden Personen und Institutionen haben uns freundlicherweise Bilder undMaterial für diese Broschüre und/oder für die Ausstellung zur Verfügung gestellt.Wir bedanken uns herzlich für die zuvorkommende Hilfe, die sie uns geleistet ha-ben.

Les personnes et institutions suivantes nous ont apporté leur aide en mettant ai-mablement à notre disposition des illustrations et du matériel nécessaires à cettebrochure et/ou à l'exposition.Nous les en remercions vivement.

Dr. Denis Bassand,Sandoz Agro AG, WitterswilAgrobiologische VersuchsstationStation de recherches Agrobiologiques

Benz AG (Arbezol), Rümlang

Karl Dorn,Gesundheitsinspektorat der Stadt Zürich

Dr. Christophe Dufour,Musée d'Histoire naturelle, Neuchâtel

Eidg. Forschungsanstalt für landwirtschaftlichen Pflanzenbau (FAP), Zürich/Zurich

Jürg Fischer, LIGNUM,Schweizerische Arbeitsgemeinschaft für das Holz, ZürichUnion suisse en faveur du bois, Zurich

Dr. Erwin Graf und P. Manser,EMPA, St. Gallen/Saint-Gall

Maya Gubler,Bayer (Schweiz) AG, Zürich/Zurich

Dr. Thomas Hoppe,Ciba-Geigy AG, Basel/Bâle

Prof. Gerolf Lampel,Sektion Entomologie, Zoologisches Institut, Universität FreiburgSection Entomologie, Institut de Zoologie, Université de Fribourg

Dr. Joseph Leisibach et Jacek Sygnarski,Kantons- und Universitätsbibliothek FreiburgBibliothèque Cantonale et universitaire, Fribourg

Christian Schweizer, Wittnau/AG

Dr. Hans-Peter Sutter, Werdenberg

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Bildnachweis Table des illustrations

TextTexte

BARTOS, J., & VERNER, P.H. [1990]: Seite/page 12, 14, 28, 30, 34CHENG, T.C. [1964]: Seite/page 42HILL, D.S. [1990]: Seite/page 26MEHLHORN, H., & PIEKARSKI, G. [1985]: Seite/page 36MOURIER, H., & WINDING, O. [1979]: Seite/page 7, 10, 11STEIN, W. [1986]: Seite/page 16, 18, 20, 22, 24, 32, 38, 40, 44

FarbtafelPlanche en couleurs

Benz AG (Arbezol): Nummer/numéro 4, 8FAP, Gabriela Brändle: Nummer/numéro 2, 3, 5, 6, 11, 14, 18frinat: Nummer/numéro 7, 12, 13, 16, 22, 23Sandoz Agro AG: Nummer/numéro 17Christian Schweizer: Nummer/numéro 15, 20, 21, 24Hans-Peter Sutter: Nummer/numéro 1ZUSKA, J. [1990] : Nummer/numéro 9, 10, 19

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