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Stiftung für eidgenössische Zusammenarbeit Fondation pour la collaboration confédérale Fondazione per la collaborazione confederale Fundaziun per la collavuraziun federala Le Trait d’union 57 Neu mit Nouveau avec Nuovo con Le Trait concret

Trait d'union

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trait d'union nr 57

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Page 1: Trait d'union

Stiftung für eidgenössische Zusammenarbeit

Fondation pour la collaboration confédérale

Fondazione per la collaborazione confederale

Fundaziun per la collavuraziun federala

Le Trait d’union

57

Neu mit

Nouveau avec

Nuovo con

Le Trait concret

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LTD’U N°57 INDEX

Austausch und Mobilität in der Berufsbildung

OUVERTUREVorwort

FOKUS— Langues étrangères: quel intérêt pour les entreprises? Prof. François Grin— Quo vadis? Fremdsprachkompetenzen von Auszubildenden als Voraussetzung für intra- und internationale Mobilität Prof. Dr. Stephan Schumann

OPINIONS— BOBST SA: une entreprise pionnière en matière d’échange d’apprentis Interview avec Franck Le Vallois— Testimonianze di due stage professionali presso la Fondazione ch— La scuola d’arti e mestieri e l’offerta di stage in esterno per apprendisti Ing. Cecilia Beti

INFO 26— Gli scambi e la mobilità nella formazione professionale in Ticino Andrea Togni— Thèse en cours: «Construction discursive des représentations de stages professionnels dans des entreprises de la région du Rhin supérieur» Dr. des. Katharina Höchle Meier— Immersives Englischlernen in Longbridge Karin von Siebenthal

INFO chAus dem Kompetenzzentrum für Austausch und Mobilität der ch Stiftung

POT-POURRI— Contact / Adresses— Le Trait d’union 58— Das Programmangebot der ch Stiftung im Überblick

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LTD’U N°572 OUVERTURE

Die beiden Berufsbildungsprogramme «Piaget» und «Leo-nardo da Vinci» bieten eine breite Palette an Angeboten und Destinationen während und nach der beruflichen Grundbil-dung. «Leonardo da Vinci» ermöglicht es Verbundpartnern und Berufsbildungsinstitutionen, ihre Lernenden über eine Projektträgerschaft innerhalb der EU in den Austausch zu schicken. Das binnenstaatliche Austauschprogramm für die Berufsbildung «Piaget» fördert den Austausch zwischen den Sprachregionen der Schweiz. Es unterstützt Lernende und Berufsbildungsinstitutionen bei der Suche eines Aus-tauschbetriebs sowie einer Unterkunft und leistet Begleitung während des Austauschs. Mit «Offenen Stellen» besteht im Rahmen von Piaget ein weiteres Angebot: Junge stellenlose Lehr- und Studienabgänger/-innen absolvieren ein Berufs-praktikum in einer anderen Sprachregion innerhalb der Schweiz. Sie erweitern dabei ihre beruflichen und sprach-lichen Kompetenzen und erhöhen ihre Chancen auf dem Arbeitsmarkt. Die Austauschangebote für die Berufsbildung sind auf www.ch-go.ch abrufbar und werden nach der Auswahl des entspre-chenden Programms im Detail erläutert.Nun wünschen wir Ihnen eine erkenntnisreiche und zu Aus-tausch anregende «Walz» durch das Le Trait d’union 57! Anschliessend laden wir Sie gerne ein, auf unserer neu ge-stalteten Website www.chstiftung.ch umherzuwandern und zu stöbern. Unter «Veranstaltungen» finden Sie den Hinweis auf den Austauschkongress 2012, der die Entwicklung und Ausarbeitung von Projektpartnerschaften in den Mittelpunkt stellen wird.

Dr. Sandra MaissenGeschäftsführerinch Stiftung für eidgenössische Zusammenarbeit

Vorwort

Erinnern Sie sich an die letzte Begegnung mit jungen Hand-werkern auf Wanderschaft? Sie sind selten geworden im Strassenbild, sorgen aber für Aufsehen: schwarzer Hut mit breiter Krempe, weisses kragenloses Hemd, Weste, Jackett, weite Schlaghosen aus Cord mit zwei Reissverschlüssen, über der Schulter ein kunstvoll gearbeiteter Stock mit einem oder mehreren drangeknoteten Bündeln, darin persönliche Habe. Die typische Kluft und die Walz sind Spuren einer jahrhun-dertealten, tief verwurzelten Tradition und gehörten zur Ausbildung des beruflichen Nachwuchses. Die Wandernden beeindrucken nicht nur durch ihr auffälliges Äusseres: Bis heute sind ihre Zuverlässigkeit und die Qualität ihrer Arbeit anerkannt. Die Idee der Wanderschaft ist gerade heute modern, weil jun-ge Berufsleute fachliche Erfahrung, sprachliche Entwicklung und Weltoffenheit durch Mobilität gewinnen können. Unter-suchungen zeigen, dass Berufseinsteiger/-innen, die Mobi-litäts- und Austauscherfahrungen mitbringen, ihre Chancen auf dem Arbeitsmarkt wesentlich erhöhen. Wir freuen uns, in dieser Nummer des Le Trait d’union Aus-tausch und Mobilität in der Berufsbildung zu fokussieren und aus verschiedenen Perspektiven zu beleuchten. Die ch Stiftung für eidgenössische Zusammenarbeit fördert und unterstützt seit über 30 Jahren im Rahmen des Lehr-stellentauschs auch Austausch in der beruflichen Bildung. Auf der Basis der neuen gesetzlichen Rahmenbedingungen (Vollteilnahme der Schweiz an den Bildungsprogrammen der EU, Bundesgesetz über die Landessprachen und die Verstän-digung) hat die ch Stiftung ihr Engagement in der Berufsbil-dung ab 2010 ausgebaut und die Angebote erweitert – dies in Zusammenarbeit mit Bund, Kantonen und anderen Ver-bundpartnern. Auch im Rahmen der Lehrstellenkonferenzen 2011 und 2012 ist das Thema Austausch und Mobilität in der Berufsbildung von grosser Bedeutung. Die ch Stiftung unterstützt derzeit Mobilitätsprojekte mit dem europäischen Ausland finanziell und intensiviert gleich-zeitig binnenstaatlichen Austausch. Die Slogans dazu lauten: «Europa kann eine gute Lehre sein» und «Dorthin, wo die Chancen sind»!

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LTD’U N°57 FOKUS 3

La notion de « valeur ajoutée » est au centre de l’analyse écono-mique, mais justement parce qu’elle est tellement quotidienne, voire banale, on oublie qu’elle recèle un mystère.

En effet, dans un processus productif, il y a d’un côté les « in-puts » (matières premières, produits semi-finis, etc.) et, de l’autre côté, les « outputs », c’est-à-dire les produits que l’on va vendre (à des particuliers, à d’autres entreprises, à des collec-tivités publiques). Entre les deux intervient un processus pro-ductif, qui transforme les inputs en outputs, et qui ce faisant ajoute de la valeur.

Plus le processus de production est complexe, plus il fait in-tervenir de facteurs de production différents, plus il est difficile de cerner le processus de création de valeur et la contribution exacte de chaque facteur à cette création de valeur. C’est no-tamment le cas pour les processus de production dans lesquels les langues étrangères sont mises en œuvre. On est à peu près certain que les compétences en langues étrangères sont mises à profit et qu’elles contribuent à la création de valeur pour une raison bien simple: on constate qu’elles sont rémunérées.

Pour la plupart des économistes, ces différentiels salariaux ne sont pas seulement l’indice chiffré de la valeur « marchande » des compétences linguistiques ; ils constituent ipso facto la preuve que ces compétences interviennent dans le mystérieux phénomène de création de valeur. Car en effet, si ces com-pétences ne servaient à rien dans le processus productif, les employeurs n’auraient aucune raison de mieux rémunérer les travailleurs qui en disposent.

Rappelons qu’en Suisse (et en résumant de façon assez sché-matique une panoplie de résultats beaucoup plus différenciés), on peut dire que les hommes qui savent bien l’anglais gagnent, par rapport à leurs collègues qui ne le savent pas (mais toutes autres choses égales par ailleurs) une prime moyenne de l’ordre de 10% en Suisse romande et 18% en Suisse aléma-nique ; pour les bonnes compétences dans une autre langue nationale (respectivement le français en Suisse alémanique et l’allemand en Suisse romande), la prime est plus uniforme, à environ 14% dans les deux régions. Pour les femmes, il reste beaucoup plus difficile d’obtenir des estimations statistique-ment robustes, mais on sait quand même que pour de bonnes compétences en anglais, les Romandes touchent en moyenne une prime de 10% et les Alémaniques, de quelque 25%.

Bien entendu, il faudrait aller plus loin. Mieux connaître les conditions de la création de valeur grâce aux compétences lin-guistiques ne présente pas seulement un intérêt scientifique : c’est aussi une information importante pour les entreprises elles-mêmes. Par exemple, on peut chercher à affiner les résul-tats selon le secteur économique, l’orientation plus ou moins locale ou internationale d’une entreprise, ou encore la nature du poste occupé et le type de tâche effectué ; tout cela nous rap-proche un peu du mystère de la création de valeur en permet-tant d’associer plus directement les compétences linguistiques et l’apparition de la valeur.

Des résultats de recherche de ce type n’existent actuellement qu’en partie: alors qu’on dispose d’observations très détaillées sur les modalités de communication orale dans des groupes de travail, la recherche (en linguistique appliquée, notamment) ne s’est encore guère lancée dans des comparaisons systé-matiques selon l’intensité du recours à diverses langues, non plus que dans le relevé, en parallèle, des conséquences écono-miques (productivité, innovation, maîtrise des coûts, etc.).

De l’autre côté, la recherche quantitative est indispensable. En effet, tous les cas sont différents, et on pourra toujours observer une chose et son contraire ; ce qui compte, c’est la tendance générale, et celle-ci ne peut pas être déterminée sans travail quantitatif. Et celui-ci passe presque inévitablement par de grandes enquêtes. Bien entendu, pour savoir quelles questions poser dans ce genre d’enquêtes, il est utile d’avoir (grâce aux approches qualitatives décrites plus haut) une idée aussi précise que possible des processus communicationnels en présence. En même temps, il faut pour cela disposer d’un cadre analytique de type économique, qui propose une mise en relation entre inputs et outputs à travers une théorie de la production, dont la valeur ajoutée est une des variables-clefs.

Langues étrangères: quel intérêt pour les entreprises?Texte: Prof. François Grin, FTI, Université de Genève

Lingue straniere: quale utilità per le aziende?

Prof. dr. François Grin, FTI, Università di Ginevra

È quasi certo che le competenze lingui-stiche sono valorizzate e contribuisco-no alla creazione di valore aggiunto. Ne è la prova il fatto che vengono retribuite.

Sintetizzando tutta una serie di risultati molto differenziati, possiamo afferma-re che in Svizzera, a parità di qualifiche, gli uomini che padroneggiano l’inglese guadagnano di più dei loro colleghi che non lo parlano. In Svizzera romanda il vantaggio a livello retributivo è media-mente del 10%, in Svizzera tedesca del 18%. Il vantaggio finanziario è ripartito in modo più uniforme per le competenze in un’altra lingua nazionale (francese in Svizzera tedesca, tedesco in Svizzera romanda) e corrisponde circa al 14% in entrambe le regioni. Per le donne è più difficile ottenere stime statisticamente solide. Si può tuttavia affermare che le donne con buone conoscenze in ingle-se guadagnano in media il 10% in più nel-la Svizzera romanda e il 25% in più nella Svizzera tedesca.

L’analisi andrebbe ovviamente appro-fondita. Il fatto di conoscere meglio il rapporto tra creazione di valore e competenze linguistiche presenta un interesse scientifico ed è al contempo un’informazione importante per le a-ziende. Si possono ad esempio affinare i risultati in funzione del settore econo-mico, dell’orientamento locale o inter-nazionale dell’azienda, della funzione ricoperta o del tipo di mansione. Questo permette di capire meglio il meccani-smo di creazione di valore perché as-socia in modo più diretto le competenze linguistiche al valore aggiunto creato.

I risultati della ricerca attualmente di-sponibili sono parziali: disponiamo di osservazioni molto dettagliate sulle modalità di comunicazione orale nei gruppi di lavoro, ma la ricerca - in par-ticolare in linguistica applicata - non ha ancora confrontato sistematicamente l’intensità dell’uso di lingue diverse né rilevato in parallelo le relative ripercus-sioni economiche (produttività, innova-zione, contenimento dei costi ecc.).

On est à peu près certain que les compétences en langues étrangères sont mises à profit et qu’elles contribuent à la création de valeur pour une raison bien simple: on constate qu’elles sont rémunérées.

Page 5: Trait d'union

La ricerca quantitativa è indispensabile. Ciò che conta è la tendenza generale, che può essere definita solo per mezzo di un rilevamento quantitativo. Questo significa quasi inevitabilmente ampie inchieste.

Due inchieste condotte di recente in Svizzera hanno permesso di muovere alcuni passi in questa direzione (cfr. ri-ferimenti alla fine dell’articolo). Da esse è emerso che nelle imprese svizzere gli eventuali problemi legati alla mancan-za di competenze linguistiche si ma-nifestano sotto forma di rallentamenti nelle procedure interne, malintesi che ostacolano la collaborazione o insuffi-cienze nella realizzazione di determinate mansioni, mentre (e contrariamente a quanto si dice spesso) il rischio di per-dere contratti all’estero per mancanza di competenze linguistiche è considerato piuttosto basso. Si può anche determi-nare il ruolo delle lingue nella creazione di valore osservando in quale divisione o reparto dell’azienda sono utilizzate con maggiore frequenza. Contraria-mente all’opinione ampiamente diffusa

Welches Interesse haben Unternehmen an Fremdsprachen?

Text: Prof. Dr. François Grin, FTI, Universität Genf

Wer über Kompetenzen im Fremdspra-chenbereich verfügt, darf sich freuen. Solche Fähigkeiten sind gewinnbrin-gend und tragen zudem zur Wertschöp-fung bei. Dies aus einem ganz einfachen Grund: Sie werden entlöhnt.

In der Schweiz (dies zeigt eine recht schematische Zusammenfassung ei-ner ganzen Reihe viel differenzierterer Resultate) erhalten Männer, die über gute Englischkenntnisse verfügen, im Vergleich zu ihren Kollegen, welche die Sprache nicht beherrschen (alle übrigen Faktoren sind gleich), ein durchschnitt-lich um 10% höheres Gehalt in der West-schweiz und ein um 18% höheres Gehalt in der Deutschschweiz. Für gute Kennt-nisse einer anderen Landessprache (Französisch in der Deutschschweiz und Deutsch in der Romandie) erhalten Arbeitnehmende in beiden Regionen ein um 14% höheres Gehalt. Bezüglich der Löhne von Frauen liegen weniger klare statistische Angaben vor. Man weiss jedoch, dass die Westschweizer Frauen für gute Englischkenntnisse im Schnitt ein um 10% höheres Gehalt bekommen. Bei den Deutschschweizer Frauen be-trägt das Mehrgehalt rund 25%. Die Bedingungen der Wertschöpfung zu kennen, die dank sprachlichen Kom-petenzen entsteht, ist nicht nur von wissenschaftlichem Interesse. Ent-sprechende Untersuchungen liefern auch wichtige Informationen für die Unternehmen selber. Die Resultate las-sen sich genauer aufschlüsseln, zum Beispiel nach Wirtschaftssektor, nach der mehr oder weniger lokalen bezie-hungsweise internationalen Ausrich-tung eines Unternehmens oder nach der Art einer besetzten Stelle. Dies alles bringt uns dem Geheimnis der Wert-schöpfung etwas näher und ermöglicht es, die sprachlichen Kompetenzen und die Wertschöpfung direkter miteinander zu verbinden. Diesbezügliche Forschungsresultate liegen bis anhin nur teilweise vor. Es be-stehen sehr detaillierte Beobachtungen

LTD’U N°57FOKUS4

zu den Bedingungen der mündlichen Kommunikation in Arbeitsgruppen. Die Forschung (insbesondere in der ange-wandten Linguistik) hat sich allerdings kaum an systematische Vergleiche zur intensiven Nutzung verschiedener Sprachen gewagt, auch nicht an die Untersuchung der wirtschaftlichen Aus-wirkungen (Produktivität, Innovation, Kostenmanagement usw.). An der quantitativen Forschung führt jedoch kein Weg vorbei. Was zählt, ist der allgemeine Trend, der sich ohne quantitative Studien nicht bestimmen lässt. Hierzu sind gross angelegte Be-fragungen unabdingbar. Zwei Umfragen, die in den letzten Jahren in der Schweiz durchgeführt wurden (siehe Quellenangaben am Schluss des Artikels), stellen einige Schritte in diese quantitative Richtung dar. Sie führen zum Beispiel zu folgenden Schlüssen: Wenn in Schweizer Unternehmen man-gelnde Sprachkompetenzen für Pro-bleme sorgen, dann äussern sich diese meist durch verlangsamte Verfahren. Hinzu kommen Missverständnisse, wel-che die Zusammenarbeit behindern, oder Unzulänglichkeiten bei der Um-setzung gewisser Aufgaben. Die Gefahr, dass wegen mangelnden Sprachkom-petenzen Verträge im Ausland nicht ein-geholt werden können, ist hingegen ge-ringer. Dieser Befund widerspricht somit Behauptungen, die oftmals vorgebracht werden.Die Rolle der Sprachen bei der Wert-schöpfung lässt sich auch untersuchen, indem man beobachtet, in welcher Ab-teilung intern am häufigsten Fremdspra-chen verwendet werden. Dabei stellt man fest, dass – im Gegensatz zu einer weit verbreiteten Meinung, gemäss der die Hauptfunktion von Sprachen darin besteht, «besser zu verkaufen» – Verkauf und Marketing gar nicht die Bereiche darstellen, bei denen Fremd-sprachen am häufigsten zum Einsatz gelangen. Im Industriebereich werden Fremdsprachen vielmehr am häufigsten im Einkauf sowie auf Direktionsstufe verwendet. Gut einzukaufen ist für ein Unternehmen mindestens ebenso wichtig wie gut zu verkaufen. Dies ist nur eine der packenden Fragen, die sich stellen, wenn man untersucht, welche Rolle die Fremdsprachen im Wirtschaftsleben spielen.

Ausführlichere Informationen s. französischer Text

Quelques pas ont été faits dans cette direction quantitative grâce à deux enquêtes réalisées en Suisse ces dernières années (voir les références en fin d’article). On constate ainsi que dans les entreprises suisses, si le manque de compétences linguis-tiques engendre des problèmes, ceux-ci prennent en général la forme de ralentissements des procédures à l’interne, de malen-tendus qui entravent la collaboration, ou d’insuffisances dans la réalisation de certaines tâches ; en revanche (et contraire-ment à ce que l’on dit souvent), le risque de perte de contrats à l’étranger (faute de compétences linguistiques suffisantes) est considéré comme mineur. On peut aussi remonter au rôle des langues dans la création de valeur en observant dans quelle di-vision, à l’interne, les langues étrangères sont le plus fréquem-ment utilisées. Et l’on constate, contrairement à une opinion fortement répandue selon laquelle la principale fonction des compétences en langues étrangères serait de « mieux vendre », que ce ne sont pas tellement les « ventes » ou le « marketing » où les pratiques sont le plus multilingues. Dans le secteur industriel en tout cas, c’est dans les divisions « achats », puis au niveau des directions générales que les langues étrangères s’emploient le plus. Pour une entreprise, « bien acheter » n’est pas moins important que « bien vendre ». Et ce n’est là qu’un des exemples des questions passionnantes qui apparaissent quand on examine le rôle des langues étrangères dans la vie économique.

Pour aller plus loinAndres, M., Korn, K., Barjak, F., Glas, A., Leukens, A. et Niederer, R., 2005: Fremdsprachen in Schweizer Betrieben. Olten: Fachhochschule Nordwestschweiz: http://www.fhnw.ch/wirtschaft/pmo/forschung/publikationen/fremdsprachen-in-schweizerbetrieben.pdf

Grin, F., Sfreddo C. et Vaillancourt, F., 2009 : Langues étrangères dans l’activité professionnelle. Rapport au Fonds national de la recherche scientifique, Berne : http://www.unige.ch/traduction-interpretation/recherches/groupes/elf/recherche-activite/LEAP/LEAP-RF-7logos.pdf

secondo cui le competenze linguistiche servirebbero principalmente a «vendere meglio», a far capo di più al multilinguis-mo non sono tanto la vendita e il mar-keting. Nel settore industriale, ad esem-pio, le lingue straniere sono utilizzate soprattutto nel reparto acquisti e a livello di direzione generale. Per un’impresa, infatti, «comprare bene» è altrettanto importante che «vendere bene». E questo è solo un esempio che dimostra quanto il tema dell’importanza delle lingue straniere per la vita economica sia appassionante.

Approfondimenticfr. testo tedesco

Page 6: Trait d'union

LTD’U N°57 FOKUS 5

Fremdsprachkompetenzen gelten als eine wichtige Voraussetzung für die Mobilität von Auszubildenden. Einer aktuellen Studie zu KV-Lernenden zufolge muss allerdings davon ausgegangen werden, dass viele Berufsler-nende nicht über Sprachkenntnisse verfü-gen, die intra- und internationale Mobilität unmittelbar zulassen. Nicht zuletzt mit Blick auf die zunehmende Internationalisierung der Wirtschaft erscheint daher eine systema-tische Förderung der Fremdsprachen in der beruflichen Grundbildung sinnvoll.

AusgangslageDie Lehrstellenkonferenz 2011 hat deutlich gemacht, dass die Förderung der binnenstaatlichen und internationalen Mobilität von Berufslernenden gegenwärtig ganz oben auf der berufsbil-dungspolitischen Agenda der Schweiz steht. Dies ist erfreulich, gibt es doch in diesem Bereich erheblichen Nachholbedarf. Während in der allgemeinen Schule und im Studium solcherart Mobilität – in welcher Form auch immer – längst zum Normalfall gehört, ist sie in der beruflichen Bildung eine Ausnahme. Einer aktuellen Studie aus Deutschland zufolge liegt die internationale Mobilität von Auszubildenden nur bei rund 3% (Körbel & Fried-rich, 2011). Auch wenn für die Schweiz meines Wissens keine zuverlässigen Befunde zum Mobilitätsausmass vorliegen, ist an-zunehmen, dass diese Quote hierzulande kaum höher ist. Dies war im Übrigen nicht immer so, denkt man nur an die spätmittel-alterliche Wanderpflicht im Handwerk zurück. Goethes Wilhelm Meister lässt grüssen. Die historische Migrationsforschung zeigt allerdings auch, dass schon damals Sprachbarrieren einen er-heblichen Einfluss auf die Wahl der Wanderrouten der Gesellen hatten. Auch heute sind Fremdsprachkompetenzen (und Sprachgren-zen) entscheidende Faktoren für die Mobilität von Lernenden in der beruflichen Grund- und Weiterbildung (Dilebus, 2003; Otto, 2004). Manche Autoren sprechen von einem Schlüsselfaktor (z.B. Bonin u.a., 2008). Doch was wissen wir zuverlässig über den Stand der Fremdsprachkompetenzen von Berufslernenden in der Schweiz? Um es vorwegzunehmen: nicht viel.

Fremdsprachkompetenzen von KV-LernendenEine der wenigen belastbaren Studien ist die vom KV Schweiz und von der SKKBS in Auftrag gegebene Untersuchung von Péquignot & Balzer (2011) zu den Sprachkenntnissen von KV-Lernenden des letzten Semesters (E-Profil). Untersucht wurden rund 1500 LAP-Kandidatinnen und -Kandidaten aus fünf Deutschschweizer (AG, BS, LU, SO, ZH) und vier West-schweizer (GE, NE, VD, BE-Fr) Kantonen. Zum Einsatz kam neben einem Fragebogen der Test «Business Language Testing Service (BULATS)». Der BULATS ist ein für die Zielgruppe geeignetes, valides Instrument (Lese- und Hörverstehen) und er korrespondiert mit dem gemeinsamen europäischen Referenz-rahmen für Sprachen (GER), das heisst, die Ergebnisse können sprachübergreifend verglichen werden. Letzteres ist bedeutsam, da so u.a. die Deutschkenntnisse der Westschweizer den Fran-zösischkompetenzen der Deutschschweizer gegenübergestellt werden können.Geht man von den Leistungszielen der KV-Lehre für Fremdspra-chen gemäss der Schweizerischen Prüfungskommission für die kaufmännische Grundbildung aus, so wird als Standard das Ni-

Quo vadis? Fremdsprach-kompetenzen von Auszubildenden als Voraussetzung für intra- und internationale Mobilität

Text: Prof. Dr. Stephan Schumann, Universität Freiburg, Departement Erziehungswissenschaften, Freiburg

veau B1 gemäss GER benannt, das heisst, der oder die Lernende verfügt über eine selbstständige Sprachverwendung auf einem einfachen Niveau. Für die mit dem GER weniger vertrauten Leser sei angemerkt, dass neben dem B-Niveau (B1 + B2) das A-Niveau (A1 + A2; elementare Sprachverwendung) und das Niveau C (C1 + C2; kompetente Sprachverwendung) existieren.Wie viele der Lernenden erreichen am Ende ihrer Ausbildung zumindest dieses angestrebte B1-Niveau? Tabelle 1 gibt hierzu einen Überblick. Ersichtlich ist neben der Tatsache, dass das Hörverstehen in allen drei Sprachen besser ausgeprägt ist als das Leseverstehen, Folgendes: Nur im Englisch-Hörverstehen erreicht ein substanzieller Teil der Auszubildenden den Zielstan-dard. Dies gilt vorrangig für die Deutschschweizer KV-Lernenden (84%) und nur eingeschränkt für die Lernenden aus der Roman-die (56%). Im Hinblick auf das Englisch-Leseverstehen ist zwar der sprachregionale Unterschied geringer (42% vs. 25%), aller-dings sind hier die Werte insgesamt deutlich niedriger. Mit ande-ren Worten: In der Deutschschweiz kann mehr als die Hälfte der Lernenden nur auf elementarem Niveau englische Texte lesen. In der Westschweiz trifft dies sogar auf drei Viertel zu.

Tabelle 1Anteil der KV-Lernenden, die in Englisch und der jeweils anderen Landessprache zumindest das Niveau B1 aufweisen (in Prozent) Deutschschweiz RomandieEnglisch (Hörverstehen) 84% 56%Englisch (Leseverstehen) 42% 25%Französisch bzw. Deutsch 35% 29%(Hörverstehen)Französisch bzw. Deutsch 6% 6%(Leseverstehen)Quelle: Pequignot & Balzer (2011, S. 23ff.)

Aus der Tabelle ist darüber hinaus klar ersichtlich, dass Eng-lisch in beiden untersuchten Landesteilen von den Jugend-lichen besser beherrscht wird als die jeweils andere Landesspra-che. Jeweils rund ein Drittel der Berufslernenden erreicht das angestrebte Sprachniveau im Hörverstehen; beim Leseverste-hen muss das Ergebnis als dramatisch schlecht bezeichnet wer-den: Jeweils nur 6% können auf dem B1-Niveau in der jeweils anderen Landessprache lesen.

Quo vadis? Les compétences linguistiques des apprentis: une condition à la mobilité nationale et internationale

Texte : Prof. Stephan Schumann, Univer-sité de Fribourg, Département des sci-ences de l’éducation, Fribourg

Les compétences en langues étrangères sont considérées comme une des con-ditions principales à la mobilité des apprentis. Or, selon une étude récente portant sur les apprentis employés de commerce, il apparaît que la majorité des apprentis ne disposent pas des connais-sances linguistiques nécessaires à une mobilité nationale ou internationale. Au vu notamment de l’internationalisation ac-crue de l’économie, un encouragement systématique aux langues étrangères dans la formation professionnelle initiale semble indispensable.

Situation de départL’encouragement à la mobilité natio-nale et internationale des apprentis représente aujourd’hui une priorité sur l’agenda politique de la formation professionnelle. C’est ce qu’a mis en évidence la Conférence sur les places d’apprentissage de 2011. On ne peut que s’en réjouir, bien que le retard à combler dans le domaine reste très important. En effet, alors que, à l’école et au niveau de l’éducation supérieure, la mobilité est depuis longtemps mon-naie courante, elle fait aujourd’hui en-core office d’exception au niveau de la formation professionnelle. Selon une étude récente réalisée en Allemagne, la mobilité internationale des apprentis ne dépasse pas les 3% (Körbel & Friedrich, 2011). Bien qu’il n’existe à ma connais-sance aucune étude spécifique sur la fréquence des séjours de mobilité chez les apprentis suisses, on peut supposer que cette proportion n’est pas plus élevée dans notre pays. Ce ne fut pourtant pas toujours le cas. Pensons, par exemple, aux périples qu’entreprenaient de maître en maître les aspirants compagnons de la fin du Moyen-Âge à la fin du XIXe siècle.

Page 7: Trait d'union

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Fazit und DiskussionAusgehend von dem vielfach belegten Befund, dass Fremd-sprachkompetenzen ein wichtiger Faktor für die Mobilität von Lernenden ist, fällt das Fazit aus den hier dargelegten Ergebnisse einer aktuellen Studie zu KV-Lernenden im Gesamturteil eindeu-tig aus: Ein zu grosser Teil der Auszubildenden in der kaufmän-nischen Grundbildung beherrscht Englisch und Deutsch bzw. Französisch als jeweils andere Landessprache nur auf elemen-tarem Niveau. Sicherlich am besten sind die Voraussetzungen für die Deutschschweizer Jugendlichen im Hinblick auf eine mög-liche Ausbildungsphase in einem Lehrbetrieb im Aus- oder auch Inland, in dem Englisch gesprochen wird. Für viele Jugendliche aus der Romandie gilt diese Einschätzung nur bedingt. Noch-mals ungünstiger erscheinen die sprachlichen Voraussetzungen für die binnenstaatliche Mobilität von Auszubildenden, das heisst innerhalb der Schweiz zwischen den Sprachregionen, da die Kenntnisse in der jeweils anderen Landessprache mehrheitlich auf Elementarniveau angesiedelt sind.Die zitierte Studie bezieht sich auf KV-Lernende. Stimmt jedoch die Feststellung des BBT, dass nur in 15 bis 20% der seit 2005 erlassenen neuen Bildungsverordnungen Fremdsprachenunter-richt obligatorisch ist (BBT, 2011), so ist wohl davon auszuge-hen, dass es in den meisten Berufen um die Fremdsprachkom-petenzen der Auszubildenden kaum besser bestellt sein dürfte, als oben geschildert. Mit Blick auf die Megatrends, mit denen die Schweiz zukünftig noch stärker konfrontiert sein wird als heute schon – zu nennen sind hier exemplarisch Stichworte wie Glo-balisierung und Internationalisierung der Wirtschaft –, erscheint eine Förderung der Mehrsprachigkeit in der beruflichen Grund-bildung unabdingbar. Die Voraussetzungen hierfür sind gut, denn aus der obligatorischen Schule bringen die allermeisten Schülerinnen und Schüler Kenntnisse in zwei Fremdsprachen mit. Geht man dabei vom Erreichen des anvisierten HarmoS-Standards am Ende der heutigen neunten Klassenstufe aus (oberes Niveau A2), so würden zu Beginn der Ausbildung an-schlussfähige Fremdsprachkenntnisse vorliegen. Diese gilt es im Verlauf der beruflichen Grundbildung systematisch zu nutzen und auszubauen. Dies würde den Berufslernenden, der Wirt-schaft und damit der gesamten Gesellschaft zugute kommen. Und es würde die Voraussetzungen für die Mobilität von Auszu-bilden erhöhen.

Literatur BBT (2011). Lehrstellenkonferenz 2011. Faktenblatt berufliche Mobilität. Bern: EVD/BBT. Bonin, H. u.a. (2008). Geographic Mobility in the European Union: Optimising its Economic and Social Benefits. IZA Research Report No. 19. Dibelus, O. (2003). Forum: Ausbildung ohne Grenzen? Vortrag auf dem DIHK Ausbildungskongress, Frankfurt a.M. Körbel, M. & Friedrich, W. (2011). Verdeckte Mobilität in der beruflichen Bildung. Ermittlung von Auslandsaufenthalten in der Erstausbildung ausserhalb des EU-Programms für lebenslanges Lernen und der bilateralen Austauschprogramme des Bundesministeriums für Bildung und Forschung. Bonn: BIBB. Otto, K. (2004). Geografische und berufliche Mobilitäts-bereitschaft im Berufsverlauf: Der Einfluss von Persönlichkeit, sozialem Umfeld und Arbeitssituation. Unv. Dissertations-schrift. Halle/Wittenberg: Martin-Luther-Universität Halle-Wittenberg. Péquignot, V. & Balzer, L. (2011). Benchmarking Sprachen. Kaufmännische Grundbildung. E-Profil. Zürich/Zollikofen: KV Schweiz/EHB.

Korrespondenzadresse des AutorsProf. Dr. Stephan SchumannProfessur für BerufsbildungUniversität Freiburg Departement ErziehungswissenschaftenRue de Faucigny 2CH-1700 [email protected]

Les recherches historiques dans le do-maine de la migration ont montré que, à l’époque déjà, les barrières linguistiques exerçaient une influence prépondérante sur le parcours et les différentes es-cales que choisissait le compagnon. Les compétences – et les barrières – linguis-tiques représentent aujourd’hui encore un facteur décisif pour la mobilité des apprentis de la formation initiale et con-tinue (Dilebus, 2003, Otto, 2004). Cer-tains auteurs parlent même de facteur clé (p.ex. Bonin et al, 2008). Pourtant, que savons-nous vraiment du niveau linguistique des apprenants en Suisse ? A vrai dire très peu.

Compétences linguistiques des app-rentis employés de commerceUne des rares études solides a été menée par Péquignot et Balzer (2011). Mandatés par SEC Suisse et la CSEPC, les auteurs ont testé les compétences linguistiques des apprentis employés de commerce du dernier semestre (e-profil). Péquignot et Balzer ont évalué au moyen du test BULATS près de 1500 candidats aux examens finaux d’apprentissage originaires de Suisse allemande et de Suisse romande. Se fondant sur le Cadre européen commun de référence pour les langues (CECR), BULATS permet une comparaison des résultats dans toutes les langues européennes.

Combien sont donc les apprentis qui, à la fin de leur apprentissage, atteignent le niveau B1 prévu par les objectifs de formation ? Le tableau 1 en offre un aper-çu. Il nous apprend que les apprentis obtiennent de bien meilleurs résultats en compréhension orale qu’en compré-hension écrite et, surtout, que ce n’est qu’en compréhension orale de l’anglais que l’objectif du niveau B1 est atteint par une majorité d’apprentis.

Tableau 1cf. version allemande

Par ailleurs, le tableau montre de ma-nière claire que les apprentis des deux régions linguistiques du pays maîtrisent mieux l’anglais que les langues natio-nales. Seul un tiers environ des jeunes atteignent le niveau visé en compréhen-sion orale de l’autre langue nationale. En compréhension écrite, le résultat est encore plus désolant : seuls 6% sont capables de lire des textes de niveau B1 dans l’autre langue nationale.

Faits et discussionUn nombre trop important d’apprentis employés de commerce ne disposent que de compétences élémentaires de l’anglais et de l’allemand ou du français. Par ailleurs, les jeunes Suisses alle-mands apparaissent indéniablement mieux préparés à une mobilité dans une entreprise étrangère, voire dans une en-treprise nationale, où l’anglais a le statut de langue de travail. Peu nombreux sont en effet les jeunes Romands à remplir les conditions pour un tel séjour. En ou-tre, les jeunes Alémaniques comme les jeunes Romands apparaissent encore moins bien préparés à une mobilité à l’intérieur de la Suisse, c’est-à-dire dans l’autre région linguistique du pays : la plupart d’entre eux ne disposent que de compétences élémentaires dans l’autre langue nationale.

La présente étude ne porte certes que sur les apprentis employés de com-merce. Cependant, si l’on en croit l’OFFT, qui a révélé que seuls 15 à 20% des or-donnances sur la formation établies depuis 2005 contiennent une obliga-tion en matière d’enseignement des langues étrangèr es (OFFT, 2011), on est en droit de supposer qu’il en va cer-tainement de même des compétences linguistiques des apprentis de la plupart des autres métiers. Compte tenu de la tendance économique mondiale, à la-quelle la Suisse sera encore davantage confrontée à l’avenir (mondialisation et internationalisation de l’économie), il apparaît indispensable d’encourager le multilinguisme dans la formation pro-fessionnelle initiale. Les conditions actuelles pour cela sont idéales. En effet, la plupart des élèves sortent de l’école obligatoire avec des connaissances dans deux langues étrangères. En ou-tre, les objectifs définis par HarmoS en terme d’enseignement des langues prévoient un niveau A2 au terme de la neuvième année actuelle ; si ces objec-tifs sont respectés, tout apprenti devrait donc disposer au moment de débuter

Jeweils rund ein Drittel der Berufslernenden erreicht das angestrebte Sprachniveau im Hör-verstehen; beim Lesever-stehen muss das Ergebnis als dramatisch schlecht bezeichnet werden: Jeweils nur 6% können auf dem B1-Niveau in der jeweils anderen Landes-sprache lesen.

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Se si presuppone il raggiungimento dello standard HarmoS alla fine del nono anno di scuola (livello A2), all’inizio della formazione professionale gli allievi disporrebbero di una buona base.

sa formation professionnelle initiale des compétences linguistiques nécessaires. Il s’agit donc, tout au long de la formation professionnelle initiale, d’exploiter et de consolider de manière systématique ces compétences linguistiques, si l’on entend en faire profiter aussi bien les apprentis que l’économie, et par con-séquent la société en général. Et si l’on entend en outre aider les apprentis à remplir les conditions nécessaires à une mobilité nationale ou internationale.

Littératurecf. version allemande

Adresse de correspondance de l’auteur : cf. version allemande

Quo vadis? Competenze linguistiche, presupposto per la mobilità nazionale e internazionale delle persone in formazione

Testo: Prof. dr. Stephan Schumann, Dipartimento di scienze dell’educazione, Università di Friborgo

Le competenze linguistiche sono un im-portante presupposto per la mobilità del-le persone in formazione. Da uno studio recente sugli apprendisti di commercio è emerso che molte persone in formazio-ne non dispongono delle conoscenze linguistiche necessarie per accedere di-rettamente a offerte di mobilità nazionale e internazionale. Vista la crescente inter-nazionalizzazione dell’economia, è op-portuno promuovere sistematicamente l’apprendimento delle lingue straniere nella formazione professionale di base.

ContestoLa Conferenza nazionale sui posti di tiro-cinio 2011 ha evidenziato che la promozio-ne della mobilità nazionale e internazio-nale delle persone in formazione rientra tra le priorità della politica svizzera della formazione professionale. Un fatto positi-vo se si considera che in questo settore si è accumulato un marcato ritardo. Mentre nella formazione scolastica e universita-ria la mobilità è ormai scontata, in quella professionale resta un’eccezione. Uno studio condotto di recente in Germania ha rilevato che la mobilità internazio-nale delle persone in formazione si situa solo al 3 per cento (Körbel & Friedrich, 2011). Anche se, per quanto ne sappia, non sono disponibili dati attendibili sulla mobilità nazionale e internazionale degli apprendisti svizzeri, si suppone che la percentuale sia analoga a quella rilevata in Germania. Non è però sempre stato così, basti pensare ai giovani artigiani iti-neranti del Tardo Medioevo che partivano per completare la loro formazione.

Secondo la ricerca storica sui movimenti migratori già allora le barriere linguistiche avevano un influsso considerevole sulla scelta degli itinerari. Anche oggi le com-petenze e i confini linguistici sono un fattore determinante per la mobilità delle persone che seguono una formazione professionale di base o un perfeziona-mento (Dilebus, 2003, Otto, 2004). Alcuni autori affermano che sono un fattore chia-ve (ad es. Bonin et. al., 2008). Ma cosa sappiamo di preciso sulle competenze linguistiche delle persone in formazione in Svizzera? Non molto.

Competenze linguistiche degli appren-disti di commercioUno dei pochi studi attendibili è l’indagine condotta da Pequignot & Balzer (2011) su incarico della SIC Svizzera e della CSSPC in merito alle conoscenze lingui-stiche degli apprendisti di commercio dell’ultimo semestre (profilo E). Lo studio ha analizzato le competenze di circa 1500 candidati all’esame di fine tirocinio (EFT) della Svizzera tedesca e romanda. Per l’analisi è stato utilizzato il test BULATS, che corrisponde al Quadro comune eu-ropeo di riferimento per la conoscenza delle lingue (QCER) e che permette un confronto dei risultati. La tabella 1 indica quanti apprendisti han-no raggiunto il livello B1 alla fine della for-mazione, ossia il livello richiesto nei piani e negli obiettivi didattici. Oltre a evidenzia-re che in tutte e tre le lingue considerate le competenze di comprensione orale sono migliori di quelle di comprensione scritta, la tabella mostra che un’elevata percentuale di allievi raggiunge il livello richiesto solo nella comprensione orale dell’inglese.

Tabella 1cfr. testo tedesco

Dalla tabella emerge inoltre chiaramente che in entrambe le regioni considerate i giovani padroneggiano meglio l’inglese rispetto all’altra lingua nazionale. Circa un terzo delle persone in formazione raggiunge il livello richiesto nella com-prensione orale dell’altra lingua, mentre nella comprensione scritta il risultato è nettamente peggiore: solo il 6% degli ap-prendisti raggiunge il livello B1.

Conclusioni e discussioneTroppi apprendisti di commercio possie-dono solo competenze linguistiche ele-mentari in inglese e nell’altra lingua na-zionale (francese nella Svizzera tedesca, tedesco nella Svizzera romanda). Di cer-to, gli apprendisti svizzero-tedeschi han-no presupposti migliori per assolvere uno stage o una formazione in un’azienda in Svizzera o all’estero in cui si parla inglese. Non si può dire lo stesso per molti giovani della Svizzera romanda. Ancor peggiori sembrano essere i presupposti linguistici per la mobilità interna, ossia tra le diverse regioni linguistiche svizzere, in quanto le conoscenze dell’altra lingua nazionale si situano per lo più a un livello elementare.

Lo studio menzionato si riferisce es-clusivamente agli apprendisti di com-mercio. Se la constatazione dell’UFFT secondo cui solo il 15-20 per cento delle nuove ordinanze sulla formazione pro-fessionale emanate dal 2005 prevede l’insegnamento obbligatorio delle lingue straniere (UFFT, 2011) trova riscontro, al-lora si può supporre che nella maggior parte delle professioni le competenze linguistiche degli apprendisti non siano migliori dei risultati summenzionati. Viste le tendenze in atto a livello internazio-nale con le quali la Svizzera dovrà con-frontarsi sempre di più nei prossimi anni (globalizzazione e internazionalizzazione dell’economia), è indispensabile promuo-vere già ora l’apprendimento delle lingue straniere nella formazione professionale di base. Le premesse sono buone, dato che la maggior parte dei giovani che ter-minano la scuola dell’obbligo possiede già conoscenze in due lingue stranie-re. Se si presuppone il raggiungimen-to dello standard HarmoS alla fine del nono anno di scuola (livello A2), all’inizio della formazione professionale gli allie-vi disporrebbero di una buona base. Queste competenze vanno valorizzate e migliorate in modo sistematico durante l’intera formazione professionale, a tutto vantaggio delle persone in formazione, dell’economia e, in ultima analisi, della società. Con un miglioramento tangibile dei requisiti di mobilità dei giovani.

Bibliografiacfr. testo tedesco

Indirizzo dell’autorecfr. testo tedesco

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Interview avec Franck Le Vallois, responsable Formation et Développement

Fondation ch (Fch): L’entreprise BOBST SA est une entre-prise pionnière en matière d’échange d’apprentis. Elle a com-mencé dans les années 1970 avec un projet d’échange avec l’entreprise Rieter AG. Franck Le Vallois (LV): En fait, pour l’entreprise BOBST –partant d’une expérience personnelle du fondateur – l’échange est un aspect indispensable de la formation de nos futurs em-ployés. L’entreprise, qui a maintenant 120 ans, a développé très tôt une vocation internationale parce que nous exportons nos machines dans le monde entier. Donc, depuis le départ, les jeunes qui arrivaient chez nous venaient avec ce rêve de pouvoir parler d’autres langues et de pouvoir voyager dans le monde entier. Nous décernons depuis longtemps un prix, qu’on appelle le prix « Chine », attribué à l’un de nos meilleurs apprentis qui peut ainsi passer une année dans notre entreprise en Chine. Mais c’est la première fois cette année que, grâce à la Fondation ch, nous avons profité de l’offre du programme Leonardo da Vinci pour faire en sorte que des apprentis, pendant leur apprentissage, puissent faire un séjour dans un autre pays européen anglophone ou germanophone. Quand je suis arrivé chez BOBST, je comptais faciliter les échanges mais je me suis heurté à beaucoup de difficultés. Fch: Des difficultés de quel ordre? LV: La difficulté principale est que les jeunes passent trois quart du temps chez nous, en entreprise, et un quart du temps à l’école. Nous avons rencontré Michel Tatti, le directeur du Centre professionnel du Nord Vaudois à Yverdon-les-Bains que fréquentent nos apprentis automaticiens. Il a accepté le défi et ils ont conçu une plateforme internet pédagogique pour que les apprentis puissent suivre leurs cours à distance. C’est aussi un défi de trouver une entreprise à l’étranger. Nous y sommes parvenus parce que nous avons une usine en Alle-magne. Maintenant nous avons des jeunes basés dans le nord de l’Allemagne qui assistent aux cours à distance avec leurs enseignants. Chaque semaine, ils sont en liaison directe et ils ont leur enseignement, même animé, sur internet. Quand on veut qu’un jeune puisse acquérir une langue pendant sa formation, un séjour de quatre semaines ou même de trois mois n’est pas suffisant. Nous voulons vraiment qu’ils puissent passer une année scolaire entière et une année de formation professionnelle dans une autre langue. Quand ils reviennent, ils ont vraiment mieux assimilé cette langue.

BOBST SA: une entreprise pionnière en matière d’échange d’apprentis

BOBST AG – ein Pionierunternehmen im Austausch von Lernenden Interview mit Franck Le Vallois, Verantwortlicher Ausbildung und Entwicklung

Die Firma BOBST AG ist ein Pionier-unternehmen auf dem Gebiet des Aus-tausches von Lernenden. Die Erfolgs-geschichte begann in den 1970er Jahren mit einem Austausch mit der Firma Rieter AG. Ausgehend von einer persönlichen Erfahrung des Gründers, hat Austausch während der Ausbildung der künftigen Angestellten bis heute einen hohen Stel-lenwert. Das mittlerweile 120-jährige Unternehmen exportiert seine Maschi-nen weltweit und erwarb schon früh ei-nen internationalen Ruf. Von Anfang an träumten deshalb die Jugendlichen, die zum Unternehmen stiessen, davon, in der ganzen Welt umherreisen und andere Sprachen sprechen zu können.

Franck Le Vallois, Verantwortlicher Aus-bildung und Entwicklung, kennt die Schwierigkeiten, die mit dem Austausch von Lernenden verbunden sind. Er weiss, dass diese drei Viertel der Zeit im Betrieb und einen Viertel in der Schule verbrin-gen. Dank der Unterstützung von Michel Tatti, Direktor des «Centre professionnel du Nord Vaudois» in Yverdon-les-Bains, konnte eine Lösung gefunden werden. Die Lernenden stehen jede Woche via Internet in direktem Kontakt mit der Schule und verpassen so den Unterrichtsstoff nicht.

Dank des Programms «Leonardo da Vinci» der ch Stiftung erhielten die Familien auch eine finanzielle Unterstüt-zung. Das Programm ist somit nicht nur für begüterte Personen zugänglich. Es ist deshalb teilweise auch der ch Stiftung und seinen Partnern zu verdanken, dass die Jugendlichen einen Austausch machen können. Die Lernenden profitieren zudem erstmals von der Zusammenarbeit von drei Partnern: Der BOBST SA, dem Centre professionnel du Nord Vaudois und Swiss Occidental Leonardo.

Entscheidend sind Motivation und Entschlossenheit: jene der Betriebe, Eltern, Schulen, politischen Instanzen und Dachverbände. Die Firma BOBST SA erteilt den Lernenden zusätzliche Sprachkurse und rüstet sie optimal für den Austausch aus. Vor, während und nach dem Austausch gewährleistet sie eine umfassende Vorbereitung und Be-treuung mit klaren Zielen. Der Partner vor Ort organisiert den Empfang. Wäh-rend des Aufenthalts gibt es zudem eine regelmässige Supervision sowie Evalu-ationen mit dem Projektleiter und den Ausbildnern.

Zusammenfassung des Interviews vom 17.11.2011, geführt von Edith Funicello, ch Stiftung für eidgenössische Zusam-menarbeit, im Rahmen des Schweize-rischen Austauschkongresses 2011.

Fch: Quel soutien la Fondation ch vous a-t-elle fourni? LV: Pour réussir, il faut une collaboration entre tous les partenaires : l’entreprise, l’école et aussi − ce que je souhaiterais

− les organismes faîtiers ou les organismes d’Etat. Grâce au pro-gramme Leonardo mené par la Fondation ch, les familles ont pu obtenir un soutien financier. Cela évite que l’offre soit uniquement accessible aux personnes aisées. C’est donc aussi en partie grâce à votre fondation et à ses partenaires que les jeunes peuvent partir. Fch: Vous avez dit que vous formez environ 280 apprentis dans votre entreprise. Combien d’entre eux vont participer à un échange? LV: Deux seulement sont partis pour cette expérience pilote. Mais j’aimerais beaucoup que cela puisse servir d’exemple et que des organismes faîtiers ou d’Etat prennent le relais. En Allemagne, ils voudraient bien nous envoyer des apprentis également mais ils ont le même problème que nous: les jeunes vont à l’école et ils risquent de perdre une année. L’an prochain, nous enverrons deux jeunes supplémentaires en Grande Bretagne. Fch: Vous faites aussi des échanges avec la Suisse alémanique? LV: Pas encore. Mais nous sommes ouverts et nous prenons des contacts avec des entreprises en Suisse alémanique. Fch: Vous avez donc parlé des obstacles dans plusieurs do-maines et de l’importance de la motivation… LV: C’est vraiment la motivation et la détermination qui sont indispensables: celles des parents, des écoles, des in-stances politiques, des organisations faîtières. … Moi qui suis Français, cela fait 20 ans que je suis venu en Suisse. Quand je suis arrivé, je me réjouissais de trouver un pays dans lequel tout le monde devait parler deux ou trois langues et puis j’ai été étonné de découvrir à quel point il était difficile de favoriser les échanges. Fch: Comment votre entreprise prépare-t-elle les apprentis aux échanges? LV: Nous leur donnons des cours de langues supplémen-taires et puis nous construisons ces séjours comme de vrais projets. Nous assurons toute une préparation et un suivi, avant, pendant et après, avec des objectifs clairs et planifiés. Le partenaire sur place organise l’accueil. Pendant le séjour, une supervision régulière et des évaluations ont lieu avec le chef de projet et les formateurs . Nous attendons maintenant leur retour pour mesurer tous les impacts, faire le bilan et améliorer les futurs séjours. Ils sont donc coachés du début à la fin. Fch: Quel genre de coaching? LV: Un coaching essentiellement pédagogique. On a man-daté quelqu’un pour cela. Le volet scolaire est assuré par l’école et le côté technique par nous ou par notre partenaire. On y tient beaucoup parce qu’on ne voulait pas que les jeunes aient un choc culturel ou qu’ils courent le risque de décrocher au niveau scolaire ou relationnel.

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BOBST SA, impresa pioniere nelloscambio di apprendisti Intervista a Franck Le Vallois, responsabile Formazione e Sviluppo

Fondata 120 anni fa, la BOBST SA è at-tiva nella produzione di macchine per l’industria degli imballaggi e ha svilup-pato molto presto una vocazione in-ternazionale. L’impresa può senz’altro considerarsi un pioniere nello scambio di apprendisti, dato che il suo impegno in questo settore è iniziato negli anni 1970 con un progetto con la Rieter AG. Secon-do la filosofia aziendale della BOBST SA, gli scambi sono un aspetto indispensa-bile della formazione dei futuri collabo-ratori – una convinzione che trae spunto dall’esperienza personale del suo fon-datore. Sin dall’inizio l’azienda ha attirato i giovani, interessati all’apprendimento di altre lingue e all’opportunità di viaggiare.

Franck Le Vallois, responsabile del re-parto Formazione e Sviluppo, conosce bene i problemi posti dallo scambio di apprendisti, soprattutto dal fatto che i giovani passano tre quarti del tempo in azienda e un quarto a scuola. Grazie al sostegno di Michel Tatti, direttore del Centre professionnel du Nord Vaudois con sede a Yverdon-les-Bains, è stato possibile trovare una soluzione: gli ap-prendisti si collegano settimanalmente via internet con la loro scuola in modo da non perdere le lezioni.

Testimonianze di due stage professionali presso la Fondazione ch

Simone Rossi e Genneta Sadikovic, due ragazzi ticinesi, stanno lavorando presso la Fondazione ch per la collaborazione confe-derale nell’ambito del programma di stage Piaget/Primo Impiego. Genneta Sadikovic vi partecipa da cinque mesi mentre Simone Rossi ha appena incominciato la pratica. Questo programma, or-ganizzato dalla Fondazione ch stessa su mandato della Segreteria di Stato dell’economia (SECO), permette ai giovani diplomati iscritti agli uffici regionali di collocamento (URC) di esercitare la propria professione in un’altra regione linguistica della Sviz-zera. Obiettivi principali sono acquisire competenze professio-nali, approfondire la conoscenza di una lingua nazionale e fare un’esperienza personale. Questa possibilità è aperta a tutte le professioni e a tutte le regioni della Svizzera, lo stage può essere svolto in qualsiasi azienda che disponga di una struttura abilitata alla formazione degli apprendisti. Lo stage prevede quattro giorni di lavoro e un giorno libero a settimana per seguire un corso di lingua obbligatorio e finanziato dal programma.

Simone, Genneta, qual è il vostro percorso formativo e profes-sionale e perché avete deciso di partecipare al programma Primo impiego della Fondazione ch?

Simone: Dopo aver svolto un apprendistato di tre anni ed aver ottenuto il diploma di impiegato di commercio con formazione estesa, ho deciso di partire per un corso di lingue in Inghilterra, un’esperienza bellissima che mi ha arricchito culturalmente e che ha migliorato le mie conoscenze linguistiche. Una volta tornato in Ticino mi sono iscritto alla disoccupazione, e già nel primo colloquio, il consulente mi ha sottoposto il pro-gramma Primo impiego che ha suscitato subito il mio interesse. Sono una persona che ama conoscere nuove culture e migliorare il proprio bagaglio linguistico. Genetta: Al terzo anno di scuola presso il Centro professionale di Trevano come informatica ho partecipato a una presentazione informativa su questo programma: per me l’obiettivo numero uno era andare fuori dal Ticino. Ho scelto questa possibilità con entusiasmo, visto che non trovavo lavoro dopo l’ottenimento del diploma. A parte uno stage di due mesi durante la formazione, non avevo mai lavorato prima come informatica.

Il programma «Leonardo da Vinci», gestito dalla Fondazione ch, prevede anche un sostegno finanziario per le famiglie che rende l’offerta accessibile anche ai meno abbienti. È quindi anche grazie alla Fondazione ch e i suoi partner che i giovani possono partecipare a uno scambio. Per la prima volta gli apprendisti beneficiano anche di una collaborazio-ne tra tre partner: la BOBST SA, il Centre professionnel du Nord Vaudois e Swiss Occidental Leonardo.

In ultima analisi quello che conta è la motivazione e la determinazione delle aziende, dei genitori, delle scuole, delle autorità politiche e delle associazioni di categoria.

La BOBST SA prepara gli apprendisti allo scambio offrendo loro corsi di lingua supplementari. Assicura la preparazio-ne e il follow-up prima, durante e dopo lo scambio fissando obiettivi chiari e pianificati. Il partner sul posto organizza l’accoglienza degli apprendisti. Durante lo scambio il capoprogetto e i formatori garantiscono una supervisione regolare e valutazioni periodiche.

Informazioni raccolte il 17 novembre 2011 da Edith Funicello, Fondazione ch per la collaborazione confederale, in occasio-ne del Congresso nazionale sullo scam-bio 2011.

Fch: Quels en sont les coûts? LV: On n’a pas encore calculé les investissements cachés, c’est-à-dire toutes les heures que nous y passons, ce qui est fi-nalement inclus dans notre mission d’entreprise formatrice. Le mandat externe nous revient à 20’000 CHF environ. Il englobe la préparation conséquente du dossier à l’attention de la Fondation ch, le suivi avec l’entreprise partenaire, l’école et les parents, la préparation des jeunes et leur supervision, l’évaluation, etc. Fch: Une dernière question: à l’âge de vos apprentis, auriez-vous aimé participer à un échange? LV: Oui en effet, je regrette de ne parler ni l’allemand ni l’italien, ou encore le chinois ou l’arabe! Les polyglottes sont des gens qui s’enrichissent considérablement. Parce que der-rière une langue il y une culture, une histoire. Le métissage culturel est toujours un ressort extraordinaire pour l’évolution, l’innovation et le développement.

Propos recueillis le 17.11.2011 par Edith Funicello, Fondation ch pour la collaboration confédérale, lors du Congrès suisse sur l’échange 2011

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Berichte über zwei Berufspraktika bei der ch Stiftung

Simone Rossi und Genneta Sadikovic, ein junger Tessiner und eine junge Tessinerin, arbeiten im Rahmen des Praktikumspro-gramms Piaget/Offene Stellen bei der ch Stiftung für eidgenössische Zusammen-arbeit. Dieses Programm, das die ch Stif-tung im Auftrag des Staatssekretariats für Wirtschaft (SECO) organisiert, er-möglicht es jungen Berufsleuten, die bei den Regionalen Arbeitsvermittlungszen-tren (RAV) angemeldet sind, den eigenen Beruf in einer anderen Sprachregion der Schweiz auszuüben. Ein solches Prak-tikum gibt den Teilnehmenden die Ge-legenheit, berufliche Kompetenzen zu erwerben, die Kenntnisse einer anderen Landessprache zu vertiefen und eine persönliche Erfahrung zu machen. Eine Programmteilnahme steht allen Berufs-gruppen und Regionen der Schweiz of-fen. Eine Anstellung ist in jedem Betrieb möglich, der für die Lehrlingsausbildung qualifiziert ist. Das Praktikum umfasst vier Arbeitstage und einen freien Tag pro Woche, um einen obligatorischen Sprachkurs zu absolvieren, der vom Pro-gramm finanziert wird.

Simone und Genneta verfügen zwar über einen sehr unterschiedlichen Werde-gang, haben aber etwas gemeinsam: Sie möchten ihre Sprachkenntnisse verbes-sern und haben den Mut, sich der He-rausforderung zu stellen, die mit der Inte-gration in ein völlig neues Arbeitsumfeld verbunden ist. Simone steht mit seiner Arbeit in einem Umfeld, in dem vor allem Deutsch gesprochen wird, noch ganz am Anfang. Genneta kann sich hingegen be-reits über die grossen Fortschritte freu-en, die sie erzielt hat.

Im Rahmen des Programms verbessern die beiden nicht nur die eigenen Sprach-kenntnisse, sondern machen auch Fort-schritte in anderen Bereichen und ergän-zen so ihre beruflichen Kenntnisse. Dabei sind sie sich bewusst, dass das Prakti-kum ernst zu nehmen ist. Es wird zudem zu einem Bestandteil ihres Lebenslaufes und kann zu einem echten Sprungbrett für die eigene Karriere werden.

Für Informationen zum Programm «Offene Stellen»www.ch-go.ch/programme/piaget oder [email protected]

Témoignages à propos de deux stages professionnels effectués à la Fondation ch

Simone Rossi et Genneta Sadikovic, deux jeunes tessinois, effectuent ac-tuellement un stage à la Fondation ch pour la collaboration confédérale dans le cadre du programme Piaget/Pre-mier Emploi. Ce progamme, géré par la Fondation ch elle-même sur mandat du Secrétariat d’État à l’économie (SECO), permet aux jeunes diplômés inscrits auprès d’un Office régional de place-ment d’exercer leur métier dans une autre région linguistique de la Suisse. Les objectifs premiers sont d’acquérir des compétences professionnelles, d’approfondir la connaissance d’une langue nationale et de vivre une ex-périence personnelle. Le programme est ouvert à toutes les professions et à toutes les régions suisses, et le stage peut se dérouler dans toute entreprise disposant d’une structure habilitée à la formation d’apprentis. Le stage prévoit quatre jours de travail et un jour libre par semaine pour suivre un cours de langue obligatoire, financé par le programme.

Malgré leurs cursus différents, les deux stagiaires ont deux choses en com-mun: la volonté d’améliorer leurs con-naissances linguistiques et le courage nécessaire pour s’intégrer dans un mi-lieu professionnel qu’ils ne connaissent absolument pas. Si Simone commence tout juste à faire ses premières armes dans un environnement de travail où l’on parle essentiellement allemand, Gen-neta peut d’ores et déjà s’enorgueillir d’avoir réalisé de grands progrès.

Et ce n’est pas seulement dans la maîtri-se d’une langue étrangère qu’ils pro-gressent mais également dans d’autres domaines, renforçant ainsi leur baga-ge professionnel. Car ce stage est à prendre on ne peut plus au sérieux, il ne faut pas l’oublier. Il sera, en effet, inscrit à jamais dans le curriculum et peut deve-nir un véritable tremplin de carrière.

Pour plus d’informations sur le programme premier emploi :www.ch-go.ch/programme/piaget ou [email protected].

Come vi trovate con la lingua tedesca? Simone: Ho appena iniziato il mio periodo di pratica professio-nale, le mie conoscenze del tedesco sono di livello scolastico, capi-sco tutto quello che mi viene detto e riesco a rispondere in maniera semplice. Anche se faccio tanti errori nell’esprimermi oralmente, cerco sempre di buttarmi. Frequento anche un corso di lingua e sono sicuro che con impegno e determinazione otterrò dei buoni risultati. Genneta: A me è sempre piaciuto il tedesco. All’inizio pensa-vo di abitare da sola ma poi ho accettato di avere un coinquilino: un’ottima scelta! E’ un ragazzo giovane che parla solo tedesco: lui mi corregge e anche al lavoro chiedo sempre se faccio errori. Ho deciso di fare un altro corso di un livello più alto, sempre nella stes-sa scuola, e sono contenta. In generale, mi sembra di avere fatto tantissimi progressi, soprattutto nel vocabolario e nella fluidità.

Quali sono le competenze professionali che pensate di avere sviluppato? Simone: Ho svolto un apprendistato in una grossa azienda che mi ha permesso di conoscere tutti i reparti. La mia formazione mi regala buone soddisfazioni. Lo stage mi ha mostrato aspetti con i quali non avevo ancora avuto modo di confrontarmi. Ho capito che la formazione, in fondo, non finisce mai! Genneta: Ho migliorato le mie competenze soprattutto nell’organizzazione del tempo. Ora so come fare quando mi vie-ne data una scadenza, mi so autogestire. Inoltre ho imparato a prendere iniziative. A scuola era tutto definito, non potevo uscire dai margini. Consigliereste questa esperienza? Cosa farete alla fine dello stage? Simone: Sì, è un’esperienza arricchente a livello personale, soprattutto se si è giovani ed è la prima volta che si va via. Biso-gna comunque tenere presente che si tratta di un lavoro vero, da prendere sul serio. Alla fine dello stage mi piacerebbe fare un’altra esperienza professionale all’estero. Genneta: Sì, è una gran bella esperienza! Comunque è im-portante non prendere questo stage sottogamba. Il lavoro è da prendere sul serio! Si lavora, l’azienda poi figurerà nel curriculum vitae e nelle referenze. Lavorerò ancora per tre mesi qui alla Fon-dazione ch, con l’eventuale possibilità di prolungare il contratto.

Per informazioni sul programma Primo impiego:www.ch-go.ch/programme/piaget oppure [email protected].

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La scuola d’arti e mestieri e l’offerta di stage in esterno per apprendisti

Testo: Ing. Cecilia Beti, Vicedirettrice Centro professionale di Trevano

La Scuola d’arti e mestieri di Trevano è una scuola a tempo pieno che offre formazioni nei settori della costruzione (disegnatori e disegnatrici indirizzo architettura e ingegneria civile) e delle tec-nologie innovative (informatica e elettronica multimediale). La caratteristica della scuola è di essere anche datore di lavoro. La parte pratica della formazione avviene presso i nostri laboratori permettendoci di applicare concretamente le nozioni teoriche. Al fine di rendere gli/le apprendisti/e più autonomi e responsabi-li, la scuola promuove degli stage presso delle aziende esterne. Questo ci permette anche di avere un collegamento diretto con la realtà del mondo del lavoro e perciò di valutare continuamente la formazione impartita a scuola. La sezione del disegno organizza degli stage di sei mesi presso studi di ingegneria e architettura della Svizzera tedesca durante il terzo anno di formazione, quan-do i/le giovani hanno 17 o 18 anni. Questo progetto, che vanta ormai già dieci anni di esperienza, è portato avanti con entusias-mo dalla scuola in quanto dona risultati molto positivi. I/le gio-vani devono mettersi in gioco come apprendista e come persona. Devono affrontare consegne con nuove forme ed esprimersi in una lingua che conoscono appena. Devono anche arrangiarsi ad affrontare i compiti quotidiani che solitamente non incontrano a casa nel loro ruolo di studenti. Avviene una metamorfosi che permette al/alla giovane di crescere, di entrare nel mondo degli adulti, di rendersi conto di avere un ruolo importante nella socie-tà. In questi anni, in cui sono stati promossi circa duecento stage, si sono presentate incomprensioni unicamente in due occasioni. Alla base del successo dell’esperienza ci sono regole e obiet-tivi chiari che vengono stabiliti fra la Scuola d’arti e mestieri, l’azienda che offre l’opportunità, il/la ragazzo/a e la sua famiglia. Un responsabile della scuola visita l’azienda all’inizio e alla fine dello stage per verificare la soddisfazione di tutte le parti coinvolte. Lo stage è valutato mensilmente dall’azienda per controllare lo sviluppo dell’apprendista. Da parte sua, chi fa lo stage deve tenere un diario di lavoro che è visionato dal responsabile della formazio-ne professionale della scuola e che permette di sapere quali sono le attività svolte. Molto importante è anche la comunicazione fra scuola, azienda e apprendista nel corso dello stage. L’apprendista, nel corso dello stage, frequenta ogni due settimane per due giorni le lezioni di maturità professionale tecnica. In questi momenti c’è la possibilità di verificare l’andamento della pratica.

Offerta da ampliareL’esito positivo del progetto è sottolineato anche dalla disponi-bilità di collaborazione continua di numerosi studi. Proprio per ampliare questa importante opportunità sono organizzati degli stage della durata di due mesi anche per apprendisti/e della se-zione informatica del terzo anno. Da quest’anno la Scuola d’arti e mestieri di Trevano incoraggia tutti gli apprendisti a svolgere un’attività pratica in esterno. Al fine di favorire questi stage è sta-to deciso di mettere a disposizione il periodo di attività pratiche, dalla conclusione delle lezioni teoriche, all’incirca a metà giugno, fino alla fine della scuola, ossia alla fine di giugno. Coloro che troveranno un datore di lavoro esterno che offrirà loro un’attività professionale nel ramo della formazione avranno a disposizio-ne perciò le due settimane, mentre gli altri svolgeranno i lavori pratici presso i laboratori di scuola con i docenti dell’ambito professionale.

Esperienze di successoAbbiamo numerose esperienze che testimoniano la valenza po-sitiva e importante degli stage in esterno. Diversi disegnatori e disegnatrici che hanno concluso la Scuola d’arti e mestieri, otte-nendo l’Attestato Federale di Capacità e la Maturità Professionale Tecnica, sono tornati presso lo studio di architettura o ingegneria della Svizzera tedesca a lavorare come professionisti qualificati. Proprio loro hanno poi investito il ruolo di nostre persone di ri-ferimento per organizzare nuove esperienze per altri apprendisti.

Alla base del successo dell’esperienza ci sono regole e obiettivi chiari che vengono stabiliti fra la Scuola d’arti e mestieri, l’azienda che offre l’opportunità, il/la ragazzo/a e la sua famiglia.

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L’école professionnelle des arts et métiers (SAM) de Trevano et l’offre de stages hors canton pour apprenti-e-sTexte: Cecilia Beti, ingénieur et vice-directrice du centre professionnel de Trevano

L’école professionnelle des arts et métiers (SAM, Scuola d’arti e mestie-ri) de Trevano est une école à temps plein offrant des formations dans les domaines de la construction (dessi-nateur et dessinatrice spécialisé-e en architecture et ingénierie civile) et des nouvelles technologies (informatique et électronique multimédia). Depuis dix ans, l’école promeut des stages en en-treprise hors canton. Pour les jeunes de la section « dessin », il s’agit de stages de six mois effectués lors de la troi-sième année de formation. Ceux-ci ont lieu dans des bureaux d’ingénieurs et d’architectes de Suisse alémanique.Sur la base des succès rencontrés, des règles et des objectifs clairs sont fixés entre l’école des arts et métiers, l’entreprise offrant le stage, l’élève et sa famille. Un responsable de l’école se rend dans l’entreprise afin de vérifier si le stage se déroule convenablement pour toutes les parties intéressées. Le stage fait l’objet d’une évaluation men-suelle, qui permet de voir le parcours effectué par l’apprenti-e. De son côté, l’élève effectuant le stage doit tenir un journal de bord qu’il remettra au respon-sable de la formation professionnelle de l’école. La communication entre l’école, l’entreprise et l’apprenti-e est aussi très importante lors du stage. Durant cette période, l’apprenti-e suit toutes les deux semaines, pendant deux jours, des cours en vue de l’obtention de la maturi-té professionnelle technique à Trevano. Il est alors possible de vérifier les progrès du stage. Pour renforcer la collaboration continue avec des entreprises, des stages d’une durée de deux ans sont aussi organisés à partir de cette année pour les appren-ti-e-s de troisième année de la section informatique. L’école se félicite des nombreuses ex-périences témoignant de la valeur po-sitive et de l’importance des stages à l’extérieur. Plusieurs dessinateurs et dessinatrices ayant achevé l’école pro-fessionnelle des arts et métiers (Scuola d’arti e mestieri, SAM) et obtenu le cer-tificat fédéral de capacité et la maturité professionnelle technique sont même retournés travailler en tant que profes-sionnels qualifiés au sein du bureau d’architectes ou d’ingénieurs de la Suisse alémanique.

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Die Scuola d’arti e mestieri fördert Berufspraktika in der Deutschschweiz Text: Ing. Cecilia Beti, Vizedirektorin Centro Professionale Trevano

Die Scuola d’arti e mestieri in Trevano ist eine Vollzeitschule, die Ausbildungen in den Bereichen Bauwesen (Zeichne-rinnen und Zeichner Richtung Architektur sowie Hoch- und Tiefbau) und innovative Technologien (Informatik und Multime-diaelektronik) anbietet. Seit zehn Jahren fördert die Schule Praktika bei externen Firmen. Für die Jugendlichen, welche die Abteilung Zeichnen besuchen, handelt es sich um sechsmonatige Praktika, die im dritten Lehrjahr stattfinden. Einige wer-den bei Architektur- und Ingenieurbüros in der Deutschschweiz organisiert. Das erfolgreiche Angebot beruht auf kla-ren Regeln und Zielen, die zwischen der Scuola d’arti e mestieri, dem Betrieb, der das Praktikum ermöglicht, und der/dem Jugendlichen und ihrer/seiner Familie ver-einbart werden. Ein Verantwortlicher der Schule besucht das Unternehmen und überprüft, ob alle beteiligten Parteien zufrieden sind. Das Praktikum wird mo-natlich vom Unternehmen evaluiert. Da-bei zeigt sich der Entwicklungsstand der/des Lernenden. Diese/r führt während des Praktikums ein Arbeitstagebuch, zu dem die für die Berufsausbildung der Schule zuständige Person Zugang hat. Sehr wichtig ist in dieser Zeit auch die Kommunikation zwischen der Schule, dem Unternehmen und der/dem Ler-nenden. Letztere/r besucht während des Praktikums alle zwei Wochen für zwei Tage die Lektionen, die im Rahmen der technischen Berufsmaturität in Trevano erteilt werden. Dabei lässt sich überprü-fen, wie es um die praktischen Kennt-nisse bestellt ist.Um die Möglichkeiten zu einer anhal-tenden Zusammenarbeit mit zahlreichen Unternehmen zu erweitern, werden ab diesem Jahr auch zweimonatige Praktika für Lernende der Informatikabteilung im dritten Jahr durchgeführt. Die Schule kann mit zahlreichen Bei-spielen aufwarten, die von positiven und wichtigen Erfahrungen mit exter-nen Praktika zeugen. Verschiedene Zeichnerinnen und Zeichner, welche die Scuola d’arti e mestieri mit einem Eid-genössischen Fähigkeitszeugnis oder der technischen Berufsmaturität abge-schlossen haben, kehrten anschliessend als qualifizierte Fachleute in Architek-tur- oder Ingenieurbüros der Deutsch-schweiz zurück.

Das erfolgreiche Angebot beruht auf klaren Regeln und Zielen, die zwischen der Scuola d’arti e mestieri, dem Betrieb, der das Prakti-kum ermöglicht, und der/dem Jugendlichen und ihrer/seiner Familie vereinbart werden.

Sur la base des succès rencontrés, des règles et des objectifs clairs sont fixés entre l’école des arts et métiers, l’entreprise offrant le stage, l’élève et sa famille.

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LTD’U N°57 INFO 26 13

Échanges et mobilité dans le cadre dela formation professionnelle au TessinLa Division de la formation profes-sionnelle du Tessin organise des échanges professionnels Texte : Andrea Togni

Au cours des 20 dernières années, quel-que 600 jeunes Tessinois ont vécu une expérience professionnelle positive à l’étranger. Cette mobilité est possible grâce aux programmes Eurodyssée, Xchange et Leonardo da Vinci. Forts de cette expérience, ces jeunes sont par-venus à améliorer leurs compétences linguistiques, personnelles, sociales et professionnelles.

En savoir plus— Eurodyssée (stages professionnels pour jeunes diplômés, www.eurodyssee.eu)

— Xchange (stages professionnels pour apprentis, www.xchange-info.net)

— Leonardo da Vinci (stages professionnels pour étudiants et diplômés d’écoles professionnelles, www.ch-go.ch)

Informations supplémentairesvoir version italienne

Gli scambi e la mobilità nella formazione professionale in TicinoLa Divisione della formazione professionale in Ticino organizza scambi professionali offrendo ai giovani opportunità importanti per il loro futuro professionale. Testo: Andrea Togni

Il Cantone Ticino organizza soggiorni all’estero per i giovani. Da venti anni partecipa agli scambi Eurodyssée (stage professionali per diplomati/laureati www.eurodyssee.eu) con finora circa 200 partecipanti outgoing (in uscita dal Ticino) e 200 incoming (in entrata in Ticino).Da dieci partecipa agli scambi Xchange (stage professionali per apprendisti, www.xchange-info.net), ai quali finora hanno preso parte 150 apprendisti outgoing e 90 apprendisti incoming. Sem-pre da dieci anni, partecipa agli scambi Leonardo da Vinci (stage professionali per studenti e diplomati delle scuole professionali, www.ch-go.ch), con finora 250 partecipanti outgoing e 80 par-tecipanti incoming.In totale, circa 600 giovani ticinesi hanno svolto con successo un’esperienza professionale all’estero, migliorando le proprie competenze linguistiche, personali, sociali e professionali. L’esperienza è positiva e la Formazione professionale in Ticino è fiera di continuare ad offrire ai propri giovani delle opportunità così importanti per il loro futuro professionale.

Per maggiori informazioniAndrea TogniDipartimento dell’educazione, della cultura e dello sport Divisione della formazione professionale Servizio Lingue e stage all’estero c/o Centro professionale Trevano Casella postale 70 6952 Canobbio Tel. 091 815 10 71 www.ti.ch/lingue-stage e-mail: [email protected]

Austausch und Mobilität in der Berufsbildung im Tessin Die Tessiner «Divisione della forma-zione professionale» (Abteilung für Berufsbildung) organisiert berufliche Austauschprojekte.Text: Andrea Togni

In den letzten zwanzig Jahren absol-vierten rund 600 junge Tessinerinnen und Tessiner Berufspraktika im Ausland. Diese fielen stets zur vollsten Zufrieden-heit aus. Möglich ist eine solche Mobili-tät dank den Programmen Eurodyssé, Xchange und Leonardo da Vinci. Solche Erfahrungen bieten den Jugendlichen die Gelegenheit, die eigenen sprach-lichen, persönlichen, sozialen und beruf-lichen Kompetenzen zu verbessern.

Zusätzliche Details — Eurodyssée (Berufspraktika für Diplomierte und Hochschul- absolventen: www.eurodyssee.eu)

— Xchange (Berufspraktika für Lernende: www.xchange-info.net)

— Leonardo da Vinci (Berufspraktika für Studierende und Diplomierte der Berufsschulen: www.ch-go.ch)

Weitere Informationens. italienischer Text

Dissertation zum Thema «Berufspraktika von Lernenden in der Region Oberrhein»Text: Dr. des. Katharina Höchle Meier, Universität Basel

In ihrer Dissertation analysiert Katharina Höchle Meier die Vorstellungen von Berufspraktika, wie sie im Diskurs der Akteure (Lernende, Studierende, die ein Praktikum absolvieren, Ausbildungs-, und Personalverantwortliche sowie Unternehmensleiter), anzutreffen sind. Im Zentrum des Interesses stehen die Fragen, inwieweit sich die Aussagen der verschiedenen Verantwortlichen der Firma von denjenigen der jungen Teil-nehmenden unterscheiden und welche Rolle die Mehrsprachigkeit in Unterneh-men ganz allgemein und bei den Praktika im Besonderen spielt.

[email protected]

Thèse en cours: «Construction discursive des représentations de stages professionnels dans des entreprises de la région du Rhin supérieur»Texte: Dr. des. Katharina Höchle Meier, Université de Bâle

Dans sa thèse sous la direction du Prof. Dr. Georges Lüdi, Katharina Höchle Meier analyse les représentations de stages professionnels telles qu’on peut les trouver dans le discours des acteurs (apprentis/étudiants en stage, responsables dans les en-treprises). Les questions sous-jacentes centrales sont entre autres celles de savoir dans quelle mesure le discours de l’entreprise sur les stages se distingue de celui des jeunes participants et quel est le rôle du plurilinguisme dans l’entreprise en général et dans les stages en particulier.

[email protected]

Dissertazione sugli stage professionali nelle aziende della regione del Reno superiore Testo: Dr. des. Katharina Höchle Meier, Università di Basilea

Nella sua dissertazione, Katharina Höchle Meier analizza le rappresenta-zioni degli stage professionali che com-paiono nei racconti dei diretti interessati (apprendisti/studenti in stage, respon-sabili aziendali). Si focalizza soprattutto sulla misura in cui i racconti dell’impresa si scostano da quelli dei giovani par-tecipanti e sul ruolo del plurilinguismo nell’impresa in generale e durante lo stage in particolare.

[email protected]

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LTD’U N°5714 INFO 26

Imparare l’inglese in Svizzera? No problem, welcome to Longbridge!Testo: Karin von Siebenthal, Oberdorf

I giovani che vogliono lasciare la Sviz-zera tedesca per una full immersion di un weekend o di una settimana in un universo anglofono possono iscriversi a un corso di inglese a «Longbridge», che altro non è che Langenbruck (BL), citta-dina nel Cantone di Basilea-Campagna. Nella struttura che ospita i corsi le pa-reti sono tappezzate di poster e cartine geografiche dei Paesi dove si parla in-glese. Ogni corso tratta di volta in volta temi legati alla tradizione anglosassone, quali ad esempio «Thanksgiving», «St. Patrick’s Day» o «Route 66».

Per gli insegnanti responsabili dei corsi, tutti di comprovata esperienza e provenienti da Stati Uniti, Canada, Gran Bretagna e Australia, la lingua ufficiale a «Longbridge» è l’inglese, ovviamente. I partecipanti beneficiano di un’assistenza pressoché individua-le, dato che è previsto un insegnante ogni cinque allievi. La responsabile del progetto, Karin von Siebenthal, è inse-gnante di lingua inglese e docente di didattica speciale inglese all’Alta scuola pedagogica della Svizzera nord-occi-dentale di Liestal.I Dipartimenti dell’educazione dei Can-toni di Argovia, Basilea-Campagna e Basilea-Città offrono i corsi che han-no luogo nel fine settimana al costo di 80 franchi. Il prezzo include le lezioni, l’assistenza didattica, il vitto, l’alloggio e il materiale. La «University of Cambridge ESOL Examinations Basel & Jura» so-stiene invece, in qualità di sponsor, i cor-si che si svolgono durante la settimana e il cui costo è di 595 franchi a persona.

Informazioni e contattovedere versione tedesca

Immersives Englischlernen in LongbridgeText: Karin von Siebenthal, Oberdorf

In Langenbruck (Longbridge), Kanton Basel-Landschaft, tau-chen Jugendliche an Wochenend- und Wochenkursen ganz in die englischsprachige Welt ein. Die Wände des Lagerhauses, in dem die Kurse stattfinden, sind mit Postern und Landkarten von jeweils unterschiedlichen englischsprachigen Ländern ausge-stattet. Jeder Kurs ist ausserdem einem bestimmten Thema ge-widmet, beispielsweise dem «Thanksgiving», dem «St. Patrick’s Day» oder der «Route 66».

Die Leiterinnen und Leiter in Longbridge sprechen ausschliess-lich Englisch. Sie kommen aus Nordamerika, Grossbritannien oder Australien und haben bereits Erfahrung als Lagerleite-rinnen und Lagerleiter. Die Betreuung der Jugendlichen ist bei einem Verhältnis von mindestens einem Leiter auf fünf Jugend-liche intensiv. Die Projektverantwortliche, Karin von Siebenthal, ist Englischlehrerin und Dozentin für Fachdidaktik Englisch an der Pädagogischen Hochschule FHNW in Liestal.

Die Wochenendkurse werden von den Erziehungsdirektionen der Kantone Aargau, Baselland und Basel-Stadt angeboten und kosten 80 Franken. Inbegriffen sind Unterricht, Betreuung, Unterkunft, Verpflegung und Material. Für die Wochenkurse konnte die «University of Cambridge ESOL Examinations Basel & Jura» als Sponsor gewonnen werden. Der Preis für einen Wo-chenkurs liegt bei 595 Franken pro Person.

Weitere Infos und KontaktKarin von Siebenthal Wintenbergweg 114436 Oberdorfwww.longbridge.ch

Apprendre l’anglais par immersionà LongbridgeTexte: Karin von Siebenthal, Oberdorf

Les jeunes qui participent à un cours d’anglais à Langenbruck (BL) ne restent en réalité pas à Langenbruck: ils gagnent la ville anglophone de Longbridge. Les murs de la maison dans laquelle sont donnés les cours de langue sont cou-verts d’affiches et de cartes de divers pays anglophones. Chaque cours est en outre consacré à un thème particulier, comme la «Thanksgiving», la «Saint-Patrick» ou la «Route 66».

A Longbridge, les responsables par-lent exclusivement anglais. Originaires d’Amérique du nord, de Grande-Bre-tagne ou d’Australie, ils disposent d’expérience en tant que responsables de camps. L’encadrement est idéal, avec un minimum d’un(e) responsable pour cinq jeunes. Karin von Siebenthal, la responsable de projet, est enseignante d’anglais et professeure de didactique anglaise à la Haute école pédagogique de Liestal (FHNW).Les cours du week-end sont dispen-sés par la direction pédagogique des Cantons d’Argovie, de Bâle-campagne et de Bâle-ville et coûtent 80 francs. Ils comprennent les cours, l’encadrement, l’hébergement, les repas et le matériel. Les cours en semaine sont sponsorisés par l’University of Cambridge ESOL Ex-aminations Basel & Jura et coûtent 595 francs par personne.

Contact et informationsvoir version allemande

Kurse in Langenbrücke (Longbridge) sind einem Thema aus dem englischen Sprachraum gewidmet

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15INFOchLTD’U N°57

Austauschstatistik 2010/11

Die ch Stiftung nimmt alljährlich eine quantitative Aufbereitung von Aus-tauschaktivitäten im schulischen Be-reich vor. Sie arbeitet bei der Erhebung der Zahlen eng mit den kantonalen Bildungsdirektionen zusammen. Zu-sätzlich zur Anzahl realisierter Projekte wurde im Schuljahr 2010/11 erstmals die Anzahl der teilnehmenden Schüler und Schülerinnen an Austauschprojekten ermittelt. Bei den Austauschaktivitäten von Schulklassen zeigt die Umfrage ten-denziell rückläufige Zahlen. Bei den Ein-zelaustauschen jedoch ist die Zahl mar-kant gestiegen. Die zusammenfassende Übersicht kann heruntergeladen werden unter: www.ch-go.ch/publikationen.

Statistique des échanges 2010/11

La Fondation ch est chargée de procéder chaque année au traitement quantitatif des activités d’échange dans le domaine scolaire. Pour le relevé des données, elle collabore étroitement avec les dé-partements cantonaux de l’instruction publique. Outre le nombre de projets réalisés, la statistique pour l’année sco-laire 2010/11 établit pour la première fois le nombre d’élèves ayant participé à des projets d’échange. Concernant les ac-tivités d’échange de classes, l’enquête fait ressortir une tendance à la baisse. En revanche, le nombre d’échanges in-dividuels est en nette progression. Le tableau de synthèse est disponible en téléchargement à l’adresse: www.ch-go.ch/publikationen.

Statistica degli scambi 2010/2011

La Fondazione ch compila ogni anno una statistica delle attività di scambio scolastico. Il rilevamento dei dati viene realizzato in stretta collaborazione con i dipartimenti cantonali dell’educazione. Nell’anno scolastico 2010/2011, oltre ai progetti realizzati è stato rilevato per la prima volta il numero di allievi che hanno partecipato a progetti di scambio. Ri-spetto agli anni precedenti la statistica mostra un calo tendenziale degli scam-bi di classi, a fronte di un netto aumento degli scambi individuali. Un prospetto riassuntivo della statistica è disponibile al link: www.ch-go.ch/publikationen.

Vierter Schweizerischer Austauschkongress17./18. November 2011 Verkehrshaus Luzern

Im November letzten Jahres führte die ch Stiftung für eidgenössische Zusammen-arbeit zum vierten Mal den Schweizerischen Austauschkongress durch. Rund 200 Teil-nehmende aus allen Landesteilen bildeten sich in Luzern weiter und besuchten Ateliers und verschiedene Referate ausgewiesener Fachpersonen im Bereich der Austauschför-derung. Der Kongress fand in Zusammenarbeit mit dem Bildungs- und Kulturdepartement des Kantons Luzern und der Pädagogischen Hochschule (PHZ Luzern) statt.Text: Edith Funicello und Mario Wittenwiler, ch Stiftung für eidgenössische Zusammenarbeit

Im Zentrum des letztjährigen Kongresses standen die Förderung von Austausch und Mobilität im Bildungsbereich in der Schweiz sowie ihre Bedeutung für den Zusammenhalt der Sprachregi-onen. Unter den Teilnehmenden waren Bildungsfachpersonen aller Schulstufen und aus der Berufsbildung sowie rund 30 Studenten und Studentinnen der Pädagogischen Hochschule Luzern. Sie trafen sich zu Referaten und Ateliers und nützten die Sprachenvielfalt als Chance zur interkulturellen Begegnung und Weiterbildung. Mit Fragen «aus der Praxis – für die Praxis» be-schäftigten sich die Ateliers am zweiten Kongresstag. Hier wur-den Themen aus den 14 Grundlagenateliers des Vortags vertieft und ihre Umsetzung in den Praxisalltag diskutiert: Wie gelingt Austausch? Was ist bei einem Austauschprojekt hilfreich? Wie können Lehrpersonen motiviert werden, Austauschprojekte vorzubereiten und durchzuführen? Was ist bei einem Lehrperso-nenaustausch zu beachten? Teilnehmende, die bereits an einem der vorangegangenen Kongresse dabei waren, und neu Hinzuge-stossene konnten sich in einer ungezwungenen Atmosphäre mit diesen Fragen des Austauschs auseinandersetzen.

4e Congrès suisse sur l’échange17/18 novembre 2011 au Musée des transports de Lucerne

La Fondation ch pour la collaboration confédérale a tenu au mois de nombre de l’année passée la quatrième édition du Congrès suisse sur l’échange. Le Congrès a été mis sur pied en collabora-tion avec le département de l’éducation et de la culture du canton de Lucerne et la «Pädagogische Hochschule» (PHZ) de Lucerne.

Lors du congrès, la promotion des échanges et de la mobilité dans le do-maine de l’éducation en Suisse et son rôle primordial pour la cohésion des régions linguistiques ont occupé le de-vant de la scène. Parmi les quelque deux cents participants figuraient des char-gés de formation et enseignants de tous les niveaux scolaires et du domaine de la formation professionnelle, ainsi qu’une trentaine d’étudiants de la «Pädago-gische Hochschule» de Lucerne. En-seignants, chargés de formation et étu-diants se sont retrouvés dans le cadre d’exposés et d’ateliers, mettant à profit la diversité linguistique comme un atout pour les rencontres interculturelles et la formation continue.Outre le perfectionnement professionnel et l’échange mutuel d’expériences, le congrès a également et dans une large mesure servi de plate-forme de ré-seautage. Des profils de classes ont été présentés sur un panneau d’affichage par les enseignants intéressés par les échanges, ce qui a permis de nouer des contacts et d’ébaucher de premières idées de projets. Un atelier et un débat ont été consacrés aux spécialistes du domaine de la formation professionnelle participant pour la première fois au con-grès. Apprenants et responsables de for-mation ont relaté les expériences qu’ils avaient effectuées en matière de mobilité durant leur formation professionnelle.

Aus dem Kompetenzzentrum für Austausch und Mobilität der ch Stiftung

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LTD’U N°5616 INFOch

Viel Platz für NetzwerkbildungNeben der fachlichen Weiterbildung und dem gegenseitigen Erfahrungsaustausch wurde der persönlichen Netzwerkbil-dung viel Platz eingeräumt. An einer Pinnwand präsentierten sich austauschinteressierte Lehrpersonen mit ihren Klassen-profilen. Kontakte konnten geknüpft und erste Projektideen geschmiedet werden. Den erstmals am Kongress teilnehmenden Fachleuten aus dem Berufsbildungsbereich waren sowohl ein Atelier als auch ein Podiumsgespräch gewidmet. Lernende und Ausbildungsverantwortliche berichteten über ihre Mobilitäts-erfahrungen während der Berufsausbildung. Gemäss Franck Le Vallois, Ausbildungschef der Firma BOBST SA, ist kulturelles Know-how ein wichtiger Baustein für den Geschäftserfolg: «Für die künftigen Berufsfachleute rechnen sich der Mut und der Mehraufwand ebenfalls, und zwar mit besseren Chancen auf dem Arbeitsmarkt.»

In der Beurteilung durch die Teilnehmenden schnitt der Kon-gress äusserst positiv ab. 93% der Befragten gaben an, ihr Gesamteindruck sei sehr gut oder gut gewesen (60% sehr gut; 33% gut). Stellvertretend dafür stehen folgende zwei Aussagen von Teilnehmenden: «Besonders profitiert habe ich von der Vielfalt der Angebote und den Möglichkeiten zum Erfahrungs-austausch» und «Super war der Kontakt zu Partnerschulen und deren Vertretern».

Quarto congresso nazionale sullo scambio 17-18 novembre 2011 al Museo dei trasporti di Lucerna

Nel novembre dello scorso anno si è te-nuto il quarto congresso nazionale sullo scambio organizzato dalla Fondazione ch per la collaborazione confederale, il Dipartimento dell’educazione e l’Alta Scuola Pedagogica della Svizzera cen-trale di Lucerna.

L’edizione 2011 del congresso si è focalizzata sulla promozione degli scambi e della mobilità nel settore dell’educazione in Svizzera e sulla loro importanza per la coesione delle regioni linguistiche. All’evento hanno partecipa-to circa 200 specialisti dell’educazione di tutti i livelli formativi (compresa la for-mazione professionale) e una trentina di studenti dell’Alta Scuola Pedagogica di Lucerna. I partecipanti hanno assistito agli interventi e agli atelier e hanno sfrut-tato le opportunità di perfezionamento e di incontro interculturale offerte dal convegno. Oltre che al perfezionamento profes-sionale e allo scambio di esperienze e di opinioni, il congresso è servito da piat-taforma per stringere contatti interper-sonali. Gli insegnanti interessati a uno scambio hanno presentato il profilo della loro classe su un pannello d’affissione, hanno allacciato contatti e delineato i primi spunti progettuali. Per la prima vol-ta sono stati organizzati anche un atelier e un dibattito destinati agli specialisti della formazione professionale. Le per-sone in formazione e i formatori hanno poi presentato le loro esperienze nel campo della mobilità durante la forma-zione professionale.

Der vierte Austauschkongress in Luzern bot den rund 200 Teilnehmerinnen und Teilnehmern Gelegenheit, Kontakte zu knüpfen und Austauschpartner zu finden.

Sprachassistenzprogramm (SAP)

Im Rahmen des Sprachassistenzpro-gramms SAP vermittelt die ch Stiftung As-sistenzplätze an Schulen im Ausland. Schweizer Studierende oder junge Lehrpersonen unterrichten dort in ih-rer Muttersprache und können so Un-terrichtserfahrungen sammeln.Gleichzeitig richtet sich das Angebot auch an Schweizer Schulen der Se-kundarstufe II. Diese Schulen erhalten die Gelegenheit, ausländische Studie-rende und Personen mit abgeschlos-senem Studium als Sprachassisten-tinnen oder -assistenten aufzunehmen.

Details unter:www.ch-go.ch/programme/sap

Programme d’assistants de langue (PAL)

Dans le cadre du programme d’assistants de langue PAL, la Fondation ch propose des places de stage dans des écoles à l’étranger. Elle permet ainsi à de jeunes étudiants ou enseignants suisses d’enseigner dans leur langue mater-nelle et d’acquérir de l’expérience pro-fessionnelle.Cette offre s’adresse également aux écoles suisses du degré secondaire II, qui ont en effet la possibilité d’accueil des étudiants ou jeunes diplômés étran-gers en tant qu’assistant(e)s de langue.

Pour de plus amples informations: www.ch-go.ch/programme/sap

Programma di assistenza linguistica (SAP)

Il Programma di assistenza linguistica offre la possibilità di svolgere un assi-stentato all’estero. La Fondazione ch si occupa della ricerca di posti di as-sistentato in scuole all’estero, dove gli studenti o i neodiplomati svizzeri inse-gnano la propria lingua e possono ma-turare esperienza nell’insegnamento. L’offerta è destinata anche alle scuole svizzere del livello secondario II, che possono proporre posti di assistenti linguistici a studenti e neoinsegnanti stranieri.

Per informazioni dettagliate consultare il link: www.ch-go.ch/programme/sap

> Informationenn zum diesjährigen Kongress finden Sie auf der Umschlagseite

> Vous trouverez des informations sur le congrès de cette année sur la page de couverture.

> Nella pagina di copertina sono riportate informazioni sul congresso nazionale 2012.

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LTD’U N°56 17INFOch

Collaborazione europea e mobilità nella formazione professionale – Leonardo da Vinci

Primo bilancio dei progetti di mobilità Leonardo 2011

Mentre si esaminano le candidature per i progetti 2012, la Fondazione ch presenta i primi risultati dei progetti di mobilità 2011. Il bilancio è globalmente positivo.

Se finora la mobilità internazionale non rientrava nelle priorità della formazio-ne professionale svizzera, la situazione potrebbe cambiare dopo che la Confe-renza sui posti di tirocinio 2011 ha adot-tato un piano di misure, dando un chiaro segnale a favore della mobilità nella for-mazione professionale. L’utilità dei soggiorni all’estero, in par-ticolare degli stage per le persone in formazione, è indiscussa. Tuttavia, le dif-ficoltà tutt’ora irrisolte - tra cui l’elevato bisogno di coordinamento fra i tre luoghi di formazione - fanno spesso dimentica-re che a trarre beneficio dai progetti non sono solo i giovani in formazione ma an-che le scuole professionali e le aziende formatrici che organizzano gli stage. È quanto emerge dai feedback delle orga-nizzazioni che stanno realizzando i primi progetti di mobilità Leonardo.Le scuole professionali di moda e deco-razione di Zurigo e di Wetzikon, nonché l’organizzazione del mondo del lavoro AgriAliForm confermano che gli stage all’estero valorizzano i cicli di formazione e sono un mezzo efficace per promuo-vere e dare visibilità alla formazione pro-fessionale.

Europäische Zusammenarbeit und Mobilität in der Berufsbildung – Leonardo da Vinci

Leonardo Mobilität 2011: Erste Resultate

Während die Projektanträge 2012 noch evaluiert werden, kann die ch Stiftung bereits erste Resultate der Mobilitätsprojekte 2011 präsentieren. Die Bilanz der Projektträger fällt insgesamt positiv aus.

Internationale Mobilität war bis anhin kein Schwerpunkt in der Schweizer Berufsbildung. Dies könnte sich in Folge der letztjäh-rigen Lehrstellenkonferenz nun ändern – mit dem verabschie-deten Massnahmenpapier wurde ein deutliches Zeichen für die Mobilität in der Berufsbildung gesetzt.Grundsätzlich ist der Nutzen von Auslandaufenthalten, insbe-sondere von Auslandpraktika für die Lernenden, unbestritten. Die jungen Leute erhalten nicht nur die Gelegenheit, ihr be-rufliches Wissen zu vertiefen und Fremdsprachenkenntnisse zu verbessern, sondern erwerben auch wichtige Soft Skills wie Selbstvertrauen. Hingegen geht aufgrund der derzeit noch be-stehenden Herausforderungen – hoher Koordinationsbedarf aufgrund der drei Lernorte – gerne vergessen, dass nicht nur die Lernenden von Auslandpraktika profitieren, sondern auch die Berufsschulen und die Lehrbetriebe, die sie organisieren. Dies geht aus den Rückmeldungen der Organisationen hervor, die derzeit die ersten Leonardo da Vinci-Mobilitätsprojekte umsetzen.Die Berufsschulen Mode und Gestaltung Zürich und Wetzikon sowie die OdA AgriAliForm bestätigen, dass Auslandpraktika die Ausbildungsgänge aufwerten und ein geeignetes Mittel sind, um die Berufsbildung attraktiv zu gestalten. Im Hinblick auf die geburtenschwachen Jahrgänge und das bevorstehende Ringen um qualifizierte Lernende bietet es sich an, diese Möglichkeit vermehrt zu nutzen. Geschätzt wird zudem der Austausch mit europäischen Partnerorganisationen, der weit über die Vermitt-lungsarbeit hinausgeht. Schulen wie Betriebe erhalten auf diese Weise wichtige Impulse, entwickeln sich weiter und bleiben innovativ. Das Leonardo da Vinci-Programm ist damit auch ein Instrument, um sich vorteilhaft auf dem Bildungsmarkt zu positionieren.

Collaboration et mobilité européennedans la formation professionnelle – Leonardo da Vinci

Leonardo mobilité 2011: les premiers résultats

Alors que les demandes de mobilité pour l’année 2012 sont encore en phase d’évaluation, les résultats des mobilités menées en 2011 sont aujourd’hui présentés par la Fondation ch. Le bilan général des porteurs de projet est positif.

Jusqu’à récemment, la Suisse n’accordait que peu d’importance à la mobilité inter-nationale dans le contexte de la forma-tion professionnelle. La conférence sur les places d’apprentissage organisée l’année passée pourrait cependant faire avancer la situation. En effet, grâce à l’adoption d’un plan de mesures, elle a permis de donner un signal clair pour la mobilité dans la formation profes-sionnelle.L’utilité d’un séjour à l’étranger, notam-ment pour les apprenants, n’est certes pas remise en cause. Néanmoins, en raison des défis que pose actuellement encore un tel séjour (des exigences élevées en termes de coordination entre les trois lieux d’apprentissage), on oublie souvent que les stages à l’étranger bénéficient non seulement aux apprenants mais également aux écoles professionnelles et aux entre-prises d’apprentissage qui organisent les stages.Ceci ressort des commentaires appor-tés par les organisations qui mettent actuellement en œuvre les premières mobilités Leonardo da Vinci.Les écoles professionnelles Mode und Gestaltung de Zurich et de Wetzikon ain-si que l’OrTra AgriAliForm confirment que les stages à l’étranger représentent une plus-value pour les filières de formation et un moyen idéal de rendre la formation professionnelle plus attrayante.

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Comenius & eTwinningGiochi senza frontiere

Un partenariato scolastico con scambi di visite condotto da istituti per giova-ni disabili? Certamente molte scuole si spaventerebbero di fronte a una simile sfida. Ma non la scuola per i disabili e i portatori di più handicap di Zurigo (SKB): nell’ambito di Comenius parteciperà al progetto «Giochi senza frontiere» con-dotto fra scuole tedesche, austriache e svizzere.

Il progetto «Giochi senza frontiere» si pone per scopo lo scambio di metodi e idee per attività ludiche e il tempo libero destinati ai bambini e ai giovani disabili. «Un tema fondamentale per noi è la co-municazione», afferma Christoph Keller della SKB. La piattaforma Internet eTwinning offre un utile spunto: grazie ad essa, gli insegnanti hanno la possibilità di condurre progetti online in classi virtuali insieme alle scuole partner in Europa. La piattaforma è fruibile anche dalle scuole Comenius e offre la possibilità di integrare nel proprio progetto l’utilizzo delle tecno-logie IT. Christoph Keller ha appreso della possibilità di utilizzare eTwinning durante l’incontro di dicembre 2011 tra i promotori svizzeri dei progetti Comenius. In segui-to, numerosi insegnanti della SKB si sono iscritti alla piattaforma online e tra breve la scuola ospiterà un workshop eTwin-ning rivolto ai docenti interessati. La possibilità di mettersi a disposizione per ospitare un assistente Comenius è per le scuole un ulteriore modo di va-lorizzare un partenariato già esistente. Questi assistentati durano dai tre ai dieci mesi e consentono di arricchire le attività scolastiche quotidiane con la presenza un giovane insegnante proveniente da un’altra cultura o regione linguistica.

Ulteriori informazioni ai seguenti linkScuola per i disabili e i portatori di più handicap di Zurigo (SKB): www.stadt-zuerich.ch/skbPartenariati e assistentati Comenius: www.ch-go.ch/comeniuseTwinning: www.etwinning.net e www.ch-go.ch/etwinning

Comenius & eTwinningSpiele ohne Grenzen

Eine Schulpartnerschaft mit gegenseitigen Besuchen, durchgeführt von Schulen für kör-perbehinderte Jugendliche? Keine Frage, vor dieser Herausforderung würden wohl viele Schulen zurückschrecken. Nicht so die Schule für Körper- und Mehrfachbehinderte in Zürich (SKB). Im Rahmen von Comenius beteiligt sie sich am Projekt «Spiele ohne Grenzen», das Schulen aus Deutschland, Österreich und der Schweiz verbindet.

Die SKB richtet sich an behinderte Kinder und Jugendliche vom Vorschulalter bis zum 20. Lebensjahr. Die Schule macht sich die Heterogenität ihrer Schülerschaft zum Kennzeichen und legt viel Wert auf die Arbeit in einem grossen, interdisziplinär zusammengesetzten Team. Dies ist eine gute Basis für eine Comenius-Schulpartnerschaft, die zum Ziel hat, den Teilneh-menden die kulturelle und sprachliche Vielfalt Europas näher zu bringen. Die Möglichkeit einer finanziellen Förderung für ein zweijähriges Kooperations- und Austauschprojekt bietet sich allen Schulen (Kindergarten bis Sekundarstufe II). «Wir denken, dass der Blick über die Grenzen der eigenen Institution, über Ge-gebenheiten im eigenen Land hinaus für die Schülerinnen und Schüler und ihre Bezugspersonen aus Unterricht, Therapie und Betreuung bereichernd ist», erläutert Christoph Keller, Lehrer an der SKB, die Motivation seiner Schule.Bei «Spiele ohne Grenzen» steht der Austausch von Ideen und Ansätzen für Spiel- und Freizeitmöglichkeiten für behinderte Kinder und Jugendliche im Zentrum. «Ein grosses Thema für uns ist die Kommunikation», sagt Christoph Keller, «sie betrifft sowohl die auf verschiedenste Weise eingeschränkten Ausdrucksmöglichkeiten der Kinder und Jugendlichen als auch die oft komplizierten Informationskanäle und Austausch-möglichkeiten unter den Erwachsenen.» Die Internet-Plattform eTwinning bietet hier einen Ansatzpunkt: Lehrpersonen haben auf eTwinning die Möglichkeit, in virtuellen Klassenzimmern Online-Projekte gemeinsam mit Partnerklassen aus Europa durchzuführen. Die Plattform steht auch Comenius-Schulen offen und bietet eine Gelegenheit, die Nutzung von Informations- und Kommunikationstechnologien in ihr Projekt zu integrieren. Christoph Keller erfuhr am Treffen der Schweizer Comenius-Projektträger im Dezember 2011 von der Möglichkeit, eTwin-ning zu nutzen. Inzwischen sind mehrere Lehrkräfte der SKB auf der Plattform angemeldet und in Kürze findet an der Schule ein eTwinning-Workshop für die interessierten Lehrpersonen statt.Die Möglichkeit, sich als Gastschule für eine Comenius-Assistenzlehrperson zur Verfügung zu stellen, ist für Schulen ebenfalls ein Weg, eine bestehende Partnerschaft zu bereichern. Die Assistenzen dauern drei bis zehn Monate und ermöglichen es, eine junge Lehrperson aus einem anderen kulturellen und sprachlichen Umfeld in den Schulalltag zu integrieren.

Mehr Informationen sind unter folgenden Links zu findenSchule für Körper- und Mehrfachbehinderte Zürich: www.stadt-zuerich.ch/skbComenius-Partnerschaften und Assistenzen: www.ch-go.ch/comeniuseTwinning: www.etwinning.net und www.ch-go.ch/etwinning

Comenius & eTwinningJeux sans frontières

Un partenariat scolaire avec des visites réciproques, organisé par des écoles pour des jeunes porteurs d’un handi-cap moteur? Beaucoup d’écoles hésite-raient à relever un tel défi. Ce n’est pas le cas de l’Ecole pour les personnes handicapées moteurs et polyhandica-pées de Zurich (SKB): dans le cadre du programme Comenius, elle participe au projet «Jeux sans frontières» («Spiele ohne Grenzen»), qui rassemble des écoles d’Allemagne, d’Autriche et de Suisse.

Le projet «Jeux sans frontières» est axé sur les échanges d’idées et d’approches pour des jeux et des loisirs destinés à des enfants et à des jeunes porteurs d’un handicap. «Pour nous, la communication est un thème essen-tiel», déclare Christoph Keller, de la SKB. La plateforme internet eTwinning offre à cet égard un point d’amorce: sur eTwinning, les enseignants ont la possibi-lité de réaliser des projets en ligne dans des salles de classe virtuelles avec des classes partenaires d’Europe. La plate-forme est également ouverte aux écoles Comenius et leur offre une opportunité d’intégrer à leur projet l’utilisation des technologies de l’informationet de la communication. Christoph Keller a été informé de la possibilité d’utiliser eTwin-ning lors de la rencontre des porteurs de projets Comenius suisses, en décembre 2011. Aujourd’hui, plusieurs enseignants de la SKB sont inscrits sur cette plate-forme et, prochainement, un atelier eTwinning sera organisé à l’école pour les enseignants intéressés.Les écoles ont la possibilité de se porter candidates à l’accueil d’un assistant Comenius, ce qui est également un moyen d’enrichir un partenariat existant. La période d’accueil est de trois à dix mois et permet à de jeunes enseignants issus d’une autre sphère culturelle et linguistique de s’intégrer à la vie scolaire au quotidien.

Vous trouverez de plus amples informa-tions aux adresses suivantesEcole pour les personnes handicapées moteurs et polyhandicapées de Zurich: www.stadt-zuerich.ch/skbPartenariats et assistanats Comenius: www.ch-go.ch/comeniuseTwinning: www.etwinning.net et www.ch-go.ch/etwinning

Lehrerinnen an einem eTwinning-Kontaktseminar

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19LTD’U N°57 POT-POURRI

Sie möchten einen Austausch durch-führen? Sie interessieren sich ganz allge-mein für das Thema? Sie suchen eine Part-nerschule, Fördermittel und didaktische Hilfsmittel? Der/die Austauschverantwort-liche Ihres Kantons oder die ch Stiftung hilft Ihnen gerne weiter! Vous avez l’intention d’organiser un échange? Vous vous intéressez de ma-nière générale au thème des échanges? Vous cherchez un établissement partenaire, une aide matérielle ou des moyens didac-tiques? Le responsable pour les échanges de votre canton ou la Fondation ch est à votre disposition pour vous aider! State pianificando uno scambio cul-turale? Il tema degli scambi vi interessa in generale? Cercate dei partner per lo scam-bio, dei sussidi o del materiale didattico? La persona responsabile per gli scambi del vostro cantone e la Fondazione ch vi assi-steranno volentieri.

AGMarlise CzajaDepartement BKS, Abteilung Volksschule Bachstrasse 15 5001 AARAUTel. 062 835 21 13 (Freitag)[email protected]

AIStephan BlumerErziehungsdepartement, SchulamtHauptgasse 519050 APPENZELL Tel. 071 788 93 [email protected]

ARAnja GemperleDepartement Bildung Appenzell AusserrhodenAmt für Volksschule und SportPädagogische FachstellenRegierungsgebäude9102 HERISAU Tel. 071 353 67 [email protected]

BLJulia WeilenmannAustauschangebote Amt für Volksschulen Munzachstr. 25c4410 LIESTALTel. 061 552 59 17 BSBrigitta KaufmannFremdsprachenprojekte Pädagogisches ZentrumClaragraben 132a 4005 BASELTel. 061 695 99 [email protected]

BE deutschsprachigThomas RaaflaubChalet Gandalf3784 FEUTERSOEYTel. 033 755 13 [email protected]

BE partie francophoneAlexandre MoucheEcole secondaire2713 BELLELAYTel. 032 484 90 09 [email protected]

FRBernard DillonKoordination für Schüleraustausch des Kantons Freiburg KoSA Postfach 4831630 BULLE 1Tel. 026 919 29 [email protected]

GESecondaire IMonica CavadiniDGCO Av. Joli-Mont 15A Case postale 2181211 GENÈVE 28Tél. 022 388 53 [email protected]

Secondaire II Pierre BickelDGPO11, rue de l’Hôtel-de-villeCase postale 39251211 GENÈVE 3Tél. 022 546 59 [email protected]

GLUrs TschamperDepartement Bildung und Kultur Abteilung Volksschule Gerichtshausstrasse 258750 GLARUSTel. 055 646 62 [email protected]

GRVolksschulePatrick AckermannAmt für Volksschule und Sport Graubünden Quaderstrasse 177000 CHURTel. 081 257 30 [email protected]

GRMittelschuleBündner Kantonsschule Arosastrasse 27000 CHURTel. 081 257 51 [email protected]

JUPatrice KamberRue des Pâquerettes 22822 COURROUX Tél. 032 435 65 [email protected]

LUMarianne ItenDienststelle VolksschulbildungKellerstrasse 106002 LUZERNTel. 041 228 68 [email protected]

NECaroline de RhamAdjointe au chef du service de l’enseignement obligatoireRue de l’Ecluse 67 Case postale 30162001 NEUCHÂTELTél. 032 889 69 [email protected]

Véronique SuterChargée de mission pour les échangesService de l’enseignement obligatoireCase postale 2982035 CORCELLESTél. 032 846 25 [email protected]

NW/OWKatharina Fischer-von WeissenfluhPHZ LuzernFachkern Sprachen6000 LUZERN 5Tel. 041 228 71 [email protected]

SGReto MoritziBLD / AVS Davidstrasse 319000 ST. GALLENTel. 071 229 48 49 (Dienstag)[email protected]

SHKarin SteinemannHerrenacker 108200 SCHAFFHAUSENTel. 052 640 01 [email protected]

SOSusanne FlükigerDepartement für Bildung und Kultur des Kantons Solothurn Rathaus4509 SOLOTHURNTel. 032 627 29 [email protected]

SZ Primar- und Sekundarstufe ISimone ImhofAmt für Volksschulen und SportAbt. Schulfragen Kollegiumstrasse 28 Postfach 21916431 SCHWYZTel. 041 819 19 [email protected]

Sekundarstufe IIKuno BlumBildungsdepartement Amt für Mittel- und Hochschulen Kollegiumstrasse 28 Postfach 21956431 SCHWYZ Tel. 041 819 19 06 [email protected]

TIBrigitte Jörimann VancheriDivisione della scuola DECSViale Portone 126501 BELLINZONATel. 091 814 18 [email protected]

TG Primar- und Sekundarstufe IMarie-Theres Maute-JudAmt für Volksschule, Schulaufsicht Bahnhofstr. 168590 ROMANSHORNTel. 071 966 69 [email protected]

Mittel- und HochschulenHarry WolfAmt für Mittel- und HochschulenGrabenstrasse 118510 FRAUENFELDTel. 052 724 22 [email protected]

URAndrea BissigAmt für Volksschulen Klausenstr. 46460 ALTDORFTel. 041 875 29 [email protected]

VDIsabelle Bertoni Direction pédagogique DFJ DGEOChemin de Maillefer 351014 LAUSANNETél. 021 316 32 [email protected] Echanges de professeurs : Anne-Laure Savary Département de la Formation et de la JeunesseRue de la Barre 81014 LAUSANNETél. 021 316 32 [email protected]

François MaffliEchanges linguistiques des écoles vaudoises Rue du Port 31815 CLARENSTél. 021 964 11 [email protected]

VSCorinne Barras (Verantwortliche)Sandra Schneider (Adjunktin)Bureau des Echanges Linguistiques / BEL Büro für Schüler-Austausch / BSA Case postale 478, Planta 1 1951 SIONTél. 027 606 41 [email protected]

ZHVolksschulenUeli LandisBildungsdirektion des Kantons Zürich Volksschulamt, Abteilung PädagogischesSektor Unterrichtsfragen Walchestrasse 218090 ZÜRICHTel. 043 259 22 [email protected]

Mittel- und BerufsschulenMartina WiderMittelschul- und Berufsbildungsamt Fachstelle FremdsprachenNeumühlequai 10, Postfach8090 ZÜRICHTel. 043 259 56 [email protected]

ZGPeter SchenkerSchulhaus Röhrliberg 26330 CHAMTel. 041 370 30 [email protected]

ch Stiftung für eidgenössische ZusammenarbeitFondation ch pour la collaboration confédérale Fondazione ch per la collaborazione confederale

Dornacherstrasse 28APostfach 246CH-4501 [email protected] 346 18 18

Le Trait d’union

58

Im Herbst 2012 in Ihrem Briefkasten!Mit den neusten Informationen aus dem Austauschsektor.

Au automne 2012 dans votre boîte aux lettres!Avec les dernières informations du secteur des échanges.

Nell’autunno del 2012 nella vostra buca delle lettere!Con le ultime novità relative al settore degli scambi.

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20 LTD’U N°57

Schulisch / Scolaire / Settore scolastico

Programm für … Schweiz Europa (Programm für Lebenslanges Lernen LLP) Aussereuropäische LänderProgramme pour … Suisse Europe (Programme pour l’éducation et la formation Pays extra-européens tout au long de la vie EFTLV)Programma per … Svizzera Europa (programma di apprendimento permanente LLP) Paesi extraeuropeiErwachsenenbildung Formation des adultesEducazione degli adultiHochschulbildungEnseignement supérieurFormazione universitaria BerufsbildungFormation professionnelleFormazione professionale MittelschulenDegré secondaire IIScuole medie superiori SekundarschulstufeDegré secondaire IScuole medie PrimarschulstufeCycle primaire 2Scuole elementari Grund-/ Vorschulstufe Cycle primaire 1Livello prescolastico / scuola dell’infanziaAusserschulisch / Extrascolaire / Settore extrascolastico

Programm für … Schweiz Europa Aussereuropäische LänderProgramme pour … Suisse Europe Pays extra-européensProgramma per … Svizzera Europa Paesi extraeuropeiJugendlicheJugendorganisationenOffene JugendarbeitJeunesOrganisations de jeunesActivités de jeunesseextrascolairesGiovani Organizzazioni giovanili Animazione giovanile

POT-POURRI

Programmangebot des Schweizerischen Kompetenzzentrums für Austausch und Mobilität der ch StiftungOffre de programmes du Centre suisse de compétence pour les échanges et la mobilité de la Fondation chOfferta di programmi del Centro di competenza svizzero per lo scambio e la mobilità della Fondazione ch

Pestalozzi

Rousseau

Piaget

Comenius

Leonardo da Vinci

Erasmus

Grundtvig

Magellan

Programm Jugend in Aktion – Jugendbegegnungen und -initiativen, Freiwilligeneinsätze, Projekte zurFörderung der Partizipation und Jugendpolitik, Trainings- und VernetzungsaktivitätenProgramme Jeunesse en action – Rencontres et initiatives de jeunes, engagements volontaires, projets de promotion de la participation et politique de la jeunesse, activités de formation et de réseautageProgramma Gioventù in Azione – Incontri e iniziative giovanili, progetti e attività di volontariato, progetti per la promozione della partecipazione attiva e delle politiche giovanili, attività di formazione e di messa in rete

4)2)1)

3) 5)

1) Piaget «Offene Stellen» richtet sich auch an Stellensuchende mit einem tertiären Bildungsabschluss2) Comenius richtet sich auch an Absolventeninnen und Absolventen der Pädagogischen Hochschule3) Comenius bietet auch Schul- und Regiopartnerschaften für Berufsschulen4) Leonardo da Vinci richtet sich auch an Personen mit einem tertiären Bildungs- abschluss5) Magellan richtet sich auch an Lehrpersonen in Berufsschulen6) Das Sprachassistenzprogramm (SAP) ist nicht Teil des Programms für Lebenslanges Lernen (LLP)

Lesebeispiele: Im schulischen Bereich ist die Stufe der Herkunftsinstitution für die Programmwahl ausschlaggebend:> Für mich als Mittelschullehrperson kommen die Programme Rousseau, Comenius und Magellan in Frage. Im ausserschulischen Bereich stehen die einzelnen Aktionen allen Jugendlichen offen, die einer Jugendorganisation oder -gruppe angehören:> Ich engagiere mich als soziokulturelle Animatorin in einem Jugendtreff. Für mich ist Jugend in Aktion – Weiterbildung und Vernetzung (TCP international und national) – das optimale Programm.

1) Piaget «Premier emploi» s’adresse aussi aux diplômés du niveau tertiaire en recherche d’emploi2) Comenius s’adresse aussi aux diplômés de haute école pédagogique3) Comenius offre aussi des partenariats scolaires et régionaux pour les écoles professionnelles4) Leonardo da Vinci s’adresse aussi aux diplômés du niveau tertiaire5) Magellan s’adresse aussi aux enseignants dans les écoles professionnelles6) Le Programme d’Assistant-e-s de Langue (PAL) ne fait pas partie du Programme pour l’éducation et la formation tout au long de la vie (ETLV)

Exemples:Dans le domaine scolaire, le niveau de l’établissement d’origine est déterminant pour le choix du programme:> En tant qu’enseignant du degré secondaire II, j’ai le choix entre les programmes Rousseau, Comenius et Magellan.Dans le domaine extrascolaire, chacune des actions est ouverte à tous les jeunes faisant partie d’une organisation ou d’un groupe de jeunes:> Je suis engagée en tant qu’animatrice socioculturelle dans un espace de rencontre pour jeunes. Pour moi, Jeunesse en action – Formation continue et mise en réseau (TCP international et national) – est le programme idéal.

1) Piaget «Primo impiego» è aperto anche ai titolari di un diploma di livello terziario in cerca di impiego 2) Comenius è destinato anche ai titolari di un diploma di un’alta scuola pedagogica3) Comenius offre anche partenariati scolastici e regionali per le scuole professionali4) Leonardo da Vinci è rivolto anche ai titolari di un diploma di livello terziario 5) Magellano è destinato anche a insegnanti delle scuole professionali6) Il Programma di assistenza linguistica (PAL) non fa parte del programma di apprendimento permanente (LLP)

Esempi: Nel settore scolastico, per la scelta di un programma è determinante il livello dell’istituzione d’origine:> Gli insegnanti delle scuole medie superiori possono scegliere tra i programmi Rousseau, Comenius e Magellano. Nel settore extrascolastico, possono parteci-pare alle singole azioni tutti i giovani che fanno parte di un’organizzazione o di un gruppo giovanile:> Per chi opera come animatore socioculturale in un centro giovanile il programma più adatto è Gioventù in Azione – Formazione e messa in rete degli operatori dell’animazione e delle organizzazioni giovanili (TCP internazionale e nazionale).

SAPPAL 6)

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COLOPHON

ISSN 1010 - 6014Frühling/Printemps/Primavera 2012

LAYOUT/MISE EN PAGE/GRAFICALorenzo Conti, Design Projekte, Bern

REDAKTION/REDACTION/REDAZIONEEdith Funicello/Silvia Mitteregger

MIT BEITRÄGEN VON/AVEC DES ARTICLES DE/CON CONTRIBUTI DIIng. Cecilia Beti, vicedirettrice Centro professionale di TrevanoProf. François Grin, FTI, Université de GenèveFranck Le Vallois, responsable Formation et Développement BOBST SA, LausanneDr. Sandra Maissen, ch Stiftung, Geschäftsführerin, SolothurnDr. des. Katharina Höchle Meier, Universität BaselSimone Rossi, ch Stiftung, SolothurnGenneta Sadikovic, ch Stiftung, SolothurnProf. Dr. Stephan Schumann, Universität Freiburg, Departement Erziehungswissenschaften, FribourgAndrea Togni, Dipartimento dell’educazione, della cultura e dello sport, Canobbio Karin von Siebenthal, Oberdorf

ÜBERSETZUNGEN/TRADUCTIONS/TRADUZIONISprachendienst der ch Stiftung Solothurn

LEKTORAT/LECTORAT/REVISIONEWiggenhauser & Woodtli GmbH, Benken

HERAUSGEBERIN/EDITEUR/EDITRICEch Stiftung für eidgenössische ZusammenarbeitFondation ch pour la collaboration confédéraleFondazione ch per la collaborazione confederale

Dornacherstrasse 28APostfach 246CH-4501 Solothurnwww.chstiftung.ch

FOTOS/ILLUSTRATIONS/ILLUSTRAZIONIDiverse Autoren / Divers auteurs / Diversi autori

AUFLAGE/TIRAGE/TIRATURA3800 Exemplare/Exemplaires/Esemplari

DRUCK/IMPRIMÉ PAR/STAMPAVetter Druck, Thun

JAHR/ANNÉE DE PARUTION/ANNO DI PUBBLICAZIONE2012

Unterstützt durchAvec le soutien deCon il sostegno di

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DeutschComenius – Weiterbildungskurse für LehrpersonenWollen Sie Ihr Kursangebot für Schweizer Lehrkräfte europäischen Lehrpersonen öffnen? Dann schreiben Sie Ihren Kurs auf der Datenbank http://ec.europa.eu/education/trainingdatabase/ aus. Besitzen Sie einige Jahre Lehrerfahrung und möchten Ihr Wissen zu Immer-sionsunterricht und vielen weiteren Themen vertiefen? In derselben Datenbank finden Sie ein umfassendes Kursangebot und können so vielleicht schon bald mit europäischen Kolleginnen und Kollegen zusammen die Schulbank drücken.Nächste Antragsfristen: 30. April 2012, 17. September 2012Weitere Informationen: www.ch-go.ch/comeniusKontakt: [email protected]

Grundtvig – Weiterbildungskurse für Personen, die in Organisationen der Erwachsenenbildung alsLehrpersonen, Ausbildende, Verwaltungsfachleute oder Selbstständigerwerbende tätig sindBieten Sie ein Kursangebot für die oben genannte Ziel-gruppe an und wollen es europäischen Zielpersonen zugänglich machen? Dann schreiben Sie Ihren Kurs auf der Datenbank http://ec.europa.eu/education/training-database/ aus. Besitzen Sie einige Jahre Arbeitserfah-rung und möchten Ihr Wissen vertiefen? In derselben Datenbank finden Sie ein umfassendes Kursangebot und können so vielleicht schon bald mit europäischen Kolle-ginnen und Kollegen zusammen die Schulbank drücken.Nächste Antragsfristen: 30. April 2012, 17. September 2012Weitere Informationen: www.ch-go.ch/grundtvigKontakt: [email protected]

Eurydice – Eurypedia Eurypedia ist die Online-Enzyklopädie zu den Bildungs-systemen in Europa. In mehr als 5000 Artikeln werden 38 Bildungssysteme beschrieben. Diese Initiative entwi-ckelte das Informations- und Dokumentationsnetzwerk der Europäischen Union, an dem auch die ch Stiftung in Zusammenarbeit mit der Erziehungsdirektorenkonferenz beteiligt ist.Zur Plattform: www.eurycide.org Kontakt: [email protected] oder [email protected]

Querschnittprogramm – Studienbesuche Angeboten werden 5-tägige Aufenthalte, um sich mit Kol-leginnen und Kollegen zu einem bestimmten Thema im europäischen Ausland auszutauschen. Die Themen sind vielfältig und dienen zur Förderung der Zusammenarbeit zwischen Akteuren der allgemeinen und beruflichen Bil-dung sowie der Arbeitswelt. Nächste Antragsfrist: 12. Oktober 2012Weitere Informationen: www.ch-go.ch/studienbesucheKontakt: [email protected]

Euroguidance – Internationale VernetzungstagungAm 14. September 2012 findet in Zürich die internationale Vernetzungstagung zum Thema «Beratung im Kontext der Internationalisierung» statt. Diese richtet sich insbe-sondere an Berufs-, Studien- und Laufbahnberaterinnen und -berater und bietet eine wertvolle Möglichkeit, sich mit Kolleginnen und Kollegen aus verschiedenen Ländern zu treffen. Informationen/Anmeldefrist: www.ch-go.ch/euroguidanceKontakt: [email protected]

Querschnittprogramm – Zentrale Aktionen Unter den zentralen Aktionen des Querschnittpro-gramms können alle Institutionen und Organisationen, die ein Projekt mit mindestens drei verschiedenen Län-dern durchführen wollen, einen Antrag zur Finanzierung einreichen. Die Projekte dienen zur Entwicklung der Bil-dungspolitiken, Kommunikations- und Informationstech-nologien und Sprachen. Massnahmen zur Verbreitung guter Beispiele sind förderfähig. Informationen/Antragsfristen: www.ch-go.ch/querschnitt Kontakt: [email protected]

Français Comenius – Cours de formation continue pour enseignantsVous avez une offre de cours destinée aux enseignants hel-vétiques et vous souhaitez l’étendre à des enseignants eu-ropéens ? Si oui, inscrivez votre cours dans la base de don-nées http://ec.europa.eu/education/trainingdatabase/! Vous avez quelques années d’expérience dans l’enseignement et vous souhaitez approfondir vos connaissances sur les cours d’immersion et bien d’autres sujets? La base de don-nées précitée comporte une offre de cours exhaustive. Qui sait, vous pourrez peut-être bientôt aller en classe avec des collègues européens!Prochaines dates limites de candidature: 30 avril 201217 septembre 2012Informations complémentaires :www.ch-go.ch/comeniusContact : [email protected]

Grundtvig – Cours de formation continue pour les personnes actives dans des établissements de formation des adultes en qualité d’enseignants, de formateurs, d’administrateurs ou d’indépendantsDisposez-vous d’une offre de cours destinée aux groupes cibles susmentionnés, et souhaitez-vous permettre à des Européens d’y accéder? Si oui, inscrivez votre cours dans la base de données http://ec.europa.eu/education/trai-ningdatabase/! Avez-vous quelques années d’expérience professionnelle et souhaitez-vous approfondir vos con-naissances? La base de données précitée comporte une offre de cours exhaustive. Qui sait, vous pourrez peut-être bientôt aller en classe avec des collègues européens!Prochaines dates limites de candidature :30 avril 201217 septembre 2012Informations complémentaires :www.ch-go.ch/grundtvigContact : [email protected]

Eurydice – Eurypedia Eurypedia est l’encyclopédie en ligne sur les systèmes éducatifs européens. Elle comporte plus de 5000 articles décrivant 38 systèmes éducatifs. Cette initiative a été éla-borée par le réseau d’information et de documentation de l’Union européenne, auquel participent également la Fon-dation ch et la Conférence des directeurs cantonaux de l’instruction publique. Lien vers la plate-forme : www.eurydice.orgContact : [email protected] ou [email protected]

Programme transversal – visites d’étude Ce programme propose des séjours de 5 jours favorisant les échanges avec des collègues sur un sujet précis dans un pays européen. Il existe une multitude de thèmes, qui visent à promouvoir la collaboration entre les différents acteurs de la formation générale et professionnelle et ceux du monde du travail. Prochaine date limite de candidature :12 octobre 2012Informations complémentaires :www.ch-go.ch/studienbesucheContact : [email protected]

Euroguidance – Congrès international de mise en réseauLe 14 septembre 2012 aura lieu à Zurich le Congrès internatio-nal de mise en réseau portant sur le thème «L’orientation dans un contexte d’internationalisation». Cette confé-rence est particulièrement destinée aux conseillers spé-cialistes de l’orientation professionnelle, des études et des carrières, et leur offre une précieuse opportunité de ren-contrer des collègues venant de différents pays. Informations/date limite d’inscription :www.ch-go.ch/euroguidanceContact : [email protected]

Programme transversal – Actions centralisées Tous les établissements et organismes souhaitant réaliser un projet avec au moins trois pays différents peuvent dé-poser une demande de financement dans le cadre des ac-tions centralisées du programme transversal. Les projets visent à développer les politiques éducatives, les techno-logies de l’information et de la communication et les lan-gues. Les mesures visant à diffuser de bons exemples en la matière peuvent également bénéficier d’une subvention. Informations/Dates limites de candidature :www.ch-go.ch/querschnitt Contact : [email protected]

INFOch Manifestazioni, date e scadenze per i programmi europei di scambio e mobilità

Événements, dates et délais pour les programmes européens d’échange et de mobilité

Veranstaltungen, Termine und Fristen für die europäischen Austausch- und Mobilitätspro-gramme

Italiano Comenius – Formazione continua per insegnantiVolete rendere accessibili i vostri corsi di formazione an-che agli insegnanti europei? Pubblicate la vostra offerta formativa sulla banca dati europea http://ec.europa.eu/edu-cation/trainingdatabase/! Avete maturato alcuni anni di esperienza e vorreste approfondire le vostre conoscenze sui corsi di immersione o su altri temi? La banca dati eu-ropea contiene un’ampia offerta di attività di formazione: consultatela. Troverete sicuramente quello che fa per voi.Prossime scadenze per le candidature:30 aprile 201217 settembre 2012Informazioni: www.ch-go.ch/comeniusContatto: [email protected]

Grundtvig – Formazione continua per il personale attivo nell’educazione degli adulti (docenti, formatori, personale amministrativo, liberi professionisti)Volete rendere accessibili i corsi che offrite nel settore della formazione continua per il personale impegnato nell’educazione degli adulti anche a professionisti euro-pei? Pubblicate la vostra offerta formativa sulla banca dati europea http://ec.europa.eu/education/trainingdatabase/! Avete maturato alcuni anni di esperienza e vorreste ap-profondire le vostre conoscenze? La banca dati europea contiene un’ampia offerta di attività di formazione: consul-tatela. Troverete sicuramente quello che fa per voi.Prossime scadenze per le candidature:30 aprile 201217 settembre 2012Informazioni: www.ch-go.ch/grundtvigContatto: [email protected]

Eurydice – Eurypedia Eurypedia è un’enciclopedia online sui sistemi educativi europei, creata dalla rete Eurydice. In oltre 5000 articoli l’enciclopedia descrive in dettaglio tutti i livelli d’istruzione di 38 sistemi educativi. L’iniziativa è stata sviluppata nell’ambito di Eurydice, la rete europea di informazione e documentazione sull’istruzione, alla quale partecipa an-che la Fondazione ch in collaborazione con la Conferenza svizzera dei direttori cantonali della pubblica educazione (CDPE).Piattaforma: www.eurycide.org Contatto: [email protected] o [email protected]

Trasversale – Visite di studio L’offerta prevede brevi soggiorni in un paese europeo (5 giorni) per piccoli gruppi di specialisti e decisori che vogliono approfondire determinati temi. Gli argomenti trattati sono numerosi e servono a promuovere la colla-borazione tra gli operatori attivi nella formazione generale e professionale come pure del mondo del lavoro. Prossima scadenza per le candidature:12 ottobre 2012Informazioni: www.ch-go.ch/studienbesucheContatto: [email protected]

Euroguidance – Giornata internazionale di networkingIl 14 settembre 2012 si terrà a Zurigo la giornata internazio-nale di networking sul tema «Consulenza e internazio-nalizzazione» destinata in particolare ai professionisti dell’orientamento professionale, accademico e di carriera. L’evento offre agli operatori la possibilità di scambiare es-perienze con colleghi di tutta Europa e di stringere nuovi contatti. Informazioni/prossime scadenze:www.ch-go.ch/euroguidanceContatto: [email protected]

Trasversale – Azioni centralizzate Nelle azioni centralizzate del programma trasversale, le istituzioni e le organizzazioni che intendono realizzare un progetto in almeno tre paesi diversi, possono chiedere un finanziamento all’Agenzia esecutiva per l’istruzione, gli au-diovisivi e la cultura. I progetti finanziati devono promuove-re le politiche della formazione, sostenere le nuove tecno-logie della comunicazione e dell’informazione e sviluppare l’apprendimento delle lingue. Anche le misure di diffusione delle buone prassi possono ottenere un finanziamento. Informazioni/prossime scadenze:www.ch-go.ch/querschnitt Contatto: [email protected]

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INFOch

chTwinning – das Partnersuch-programm für KlassenaustauschDie 2011 geschaffene Plattform für die Suche nach Partnerschulen innerhalb der Schweiz und in aussereuropäischen Ländern namens chTwinning hat sich etabliert. In den ersten zehn Monaten seit ihrem Bestehen haben rund 60 Lehrpersonen direkt oder indirekt durch dieses Vermittlungstool eine passende Partnerklasse gefunden.

chTwinning ist vielfältig verwendbar. Lehrpersonen und ihre Klassen können ihre Projekte auf der Plattform vorstellen und ihre individuellen Austauschwün-sche beschreiben. Interessierte Web-sitebesucher wiederum erkennen dank dieser Angaben rasch, welche Projekte für sie in Frage kommen. Interessenten, die passende Projekte auf chTwinning entdecken, registrieren sich ebenfalls und können so direkt mit den Verant-wortlichen der bereits vorhandenen An-gebote Kontakt aufnehmen. Über chTwinning können auch Pro-Pa-tria-Förderbeiträge beantragt werden. Die zuständigen Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter der ch Stiftung helfen Ihnen gern mit Tipps und Hinweisen weiter und freuen sich auf Ihre Einträge auf chTwinning.

Wie können Sie von den Förderbeiträ-gen der Stiftung Pro Patria profitieren? Dank der Stiftung Pro Patria konnten seit 2002 rund 800 Klassen finanziell unterstützt werden. Damit weiterhin Fördergelder gesprochen werden kön-nen, ist die Stiftung Pro Patria darauf an-gewiesen, dass sich Lehrpersonen im Sammelnetz von Pro Patria engagieren. Dazu gibt es vielfältige Möglichkeiten:

— Die Schülerinnen und Schüler verkaufen Pro-Patria-Briefmarken (eine Klasse pro Gemeinde genügt);

— das Schulsekretariat bezieht Pro-Patria-Briefmarken für die Postversände;

— die Eltern der Antrag stellenden Klasse beziehen Pro-Patria- Briefmarken;

— die Schülerinnen und Schüler verkaufen in ihrer Freizeit in ihrem Wohnquartier oder an Passanten vor Einkaufszentren 1.-August-Abzeichen.

Die finanzielle Unterstützung kann über die Plattform chTwinning beantragt wer-den. Weitere Informationen zu den Teil-nahmebedingungen finden Sie auf der Internetseite: www.ch-go.ch/programme/pestalozzi/pro-patria. Der nächste Einreichungstermin ist der 31. Oktober 2012.

Didacta Schweiz – Die Schweizer Bildungsmesse: 24.–26. Oktober 2012Die ch Stiftung ist an der Didacta Schweiz 2012 vertreten, dem bedeu-tendsten Treffpunkt der Bildungsbran-che in der Schweiz. Besuchen Sie uns an unserem Stand an der Messe Basel, Halle 1. Wir freuen uns auf Sie!

ch Reihe an den Schulen – die andere Schweizer LiteraturHaben Sie Lust, mit Ihren Schülerinnen und Schülern die «andere» Schweizer Literatur zu erkunden, nämlich dieje-nige in einer anderen Landessprache? Das Projekt «ch Reihe an den Schulen» gibt Ihnen die Gelegenheit, Autorinnen und Autoren aus der Westschweiz und dem Tessin gemeinsam mit den Übersetzerinnen und Übersetzern ih-rer Werke an Ihre Schule einzuladen und mit ihnen über das Original und die Übersetzung ins Deutsche zu sprechen. Teilnahmeberechtigt sind Schulklassen der Sekundarstufe II im Sprachgebiet der Zielsprache der Übersetzung. Die Begegnungen werden von der Sophie und Karl Binding-Stiftung in Basel als Hauptsponsor finanziell unterstützt.Anmeldetermin: 31. Mai 2012 Weitere Informationen / Anmeldeunterlagen:www.chstiftung.ch – Rubrik «ch Reihe» / SchulprojektKontakt: [email protected]

chTwinning: le programme de recherche de partenaires pour les échanges de classesCréé en 2011, chTwinning s’est aujourd’hui imposé comme la plateforme de réfé-rence pour la recherche d’écoles par-tenaires suisses ou extra-européennes. Durant les dix premiers mois de son existence, il a permis à près de 60 enseignant(e)s de trouver de manière di-recte ou indirecte une classe partenaire.

chTwinning est multifonctionnel. La plateforme offre la possibilité aux enseignant(e)s et à leurs classes de présenter leur projet et de définir leur attentes en matière d’échange.Elle permet en outre aux internautes visiteurs d’identifier rapidement les projets susceptibles de leur convenir. Une fois intéressés par un ou plusieurs projets, les visiteurs peuvent ensuite eux-mêmes s’inscrire sur la plateforme et prendre contact directement avec les responsables.Il est également possible de déposer une demande de soutien financier Pro Patria sur chTwinning. Les collaboratrices et collaborateurs de la Fondation ch se réjouissent de vous apporter conseils et informations et de vous retrouver sur chTwinning.

Comment profiter des subsides de la fondation Pro Patria ?Grâce à la Fondation Pro Patria, 800 classes environ ont pu bénéficier d’un soutien financier depuis 2002. Afin qu’elle puisse continuer à accorder son soutien financier, Pro Patria doit pouvoir compter sur l’engagement des ens-eignants pour son réseau de collecte. De nombreuses possibilités existent à cette fin :

— La vente de timbres Pro Patria par les élèves (une classe par commune suffit) ;

— L’utilisation par le secrétariat de l’école des timbres Pro Patria pour sa correspondance ;

— L’utilisation par les parents d’élèves des timbres Pro Patria ;

— La vente des insignes du 1er août par les élèves durant leur temps libre dans leur quartier ou à l’entrée des magasins.

Les demandes de soutien financier peuvent être déposées sur la plateforme chTwinning. Vous trouverez de plus amples informations sur les conditions de participation sur le site internet : www.ch-go.ch/programme/pestalozzi/pro-patria. Le prochain délai pour le dépôt des de-mandes est fixé au 31 octobre 2012.

Didacta Schweiz – le salon suisse de l’éducation et de la formation: 24-26 octobre 2012La Fondation ch sera présente à Didacta Schweiz 2012, le rendez-vous le plus important de Suisse dans le domaine de l’éducation et de la formation. Venez nous rendre visite à notre stand à la foire de Bâle, halle 1. Nous nous réjouissons de vous y accueillir !

Collection ch dans les écoles – l’autre littérature suisseAvez-vous envie de découvrir une «autre» littérature suisse avec vos élèves, à savoir des œuvres d’écrivains de Suisse italienne, de Suisse alémanique et de Suisse rhéto-romane traduites en français? Le projet « Collection ch dans les écoles » vous donne la possi-bilité d’accueillir dans votre école un/e auteur/e accompagné de son traducteur ou de sa traductrice et de discuter avec eux d’une œuvre en version originale et dans sa traduction. Le projet s’adresse aux classes d’école du niveau secon-daire II dont la langue correspond à la langue cible de la traduction. Ces ren-contres sont financées principalement par la Fondation Sophie et Karl Binding à Bâle.Délai d’inscription : 31 mai 2012 Pour plus d’informations / formulaire d’inscription :www.fondationch.ch – rubrique « Collection ch » / Projet scolaireContact : [email protected]

chTwinning – la piattaforma di ricerca per gli scambi tra classi La piattaforma chTwinning, lanciata nel 2011 per la ricerca di scuole partner in Svizzera e nei paesi extraeuropei, ha dato buona prova di sé: nei primi die-ci mesi di esistenza una sessantina di docenti ha trovato una classe partner direttamente o indirettamente tramite questo moderno strumento di interme-diazione.

chTwinning può essere utilizzata in vari modi. I docenti e gli allievi possono pre-sentare i loro progetti e indicare le loro esigenze e preferenze sulla piattafor-ma; gli interessati possono individuare rapidamente, grazie ai dati e ai criteri immessi, i progetti che possono entrare in linea di conto. Chi trova un progetto di scambio potenzialmente interes-sante può registrarsi sulla piattaforma e entrare direttamente in contatto con i responsabili di progetto.Tramite chTwinning si possono anche chiedere contributi Pro Patria. I collabo-ratori competenti della Fondazione ch sono a disposizione per fornire consigli e indicazioni utili. Vi invitiamo a registrare i vostri progetti su chTwinning.

Come potete beneficiare di contributi della fondazione Pro Patria? Dal 2002, grazie alla Fondazione Pro Pa-tria, circa 800 classi hanno beneficiato di un contributo finanziario. Per poter continuare a garantire questo impor-tante sostegno, la Fondazione Pro Patria ha bisogno che gli insegnanti si impegni-no a favore della rete di colletta. Le pos-sibilità sono numerose:

— gli allievi vendono i francobolli Pro Patria (basta una classe per comune);

— la segreteria della scuola compra francobolli Pro Patria per l’affrancatura dei suoi invii postali;

— i genitori degli allievi della classe che chiede il contributo acquistano francobolli Pro Patria;

— gli allievi vendono i distintivi del 1° agosto nel loro quartiere o davanti ai centri commerciali.

Il finanziamento può essere richiesto direttamente sulla piattaforma chTwinning. Per ulteriori informazioni sulle condizioni di partecipazione consultare la pagina www.ch-go.ch/programme/pestalozzi/pro-patria. Il prossimo termine di inoltro delle doman-de di contributo scade il 31 ottobre 2012.

Didacta Schweiz – Il salone della didattica: 24-26 ottobre 2012La Fondazione ch parteciperà a Didacta Schweiz 2012, l’appuntamento più im-portante del settore dell’educazione e della didattica in Svizzera. Visitate il no-stro stand alla Fiera di Basilea, padiglio-ne 1. Vi aspettiamo!

Collana ch nelle scuole – l’altra letteratura svizzeraChe ne dite di scoprire l’«altra» lettera-tura svizzera insieme ai vostri allievi, ov-vero quella scritta in un’altra lingua del nostro paese? Il progetto «Collana ch nelle scuole» vi offre l’opportunità di in-vitare nella vostra scuola uno o più autori della Svizzera tedesca e francese con i relativi traduttori, per discutere con loro di una determinata opera in lingua origi-nale e in traduzione italiana. Il progetto si rivolge alle classi delle scuole di livel-lo secondario II (licei) appartenenti alla regione linguistica della lingua di arrivo della traduzione. Gli incontri sono cofi-nanziati dalla Fondazione Sophie e Karl Binding di Basilea.Termine per l’iscrizione: 31 maggio 2012Ulteriori informazioni / cedola di risposta:www.fondazionech.ch – rubrica «Collana ch» / Progetto scolasticoContatto: [email protected]

Veranstaltungen, Termine und Fristen für die binnen-staatlichen, europäischen und aussereuropäischen Austausch- und Mobilitätsprogramme

Événements, dates et délais pour les programmes d’échange et de mobilité suisses, européens et extra-européens

Manifestazioni, date e scadenza per i programmi di scambio e mobilità svizzeri, europei e extraeuropei

Schweizerischer Austauschkongress 2012 15.–16. November 2012, Gstaad

Der Schweizerische Austauschkongress ist die Weiter-bildungs- und Informationsplattform zu Fragen des Aus-tausches. Er bringt Interessierte aus der ganzen Schweiz und Europa zusammen und bietet Unterstützung bei der Vorbereitung von Austauschprojekten.Der fünfte Austauschkongress richtet sich an Lehrper-sonen aller Stufen, einschliesslich der Berufsbildung, an Schulleitungen, Schulbehörden und Bildungsfachleute, die Schülerinnen und Schülern einen Austausch ermögli-chen wollen oder die zusammen mit einer Lehrperson aus einer anderen Sprachregion ein konkretes Projekt planen.Im Zentrum des diesjährigen Austauschkongresses stehen die Vermittlung von binnenstaatlichen und eu-ropäischen Partnerschaften und die Ausgestaltung von Projektideen bei bereits erfolgten Kontakten. Gelungene Projektbeispiele werden vorgestellt und Lösungen zu Stolpersteinen angeboten. Erfahrene Projektleiter bieten dabei Unterstützung als Mentoren und Coaches.

Wir bieten Ihnen Raum und Zeit für die Umsetzung Ihres AustauschprojektesPlanen Sie bereits ein konkretes Austauschprojekt, haben je-doch noch keine Zeit gefunden, dieses vorzubereiten? Dann melden Sie sich mit Ihrer Projektidee bei der ch Stiftung! Wir helfen Ihnen, einen geeigneten Austauschpartner zu finden und bieten Ihnen die Möglichkeit, Ihr Projekt im Rahmen des Austauschkongresses vom 15./16. November in Gstaad zu planen und vorzubereiten. Am Kongress finden Sie Gleichgesinnte und profitieren von der Praxis-erfahrung austauscherprobter Lehrpersonen.

Vorgehen: Melden Sie sich über die E-Mail-Adresse [email protected] oder über unsere Webseite www.ch-go.ch/veranstaltungen provisorisch für den Aus-tauschkongress an. Wir werden Ihnen ein Formular zusen-den, mit dem Sie uns Ihre Projektidee melden können.

Information und AnmeldungTanja Pete, ch Stiftung, SolothurnTel. +41 32 346 18 [email protected]/veranstaltungen

Congrès suisse sur l’échange 201215-16 novembre 2012, Gstaad

Le Congrès suisse sur l’échange est la plateforme de for-mation continue et d’information pour les questions liées à l’échange. Il réunit des enseignants intéressés de toute la Suisse et d’Europe et soutient la préparation de projets d’échanges. Le cinquième Congrès sur l’échange s’adresse aux en-seignants de tous les niveaux, y compris de la formation professionnelle, aux directions des établissements sco-laires, aux autorités scolaires et spécialistes de l’éducation qui veulent offrir aux élèves la possibilité d’effectuer un échange ou qui, en compagnie d’un enseignant d’une autre région linguistique, planifient un projet concret. Le congrès de cette année a pour thèmes principaux la re-cherche de partenariats nationaux et européens et, dans le cas de contacts déjà créés, la conception d’idées de projets. Des exemples de projets réussis y sont présentés et des solutions aux pierres d’achoppement, offertes. Des chefs de projet expérimentés y proposent leur soutien en tant que mentors et coaches.

Nous vous offrons les moyens de réaliser vos projets d’échangeVous avez déjà un projet concret d’échange dans la tête, mais ne trouvez pas le temps de le préparer ? Alors n’hésitez pas à vous adresser à la Fondation ch!Nous vous aiderons à trouver un partenaire d’échange qui vous convient. Nous vous offrons en outre la possibi-lité d’élaborer et de mettre en œuvre votre projet dans le cadre du Congrès sur l’échange, qui aura lieu les 15 et 16 novembre 2012 à Gstaad. Vous y trouverez d’autres col-lègues à la recherche de partenaires et pourrez également profiter des conseils d’enseignants qui ont déjà effectué un échange.

Comment procéder: préinscrivez-vous au Congrès sur l’échange en nous envoyant un e-mail à l’adresse [email protected] ou en suivant les instructions sur notre site internet www.ch-go.ch/veranstaltungen. Nous vous ferons ensuite parvenir un formulaire avec lequel vous pourrez nous adresser votre idée de projet.

Informations et InscriptionTanja Pete, Fondation ch, SoleureTel. +41 32 346 18 [email protected]/veranstaltungen

Congresso nazionale sullo scambio 201215-16 novembre 2012, Gstaad

Il Congresso nazionale sullo scambio è una piattaforma di perfezionamento e informazione sugli scambi che riuni-sce tutti gli interessati svizzeri o europei, offrendo loro la ne-cessaria consulenza nella preparazione del loro progetto.Il quinto congresso si rivolge agli insegnanti di tutti i livelli come pure ai responsabili della formazione professionale, a direttori degli istituti, alle autorità scolastiche e agli es-perti di educazione che vogliono offrire ai loro allievi uno scambio o che preparano un progetto concreto in colla-borazione con un insegnante di un’altra regione linguistica.Il congresso di quest’anno si focalizza sull’istituzione di partenariati nazionali e europei e sullo sviluppo di idee pro-gettuali tra potenziali partner. Verranno presentati esempi di progetti realizzati e proposte di soluzione per ovviare ad eventuali difficoltà. Responsabili di progetto di compro-vata esperienza fungeranno da mentori e coach.

Informazioni e iscrizioneTanja Pete, Fondazione ch, SolettaTel. +41 32 346 18 [email protected]/veranstaltungen

Voi portate le idee, noi vi aiutiamo a realizzare i vostri progetti di scambioAvete già pensato a un progetto concreto ma non trovate il tempo di prepararlo? La Fondazione ch vi può aiutare: con-tattateci per presentarci i vostri progetti e le vostre idee. Vi aiuteremo a trovare un partner di scambio, a pianificare e concretizzare il vostro progetto nell’ambito del Congres-so nazionale sullo scambio che si terrà il 15 e il 16 novembre a Gstaad. Al congresso incontrerete colleghi con interessi o progetti simili e potrete beneficiare dell’esperienza prati-ca maturata da altri insegnanti.

Come fare: Si iscriva provvisoriamente al congresso na-zionale sullo scambio tramite l’indirizzo e-mail [email protected], oppure sul sito internet www.ch-go.ch/veranstaltungen. Le invieremo un modulo da utilizzare per comunicarci la sua idea di progetto.

Einen Rückblick zum letztjährigen Kongress in Luzern finden Sie in der Rubrik infoch (S. 15).

Vous trouverez une rétrospective du congrès de l’année dernière à Lucerne à la rubrique infoch (page 15).

La rubrica infoch (pagina 15) riporta una retrospettiva del congresso 2011 che si è svolto a Lucerna.