Revue de presse du 28 Avril Pressespiegel vom April 2017 … · 2018. 11. 12. · Revue de presse du 28 Avril 2017 Pressespiegel vom 28.April 2017 Rassegna stampa ... de Mike Efevberha

Revue de presse du 28 Avril 2017

Pressespiegel vom 28. April 2017

Rassegna stampa 28 Aprile 2017

Date: 28.04.2017

Hauptausgabe

20 minutes Lausanne1001 Lausanne021/ 621 87 87www.20min.ch/ro

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 111'563Parution: 5x/semaine N° de thème: 042.001

Ordre: 3003849Page: 31Surface: 26'734 mm²

Référence: 65139995

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BBC onthey, le «club sans tête»,sans coaches et sans réponses

BASKETBALL. Ce soir,les Chablaisiens attaquentles play-off sans six de leurscadres, suspendus. «C'est unlynchage», clame le président,Christophe Grau.

Que s'est-il donc passé après lafinale de la Coupe de Suisse, rem-portée in extremis par les Lionsde Genève? Face à des versionsirréconciliables, la procédures'étire et le BBC Monthey attaqueson quart de finale contre Lau-sanne sans président ni vice-pré-sident, sans ses entraîneurs nison duo d'Américains Humphreyet Young, tous suspendus.«Et on ne sait toujours pas pour-quoi, insiste le vice-président,Christophe Roessli. Je ne dis pasque nous n'avons rien fait. Maisil n'y a eu aucune violence phy-sique et la procédure traîne. Au-jourd'hui, on est un club sans têteet on ne comprend pas pourquoi.»

Au coeur de l'incompréhension,le délai de cinq jours accordé parle juge unique à Swiss Basketballpour réagir à leur défense. «C'estun ping-pong logique, affirme leprésident, Giancarlo Sergi. Mal-gré des faits clairs, Monthey a

balayé toutes les accusations. Lejuge avait besoin de précisionspour se déterminer.» Sur les faits,justement, le BBC Monthey re-connaît des insultes des joueurssur le seuil du vestiaire arbitral»et, de facto, la sortie douteuse du

Le boss du club oscille entre colère et

président Grau sur Rhône FM.Les coaches? «Ils réclamaient devisionner la vidéo.» Le vice-pré-sident? «Je me plaignais d'uneerreur liée au sponsoring.»Dans l'attente du verdict, Sergi

parle de «victimisation» et Chris-tophe Grau de «lynchage». Uneguerre des mots qui coûte cher àMonthey. Même si la signaturede Mike Efevberha lui met dubaume au coeur. MATHIEU AESC H MANN

ncompréhension, après les événements de la finale de Coupe, le 8 avril. KEYSTONE

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Date: 28.04.2017

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Le BBC Nyon souhaitemettre la touche finale

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Jeff Dufour et le BBC Nyon tenteront de plier la série contre Pully dès ce week-end. ARCHIVES CÉLINE REUILLE

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Date: 28.04.2017

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BASKETBALL Le BBC Nyon

a l'occasion de valider, cesamedi (17h30), sa place enfinale du championnat deLNB. Mais Pully ne l'entendpas de cette oreille.

FLORIAN SÂGESSER

sports @ lacote.ch

Chaque matin, Fabrice Rey selève et regarde les deuxièmes mi-temps des matches de NBA. His-toire de bien démarrer la journéequi s'achève, souvent pour ne pasdire toujours, tard. Ces jours nedérogent pas à la règle. «C'est unesemaine hyper importante», glissel'entraîneur du BBC Nyon, qui nes'occupe pas que du sort del'équipe de LNB. Ainsi, il y a eu laqualification des M19 lors desquarts de finale de COBB, puis di-manche, il y aura les finales de laCoupe vaudoise avec trois équipesnyonnaises engagées (M14, M19et 4e ligue). Entre temps, samedi,

autre point d'orgue: l'acte II desdemi-finales des play-off de LNB.En cas de victoire, le BBC Nyonse qualifiera pour la finale duchampionnat. «Ces semaines-làsont pleines d'émotions, ce n'est quedu bonheur, on ne peut pas se plain-dre, c'est un problème de riches»,sourit Fabrice Rey.

«L'équipe est conscientede ses possibilités»Le week-end précédent, ses pro-

tégés ont décroché l'acte I à Pul-ly, sans pour autant convaincreleur coach. «Je n'étais pas satisfaitde la manière, nous pouvons mieuxjouer... etPully aussi.» Fabrice Reys'attend donc à un rude combat,ce week-end au Rocher. Le tech-nicien nyonnais ne se risque àesquisser aucun scénario. «Il estdifficile de se prononcer car Pul-ly va venir solide et préparé!»Du côté pulliéran, Lionel

Notari ne se cache pas: «Cematch II sera difficile, évidem-ment. La situation ne nous est pas

favorable, mais paradoxalement,c'est peut-être le fait de nous re-trouver au pied du mur qui vanous libérer.» Car dans une sérieau meilleur des trois matches,cet acte II est déjà décisif. «L'étatd'esprit dans l'équipe est bon,ajoute Lionel Notari. On s'est faitdominer physiquement au pre-mier match, cette fois on n'aurapas le droit de prendre du retarddès l'entame de la rencontre.»

Au BBC Nyon, qui se retrouve àune victoire de la finale, pas d'ex-cès de confiance «L'équipe est con-sciente de ses possibilités», com-mente Fabrice Rey. Son groupe aaussi l'occasion d'effacer le dou-loureux souvenir de l'an dernierlorsque, menant 1-0 en demi-fi-nale, le club du Rocher avait fi-nalement perdu sa série. «Lesouvenir de l'an passé joue dansl'expérience. A la différence que nousjouerons cet acte II à la maison,dans une salle où nous avons nosrepères. Et nous espérons un pu-blic nombreux.»

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Date: 28.04.2017

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BASKETBALL Place à la finale!Caroline Turin et Elfic vont en découdreavec Hélios pour le titre.

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Date: 28.04.2017






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Battues en Coupe de Suisse, les elfes n'ont pas le droit à l'erreur en finale des play-off contre Hélios

Interdiction de décevoir pour Elfic«FRANÇOIS ROSSIER

Ligue A féminine » Depuis deuxans, Elfic Fribourg porte haut lescouleurs helvétiques sur la scèneeuropéenne grâce à des victoires deprestige sur des équipes hongroise,polonaise et même française. Lebilan est nettement moins glorieuxsur la scène nationale. Si les Fri-bourgeoises enchaînent les succèsen saison régulière et cumulent lesfinales, elles rencontrent moultpeines à mettre la main sur les tro-phées. Les elfes n'ont gagné quedeux des cinq dernières finales. Lesdeux Coupes de la Ligue rempor-tées en 2016 et 2017 n'atténuent enrien les échecs essuyés en Coupe deSuisse (Riva en 2016 et Winter-thour en 2017) et en championnat(Hélios en 2016).

A nouveau qualifié pour la finaledes play-off, Elfic Fribourg a l'inter-diction de décevoir contre Hélios.Avant de dire au revoir à son en-traîneur Romain Gaspoz, qui re-joindra Boncourt cet été, l'équipefribourgeoise, qui s'appuie surle plus gros budget du pays(330000 francs, Coupe d'Europecomprise), doit prouver qu'elle aprogressé et appris de ses récentesdésillusions. Contre Hélios, qui vi-sera ni plus ni moins qu'un sixièmetitre national compétitif, cela n'au-ra rien d'une sinécure. Revue d'ef-fectifs pour mieux cerner les forcesen présence.

Les extérieuresAvantage ElficAvec Jazmine Davis, Caroline Tu-rin et Alexia Rol, Elfic n'a pas d'égalen Suisse sur les postes extérieurs.Le talent de l'Américaine, qui a ré-agi après être passée au travers dela finale de la Coupe de Suisse, l'ex-périence de la capitaine et la créati-

vité de la topscoreuse sont autantde précieux atouts pour les elfes.L'arrivée d'Angélique Robinson,28,7 points de moyenne en demi-finale contre Aarau, a redonné dupoids à Hélios dans ce secteur. Na-dia Constantin (20 ans) progressede match en match mais reste unpeu tendre à ce niveau. Après plusde dix ans en ligue A, Sarah Ker-shaw aura à coeur de réussir sa sor-tie en concluant sa riche carrièresur un dernier titre national. «Elficpossède une plus grande maîtrisetechnique. L'arrivée d'AngéliqueRobinson nous a apporté de la sta-bilité, mais il faudra compenser nosnombreuses pertes de balle avec lesrebonds», explique Erik Lehmann,entraîneur d'Hélios.

Les intérieuresAvantage HéliosSans opposition en demi-finale,Breanna Brock (188 cm) va trouverà qui parler avec Ruvanna Camp-bell (190 cm), qui a débarqué enValais au début de la semaine pourpallier la blessure d'Acheil Tac. Pé-nalisé par cette tuile de dernièreminute, Hélios reste dominantdans ce secteur où Marielle Giroud,meilleure rebondeuse suisse de laligue, arrache de précieux ballons.«J'aurais préféré aligner Tac. On abien travaillé avec elle ces derniersmois. Nous devons intégrer enmoins d'une semaine une joueusequi n'a plus joué depuis le 6 mars. Ily a beaucoup d'incertitudes parrapport à Campbell», regrette ErikLehmann. «C'est une grosse rebon-deuse avec du tir. Hélios n'a en toutcas pas perdu au change», estimepour sa part Romain Gaspoz, le

coach d'Elfic. En net progrès cesdernières semaines, Tiffanie Zali sevoit offrir un vrai défi. «Il n'y a pasun écart monstrueux sur le papier.

Je vois une série assez équilibrée. Ilsera important de ne pas laisserHélios prendre un ascendant dansle secteur du rebond», met en gardel'entraîneur des elfes.

Le bancAvantage ElficAvec Nancy Fora, Elfic possède unevraie plus-value. L'énergie de laTessinoise apporte un souffle bien-venu au jeu des Fribourgeoises. Lesautres joueuses, très peu utiliséeslors des matches à enjeu, ne de-vraient pas avoir d'influence ma-jeure sur cette finale. La situationest pire à Hélios, qui ne tourne qu'àcinq joueuses. Gare aux fautes quihandicaperont vite l'équipe tou-chée. «En cas de fautes ou de pépinsphysiques, nous sommes mieuxarmés qu'Hélios. Nous avons huitjoueuses qui peuvent peser sur unmatch», assure Romain Gaspoz,soucieux de conserver une belleharmonie dans son groupe.

Les entraîneursAvantage HéliosA force de se côtoyer, Romain Gas-poz (Elfic) et Erik Lehmann (Hélios)se connaissent par coeur. En placedans leur club respectif depuis2010, les deux hommes se res-pectent. «Nous sommes amis, sauflorsque la saison devient chaude»,a lâché un jour Erik Lehmann surCanal 9. L'entraîneur français d'Hé-lios possède un bien meilleur bilandans les confrontations directes etdonc un ascendant psychologiqueévident sur son homologue fribour-geois. Très passif lorsque les événe-ments ne tournent pas en sa faveur,Romain Gaspoz saura-t-il inverserla tendance pour finir son aventureavec Elfic sur une note positive?

Le mental

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Date: 28.04.2017






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EgalitéQuatre matches et quatre victoirespour Elfic. Si l'on s'intéresse auxstatistiques de la saison, il ne de-vrait pas y avoir photo entre lesdeux équipes, mais - car il y a tou-jours un mais - les elfes n'ont ja-mais défié Hélios avec AngéliqueRobinson et Ruvanna Campbell.«Nous allons affronter une équipe

qu'on ne connaît pas vraiment. Etc'est une partie importante du pro-blème...», souffle Romain Gaspoz.En position d'outsiders, les Valai-sannes, qui n'ont rien à perdre, ontle beau rôle. Au contraire d'Elfic quiva devoir assumer le costume defavori qui a souvent paru biengrand pour lui. «Nous avons peut-être moins de pression qu'Elfic,

mais je préférerais être plus fort etavoir plus de pression», réagit ErikLehmann. Dans un duel aussi indé-cis, l'avantage de la salle aura-t-ilun impact positif pour Elfic? «Oui,pour autant que l'on gagne les deuxpremiers matches. Si l'on perd undes deux, l'avantage ira à Hélios»,conclut Gaspoz. »

SÉRIE NOTRE AVIS

Fribourg

51% 49%

«Le premier match donnera le ton»Il y a un an, Hélios avait surpris Elficdès le premier match à Fribourg avantd'enchaîner avec deux autres succèspour triompher sur le score sec et sansappel de 3-0. La finale 2017 s'annonceplus serrée.

«Nous avons trois cartouches, mais ilest préférable de ne pas attendre le5e match pour tirer», image Erik Leh-mann, l'entraîneur d'Hélios, qui dis-putera les deux premières rencontreset l'éventuelle cinquième à Fribourg.Pour Elfic, il s'agira de se faire respec-ter à domicile afin de partir sur debons rails. «Le premier match don-nera le ton de cette finale. Hélios vavenir sans pression et tenter deux outrois trucs pour nous chatouiller.L'idéal est bien sûr de gagner. Unedéfaite ne serait toutefois pas rédhibi-toire, car ce n'est pas une finale sur unmatch mais une série», rappelle Ro-

main Gaspoz, qui préfère ne pas ima-giner une défaite: «La pression seraitalors énorme sur nos épaules pour lematch 2...»

Pour éviter de se trouver en mau-vaise posture, le coach valaisan deselfes va beaucoup insister sur la dé-fense. «Elle doit nous amener une so-lide assise. C'est la clé de la réussitepour nous. Cette saison, lors de cha-cune de nos victoires sur Hélios, nousavons pu tenir les Valaisannes autourdes 50 points. Il faudra essayer de réé-diter cette performance», ambitionneGaspoz.

S'ils se gardent bien de dévoiler leurtactique avant cette finale, les deuxentraîneurs espèrent que cette sériedurera. Mais pas pour les mêmes rai-sons, «Cela nous avantagerait car nousavons une plus grande marge de ma-noeuvre sur le banc», soutient Gaspoz.

«Nous avons moins de ressourcesqu'Elfic, mais si nous gagnons un desdeux premiers matches à Fribourg,cela nous laissera un peu plus de tempspour intégrer notre nouvelle Améri-caine (Ruvanna Campbell, ndlr)», cal-cule pour sa part Lehmann. Une finaleen quatre ou cinq matches entre lesdeux meilleures équipes du pays? Voilàun scénario qui ne déplairait pas auxamateurs de basket féminin. » FR

LIGUE A FÉMININE

Finale des play-off au meilleur des 5 matches. Acte I:Elfic Fribourg - Hélios VS di 14 h

LIGUE B FÉMININE

BlonayNevey/Saint-Légier. Final 4. Samedi.Demi-finales:A Vevey: Lucerne Highflyers - Meyrin 16 hA Blonay: Blonay - Elfic Génération 18 h 30Dimanche. Finales:A Saint-Légier: Petite finale 13 hA Vevey: Grande finale 17 h

NOTRE AVIS

Fribourg

51% 49%

LIGUE A FÉMININE

Finale des play-off au meilleur des 5 matches. Acte I:Elfic Fribourg - Hélios VS di 14 h

LIGUE B FÉMININE

Blonay/Vevey/Saint-Légier. Final 4. Samedi.

Demi-finales:A Vevey: Lucerne Highflyers - Meyrin 16 h

A Blonay: Blonay - Elfic Génération 18 h 30Dimanche. Finales:A Saint-Légier: Petite finale 13 h

A Vevey: Grande finale 17 h

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Topscoreuse d'Elfic Fribourg, Alexia Rot, qui prend de vitesse Nadia Constantin, aura une nouvelle fois un rôle crucial â jouer en finale.Keystone

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BasketballLNA féminine. Les choses sérieuses commencent pour Breanna Brocket Elfic dimanche après-midi. Les Fribourgeoises n'auront pas droità l'erreur en finale des play-off face aux Valaisannes d'Hélios. »

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BASKETBALL L'USY a perdu après prolongation face àRolle, pour son premier match des playoffs

Déjà dos au mur, Yverdon a une autre idée en têtepour son premier match dequarts de finale des playoffs(best of 3), l'USY Basket a ac-

cueilli Rolle, mercredi. Les deuxéquipes étant très proches, la ren-contre s'annonçait des plus indécises,et elle l'a été, puisqu'il a finalementfallu avoir recours à une prolonga-tion pour pouvoir les départager.

Dominés dans tous les comparti-ments de jeu en première mi-temps,les joueurs du cru ont accusé un re-tard de 13 longueurs à la pause. Ilssont toutefois revenus sur le parquetanimés de meilleures intentions, tan-dis que la formation de la Côte s'estsoudainement affaiblie. Après31 minutes, les locaux sont passésdevant au score pour la première fois(52-51). Ils ne sont, cependant, pasarrivés à enfoncer le clou. BenoîtMervelet a inscrit un panier à bonusà 22 secondes du terme du temps ré-glementaire pour donner un avan-tage de trois longueurs à ses cou-

leurs. Une avance que beaucoup ontpensé définitive, sauf les Rollois qui,dans une tentative quasi désespérée,ont égalisé trois secondes plus tard.

La prolongation était inévitable eta été très mal gérée par la phalangenord-vaudoise, qui a encaissé un 8-0les obligeant à courir, une nouvellefois, après le score. La fois de trop.

Yverdon se retrouve déjà dos aumur avant son déplacement en terreshostiles, mercredi prochain. Pourl'entraîneur yverdonnois José Ro-may, l'essentiel est ailleurs: «Nousn'allons pas accepter une promotionéventuelle cette saison. Ma prioritéest la formation. Nous avons àl'heure actuelle une très prometteuseéquipe de M16. Ce sont ces joueursqui représentent le potentiel de la«une». Nos plus jeunes doivent pou-voir s'identifier à une locomotiveformée essentiellement de joueursd'ici et non de mercenaires.»

AURÉLIEN ABLA

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Les débordements de Marc Tinguely n'ont pas suffi à l'USY. Michel Duvoisin

Yverdon - Rolle 77-81 op. (12-22 16-19 20-10 17-14 12-16)

Yverdon: Nusbaumer (8), Lapaire (21), Mervelet (13), Sokolov (13), Tinguely (4); Scepanovic(14), Armano (4). Coach: José Romay.

8/27 à trois points, 19/27 aux lancers francs, 20 fautes d'équipe. Sorti pour 5 fautes: Tinguely(45e)

Rolle: Jeanmonod (12), Brouhard (22), Gafner (3), Claude (13), André (25); Brunner (4), Lucet

(2). Coach: Marc Lucet.

5/37 à trois points, 8/19 aux lancers francs, 21 fautes d'équipe.

Notes: La Passerelle, 25 spectateurs; arbitrage de José Gonçalves et Milos Jovanovic

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Le Matin1001 Lausanne021/ 349 49 49www.lematin.ch





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«ON VEUT PASSE R À AUTRE CHOSE»BASKETBALL Le BBC Montheycommence ce soir les play-off de LNAsans connaître le sort qui sera réservéaux six suspendus. Les dirigeants

ela fait près de trois se-maines que la finale dela Coupe perdue parMonthey face auxLions de Genève s'est

déroulée. Ce qui devait être unefête n'en a ni la saveur ni la cou-leur. Il s'agit désormais davantaged'une séance de doléances à cielouvert entre dirigeants. Celui quia le plus à perdre dans tout ça? Lebasket suisse. Et c'est peu direqu'il n'a pas besoin de ça.

Muets depuis les événements, lesdirigeants montheysans ont décidéde parler et d'expliquer leur versiondes faits. La rencontre s'est passéedans le salon d'un hôtel lausannois.Christophe Grau, président duBBC Monthey, et le vice-président,Christophe Roessli, sont dans l'in-compréhension la plus totale.«Croyez bien que cela ne fait pasplaisir de rencontrer la presse»,tente d'ironiser le second. Dix joursaprès avoir convoqué une pseudo-conférence de presse aux allures defiasco - «On a fait une connerie»,Christophe Grau dixit les Valai-sans ont décidé de s'exprimer. Dansla mesure de ce qui est possible endépit de la procédure en cours.«Aujourd'hui, on est suspendus,mais de quoi?» questionne »

l'homme fort du Repo-sieux qui a pu assister auxdeux derniers matches deson équipe malgré lasanction disciplinaire.«En tant que simplespectateur, il a ledroit», précise Gian-carlo Sergi, présidentde Swiss Basketball.

«Cela fait plus dequinze jours que lesévénements ont eulieu et on a l'im-pression que celatraîne. On veutbien admettren'avoir pas tout

fait juste, mais onaimerait surtout que

le jugement tombe. Quel'on puisse enfin passer àautre chose.» C'est dès ce soir quecette «autre chose» commence. À19 h 30, les Valaisans accueillerontle BBC Lausanne pour le début desséries éliminatoires.

Un délai qui dérangeEt les six suspendus le seront tou-jours. Le ton posé de ChristopheRoessli tranche avec celui plus directde son partenaire. «On n'est pas làpour vous dire que l'on n'a rien à se

reprocher. Ce n'est pas le but. Leproblème que nous avons, actuelle-ment, c'est d'avoir l'impression denous heurter à un mur. Comme si onnous en voulait. Le club a perdu satête et on ne sait pas pourquoi.»

Cause du courroux: un nouveaudélai supplémentaire de cinq joursoctroyé à Swiss Basketball par lejuge unique. Celui-ci expire ce soiret donc le juge unique ne statuerapas avant la première rencontre.«Du coup on commence nos play-off avec des joueurs absents quipourraient éventuellement jouer,selon la décision qui sera prise»,remarque Christophe Roessli.

D'autant plus que les deux hom-mes n'imaginent pas voir Hum-phrey et Young écoper d'une sus-pension aussi lourde. Après avoirmanqué les deux derniers matches,il n'est pas inenvisageable de les voirréintégrer leur équipe. «Mais dansles faits, cela ne se passera pas. Etaujourd'hui, j'ai plus l'impressionqu'il s'agit d'un lynchage que d'uneprocédure normale», tonne unChristophe Grau loin de se calmer.

TEXTES GREGORY BEAUD

gregory.beauelematin.ch

PHOTO YVAIN GENEVAY

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Efevberha, un renfort de choixTRANSFERT Pour tenter de rem-placer les suspendus Humphrey etYoung, le BBC Monthey a mis souscontrat Mike Efevberha pour la du-rée des play-off. Il pourra effectuerses grands débuts ce soir, contreLausanne. Le meneur polyvalentn'est pas un inconnu en Suisse puis-qu'il avait remporté deux titres na-

LNA MESSIEURS,QUARTS DEFINALE. ACTE ICe soir

19.30 Monthey -

Lausanne

Demain17.00 Lugano -

Starwings

1730 FR Olympic -

Swiss Central

17.30 GE Lions -

Union NE

Les séries se

disputent au meilleurdes cinq matches

tionaux avec Lugano, en 2010 et en2011. Explosif et terriblement adroit,le Nigérian de 32 ans fait partie desjoueurs pouvant gagner un matchtout seul. Et un championnat? Avecles retours possibles -à ce stade, ilsne sont pas à exclure - de Humphreyet de Young, l'armada chablaisienneserait impressionnante.

MARKEL HUMPHREY ET BRANDON YOUNGChristophe Roessli: «En passant devant la porte du ves-

tiaire des arbitres, ils ont entendu des rires. Comme ils ont

eu l'impression que l'on se moquait d'eux, ils ont ouvert la

porte pour les invectiver. C'est un fait. Ce n'est aucun des

deux joueurs qui a lancé sa médaille au sol. Ils n'auraientpas eu à parler aux arbitres. C'est une évidence. Il n'y a par

contre pas eu le moindre contact physique.»

CHRISTOPHE GRAU Lui-même: «J'ai eu des motspunissables et j'en avais conscience. Je l'ai d'ailleurs ditque je prendrais sûrement une amende. Je n'avais pas àparler ainsi et dans l'émotion j'ai dépassé les limites,c'est vrai.

NIKSA BAVCEVIC Christophe Roessli: «Il croyaitavoir droit à l'usage de la vidéo, mais le trio arbitralavait déjà quitté le terrain. Il leur a dit «Corne back, Iwant to see the video (ndlr: Revenez, je veux voir la vi-déo) ». Son français étant ce qu'il est, je le vois mal in-sulter les arbitres dans cette langue.»NATHAN ZANA Christophe Grau: «Le concernant,c'est encore moins compréhensible car on ne sait toutsimplement pas ce qui lui est reproché.»CHRISTOPHE ROESSLI Lui-même: «J'ai des témoi-gnages qui ont été transmis au juge unique attestantd'une discussion mais d'aucune agression sur M. Sergi. Dès

lors cette suspension m'étonne.»

LES PROCEDURESU'ILS ACCEPTENT

LES PROCEDURESU'ILS RÉFUTENT

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Christophe Roessli (a g )et Christophe Grau sonten pleine incomprehension

Christophe Roessli (à g.)et Christophe Grau sonten pleine incompréhension.

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LA RÉACTIONGIANCARLO SERGI Président de Swissbasketball

«On est dans une durée normale pour uneprocédure d'une ampleur unique en Suisse»«Actuellement, le dossier n'est plusentre nos mains. C'est le juge uniquequi doit statuer. Mais si la procédureprend autant de temps, c'est lafaute des dirigeants du BBC Mon-they. Attention à ne pas tomberdans la victimisation de ce club. Lejuge nous a octroyé un délai jusqu'àdemain (ndlr: aujourd'hui) pourétayer notre position à la suite

de pièces données par les Monthey-sans. Mais une chose est sûre, les

suspendus le sont toujours et peu-vent l'être jusqu'à une durée de cinqmatches. Cela ne devrait pas durerautant et j'espère que lundi nousen saurons plus. C'est une duréenormale et ce ping-pong prenddu temps. Le plus important est derégler le cas des joueurs car, effecti-

Sébastien Anex

vement, c'est le plus important pourl'aspect sportif. Les dirigeants, celapeut attendre un peu. Mais je pré-cise que c'est la première fois quenous avons une affaire d'une telleampleur en Suisse. C'est importantde ne pas précipiter la décision. Maisc'est évident que cette situationm'embête car Monthey est un clubque j'aime beaucoup.»

GIANCARLO SERGI Président de Swissbasketbal

Sébastien Anex

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Le Nouvelliste 1950 Sion027/ 329 75 11www.lenouvelliste.ch





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BBC MONTHEY - LAUSANNE, QUART DE FINALE DES PLAY-OFF

BBCBBCLAUSANNE

LES CONFRONTATIONS En championnat, chaque équipe s'estimposée une fois. Monthey l'emportait 91-83 le 18 décembre auReposieux, avant de craquer 80 à 73 le 18 mars. Lors de ce deuxièmeduel, les Valaisans étaient privés de Heath et Young.En demi-finale de la Coupe de Suisse et au complet, le BBCM s'étaitroyaumé le 14 janvier avec un succès 68-85 à la Vallée de la Jeunesse

LES RESULTATS Longtemps entête du classement, le BBCMs'est vu griller la politesse parFribourg en raison d'uneaccumulation de blessures.Ce qui ne l'a pas empêchéde défendre victorieusementsa deuxième place malgréla menace de Lugano.Les Chablaisiens ont égalementremporté la SB League Cupdébut février et ont cédé enfinale de la Coupe de Suissele 8 avril contre Genève. De soncôté, Lausanne n'a jamais quittéla deuxième partie duclassement, luttant pourarracher son ticket pour les

play -off. Les Vaudois doiventleur septième rang de la saisonrégulière à un sans faute(4 sur 4) lors de la phaseintermédiaire des places 7 à 11.

LES CONTINGENTS Montheyreste privé des AméricainsMarkel Humphrey et BrandonWood, suspendus. Les coachsNiksa Bavcevic et Nathan Zanasont eux aussi interdits de bancpour le moment. Comme lorsdes deux derniers matchs,Marin Bavcevic dirigera l'équipe,renforcée par l'arrivée dedernière minute de l'ex-LuganaisMike Efevberha. L'effectif

lausannois affiche lui complet.Arrivé fin janvier pour pallierla blessure de Woods, JordanLoveridge a trouvé sa place.

LA SAISON DERNIÈREQuatrième du championnat,Monthey avait chuté en quartde finale contre le cinquièmeLugano. Les Chablaisiensmenaient pourtant 2-0 dansla série. Deuxième de la saison

régulière de LNB, Lausanneremportait les play-off endominant Meyrin 3-0 en finale.

LES MARQUEURS Monthey:Barac 23 pts de moyenne lors de

la phase préliminaire, Heath 15,9

pts, Humphrey 15,8 pts, Young

15,6 pts, Maruotto 12,8 pts, Sinclair

9,9 pts, Dubas 8,8 pts, Maza 5,9

pts, Grau 2,2 pts. Lausanne:Cochran 22,1 pts, Wilson 19,1 pts,

Loveridge 12,7 pts, Swannegan

8,4 pts, Pythoud 7,8 pts, Top 5,4

pts, Bozovic 5 pts.

LE PROGRAMME Après l'acte Ice soir, Monthey accueillera denouveau les Lausannois cemardi (19 h 30). Il se déplaceraensuite le samedi 6 mai à laVallée de la Jeunesse (17 h 30).Eventuelles, les manches 4 et 5sont agendées aux 9 et 11 mai.

BBC

MONTHE

BBC LAUSANNE

LES CONFRONTATIONS En championnat, chaque équipe s'estimposée une fois. Monthey l'emportait 91-83 le 18 décembre auReposieux, avant de craquer 80 à 73 le 18 mars. Lors de ce deuxièmeduel, les Valaisans étaient privés de Heath et Young.En demi-finale de la Coupe de Suisse et au complet, le BBCM s'étaitroyaumé le 14 janvier avec un succès 68-85 à la Vallée de la jeunesse

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Six questions pour une demiDiminué par plusieurs suspensions, mais renforcé par l'arrivée hier d'Efevberha, Monthey se méfie de Vaudois

qui n'auront rien à perdre dans ce quart de finale au meilleur des cinq. Acte I ce soir au Reposieux (19 h 30).

1LE BBC MONTHEY RISQUE-T-IL DE PAYER LES ABSENCESDE DEUX JOUEURS MAJEURS ET DE SES COACHS?

Suspendus à titre provisoire suite aux incidents survenus après la finale de laCoupe de Suisse, les joueurs Markel Humphrey et Brandon Young, ainsi que lescoachs Niksa Bavcevic et Nathan Zana, observeront toujours leur équipedepuis les gradins. Des absences de taille qui n'avaient pas empêché lesChablaisiens de s'imposer contre Genève (75-65) et Neuchâtel (81-76) lors desdeux dernières journées. Preuve que le groupe possède des ressources et unsolide mental. «On ne pense pas à toutes ces affaires extra-sportives, affirme lecapitaine Jonathan Dubas, pas plus inquiet que ça. Cela ne sert à rien de s'affoleravant que les décisions finales ne tombent. On se prépare comme d'habitude, à l'en-traînement tout le monde est là et la dynamique reste très positive. Mieux, les deux der-nières victoires nous mettent en confiance avant ce derby contre Lausanne.» PourRandoald Dessarzin, l'entraîneur des Vaudois, Monthey, même diminué, resteMonthey. Donc une équipe à haut potentiel. «On fait abstraction des problèmes denotre adversaire, on ne cherche pas à savoir combien de matchs de suspension prendra untel ou un tel. Monthey nous reste supérieur dans bien des domaines, c'est quand mêmele deuxième du championnat.» JÉRÉMIE MAYORAZ

CONFIRMÉE HIER SOIR, L'ARRIVÉE DE MIKAEL EFEVBERHACHANGE-T-ELLE LA DONNE?

Le BBC Monthey a finalement activé sa dernière licence étrangère en recrutantMikael Efevberha (photo Keystone), une vieille connaissance du championnat

de Suisse puisque l'Américano-Nigérian avait porté les couleurs de Lugano de2009 à 2011. On se souvient d'un meneur-ailier dominant, avec une énorme ca-pacité de drive. Cette saison, il évoluait à Sagesse au Liban, où il affichait 28,6points de moyenne. Une arrivée de poids qui permet au BBCM de voir loin,quel que soit le verdict du juge unique. «On a dû agir dans l'urgence pour trouver

quelqu'un, car on ne sait pas ce que le juge unique nous réserve. On voulait prendretoutes nos précautions et défendre tout le travail réalisé jusqu'ici. Avec Efevberha, on a

mis la main sur un joueur très intéressant», relève le président Christophe Grau, alorsque la procédure concernant les «suspendus» traîne bizarrement en longueur. A 32 ans

et après des passages notamment en République tchèque, en Chine et en Corée, le Californien de 193cm a-t-il gardé toute sa verve? Trop tôt pour le dire. Efevberha, qui arrive d'Italie où il était en vacan-ces, sera certes qualifié pour l'acte I ce soir au Reposieux, les derniers transferts ne pouvant avoir lieuaprès le coup d'envoi des play-off. Cela ne signifie pas pour autant qu'il jouera énormément.

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PANI BARAC A-T-IL PRIS UNE DIMENSIONSUPPLÉMENTAIRE SANS BRANDON YOUNG?

Les statistiques sont éloquentes. Lors des cinq matchs qu'il a disputés sans Brandon Young, PaniBarac a crevé l'écran. Quinze points contre Neuchâtel, 25 contre Swiss Central, 29 contreLausanne, 19 contre Genève et 21 contre Neuchâtel encore, le Croate s'est libéré ces dernières se-maines. Ses douleurs à la hanche résolues lui ont aussi permis de confirmer cette montée en puis-sance. «Tous les étrangers ont été bien choisis cette saison à Monthey, on doit surveiller tout le monde»,résume justement Randoald Dessarzin. «Barac, c'est un bon joueur, on le savait. Quand Young n'est paslà, il prend davantage de responsabilités. C'est normal, des espaces se libèrent et il peut mieux s'exprimer»,complète Jonathan Dubas. «Ils n'ont jamais véritablement joué ensemble, puisqu'ils étaient tour à tourblessés, sauf en finale de la Coupe de Suisse. Je me réjouis de voir ce que peut donner leur association»,nuance Christophe Grau. Avec un Barac en pleine bourre, Monthey possède en tout cas un atoutsupplémentaire dans son jeu déjà bien fourni.

VALEUREUX NÉOPROMU MALGRÉ D'IMPORTANTS SOUCISFINANCIERS, LAUSANNE PEUT-IL CRÉER LA SURPRISE?

Ses chances sont maigres, d'autant plus depuis l'arrivée d'Efevberha, mais réelles.Les Vaudois n'ont en tout cas rien à perdre dans cette série, eux qui ont déjàréussi leur saison. Bien sûr, l'appétit vient en mangeant et connaissant l'espritde compétiteur qui anime le coach Randoald Dessarzin (photo Papilloud),rien ne sera laissé au hasard. «Notre bilan est vraiment favorable pour un néopro-

mu, surtout avec nos moyens et nos incertitudes. Qui aurait pensé en débutd'exercice qu'onfinirait devant Boncourt ou Massagno? Mais ce n'est pasune finalité non plus. Maintenant qu'on est qualifiés pour ces play-off,on veut bien sûr aller le plus loin possible», commente le technicienjurassien. Au bord de la faillite en janvier, le club vaudois a trouvéles ressources financières pour boucler la saisonet tenter un exploit dans ces play-off. «On resteéconomes, tout est calculé au centime près.Heureusement on a eu l'aide inattendue d'unmécène qui nous permet de jouer le coup à fondjusqu'au bout.»

5LE PUBLIC MONTHEYSAN JOUERA-T-ILSON RÔLE DE SIXIÈME HOMME?

Monthey a la chance de pouvoir compter sur l'un des meilleurs pu-blics du pays. Des spectateurs qui pour la plupart n'ont pas déserté leReposieux malgré les incidents que l'on sait. «Les supporters nous ontparticulièrement soutenus lors des deux derniers matchs et ils vont encorecontinuer à nous pousser dans ces play-off, j'en suis certain. Certitude,nous n'avons jamais eu à nous plaindre d'eux», apprécie Dubas. L'am-biance devrait aller crescendo dans ces play-off que beaucoup atten-dent, histoire de tirer un trait définitif sur la défaite en finale de laCoupe. Pour Randoald Dessarzin, la donne est simple. «On mise énor-mément sur l'acte I où la pression est surtout sur l'équipe recevante quijoue devant son public. Notre but consiste à aller chercher un match à l'ex-

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térieur pour nous donner de l'espoir et offrir deux parties à la maison à nosquelques fidèles.»

COMMENT CONTENIR LA MENACEKARL COCHRAN?

A Lausanne, s'il y a bien un joueur à surveiller de près, c'est Karl Cochran,deuxième meilleur marqueur de la ligue avec ses 22,1 points de moyenne.L'Américain peut s'enflammer à tout moment. «On n'est pas aussi dépen-dants de lui qubn veut bien le croire. Lors de trois matchs, il est sorti pour cinqfautes et on gagne sans lui. Maintenant, je ne dis pas qubn peut se passer delui, mais je préfère mettre le collectif en avant», précise Randoald Dessarzin.«On connaît évidemment les qualités de Cochran, l'un des tout meilleursjoueurs du championnat. Il peut faire basculer un match et sa complémenta-rité avec Loveridge est un bon point pour Lausanne. Je nbublie pas Wilson, quipeut lui aussi être décisif. Bref ça va être compliqué. On est à la fois confiantset prudents», lâche Jonathan Dubas. «L'équipe est prête à partir au combat,elle est plus concernée que jamais et je n'imagine d'ailleurs pas une élimina-tion. Ce serait une catastrophe», conclut Christophe Grau.

Barac et Montheyvisent bien plushaut que ce quartde finale.KEYSTONE/A

Barac et Montheyvisent bien plushaut que ce quartde finale.KEYSTONEIA

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Basketball

Revenu de loin, Randon Grüningerrêve e nouvea so ets

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Randon Grüninger (en blanc) fait souffler son optimisme au sein des Lions.

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Après avoir frôléla mort, le Tessinoisrespire le bonheuret l'ambition.Ça tombe bien: c'estle début des play-off!

Arnaud Cerutti

Il est définitivement sorti de l'om-bre le 8 avril, au coeur de la bataille,en pleine finale de Coupe de Suisse.Alors que ses coéquipiers étaienten train de se noyer contre le BBCMonthey, Randon Grüninger a dé-barqué sur le parquet de l'Arenaavec le mors aux dents, le feu entreles mains. Pour secouer sa troupe,pour montrer la voie à suivre. Eninstigateur d'une rébellion ga-gnante, à la manière d'un vieuxbriscard. Tellement impression-nant que, sur le coup, on en auraitpresque oublié que le jeunehomme n'a pas encore soufflé ses22 bougies et qu'il est «tout neufi>chez les Lions de Genève, club qu'iln'a rejoint qu'au mois de juin.

Reste que dix mois après avoirposé son baluchon au Pommier, leTessinois a inscrit son nom dansl'histoire des «fauves» en étant deceux ayant conquis au moins untrophée sous leurs couleurs. Et iln'en est pas peu fier! «Dans cettefinale, j'étais extrêmement motivé,je voulais tout de suite saisir machance car je ne savais pas combiende temps j'allais rester sur le ter-rain, lâche-t-il dans un français par-fait. Finalement, j'ai tenu toute ladeuxième mi-temps. Ça a incontes-tablement été le meilleur match dema carrière. Il était capital, à mesyeux, de pouvoir gagner un titredès ma première saison à Genève.C'était le meilleur moyen de faire

de ce chapitre une belle aventure.»

Passé près de la mortVoguant d'aventure en aventure,l'ancien joueur de Lugano et Massa-gno s'apprête donc à passer à celledes play-off, dès ce samedi contreUnion Neuchâtel (17 h 30 au Pom-mier). Ce qui tombe très bien, samotivation étant similaire à cellequi l'accompagnait voici trois se-maines en Coupe de Suisse. Sa dé-

A l'afficheLNA MESSIEURS - PLAY-OFF

Quarts de finale (best of 5), ler matchCe soir18.30 Monthey - LausanneSamedi17.00 Lugano Tigers - Starwings17.30 Fribourg - Swiss Central17.30 Lions de Genève - U. Neuchâtel

termination aussi. «Je crois quenous serons très difficiles à battresur la longueur d'une série», s'ex-clame-t-il.

Peu importe, finalement, que leclub de la Riveraine («Avec TonyBrown et d'excellents shooteurs»,souligne -t -il) soit un sacré morceau;posé, rieur, Randon Grüninger estde ceux qui voient la vie en rose. Enpermanence. En toutes circonstan-

ces. Chez lui, cela se comprendd'autant mieux qu'il revient deloin. De très loin. En février 2014,une méningite foudroyante, suivied'un arrêt cardiaque, a en effet bienfailli le faire passer de vie à trépas. Ilne s'en est sorti qu'après plus d'unmois d'hospitalisation, dont lespremiers jours passés à... Genève.«On m'avait emmené ici en hélicop-tère», sourit-il aujourd'hui.

Une collaboration gagnanteIl peut en rire aujourd'hui, mais leflirt avec la Grande Faucheuse a

forcément laissé des traces. «Jeprends la vie bien différemment dé-sormais, concède le joueur origi-naire des Philippines et du Congo,fils de l'ancien footballeur RichardMapuata. Je vois les choses d'uneautre manière, avec plus de dis-tance, plus de calme. J'étais déjàd'une nature heureuse, joyeuse,mais je le suis encore davantage àprésent. Pour moi, tout n'est quebonheur.»

Alors Randon Grüninger croquedans le... Pommier et répète sonplaisir d'avoir lié son destin de bas-ketteur à celui des Lions. «Ma copineétant établie à Genève, j'ai manifestél'an dernier mon désir de la rejoin-dre, dit-il. Et dans le même temps,Imad Fattal (ndlr: le président duclub) m'a contacté.» Depuis, c'est du«win-win», le club ayant permis aujoueur de grandir, ce dernier ayantpour sa part aidé son «employeur» àenrichir sa vitrine.

Et à entendre le Tessinois, cettecollaboration gagnante n'est peut-être pas terminée! «Le fait d'avoirremporté la Coupe nous a libérés,nous a enlevé de la pression, con-fie-t-il. Mieux encore, ça a fait naître

chez nous un profond désir de ga-gner à nouveau des trophées.»

Le No 26 sait que gravir les som-mets du championnat sera unemission compliquée, mais il faitsouffler son optimisme au sein dugroupe genevois. Sans oublier departager son ambition de «resterencore à Genève, car la ville meplaît et les conditions de jeu, avecle système prôné par Jean-MarcJaumin, un coach qui me poussebeaucoup, me conviennent.»

Difficile, une fois qu'on est sortide l'ombre, de ne pas vouloir resterdans la lumière.

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Hauptausgabe

20 Minuten Zürich8004 Zürich044/ 248 68 20www.20min.ch





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Refereebeleidigt -hohe BusseHOUSTON. Leslie Alexander,der Besitzer des Basketball-Teams Houston Rockets, wurdevon der NBA zu einer Busse von100 000 Dollar verurteilt. Derschwerreiche amerikanischeUnternehmer hatte im fünftenSpiel des Playoff -Achtelfinalsgegen Oklahoma den Schieds-richter verbal attackiert. DieRockets mit dem SchweizerClint Capela setzten sich dankdem 105:99 in Spiel 5 in der Se-rie mit 4:1 Siegen durch. SDA

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Basler Zeitung / Berufs- & Weiterbildung.4002 Basel061/ 639 11 11bazonline.ch/





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Joel Fuchs ist gekommen,um zu bleibenDer Captain und Spielgestalter ist für die Starwings unverzichtbar

Spielt seine neunte Saison in Birsfelden. Fuchs hatte einige Angebote vonanderen Clubs, trotzdem trägt er nach wie vor das Trikot der

Von Tobias Müller

Birsfelden. Er könnte jetzt ganz woan-ders sein. Am Genfersee etwa oder imsonnigen Tessin, vielleicht auch in Fri-bourg. In einem anderen Land sogar,Frankreich zum Beispiel. Oder in Aus-tralien, am anderen Ende der Welt. AberJoel Fuchs ist hier, an einem Mittwoch-abend, Training in der Sporthalle inBirsfelden, draussen Nebel, drinnen dasGeräusch von Basketbällen, die auf demBoden aufprallen. Der Captain der Star-wings sitzt da, schwarzes T-Shirt,schwarze Trainerhosen, die schwarzenHaare auf die Seite gekämmt und dieAugen wie die eines Kindes, das sich ein-fach nur darauf freut, Basketball spielenzu können. Das ist das, was er liebt, das,was er jeden Tag macht. Den Ballnehmen und ihn dann in einen Korbwerfen, immer und immer wieder. JoelFuchs (27) ist immer noch hier, bei denStarwings. Er spielt seine neunte Saisonfür die Baselbieter und trifft mit seinemTeam ab morgen in den Playoff-Viertel-finals auf Lugano (siehe Kasten).

Es sprach so ziemlich alles dagegen,dass Joel Fuchs heute Captain dieserMannschaft ist. Es war zum Beispiel nichtgerade hilfreich, dass er in Dielsdorf inZürich aufgewachsen ist und dort mitdem Basketballspielen begann. Diels-dorf-Birsfelden: 100 Kilometer Entfer-nung. Oder dass seine Familie, als er nochein Kind war, nach Australien auswan-derte und der kleine Joel da natürlich mit-musste. Schweiz-Sydney: rund 20 Stun-den Reisezeit. Oder dass er, nachdem sichFuchs entschieden hatte, als Jugendlicherin die Schweiz zurückzukommen, umhier das Gymnasium und das Studium zuabsolvieren, jeden Tag mit dem Zug hin-und herfahren musste - auch das halfwohl nicht. Zürich-Birsfelden: Eine

NOVA RT&les+ Hauser L

birsterrninal`grnprecht

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Stunde pendeln, jeden Tag, zweimal.Aber Joel Fuchs ist hier.

Topskorer in ZürichFuchs spielte als 19-Jähriger in der

1. Liga bei Regensdorf seine dritte Saison,er war Topskorer. Die ersten Schritteeines Basketballers. Sein Trainer sagteihm, dass er langsam zu gut werde, dasser für Höheres bestimmt sei. Vereine vonganz oben bekundeten Interesse, Fuchsentschied sich für die Starwings, da ihmsein damaliger Coach den Verein in derNordwestschweiz empfahl. So ging ernach Birsfelden.

Nach einer ersten schweren Saisonmit Verletzungen lebte er sich immermehr ein, Fuchs studierte an der Uni-versität Basel Jura, arbeitete Teilzeit. Inseiner zweiten Spielzeit für die Star-wings holte er mit dem Team den Cup.Fuchs wurde vom jungen Spieler immermehr zum Teamleader. Er habe sich vonAnfang an in der Mannschaft und imneuen Umfeld wohlgefühlt, erklärtFuchs heute, warum es damals gepassthat. Während die ausländischen Spielerdie Starwings jeweils nach einem Jahrimmer wieder verliessen, blieb JoelFuchs. Basel wuchs ihm ans Herz, dieStadt, der Verein, die Leute. Heute sagter: «Nach einer so langen Zeit an einemOrt hat man auch eine Verantwortung.Ich habe Zeit gebraucht, bis ich michhier entwickelt habe. Jetzt kann ichnicht einfach gehen.»

Captain in BirsfeldenSeit drei Jahren ist Joel Fuchs Cap-

tain bei den Starwings. Doch er ist mehrals das. Oft scheint es so, dass seine Mit-spieler sich nicht nur von ihm führen las-sen, er beeinflusst sie auf allen Ebenen:Spielt Fuchs gut, spielt das Team meis-tens auch gut. Spielt Fuchs schlecht, läuftes den anderen oft auch nicht. Fuchs istTaktgeber, Ballverteiler, Gehirn derMannschaft. Und, er ist der sichere Wert,wenn es darum geht, den orangen Ballvon ausserhalb der Dreierlinie in denkleinen, weit entfernten Korb zu werfen.Kaum ein Spieler in der Nationalliga Akann das besser als er. Sein Trainer

Roland Pavloski sagt: «Als Joel zu unskam, war er einfach ein Werfer. Heutehält er das Team mit seinem Auftreten inschwierigen Situationen zusammen. Erist einer, der nicht viel reden muss, damitihn die anderen verstehen. Dazu kommt,dass er sich in den letzten Jahren spiele-risch enorm weiterentwickelt hat.» JoelFuchs, der Unverzichtbare.

Als die Starwings nach einem gutenStart in die aktuelle Saison in der zwei-ten Hälfte der Vorrunde begannen,Spiele zu verlieren, die sie eigentlichnicht hätten verlieren dürfen, war esFuchs, der die Probleme intern direktansprach. Pavloski erzählt, dass Fuchsmit ihm das kritische Gespräch gesuchtund Vorschläge gebracht habe, wie manes besser machen könnte. Diskussionenwurden geführt, Probleme angespro-chen - und Lösungen gefunden. In derFolge schlugen die Starwings in derMeisterschaft die SchwergewichteLugano, Neuchätel und Fribourg.

Was macht einen guten Captain aus,Joel Fuchs?

«Die Teamkameraden müssen sichauf dich verlassen können, du musstimmer für sie da sein. Ich habe mich indieser Rolle über die Jahre stark verän-dert, habe mich weiterentwickelt. Daswar auch für mich als Spieler wichtig.»

Arbeiter in FrenkendorfSein Studium hat Joel Fuchs abge-

schlossen, eine 80-Prozent-Stelle beimMigrationsamt Baselland in Frenken-dorf hat er angetreten. Es sei eine neueSituation, Basketball und das Berufs-leben verbinden zu müssen, den All-tagsstress mit dem Stress auf dem Bas-ketballfeld vereinbaren zu können. Einneues Leben, sozusagen.

Ob er doch noch ins Ausland wech-seln wird, irgendwann, kann Joel Fuchsnicht ausschliessen. Oder sich einemanderen Verein in der Schweiz an-schliessen, mal was anderes sehen? Eshabe in den letzten Jahren immer malwieder spannende Angebote gegeben,mehr aber auch nicht, sagt er. «Finanzi-ell wäre es schon verlockend, den Ver-ein zu wechseln. Aber du weisst ja auch

nie, was dich dann dort erwartet.»Joel Fuchs sitzt in der Sporthalle in

Birsfelden, das Geräusch von Basketbäl-len, die auf den Hallenboden geprelltwerden, ist zu hören. Die Teamkollegenwärmen sich auf, Trainer RolandPavloski gibt Anweisungen, noch dreiTage bleiben bis zum Playoff-Auftakt.Joel Fuchs sitzt am Spielfeldrand, erschaut dem Ganzen zu, wieder ist dader Blick, die Augen eines Kindes. Ersagt: «Hier weiss ich, was ich habe.»

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Playoff- Viertelfinals: Ab morgen gehts gegen Lugano

Birsfelden. Die Ausgangslage scheintklar: Die Starwings treffen in den Play-offs auf die Mannschaft von Lugano,und weil die Baselbieter die Qualifika-tion auf dem sechsten Platz und dieTessiner auf dem driften Platz beendethaben, könnte man ja jetzt von einerklaren Sache ausgehen. Doch dieBilanz aus den vier Saisonpartien liestsich ausgeglichen: zwei Siege für dieStarwings, zwei für Lugano. Alles offenalso, alles möglich? «Lugano ist vonden Mannschaften vor uns in derTabelle sicher diejenige, die uns ambesten liegt'', sagt Trainer RolandPavloski. Er erklärt, dass Lugano, imGegensatz zu den anderen Titelkandi-daten, über ein eher schmales Kaderverfüge, was im engen Playoffs-Zeit-plan eine Rolle spielen könnte. Ausser-dem liege das Spiel der Luganesi den

Starwings grundsätzlich eher als dasder Genfer oder jenes von Monthey, wieder Trainer der Starwings sagt. DassLugano in der Best-of-Five-Serie zuerstzweimal vor Heimpublikum antretenkann, ist sicher ein Vorteil für die Tessi-ner. Doch das Ziel für Pavloski undseine Mannschaft ist klar: «Wir wollenihnen am Samstag gleich den erstenPunkt stehlen. Und dann kann es span-nend werden.» tmü

NLA-Playoffs, Best of FiveViertelfinals. Monthey-Lausanne. Fribourg-Luzern. Genf-Neuchätel. Lugano-Starwings.Die Spiele der Starwings. Samstag, 29. April,17Uhr: Lugano-Starwings. Dienstag, 2. Mai, 19.30Uhr: Lugano-Starwings. Freitag, 5. Mai, 19.30 Uhr:Starwings-Lugano (Sporthalle Birsfelden, Gratis-eintritt). Evtl. Dienstag, 9. Mai, 19.30 Uhr: Star-wings-Lugano (Sporthalle Birsfelden). Evt. Don-nerstag, 11. Mai, 19.30 Uhr: Lugano-Starwings.

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Date: 28.04.2017

Bote der Urschweiz6431 Schwyz041/ 819 08 11www.bote.ch





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Sieg zum Abschluss

Basketball Am Sonntag trafendie U16- Spieler des Basketball-clubs Brunnen beim letzten Sai-sonspiel zu Hause auf OpfikonBasket. Die jungen Herren desBC Brunnen dominierten dasSpiel von Beginn weg. Nacheinem 14:4 im Startviertel konn-ten sie den Vorsprung bis zumEnde halten und vergrössern. AmSchluss gewann das BrunnerTeam mit 47:30 und sicherte sichsomit in seiner ersten Saison dendritten Tabellenplatz. (busch)Brunnen: M. Camenzind (2 Punkte), Mayer (2), S. Ca-

menzind, Kabul (4), Wilhelmus (10), Steiner (12), Chris-

ten (1), Mirkovic (6), Koller (10). Trainer: Gjon Prenka,

Assistent: Patrick Christen.

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Date: 27.04.2017

Der Landanzeiger5036 Oberentfelden062/ 737 90 00www.landanzeiger.ch

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 48'706Parution: hebdomadaire N° de thème: 042.001




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Niya Johnson ist MobiliarTopscorerin vom BC Alte Kanti

Freudig nimmt NiyaJohnson den Check von Peter Zettel, Mobiliar Aarau entgegen BiW:zVg

nagernent.Ch nforrnat

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Date: 27.04.2017






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Niya Johnson hat sich nach Abschlussder Qualifikation mit 337 Punkten denTitel der Mobiliar Topscorerin vom BCAlte Kanti Aaraugesichert. Anlässlichdes heutigen Heimspiels durfte sievom Repräsentanten der Mobiliar-Ge-neralagentur Aarau einen Check imWert von 4000 Franken für die Nach-wuchsförderung in ihrem Club entge-gen nehmen.

Auf dem Spielfeld ist es nicht zu über-sehen: Seit vier Jahren vergibt die Mo-biliar in den vier Hallensportarten Bas-ketball, Handball, Unihockey und Vol-leyball die Auszeichnung des MobiliarTopscorers. Ab dem ersten Spiel derSaison tragen jeweils jene Spielerinnenund Spieler einer Nationalliga-A-Mannschaft das Mobiliar-Topscorer-

Trikot, die bis dahin die meisten Punk-te erzielt haben. Wer am Ende der Qua-lifikationsphase die meisten Punkte er-zielt hat, wird Mobiliar Topscorer bzw.Mobiliar Topscorerin des jeweiligenTeams.Die Punktezahlen der Topscorer be-stimmen, wie viel die entsprechendenClubs von den 400'000 Franken erhal-ten, welche die Mobiliar pro Saison imRahmen ihres Engagements für dieNachwuchsförderung im Hallensportzur Verfügung stellt.Sichtlich stolz auf die Leistung derfrisch gekürten Mobiliar Topscorerinvom BC Alte Kanti Aarau übergab derRepräsentant der der Mobiliar-Gene-ralagentur Aarau kurz vor dem SpielNiya Johnson den Check über 4000Franken. PD

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Date: 27.04.2017






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Basketball

BC AKA News - Platz 3!

Eine letzte Welle für dos Heimpublikum

Vergangenen Samstag hätte den Damendes BC Alte Kanti Aarau nur ein Heim-sieg gegen Hdlios geholfen, um im Titel-rennen zu bleiben. Doch der amtierendeMeister hatte für seinen Besuch anderePläne, und setzte diese gnadenlos um.

Es war das Spiel der letzten Chance fürdie Aarauerinnen. Mit 0 zu 2 Siegen in

Rücklage, galt es den dritten und vor-entscheidenden Sieg der Gäste zu ver-hindern. Aarau erwischte einen gutenStart und beendete das Startviertel miteiner verdienten Führung. Danach kamderAarauer Motor jedoch ins Stottern,während die gut geölte Helios-Maschi-ne effizient weiterlief. So leerte sich derAarauer Tank zusehends und Helios

J (ist Künüi

reichte ein Überholmanöver, um dasRennen um den Finaleinzug endgültigfür sich zu entscheiden. Aarau beendetdie turbulente und hochspannende Sai-son damit erneut auf dem guten drittenPlatz, und wird ab nächster Woche mit-verfolgen können, ob die Altmeisterin-nen aus dem Wallis auch die neuenMeisterinnen werden. YN

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Date: 28.04.2017

Corriere del Ticino6903 Lugano091/ 960 31 31www.cdt.ch





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BASKET NBA

Hawks con le spalle al muroThabo in campo per soli 8"III Nei playoff NBA gli Atlanta Hawks del vo-dese Sefolosha sono con le spalle al muronella serie del primo turno con i WashingtonWizards. L'altro ieri hanno perso per 103-99nella capitale statunitense, così che i Wi-zards ora conducono per tre successi a due.Nell'occasione Sefolosha è rimasto in campoper soli 8", gli ultimi del secondo quarto.

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Revue de presse du 28 Avril Pressespiegel vom April 2017 … · 2018. 11. 12. · Revue de presse du 28 Avril 2017 Pressespiegel vom 28.April 2017 Rassegna stampa ... de Mike Efevberha